* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Ce matinà 6 heure 26 il était encore impossible sur
le site de l’Assemblée Nationale d’accéder
à la pager « Vidéosà la demande »en raison de l’afflux des
requêtes, on comprend bien cet embouteillage , puisque hier vendredi 1er Février la 1ère et la 2ème
séancesl’Assemblée Nationale avait
pour ordre du jour la suite de la
discussion du projet de loi sur l’Ouverture du mariage aux couples de personnes de même sexe, etnotamment la discussion des
articles , un projetde loi dont il
convient de se tenir informé desévolutions
qu’il prend au cours des débats.
Hier
Vendrediles débats ont été nourris par les questions récurrentes qui depuisles dernières séances reviennent
le plus souvent, à savoir notamment la circulaire Taubira, la GPA, la PMA, mais d’autres
questions d’importance ont surgit , notamment pour n’en citer qu’une, le mariage homosexuelentreun français et un étranger, une française et une étrangère,ces partenaires étrangers, notamment originaire d’un pays étranger qui
n’autorise pas le mariage entre personne de même sexe, ce qui pose la question
de la validité du mariage pour tous à l’extérieur
de la France , mais encore le statut des
enfants qui auraient été adoptés par ces couples ou obtenus par des moyens PMA
ou GPA, étant rappelé que ces pays étrangers interdisent l’adoption
des enfants , prohibent et proscrivent
la PMA et la GPA, toute fois les couples mariés de ces pays peuvent cependant recueillir des
enfants, maisces enfants recueillis n’entrent
pas dans la filiation,ni dans le patrimoine successoral.
Enfin ces mariages
pour tousfrançais-étrangers soulèvent aussi en France la question de l’immigration, des mariage "gris" et des mariages "blancs" et de l'acquisition de la nationalité" française, comme on le voit l'impact de ce projet de loi traverse les frontières et s'il passe en force loi, peut nous attirer des différents sérieux diplomatiques internationaux mais encore des contentieux civils dans notre pays.
On voit bien
quece projet de loi est bancal, pour
mieux dire il peut se comparer à une boite de pandore qui au fil de la
discussion déverse des articles dont les vagues et les effluves traversent nos
frontières , et en retour de vagues forcément ceci provoquera des flots d'immigration en provenance de la méditerranée et des pays africains notamment, ce que les socialistes n'avaient peut-être pas, je dis bien peut-être pas imaginés à l'avance, en croyant que la droite se laisseraient noyer dans la jactance sentimentale des députés sociales et ne s'avancerait pas pour soulever cette question.
Les députés
socialiste défendent ce projet de loi comme ils peuvent avec des arguments
fondés sur l’égalité des droits, sur les sentiments, sur l’amour , sur la
générosité , sur la légitimité sur l’évolution
du mariage à travers les siècles , sur une évolution des mœurs, sur une réforme
de civilisation devenue poureux urgente
à réaliser …, en oubliant que l’institution du mariage au cours des siècles a pour première condition de fond l’ordre de la nature qui unitune homme et une femme, etmalgré
quelques pays qui autorisent le
mariagepour tous qu’ils citent en
exemple ( je ne vois pas la valeur de cet exemple) , une quinzaine environ,
tous les autres pays du monde l’interdisent et pour certains autres n’y songent même pas,.
Enfin en défense
de leur projetcertains députés socialistes
ou de gauche accusent les députés de
droit qui s’y opposent, d’avoir peur !
En voyant ça je
meurs de rire, peur de quoi s’il vous plait ? Je n’ai jamais vu les
Députés de droite tremblants de peur dans les séances, ni sur les bancs, ni à
la tribune, encore moins dans les coulisses, pour s’opposer à ce projet leurs
arguments sont forts, puissants, et de
bons sens, malheureusement c’est la gauche qui est majoritaire au parlement et
bien sûr les amendements présentés par
la droite ne seront pas votés.
L’opposition de
droite n’est pas dictée par la peur, elle est dictée par la vigilance à
défendre nos valeurs fondamentales qui ne saurait ignorer l’ordre naturel
humain qui veut que le mariage unisse un
homme et une femme , qu’un enfant naisse d’un homme et d’une femme et qu’il ait
un père et une mère.
Nous reviendrons dans
un prochain éditorial sur les points les plus cruciaux de ces débats, mais pour
le moment en attendant les vidéoscomme
la page des comptes rendus estaccessible, nous inséronsà la
fin de notre éditorial les liens actifs qui vous permettront d’y accéder.
Lire les comptes rendus
permet de lire dans leur intégralité les interventions et les échanges, en
effet dans les médias de la presse seuls
quelques extraits « peau de chagrin »sont repris pour étayer les
commentaires et les interprétions des
journalistes dansleurs articles, il en est de même dans l’audio–visuels, les télévisions
quiretransmettent lesséances , font descoupures pour laisser place à des présentateurset à leurs commentaires, ce qui a
pour résultats de priver les téléspectateurs d’une partie des
débats.
La députée socialiste Sandrine
Mazetier veut rebaptiser "l'école
maternelle"
Cette femme député ( ndlr : j’espère ne pas lui faire injure
en la nommant « femme » ) a
saisi officiellement le gouvernement sur l'emploi du terme
"maternelle" qui renvoie, selon elle, à l'image de la seule mère, estimant
que le terme "école maternelle" est sexiste.
Elle voudrait ainsi rebaptiser
l’école. Elle met en cause le fait que, dans la terminologie du mot, il y ait
une référence aussi spécifique à la "mère".
"La maternelle, c’est une
école. Ce n’est pas un lieu de soin ou un lieu de maternage. C’est aussi un
lieu d’apprentissage", a déclaré
cette députée Sandrine Mazetier sur RTL.Elle préfèrerait le terme de
"petite école" ou "première école" pour libérer le terme de
sa charge affective et maternante.
"Ca rendrait justice au
travail qui y est fait, au professionnalisme de ceux qui y interviennent et ça
rappellerait aussi qu'aujourd'hui, la responsabilité de l'éducation des enfants
est partagée entre les parents et n'est pas la spécificité des femmes",
selon cette élue.
Voyez-vous ça, ce n’est qu’un
millième pas de plus pour effacer toute
références à la mère, hérisse le poil de ces égalitaires socialistes,
qui comme les féministes rêvent d’un monde où la femme dans son rôle de mère ne
serait réduite qu’à son rôle de
travailleuse salariée au service des entreprises publiques et privées , et
secondairement à son rôle de mère et
encore à condition que le mari assume tous les travaux ménagers et s’occupent
des enfants en leur faisant la toilette le matin, en les amenant à l’école , en
leur faisant la tambouille, et en prenant en charge leur éducation familiale.
Si ces politiques et féministes excitées du cerveau continuent à focaliser sur la femmes en
voulant la priver de toutes ses initiatives de mère par
rapport et à ses enfants, et de maîtresse de maison par rapport au
foyer, elles finiront par la réduire
dans la famille à un rôle de figurante secondaire qui ne remplira qu’un devoir conjugual au service exclusif du mari pour satisfaire ses désirs de mâle.
C’est manifestement un abus sociétal que seuls les hommes et
les femmes sensés dénoncent et j’espère qu’ils seront de plus en plus nombreux.
Mais comme par ailleurs j’ai lu que les hommes qui se substituent
à leurs femmes pour s’occuper des
enfants et accomplir les travaux ménagers perdent leur libido et ne sont plus
performants au lit, il ne restera plus aux femmes que de faire chambre à part
pour ne pas gêner le monsieur en panne
de désir et d’érection, pour le
laisser récupérer et dormir seul comme une bête de somme.
Encore un pas de plus et on
incitera la femme à couper ses cheveux,
à porter des vêtements masculins et des
chaussures unisexe pour que personne à sa vue puisse soupçonner qu’elle est une femme.
Et quand à l'homme multifonctionnel, ce monsieur bon à tout
faire, l’ as des as, fée du logis –astiqueur-nourrice-éducateur, on lui demandera un jour de faire
pousser ses seins avec des hormones pour prendre le bébé au sein en attendant
que le biberon bio au lait bio soit prêt.
Tout ce cirque politicien est l’expression d’une misogynie
ambiante qui veut modeler la femme à n’être qu’un sous homme et jamais au grand
jamais une mère et une femme.
Et finalement ce sont eux qui sont sexistes sans même s’en
rendre compte !
On a commencé au cours des siècles par accuser EVE d’avoir fait croquer la pomme à
Adam , la société a continué depuis pas mal de décennies à accuser les femmes et les
mères de tous les malheurs et
dérèglements psychologiques de leurs enfants, en les taxant abusivement de « mères abusives » ,
aujourd’hui les politiques partent à la chasse de tout terme à connotation « maternelle » , pourtant la statue de Marianne est encore le symbole
de la République jusqu’à ce qu’une politicienne s’avisera qu’il faut jeter ce
symbole à terre et le remplacer par une statue d’homme, si encore il s’en
trouvera un qui s’affirmera homme avec
tous ses attributs.
Seul trouvera grâce aux yeux de ces excitées politiciennes et
féministes, le terme de "mère porteuse" pour désigner de femmes qui prêteront
leur utérus pendant leur grossesse et se
verront kidnapper le bébé dès sa naissance pour satisfaire les désirs d’enfants
des couples de pédérastes , car c’est bien d’un
rapt qu’il s’agit et qui s’accomplit de
nos jours légalement dans les pays étrangers,
jusqu’à ce qu’il soit légalisé en France par le vent de l’histoire politique au nom de l’égalité
des droit. Sans doute apprendra-t-on à ces petits enfants qu’il son nés d’un
utérus anonyme … Et
voilà le travail !
On pourra aussi sur cette lancée politique anti-femme-mère, s’aviser un jour où l’autre
que notre mère la France .ne devra plus
s’appeler « la » France, on voudra la rebaptiser « le »
Franc » , de même, la république la liberté, l’égalité, la démocratie , la garderie, l'école, la terminale, la faculté etc..., etc..., auront-ils assez
d’imagination pour trouver des articles
masculins ?, j’en doute, cette
chasse aux connotations et désignations féminines n’aura pas de fin, c'est comme la chevelure d'Eléonore, quand il n' y en a plus il y en a encore, cette chasse aux mots féminins finira par les épuiser, tant mieux.
Voilà l’avenir que préparent pour les Français ces
politiciennes et féministes enragées, le
pire c’est que leurs homologues masculins, souvent misogynes et sexistes comme
elles , œuvrent comme elles pour la chienlit sociétale.
Qu'on soit d'accord ou pas, on ne peut pas dire que Jean-Marie Le Pen pratique la langue de bois, il dit ce qu'il croit et pense franchement avec la liberté de parole qui est la sienne, et j'avoue qu'il me repose des discours ampoulés des politiques formatés pour ne pas dire robotisés :
Actuellement alors que l’Assemblée Nationale débat en
séances successives de l’ouverture du mariages aux couples des personnes
du même sexe (mariage pour tous) , les ministres et les députés de
gauche défendent ce projet gouvernemental , alors que les
députés de droite s’y opposent à l’exception d’un député de droite, Franck
Riester.
Si vous avez suivi ces séances à la Télévision
ou en vidéo en direct sur le site de l’Assemblée Nationale, les interventions
des uns et des autres vous sont connues.
Mais nous avons voulu remonter plus haut et nous
replacer dans le contexte de la campagne présidentielle pour mieux
comprendre les motivations et les ressorts de la gauche pour
présenter et défendre ce projet, mais aussi les motivations de
Franck Riester pour faire cavalier seul par rapport à la droite pour
soutenir ce projet comme le fait et avec les mêmes arguments que la gauche.
Nous avions conservé et mis en mémoire dans nos
documents des articles et une vidéo qui nous éclairent en partie sur la prise
de position de Franck Riester qui ne date pas d’aujourd’hui , il s’agit des
déclarations faites par Olivier Dussopt, député socialiste, lors d’une
interviewe du début du mois de décembre, et contenue dans une vidéo publiée le
29 décembre 2012 sur le site « Inventons notre communauté ».
Dans cette
interviewe, le Député de l’Ardèche Oliver Dussopt affirme que
«L’Assemblée nationale ne ressemble pas à la société telle qu’elle est» et
le député explique notamment les raisons de son engagement, réagit au
coming-out de Franck Riester («une démarche personnelle et courageuse»)
et au fait que ce dernier soit le seul député ouvertement homo de l'actuelle
Assemblée et parle aussi des sujets clivant qui animeront la campagne
présidentielle ( voir la vidéo en bas de notre éditorial)
Pour être
très clair nous avons recueilli en note les questions et les réponses
que la vidéo illustre et les retranscrivons ci-dessous en texte
avant de les commenter plus bas :
INC :
questions de « Inventons notre communauté »
OD :
réponses de Olivier Dussopt
INC :
Olivier Dussopt vous êtes le benjamin de l’Assemblée Nationale, vous le
mettez en avant sur votre blog perso notamment, pourquoi ?
OD :
parce que du début du mandat ça avait été largement souligné et que je n’ai pas
modifié le blog, c’est aussi une façon de montrer que les jeunes ont aussi leur
place à l’assemblée, , mais que nous sommes que 12 aujourd’hui à avoir moins de
quarante ans sur 577 députés, c’est 7 à 8 fois moins que le nombre de députés
âgés de plus de 70 ans , donc il y a encore du chemin à faire dans la
diversité.
INC :
Vous avez reçu le prix Tolérentia avec Franck Riester pour avoir soutenu
la proposition de loi déposée par Patrick Bloche sur le mariage des
couples du même sexe, , et pourquoi pas un autre, vous n’étiez pas le
seul ?
OD : Je
n’était pas le seul et Patrick Bloche notamment aurait mérité mille fois ce
prix pour tout ce qu’il a fait , mais j’ai dit d’ailleurs à la remise de
ce prix que je n’étais pas un militant des droits de LGTB (note : Lesbiennes-Gays-Bisexuels-Transgenres) et que j’était un militant de
l’égalité tout court et que les Sos Homophobie a retenu la proposition de
loi du mariage sur l’ouverture du mariage et a voulu en année électorale faire
un symbole avec deux parlementaires de couleur opposée, mais que ça ne
s’arrêtait pas là, qu’il y avait des questions sur le don du sang, sur
l’ouverture des droits à reversions des pensions aux partenaires pacsés, sur
les questions d’identité , sur les changements d’Etat civil, et tout ce qui
fait discrimination aujourd’hui, ce sont des combats qui ne sont pas évident,
pour lesquels je n’étais pas forcément disposé ou prédisposé , parce qu’il faut
une formation, que ma formation personnelle est plus portée sur les questions
économiques avant de porter sur des questions sociales ou sociétales, et donc
c’est un chantier que j’ai découvert au cours du mandat.
INC :
Franck Riester à fait son coming out depuis ce prix d’ailleurs, quest-ce
que vous pensez de cette démarche ?
OD : Elle
est personnelle, et elle est courageuse de la part de Franck qui par ailleurs
est quelqu’un que j’apprécie, que j’aime bien, nous sommes opposés
politiquement, mais nous sommes aussi amis personnellement, elle est
personnelle et elle lui appartient totalement.
INC :
C’est le seul député ouvertement homo au sein de l’Assemblée, si on fait un
petit calcul et qu’on rapproche la population homosexuelle et estimée de la
population française, il faudrait, enfin il y aurait au moins une vingtaine de
député homosexuels, alors ?..
OD : il faudrait aussi qu'il y ait 50 % de femmes, faudrait aussi qu’il y ait plus de jeunes, qu’il y ait plus de représentants de
cultures différentes, de cultures géographique et culturelles différentes, ce
n’est pas le cas aujourd’hui, ce que vous pointez là c’est le fait que
l’Assemblée aujourd’hui ne ressemble à la société telle qu’elle est.
C’est un des
problèmes qui se pose à l’Assemblée Nationale depuis longtemps, pas depuis ce
mandat, donc c’est aussi aux partis, je sais que le mien fait des efforts
particuliers en tant que de renouvellement de parité, notamment pour que
l’Assemblée et les groupes politiques ressemblent plus à la société.
INC :
Si vous on vous demandait quelle est votre orientation sexuelle , qu ' est-ce que
vous répondriez, diriez ?
OD : Je
répondrais que ça relève d’une question privée comme la religion, et tout ce qui
touche à l’identité.
INC :
le fait qu’il y ait des députés de droite qui fassent leur coming out comme
Franck Riester , vous pensez que ça puisse faire évoluer la droite sur ces questions
dans son ensemble ?
OD :
J’espère que ce sera le cas , je ne suis pas sûr que tous ont la capacité et
l’envie d’évoluer , mais j’espère que ce sera le cas.
INC :
on est en campagne électorale il faut bien le dire, est-ce que vous pensez que
ces sujets vont être des sujets clivant importants dans la campagne ou est-ce ,
ou est-ce que ça va passer à la trappe ?
OD :
ils sont déjà clivant, ils sont déjà clivant , d’une manière particulièrement
claire, enfin lorsque l’on se retourne et que l’on regarde les 15, les 20
les 30 dernières années, la seule famille politique qui a toujours fait
avancer la question d’égalité des droits, c’est la gauche en France, la gauche
française, et en particulier le parti socialiste, on peut remonter dès le
début du septennat de François Mitterrand , avec Robert Badinter qui sort
l’homosexualité du code pénal, et qui la décriminalise,
ou en tout cas la rend .., ne la rend plus
coupable au yeux de la société, ne la traite plus comme une maladie
psychiatrique, et puis c’est le Pacs aussi, le sujet est clivant, et il le sera
certainement pour la campagne présidentielle, même si la
crise économique, même si la situation de l’emploi et du pouvoir d’achat, font
que ces sujets là seront peut-être prédominants par
rapport à d’autres.
INC :
Comment expliquez-vous justement alors qu’ils travaillent sur la
diversité et qu’il n’y ait pas de députés hommes ou femmes de
gauche ouvertement homos, …
OD : je
ne l’explique pas, je ne l’explique pas, je pense que cela relève du choix
personnel de chacun de dire ou pas son orientation sexuelle
Fin des
questions et réponses.
Quant
à commenter cette interviewe, formulons quelques principales
observations :
Quand Olivier Dussopt dit qu’ils sont 12 députés de moins de 40
ans en plaidant pour le rajeunissement de l’Assemblée, on peut noter que
ce Député certes à l’époque effectivement benjamin de l’Assemblée était
déjà âgé de 36 ans, on voit bien que dans notre société politique un homme de
cet âge se classe dans les « jeunes », il en est ainsi aussi parfois
dans le privé, surtout dans les médias qui relatent des faits divers en
écrivant des « jeunes » ont fait ceci ou cela et quand on creuse un
peu on s’aperçoit qu’ils approchent de la quarantaine, c’est une des confusions
de notre époque, que de parler de jeunes quand il s’agit d’adultes confirmés,
et quand ce député parlent de 7 à 8 fois plus de députés âgés de plus de 70 %
cela nous permet de comprendre, ce qu’il passe à la trappe, qu’entre les
« jeunes » et les vieux » la des députés entre 40 et 70 ans
représentent la plus large majorité d’âge à l’Assemblée, en fette en
comptant 12 jeune, 240 « vieux » il reste 325 députés
entre 40 ans et 70 ans ce qui a mes yeux est parfaitement équilibré sur
577 députés en tout.
Je sais que
les « jeunes » politiques ont les dents longues, mais qu’il
s’agissent de jeunes députés, de femmes députés, de députés de culture
géographique et d’origine différents, de leur orientation sexuelles ou de leur
couleur politique, ceux qui sont élus sont des députés à part entière, toutes
ces particularités ne sont pas à remettre en cause pour demander plus de
diversité représentative, dès l’instant que ce sont les électeurs qui les
choisissent, non pas en considération de ces particularité , mais en
considération du programme politique qu’ils présentes, et quand un député ou
une député sont élus et qu’il devient représentant du peuple je trouve
que c’est indigne de l’un des leurs de les cataloguer selon leur âge, leur
sexe, et leurs différences géographique pour en faire une
revendication politique.
Enfin en
quoi un député de plus 70 ans qui est dans l’actualité politique et en
plus doté d’expérience politique et de la vie aussi, serait-il
moins intelligent et efficace qu’un jeune à l’Assemblés ? sous les
propos d’Olivier Dussopt on décèle une ostracisme, une discrimination qui
n’osent pas s’avouer, mais qui crève les yeux et les oreilles
de ceux qui comme moi ont 79 ans, toute leur mémoire, leurs capacités
physiques, mentales et intellectuelles, qui restent actifs et vigilants sans
aucune aide extérieure, qui ont une expérience de la vie dans tous
aspects et qui actuellement, ici et maintenant, s’intéresse à tous les
sujets d’actualité et qui ont le dynamisme et le gout de la
vie qui leur permet de remoucher des plus jeunes qui le méritent , et de
féliciter et fréquenter des jeunes qui le méritent et ces derniers sont
nombreux à mes côtés.
Enfin
accessoirement j’estime qu’il est de mon devoir de défendre les plus de
70 ans quand un prétendu « jeune » déraille ou dérape au sujet des
vieux qui sont fiers de l’être.
Vous avez
certainement dû remarquer dans la société des personnes qui ne
considèrent que leur âge et ne s’adressent et fréquentent que des personnes de
leur âge, comme il y en d’autres personnes qui ne considèrent que leur
propre sexe pour ne s’associer ou fréquenter et pratiquer même en amour
que des personnes du même sexe, et cet individualisme forcené au final est un
phénomène narcissique qui conduit à la stérilité culturelle et
sociale.
Et on peut
observer aussi d’autres personnes qui ne fréquentent et ne s’associent qu’avec
des personnes de même niveau social ou de fortune, ou encore
de même profession, cette forme de communautarisme est aussi un facteur de
rupture de l’unité nationale, on ne saurait trop le souligner.
Pour une
passer à une autre observation en écoutant les propos d’Olivier Dussopt
on peut voir que dans l’hémicycle , sur les bancs ou à la tribune,
ce député défend la politique de sont parti, mais encore tout
autant si non plus les revendications des mouvements associatifs, en
l’occurrence Olivier Dussopt, Franck Riester , Patrick Bloche et bien
d’autres, et en l’occurrence à l’occasion du « mariage pour tous »,
les revendications de SOS Homophobie et LGBT .
Ceci mérite
d’être souligné, quand on vote pour un député il faut savoir que ce n’est pas
seulement le projet politique de son parti qu’il défendra à l’Assemblée
Nationale mais aussi des revendications associatives.
Il y aurait
encore beaucoup à dire sur cette interviewe mais je laisse à mes lecteurs
le plaisir de le faire.
Ceci posé il convient avant de poursuivre de nous
remettre en mémoire à quoi correspond le prix Tolérentia et quels sont les
personnalités politiques ou autres qui en sont distinguées et les raisons de
cette distinction
Les médias qui publiaient cette information
à l’&poque, ajoutaient pour certains que « Franck
Riester député UMP venait récemment de faire son
coming-out », autrement dit de dévoiler publiquement son
homosexualité , et dans un communiqué , Sos Homophobie
indiquait : « …….., Ces parlementaires ont tous deux fait partie des
responsables s’étant ouvertement déclarés favorables à la proposition de loi du
groupe SRC (Socialiste Radical Citoyen) de juin 2011 visant à mettre fin à la
discrimination qui empêche les couples de même sexe de se marier . ……..)
C’était un peu court et sommaire.
Encore une
fois nous trouvons au moyen cet outil magique qu’est
Internet un article publié le 8 décembre 2011 par le
site « Inventons notre communauté » , sous le titre « Les
députés Franck Riester et Olivier Dussopt, lauréats du prix Tolerantia 2011 »
, cet article explique « l’origine et le pourquoi et le
comment » de ce prix, et pour une information complète nous le
reproduisons ci-dessous en copié/collé :
« «Les députés Franck Riester
et Olivier Dussopt , lauréat du prix Tolerantia 2011
« Depuis 2006, la Berlin
Alliance against Homophobia, qui réunit les associations Maneo (Allemagne), SOS
homophobie (France), Cogam (Espagne), Lambda-Warschau et Kampania Przeciw
Homofobii (Pologne), décerne le Tolerantia Preis à des personnes ou groupes de
personnes s'étant illustré-e-s, au cours de l'année, pour leur engagement dans
la lutte contre l'homophobie et la transphobie et pour l'égalité des droits.
« Pour la France, ce sont deux députés, Franck
Riester et Olivier Dussopt, qui succèdent à Caroline Mécary. Le premier est
membre de l'UMP et vient de faire son coming-out, le second, socialiste, est le
benjamin de l'Assemblée nationale. «Ces parlementaires ont tous deux fait
partie des responsables politiques s'étant ouvertement déclarés favorables à la
proposition de loi du groupe SRC (Socialiste Radical Citoyen) de juin 2011
visant à mettre fin à la discrimination qui empêche les couples de même sexe de
se marier», explique SOS homophobie dans un communiqué. (…) En prononçant l'un
et l'autre deux discours remarquables dans l'hémicycle de l'Assemblée Nationale
le 10 juin 2011, MM. Dussopt et Riester ont fait entendre la voix de millions
de Français-e-s qui veulent mettre fin à ce traitement discriminatoire fondé
sur une conception archaïque de l'ordre social. Ils l'ont fait non pas par
esprit partisan, mais bien parce qu'ils sont l'un et l'autre guidés par la
conviction profonde que discriminer des personnes sur la base de leur
orientation sexuelle n'est pas tolérable dans notre société, à quelque niveau que
ce soit»
«IDÉAL RÉPUBLICAIN»
«En récompensant des élus de deux bords politiques
opposés, SOS homophobie, association politique mais non-partisane, entend
rappeler que le combat contre les discriminations et pour les Droits de l'Homme
ne devrait être l'affaire ni de la gauche ni de la droite, mais portée par
tou-te-s les élu-e-s qui se réclament d'un idéal républicain», conclut
l'association.
Les autres lauréats sont Lala Süsskind,
représentante de la communauté juive berlinoise, et Adam Bodnar, chef du
département juridique de la fondation Helsinki pour les Droits humains.
«L'implication de Lala Süsskind dans la lutte contre l'homophobie et les crimes
de haine fait passer un message fort dans notre société et dans la communauté
juive», a indiqué l'association Maneo. Adam Bodnar est, lui, distingué pour le
travail qu'il a effectué contre l'interdiction de l'Equality Pride à Varsovie
et de nombreuses autres affaires liés aux questions LGBT. Depuis 2007, il a
inscrit dans les cours qu'il donne à l'Université de Varsovie les aspects
légaux, sociaux et politiques de la protection des droits des LGBT en Pologne.
La cérémonie de remise du prix aura lieu samedi 10
décembre, à Paris. Pour des raisons de sécurité, elle ne sera pas ouverte au
public.