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06 mai 2008

L’incorrigible Monsieur Le Pen


Ancien para, envoyé autrefois par la France en Algérie, comme d’autres milliers d’autres jeunes militaires, Le Pen a fait pendant un temps la guerre d’Algérie avec ses compagnons d’armes pour combattre régulièrement, sous les ordres de la France, les troupes irrégulières rebelles armées par l’étranger et parfois mêmes par des réseaux français de France (porteurs de valises, politiques et philosophes, artistes etc..) sympathisants qui soutenaient leur cause.

Les rebelles en Algérie ne se sont pas privés de fusiller, mitrailler et d’égorger, massacrer, émasculer des civils Français d’Algérie et français musulmans fidèles à la France avant de les achever ; ils ne se sont pas privés non plus de martyriser des militaires français tombés blessés en embuscade et au combat, en les égorgeant et les émasculant avant de les achever, ce qui est contraire à l’honneur de la Guerre.

Leurs partisans et complices indépendantiste civils posaient des bombes meurtrières et les approvisionnaient en armes, tout en les aidant politiquement et activement en facilitant leurs déplacements dans les campagnes, en les cachant dans les villes, en les approvisionnant en vivres et en armes.

Pour l’armée Française, aux ordres de la France, lutter contre ces tueurs et poseurs de bombe, découvrir leurs complices, était une action qui ne pouvaient se faire dans la dentelle, et l’armée lorsqu’elles en saisissaient était chargée et tenue de leur faire avouer leur crimes pour démanteler les réseaux et les mettre hors d’état de nuire. De nos jours périodiquement, certains médias qui se veulent maîtres à penser de la presse et de l’audio visuel, des journalistes, des politiques et des philosophes intellectuels de salon à la solde des défaitistes , surtout habiles et habitués à péter dans la soie, reprochent aux militaires Français et souvent à Monsieur Le Pen d’avoir utilisé des moyens de tortures en faisant l’impasse sur les crimes odieux et sauvages des rebelles, à l’occasion d’articles ou de débats alimentés par des documentaires recomposés ou des fictions mensongères sur la Guerre d’Algérie, qu’ils n’ont pas vécue eux-mêmes sur le terrain . Quelques rares anciens militaires qui ont participé à la Guerre d’Algérie, convoqués par ces médias viennent régulièrement pleurer sur leurs traumatismes personnels et débiter la larme à l’œil leur mea culpa, mais ont évite soigneusement de convoquer et de laisser s’exprimer la grande majorité des militaires qui eux ont accomplis à l’époque leur devoir avec honneur et courage sur le terrain, dans les villes et les campagnes contre l’ennemi.

Qu’il s’agisse de son rôle dans la guerre d’Algérie ou de ses appréciations sur les dramatiques évènements de la deuxième Guerre Mondiale, Jean Marie Le PEN est périodiquement mis au banc des accusés et diabolisé par ses multiples détracteurs. Pour la guerre d’Algérie on lui reproche d' avoir torturé et il a pu s'en expliquer autrefois dans un entretien accordé au quotidien Combat, le 9 novembre 1962 : « Je n’ai rien à cacher. J’ai torturé parce qu’il fallait le faire. Quand on vous amène quelqu’un qui vient de poser vingt bombes qui peuvent exploser d’un moment à l’autre et qu’il ne veut pas parler, il faut employer des moyens exceptionnels pour l’y contraindre. C’est celui qui s’y refuse qui est le criminel car il a sur les mains le sang de dizaines de victimes dont la mort aurait pu être évitée" et le lendemain, le 10 novembre 1962, dans le quotidien il nuance ses déclarations en parlant de « méthodes de contraintes » plutôt que de tortures, et depuis n'a pas varié dans ses explications sauf à se défendre contre des accusations périodiquement orchestrées contre lui et dont les preuves sont manisfestement d'origine affabulatrices et fictives. Pour la deuxième Guerre Mondiale, il a le tort de pousser, périodiquement et très maladroitement des coups de gueule imprudents, qui dénonce son goût de la provocation et de la bagarre politique et médiatique : ceci n’est plus du tout admis de nos jours et férocement censuré.

Dans une deuxième guerre mondiale qui a détruit une grande partie de l’Europe et du Monde, qui a connu l’horreur d’Hiroshima, qui vu disparaitre plusieurs dizaines de millions de personnes militaires et civils, l’anéantissement total d’innombrables villes avec leurs populations, il lui est demandé à lui comme à l’opinion publique de reconnaitre les crimes de l’holocauste, de la shoah , des camps d’extermination, qui effectivement sont bien plus que des crimes et dont on ne peut trouver de mots assez forts pour en qualifier l’horreur, comme l’ essentiel de la deuxième guerre mondiale , et de ne retenir que cet essentiel en faisant l’impasse sur tous les autres drames tout éminemment tragiques de cette guerre.

Monsieur Le Pen je le répète a tort de se livrer périodiquement par des déclarations plus que regrettables à la fureur des nouveaux maîtres de l’histoire et des histrions qui y trouvent une fois de plus le moyen de le diaboliser en faisant planer à son encontre l’horreur du nazisme. Il porte lui-même de l'eau au moulin de ses détracteurs aptes à dénaturer ses propos et contribue ainsi lui-même à brouiller son image. C'est tout à fait regrettable pour ses partisans qui en subissent le contre coup.

1 commentaire:

Lucienne Magalie Pons a dit…

j'ai supprimé le commentaire raciste, insultant et injurieux d'Antar pseudo d'un Algérien qui intervient sur plusieurs sites d'information pour injurier les français et les auteurs d'articles, notamment sur mon blog et sur le site Come4news