Cette victoire des forces patriotes dans un pays marqué par la submersion migratoire et l’ultra progressisme est un tournant politique majeur. Par ce vote, les Suédois ont exprimé leur rejet des politiques migratoires folles, de l’insécurité et de la montée de l’islamisme qui y sont liés. Tout un symbole ! Hier en France l’entrée fulgurante de 89 députés Rassemblement national à l’Assemblée, aujourd’hui la Suède, demain l’Italie. Le contexte politique nous est favorable dans l’ensemble de l’Europe où tous les peuples se réveillent et les forces politiques patriotes montent en puissance. Néanmoins, il nous faut rester vigilants. Il est clair que la courte majorité du bloc de droite sur le bloc de gauche n’est pas gage de stabilité. Aux adversaires de l’intérieur viendront s’ajouter ceux de l’extérieur, notamment les institutions européennes. Comme pour la Hongrie et la Pologne, si le gouvernement suédois fait le choix de la souveraineté, du courage politique, de la défense de son peuple face à la submersion migratoire, alors il devra tenir face aux injonctions de la Commission européenne et aux rapports accablants votés par le Parlement européen, comme celui adopté jeudi à l’encontre de la Hongrie. Sans aucun fondement, reposant sur des notions floues et très discutables, ce texte veut à nouveau imposer cette conception impérialiste d’une supra Union Européenne omnipuissante. Il s’apparente à une sorte de règlement de compte politique à l’encontre d’un pays qui refuse cette dérive en restant fidèle aux fondamentaux de la construction européenne. Avec ce vote, le Parlement européen a oublié le peuple hongrois, dont le choix a pourtant été clair en reconduisant au pouvoir Viktor Orbán. Selon le mot de M. de Talleyrand, ministre de Napoléon 1er, « tout ce qui est excessif est insignifiant ». Avec ce rapport, la maxime reste d’une parfaite actualité. |
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