25 octobre 2013

Bachar El Assad : entretien avec le Directeur de la chaîne Al-Mayadeen (vidéo et traduction )

Éditorial de lucienne magalie pons

Information à la source :

Bachar Al-Assad, Président de la République Arabe Syrienne au cour de cet entretien  a répondu à toutes les questions qui lui ont été posées sur la situation de son pays , dans le contexte international.

- La première vidéo que  nous publions ci-dessous est la première partie de cette émission qui a été diffusée dans la soirée le 21 Octobre  2013 , reprise par You Tube 

-  La seconde vidéo est la  deuxième partie

Par ailleurs,  la traduction  en français de certains points essentiels abordés dans la première partie de l'entretien, réalisée par Mouna Alno-Nakhal,  figure sur le Site "Mondialisation.ca - Centre de recherche sur la mondialisation"

Nous publions cette traduction à la suite des deux vidéos ( nous ne disposons pas pour le moment  de la traduction de la deuxième partie) 


Publiée le 21 oct. 2013
President Al-Assad's interview with Al Mayadeen Tv‎ - (Part 1) - 21 October 2013.
de  Source : vidéo / Présidence de la République arabe syrienne
Publiée le 21 oct. 2013
President Al-Assad's interview with Al Mayadeen Tv‎ - (Part 1) - 21 October 2013.




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Traduction de la première partie  de l'émission

Le Président syrien a accordé une longue entrevue d’environ 2 heures à la chaîne Al-Mayadeen dans la soirée du 21 Octobre. Il a été interrogé par son Directeur, M. Ghassan Ben Jedo. Voici la traduction de certains points essentiels abordés dans la première partie, en réponse aux questions posées.
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Ce qui s’est passé en Syrie est complètement différent de ce qui a eu lieu en Tunisie ou en Égypte, ne serait-ce que par la férocité de la guerre médiatique, par l’afflux de terroristes venus des quatre coins de la planète toujours soutenus financièrement et militairement, par la coalition de pays occidentaux et régionaux pour porter atteinte à son État… La crise syrienne est passée par des étapes. La première fut celle des manifestations où des individus armés ont tiré sur des manifestants et des forces de police. Ce n’est que six mois après, et alors que ces individus n’avaient pas réussi à « renverser le régime », que s’est concrétisée l’idée de créer et de renforcer les bandes armées terroristes venues de l’étranger. Actuellement nous sommes confrontés à Al-Qaïda et à ses multiples ramifications telles que l’État islamique en Irak et au Levant [EIIL], le Front Al-Nosra, etc. Nous sommes donc en état de guerre contre des terroristes.
Il est normal que différents courants d’opposition existent en Syrie. Mais l’opposition repose sur une formation politique interne qui a une base populaire et un programme politique clair. Elle ne peut dépendre de l’étranger, ni avoir recours à des mercenaires armés, et doit refuser toutes les formes  d’interventions étrangères politique ou militaire ; auquel cas elle relève de l’insurrection armée ou du terrorisme.
Il est évident que l’ingérence de l’extérieur s’appuie sur un dysfonctionnement intérieur. Si tel n’était pas le cas nous n’en serions pas là. C’est pourquoi il est essentiel que nous parlions de notre propre responsabilité en tant que Syriens, car lorsque vous ouvrez votre porte aux voleurs vous êtes quelque part responsables de ce qui vous arrive.
Nombre de propositions ont été avancées au nom de l’opposition et de la réforme, mais vous devez distinguer entre celles qui cherchent sincèrement à réformer et celles qui obéissent à d’autres objectifs inavoués.
Il est de notoriété publique que la Syrie subit des  pressions et des menaces depuis des décennies, y inclus la période qualifiée d’« ouverture à l’Occident », et qu’elle est ciblée à cause de ses prises de position stratégiques – connues de tous – par des pays qui ne possèdent aucun  des attributs de la démocratie.
Dire que la Syrie vit dans un environnement laïc n’implique pas que nous niions l’existence de foyers extrémistes préexistants sur le terrain, mais ces foyers ont considérablement évolué depuis les guerres contre l’Afghanistan et l’Irak. Nous nous sommes opposés à ces guerres en prévenant qu’elles mèneraient à la propagation de ces foyers – encore circonscrits – dans toute la région. La crise syrienne est venue leur servir d’incubateur de croissance.
Les guerres US ont contribué à l’expansion du terrorisme
Suite aux opérations terroristes des Frères Musulmans en Syrie – dans les années 1970 et 1980 – nous avions soulevé la question de la lutte contre le terrorisme, mais personne n’avait voulu en tenir compte. Il n’empêche que lorsque le monde a commencé à s’inquiéter du terrorisme nous n’avons pas hésité à nous allier avec tous les pays qui ont décidé de le combattre, y compris les États-Unis, sans pour autant être en parfait accord avec les moyens mis en œuvre pour ce faire. Ceci, car les États-Unis traitent la guerre contre le terrorisme comme s’il s’agissait d’un  jeu vidéo sur ordinateur : vous frappez l’ennemi dès qu’il se pointe sur votre écran et dix autres apparaissent… L’approche devrait être nécessairement plus globale.
Lorsque vous soutenez le chaos, vous soutenez le terrorisme. Lorsque vous attaquez un État qui combat le terrorisme, vous créez les conditions favorables à l’épanouissement des groupes terroristes. C’est le cas de la politique des USA, de certains pays européens et aussi de certains pays arabes et régionaux. Ils ont contribué intentionnellement ou non à amener Al-Qaïda en Syrie.
Vous me demandez si nous sommes prêts à coopérer avec les États- Unis. Ce n’est pas exclu à partir du moment où nous pouvons travailler dans le cadre de nos intérêts réciproques. Mais l’administration US est fondamentalement égoïste et ne coopère avec quiconque que dans la perspective de ses propres intérêts. Une fois son but atteint, vous n’êtes plus rien. C’est l’évidence même compte tenu de ses relations avec ses ex-alliés comme, par exemple, Pervez Musharraf ou le Shah d’Iran… Par conséquent, celui qui parle de la loyauté de cette administration est dans l’illusion, et ce qui est encore plus illusoire est de penser qu’elle pourrait se soucier  des intérêts des États arabes.
Certes, les États-Unis sont une superpuissance qui influe sur le cours des évènements dans le monde. Coopérer avec eux sur la base d’intérêts communs est normal, mais il est excessivement dangereux de travailler à servir leurs seuls intérêts, et c’est ce qu’ils finissent par exiger.
Nous avons clairement dit et répété que nous n’utilisons pas le terrorisme pour servir nos intérêts pour la bonne raison que nous le considérons comme une bête venimeuse qui finit par vous mordre la peau, une fois que vous l’avez mise dans votre poche. Non, nous n’avons jamais soutenu le terrorisme. Oui, nous nous sommes opposés à la guerre contre l’Irak, mais nous n’y avons pas soutenu les terroristes comme certains le prétendent. La Syrie leur servait de couloir de passage après la traversée clandestine de nos frontières. Nous avons travaillé à les en empêcher mais nous n’avons pas totalement réussi. Et c’est ainsi que le terrorisme s’est vite dirigé vers la Syrie dès le début de la crise. Nous sommes parfaitement conscients que le combat contre le terrorisme n’est pas uniquement une affaire de frontières, mais se mène à l’intérieur du pays aussi bien en Syrie qu’en Irak.
De la guerre du Koweit à la guerre de l’Irak
En Irak, la Résistance est une chose et le Terrorisme en est une autre. Nous constatons que les terroristes d’Al-Qaïda n’y ont jamais mené une seule opération contre les États-Unis et que toutes leurs opérations sont toujours de nature sectaire. C’est la Résistance irakienne qui a lutté contre l’occupation US et c’est elle que nous avons « politiquement » soutenue, sans qu’elle ne nous en demande plus.
Les États-Unis ont tenté de pousser la Syrie à être partie prenante de leur campagne contre l’Irak, usant du bâton et de la carotte. Au minimum, ils ont exigé notre silence, notre position ayant été très claire au sommet de Charm el-Cheikh en Mars 2003, sommet manifestement organisé pour créer une atmosphère propice à leur guerre programmée contre ce pays. Par la suite, la Syrie a dû payer le prix de son opposition à cette guerre.
Alors que les Arabes témoignaient de leur allégeance aux États-Unis, Colin Powell est venu nous trouver pour s’enorgueillir de la manière dont les USA étaient entrés en Irak en quelques semaines et nous exposer la « Loi » censée demander des comptes à la Syrie ; cette Syrie qui n’avait plus un seul ami en ce monde, mise à part cette visite dont il nous gratifiait ! Mais pour autant, nous devions répondre à plusieurs demandes :
  • La première : expulser de Syrie toutes les factions palestiniennes vers n’importe où dans le monde. Nous lui avions répondu que lorsque nous expulsons une personne c’est pour la rapatrier et que dans ce cas précis il faudrait qu’il nous dise si le rapatriement était possible.
  • La deuxième : cesser toute relation avec le Hezbollah et toute forme de soutien à la Résistance libanaise.
  • La troisième, et c’était la plus dangereuse : refuser l’entrée en Syrie à tous les talents scientifiques irakiens, ce qui explique les opérations d’assassinats qui ont visé de nombreux scientifiques en Irak, alors que la Syrie les a accueillis et leur a créé des postes dans ses universités.
Ensuite, il nous a été proposé que les États-Unis lancent le « processus de paix ». Nous avons rappelé que la Syrie avait déjà entendu ce discours lorsqu’elle a participé à la guerre de libération du Koweït et qu’ils se sont dérobés à leurs obligations. Par conséquent, nous considérons que toute promesse des États-Unis est illusoire, car ils n’ont jamais rien fait pour la réussite du processus de paix.
La politique syrienne est celle de ses institutions et reflète les intérêts du peuple syrien. En tant qu’État arabe, nous avons toujours été confrontés à un ensemble de mauvais choix, notre politique consistant à opter pour le moins mauvais. Ce faisant, nous ne nous opposions pas aux intérêts des États-Unis mais nous défendions nos propres intérêts ; notamment dans la phase de la guerre contre l’Irak, que nous avions jugé potentiellement annonciatrice de la propagation du terrorisme et de la partition du pays avec évidemment des effets néfastes sur la Syrie..
Le Président Hafez al-Assad n’a pas coopéré avec les États-Unis au Koweït pour les soutenir alors qu’ils avaient juste besoin d’une couverture arabe, mais pour la libération du Koweït. Sa position était claire, fondée sur l’idée qu’il n’est pas possible qu’un pays arabe occupe un autre pays arabe et qu’il ne fallait pas compromettre les relations futures entre eux.
La coopération avec les États-Unis
Nous avons, nous-mêmes, coopéré avec les services de renseignement des USA dans la lutte contre le terrorisme conformément à nos intérêts. Nous avons aussi coopéré au processus de paix à l’échelon ministériel. La politique syrienne est souple et le fait de défendre ses intérêts légitimes ne signifie pas entêtement.
Le Président Jacques Chirac
Après l’entrée des forces américaines à Bagdad et étant donné que le monde témoignait de son allégeance aux États-Unis, M. Jacques Chirac a estimé que le moment était venu de modifier sa politique à leur égard. Pensant disposer de la carte syrienne, il nous a rendu visite pour nous informer que le Président Bush avait dit que j’étais un « malfaisant » et qu’il fallait que la Syrie et le Président syrien pensent à se protéger de sa grande colère. Ceci dit, il nous a demandé de coopérer au processus de paix avant de nous soumettre « la feuille de route » correspondante. Nous n’avions répondu ni positivement ni négativement ; entre autre, au motif que cette feuille de route ne mettait l’accent que sur le volet palestinien alors que nous étions concernés par la libération du Golan et donc par le « volet syrien ». Suite à notre non-réponse, M. Jacques Chirac a changé radicalement la politique française et a commencé à agir contre la Syrie dès 2004. En accord avec Georges Bush, il a travaillé à faire pression sur la Syrie et à la résolution onusienne pour le retrait de la Syrie du Liban [Résolution 1559] et à tous les événements visant l’État syrien qui ont suivi.
Les débuts de la guerre ouverte
Des armes circulaient en Syrie depuis la guerre en Irak et ont été utilisées dès les premiers jours des événements. Beaucoup d’innocents sont tombés pendant les six premiers mois, mais ce n’est qu’une fois que les images d’individus armés ont commencé à être publiées que la guerre est devenue ouverte. Les Frères Musulmans ont fini par reconnaître que tout ceci était arrivé avec la coopération de l’étranger. Pendant deux années, le Qatar a soutenu et financé les « bandes armées », tandis que la Turquie s’est chargée de leur logistique. Depuis, c’est l’Arabie saoudite qui est entrée en ligne et tout dernièrement la Jordanie.
Les Frères Musulmans
L’une des causes de ce à quoi nous assistons aujourd’hui vient du dérèglement de la relation entre l’arabité et l’Islam. Les premiers à avoir créé cette brèche, dans les années cinquante, sont les Frères Musulmans. Le travail pour la propagation de la foi est important, mais doit être séparé des concepts de l’État et de la politique.
En Syrie existe une opposition syrienne qui s’exprime publiquement sans être poursuivie. Les poursuites concernent essentiellement certains éléments des Frères Musulmans, lesquels sont considérés par la Loi syrienne et l’État syrien comme une organisation terroriste devenue encore plus terroriste que jamais. Nous avons déjà dialogué avec eux suite aux événements des années quatre-vingt, ils ont prouvé qu’ils ne sont pas honnêtes. Malgré cela, nous avons poursuivi le dialogue avec certains d’entre eux, qui sont maintenant délivrés de leur emprise politique. Par conséquent, nous n’avons aucun problème pour dialoguer avec n’importe quelle organisation qui dépose les armes, qui cesse d’acheminer des éléments armés vers notre territoire, et qui arrête de conspirer avec l’étranger.
Depuis les années cinquante, notre expérience des Frères musulmans est une succession interminable de terrorisme. Elle est à ajouter à un autre aspect purement juridique qui interdit les partis fondés sur des bases religieuses ou ethniques, ceci pour des raisons liées à la diversité du peuple syrien. Une vision comparable à celle des Frères Musulmans pourrait tout simplement mener à la dislocation de la Syrie.
Les prétendues désertions de masse
Parler de « désertion » suppose que les désertions aient concerné des institutions, ce qui n’est pas le cas. Il s’agit plutôt d’individus qui ont pris la fuite. Nous pensons que beaucoup ont fui en situation de peur ou à cause des menaces. D’ailleurs, un grand nombre d’entre eux ont décidé de revenir et nous les avons accueillis favorablement. Certains ont repris leur travail au sein des institutions étatiques, d’autres ont rejoint l’Armée nationale, d’autres se sont contentés de l’aider sans s’engager sur le terrain, et d’autres sont tombés sur le champ d’honneur. Tous ceux-là n’ont donc plus eu peur pour leur propre vie.
L’Initiative russe
Concernant « l’Initiative russe pour le désarmement chimique » et la prétendue « panique » qui nous aurait poussé à l’accepter avec « précipitation », le délai entre la déclaration de John Kerry et celle du ministre syrien des Affaires étrangères était d’une heure au grand maximum ; ce qui signifie que l’initiative avait été préparée à l’avance. Il n’y a donc pas de quoi broder sur notre précipitation. Comment aurais-je pu prendre la décision d’accepter les termes d’une telle initiative sur un sujet aussi important et aussi stratégique en si peu de temps et alors qu’un grand nombre de diplomates syriens étaient à l’étranger ? Ce, d’autant plus que John Kerry nous a offert une semaine de délai et que nous aurions pu nous accorder quelques jours de réflexion… C’est plutôt la manière dont John Kerry a abordé le problème qui suggère qu’il ne s’attendait pas à ce que la Syrie accepte l’Initiative russe et qu’il était loin d’imaginer que nous l’avions étudiée et qu’elle avait été préparée bien avant la date de son annonce.
Dire que c’est la solution chimique qui a fait que  les États-Unis ont annulé leur guerre dénote une naïveté ou une étroitesse de vue, parce que les États-Unis sont un État agressif qui peut tous les jours inventer n’importe que prétexte pour justifier la guerre ; comme cela s’est passé pour l’Irak avec Colin Powell et son gros mensonge sur les armes de destruction massive. Autrement dit, si jamais vous pensiez sauver votre peau en acceptant cette initiative, sachez que rien n’empêche les États-Unis de vous inventer un autre prétexte pour relancer les préparatifs de guerre à un quelconque moment plus tard.
Par ailleurs, moins d’une quinzaine de jours avant l’Initiative russe, des amis nous avaient informés de la date et de l’heure précise d’une attaque qui devait avoir lieu le lendemain matin. Nous nous sommes préparés, mais elle n’a pas eu lieu ! Preuve supplémentaire, s’il en fallait, que si nous devions paniquer c’est avant l’annonce de cette initiative plutôt qu’après.
Enfin,  la Syrie a interrompu la production d’armes chimiques en 1997. Depuis, elle était prête à abandonner ce type d’armement, mais a gardé cette carte pour le moment opportun. Ce moment est arrivé !
La Conférence de Genève 2
À l’heure actuelle, nous n’avons pas de date officielle de l’éventuelle tenue de cette conférence et il n’y a pas de facteurs qui pourraient aider à sa réussite, si nous voulons qu’elle réussisse ! Beaucoup de questions restent en suspens. Quelles seront les forces en présence ? Quelle est leur relation avec le peuple syrien pour que nous puissions discuter ensemble ? Représentent-elles le peuple syrien, une partie du peuple syrien, ou bien la force qui les a fabriquées ? Ont-elles des bases électorales claires en Syrie ? Comment se peut-il que certaines forces prétendent représenter le peuple syrien alors qu’elles vivent à l’étranger et disent contrôler 70 % du territoire syrien sans oser se rendre en Syrie ? La solution doit être une solution syrienne et non la solution étrangère d’une question syrienne. Il nous faut donc connaître les composantes de cette conférence avant d’émettre des réserves sur sa réussite ou son échec.
La solution devra être syrienne et être acceptée par le peuple syrien, que l’étranger l’accepte ou la refuse. De même, la reconnaissance des représentants du peuple syrien, à cette conférence, revient au peuple lui-même. Autrement dit, toute reconnaissance venue de l’étranger ne nous concerne pas. La question ne revient pas à se demander si la conférence aura ou n’aura pas lieu. La question fondamentale est de savoir si cette conférence peut réussir au cas où elle aurait lieu. La Syrie y participera sans conditions lorsqu’elle se tiendra.
Par ailleurs, si cette conférence comporte des décisions débouchant sur l’arrêt du financement des terroristes, le problème syrien sera résolu. À partir du moment où les terroristes ne seront plus fournis en armes et en argent et ne seront plus aidés pour rejoindre le territoire syrien, il n’y aura plus de problème pour résoudre la question syrienne qui n’est pas aussi compliquée qu’on le prétend. Les complications  viennent de l’extérieur de la Syrie, non de l’intérieur. Les complications viennent d’une ingérence étrangère qui nourrit le feu de l’incendie.
M. Lakhdar Brahimi
Ce que nous attendons de M. Brahimi est qu’il se contente de rester dans le cadre de sa mission de médiateur, nécessairement neutre, dans une situation de dialogue entre différentes forces qui se battent sur le terrain sans se charger de missions dictées par d’autres États. Ses deux premières visites en Syrie n’ont pas dépassé le cadre du dialogue et non, il ne m’a fait aucune offre. En revanche, lors de sa troisième visite fin 2012, il a tenté de me convaincre qu’il était nécessaire que je ne me présente pas aux élections présidentielles de 2014. Ma réponse fut très claire : c’est une question qui concerne les Syriens et qui n’admet aucune discussion avec un non-Syrien ! Maintenant puisque vous me demandez si son initiative était dictée de l’étranger, je vous réponds que c’est à lui qu’il faudrait poser cette question.
Ceci dit, votre supposition n’est pas improbable étant donné que les États-Unis et d’autres États ennemis de la Syrie formulent toujours l’idée qui veut que je ne sois pas candidat aux prochaines élections. C’est en effet une étonnante coïncidence que M. Brahimi avance les mêmes propositions mises en avant par ces États… Nous espérons que lors de sa prochaine visite que vous venez d’évoquer, il ne dépassera pas les limites de sa mission.
Dr Bachar al-Assad
Président de la République arabe syrienne
21/10/ 2013
Source : vidéo / Présidence de la République arabe syrienne
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=OZJrJruufVk
Traduction : Mouna Alno-Nakhal

Bruno Goolnish a remporté une première victoire au Parlement européen contre le rapport Estrala

Éditorial de lucienne magalie pons

Le rapport Estrela  qui porte sur "les droits génésiques et sexuels, dont nous n'entendons pratiquement pas parler en France, vient d'être renvoyé  en comiiison lors de la réunion pleinière du Parlement Européen , au grand dam des parlementaires européens  qui prêchent  notamment pour l'avortement libre et la théorie des genres.


Bruno Gollnisch,  Député Européen, Conseiller Régional de Rhône-Alpes , membre du bureau politique et membre de droit du comité central du Front National , dans un entretien publié sur son blog revient  sur la réunion plénière du Parlement Européen  et sur les sujets de l'actualité parlementaire Européenne, notamment sur sa résistance au  rapport Estrela qui vient d'être renvoyé en commission grâce notamment à la résistance qu'il lui a opposé et qui a réussie , il  explique aussi les raisons de sa résistance sur d'autres sujets, notamment   :

- résistance nécessaire : la soumission aux Etats-Unis et l'apathie devant les menées de la NSA doivent cesser!
- résistance légitime : l'austérité imposée aux peuples européens par les « organisateurs de gala de charité » bruxellois est honteuse!
- résistance capitale : contre les immigrations, « négriers des temps modernes », le front du refus des « indigènes »!
 

 Nous estimons devoir faire place à cet entretien qui nous éclaire sur des sujets qui nous concerne tous :


 Source de la vidéo  - Blog de Bruno Golnish



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Revue de presse :  
  extrait -Demande de renvoi en commission du Rapport Estrela(Bruno Golnish) :


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  1. Rapport Estrela : Bruno Gollnisch impose un vote pour renvoyer le ...

    www.ndf.fr/.../rapport-estrela-bruno-gollnisch-impose-vote-renvoyer-ra...
    Note : 7,9/10 - ‎19 votes
    Il y a 3 jours - Le député européen Front National Bruno Gollnisch qui avait annoncé dès samedi son intention de faire obstruction au rapport Estrela est ...

  2. Bruno Gollnisch fait renvoyer le rapport Estrela en commission

    lesalonbeige.blogs.com/.../bruno-gollnisch-fait-renvoyer-le-rapport-estre...
    Il y a 3 jours - Précisons que c'est la demande par Bruno Gollnisch d'un vote pour le renvoi du rapport Estrela en commission qui a obtenu une majorité des ...

  3. Demande de renvoi en commission du rapport Estrela - Gollnisch.com

    www.gollnisch.com › Parlement européen
    Note : 4,7 - ‎3 votes
    Il y a 3 jours - ... rating system. Demande de renvoi en commission du rapport Estrela, 4.7 sur 5 basé sur 3 votes ... Tweets favoris de @brunogollnisch ...

    1. Bruno Gollnisch fait renvoyer le rapport Estrela en commission ...

      gaelle.hautetfort.com/.../bruno-gollnisch-fait-renvoyer-le-rapport-estrela-...
      Il y a 2 jours - Posté le 22 octobre 2013 à 19h56 | Lien permanent Précisons que c'est la demande par Bruno Gollnisch d'un vote pour le renvoi du rapport...

    2. Demande de renvoi en commission du rapport Estrela (Bruno ...

      linformationnationaliste.hautetfort.com/.../demande-de-renvoi-en-commi...
      Rapport Estrela : un coup d'arrêt pour les... Viendra peut-être le jour où ... 22/10/2013. Demande de renvoi en commission du rapport Estrela (Bruno Gollnisch...

    3. Demande de renvoi en commission du rapport Estrela (Bruno ...

      fnvilleurbanne.over-blog.com/article-demande-de-renvoi-en-commissio...
      Il y a 2 jours - Partager l'article ! Demande de renvoi en commission du rapport Estrela (Bruno Gollnisch 22 Octobre 2013 Parlement Européen): ...

    4. Bruno Gollnisch fait renvoyer le rapport Estrela en commission ...

      fr.anygator.com/.../bruno-gollnisch-fait-renvoyer-le-rapport-estrela-en-c...
      Précisons que c'est la demande par Bruno Gollnisch d'un vote pour le renvoi du rapport Estrela en commission qui a obtenu une majorité des voix. La gauche ...

    5. Bruno Gollnisch fait renvoyer le rapport Estrela en commission ...

      catinfor.com/.../bruno-gollnisch-fait-renvoyer-le-rapport-estrela-en-com...
      Il y a 2 jours - Bruno Gollnisch fait renvoyer le rapport Estrela en commission Précisons que c'est la demande par Bruno Gollnisch d'un vote pour le renvoi du ...

Position de Bruno Gollnisch sur le rapport Estrela • Le blog de Bruno ...

www.gollnisch.com › Actualités
Note : 5 - ‎6 votes
Il y a 6 jours - Rapport Estrela : Bruno Gollnisch impose un vote pour renvoyer le rapport en commission - Nouvelles de France Portail libéral-conservateur dit ...


www.aleteia.org/.../rapport-estrela-victoire-pour-la-dignite-humaine-et-le...
Il y a 3 jours - Les députés renvoient en commission le rapport Estrela "sur la santé et les droits sexuels et génésiques" contraire aux droits fondamentaux.

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Documentation - autres  sources - 
ci-dessous le texte de la résolution :

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Par ailleurs, avant la réunion pleinière du Parlement Européen  Elizabeth Montfort, ancien député au Parlement européen et Nicole Thomas Mauro, ancien député au Parlement européen Co-fondatrices de Nouveau Féminisme Européen, ont adressé une lettre au députés européens pour leur signifier la raison de leur opposition au rapport Estrella.

Voici ci-dessous le texte de leur lettre :

Lettre de Nouveau Féminisme Européen aux députés européens

Madame, Monsieur le Député,
Nous vous écrivons aujourd'hui parce que en tant que femmes, nous sommes tout à fait opposées au Rapport Estrella qui sera voté le 22 octobre prochain. Il n'est pas acceptable que le Parlement européen adopte une résolution qui ne respecterait ni le principe de subsidiarité, ni les traités ou conventions qui s'imposent aux décisions de l'Union européenne. L'expression "droits sexuels et génésiques" est une formule de l'OMS. Elle n'a jamais été reprise par un texte juridique contraignant, comme une convention européenne ou internationale. Dès lors, aucune résolution du Parlement européen ne peut s'en prévaloir, ni faire comme si ces droits existaient dans nos principes juridiques fondateurs. Le Parlement européen n'a aucune légitimité à traiter la question de la contraception, de l'avortement, du "recours à la PMA pour les femmes et les lesbiennes" (art 8), ni de l'éducation sexuelle des enfants. Le Parlement européen n'a aucune légitimité pour déclarer que l'avortement ne doit pas être utilisé pour la planification des naissances, tout en recommandant cette pratique en faisant croire que ce serait un droit des femmes. Ces questions relèvent strictement de la compétence nationale, selon le principe de subsidiarité. Dans les Etats qui autorisent l'avortement, ces lois sont des lois de dépénalisation. L'éducation sexuelle appartient aux parents qui sont les premiers éducateurs de leurs enfants. Si l'Union européenne veut s'impliquer sur les questions de santé des femmes, qu'elle le fasse dans le respect du droit et des conventions européennes et internationales et dans le respect des personnes quelque soit leur stade de développement. Ce serait un comble que les animaux soient mieux traités (directive sur le bien-être des animaux) que les enfants à naitre, au nom d'un droit abstrait et inventé que nous ne pouvons pas reconnaître, nous les femmes, comme un de "Nos droits". Vous ne pouvez pas voter cette résolution. En tant que français, il est urgent de vous ressaisir sur nos valeurs sans courir après des groupes qui ont une conception variable de la dignité des personnes humaines. La seule possibilité de respecter nos principes et nos valeurs, c'est de voter et de faire voter l'amendement 1, c'est à dire de soutenir la résolution alternative. Si celle-ci n'est pas adoptée, alors, nous vous demandons de voter contre le rapport Estrella.
Nous serons très attentives au vote de tous nos collègues français.
Elizabeth Montfort, ancien député au Parlement européen Nicole Thomas Mauro, ancien député au Parlement européen Co-fondatrices de Nouveau Féminisme Européen
www.nouveaufeminisme.eu


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Information  :



Le Rapport Estrela doit son nom à sa rapporteuse Edite Estrela, une députée européenne portugaise membre du parti socialiste qui fait partie du groupe de l'Alliance progressiste des socialistes et démocrates au Parlement européen. Elle est vice-présidente de la commission des droits de la femme et de l'égalité des genres et membre de la commission de l'environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire.


 Ce qu’il faut entendre par les « droits sexuels et génésiques »
Cette expression "droits sexuels et génésiques" a été lancée dans les années 1990 par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), mais n'a jamais été intégrée dans le droit international ou européen.
Le rapport Estrela est contraire aux principes du droit européen, notamment le principe de subsidiarité, puisque ces questions relèvent de la compétence des Etats membres.
Le Parlement européen n'a aucune légitimité pour déclarer de nouveaux droits, dans une résolution (texte juridique non contraignant).
Le Parlement européen n'a aucune légitimité pour traiter des questions de l'avortement ou du recours à la PMA (Procréation Médicalement Assistée). Ces questions sont de la compétence des Etats membres.
Le Parlement européen n'a aucune légitimité pour imposer sa vison sociétale aux pays en développement.

Ce qu’il faut savoir sur « la résolution alternative »:

La résolution alternative proposait de  respecter  le droit européen (principe de subsidiarité) et la dignité de toutes les personnes: les jeunes filles, les femmes, les enfants quelque soit leur stade de développement
 

Nicolas Dupont-Aignan - Dans un communiqué NDA décrypte " L'inversion du chomâve version socialiste"

Éditorial de lucienne magalie pons

Nous ne nous  plaindrons pas que Nicolas Dupont-Aignan,   avec son talent habituel,  décrypte  "l'inversion de la courbe du chômage version socialiste", en effet en dépit des résultats en hausse des demandeurs d'emploi qui viennent d'être publiés, nous avons entendus par ailleurs les ténors de la gauche  nous expliquer que la croissance revient, qu'il ne faut pas oublier que nous somme en crise depuis 8 ans , et que d'ici la fin de l'année 2013 par les efforts conjugués du gouvernement et des entreprises nous atteindrons le cap fixés par François Hollande, à ce propos nous rappelons que la crise évoquée par les ténors de la gauche apparait ou disparait de leurs propos,  pour étayer leurs propos, selon les circonstances, et nous avons souvent entendus dans d'autres circonstances nous assurer la main sur le cœur avec l'accent  de la sincérité gauchiste que la crise est derrière nous,.

Source - Site "DEBOUT LA REPUBLIQUE"



Publié par LFO le Jeudi 24 Octobre 2013


 L'Inversion de la courbe du chômage version socialiste


Depuis des mois François Hollande et son gouvernement nous promettent l'inversion de la courbe du chômage. En dépit d'une politique économique suicidaire et d'indicateurs dans le rouge, ils s'obstinent à faire espérer un miracle aux Français.



Plus personne ne les croit. Mais les socialistes sont plein de ressources. Après une baisse de 50 000 demandeurs d'emplois en août, la courbe s'est en effet inversée en septembre puisque le nombre de demandeurs d'emplois en catégorie A a bondi de 60 000. Seulement la courbe ne s'est pas inversée dans le sens espéré par les socialistes. Avec cette explosion du chômage, le record du nombre de demandeurs d'emploi est désormais de 3,295 millions de personnes.



François Hollande est au pouvoir depuis 18 mois. Il ne peut plus se servir du fardeau du bilan de Nicolas Sarkozy pour justifier l'absence de résultats. La politique d'austérité calée sur la Grèce est un échec total. Mêmes causes, mêmes conséquences. En dépit de sacrifices historiques, la croissance française est en berne et la dette continue d'atteindre des sommets. François Hollande est devenu le Papandréou français.



Nous ne gagnerons cette guerre contre le chômage qu’en redonnant envie et intérêt à nos entreprises d’investir en France. L’instauration d’un protectionnisme intelligent, la fin de l’euro cher et le soutien aux PME sont les principales solutions pour restaurer la compétitivité de nos entreprises victimes d’une mondialisation déloyale.



Nicolas Dupont-Aignan

Député de l'Essonne
 

Bassam Tahhan - vidéo - Irib 2013.10.23 Bassam Tahhan, impuissance des "amis" de la Syr

Éditorial de lucienne magalie pons


Irib 2013.10.23 Bassam Tahhan, impuissance des... par Hieronymus20

Valérie Trierweiller ne figure pas dans la nouvelle édition du Who's Who

Éditorial de lucienne magalie pons


Valerie Trierweiler visite son ancienne ecole avec l'association ELA - Angers


Nous relevons sur la toile un article que l'on pourrait classer dans la rubrique "Potins" aux termes duquel il est expliqué les raisons pour lesquelles Madame Valérie Trierweiller ne figure pas dans la nouvelle édition du Who's Who et pourquoi Ségolène Royale y figure. . Nous reproduis ci-dessous cet article  tel qu'il est édité sur le site "Planète.fr"

Source - Site "Planète.fr":


"La Première dame n'apparaît pas dans la dernière édition du Who’s Who, le dictionnaire regroupant tout le gratin du showbusiness, de la politique et de l’économie. Le président François Hollande n’aurait pas demandé à ce que son nom figure aux côtés du sien. Celui de Ségolène Royal y est pourtant mentionné.


©AFP


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Alors que l’édition 2014 du Who’s who est récemment sortie, le nom de Valérie Trierweiler n’y est pas mentionné. C’est même la deuxième année que Valérie Trierweiler est évincée de ce bottin qui regroupe pourtant tous les noms des personnalités du showbusiness, de l’économie et de la politique. La raison serait simple : le président François Hollande, dont le nom y figure bien évidemment, n’aurait pas souhaité que sa compagne y soit mentionnée. "La mention des unions libres se fait à seule demande des intéressés. La notice de M. Hollande lui a été adressée comme tous les ans et celui-ci ne l’a pas renvoyée", a en effet expliqué l’éditeur du Who’s Who, rapporte le site de Closer.

Ségolène Royal y est mentionnée comme "la mère de ses quatre enfants"
Et si le chef de l’Etat n’est pas intervenu pour qu’apparaisse le nom de le Première dame, Valérie Trierweiler, il n’a pas non plus demandé à ce que la mention précisant que Ségolène Royal est la mère de ses quatre enfants soit effacée. Si tant est que cela l’ait affectée, la Première dame pourra toutefois se rassurer en repensant au fait que François Hollande ne semble pas être le genre d’homme à vouloir officialiser une relation personnelle. En couple avec l’ancienne candidate à la présidentielle de 2007 pendant plusieurs années, et malgré les quatre enfants qu’ils ont eus ensemble, celui-ci n’a jamais voulu se marier.

Manuels Valls : sa position sur Israël

Éditorial de lucienne magalie pons

Une vidéo remise  récemment en ligne sur Internet tente de relancer des polémiques sur la position de Manuel Valls en ce qui concerne sa position politique en rapport avec Israël  fait  l'objet  de polémique sur les réseaux sociaux , elle date de 2011,  époque à laquelle Manuel Valls n'était pas et pour cause dans le Gouvernement  cette avait poursuivi son chemin sur la toile  jusqu'en  décembre 2012, les remous s'étaient calmés depuis, mais comme un serpent de mer elle ressurgit de nouveau. 

Je ne pense pas qu'elle fera ressurgir des polémiques,  la position politique et personnelle  de Manuel Valls sur Israël  est connue de longue date et elle n'a pas changée. 


 commentaire (dont le nom de l'auteur n'est pas indiqué) qui figure actuellement  sous cette vidéo :

Censure. Depuis son accession au pouvoir, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls essaye d'étouffer le scoop d'Oumma dévoilant sa propre confession de son « lien éternel » avec « la communauté juive et Israël ». Retour sur les dessous d'une information embarrassante pour celui qui vise désormais Matignon et l'Élysée.

Depuis quelques semaines, la rumeur parcourt les réseaux sociaux et les sites alternatifs : selon certains, Manuel Valls aurait lui-même demandé à Youtube et Dailymotion de retirer une vidéo, révélée en 2011 par Oumma, dans laquelle il affirma, entre autres paroles stupéfiantes, être « par sa femme, lié, de manière éternelle, à la communauté juive et à Israël ». Voici la vidéo en question, désormais remise en ligne.


Notre ministre de l'intérieur travaillerait pour un pays étranger au nôtre: Israël. Or il me semble qu'Israël et la France n'ont pas obligatoirement vocation à poursuivre partout et tout le temps une même politique. Mais pour l'élite française de droite et de gauche cela semble être une évidence.

Rappelons-nous de ce Propos scandaleux que disait ce parlementaire juif Éric Raoult en pleine crise des retraites en France: Pour moi, Israël est plus important que les retraites ...

Jean-Marie le Pen - Journal Hebdoadaire n° 337 -

Éditorial de lucienne magalie pons

Publiée le 24 oct. 2013
Comme chaque semaine  retrouvons  le blog vidéo de Jean-Marie Le Pen,  présenté par Marie d'Herbais


24 octobre 2013

Chômage : en hausse en septembre - ça sent "le sapin"

Éditorial de lucienne magalie pons

Nous publireons prochainement  un éditorial sur le sujet, nous attendons que la classe de gauche digère la pilule et retrouvent leurs esprits pour nous expliquer et justifier  à sa façons "le pourquoi du comment" , et que l'opposition les terrassent en ripostant.



Flash Info

Le chômage repart à la hausse en septembre

Nouveau record du nombre de demandeurs d'emploi

DirectMatin - Il y a 1 heure 13 min Le nombre de chômeurs sans activité a bondi de 60.000 en septembre marquant un nouveau record avec 3,29 millions d'inscrits à Pôle emploi.   Michel Sapin avait prédit que les chiffre du chômage ne seraient pas bons. Et ils le sont effectivement....

Le nombre de demandeurs d'emploi
en hausse de +1,9%

En septembr

Les mauvais résultats du chômage vont-ils influencer votre choix pour les municipales?

VOTEZ ET COMMENTEZ l'enquête express organisée par LCP-AN et leJDD.fr. Les commentaires les plus pertinents seront...

 

Mot croisés d'Yves Calvi sur le thème "Le piège Léonarda" et l'Immigation" - 21.10.2013

Éditorial de lucienne magalie pons



Baptême du Prince Georges

Éditorial de lucienne magalie pons

Le Prince Georges a déjà une prestance royale, son baptême a été célébré hier

The Christening of Prince George

Wolfgang Amadeus Mozart - Piano Concerto No. 21 - Andante

Éditorial de lucienne magalie pons



INFORMATIONS IMPORTANTES POUR MES LECTRICES ET LECTEURS

Éditorial de lucienne magalie pons Information: J'ai quelques petits soucis de santé en ce moment et je reprendrai mes publications aprè...