31 décembre 2012

Hillary Clinton atteinte d'une thrombose paye de sa santé ses activités débordantes

Éditorial de lucienne magalie pons


Je n'ai jamais apprécié les excès de langage  auxquels  se livrait  la Secrétaire d’État Américaine Hillary Clinton, lorsqu’elle parcourait les places internationales pour   réclamer  le départ du Chef Libyen  en criant "Khadafi doit disparaitre, Khadafi doit partir" jusqu'à obtenir qu'il soit massacré par ceux  des libyens qui ne l'ont que trop entendu, je ne l'ai pas non plus apprécié quand elle faisait ensuite de même en ameutant l'audience internationale contre   Bachar El Assad avec la même violence, il y a quelques temps avant de subir un revers de santé,.il y a trois semaines,alors qu'elle rentrait d'un voyage en Europe.

Je n'apprécie pas d' écrire sur cette femme politique dont les qualités fémininines qu'elle  possède , peut être ,  sont complètement gommées par sa dureté politique, mais il faut bien sacrifier à l'information., puisque nous venons d'apprendre par les dépêches que  l'état de santé  de la secrétaire d'Etat Hillary Clinton, malade depuis 15 jours et dont on pensait  qu'elle se rétablissait d'un "virus gastrique " attrapé en Europe, d'après ce qui avait été dit à l'époque par ses médecins,  s'était  brutalement aggravé hier Dimanche.

 Hillarry  Clinton devait être auditionnée jeudi 20 décembre  par   le Congrès, pour défendre son département d’Etat,    qui avait été mis en cause au sujet de de l'attaque  terroriste  en Libye du consulat de Benghazi le 11 septembre, rappelons que  cet attentat avec  explosifs et armes de guerre avait  coûté la vie à quatre agents américains, dont l'ambassadeur américain Christopher Stevens, et  il était prévu que la  chef de la diplomatie américaine  vienne  s'expliquer devant les deux chambres sur les mesures de sécurité au consulat américain de Benghazi, en Libye, attaqué le 11 septembre par des miliciens armés(*).

(*) islamistes affiliés à Al-Qaïda.(d’après les autorités libyennes)

Mme Clinton qui était encore en bonne santé à l’époque  avait assuré mi-octobre qu'elle assumerait  la responsabilité  des conséquences de cette attaque terroriste

Toutefois Mercredi passé la veille de l'audition ,  ses médecins lui avaient conseillé  de ne pas reprendre, avant "la mi-janvier",  ses acivités, notamment les longues tournées diplomatiques  qu’elle  effectue  en temps normal « aux quatre coins de la planète. »

Mais  faut penser que son état de santé s’était vraiment  aggravé, puisque  ce sont les secrétaires d'Etat adjoints William Burns et Thomas Nides qui l’ont remplacé Jeudi 20 décembre  pour ces auditions d’une part  devant les commissions des Affaires étrangères du Sénat, à majorité démocrate, et d’autre part devant   la Chambre des représentants, à majorité républicaine.

William Burns a exprimé devant la commission du Sénat "à quel point la secrétaire d'Etat Clinton regrettait de ne pas pouvoir être là aujourd'hui".


Le Sénateur démocrate John Kerry, président de cette commission,  dont on sait qu’il était candidat démocrate à la présidentielle de 2004 et qu’il sera  le  probable successeur de Mme  Hillary Clinton dans le nouveau Gouvernement de Barack Obama,  a répondu à William Burns en souhaitant à Hillary Clinton   "un prompt rétablissement" de son "sérieux virus".

En effet au début de sa maladie il y a 15 jours on attribuait  l’évanouissement et  le  malaise d’Hillary Clinton à un « méchant  virus gastrique », attrapé en Europe,  et jeudi passé on en était encore là.

Toutefois,  le Week -end dernier ( 22/23 décembre)  le Département d’Etat  annonçait que Mme. Clinton avait été victime d’une commotion cérébrale,  après son évanouissement des la semaine précédente, et souffrait d’une forte déshydratation.

Mais comme nous l'avons dit plus haut,  son état de santé s’est brutalement aggravé, hier dimanche, alors qu’en principe elle devait reprendre  ses activités au département d’Etat Lundi, les médias rapportaient que suite à  la  commotion cérébrale subie il y a trois semaines,   Hillary Clinton avait   été hospitalisée hier dimanche 30 décembre à New York  pour une thrombose. .

Son plus proche conseiller, Philippe Reines, a expliqué qu' "au cours d'examens pratiqué (dimanche), les médecins de Mme Clinton ont découvert qu'un caillot de sang s'était formé à la suite de la commotion cérébrale subie il y a plusieurs semaines".

Son Conseiller  a aussi  écrit dans un communiqué  que "Ses médecins vont continuer à évaluer son état de santé, y compris d'autres problèmes liés à la commotion cérébrale. Ils détermineront s'il y a d'autres mesures à prendre".
L’état de santé d’Hillary Clinton inquiète vraiment, elle  n'a pas été vue en public depuis le 7 décembre.

Au plan politique,  la   secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton ,  doit quitter ses fonctions en janvier, ses problèmes de santé l'ont déjà empêchée de témoigner comme prévu le 20 décembre devant le Congrès à propos de l'attentat contre le consulat américain de Benghazi le 11 septembre, mais au plan politique les Républicains insistent et réclament son audition en en faisant même une condition une condition pour approuver au Sénat la nomination de son successeur, John Kerry.

De mauvaises rumeurs sans doute mal intentionnées ont circulé aux États-Unis prétendant qu’en fait la maladie de Madame Clinton pourrait être diplomatique.

Ces rumeurs sont fausses il suffit de voir les dernières photos de Madame Clinton avant le 7 décembre pour se rendre compte qu’elle est réellement malade :

_ à Bruxelles  le 5 décembre 2012 






_  en conférence à Dublin en Irlande, le 6 décembre 2012


Revue de Presse : 




Le Nouvel Observateur - ‎Il y a 28 minutes ‎
WASHINGTON (Reuters) - La secrétaire d'État américaine Hillary Clinton a été transportée dimanche à l'hôpital en raison d'un caillot résultant de la commotion cérébrale dont elle a été victime mi-décembre, a déclaré un porte-parole du Département d'État.






RTS.ch - ‎Il y a 3 minutes ‎
7sur7 - ‎Il y a 10 minutes ‎
La Voix de l’Amérique - ‎Il y a 11 minutes ‎
euronews - ‎Il y a 30 minutes ‎
Francetv info - ‎Il y a 31 minutes ‎

Articles de fond

Libération - ‎Il y a 45 minutes ‎
La secrétaire d'Etat, qui souffre d'une thrombose liée à sa récente commotion cérébrale, est éloignée de toute activité publique depuis trois semaines. Libération. La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a été hospitalisée dimanche pour une thrombose 
Le Parisien - ‎Il y a 47 minutes ‎
Hillary Clinton a été hospitalisée dimanche pour une thrombose consécutive à la commotion cérébrale survenue il y a deux semaines. La secrétaire d'Etat américaine, âgée de 65 ans, est tombée malade il y a plus de trois semaines à la suite d'un «méchant ...

Fugue : Geneviève ça suffit , rentrez chez vous !

Éditorial de lucienne magalie pons


Geneviève ça suffit : Rentrez chez vous !






Geneviève  continue à faire  son show à Notre Dame-des-Landes, elle veut rester « pour le moment » à Notre-Dames-des-Landes, elle  a affirmé  en téléphonant à sa mère hier  qu’elle ne souhaitait pas rentrer pour le moment car elle avait des choses à faire et qu’elle voulait rester sur place ».

On dit que les mères américaines commencent  à apprendre à dire "non " à leur enfants.

Ici en France ce sont souvent des   enfants qui  disent "non" à leurs parents, aux autorités et à la société  et ne veulent qu'en faire à leur tête sans aucune raison valable que de satisfaire leur caprice, au risquer de compromettre leur avenir, et les parents et les autorités bien sur essaient de les faire revenir à la raison en évitant de recourir aux rigueurs de la loi.

Je peux comprendre leur patience, mais ça ne m'empêche pas de dire  "Geneviève ça suffit ! Rentrez chez vous !", parce que voyez- vous la patience de la société à des limites.

Il ne faut pas prendre la patience des autorités comme une faiblesse , il veulent vous protéger, mais il arrivera un moment où votre situation irrégulière vous placera sous la décision de l'autorité judiciaire, vous êtes en "rupture de ban" pour ainsi dire , et dans votre propre intérêt il est urgent pour vous de prendre la décision de rentrer chez vous.

Bien sur vous avez fugué, peut-être aviez vous besoin de voir des choses nouvelles, de partir à la découverte d'autres horizons, peut-être aussi avez vous un petit ou grand secret qui vous a poussé à agir ainsi,  peut-être avez vous besoin de vous exprimer, je comprend tout celà, mais vous devez comprendre aussi  de votre côté qu'en rentrant chez vous de vous-même sans contrainte, vous trouverez dans votre entourage familial l'aide nécessaire et aussi l'aide si nécessaire d'une écoute sociale.


Geneviève reviendrez-vous à la raison ce Lundi ?,  on peut le souhaiter plus le temps passe et plus  votre situation personnelle du point de vue juridique et sociale se complique, finirez-vous par le comprendre ?

oo0oo

Tout le monde sait que selon   le code civil   sauf émancipation prononcée par la justice, les enfants mineurs doivent résider avec leurs parents ou l'autorité parentale désignée  par la justice, Geneviève n’est pas émancipée et avec ses deux sœurs et sont frère elle   est  donc élevée au foyer familial  par sa mère qui a perdu leur père il y a environ un an.


 "Pour respecter la loi, on peut recourir à la force publique, la police ou la gendarmerie",  a indiqué Jacques Louvier,  le Procureur de la République du  Puy-en-Velay.


Mais selon ce qu’il a déclaré   "L'idéal, c'est qu'elle change d'avis, les autres hypothèses on les envisagera plus tard si ça échoue", …,  "La ramener de force n'est pas la meilleure solution pour les relations avec sa famille", a-t-il  expliqué.


Geneviève apparemment  n’ a aucune raison sérieuse de ne pas retourner chez elle où elle a toujours été aimée et bien traitée, nous le pensons,  d’après ce nous avons pu comprendre en suivant par les médias l’affaire, mais  cette jeune fugueuse  se croit en mesure d’imposer sa volonté capricieuse à sa famille, à tous les adultes , à la société et  au procureur, lequel   avec une patience  et une prévoyance que l’on peut comprendre,  évite tant que faire se peut d’employer le  recours à la force publique,   avec toutes les conséquences sociales que ceci pourrait entraîner par la suite, par exemple enquête sociale, examen psychologique éventuellement, placement dans une famille d’accueil.


Sans doute Geneviève  croit-elle intéresser tout le monde, mais elle se trompe, c’est la nature de cette affaire de fugue et son traitement par les autorités qui intéresse la société, dans le sens où son comportement risque de compromettre son avenir si elle persiste dans son attitude.  


Viennent  se greffer sur cette affaire malgré eux, semble-t-il,  les opposants aux projets d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes parmi lesquels elle s’est installée,  la chargée des relations avec la presse de l’une des composantes des occupants de la zone, a déclaré :  "Nous n'avons pas de pouvoir démesuré sur cette jeune fille, ...,  Nous avons réussi à lui faire passer le message qu'il fallait rassurer sa mère. Elle l'a fait et elle l'a appelée",  en expliquant aussi  .., "Elle est là, elle n'est pas à la rue, perdue toute seule en France. Elle a à manger, elle est à l'abri",  …,  "C'est une mineure, c'est problématique quand même, même si elle est dans de bonnes conditions"


Geneviève reviendra-t-elle à la raison ce Lundi ?,  on peut le souhaiter , plus le temps passe et plus sa situation personnelle du point de vue juridique et sociale se complique, finira-t-elle par le comprendre ?

30 décembre 2012

Italie : Coup de Théâtre de Mario Monti dénoncé par Silvio Berlusconi comme un piège

 Sylvio Berlusconi                                                           Mario Monti


Nous ne savons pas lequel des deux aura un rappel su scène c'est-à-dire  la peau de l'autre en Février 2013, l'un  "jovialissimo" redress sa cravate en souriant gibs, l'autre  reste sérieux et sévère derrière  ses lunettes, mais ce n'est pas suffisant pour départager deux hommes dans un pays où la politique procède de coups de théâtres.et règle ses comptes en coulisses. 

                                                       
Éditorial de lucienne magalie pons

Revenons un peu en arrière pour nous remémore "la politique à l'Italienne" de ces dernières semaines , une pièce qui se joue en Italie et en Europe avec en vedette des stars  politiques ( et certains figurants politiques minoritaires)  dont le talent est diversement apprécié  selon que les spectateurs trouvent  côté cour ou côté jardin, autrement dit à gauche ou à droite.



Bien sûr Berlin avait  ressenti un certain malaise à l’annonce d’un départ de Monti,  un retour de Berlusconi menacerait d’aller à l’’encontre de la volonté  allemande qui  est  d’imposer une discipline budgétaire toujours plus étroite dans la zone euro, et une certaine presse allemande en regrettant la démission de Mario Monti  dénonçait  le come-back de Berlusconi comme le risque ou le danger du  retour du scandale sur la scène politique Italienne 
Quand au ministre Allemand des Affaires Etrangères,  Guido Westerwelle , il estimait dans le même temps   selon la presse AZllemande  que  … :  «L'Italie ne doit pas s'arrêter sur la voie des réformes alors qu'elle a fait les deux tiers du chemin à parcourir. Cela plongerait non seulement l'Italie, mais aussi l'Europe dans une zone de turbulences».


Les investisseurs aussi  avaient mal réagi  lors de  l'annonce de la démission du Président du Conseil Italien, et à cette époque Mario Monti avait tenu à les rassurer. «Les marchés n'ont pas à craindre un vide politique», avait  assuré Mario Monti à Oslo, en marge de la remise du prix Nobel de la paix.

De même il s’était employé à rassurer ses homologues européens inquiets de le voir partir, ,entre autres en premier lieu  la « gracieuse » chancelière Allemande Angela Merkel, tous  inquiets de le voir partir, à l'image de la chancelière qui  maintient l’alerte sur la  crise de la  zone euro , qui pour elle est encore pré sente, alors  que pour la France elle est dejà  derrière nous , selon les circonstances..

Bon bref, Mario Monti, après avoir rassuré ses homologues a finit par démissionner en fin de semaine dernière..  et tout aussitôt il    s’est placé en éminence grise de la politique Italienne, pour bien démontrer à ses partenaires européens partisans de la rigueur et de l’austérité,  qu’il ne jetait pas le manche après la cognée, et qu’il se tenait toujours prêt avec un programme   prêt à veiller au grain de la zone euro.
Il faut aussi rappeler que le couple  « Sarkomerkel » avait « mis toute la gomme »    pour déloger Berlusconi de la Présidence Italienne, et pour inciter l’un des leurs Mario Monti à jouer un rôle de premiuer plan en Italie, et ce fût ainsi que Mario Monti se présentât   aux législatives de  …. Et depuis approiuvé notamment en  Allemagne pour ses «réformes courageuses», Mario  Monti est cité par Berlin comme un exemple pour les pays de la zone euro en difficulté, d’où un concert de  compliments  qui ne tarit pas pour le louer dans les instances européennes.
Ainsi pour ne citer qu’un exemple, le Président du Conseil Européen Herman Van Rompuy  a déclaré : «Mario Monti a été un excellent premier ministre pour l'Italie, et j'espère que les politiques qu'il a mises en œuvre se poursuivront …. Il n'y a pas d'alternative à ce que fait M. Monti»…

ll est certain que Mario Monti se sent conforté dans ses intentions par le soutien élogieux et l’ espoir   que ses pairs européens manifestent à son égard et placent en lui, pour eux l’avenir de l’Italie   et par  suite  celui de la zone euro, est entre ses mains

Si Mario Monti  présente pour eux comme l’incarnation de la stabilité en Italie et le sauveteur de la zone euro, par contre le retour éventuel de  Silvio Berlusconi se présente dans leur esprit comme un  épouvantail cauchemardesque pour l’avenir de l’Italie et la zone euro..

L’ancien chef du Gouvernement Italien Mario Monti ne pouvait pas laisser ses grands copains européens se ronger les sangs plus longtemps  et après une semaine de tractation souterraines en Italie,  il  a annoncé, au cours d’une conférence de presse  « impromptue »  à Rome,  vendredi 28 décembre, avoir accepté d'être à la tête d'une coalition centriste aux législatives des 24 et 25 février. "Je m'engagerai pour garantir le succès de cette opération", a-t-il  promis.

Cette conférence « impromptue »  est intervenue   à l'issue d'une  dernière rencontre de quatre heures avec des représentants de groupements centristes et d'organisations civiques.

L'ancien président du Conseil, qui a démissionné une semaine plus tôt, lève ainsi un peu le voile sur ses ambitions : si sa coalition remportait les législatives, il pourrait prendre la tête d'un nouveau gouvernement.

 Mario Monti a tenu aussi  à souligner qu'il n'était "pas en train de créer un nouveau parti" mais "un rassemblement pour faire travailler ensemble" les différentes forces qui soutiennent déjà son programme  "Changer l'Italie, réformer l'Europe.

Mais les commentateurs font remarquer  de leur côté que si « sa coalition » remportait les lesgislatives en février 2013, Mario Monti pourrait prendre la tête du nouveau Gouvernement en ajoutant  pour certains  qu’il  lève ainsi un peu le voile sur ses ambitions : si sa coalition remportait les législatives, il pourrait prendre la tête d'un nouveau gouvernement.


Ben voyons !  Silvio Berlusconi  plus direct  a considéré  qu’il s’agissait d’une volte face de Mario Monti et il a vivement  accusé samedi Mario Monti de faire le jeu de la gauche pour reprendre le pouvoir.

La réaction de Silvio Berlusconi ne s’est pas fait attendre :

 Samedi après-midi à la Gare Centrale de Milan,  Silvio Berlusconi   a parlé, à la gare centrale de Milan, il s’est élevé contre le   « piège »  ainsi tendu  par Mario Monti aux Italiens pour faire gagner la gauche et continuer son programme « de taxation des hauts revenus et d'économies.’

Pour  Silvio Berlusconi  il s’agit d’un piège, il a ajouté qu'il ne pensait pas que les électeurs tomberaient dans ce « piège ».

 Silvio Berlusconi  comme on le sait n’a jamais manqué ces derniers temps  d'attaquer les mesures de rigueur et les hausses d'impôts décidées par Mario  Monti  qu’il décrit comme  « « accroupi » devant l'Union européenne.

Reste que la campagne « populiste »  de Silvio Berlusconi  décrite cantonne à 15/16% des intentions de vote dans les sondages et qu’  une coalition dirigée par Mario  Monti aurait  un potentiel électoral  pouvant aller selon certaines estimations  jusqu’à  24%, ce qui en ferait le deuxième parti italien derrière la formation de centre gauche Parti démocrate, créditée d'un peu plus de 30%.

En fait Silvio Berlusconi a en gros à  rattraper  6 à 8 points pour talonner la nouvelle coalition de Mario Monti dont on ne peut à ce jour apprécier vraiment la solidité.

Les partis Italiens nous ont habitués à tellement de rebondissements  ou revirements du jour au lendemain que nous préférons voir se dérouler les évènements, comme au spectacle.

oo0oo

 Revue de Presse :
 


Mario Monti fait le jeu de la gauche, accuse Silvio Berlusconi
Le Nouvel Observateur
Silvio Berlusconi a accusé samedi Mario Monti (photo), son successeur à la tête du gouvernement italien qui briguera un nouveau mandat dans deux mois, de faire le jeu de la gauche. /Photo prise le 29 décembre 2012/REUTERS (c) Reuters. par Catherine ...
Le Nouvel Observateur
Mario Monti, qui en tant que sénateur à vie ne pourra pas briguer un siège à la Chambre des députés, a précisé qu'il était prêt à accepter "d'être nommé chef de cette coalition" qui, selon lui, pourrait obtenir un "résultat significatif" lors des ...




Le journal du Vatican apporte son soutien à Mario Monti
Le Monde
L'Osservatore romano, le quotidien du Vatican a apporté, jeudi 27 décembre, son soutien à Mario Monti, le chef du gouvernement italien démissionnaire. Le journal insiste notamment sur le choix de l'expression "montée en politique" utilisé par l'ancien ...
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Italie: Le journal du Vatican apporte son soutien à Mario Monti
AFP
CITE DU VATICAN — Le quotidien du Vatican a apporté jeudi son soutien marqué à Mario Monti en estimant que l'expression "montée en politique" choisie par ce dernier pour illustrer sa démarche est "un appel à retrouver le sens le plus noble de la ...
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Pour comprendre le présent il est utile de revenir sur le passé : voici quelques articles et éditos anciens :
La stratégie de Mario Monti pour demeurer au pouvoir
La Tribune.fr
Mario Monti semble prendre ses marques pour entrer dans l'arène électorale. Celui qui va démissionner de son poste de président du conseil italien une fois le budget voté, vraisemblablement à la fin de la semaine, multiplie les signes d'une future ...
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Italie Mario Monti : « Elisez mon programme ! »
Bien Public
Comment s'imposer au cœur d'une campagne électorale sans être candidat ? Mario Monti a donné dimanche une réponse originale : dévoiler un programme de gouvernement, déjà surnommé “l'Agenda Monti”, par rapport auquel tous les partis politiques ...
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Le président italien du Conseil Mario Monti a démissionné
RMC.fr
ROME (Reuters) - Le président du Conseil italien, Mario Monti, a démissionné vendredi après le vote du budget par le Parlement, comme il l'avait promis, après 13 mois passés à la tête du gouvernement, ouvrant la voie à des élections générales en février.
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 Pour mieux savoir ou  étaient  il y a environ   une quinzaine de jours   Mario Monti , Sylvio Berluconi et  les acteurs et partis politiques en présence, nous avons sélectionné un éditorial     de Nicolas Barré intitulé «  Le trésor de Monti », nous pensons que Nicolas Barre ne s’offusquera pas que nous reproduisions  ci-dessous son « édito » en copié/collé :
 

Le trésor de Monti

Par Nicolas Barre | 10/12 | 07:00 | mis à jour à 14:10 |
Le pire qui puisse arriver à l'Italie serait de retomber dans une crise politique qui lui ferait perdre de nouveau la confiance des investisseurs et briserait l'élan des réformes engagées par Mario Monti. Ce risque, la Botte le doit ironiquement à celui que les marchés financiers ont littéralement chassé du pouvoir en novembre 2011. Silvio Berlusconi, qui, aujourd'hui, fait éclater « l'étrange coalition » qui gouverne l'Italie, avait dû céder son siège à l'économiste Mario Monti parce que son pays était en train de perdre l'accès aux marchés de capitaux. Il laissait un Etat au bord de l'asphyxie et qui, par sa taille, menaçait de faire plonger la zone euro dans le chaos.
On sait, depuis, ce que « vaut » Mario Monti : sa crédibilité a permis de faire baisser les taux d'intérêt sur la dette italienne à long terme de plus de 250 points de base. C'est énorme. Le garrot des marchés s'est desserré. Mais ce « trésor de confiance » est précaire. Certes, les chances, ou plutôt le risque, que Silvio Berlusconi , 76 ans, revienne au pouvoir sont quasi nulles. Ayant laissé un pays en ruine il y a treize mois, les électeurs ne sont pas près de lui offrir un mandat de plus. En outre, son retour en politique, quelques semaines après avoir promis le contraire, coïncide trop commodément avec son agenda judiciaire. Condamné à quatre ans de prison pour fraude, il fait face à un autre procès pour abus de pouvoir et prostitution. Enfin, une bonne partie de son camp, au centre et à droite, ne souhaite en réalité qu'une chose : rompre avec le « berlusconisme ».
Pour discrédité qu'il soit, « il Cavaliere » soulève néanmoins de vraies questions sur la stratégie économique de l'Italie. La rigueur extrême va faire chuter la croissance de 2,3 % cette année. Le taux de chômage tourne autour de 11 % et frappe plus d'un jeune sur trois. Enfin, comme d'autres en Europe, Monti a beaucoup plus augmenté les impôts (105 milliards d'euros en deux ans) que réduit les dépenses publiques (43 milliards d'euros). Un débat existe à Rome comme ailleurs sur les limites de cette stratégie de rigueur. Débat d'ailleurs avivé par la reprise des Etats-Unis qui, eux, ont privilégié la croissance à l'assainissement des comptes publics.
A moins que Mario Monti ne décide, dans un ultime coup de théâtre, de se lancer en politique, ce sont ces défis qui attendent son successeur le plus probable : le secrétaire du parti démocrate, Pier Luigi Bersani, victorieux aux primaires du parti. Mais le plus compliqué pour cet ex-communiste sera de garder intact le « trésor de confiance » légué par Monti. Or il a une montagne à gravir et peu de temps devant lui pour atteindre le degré de crédibilité du « Professore ».
 Écrit par Nicolas BARRE
Directeur délégué de la rédaction
nbarre@lesechos.fr

 


Europe : une lueur d'espoir, dans une construction branlante, selon les médias européens

Éditorial de lucienne magalie pons


Il faut bien en fin d’année que les médias européens pour une fois au moins se montrent optimistes, d’après Euro/topics,  il  s’agit  d’une « Lueur d’espoir au terme d’une année de crise »

 Mais  pour notre part nous pensons que dès la deuxième quinzaine de JaNvier 2013  au plus tard, que les journalistes après avoir évacué les dernières vapeurs de champagne  des festivités de fin  et de début d’année cumulées,  recommenceront à faire remonter leurs  biles au vu de la politique Européenne et  qu’ils  tenteront de nous en faire ressentir l'amertume    dans leurs articles.

Tout ceci est à prendre d’où  ça vient,  nous sommes blindés pour encaisser les bonnes comme les mauvaises nouvelles depuis des décennies.

Aussi nous ne pouvons mieux faire que de vous proposer de lire, si vous le souhaitez, les  interprétations des  différents sons de  cloches européennes qui égrènent   chacun  à leur façon « une lueur d’espoir » de manière du reste assez discordante, en effet  les uns se félicitent que contre toute attente, dans une « construction branlante »   nous ayons réussi à sauver sauvé  l’euro , que la Grèce en état de quasi faillite, l’Italie   sur les rotule prête à plonger dans la faillite et l’Espagne au bord du gouffre, en proie à des manifestations violentes,  se soient finalement remis sur pied, en soulignant pour certains que les politiques de l’UE et de ces pays ont  rempli leur mission  en obtenant ce qu’ils « voulaient imposer », il est même écrit dans un article que ‘L’amour du prochain doit braver la crise » (sic), si l’amour du prochain consiste à imposer des plans d’austérité et de rigueur nous nous autorisons à dire qu’il s’agit alors d’un « amour vache » de chez Vache.

Revue de presse :
Source :
Euro|topics: Lueur d'espoir au terme d'une année de crise (28/12/2012)

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Revue de presse européenne du 28/12/2012

À LA UNE
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Lueur d'espoir au terme d'une année de crise

La Grèce reste dans l'Union monétaire, l'euro existe toujours et l'UE a forgé quelques compromis. Pour les chroniqueurs, 2012 a été une année de crise étonnamment stable, qui a su déjouer les augures les plus sombres, même si de nombreux problèmes restent irrésolus.

Wprost - Pologne
La zone euro a survécu
A plusieurs reprises en 2012, la zone euro semblait proche du naufrage et pourtant les choses se sont arrangées d'une manière ou d'une autre, résume Michał Kobosko, rédacteur en chef du magazine d'information conservateur Wprost, qui considère le parcours imprévisible de la zone euro comme le phénomène le plus étonnant de l'année : "Ce fut une année étrange. Une année qui a débuté avec des décisions hâtives, notamment parce que tout semblait facilement prévisible. Et malgré tout, de nombreux événements se sont déroulés différemment. Nous savions déjà à l'avance, d'une certaine façon, que la zone euro survivrait. Et pourtant, nous avons assisté à un thriller politique et économique insensé. La Grèce devait chuter et pourtant elle s'est relevée. L'Italie était à genoux, le Portugal devait annoncer sa faillite et l'Espagne descendait dans la rue pour manifester. Enfin, les politiques ont quand même rempli leur mission en maintenant sur pied cette construction branlante. ... Et en obtenant ce qu'ils voulaient imposer." (28.12.2012)
» informations complémentaires (lien externe, polonais)
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Tous les textes disponibles de » Michał Kobosko

Les Echos - France
La crise financière a été contenue
Le président de la BCE Mario Draghi et son homologue américain Ben Bernanke sont parvenus à contenir la crise financière en 2012, écrit le journal économique libéral Les Echos, qui estime que la politique doit maintenant faire ses devoirs et résoudre la crise économique et sociale : "Ils ont su donner une perspective crédible à des investisseurs au bord de la crise de nerfs. Ils ont ainsi pris le relais de dirigeants politiques orphelins de leur principal moyen d'action, le levier budgétaire, et empêtrés dans des problèmes de gouvernance insolubles. ... Pour autant, on aurait tort de considérer les banquiers centraux comme des magiciens. ... Les grands argentiers n'ont pas le pouvoir de réparer le moteur économique, ils peuvent seulement y injecter du carburant pour qu'ils ne tombent pas en panne sèche. En clair, la fin de la crise sur les marchés ne signifie pas que les temps difficiles sont derrière nous, mais que nous avons un peu plus de temps pour les affronter. Aux politiques d'en faire bon usage pour mener à bien les réformes qui s'imposent et retrouver leur crédit perdu." (28.12.2012)

Imerisia - Grèce
Léger optimisme en Grèce
Malgré toutes les prévisions qui tablaient sur une sortie de la Grèce de la zone euro en 2012, le pays est parvenu à rester à flots, analyse le journal économique de centre-gauche Imerisia : "Même au cours de cette nouvelle année, nous ne nous laisserons pas abattre, même si la plupart des citoyens ont beaucoup souffert. La Grèce reste membre de la zone euro et les puissants d'Europe montrent leur solidarité de différentes façons. … Il est certain qu'une période difficile attend les citoyens grecs. À partir des premiers jours de la nouvelle année, ils assisteront à la baisse de leurs revenus et à l'augmentation du nombre de chômeurs. Mais il y a un changement sur le plan psychologique : le versement de la prochaine tranche de crédit et les décisions claires du gouvernement créent un autre climat. On n'a pas résolu le problème de l'économie grecque, mais après plusieurs années de récession, on peut certainement distinguer quelques légers signes d'optimisme." (27.12.2012)
» article intégral (lien externe, grec)
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Tous les textes disponibles de » Thanasis Papadis
Suivre les débats » La Grèce noyée sous l’austérité

Spiegel Online - Allemagne
La croissance prime désormais sur l'inflation
Le nouveau Premier ministre japonais Shinzo Abe est la personne de l'année 2012 car il a su placer la croissance de l'économie avant la lutte contre l'inflation, estime Wolfgang Münchau sur le site d'information Spiegel Online : "Si l'on porte à l'avenir un regard rétrospectif sur 2012, on constatera que le grand évènement n'aura pas été le troisième anniversaire de la crise de l'euro mais la réorientation la plus radicale de la politique économique de notre génération. … Le fait que l'on se soit détourné du principe de la stabilité des prix, que l'on considérait auparavant comme l'objectif principal de la politique monétaire. … Si la croissance nominale augmente, alors que le taux d'endettement diminue. Avec une croissance zéro et une inflation nulle, le taux d'endettement ne diminue pas. C'est le problème du Japon et aussi celui des pays d'Europe méridionale. Ils n'échappent à la dette ni par la croissance ni par l'inflation. D'où l'idée que les banques centrales privilégient l'objectif de la croissance nominale à celui de la stabilité des prix. … Il est toutefois d'une importance cruciale que le consensus politique change dans l'un des plus grands et plus importants pays industriels de la planète. Cela s'est produit au Japon, et je crois y distinguer une tendance mondiale. C'est pourquoi j'ai choisi Abe, car celui-ci incarne le plus fortement cette tendance." (28.12.2012)
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Cinco Días - Espagne
Plus de pauvreté et moins de démocratie pour les Espagnols
Pour les Espagnols, la crise économique s'est aggravée en 2012. Les conservateurs du Parti populaire au pouvoir depuis un peu plus d'un an attisent les conflits dans la société, estime le journal économique de centre-gauche Cinco Días : "L'Espagne a toujours été un pays avec un chômage structurel relativement élevé et une faible productivité, de telle sorte que les produits, en dépit de bas salaires à l'échelle européenne, n'ont jamais été vraiment compétitifs. Vis-à-vis de la crise économique internationale, sans la possibilité de dévaluer la monnaie, on a réagi avec la plus simple des réponses : la réduction des salaires, l'augmentation de tous les impôts et une cure d'austérité qui, en raison de l'idéologie de ce gouvernement, s'est accompagnée de fortes atteintes aux droits civiques. … Si le gouvernement s'obstine à suivre sa position absolutiste et vaniteuse, il ne fera qu'attiser un peu plus la grogne sociale et installer dans la durée des mouvements de protestation. Il sera le seul responsable des conséquences." (28.12.2012)

Neue Zürcher Zeitung - Suisse
Les grandes puissances se défilent
Les grandes puissances de la planète ont été nombrilistes en 2012, commente l'essayiste Ulrich Speck dans le quotidien libéral-conservateur Neue Zürcher Zeitung. Difficile de dire quel pays sera garant de la sécurité internationale à l'avenir : "2012 a été l'année du report des grandes questions de notre temps. L'UE a trébuché de sommet en sommet ; la Grèce reste dans l'UE et l'euro existera encore en 2013. Aux Etats-Unis, tout le monde s'est concentré sur les élections présidentielles ; Washington a plutôt été passive sur le plan international. … Pour les administrations européenne, américaine et chinoise, le mot d'ordre a été : ne pas faire de faux pas. … La question qui continuera de nous préoccuper en 2013 et au-delà est donc la suivante : qui sera capable de préserver l'ordre dans le village mondial et disposé à le faire ? L'Amérique, garante de l'ordre libéral international depuis 1945, ne peut plus et ne veut plus le faire seule. L'Europe ne fait pas le poids sur la scène internationale. Les gouvernements russe et chinois ne semblent absolument pas disposés à dépasser des intérêts nationaux très étroitement définis pour assumer une responsabilité globale." (27.12.2012)
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Elsevier - Pays-Bas
Un bon Européen doit penser national
Au regard des conflits auxquels les Etats membres de l'UE ont été confrontés dans la gestion de la crise, le blog UE du magazine ultraconservateur Elsevier recommande de faire preuve d'un égoïsme sain : "Les diplomates des grands pays comme l'Allemagne, la France et la Grande-Bretagne peuvent jouer à un jeu plus subtil que celui de l'Espagne ou de la Pologne, en raison de leur statut de superpuissance. Surtout les Français, qui sont très raffinés dans leur manière d'imposer leur volonté. ... Mais ce que les autres Européens trouvent tout à fait normal suscite un sentiment de gêne pour de nombreux Néerlandais. Ils pensent qu'il vaudrait mieux qu'à Bruxelles, les pays membres soient plus disposés à faire des compromis. Sinon, cela signifie que l'on est anti-européen, impoli ou que l'on se comporte comme un provincial ou un 'nationaliste'. ... Mais si l'on est disposé à faire des sacrifices et que l'on se montre docile comme un bon chien, on parvient juste à se faire dépouiller à Bruxelles. ... Pour réussir à Bruxelles, il faut agir en tant que représentant des intérêts de son propre pays et de ses propres citoyens." (22.12.2012)
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Mladina - Slovénie
La vitalité retrouvée des Slovènes
2012 est l'année au cours de laquelle le peuple slovène a retrouvé sa vitalité, résume l'hebdomadaire de gauche Mladina. Selon la revue, l'actuelle vague de protestation a montré le retour du plaisir dans le pays : "Les gens qui descendent dans la rue aiment protester, se révolter. Ils savourent leur confiance en eux, la coopération, le potentiel de la démocratie. Ils se réjouissent de leurs banderoles et de leurs revendications, de leur activisme, de leurs initiatives, et de la vitalité de leurs manifestations. Ce sont des gens qui sont contents de faire partie du peuple défiant et d'un rassemblement citoyen. … Ce sont des gens qui sont heureux d'être plus heureux que l'élite politique et qui sont en mesure de s'imaginer que cette élite commence à s'inquiéter. … Le message des protestations est clair : nous en avons assez de cette élite politique, pour laquelle l'avenir, les alternatives, et tout ce qui ne représente pas une version idéalisée de ce qui existe déjà, ne peuvent être que catastrophiques." (28.12.2012)
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Tous les textes disponibles de » Marcel Stefancic



Salzburger Nachrichten - Autriche
L'Autriche est moins corrompue
Les grands procès pour corruption ont dominé la vie politique autrichienne en 2012. Les citoyens doivent toutefois se garder de réagir en boudant la politique dans une année 2013 riche en élections, car l'élucidation des scandales progresse, écrit le quotidien chrétien-libéral Salzburger Nachrichten : "Si en cette fin d'année on passe une nouvelle fois en revue les pages politiques et judiciaires de l'année écoulée, une impression insistante se confirme : il n'y a jamais eu autant de corruption. Cela a pour conséquence la grogne de l'opinion publique, et le plébiscite immédiat de tout nouvel acteur gagnant la scène politique, même si celui-ci s'appelle Franck Stronach. C'est avec cette situation que commence l'année électorale 2013. Il y a pourtant des motifs d'optimisme. Car dans l'élucidation de la corruption, l'Autriche est peut-être déjà plus avancée qu'on ne le dit. … Les partis doivent ouvrir leurs comptes. L'Autriche est devenue plus propre." (28.12.2012)
» article intégral (lien externe, allemand)
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Tous les textes disponibles de » Andreas Koller

Dilema Veche - Roumanie
Pas d'amélioration en 2013 pour la Roumanie
En Roumanie, le président Traian Băsescu et le Premier ministre Victor Ponta, ainsi que leurs partisans respectifs, se livrent depuis cet été à une lutte de pouvoir acharnée. Pour le pays à la dérive, l'année 2012 est une année perdue et 2013 ne sera pas meilleure, estime l'hebdomadaire Dilema Veche : "Le nouveau gouvernement devrait se mettre au travail … et les citoyens devraient remarquer que le calme est revenu dans leur vie, et que la télévision n'annonce pas des catastrophes et des tentatives de coup d'état chaque jour. Je doute néanmoins que cela se passe ainsi. … Nos dirigeants n'ont qu'une chose en tête : ils ne veulent pas avoir à rendre de comptes sur le plan juridique, ils veulent se partager les recettes fiscales et se délecter du pouvoir. Ils iront même jusqu'à oublier leur frustration à l'égard du président Traian Băsescu - celle qui fut leur moteur sur le plan politique au cours des années précédentes. … Et même Băsescu voudra s'immiscer, plutôt que d'agir de manière conciliante, comme la constitution le lui impose." (28.12.2012)
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Tous les textes disponibles de » Mircea Vasilescu


L'amour du prochain doit braver la crise
Peur, inquiétude et égoïsme ont marqué la vie des Bulgares en 2012, résume le quotidien Trud, qui réclame plus d'amour de son prochain pour l'année à venir : "La peur refoulée, l'inquiétude et le doute ont rendu la société bulgare plus agressive. Nous avons vécu en vase clos et perdu la compassion. La peur a détrôné l'amour du prochain, cette envie naturelle d'aider quelqu'un dans le besoin. … C'est pourquoi nous devrions faire en sorte, l'année prochaine, d'être plus attentifs aux autres et de toujours trouver la force d'accorder un sourire, de tendre une main secourable, car c'est fondamental. Peu importe qu'on soit plus pauvre ou plus riche en 2013, nous devons réussir à balayer la peur et la haine de notre cœur, pour céder la place à nouveau au bon qui est en chacun de nous. Que l'économie se porte mieux en 2013 ou pas, les clés pour une vie meilleure se trouvent dans nos âmes. Que 2013 soit l'année de la raison et du bien !" (20.12.2012)
» article intégral (lien externe, bulgare)

INFORMATIONS IMPORTANTES POUR MES LECTRICES ET LECTEURS

Éditorial de lucienne magalie pons Information: J'ai quelques petits soucis de santé en ce moment et je reprendrai mes publications aprè...