* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Ce mardi 15 août les Bourses européennes ont terminé en légère baisseaprès les lourdes pertes enregistrées en début de semaine dernière, mais après une légère reprise jeudi et vendredi,les marchés ont rechuté, dans des proportionsmoindres, sous l'effet « de mauvaises nouvelles » sur la croissance en zone euro.
Les médias expliquent cette légère baisse en soulignant notamment :
- que l’ attention des marchés était retenueen fin d'après-midi sur la réunion entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel à l'Elysée, en rappelant que le porte parole du Gouvernement allemandavaitdéjà prévenu lundi qu'il ne fallait pas espérer de "résultats spectaculaires" et que la question des euro-obligations,ne figuraitpas à l'ordre du jour de la réunion franco-allemande du Mardi 16Août.
A la clôture, la Bourse de Paris a cédé 0,25%, Francfort 0,45%, Madrid 0,40 %, Lisbonne 1,47%, Milan 0,87%.
Sur les marchés obligataires, la Grèce a réussi à lever mardi 1,3 milliard d'euros à 3 mois en Autre pays dans la tourmente, l'Espagne a elle émis pour 5,7 milliards d'euros d'obligations à 12 et 18 mois avec des taux également en baisse par rapport à la précédente émission fin juillet.
Par contre quelques meilleures nouvelles :
- les places de Londres (+0,13%) et Zurich (+0,91%) ont fini dans le vert.
Et sur les marchés obligataires :
- Athènes a réussi à lever mardi 1,3 milliard d'euros à 3 mois en bénéficiant d'un taux en légère baisse à 4,5%.
-
L’Espagne a émis pour 5,7 milliards d'euros d'obligations à 12 et 18 mois avec des tauxen baisse par rapport à la précédente émission fin juillet.
Selon les médias, cette baisse des taux peut s’expliquer par l’intervention la Banque centrale européenne (BCE) qui a déboursé le montant record de 22 milliards d'euros, la semaine dernière,pour racheter des obligations publiques de pays dans le collimateur des marchés
AuxEtats-Unis :
- à 17h50 française, Wall Street s'inscrivait en baisse: le Dow Jones se repliait de 0,22%, tandis que le Nasdaq perdait 0,67%.
D’après les médias,les investisseurs ont étéperturbés par des indicateurs américains contrastés : alors que la production industrielle a enregistré sa meilleure progression mensuelle depuis décembre (+0,9%), dans le secteur immobilierau contraireles misesen chantier et les délivrances de permis de construire ont rechuté en juillet.
Depuis plusieurs jours les places financières et les investisseurs attendaient avec une impatience teintée d’espoir que la France et l’Allemagne, en bons duettistes , proposent des mesures pour régler la crise de la dette en Europe, notamment la création d'une taxe commune sur les transactions financières et la création d'un "gouvernement économique de la zone euro » en caressant l’espoir de pouvoirrelancer leurs opérations financières et boursières ,après avoir enduréces derniers jours les affresd’une vive nervositésur les marchés financiers où les valeurs bancaires notamment avaient été menacées.
A cet effet se sont réunis ce jour Mardi 16 Août à l’Elysée les dirigeants de ces deux pays ,Nicolas Sarkozy Président de la France etAngela Merkel Chancelière de l’Allemagne .
Après leurréunion élyséenne, Angela Merkel et Nicolas Sarkozyont fait connaîtreen conférence de presse leurs idées et propositions concertées.
"Nous voulons dire notre volonté absolue de défendre l'euro…et d'avoir sur tous ces sujets une identité de vues et de propositions entre la France et l'Allemagne", a dit Nicolas Sarkozy en conférence de presse.
Le duo franco-allemand, qui n’est jamais en peine de propositions, adressera mercredi à la présidence de l’Union européenne, une lettre par laquelle la France et l’Allemagne proposeront de créer « un gouvernement économique de la zone euro .
Ce gouvernement économique sera,d’après les médias, constitué du conseil des chefs d'Etat et de gouvernement, il se réunira deux fois par an et élira un président stable pour deux ans et demi.
Le Président Français Nicolas Sarkozy a dit que le nom d'Herman Van Rompuy, actuel président du Conseil européen, avait été avancé pour présider cette nouvelle instance.
La France et l’Allemagne proposent en outre l'adoption avant l'été 2012 d'une "règle d'or", déjà proposée en France, pour inscrire dans les Constitutions l'objectif de réduction des déficits.
Il est avancé l'idée d'une taxe sur les transactions financières, qui sera proposée au plan européen.
La France et l'Allemagne examineront de concert début 2012 pour 2013, l'idée d'un impôt sur les sociétés, commun dans son assiette et dans son taux.
La tribune.fr - 16/08/2011 a fait paraître dans un de ses article le résumé des propositions :
« 1. Instaurer un véritable gouvernement économique pour la zone euro. Il devra être dirigé « par un président stable pendant deux ans et demi. Le nom de l'actuel président de l'Union « européenne Herman Van Rompuy a été prononcé par Merkel et Sarkozy qui vont lui « formuler une proposition dès mercredi matin.
« 2. Mise en place d'une règle d'or sur les déficits budgétaires pour l'ensemble de la zone euro. « Sarkozy promet de ramener les déficits à 4,6% du PIB en 2012 et 3% en 2013 (ils atteignent « pour l'instant 5,7%). La règle d'or devra être appliquée par les 17 pays d'ici l'été 2012 au « plus tard.
« 3. Travail conjoint de Paris et Berlin sur des hypothèses économiques de leurs budgets « respectifs.
« 4. Mise en place d'un "impôt sur les sociétés" commun à la France et l'Allemagne, dont « l'assiette et les taux seraient harmonisés afin de "donner l'exemple".
Les médias rapportent que la création d'un "eurobond" n'apas été évoquée, et qu’en ce qui concerne le FESF (fondsqui doit intervenir pour aider la Grèce) la France et l’Allemagne ont jugé suffisante sa dotation de 750 milliards d’euros.
REVUE DE PRESSE : (informations et réactions vont déjà bon train : applaudissements à droite, critiques dans l'opposition : que la fête commence !)
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont proposé trois mesures pour renforcer l'intégration économique européenne. Montrer qu'en pleine tempête estivale, il ya un capitaine à la barre de la zone euro. Et même deux ! À l'issue d'une réunion de travail, ...
Dimanche nous avions relayé sur notre site l'annonce de la mort d’un lieutenant Français en Afghanistan,tué par un tir d'insurgé, au cours d'une mission d'appui à l'armée nationale afghane, en Kapisa.
Les forces militairesafghanes conduisent régulièrementce type d’opération, avec l’appui des soldats français.
Nous n’avions à ce moment là pas d’information sur son identitéet sa carrière..
Depuis hier nous avons pu lire et nous informer, il s’agit du Lieutenant Camille Levrel, né en 1974 à Rennes, qui devait avoir 37 ansle 3 septembre prochain, marié et père de trois enfants.
Le lieutenant Camille Levrel appartenait au 152 e R.I de Colmar, c’était un soldat expérimenté,sorti du rang pour obtenir le grade d’officier.
Il avait servi au Kosovo (2001), une première fois en Afghanistan en 2002 et au Tchad (2004), puis était de nouveau enAfghanistan depuis le 31mai 2011, déployé avec ses compagnons d’armes au sein du « battle group Quinze Deux » depuis début juin.
Le président du Parti radical, Jean-Louis Borloo a demandé dans une lettre ouverte à Angela Merkel, à paraître mardi dans Libération, que la France et l'Allemagne " parviennent à s'accorder sur une nouvelle gouvernance économique européenne".
On se demande, en remarquant la qualitéde ses demandes, pourquoiil ne s’est pas adressé en même temps aux deux dirigeants Nicolas Sarkozy et Angela Merkel par cette même lettre pour mieuxmarquer ses propositions.
Dans sa lettre, d’après ce qu’en disent les médias, il jugequ'il est "indispensable de doter l'Europe d'un fonds de lutte contre la spéculation sur les dettes souveraines",mais constatant que le FESF (Fonds européen de stabilisation financière) n'est pas "appuyé sur des financements nouveaux", Jean-Louis Borloo demande à la Chancelière allemande si son pays est "prêt à accélérer la mise en oeuvre en Europe" d'une taxe sur les transactions financières. Cette taxe, ajoute-t-il, "comme je l'ai proposé", serait affectée pour partie au fonds de stabilisation qui permettrait d'"engager l'assainissement des comptes publics de chacun des pays d'Europe" précise-t-il.
Ceci n’est pas une propositionspontanée Jean Louis Borloo l’a déjà émise récemment, sans trouver d’écho favorable du côté de la droite dirigeante.
"D'autres décisions structurelles doivent être arrêtées le plus vite possible", demande aussi le président du Parti radical, citant l'interdiction définitive des ventes à découvert en Europe et la réglementation des hedge funds. L'Allemagne, "est-elle prête à peser de tout son poids pour une mise en œuvre effective des ces mesures dans un délai très court ?" interroge-t- il.
Jean-Louis Borloo énonce ses propositions avec unelogiquerigoureusequi devrait servir d’exemple àFrançois Baroin toujoursphraseur et passeur de pommade qui discouretrop souvent dans des démentis au lieu d’annoncer clairement des mesures.
C’est ainsi que Jean-Louis Borloo poursuit….."Cette crise doit nous permettre de travailler en commun à la refondation du projet européen", en "tournant le dos à la financiarisation de l'économie au profit d'une nouvelle politique industrielle commune".
"A nous de faire une analyse ... de la politique européenne de la concurrence et de sa politique commerciale ... et de mettre enfin en place une taxe carbone, ou a minima, un mécanisme d'inclusion carbone aux frontières de l'Europe. L'Allemagne y est-elle prête ?", questionne-t-il
"Si la France et l'Allemagne arrivent à s'accorder sur une nouvelle gouvernance économique européenne, sur un calendrier précis de mise en œuvre d'une taxe sur les transactions financières, sur l'interdiction des ventes à découvert, la régulation des hedge funds et des paradis fiscaux, l'encadrement des effets de levier et l'étanchéité des activités de dépôt et d'investissement, alors nous aurons fait un pas historique vers un nouvel ordre économique et social", conclut Jean Louis Borloo.
Le programme exposépar Jean-Louis Borloo , résulte d’une volonté politique d’instauration d’unrégime économique et social entre les différentes classes de population, mais dans ce qu’il propose, on peut redouter qu’ il sera très difficile d’obliger et d’obtenir de tous les États membres qu’ils se détournent de la financiarisation de l’économie etdes opérations spéculatives financières, pour s’engager dansune nouvelle politique industrielle commune à connotation économique et sociale, notamment de la part de ceux desÉtats membres dirigés par des capitalistes libéraux qui soutiennent les finances avant toute considération sociale.
Les capitalistes libéraux, ne manqueront de réclamer une marge d’autonomie subsidiaire pour décider d’eux-mêmes de leur politique nationaleen fonction de leur intérêt financier particulier.
Quoiqu’il en soit les propositions de Jean-Louis Borloo ont le mérite d’exister.
Quand Jean-Louis Borloo écrit « .. ? alors nous aurons fait un pas historique vers un nouvel ordre économique et social », on peut comprendre qu’il est pour l’instauration d'un« nouvel ordre » économique et social européen.
D’autres politiques, surtout des dirigeants politiques, capitalistesultralibéraux, n’hésitent pas en brassant très large, àprédire, pour justifierl’expansion de la mondialisation, un « Nouvel Ordre Mondial du 21° siècle » qu’il présente commele destin inéluctable de toutelaplanète.
C’est toute la différence qu’il y a entre eux,Monsieur Jean-Louis Borloo face aux enjeux et aux risques de la crise de la dette, cible notre espace européenen formulant des propositions concrètes économiques et sociales.
Les autres au contraire gesticulent dans tous les espaces et ne s’activent qu’à défendre et consolider la mondialisation par lafinanciarisation de toutes lesactivités économiques et industrielles, en passant à la trappe le social,maisleurs échecsillustréspar la crise financière de 2008, accentués parla Crise des dettes souveraines, avec dans leur sillage l’instabilitédangereuse des marchés Boursiers, ne fait pas mentir le proverbe qui dit « Qui embrasse trop mal étreint »
Jean-Louis Borloo exhorte Berlin à s'accorder avec Paris en vue d'une "nouvelle gouvernance économique européenne". Lundi, le porte-parole de la chancelière...
il y a 1 heure – ...écrit une lettre ouverte à la chancelière allemande, Angela Merkel, à la veille de sa rencontre avec Nicolas Sarkozy. Jean-Louis Borloo...
il y a 22 minutes – 15-08-11 PARIS (Reuters) - Jean-Louis Borloo, président du Parti radical, ... La chancelière allemande et le président français Nicolas ...
Informations générales. M. Jean-Louis Borloo; Né le 7 avril 1951 à Paris (75) ... Séances publiques contenant au moins une intervention de Jean-Louis Borloo...
18 juil. 2011 – Le président du Parti radical Jean-Louis Borloo a écrit.... Nicolas Sarkozy recevra mardi la chancelière allemande Angela Merkel à l'Élysée ...
PARIS (Reuters) - Jean-Louis Borloo, président du Parti radical, ...Jean-Louis Borloo demande à la chancelière si Berlin est "prêt à accélérer la mise en ...
il y a 43 minutes – PARIS (Reuters) - Jean-Louis Borloo, président du Parti radical, ...Jean-Louis Borloo demande à la chancelière si Berlin est "prêt à ...
Le président du Parti radical, Jean-Louis Borloo, demande que la France et ...Jean-Louis Borloo demande à la chancelière allemande si son pays est "prêt à ...
D’après Steffen Sseibert, porte parole du gouvernement allemand « il ne faudra attendre aucune avancée majeure de ce sommet bipartite » …
La question des Eurobonds ne figurera pas au programme de la rencontre entre Angela Merkel et Nicolas Sarkozy mardi à Paris, a annoncé lundi le porte-parole du gouvernement allemand.
Les euro-obligations ne sont "pas à l'ordre du jour" de la rencontre ce mardi à Paris entre le président Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel, a confirmé l'Elysée à l'AFP.
"Le gouvernement a dit à de multiples reprises ne pas croire à la pertinence des Eurobonds, c'est pourquoi ils ne joueront aucun rôle dans la réunion de demain", a déclaré Steffen Seibert.
L'Allemagne ne dispose d'aucun élément indiquant que Nicolas Sarkozy souhaite évoquer mardi la question des Eurobonds, mais Angela Merkel ne refusera pas d'en parler si jamais il venait à le faire …. »a-t-il précisé.
L'objectif du gouvernement allemand est de mettre en oeuvre les accords conclus le 21 juillet entre dirigeants de la zone euro, et la France et l'Allemagne vont à cet effet examiner les différentes options offertes par les traités existants, a-t-il ajouté.
Note : ceux des médias qui se félicitaient des accords du Sommets extraordinaire du 21 Juillet surl'élargissement des missions du FESF, ne se doutaient pas que les différentes options offertes par des traités existants restaient à examiner, certes ils savaient que chaque pays membres devaient entériner ces accords « le plus vite possible, au plus tard à la rentrée des vacances, mais pour eux l’affaire était dans le sac, de plus ils seront déçus d’apprendre que ces accordsprovoquent des débats en Allemagne et que le président du Bundestag, Norbert Lammertne souhaite pas un examen rapide de cette décision les esprits ne sont pas encorepas mûrs, dans la majorité allemandepour des Eurobonds.
La Francese montre partagée et adopte une position mi-figue/mi-raisin entre la situation d'avant la crise où n'existait aucune intégration économique et celle d'une union monétaire, budgétaire et fiscale, mais d’après l’Elysée il existerait, "sans doute, une voie intermédiaire".
Laquelle ? Pour le moment mystère et boule de gomme.
En ce qui concerne une nouvelle méthode de gestion de la crise dans la zone euro, la chancelière allemande et le président françaisen discuteront, mais toujours d’après Steffen Seibert « il ne faudra attendre aucune avancée majeure de ce sommet bipartite »
."Nous sommes ravis que d'autres pays de l'UE nous aient rejoints. Plus on est de fous, plus on rit » a indiqué enfin Steffen Seiberten évoquant que de nouveaux pays aient pris des mesures de limitation des ventes à découvert.
Note : « Plus on est de fous, plus on rit » ….. On ne lui fait pas dire…., quand on entend de l’aveu même du porte parole du gouvernement allemand qu’ « il ne faudra attendre aucune avancée majeure de ce sommet bipartite » … on est autorisé à penser que les dirigeants politiquesimpuissants par eux-mêmes à faire avancer le smilbick se fendent la gueule comme des fous.
Les marchés boursiers eux ne se fendent pas la pêche, tout en restant inquiets sur la dette et la croissance en Europe et aux États-Unis, ils attendaient beaucoup decette rencontre, les investisseurs de même espéraient une avancée pourconsoliderla petite dose de confiance qu’ilsavait amorcée Jeudi et Vendredi sur les marchés, après l’annonce de cetterencontre, qui avait été annoncé par les médias comme urgente et décisive pour faire avancertoutes les questions liées à la situation économique,financière et monétaire de la zone euro,
ooOoo
Question des Eurobonds : actualités
On comprend que la question des Eurobonds ne devrait pas être abordée par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, « l’idée » des Eurobonds est à l’étude de la Commission Européenne :
Pour les Eurobonds il faudra attendre la fin de l’été : La Commission européenne présentera un rapport après l'été qui étudiera notamment « l'idée » d'obligations communes à la zone euro ("Eurobonds").
Le Ministre Italien très pressé plaide actuellement en insistant sur la création d’Eurobonds... européennes qui selon lui,empêcherait les risques de contagion de la crise de la dette: “Nous n'en serions pas là aujourd'hui si nous avions des Eurobonds en Europe. ...a-t-il estimé samedi lors d'une conférence de presse à Rome ...
Mais jusqu’ici , pour les Allemands et les Français, la mise en commun des dettes des pays de la zone euro et l'émission d'obligations européennes comportent, trois défauts majeurs : elle accroîtrait le coût du crédit des pays les mieux notés, elle risquerait de dissuader les pays les plus mal notés d’entreprendre les réformes nécessaires et elle nécessiterait un droit de regard de l'Union européenne (UE) sur les budgets nationaux, auquel ni Paris ni Berlin ne sont prêts de se plier.
Les principaux partis d’opposition enAllemagne, se déclarent au contraireen faveur des euro-obligations,notamment depuis plusieurs mois le Parti social-démocrate Allemand le (SPD)qui plaide pourla création d'Eurobondsassorti d’un droit de regard accru de l'Europe sur les budgets nationaux.
Sur la question des Eurobonds, la France recherche une « voie intermédiaire »,entre la situation d'avant la crise où n'existait aucune intégration économique et celle d'une union monétaire, budgétaire et fiscale, il existerait, d’après l’Elysée, "sans doute, une voie intermédiaire".
Laquelle ? Pour le moment mystère et boule de gomme …
Une rencontre entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel est prévue demain matin. Cependant, Berlin a prévenu qu'il ne fallait rien en attendre de "spectaculaire". Les marchés semblent pourtant dans l'attente de cette rencontre. ...
Le chef de l'Etat français, Nicolas Sarkozy, et la chancelière allemande, Angela Merkel, le 24 juin à Bruxelles. AFP/JOHN THYS La France et l'Allemagne ont ...
AFP/ODD ANDERSEN Berlin, Correspondant - La création d'obligations européennes ("eurobonds" en anglais) ne sera pas à l'ordre du jour de la rencontre entre ...
Les eurobonds auraient permis d'éviter d'arriver à la crise de la dette, a estimé samedi lors d'une conférence de presse à Rome le ministre italien de ...
... européennes empêcherait les risques de contagion de la crise de la dette: “Nous n'en serions pas là aujourd'hui si nous avions des Eurobonds en Europe. ...
... porte-parole du gouvernement allemand a indiqué que les eurobonds ne seraient pas au menu de la réunion de mardi entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. ...
Le gouvernement allemand a déclaré ce week-end que les "eurobonds" ne figureront pas parmi les sujets abordés par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel lors du ...
- c'est volontairement que je classe mon éditorial sous la rubrique "Faits de société", alors que les quotidiens se bornent le plus souvent à les classer sous la rubrique "Faits divers" en relatant les incidents de délaissement ou d'abandon d' enfants en bas-âge, sans s'étendre sur des considérations sociales ou des défaillances éducatives qui pourraient en être la cause à l'origine -
Les grands quotidiens et les moins grands classent des articles d’informations dans leur rubrique « faits divers »
Parmi eux nous retrouvons la relation de la défaillance de certains parents qui pour aller danseren boîte de nuit ou ailleurs ou se distraire au bal ou ailleursabandonnentleurs enfants en bas âge soit dans leur maison sans surveillance, soit dans une voiture, soit sur le trottoir.
Ces cas d’indignité parentale se multiplient de jours en jours, il est désolant de devoir faire remarquer que si dans les établissements d’enseignements on met l’accélérateur sur l’éducation sexuelle, la contraception et l’avortement, avec tous les informations nécessaires et parfois démonstration imagéede la pose de protectionsdiverses,il n’est jamais enseigné aux jeunes le rôle social et moral de parents qu’ils deviendront plus tard,pour la plupart d’entre eux , et les principes d’éducation quiles apprendraient comment on doit élever, protéger et éduquer les enfants, et veiller à leur santé et leur sécurité.
Ci-dessous en Revue de presse quelques exemples édifiant de ce relâchement de responsabilité parentale : (si nous devions relever la liste complète de cas approchants ou similaires et d’autres encore plus graves il nous faudrait mobiliser plusieurs pages)
Nous avons la tristesse de vous informer de la mort d'un nouveau soldat Français , lieutenant du 152ème Régiment d'Infanterie de Colmar, ce qui augmente le nombre de nos soldats morts en Afghanistan à 74 depuis fin 2001.
Ce Lieutenant a été tué par un tir d'insurgés , au cours d'une mission d'appui à l'armée afghane, en Kapisa, dans le nord-est du pays.
Les télévisions ont annoncé ce décès dans leur journal de 13 heures brièvement sans donner de détails, mais en insistant sur la détermination de Président Français de maintenir l'engagement engagement de la France dans les combats, en citant comme référence le communiqué de l'Elysée.
Nous avons relevé sur Internet l'essentiel résumé de cette information.
Il y a deux jours, un caporal chef du 19ème Régiment de génie de Besançon avait été tué dans l'explosion de son véhicule blindé, touché par un engin explosif. L'attaque avait également fait quatre blessés.
Nous partageons la douleur de toutes les familles endeuillées par la mort de l'un des leurs depuis le début du conflit en Afghanistan et leurs présentons nos condoléances émues.
Nous compléterons cette annonce quand nous disposerons de plus d'informations sur l'identité et les circonstances exactes de sa mort sur le terrain des combats Afghans.
Un soldat français a été tué ce dimanche en Afghanistan par un tir d'insurgé. | (AFP/JOËL SAGET.) Un soldat français a été tué dimanche en Afghanistan par ...
il y a 16 minutes – Un soldat français a été tué dimanche en Afghanistan par un tir d'insurgé, au cours d'une mission d'appui à l'armée afghane, en Kapisa, ...
il y a 27 minutes – Un 74ème soldat français tué en Afghanistan. Mots clés : Afghanistan,. Un soldat français a été tué dimanche en Afghanistan par un tir ...
3 messages - 2 auteurs - Dernier message : il y a 13 minutes
Un militaire français tué en Afghanistan : Un militaire français a été tué... Ce nouveau décès porte à 74 le nombre de soldats français morts dans le pays d.