28 janvier 2011

EGYPTE : Revue de presse européenne

SOURCE : EURO/TOPICS



Revue de presse européenne du 28/01/2011
À LA UNE
Linie
L'Egypte entre liberté et islamisme
Le mouvement de contestation égyptien prévoit d'organiser après la prière du vendredi de nouvelles manifestations contre le président Hosni Moubarak. Le régime a fait intervenir des unités spéciales de la police au Caire et a coupé Internet. La presse européenne se demande si une éventuelle révolution entraînerait l'avènement des démocrates ou celui des islamistes.


Jyllands-Posten - Danemark
Une véritable chance démocratique
Avec la révolution de jasmin en Tunisie, les soulèvements en Egypte et au Yémen aussi depuis jeudi, une véritable chance de démocratisation s'offre désormais au monde arabe, et l'Occident doit s'y faire, estime le quotidien libéral-conservateur Jyllands-Posten : "La seule réponse possible des chefs d'Etat arabes aux mouvements réformistes est d'annoncer justement des réformes. … Les jours des tyrans sont comptés au Proche-Orient et c'est aussi un message pour les pays occidentaux qui ont soutenu les régimes autoritaires. Les Etats-Unis et l'Europe ont trop longtemps cru que la seule alternative à ces dirigeants souvent corrompus et violents serait le terrorisme islamiste, car l'islam est la seule opposition organisée contre les régimes dans cette partie du monde. Mais il n'y a aucune raison de croire que les jeunes activistes remettront le pouvoir à des fanatiques politiques et religieux. Ils veulent une existence digne et pacifique, de bons emplois et une société dépourvue de corruption." (28.01.2011)
» article intégral (lien externe, danois)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Défense / Crises / Guerres, » Mondial

Diário de Notícias - Portugal
Une révolution en exemple
Manifestations massives en Tunisie, en Egypte, au Yémen - que se passe-t-il exactement dans le monde arabe, s'interroge le quotidien Diário de Notícias : "'Mimikry' pourrait être une réponse. Les gens reproduisent ce qu'ils ont vu sur Al-Jazeera pendant les troubles en Tunisie, à savoir qu'il est possible de renverser un régime autocrate. En Egypte, les manifestations ont débuté mardi. Hier, le prix Nobel de la paix Mohamed El-Baradei est retourné au Caire et a évoqué des 'changements politiques incontournables'. Le régime a déjà indiqué vouloir discuter de solutions. … La population veut le changement et proteste contre les inégalités et l'augmentation du coût de la vie. L'Egypte est également un modèle pour la région : ce qui s'y passe est aussi pertinent pour l'opinion publique du monde arabe. … Les révolutions égyptienne et tunisienne semblent être différentes mais elles ont la même origine : la pauvreté et l'absence de démocratie." (28.01.2011)

De Volkskrant - Pays-Bas
Le danger islamiste
Les émeutes en Egypte montrent des similitudes claires avec celles qui se sont produites en Tunisie, mais le pays des pharaons présente des différences dangereuses, estime le quotidien De Volkskrant : "Le régime est accroché plus fermement au pouvoir. Ses liens avec l'armée sont forts et le pays compte environ 800.000 policiers. L'Egypte dispose en outre d'une opposition organisée : les Frères musulmans. Elle est certes illégale mais représente une force occulte redoutée. … La perspective que ces islamistes prennent le pouvoir atténue l'enthousiasme d'une révolution égyptienne. Le régime de Moubarak est caractérisé par la corruption et l'incompétence. Ce serait une bénédiction qu'il cède sa place à un gouvernement plus démocratique, tenant compte davantage de la détresse de millions d'Egyptiens. Mais si les Frères musulmans y voient une chance, le soulèvement pourrait prendre la même tournure qu'en Iran il y a plus de 30 ans. C'est l'ayatollah Khomeini qui avait finalement les meilleurs atouts." (28.01.2011)

Eesti Päevaleht - Estonie
Soutenir Moubarak décrédibilise l'Occident
L'Occident doit absolument revenir à ses valeurs libérales dans son attitude vis-à-vis de l'autocrate conspué Hosni Moubarak en Egypte, estime le quotidien Eesti Päevaleht : "Hosni Moubarak règne sur le pays comme un dictateur. Il est considéré comme un allié et cela explique pourquoi il n'est pas tombé en disgrâce auprès de l'Occident malgré ses méthodes autoritaires. … Il est dangereux que l'Occident persiste à soutenir le régime égyptien. Car appuyer de tels dirigeants rend l'Occident hostile aux Egyptiens. Il est bien plus important de rester fidèle à ses principes plutôt qu'à certains individus. Mais il serait aussi naïf de voir dans une telle évolution un bénéfice pour la démocratie : des élections libres au Proche-Orient et au Maghreb ne portent pas automatiquement au pouvoir des individus attachés à des valeurs telles que la liberté d'opinion." (28.01.2011)
» article intégral (lien externe, estonien)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Relations Internationales, » Politique Intérieure, » Égypte, » Tunisie

Stéphane Rozèz : un politologue averti décryte l'impopularité du Président Nicolas Sarkozy

PREMIER DOCUMENT VIDEO

Vidéo Partis pris 27/01/2011 à 18h57 (mise à jour à 19h25)

«Sarkozy est un feuilletonniste, le pays a besoin d'un récit»


Pour Stéphane Rozès, fondateur de CAP et professeur à HEC, l'impopularité du président de la république s'explique en partie «parce qu'il a rompu le lien symbolique construit avec le pays pendant la présidentielle».
Cette vidéo est un extrait de «Partis Pris», l'émission politique hebdomadaire de Libération. Ecoutez ou podcastez l'intégralité de l'entretien ici.
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DEUXIÈME DOCUMENT VIDEO


pour visionner  cette deuxième vidéo  cliquez  sur le lien actif en dessous du cadres noir :


Stéphane Rozès - les Matins
envoyé par franceculture. - L'actualité du moment en vidéo.

27 janvier 2011

La campagne de diabolisation menée par le PS contre Jean Luc Mélanchon est odieuse

Éditorial de lucienne magalie pons

Ce n’est pas nouveau Jean-Luc Mélenchon, comme d’autres politiques qui plaident pour les droits du peuple, est la cible des politiques de droite comme de la gauche PS qui redoutent de lui voir imposer ses thèmes porteurs en précampagne présidentielle et de les développer ensuite pendant la campagne.
Ils sont tous à pied d’œuvre pour le diaboliser…

Il faut bien remarquer que la gauche PS et la droite empêtrées dans leurs communications entrecroisées, contradictoires, brouillonnes, d’où on a peine à voir émerger un programme cohérent et un candidat crédible, nous offrent chacun dans leur exhibitions, le lamentable spectacle d’un PS figé dans l’attente d’un candidat providentiel , que certains de ses membres voient déjà en l’ultra libéral Strauss-Kahn comme un miracle présidentiel à venir, et le non moindre lamentable spectacle d’une droite UMP divisée qui démultiplie ses candidats UMP, Radicaux Valoisiens et autres remorques associées en plusieurs exemplaires de candidats copiés/collés, qui se tirent tous dans les pattes, dont le candidat du Nouveau Centre pourtant dételé du carrosse UMP, n’ont d’autres recours que de lancer contre Jean Luc Mélanchon une campagne de diabolisation

Mais je ne retiendrai que deux exemples récents venant de la gauche, qui sont bien significatifs de la stratégie d’un PS en perte de crédibilité qui essaie de diaboliser Jean Luc Mélanchon dont elle a à craindre notamment un programme accentué sur le social, alors que bon nombre de PS,, candidat ou non, sont de l’école de gauche PS ultra libérale ou encore libérale : 

Ses détracteurs à l’œuvre, de Cambadélis ( supporter de l’ultra libéral PS Strauss-Kahn ) qui reproche à Jean-Luc Mélanchon d’opposer le peuple aux élites (sic … quelle prétention Monsieur Cambadélis !) , à Moscovici (autre fan de Strauss-Kahn) qui lui oublie tout langage politique correct en traitant sur les écrans Jean-Luc Mélanchon de « type qui se promène., en faisant du populisme » , etc… etc, et jusqu’aux caricaturistes qui le diabolisent sous différentes formes et en dernier lieu en le représentant avec Marine Le Pen, une autre de leur cible commune qu’ils essayent d’intimider sans y parvenir.

Cette campagne de diabolisation marque bien la faiblesse de la droite comme de la gauche PS déconnectées du peuple et de ses réelles as pirations, qui sentent bien que la population française ne leur fait plus confiance pas plus aux aux éléphants et éléphanteaux du PS, pas plus qu’aux politiques copiés/collés prétentieux de droite, et que les électeurs sont dans l’attente de candidats nouveaux qui n’ont pas usés leur fonds de culotte depuis des décennies dans las sièges confortables du pouvoir , avec une arrogance et un mépris insupportables pour les aspirations des français en matières notamment de justice sociale et de pouvoir d'achat.

Monsieur Jean Luc Mélanchon a un langage républicain et social qui leur fait peur, ils le classe comme populiste, le peuple leur fait peur et ils ont bien raison d’avoir peur, le monde est train de changer, les politiques des pays de l’autre côté de la méditerranée voient leur population revendiquer ses droits à la liberté, à la démocratie, à un niveau de vie décent, leurs dirigeants ont peur et ils cèdent à la pression du peuple, bien sûr les Français ne sont pas révolutionnaires mais sait-on jamais ? …

Il ne faudrait pas que les candidats de droite et de la gauche PS s’avisent de transformer la campagne présidentielle en grand spectacle de diabolisation anti-démocratique, le peuple et les électeurs demandent à être respectés, nous avons droit à ce que tous les candidats s’expriment librement afin que nous puissions voter en toute connaissance de cause, librement sans aucune manipulation médiatique ou politique.

La Tunisie toujours dans l'attente d'un remaniement ministériel ..

Éditorial de lucienne magalie pons

En principe le remaniement ministériel devrait être connu aux alentours de 11 heures.


Depuis Mardi les Tunisiens sont dans l’attente d’un remaniement ministériel sans cesse repoussé.


En dépit du couvre-feu, les manifestants ont campé pour la quatrième nuit de suite devant les bureaux du Premier Ministre Ghanouchi et ce matin Jeudi plusieurs centaine de manifestants en faisaient encore le siège, alors que le porte parole du Gouvernement avait assuré hier mercredi soir que l'annonce du remaniement interviendrait jeudi, mais les négociations s'éternisent, et des discussions dans les coulisses sont toujours en cours.


Il est possible que la situation se débloque dans la journée, ila situation n’était pas aussi sérieuse et douloureuse pour le peuple tunisien en lutte pour réclamer ses droits à une gouvernance démocratique, nous nous serions pris à ironiser à l’encontre de ce gouvernement de transition qui traîne les pieds : « aujourd’hui peut-être .., peut-être demain »


En attendant, l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), maintient une forte pression sur l'équipe de transition dont elle conteste la légitimité, pour qu'elle se débarrasse de tous les ex-ministres du président déchu Ben Ali. Elle organise ce jour jeudi une "grève générale" et une manifestation à Sidi Bouzid, ville de l'intérieur d'où est partie la révolte populaire qui a fait tomber le 14 janvier le régime dictatorial de Zine El Abidine Ben Ali, après l'immolation par le feu d'un jeune marchand de fruits, mi-décembre.


Rappelons que Mercredi déjà, l'UGTT avait effectué une démonstration de force en organisant une grève générale dans sa place historique de Sfax (centre-est), la deuxième ville du pays, où des milliers de manifestants rassemblés ont exigé la démission du gouvernement.

Côte d'Ivoire : Laurent Babgo gagne des points dans certains pays de l'UA et non des moindres

Éditorial de lucienne magalie pons

Guillaume Soro de l’équipe Ouattara en déplacement assure qu’ un commando armé pour « enlever » Laurent Babgo ne déclencherait pas de guerre civile en Côte d’Ivoire, ce qui est d’un irréalisme total, Alassane Ouattara de son côté, toujours de son QG de Hôtel du Golf, protégé par plus de 1000 hommes de l’Onuci, après des menaces incessantes et des appels répétés à une intervention armée d’une force africaine « légitime » contre Laurent Babgo , des appels à la grève peu suivis d’effets, et de déclarations incessantes … a décrété un blocus des exportations de cacao ce qui affaiblit l’économie du pays, et on peut dire qu'Alassane Ouattara et ses partisans ne se soucient vraiment pas des intérêts de la paix, de l’économie , et des populations de leurs pays , qu’ils mettent constamment en danger par leurs annonces et décisions.
La Cédeao (17 pays de l’Ouest Africains) qui se faisait fort en cas d’échec de ses missions de négociations, qui en fait n’était que des missions d’intimidations contre le Président sortant, d’armer contre Laurent GBabgo une force africaine « légitime » ,a effectivement échoué dans tentatives en Côte d’Ivoire

On pouvait s’attendre, d’après ses menaces répétées, que la Cédéao attaque avec sa force « légitime » le Président sortant Laurent Gbabgo, reconnu comme Président de la Côte d’Ivoire par le Conseil Constitutionnel Ivoirien, pour installer à sa place Alassane Ouattara, président reconnu par une Commission Indépendante électorale , et depuis reconnu comme Président de la Côte d’Ivoire par ses amis de la Communauté Internationale et l’Onu qui le soutiennent et sont prêts à tout pour l’installer aux commandes de la Côte d’Ivoire aux moyens de diverses pressions, sanctions, menaces, ultimatum , déclarations , mais en fait la Cédéao au pied du mur, n’est pas à ce jour passée à l’attaque armée, elle a préféré se déplacer en délégation tout récemment  dans l'espoir de rencontrer à Washington le Président des États-Unis Patrick Obama, qui d’après les médias, ne les aurait pas reçu lui-même.

On peut comprendre qu’à l’approche du sommet de L’Union Africaine , la Cédéao recherche des appuis diplomatiques occidentaux extérieurs, ce n’est pas le moment pour la Cédéao de déclencher par une attaque armée contre Laurent Babgo une guerre civile meurtrière en Côte d’Ivoire, que ce soit par une opération commando pour enlever Laurent Babgo et ses proches, opération commando dont l’armée Ivoirienne fidèle à Babgo ne ferait qu’une bouchée, et encore moins par une attaque massive qui jetterait la Côte d’Ivoire et d'autres pays africains , par effet de contagion, dans un bain de sang. La Cédéao ne peut avant le sommet de l’Union Africaine se risquer à une telle extrémité dramatique, et après ce sommet il n’est pas sur qu’elle puisse le faire.

Pourquoi ? Tout simplement parce que beaucoup de pays africains, qui pèsent plus en Afrique que la Cédéao, sont en majorité à la recherche de solutions pacifiques et qu’ils feront entendre leur propositions au sommet de l’UA, ainsi seront désavoués les « va-t-en guère " de la Cédéao soumis aux volontés de la Commission Internationale et de l'Onu;

A l'issue d'une visite surprise à Abidjan, mardi soir le président en exercice de l'UA, le Malawite Bingu wa Mutharika, qui avait aussi rencontré Alassane Ouattara, a promis de présenter les propositions de son frère et ami Laurent GBabgo (selon ses propres termes) lors du sommet de l'UA à Addis Abeba les 30 et 31 janvier, pour résoudre la crise née de la présidentielle du 28 novembre.

L’idée d'un recomptage des voix, proposée par Gbagbo et constamment refusée par son rival Ouattara , a peu à peu fait son chemin dans l'esprit de certains dirigeants africains, qui s’opposent à l'option militaire brandie par l'Afrique de l'Ouest -surtout le Nigeria- pour déloger Laurent Gbagbo.

Jacob Zuma, le président sud-africain a souhaité "quelque chose d'autre que demander à l'un des deux chefs de partir" et Yoweri Museveni de l’Ouganda) s’est déjà prononcé pour "une approche sérieuse concernant l'examen du processus" électoral.

Teodoro Obiang Nguema , Chef d’état équato-guinéen , dont on dit qu’il pourrait prendre la présidence tournante de l’UA, s’est déjà prononcé pour la création d'une "commission spéciale sur le règlement de la crise" , privilégiant "une solution pacifique" , proposition qu’il présentera au sommet de l’UA, cette solution pacifique est défendue aussi par l’Angola important allié de Laurent Gbagbo.

Ainsi le chef d'État sortant Laurent Gbagbo, qui n'entend pas céder, semble marquer des points avant un important sommet de l'Union africaine (UA). Mais si au plan diplomatique, la pression semble se détendre autour Laurent Gbagbo en Afrique, la partie reste cependant difficile pour lui sur le plan économique, Alassane Ouattara, ses alliés d'Afrique de l'Ouest et la communauté internationale veulent « l'asphyxier » financièrement.

Lundi, Alassane Ouattara ordonné un arrêt des exportations de cacao, dont la Côte d'Ivoire est le premier producteur mondial et selon le Financial Times de mardi, le groupe agroalimentaire américain Cargill, premier négociant de cacao dans le monde, aurait d'ores et déjà "suspendu temporairement" ses achats ivoiriens.

Une voix occidentale (diplomatique) s’est encore ingéniée à jeter de l’huile sur le feu en estimant qu’un recomptage des voix soulèverait de sérieux problèmes, en interrogeant …. "Où sont les bulletins, les urnes? Quelles ont été les conditions de stockage? Le recomptage n’est pas possible ….. 

Il serait excellent pour la paix en Afrique, que les représentants des pays occidentaux qui prétendent ne pas s’ingérer dans les affaires de politiques intérieures des États souverains, et qui font tout le contraire, observent lors de leur représentation au sommet de l’UA « le principe fondamental constant de non ingérence dans les affaires intérieures des États souverains » qu’ils proclament avec constance et qu’ils n’observent pratiquement jamais … 

Revue de presse :




26/1/2011

26 janvier 2011

DAVOS 2011 : Revue de presse ...

J'attends la fin du Forum de Davos pour écrire un article résumant les différentes interventions, en attendant je vous invite , si vous le souhaitez, à vous jetez dans le bain, en lisant  l'un ou l'autre ou tous les articles ci-dessous en cliquant sur les liens :

  1. Forum de Davos Ouverture dans un climat de turbulences


    Aufait Maroc - Il y a 2 heures
    au forum de Davos, le 26 janvier 2011. /DR La 41ème édition du Forum de Davos s'est ouverte hier en Suisse, dans un climat de turbulences, avec un agenda ...
    WEF 2011/A Davos, les leaders au chevet d'un monde proche du "burnout"- Romandie.com
    Un séminaire sur le 10e anniversaire de l'adhésion de la Chine à l ...- Centre d'Informations Internet de Chine
    La Chine, un sujet très discuté lors de la réunion annuelle 2011 ...- Radio Chine Internationale
    Europe1 - nouvelobs.com
    Autres articles (227) »

    Aufait Maroc
  2. Les Russes font à Davos la promotion du ski dans le Caucase


    24heures.ch - Publié il y a 1 heure
    DAVOS (Suisse), 26 jan 2011 | L'attentat de lundi à Moscou n'a pas dissuadé la Russie de faire la promotion, devant les investisseurs du monde entier ...
  3. La confiance des chefs d'entreprise quasiment au niveau d'avant ...


    24heures.ch - Il y a 4 heures
    DAVOS (Suisse), 26 jan 2011 | Les chefs d'entreprise ont retrouvé un niveau de confiance presque équivalent à celui d'avant-crise, mais cet optimisme est ...
    WEF 2011/Les directeurs d'entreprises aussi optimistes qu'avant la ...- Romandie.com
    Les chefs d'entreprise font preuve d'un bel optimisme pour 2011- Les Échos
    Autres articles (20) »
  4. Le sommet de Davos ne devrait plus exister


    l'Humanité - Il y a 50 minutes
    À l'initiative de mouvements sociaux – dont Attac Suisse – se tenait du 21 au 23 janvier à Bâle « L'Autre Davos 2011 », une initiative « destinée à ...
  5. WEF 2011: Swisscom double la capacité de son réseau mobile à Davos


    Romandie.com - Publié il y a 1 heure
    Swisscom a doublé la capacité de son réseau mobile à Davos afin de satisfaire les participants au Forum économique (WEF). La démarche du géant bleu vise à ...
  6. Davos 2011 : Gignac à la défense du développement durable


    LesAffaires.com - Il y a 1 jour
    Le ministre du développement économique, de l'Innovation et de l'exportation (MDEIE) s'envole aujourd'hui mardi pour Davos, comme le font à chaque année les ...
    Investissement Québec en mission économique à Davos et en Inde- Gouv. du Québec (Communiqué de presse)
    Autres articles (3) »

    LesAffaires.com
  7. WEF 2011/Nestlé inquiet de la volatilité des prix alimentaires


    Romandie.com - Il y a 5 heures
    Davos (awp/afp) - Le directeur général de Nestlé Paul Bulcke s'est dit préoccupé mercredi par la volatilité actuelle des prix des denrées alimentaires, ...
  8. Davos : Roubini plus optimiste, sauf pour l'Espagne...


    Le Figaro - Il y a 52 minutes
    La crise n'est plus d'actualité au Forum économique mondial de Davos qui a ... qui vient de réviser à la hausse son scénario de croissance pour 2011 (à 4 ...

    Le Figaro

REVUE DE PRESSE EUROPEENNE: TUNISIE - EGYPTE - LIBAN -

SOURCE /  EURO/TOPICS :

Revue de presse européenne du 26/01/2011

À LA UNE
Linie

Les Egyptiens veulent être libres
Plusieurs dizaines de milliers d'Egyptiens ont manifesté mardi dans tout le pays contre le président Hosni Moubarak. D'après certains rapports, trois personnes auraient été tuées. Après la Tunisie, c'est au tour de l'Egypte de se libérer prédit la presse européenne, qui demande aux politiques occidentaux de cesser enfin de soutenir les dictatures arabes.


Die Presse - Autriche
On n'a plus peur de Moubarak
Le régime égyptien est sous pression car les citoyens prennent courage, analyse le quotidien libéral-conservateur Die Presse : "Le régime égyptien ne peut qu'espérer. Il ne peut se consoler qu'en se disant que les circonstances qui ont mené à une révolution le 14 janvier en Tunisie étaient tout à fait différentes. … Il y a toutefois des parallèles qui devraient inquiéter l'inamovible souverain égyptien Hosni Moubarak : le chômage élevé des jeunes, la corruption, le fossé social croissant, l'absence de perspective. Plus dangereux encore pour Moubarak, un phénomène de psychologie de masse qui s'est manifesté pour la première fois mardi dernier, lorsqu'au moins 15.000 personnes ont manifesté dans les rues du Caire : les citoyens commencent à ne plus avoir peur." (26.01.2011)
» article intégral (lien externe, allemand)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Relations Internationales, » Égypte
Tous les textes disponibles de » Christian Ultsch

ABC - Espagne
La chute d'un autocrate sympathique
Les parallèles avec la Tunisie sont évidents, mais il y a bien une différence entre le président tunisien déchu Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak en Egypte, estime le quotidien conservateur ABC : "Nous sommes maintenant témoins de la manière dont Moubarak, en raison de son incapacité à gouverner, pourrait être renversé après 30 ans au pouvoir. … On a assisté hier à un tournant déterminant. La foule a osé s'opposer à la police dans le centre de la capitale, où se trouve un nombre bien plus important de médias qu'à Tunis. Même s'il est facile de dresser des parallèles avec Ben Ali, il faut comprendre que Moubarak ressemble davantage à [l'ancien dictateur roumain Nicolae] Ceaușescu : un autocrate qui a réussi à devenir notre allié dans la région." (26.01.2011)

Trouw - Pays-Bas
L'Occident doit revoir ses positions
La révolution tunisienne et les mouvements de protestation en Egypte ont des conséquences sur la politiques occidentale, estime la journaliste et historienne Tineke Bennema dans le quotidien Trouw : "L''intifada numérique' arabe ne cesse de rappeler très décemment que l'Occident est au courant des infractions systématiques aux droits de l'homme telles que les arrestations, la torture et l'absence de liberté d'opinion. … Mais l'Occident a sciemment détourné le regard car ces éléments ne cadraient pas avec ses propres intérêts. La marge de manœuvre de l'Occident au Proche-Orient sera désormais plus restreinte. La question de la violation des droits de l'homme sera davantage évoquée qu'auparavant. L'Europe et les Etats-Unis seraient bien avisés de privilégier les droits de l'homme et de trouver des partis désireux de s'investir pour cela dans les pays concernés. Il faut mettre fin au soutien militaire apporté à ce régime. … Tout comme le monde arabe, l'Occident doit également apprendre à écouter la rue." (26.01.2011)

POLITIQUE
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Le Temps - Suisse
Le Hezbollah gagne en influence au Liban
Le président libanais Michel Sleimane a nommé mardi au poste de Premier ministre le candidat du parti islamo-radical chiite du Hezbollah. Si Najib Mikati est sunnite et jugé modéré, sa nomination accroît néanmoins l'influence du Hezbollah, estime le quotidien Le Temps : "Cette avancée du parti d'Hassan Nasrallah ne devrait pourtant surprendre que ceux, comme les Etats-Unis, qui ont cru qu'il était possible de proscrire le Hezbollah. Au plan de la démographie, les adeptes du parti chiite n'ont cessé de croître en nombre. Politiquement, le mouvement que Washington considère toujours comme une organisation terroriste a étendu sa toile au point que, ces derniers mois, rien ne se faisait au Liban sans l'aval du Hezbollah. Militairement, ce dernier est un Etat dans l'Etat tant ses capacités dépassent largement celles de l'armée libanaise." (26.01.2011)
» article intégral (lien externe, français)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » Liban
Tous les textes disponibles de » Stéphane Bussard

Côte d'Ivoire : L'Union Africaine divisée

Informations de source :


Côte d’Ivoire : l’Union africaine divisée
Le président de l’organisation panafricaine à Abidjan






Visite surprise du président de l’Union africaine Bingu wa Mutharika. Le chef d’Etat malawite est arrivé mardi à Abidjan afin de rencontrer les deux présidents proclamés de Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara. Le dossier ivoirien fait de moins en moins l’unanimité au sein de l’UA, qui réclame officiellement le départ de Laurent Gbagbo au profit de son rival. Après les présidents angolais, ghanéen et sud-africain, c’est au tour ce mardi de l’Ougandais Yoweri Museveni de se démarquer. « Il faut enquêter et ne pas se contenter de dire "untel a gagné" », a-t-il notamment déclaré, contestant les choix de l’ONU et de l’UA.
Bingu wa Mutharika prend les choses en main. Après l’échec du Premier ministre kényan Raila Odinga, le médiateur qu’il avait désigné, le président de l’Union africaine (UA) a débarqué mardi midi à Abidjan pour une « visite d’information », sans avoir annoncé au préalable sa venue à la presse. Il a été accueilli à l’aéroport par le Premier ministre du gouvernement Gbagbo, Aké N’Gbo, et son ministre des Affaires étrangères Alcide Djédjé. Il a rencontré les deux présidents ivoiriens proclamés, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, ainsi que le chef de l’opération de l’ONU en Côte d’Ivoire (Onuci), Choi Young-Jin. Selon une source diplomatique africaine à Abidjan qui s’est livrée à l’AFP, Bingu wa Mutharika ne devait pas effectuer de médiation entre les principaux protagonistes de la crise ivoirienne, mais recueillir les informations qui lui permettront d’établir un rapport présenté lors du prochain sommet de l’organisation panafricaine prévu du 29 au 31 janvier à Addis Abeba, en Ethiopie.

Aussi, mardi soir, à l’issu de ses entretiens, M. Mutharika a déclaré qu’il transmettrait les « propositions » et « vues » de Laurent Gbagbo « à ses frères chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine, afin qu’ensemble, par la concertation, nous puissions trouver un moyen d’avancer ». « Mon frère et ami (Laurent Gbagbo) m’a expliqué en détail ce qui s’est passé et il m’a aussi expliqué en détail ses idées », a-t-il ajouté. A son côté, sur les marches du palais présidentiel, M. Gbagbo acquiesçait, selon le correspondant de l’AFP. Aucune précision n’a été donnée quant aux « propositions » de sortie de crise formulées par Laurent Gbagbo.
La semaine dernière, Raila Odinga a publiquement confessé l’échec de sa médiation. « Malgré des discussions approfondies avec M. Laurent Gbagbo et avec le président élu Alassane Ouattara, qui se sont prolongées très tard dans la nuit, j’ai le regret d’annoncer que les progrès requis ne se sont pas matérialisés », a-t-il déclaré mercredi, lors de sa dernière tentative. N’ayant pas réussi, comme le réclame officiellement l’Union africaine depuis le 8 décembre, à faire Laurent Gbagbo céder le pouvoir à son rival, le Premier ministre kényan a déclaré vendredi, à Nairobi, qu’à défaut d’accord négocié les membres de l’Union africaine devraient se « résoudre à d’autres mesures telles que l’isolement diplomatique et des sanctions économiques et commerciales ». Une position en deçà de celle de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui menace depuis le 24 décembre de déloger Laurent Gbagbo par la force. Lundi, le ministre des Affaires étrangères, Odein Ajumogobia, au nom de la CEDEAO, annonçait via la presse de son pays que le Nigeria avait demandé à l’ONU le pouvoir d’user de la force militaire pour chasser l’hôte du palais présidentiel ivoirien.


Nouvelle discordance au sein de l’UA
Cependant, jour après jour, l’unité affichée des chefs d’Etats africains contre Laurent Gbagbo laisse apparaître des failles. En plus du président angolais José Eduardo dos Santos qui, d’emblée, avait refusé de condamner Laurent Gbago et de réclamer sa démission, d’autres chefs d’Etats se sont démarqués de la position officielle de l’UA. John Atta Mills, le président Ghanéen, avait le 30 décembre déclaré qu’il n’enverrait pas ses troupes en Côte d’Ivoire, et une semaine plus tard, le 7 janvier, lors d’une conférence de presse, il avait précisé qu’il soutiendrait le gouvernement ivoirien « quel qu’il soit ». Ce mardi, c’est le président ougandais Yoweri Museveni, par la voix de son porte-parole Tamale Mirundi, dont les propos ont été diffusés dans le journal national Daily Monitor, qui s’est opposé à la reconnaissance par l’ONU d’Alassane Ouattara comme président élu de la Côte d’Ivoire. « L’Ouganda n’est pas d’accord avec l’Onu et la communauté internationale au sujet de la Côte d’Ivoire », a déclaré M. Mirundi, citant le président ougandais. « Il faut une approche sérieuse qui comprenne une enquête sur le processus (électoral), notamment sur l’élaboration des listes électorales et sur l’identité des électeurs », a poursuivi Yoweri Museveni, cité par son porte-parole. « Chaque pays dispose d’une Constitution et d’un cadre permettant de régler les problèmes internes », a souligné M. Museveni qui, le 18 février, tentera d’obtenir un quatrième mandat à la tête de l’Ouganda qu’il dirige d’une main de fer depuis 1986.


Vendredi dernier, le 21 janvier, c’est le président sud-africain Jacob Zuma qui, après un entretien avec Yoweri Museveni en visite dans son pays, avait estimé que l’annonce des résultats en Côte d’Ivoire faisait apparaître des « contradictions ». « Nous devons faire autre chose que de demander à l’un des deux leaders de partir », avait-il déclaré avant de proposer qu’un moyen de vérifier les « graves accusations » d’irrégularités électorales soit trouvé et de donner rendez-vous à ses pairs le 30 janvier, à Addis Abeba, pour en débattre. L’ancien président sud-africain, Thabo Mbeki, médiateur infructueux de l’UA en Côte d’Ivoire début décembre, avait déjà prévenu qu’il ne fallait pas diaboliser Laurent Gbagbo. « La crise actuelle ne vient pas d’un conflit entre anges et démons », écrivait Thabo Mbeki le 7 décembre dans une lettre transmise au président de la commission de l’UA, Jean Ping, au retour d’une mission de médiation en Côte d’Ivoire. « Le seul moyen de résoudre la crise ivoirienne est de convaincre Gbagbo et Ouattara de négocier », poursuivait l’ex-chef d’Etat, en mettant en garde contre le risque de « guerre très destructrice » en l’absence de dialogue, dans le document révélé lundi par le quotidien sud-africain The Times. Thabo Mbeki, qui a supervisé en 2008 la signature d’un accord de partage du pouvoir au Zimbabwe, prône en Côte d’Ivoire une « solution qui englobe toutes les parties ».


Le week-end prochain, en Ethiopie, les membres de l’Union africaine  devraient à nouveau plancher sur le meilleur moyen de conduire la crise ivoirienne vers une issue pacifique.

Article actualisé le 26/01/2011 à 01h55

Marianne2 s'élève contre un "dérapage" de Monsieur Sarkozy

Revue de Presse:

Source : Site de Marianne2


Sarkofrance, chez Marianne2.



Sarkozy voulait être crédible à Saint-Nazaire, mais dérape à Pornic 8 jours trop tard.

Mardi, Sarkozy a dérapé. Salement, une vraie bévue dans sa séquence préélectorale si bien préparée. Il n'a fallut qu'un fait divers, dramatique, pour que Sarkozy redevienne Sarkozy. Oublié l'exercice zen d'un président protecteur qui prend le temps de la réflexion ! Avant de partir à Saint-Nazaire pour un grand show industriel à la faveur d'un double évènement, le lancement d'un appel d'offre pour l'éolien offshore et la commande de deux navires de guerre par la Russie, le candidat avait reçu quelques parlementaires UMP à l'Elysée, pour leur confier son indignation après le drame de Pornic et son souhait d'une nouvelle loi... A Saint-Nazaire, son discours commença par un message sur le même fait divers. Chassez le naturel, il revient au galop ! Cette capacité toute sarkozyenne à déraper sur l'émotion s'est illustrée, grandeur nature, et en public, ce mardi 25 janvier.
Sarkozy voulait être crédible à Saint-Nazaire, mais dérape à Pornic 8 jours trop tard.

lire l’intégralité de l’article  en cliquant sur le lien ci-dessous :

Sarkozy voulait être crédible à Saint-Nazaire, mais dérape à ...
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Tunisie : Remaniement Ministériel attendu ce jour

Éditorial de lucienne magalie pons


26 janvier 2011

Complément d’information   

 Source : AFP/ACTUALITES ORANGE


Tunisie: remaniement attendu, tirs de lacrymogènes contre des manifestants à un barrage
La police anti-émeute tunisienne a tiré mercredi des grenades de gaz lacrymogène sur des manifestants qui tentaient de forcer un barrage bloquant un accès à l'esplanade où se situent les bureaux du Premier ministre…../….

- Lire la suite de l’article :

o        11:03 - Tunisie : remaniement attendu, ...

- à lire aussi



La révolte tunisienne ne cède pas

Éditorial de lucienne magalie pons

RAPPEL (très résumé)  des évènements depuis Dimanche 23 Janvier, jusqu'à ce jour  Mercredi 26  où le Gouvernement Tunisien devrait remanier le Gouvernement :


La Caravane de la libération était  arrivée  à Tunis dimanche,  composée des milliers de  manifestants venus du Centre, du Sud, de tous le pays, par tous moyens,  à pied, en moto ou en voiture Des milliers de manifestants de tout le pays  étaient ainsi venus  se regrouper à Tunis,  dimanche  ils  ont défilé au centre-ville en débattant et en  haranguant la foule,  transformant  l’avenue Bourguiba en une véritable  forum  d’information et de concertation politique , avec pour fil conducteur  de  leur détermination,  un seul mot d’ordre : « plus aucun membre de l’équipe  Ben Ali dans le Gouvernement « »

Ils ont  ensuite campé  devant la  Primature tunisienne,  devant le siège du Palais de la Kasbah qui abrite les bureaux du Premier Ministre,   rejoint par des  centaines de manifestants, et  dans la soirée, et en dépit du couvre feu nocturne, ils  ont manifesté  en se relayant toute la nuit,  avec un  avec toujours un seul mot d'ordre : plus aucun membre de l'équipe Ben Ali dans le gouvernement.

D’après les médias, … «  des tentes de fortune ont été montées et l’armée qui tolère, distribue même quelques couvertures. De jour comme de nuit, la rue est là désormais pour répéter son message : faire tomber le gouvernement ou du moins les caciques de l’ancien régime. »


Les mises à l’écart par le Gouvernement de transition de  différentes personnalités du régime Ben Ali, dont tout récemment  celles de  deux » caciques de l’ancien régime » (pour reprendre l’expression) ,  Abdallah Kallel, ex-ministre de l'Intérieur de Ben Ali, mis en résidence surveillée ,  et l’interpellation du patron de la chaîne de télévision privée Hannibale, accusé de vouloir favoriser le retour du président déchu, n’ont pas suffit à calmer les manifestants, pas plus que  les démissions des ministres « Benaliens » ou encore les mesures sociales annoncées et les nouvelles libertés accordées, .... ce que veut  la révolte tunisienne c’est  une rupture complète avec le Régime Benali et tous ceux qui y ont participé, avant les élections.


Dès lors, les manifestations se sont poursuivies depuis Dimanche, Lundi, et Mardi, et  dès Lundi, jour théorique de reprise des cours,  les enseignants du primaire  avaient aussi  appelé à la tenue d’une « grève générale illimitée ».

Sous  pression ,  le gouvernement toujours très contesté devait annoncer Mardi  un nouveau remaniement ministériel, mais  il a repoussé cette annonce à ce jour Mercredi

ooOoo

En France après les propos  tenus au début de la révolte tunisienne par  la Ministre des affaires étrangères qui n’ont pas été acceptés par l’opposition notamment ,  la France a prudemment adopté de  « nouvelles »  normes de communication  et  les personnalités politiques françaises,  de la majorité principalement,  qui sont appelés à se prononcer sur la révolution tunisienne  et sur le rejet du régime et   du clan Ben Ali par la population,   se placent  sur le terrain de  la surprise .

 C’est ainsi que Monsieur Axel Poniatowski, Président de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale, récemment  invité de l'émission internationale diffusée dimanche soir sur RFI , France 24 et TV5 monde, a déclaré le plus innocemment du monde,   : « Nous savions que des problèmes de droits de l'homme se posaient, que quelques journalistes étaient en prison. Nous avons été surpris par l'ampleur du dégoût pour le pouvoir et les familles Ben Ali et Trabelsi ».

Le Président de la République Française  s’est exprimé en substance   lui-même le lundi 24 Janvier en Conférence de presse,  pour la première fois depuis le début de la révolte tunisienne, en  revendiquant certaines réserves relatives aux pays  proches de la France , mais il reconnu qu’il y avait des désespérances …etc…, desquelles   « nous n’avions pas pris une juste mesure » (voir  dans le corps de la Revue de Presse,  après la première vidéo,  un lien actif qui vous conduira  vers une vidéo reprenant  exactement ses déclarations  à ce sujet)


Par Saadeddine Zmerli
Le 14 janvier 2011, la manifestation de tout un peuple toutes générations  et toutes classes confondues, manifestation pacifique ...
 Comment endiguer la vague de dégradation des notes de contreparties Tunisiennes ?
L’annonce de la dégradation des notes souveraines de la Tunisie par les trois agences américaines leaders et l’agence ...

Face à la crise
Par Habib Touhami
Pendant un quart de siècle, Ben Ali, son clan et ses auxiliaires ont pillé le pays, domestiqué l’Etat, asservi  les ..

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L’avarie du sel
Par Adel Kammoun
Pourquoi la rue continue-t-elle à presser le gouvernement et pourquoi celui-ci continue-t-il à concéder en donnant ...




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Revue de Presse :

  1. Tunisie: remaniement ministériel mercredi sous la pression de la rue


    AFP - Il y a 29 minutes
    TUNIS — Le gouvernement tunisien de transition, contesté par des milliers de manifestants de plus en plus nerveux, sera remanié mercredi selon son ...
    Tunisie: le remaniement du gouvernement annoncé aujourd'hui- TF1
    Tunisie. un remaniement pour calmer la rue- LaDépêche.fr
    Les Échos - Le Figaro
    Autres articles (943) »
  2. Tunisie : Clan Ben Ali, le trésor secret


    France Soir - Publié il y a 1 heure
    L'ensemble des biens mal acquis détenus en France par l'ex-président tunisien, son épouse, Leïla Trabelsi, et les membres de cette vaste famille est ...
    Tunisie : Les Ben Ali étaient bien attendus à Paris- melty.fr
    Tunisie. Leila Trabelsi et «son» hôtel particulier parisien- Kapitalis
    Tunisie : le Parquet de Paris s'intéresse aux biens de Ben Ali en ...- Ouest-France
    peopleinside.fr - 24heuresactu.com
    Autres articles (121) »

    France Soir
  3. Un ancien ambassadeur de France en Tunisie contredit Sarkozy


    Libération - Il y a 12 heures
    Les informations du Quai d'Orsay sur le régime de Ben Ali ont été ignorées, regrette Yves Aubin de la Messuzière, ambassadeur de France en Tunisie de 2002 à ...

     000000000
    Monsieur Sarkozy a évoqué un droit de réserve mais il a reconnu qu'il y avait une désespérance ... dont "nous" n'avions pas pris la juste mesure ;
    Tunisie: réponse de Sarkozy "trop embarrassée, trop tardive" selon ...- AFP
    EN TIRANT LES LEçONS DES ÉVÈNEMENTS DE TUNISIE- Liberté-Algérie
    MediaPart - Le Monde
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  4. Kaddafi sous le charme de la révolution tunisienne


    Jeune Afrique - Il y a 7 heures
    Dans une interview diffusée sur Nesma TV, Mouammar Kaddafi ne jette plus la pierre aux Tunisiens, dont il déclare désormais comprendre la révolution. ...
    Khadafi "avec le peuple tunisien"- Le Figaro
    Mouammar Kadhafi a peur pour la révolution tunisienne- GlobalNet Tunisie
    Khadafi (Libye) : volte-face pétrolier vis à vis de la Tunisie ?- Le Blog Finance (Blog)
    Le Post (Blog) - Egalité et Réconciliation
    Autres articles (12) »

    Jeune Afrique
  5. Tunisie : la rue ne se calme pas


    Le Figaro - Il y a 58 minutes
    Boulanger au chômage, il a fait le voyage en bus de Kasserine, où sont tombées plus de la moitié des victimes de la révolution tunisienne. ...
    Un nouveau gouvernement tunisien sera annoncé mercredi- Radio-Canada
    Autres articles (15) »



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Gaz de shiste : réticences locales

Des projets de grande envergure donnent lieu à protestation dans les régions du Sud-Aveyron;

Communiqué

Réunion Millau et Cruiser

Jean-Marie Juanaberia, José Bové, Patrick Herman et Fabrice Nicolino vous invitent à participer à la création du collectif « Stop au de Gaz de schiste en Sud-Averyon » vendredi 4 février 2011, à 18H,…
Pour lire la suite cliquez ici

INFORMATIONS IMPORTANTES POUR MES LECTRICES ET LECTEURS

Éditorial de lucienne magalie pons Information: J'ai quelques petits soucis de santé en ce moment et je reprendrai mes publications aprè...