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13 août 2012

Laurent Fabius et François Hollande ont répondu fermement aux critiques de l'UMP sur le dossier Syrien

Éditorial de lucienne magalie pons


Depuis que François Hollande a balayé l’ancien Président Sarkozy, l’UMP ne cesse de le critiquer, tout est bon pour essayer  de le discréditer, les cadres de l’UMP se saisissent de tous ses faits et gestes  pour le discréditer , tout y passe,  ils ironisent sur le Président « normal », voyage-t-il en train ?,  ça les excitent, prend-t-il ses congés  au Fort de Brégançon,  , ils considèrent à tort que ce sont des vacances privées et vont même jusqu’à insinuer comme Georges Didier un proche de Brice Hortefeux  , secrétaire national de l’UMP,  qu’il devrait les payer de sa poche,   "Lorsqu'on est un président apparemment normal, on prend sans doute le train pour se rendre sur son lieu de villégiature face à un mur de caméras sur le quai de la gare. Mais lorsqu'on est un président véritablement normal, on paie aussi ses vacances privées comme chaque Français qui gagne sa vie", écrit-il le 3 Août dans un communiqué.. en poursuivant … , « Le domaine de Brégançon appartenant à l'État et François Hollande s'y rendant en famille pour des raisons privées et non professionnelles ni officielles, il n'y a strictement aucune raison que le contribuable soit sollicité ».

Rappelons que le fort de Brégançon  est l’une des Résidences officielles  du chef de l'État Français en exercice depuis 1968, Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy y ont séjourné pour des vacances., bien sûr nous savons qu’après son mariage avec Carla Bruni-Sarkozy, Nicolas Sarkozy et son épouse  préféraient passer  l'essentiel de leurs vacances    dans la  propriété  privée de son épouse  au Cap Nègre, située sur la commune voisine du Lavandou, ce qui pourtant ne signifient pas qu’ils en assumaient  de leur poche  leurs frais de séjour et de sécurité.

Et Georges Didier extrapolait  en écrivant : "Je sais bien que les prédécesseurs de François Hollande ont utilisé aussi Brégançon. Mais quand on donne comme lui des leçons à tout le monde en faisant de la normalité une vertu cardinale, il faut aller jusqu'au bout, et payer les factures", se justifie Geoffroy Didier avant de conclure : "La normalité ne doit pas être uniquement un exercice de communication".

Mais il y encore pire quand ces Dames et ces  Messieurs de l’UMP s’avisent, alors qu’ils n’ont plus aucune position officielle dans l’Etat, de s’en prendre à sa politique en général avec des arguments licencieux sur sa politique en général et plus récemment sur sa politique vis-à-vis de la Syrie.

A commencer par Nicolas Sarkozy  qui a rompu la semaine dernière son prétendu silence politique  avec un communiqué par lequel il critique implicitement "l'attentisme" du chef de l'Etat, précédé par Brice Hortefeux  qui le 9 Août déclarait au Parisien  ….  "Où est la France dans cette histoire? Il y a un silence inouï devant une situation extrêmement grave. Sous le quinquennat précédent, l'action du pays a été saluée en Géorgie, en Côte d'Ivoire, à Tripoli"… et  ensuite dimanche cet 'ancien ministre de l'Intérieur, a insisté dans un entretien à Nice Matin   en  avançant  "Où est passée la France ? Jamais le président n'a interrompu ses vacances pour se rendre à Moscou, essayer de convaincre le président Poutine" 

Et bien entendu les « ténors » de l’UMP  se sont joints  en écho au concert et pour inviter  François Hollande à interrompre ses vacances et à engager sans tarder le « dialogue » avec Moscou »

Pour  Jean-François Copé, secrétaire Général de l’UMP,  dans une interview au Figaro  « le Président de la République  invitait   François Hollande à interrompre «  immédiatement (ndlr : rien que ça)  ses vacances au fort de Brégançon. "Le président de la République devrait revenir à Paris, contacter ses homologues et les rencontrer, bref, prendre directement en charge la conduite de la diplomatie française, comme le veut la tradition lorsque les droits de l'homme sont menacés", a jugé le député-maire de Meaux.

  Nathalie Kosciusko-Morizet a  reproché à François Hollande de "faire semblant" sur le dossier syrien. "Quand des massacres étaient en cours ou menaçaient, comme en Géorgie, Nicolas Sarkozy n'attendait pas la fin des congés payés pour intervenir", a  lançée la députée de l'Essonne.

Sur Europe 1 dimanche Dominique de Villepin  a estimé  que la France est "sans doute un peu trop sur le reculoir." Il exhorte le gouvernement à ne pas "laisser en paix " les diplomaties russe et chinoise, suggérant l'envoi d'un émissaire à Moscou.

Et ce Lundi  François Fillon  l’ex premier ministre de  l’ex président Sarkozy ,dans une Tribune au Figaro,  s’est autorisé de dures critiques contre François Holla    nde  a invité   le président  à "abandonner ses postures bourgeoises" et à "débloquer le véritable verrou de ce conflit : la position de Moscou!"., en concluant : "Que notre président normal comprenne qu'il n'y a rien de normal dans le monde dont il est désormais l'un des principaux responsables. 

Toutes ces positions outrées sont parfaitement irresponsables, comment peut-on imaginer que le Président François Hollande en passant sur les impératifs diplomatiques officiels se mettrait à courir à Moscou pour « dialoguer »  avec Moscou ? 

Laurent  Fabius finalement avait déjà  remis les pendules à l’heure dès le 9 Août, pour lui ,  après les critiques de Nicolas Sarkozy contre l’immobilisme supposé de François Hollande sur le dossier Syrien,  le ministre des affaires étrangères attendait autre chose 

Laurent Fabius dans un entretien accordé au Parisien., relayé par d’autres médias, a déclaré notamment .., ; "Je suis étonné que Monsieur Sarkozy souhaite susciter une polémique sur un sujet aussi grave, alors qu'on attendrait autre chose de la part d'un ancien président", affirme-t-il., et alors que l’ex président Sarkozy  a rapproché les crises syrienne et libyenne, le chef de la diplomatie française  a estimé  que "sur le fond, la situation de la Syrie est très différente de celle de la Libye". "D'abord, d'un point de vue géostratégique puisque la Syrie est entourée, comme chacun devrait le savoir, de l'Irak, du Liban (avec les conséquences sur Israël), de la Turquie et de la Jordanie",  a-t-il notamment  expliqué., en poursuivant : « D'autre part, "les situations militaires ne sont pas du tout les mêmes: la Syrie dispose de stocks d'armes importants, notamment chimiques. Les différences sont si manifestes qu'aucun pays n'a demandé ni souhaité une intervention militaire, ce qui n'était pas le cas pour la Libye. Tout ceci fait que je suis en effet surpris qu'on puisse avoir exercé d'importantes responsabilités et livrer une analyse aussi rapide..."Le ministre des Affaires étrangères  s’est aussi interrogé sur les  motivations de l'intervention de Nicolas Sarkozy dans le débat : "est-ce que c'est (...) pour ne pas se faire oublier? Est-ce que c'est parce qu'il n'a pas que des bons souvenirs avec Bachar al-Assad qu'il avait, avec un sens de l'anticipation particulier, invité en France pour présider les cérémonies du 14 juillet 2008?"  a-t-il souligné et rappelé …

 Pour Laurent Fabius, "dans des circonstances aussi graves, il vaut mieux faire bloc avec la politique de son pays". 

Le Président de la République  François Hollande a lui aussi répondu  samedi aux critiques de l’UMP en  assurant chercher "obstinément" une solution pour les Syriens. "Cette semaine encore, la France déploie un groupement médico-chirurgical dans le nord de la Jordanie, au plus près de la frontière avec la Syrie, pour venir en aide aux réfugiés et aussi aux combattants", a notamment rappelé  le président.
En conclusion nous pouvons penser que quoiqu’il fasse dans le dossier Syrien, le Président de la République inscrira son action politique sous le mandat des Nations Unis, comme il se doit dans une République  Française qui depuis sa prise de pouvoir ne s’égare pas dans des initiatives hasardeuses et dispersées
.
C’est ce qui  gêne les UMP qui n’ont pas  à lui dicter sa conduite.Ils ne peuvent "être" et "avoir été" ..
  
Revue de Presse :

Laurent Fabius s'étonne de "l'analyse rapide" de Nicolas Sarkozy ...

www.lemonde.fr/.../laurent-fabius-s-etonne-de-l-analyse-rapide-de-ni...
il y a 4 jours – Le ministre des affaires étrangères "attendrait autre chose de la part d'un ancien président" qu'une polémique sur le dossier syrien.

  1. François Hollande répond à ses détracteurs sur la crise syrienne
RTL.fr‎ - il y a 2 jours
François Hollande répond à ses détracteurs sur la crise syrienne ... Il avait été relayé par le patron de l'UMP Jean-François Copé, qui avait ...
Paris dépêches‎ - il y a 1 jour

 Pour l'UMP, Hollande doit payer ses vacances à Brégançon ...

lci.tf1.fr/.../geoffroy-didier-ump-hollande-doit-payer-ses-vacances-a-...
3 août 2012 – C'est ce qui être pris au mot : le secrétaire national de l'UMP, Geoffroy Didier s'est fendu d'un communiqué pour exiger de François Hollande ...

Le Président de la République rend hommage au militaire tué en Afghanistan (reportage)

Éditorial de lucienne magalie pons

SOURCE : reprise de communiqué et de vidéo du  Site Officiel de la Présidence de la République

Publié le 11 août 2012

Discours de M. le Président de la République - Hommage national au militaire tué en Afghanistan Une fois encore, la Nation se retrouve autour du cercueil de l’un de ses soldats, l’un des plus méritants de ses soldats. Ce qui nous réunit ce matin encore, c’est la douleur. C’est la peine, c’est la solidarité. Mais ce qui nous rassemble aussi, en cet instant, c’est la fierté, c’est la gratitude, c’est l’admiration. [...]
 
 ________

Crise de la Zone Euro : Le smilblick n'avance pas !

Éditorial de lucienne magalie pons


Une fois de plus nous redoutons que la Grèce ne devienne  la victime expiatoire de la politique  contradictoire et   des atermoiements successifs des pays membres des pays de l’UE  et des organismes financiers qui chacun respectivement défendent leur  position dans ses propres intérêts particuliers.

Certains dirigeants des pays membres de la zone euro accablent la Grèce en l’accusant de ne pas aller assez vite dans la mise en place des mesures d’austérité qui lui  sont  imposées par la Troïka des Financiers ( UE-BCE-FMI), résultat un pessimisme général semblent s’installer sur les possibilités de la Grèce de « s’en sortir »,  et pour encore mieux l’enfoncer, au lieu de l’aider, certains dirigeants évoquent l’exclusion de la Grèce de la Zone Euro !

Rappelons qu’à l'issue de sa dernière réunion de politique monétaire, au début du mois d’août , la BCE s'est dite prête à recourir si besoin à des mesures "non-conventionnelles" pour juguler la crise de la dette, en procédant notamment à des achats d'obligations souveraines sur le marché, une proposition qui continue de se heurter aux réticences de certains  responsables politiques et financiers  des pays  de la zone Euro, notamment de l’Allemagne et de la Finlande. Si l'on suit les informations se rapportant à la crise de la zone euro, depuis la prise de position de la BCE et de son Président Mario Draghi du début Août jusqu'au 7 août, on peut lire et relire dans la presse européenne les réactions des hauts dirigeants politiques et financiers de la zone et des pays en faisant partie, sans noter un changement d'attitude de leur part sinon un renforcement de leur position, ceux d'entre eux  qui étaient contre les achats de la BCE de titres de dettes des États en difficulté le sont toujours et encore plus, et ceux qui seraient favorables à cette proposition du Président Draghi le sont toujours, mais avec certaines réserves , et finalement le tableau paraissait plus ou moins flou quand à son issue en Septembre. Mais surtout entre les réactions des uns et des autres étaient mises en avant des informations qui indiquaient  un bras de fer entre le dirigeant de la BundesBank et le patron de la BCE, ce qui permettait de placer les politiques dans un position confortable d'arrière plan.

Les commentateurs s’interrogeaient notamment sur les chances de Mario Draghi de voir aboutir ses intentions en Septembre, et certains mêmes se demandaient s’il était  « ligoté pieds et poings liés »  par la Bundesbank. Voir l’article en cliquant sur le lien ci-contre : ·  Mario Draghi, pieds et poings liés par la Bundesbank ?

Mais le 8 Août d’autres informations viennent jeter sur la Zone Euro un éclairage complémentaire qui pour autant ne fait pas avancer le smilblick  :

Le Secrétaire de l’OCDE  Angel Gurria,  s’est montré favorable au maintien de la Grèce dans la Zone Euro  et  a manifesté son soutien aux achats par la BCE de titres de dette d'Etats de la zone euro en difficulté, pour combattre la crise ..(voir l’article : L'OCDE pour des achats d'obligations par la BCE pour lutter contre la crise
De son côté le  FMI  appelle  les Etats de la zone euro à renoncer à leurs exigences  vis-à-vis de la Grèce, en « menaçant »  qu’ il compte interrompre ses aides à la Grèce si la BCE et les banques centrales continuent de refuser une remise de dette. Les commentateurs soulignent que ceci  revient à reconnaître que la Grèce ne pourra pas rembourser ses dettes, alors que d’autres  condamnent ce qu'ils voient comme un déni de responsabilité de la part du FMI

La Finlande reste toujours  fermement opposée au rachat par la Banque centrale européenne (BCE) d'obligations souveraines espagnoles et italiennes,  a prévenu son Premier ministre Jyrki Katainen dans une interview au magazine allemand Der Spiegel finlandais….. »  Le nouveau rejet par Helsinki d'une intervention de la BCE sur le marché de la dette intervient à la suite des  propos du secrétaire général de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)) – voir l’article : Helsinki contre des rachats de dette par la BCE, l'OCDE pour _

(Rappelons aussi que la Finlande l’un des quatre pays les mieux coté  AAA de la Zone Euro a menacé plusieurs fois de quitter la zone si elle devait participer au payement  des dettes des pays en difficultés )

 Certains dirigeants comme notamment  le chef de l’Eurogroup Jean-Claude Junker évoquent  une exclusion d'Athènes de la zone euro tout en indiquant que cette éventualité était "maîtrisable". (voir l’article :    Pour Juncker, une sortie de la Grèce serait "gérable" mais "non souhaitable")




Encore plus expéditif, le  ministre bavarois des Finances, Markus Söder, estime qu'il est temps pour les Grecs de quitter la famille de la zone euro ; "A un moment donné chacun doit déménager de chez maman, et les Grecs en sont là",  a-t-il déclaré  ……… (voir l’article : <http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/08/05/97002-20120805FILWWW00107-grece-demenager-de-chez-maman-all.php>



Revue de Presse : 
COMPLEMENT d'INFORMATIONS - SOURCE EUROTOPICS_

La Grèce met la zone euro à l'épreuve


L'austérité imposée par l'Europe divise fortement la Grèce. Lors des nouvelles élections anticipées, après l'échec de la formation d'un gouvernement, les partisans de la rigueur sont parvenus à obtenir la majorité. Le gouvernement futur saura-t-il stabiliser le pays en crise et le maintenir dans la zone euro ?



Imerisia - Grèce | jeudi, 9. août 2012

Vers une autre gestion de crise à Berlin

Sigmar Gabriel, le chef des sociaux-démocrates allemands dans l'opposition, s'est exprimé lundi, dans un entretien accordé au journal Berliner Zeitung, en faveur de l'introduction durable d'une garantie communautaire des dettes de la zone euro. Cela indique un changement de cap à Berlin, écrit le journal économique Imerisia, estimant que cette réorientation pourrait changer le climat en Allemagne mais aussi dans toute l'Europe : » suite

À la une de mercredi, 8. août 2012

Le FMI mise sur une remise de dette pour Athènes

Le Fonds monétaire international appelle les Etats de la zone euro à renoncer à leurs exigences vis-à-vis d'Athènes. D'après le Wall Street Journal, il ... » suite

Diário Económico - Portugal | mercredi, 8. août 2012

En temps de crise, le silence est d'or

Dans un entretien accordé mardi à la station de radio allemande WDR, le chef de l'Eurogroupe Jean-Claude Juncker a évoqué une exclusion d'Athènes de la zone euro tout en indiquant que cette éventualité était "maîtrisable". Le journal économique libéral Diário Económico est en colère et appelle les politiques européens à plus de circonspection : » suite

Die Presse - Autriche | mercredi, 8. août 2012

Athènes ne pourra pas rembourser ses dettes

Les exigences du FMI indiquent que la Grèce ne pourra plus rembourser ses dettes et dénotent une nouvelle perte de confiance en la politique, estime le quotidien libéral-conservateur Die Presse. Celui-ci rappelle que la ministre des Finances autrichienne Maria Fekter avait soutenu les aides à la Grèce en les qualifiant de "bonne chose" : » suite

Die Welt - Allemagne | mercredi, 8. août 2012

L'Europe doit pouvoir se fier au FMI

En appelant les Etats de la zone euro à renoncer à leurs prétentions vis-à-vis de la Grèce, le FMI se soustrait à sa responsabilité, critique le quotidien conservateur Die Welt : » suite

De Volkskrant - Pays-Bas | lundi, 6. août 2012

Le combat de la zone euro est perdu d'avance

La Grèce a progressé dans ses mesures d'austérité, selon les créditeurs internationaux, mais elle doit poursuivre le cap emprunté. Le rapport de la visite de la troïka à Athènes est attendu pour fin septembre, mais le verdict est pratiquement connu d'avance car une faillite de la Grèce reste taboue, estime l'historien de la culture Thomas van der Dunk dans le quotidien de centre-gauche De Volkskrant : » suite

Ependytis - Grèce | dimanche, 5. août 2012

L'Europe prend congé de la crise

Le journal économique Ependytis s'étonne de la passivité des dirigeants de la zone euro au mois d'août alors que l'avenir de l'Union monétaire est en jeu : » suite

Epikaira - Grèce | jeudi, 2. août 2012

Papandreou a vu venir la catastrophe

L'ex-représentant de la Grèce au Fonds monétaire international (FMI), Panagiotis Roumeliotis, a déclaré lors d'une interview la semaine dernière au New York Times que le ... » suite

To Vima Online - Grèce | jeudi, 2. août 2012

Nouveau programme d'austérité en Grèce

Après d'âpres négociations, le gouvernement grec s'est entendu mercredi soir sur un nouveau programme d'austérité. Il entend ainsi épargner 11,5 milliards d'euros pour continuer à bénéficier du soutien financier des bailleurs de fonds internationaux. Le journal en ligne de centre-gauche To Vima évoque les circonstances dans lesquelles cet accord a été conclu : » suite

08 août 2012

Polémique sur les Centres éducatifs fermés : Une mise au point qui s'impose

Éditorial de lucienne magalie pons

Lybie, Syrie, Irak, Iran : une vidéo qui date de 2011 dévoile les intentions des Etats Unis sur ces pays

Éditorial de lucienne magalie pons

Il est bon de naviguer sur Internet,  certaines vidéos  passées presque  inaperçues à l'époque révèlent la planification américaine pour satisfaire ses ambitions  sur  ces pays qui depuis lors sont en crises révolutionnaires ou mises en cause sur la politiques de leurs dirigeants :

07 août 2012

Syrie : Monsieur Bassam Tahhan était reçu ce matin sur RMC pour s'exprimer sur la Syrie

Éditorial de lucienne magalie pons



Monsieur Bassam Tahhan est  franco-syrien, professeur de géopolitique et de géostratégie,  à partir de 2006 il a enseigné  notamment  à l'école secondaire  Henri IV à Paris.

Cette personnalité reconnue  comme un expert du Coran est aussi  porte-parole du Collectif pour la Syrie, une association qui milite pour le changement à Damas et pour "un dialogue serein entre les diverses composantes" du pays.

 Il était reçu  était ce matin sur RMC et a clairement exposé sont point de vue et son analyse sur    les évènements dramatiques qui opposent différents groupes de rebelles au régime de Bachar El Assad.

Son  approche très documentée et  différente de celles que les médias occidentaux nous proposent jusqu’à présent à retenu notre attention.

Retrouvez cet entretien ci-dessous :

détails ▼

Un sous-officier Français tué en Afghanistan et un autre soldat blessé

Éditorial de lucienne magalie pons


Nous apprenons ce jour,  avec une très grande peine,  qu’un  sous-officier français du 13e bataillon de chasseurs alpins de Chambéry  a perdu la vie  au  cours d'une opération de l'armée afghane dans la province de Kapisa,  il  faisait partie d'une équipe d'assistance qui conseille les unités afghanes. Un autre soldat, également blessé, est hors de danger.

Encore une fois hélas des familles sont en deuil et en peine, et les membres de notre rédaction s’inclinent devant elles.

Le décès de ce sous-officier porte à 88 le nombre de nos soldats français qui ont trouvé la mort en Afghanistan depuis 2001.

.
Nous avons pu lire sur le site officiel de la Présidence de la République le communiqué du Président François Hollande, ci-dessous reproduit intégralement :

Copié/collé :

C'est avec une vive émotion que j'ai appris ce matin la mort d'un sous-officier français du 13ème bataillon de chasseurs alpin de Chambéry au cours d'une opération de l'armée  afghane dans la Province de Kapisa. Il faisait partie d'une équipe d'assistance qui conseille  les unités afghanes. Un autre soldat, également blessé, est hors de danger.

Ce tragique évènement affecte à nouveau nos troupes engagées dans la défense de la transition démocratique en Afghanistan.

Mes pensées vont à la famille de la victime, à laquelle j'adresse mes sincères condoléances et à laquelle j'exprime mon soutien, au nom de la France.

Je souhaite aussi au militaire blessé un rapide rétablissement.

Je salue le courage et le dévouement des troupes françaises en Afghanistan, qui œuvrent tous les jours pour la paix et la stabilité dans ce pays.

Le retrait de nos forces combattantes a commencé et sera achevé, comme prévu, à la fin de cette année.

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Revue de presse :

Un sous-officier français meurt au combat en Afghanistan


06 août 2012

Myret Zaki : Conférences des 3 décembre 2011 er 23 avril 2012

Éditorial de lucienne magalie pons

Au moment où des plans de sauvetage de la Zone Euro sont actualisés par les hauts responsables financiers et politiques de l'UE et les dirigeants des pays en crise  , il est intéressant de revoir les conférences de Myret Zaki et d'Etienne Chouard pour cerner les origines des crises et leurs metteurs en scène et les objectifs qu"ils poursuivent.

________Myret Zaki :

 


 Pour retrouver les conférences sur le même sujet , notamment  celle d'Etienne Chouard  du 3 décembre 2011 qui faisait suite à celle de Myret Zaki, et ensuite la nouvelle  interview de Myret Zaki du 23 Aveil 2012 dans laquelle  elle donnait des précisions sur des questions soulevées durant sa conférence avec Etienne Chuuard , il convient de cliquer sur les liens ci-dessous :


http://www.youtube.com/watch?v=TLjq25_ayWM


NOUVEAU : VERSION "ENRICHIE" DE LA CONFERENCE / PREMIERE PARTIE DISPONIBLE ICI : http://www.youtube.com/watch?v=3AUbvQIdxy8

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Profils de Myret Zaki et Etienne Chouard - Source : Wikipédia :


Myret Zaki - Wikipédia

fr.wikipedia.org/wiki/Myret_Zaki
Myret Zaki (née en 1973 au Caire, Égypte) est une journaliste économique suisse romande et rédactrice en chef adjoint du magazine économique Bilan.

Étienne Chouard - Wikipédia

fr.wikipedia.org/wiki/Étienne_Chouard
Étienne Chouard, né le 21 décembre 1956 à Paris, est un enseignant en économie et en droit dans un lycée et un blogueur français qui a connu une certaine ...

La musique adoucit les moeurs

Éditorial de lucienne magalie pons

Le sauvetage de la Grèce par la Troïka : Une petite poire pour la soif en attendant le verdict de Septembre

Éditorial de lucienne magalie pons

Les  experts  missionnés par  la  troïka des créanciers UE –FMI- BCE ont quittés Dimanche 5 août Athènes où ils trouvaient  après deux semaines de  discussion  avec l’exécutif Grec, notamment  les ministres grecs des Finances et de l’Emploi  sur un programme d'économies pour 2013 et 2014.

 Les principes d’un nouveau train  rigueur et d’austérité  d'un plan d'économies de 11,5 milliards d'euros en 2013 et 2014 ont été arrêtés.

Poul Thomsen, l’expert du FMI,  a indiqué «  Les discussions ont enregistré «des progrès»

Il faut  comprendre  que le vocabulaire des experts de la Troïka  donnent au mot « progrès » un sens tout à fait singulier,  qui est celui des financiers,  pour qualifier   l’avancement des discussions qui  se traduit par  un nouveau train de mesures de rigueur  et d’austérité de 11,5 milliards d'euros que la Grèce doit  adopter en 2013 et 2014 pour recevoir une nouvelle tranche d'aide de plus de 31 milliards d'euros en septembre.


 Pour atteindre un  tel montant de réduction des dépenses publiques les économies doivent être faites dans les dépenses publiques, mais encore   les Grecs  subiront de nouvelles coupes dans les salaires et les retraites. 


Yannis Soumaras, le ministre des finances grec, a rappelé  le 5 Août dans un entretien au Journal grec Etnos, .a  souligné que «les prochaines semaines étaient cruciales pour la survie du pays, car des choix différents de ceux que la logique impose pourraient nous conduire à une faillite et à sortir de la zone euro», tout en  rappelant  que «Le pays s’est engagé à procéder à une série de mesures et de réformes pour redresser l’économie et écarter définitivement la menace de la faillite

.
L’exécutif  grec d’Antonis Samaras  a jusqu'à début septembre pour  finaliser ce nouveau programme d’économies

 En septembre  une nouvelle visite de la troïka donnera lieu à un rapport dont dépend le sort de la Grèce. En effet, le rapport des experts de la Troïka  est   une condition préalable pour que  les créanciers du pays  débloquent  le versement à la Grèce d’une tranche de 31,5 milliards d’euros prévue en septembre, dans le cadre du second plan d’aide accordé à la Grèce.


La récession cette année en Grèce, pour la cinquième année consécutive, est  plus grave que prévue. Elle devrait atteindre 7% de recul du PIB étant précisé qu’aucune reprise n'est attendue avant 2014.

Rappelons qu’avec tout ça  la mission d’experts de la  troïka des créanciers  a quitté Athènes satisfaite « Les discussions ont enregistré «des progrès», a indiqué l’expert du FMI,  Poul Thomsen, …


Une petite  poire pour la soif : Rappelons que   dans l’attente du versement de cette tranche, la Grèce est  au bord de la faillite, et que la BCE  le 4 Août a décidé en toute discrétion jeudi dernier d’autoriser la banque centrale grecque à acheter davantage de dette grecque, pour faire le « relai » avec le prochain prêt de la Troïka.


 Selon le quotidien allemand Die Welt , paru le samedi  4 Août, la Banque Centrale Européenne aurait permis à la Grèce d’éviter provisoirement la faillite, en lui garantissant l’octroi de prêts d’urgence via la Banque Centrale de Grèce (en autorisant la Banque centrale grecque à acquérir 7 milliards d’euros de bons du Trésor contre 3 milliards auparavant).

Le journal précise que le conseil des gouverneurs de la BCE a pris cette décision jeudi (2 août) lors de sa réunion mensuelle, et  que ceci devrait permettre à la Grèce de se financer jusqu’en septembre.

En fait  ce sont  4 milliards d’euros que la BCE devrait donc fournir presque directement à la Grèce (alors que les statuts de la BCE lui interdisent de financer les Etats)

C’est donc une poire pour la soif  que la BCE procure à la Grèce avant que la troika ne statue sur le sort du pays, en décidant ou non de lui verser la prochaine tranche de 31,3 milliards d’euros du plan d’aide prévue pour le mois de septembre.

La Grèce est loin d’être tirée d’affaires qu’on se le dise ! …, elle s’enfonce de plus en plus dans les dettes, alors  l’avancement des discussions est un « progrès » pour la Troïka des financiers, mais pour le peuple grec  c’est encore  le désespoir de suppressions d’emplois  de réduction des salaires et des coupes sur les retraites qui s’annoncent dans un délai très court.

Drôle de « procès » tout de même, un progrès qui ne satisfait pas tout le monde !

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commentaires d'Euronews accompagnant la vidéo :


Publiée le  5 août 2012 par
http://fr.euronews.com/ Après deux semaines à Athènes, les membres de la Troïka sont satisfaits des progrès enregistrés.

Les représentants du FMI, de l'UE et de la BCE et les ministres grecs des Finances et de l'Emploi ont préparé un nouveau train de mesures de rigueur de 11,5 milliards d'euros que la Grèce doit adopter en 2013 et 2014. Des mesures indispensables pour recevoir une nouvelle tranche d'aide de plus de 31 milliards d'euros en septembre.

Les économies doivent être faites dans les dépenses publiques, y compris dans les salaires et les retraites.

Marios, 75 ans, a vendu sa voiture, il cultive et vend des légumes pour gagner un peu d'argent :

"Au départ, je recevais 950 euros quand j'ai été à la retraite. Mais maintenant j'ai seulement 719 euros. C'est difficile de payer mes dépenses quotidiennes, et tout devient plus difficile dans ma vie. La dernière fois que je suis allé à l'hôpital pour des examens, j'ai payé 56 euros de ma poche."

Matoula est une jeune retraitée de 58 ans. Cette ancienne fonctionnaire a vu sa retraite diminuée de 400 euros : "Ma vie a complètement changé, je ne peux même pas aller boire un café avec des amis."

Pour les retraités, le quotidien est rendu encore plus difficile par le chômage qui touche les générations plus jeunes. Des enfants qu'il faut souvent héberger chez soi, et avec qui il faut partager sa retraite.
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 Revue de presse :

    1. La troïka satisfaite des discussions avec le gouvernement grec
      Challenges.fr‎ - il y a 41 minutes
      La troïka presse le gouvernement grec d'adopter de nouvelles réductions dans les dépenses publiques afin de débloquer le versement...
    1. Le Nouvel Observateur‎ - il y a 17 heures
  1. Grèce : la troïka des créanciers quitte Athènes satisfaite - Grèce ...

    www.rfi.fr/.../20120805-grece-troika-creanciers-grece-quitt...
    il y a 15 heures – La troïka des créanciers de la Grèce - FMI, Union européenne et BCE - a quitté Athènes ce dimanche 5 août après deux semaines de ...
  2. Grèce : Les discussions avec la troïka progressent - La Tribune

    www.latribune.fr/.../grece-les-discussions-avec-la-troika-pro...
    il y a 18 heures – Les experts de la troïka se sont montrés satisfaits de l'avancée des discussions. L'ensemble des mesures devrait être finalisé en septembre.
  3. Troïka - Wikipédia

    fr.wikipedia.org/wiki/Troïka
    Troïka est un terme russe général désignant un ensemble de trois choses. ... La Troïka, un grand traîneau tiré par un attelage de trois chevaux ; on parle alors ...
  4. Grèce: Fin de la visite de la Troïka, retour en septembre - 20minutes.fr

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  5. La Troïka satisfaite des progrès réalisés en Grèce | euronews, monde

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    il y a 17 heures – monde - Après deux semaines à Athènes, les membres de la Troïka sont satisfaits des progrès enregistrés. Les représentants du FMI, de l'UE ...
  6. Les inspecteurs de la troïka terminent leur visite en Grèce - Le ...

    tempsreel.nouvelobs.com › Monde
    il y a 17 heures – BRUXELLES (Sipa) — Les inspecteurs de la troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international), ...
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04 août 2012

Sauvetage de la Zone Euro : La nouvelle donne de la BCE

Éditorial de lucienne magalie pons


La déception  ressentie  notamment par les pays de l’UE en difficultés au sujet des déclarations de Mario Draghi ne trouve aujourd’hui Samedi presque plus d’écho,  en effet les médias s’étendent sur  le comportement  « inattendu »   des grands  investisseurs  qui, contre toute attente d’après eux, se sont montrés confiants hier Vendredi  sur les marchés  européens et internationaux.

Il n’y a pas de quoi s’en étonner ! Mais les médias font comme si …

Pourtant une nouvelle analyse économique et politique  des  nouvelles conditions que  la BCE  se réserve d’observer pour intervenir dans un plan de sauvetage de la Zone Euro,   fait ressortir qu’elle s’aligne sur  la politique  des pays  qui entendent imposer des conditions de rigueur et d’austérités renforcés, assorties de moyens de contrôle  sur les pays qui ont besoin d’être aidés, c’est cette politique qui gagne du terrain,   prédomine,  et finalement  s’impose, et ce genre de politique que soutiennent aussi les investisseurs ….

Nous ne pensons pas que Mario Draghi a battu en retraite bien au contraire, nous pensons  finalement au vu des développements de cette dernière semaine,  qu’il s’est volontairement  rapproché de  la politique dominante, celle de Jens Weidmann et du Gouvernement Allemand, mais il fallait  surtout laisser planer au début  le doute pour consolider  le scénario et attiser les commentaires.

En effet,  si l’on observe  les premières déclarations très encourageantes  du Lundi  30 Juillet du Président de la BCE  Mario Draghi  destinées à  créer un climat de confiance,   ensuite  si l’on  analyse  les déclarations préventives    de Jens Weidmann président de la Bundesbank,  des chefs  d’Etat , des  ministres  et  autres personnalités dirigeantes  politiques  et financières de haut niveau Européen, ( et pas seulement européen ),  qui ont  précédées du Lundi  30 juillet  au Mercredi 1 Août  ,   la conférence de  Mario Draghi du Jeudi  2 Août ,  au cours de laquelle il a expliqué entre autres  la marge de manœuvre, le mécanisme  et les nouvelles conditions que la BCE se réservait désormais d’observer,     toute cette opération médiatique à laquelle ils ont tous concouru  avec la mise en évidence, en   surface,   d’approbations, mais aussi de  divergences d’opinions   pour faire réagir les médias  et les commentateur,  n’ est ni plus ni moins qu’ une opération concertée entre tous les acteurs et intervenants pour préparer l’opinion à admettre  qu’il faut  imposer  en Europe  des mesures  d’austérité de plus en plus draconiennes  pour  sauver la Zone Euro.

 En effet la nouvelle donne de la BCE  qui n'interviendra pas avant septembre au plus tôt  c’est que le « nouvel effort de la BCE » serait « différent » tant par son ampleur que sa conditionnalité  et que  les pays européens en difficulté sur les marchés de la dette en fassent la demande et acceptent en échange de strictes conditions, notamment une supervision européenne.

Pour prendre un exemple, la BCE n'interviendra pour acheter de la dette  que si le pays concerné demande l'aide du FESF/MES, dans  ce cas ce pays  devra signer un protocole d'accord et accepter les conditions liées à cette aide européenne., (consolidation budgétaire, sous le contrôle de l’Europe, notamment),   ce n’est qu’ensuite  que la   BCE  estimera  s'il elle doit intervenir directement sur les marchés, et  il s'agirait uniquement d'achats de titres à court terme, de plus les montants de ces interventions pourraient être illimités.

Et cette nouvelle donne est bien entendu  destinée à satisfaire les exigences de la Bundesbank, du Gouvernement Allemand, et du FMI qui en profite pour réclamer plus d’action de la BCE;

Après la conférence de Presse de Mario Draghi,  les investisseurs qui eux aussi avaient joué leur rôle dans ce scénario   en faisant chuter les marchés  dès le Jeudi 2 août au matin  se sont vite repris et vendredi les marchés terminaient en hausse en Europe et sur la place internationale.

Mais en ce qui concerne les taux d’emprunt il ne faut pas se faire d’illusion, les banques continuent à se sucrer sur le dos des pays qui auraient le plus besoin d’être aidés en Europe, et  c’est avec le couteau sous la gorge que vient de leur placer  les atermoiements et les nouvelles conditions de la BCE, que ces pays  finiront plus ou moins vite  par se mettre à genoux a tel point qu’il sacrifieront leurs souverainetés   sous les contrôles de l’Europe et leurs population sur l’autel de l’austérité.

 C’est notre avis, ce n’est pas celui  de certains médias et commentateurs, journalistes,   économistes et financiers,  qui donnent chacun leur version en passant,  d’une  semaine à l’autre,  du pessimisme à l’optimisme et vous retrouverez en revue de presse leurs différentes variations


Revue de Presse :


L'Espagne "étudiera" les mesures de la BCE avant de se décider sur ...
Le Monde
Le premier ministre espagnol Mariano Rajoy a déclaré vendredi 3 août qu'il "étudiera" les mesures de la BCE avant de se décider sur un sauvetage. Cette déclaration vient sérieusement nuancer les propos tenus jusqu'alors par les responsables espagnols, ...
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Les Bourses s'en remettent finalement à Draghi... et aux Etats-Unis
L'Expansion
La BCE a par ailleurs indiqué que ses "opérations sur le marché obligataire" seront "d'une taille adéquate pour atteindre son objectif". Or jusqu'ici, la BCE avait toujours dit que ses achats d'obligations souveraines sur le marché secondaire, dans le ...
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L'euro en légère hausse malgré la déception de la BCE
Les Échos
L'euro montait légèrement face au dollar vendredi malgré la déception des investisseurs devant la frilosité, la veille, de la Banque centrale européenne (BCE) qui n'a pas annoncé de mesures fortes pour répondre à la crise de la dette. Vers 06H00 GMT ...
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Rebond des Bourses européennes qui relativisent la position de la ...
TF1
Les Bourses européennes ont nettement rebondi vendredi à la clôture à la faveur d'une détente du marché obligataire, relativisant la déception suscitée la veille par le statu quo de la BCE, et après la publication de chiffres mensuels de l'emploi ...
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La BCE prête à s'engager sur un nouveau terrain pour secourir la ...
Boursorama
La Banque centrale européenne (BCE), qui depuis le début de la crise s'est démenée avec les moyens à sa disposition pour tenter de la contrer, a franchi un nouveau pas jeudi en laissant entrevoir des achats illimités de titres de dette des Etats. La ...
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Espagne: Rajoy "étudiera" les mesures de la BCE avant de décider ...
Le Nouvel Observateur
Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a expliqué vendredi qu'il voulait "étudier" les nouvelles mesures envisagées par la Banque centrale européenne pour soulager la crise de la dette, qui devront passer par une demande d'aide, avant de ...
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Dans l'Humanité ce vendredi :la BCE dicte ses conditions aux peuples
l'Humanité
Mario Draghi a souligné que la BCE n'ouvrira le « feu », n'achètera des titres de dette publique des pays attaqués par les marchés financiers (l'Espagne et l'Italie), que si leurs gouvernements poursuivent leurs « efforts de consolidation budgétaire, ...
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Le FMI craint la contagion et réclame plus d'action de la part de la BCE
La Tribune.fr
Le FMI, qui craint la contagion, s'est dit favorable à un assouplissement monétaire et à la mise en place de mesures non conventionnelles dans la zone euro, le temps que les autres politiques réclamées par la BCE soient mises en place et prennent effet.
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La Bourse de Londres termine en baisse, déçue par la BCE
Les Échos
La Banque centrale européenne (BCE) n'a pas annoncé jeudi de mesures concrètes pour combattre la crise qui accable la zone euro, en dépit des fortes attentes des marchés, mais s'est dit disposée à intervenir sur le marché obligataire pour contenir la ...
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