Actualités
du Front National - autre sujet - :
La
Présidente et le Vice-président
du Front National ont publié sur le site du Front National chacun un communiqué
de Presse aux termes desquels ils font connaître leur réaction sur le discours prononcé par François Hollande lors de sa récente visite d’Etat
à Alger.
Nous
avons lu d’autres réactions dans la presse provenant d’autres personnalités
appartenant à d’autres partis, à notre connaissance aucun d’entre eux n’a souligné,
comme le fait Marine Le Pen que la
France …. « affaiblit
considérablement son économie en faisant de l’Algérie et du Maghreb une terre
de délocalisations de son industrie et de ses services »
Par ailleurs, La Présidente du Front
national écrit en final de son communiqué : « On s’étonnera enfin que
le président Hollande n’ait pas évoqué la dette de 600 millions d’euros de la
sécurité sociale algérienne envers la
France, alors que notre système de santé est en quasi
faillite ».
Nous estimons que Marine Le Pen proteste à juste titre
contre ces délocalisations et enfin concernant la dette de 600 millions d’euros
de l’Algérie envers la sécurité sociale, dont personne ne parle, c’est une
information qui ne laissera pas indifférents bon nombre de Français qui n’ont
plus les moyens de se soigner en raison de la faiblesse des remboursements,
notamment en ce qui concerne les soins dentaires, l’ophtalmologie et l’optique,
de même les maladies auditives.
Nous
vous invitons à lire ci-dessous, si vous le souhaitez, les deux communiqués que nous avons
copié/collé :
Source :
- Site du Front national - :
Discours
de François Hollande à Alger : la France triplement condamnée
Communiqués / 20 décembre
2012 / Mots-clefs :Algérie,
Hollande /
Communiqué de Presse de Marine Le Pen,
Présidente du Front National
Le
discours de François Hollande à Alger pose les bases d’un avenir extrêmement
malsain entre la France
et l’Algérie.
Il
condamne triplement notre pays, l’abaissant encore un peu plus sur la voie de
la repentance d’abord, de l’immigration massive ensuite et des délocalisations
enfin.
Si
François Hollande se défend de tomber dans la repentance, c’était pourtant
l’exacte tonalité de son discours, un discours qui a revisité l’histoire dans
le sens d’une violente charge contre la France. Rien sur les aspects positifs de la
colonisation, rien non plus sur les crimes algériens contre les Harkis, mais
une nouvelle dépréciation systématique de notre pays, de notre histoire et de
notre peuple.
Parce que
nous nous montrons faibles face au pouvoir algérien, les prochaines
revendications ne tarderont pas, et très vite il sera demandé à la France des excuses
officielles. La France
doit au contraire se tourner vers l’avenir et regarder avec lucidité mais
fierté son passé.
En matière
d’immigration, François Hollande veut encore accélérer la course aux visas,
alors que 200 000 sont déjà accordés chaque année par l’ambassade de France à
Alger !
C’est pure
folie que de vouloir aggraver encore cette politique scandaleuse, alors que la France est engluée dans la
crise et le chômage, alors que l’assimilation est en panne, alors que l’Algérie
a besoin de fixer sa jeunesse sur place pour assurer son développement.
L’immigration vers la France
doit cesser.
Sur
l’économie enfin, la France
trahit ses ouvriers, ses salariés du secteur tertiaire et affaiblit
considérablement son économie en faisant de l’Algérie et du Maghreb une terre
de délocalisations de son industrie et de ses services. Les récentes
initiatives de François Hollande, dans la lignée de l’UMP, vont sans ambiguïté
dans ce sens, en témoigne par exemple l’inauguration d’une usine Renault à
Oran. La France
doit au contraire redevenir une terre de production.
On
s’étonnera enfin que le président Hollande n’ait pas évoqué la dette de 600
millions d’euros de la sécurité sociale algérienne envers la France, alors que notre
système de santé est en quasi faillite.
Communiqués
/ 20 décembre 2012 / Mots-clefs :Algérie, Hollande /
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Communiqué
de Presse de Louis Aliot, Vice-président du Front National
Visite d’Etat de
François en Algérie : la France
n’a pas à s’excuser !
Le
Président de la République
devant un parlement algérien très peu démocratique a, sous couvert de vérité,
revisité l’histoire et condamné implicitement la France.
Comble de
la honte, le président socialiste n’a pas eu un mot pour l’abandon et les
crimes commis à l’encontre des harkis et des pieds-noirs par les amis de
monsieur Bouteflika.
Cette
attitude indigne est une insulte à la mémoire nationale et à l’honneur du
peuple français.
François
Hollande a démontré par ce geste de soumission, qu’il a agit en idéologue
socialiste et non en Président de la République Française.