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26 janvier 2011

REVUE DE PRESSE EUROPEENNE: TUNISIE - EGYPTE - LIBAN -

SOURCE /  EURO/TOPICS :

Revue de presse européenne du 26/01/2011

À LA UNE
Linie

Les Egyptiens veulent être libres
Plusieurs dizaines de milliers d'Egyptiens ont manifesté mardi dans tout le pays contre le président Hosni Moubarak. D'après certains rapports, trois personnes auraient été tuées. Après la Tunisie, c'est au tour de l'Egypte de se libérer prédit la presse européenne, qui demande aux politiques occidentaux de cesser enfin de soutenir les dictatures arabes.


Die Presse - Autriche
On n'a plus peur de Moubarak
Le régime égyptien est sous pression car les citoyens prennent courage, analyse le quotidien libéral-conservateur Die Presse : "Le régime égyptien ne peut qu'espérer. Il ne peut se consoler qu'en se disant que les circonstances qui ont mené à une révolution le 14 janvier en Tunisie étaient tout à fait différentes. … Il y a toutefois des parallèles qui devraient inquiéter l'inamovible souverain égyptien Hosni Moubarak : le chômage élevé des jeunes, la corruption, le fossé social croissant, l'absence de perspective. Plus dangereux encore pour Moubarak, un phénomène de psychologie de masse qui s'est manifesté pour la première fois mardi dernier, lorsqu'au moins 15.000 personnes ont manifesté dans les rues du Caire : les citoyens commencent à ne plus avoir peur." (26.01.2011)
» article intégral (lien externe, allemand)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Relations Internationales, » Égypte
Tous les textes disponibles de » Christian Ultsch

ABC - Espagne
La chute d'un autocrate sympathique
Les parallèles avec la Tunisie sont évidents, mais il y a bien une différence entre le président tunisien déchu Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak en Egypte, estime le quotidien conservateur ABC : "Nous sommes maintenant témoins de la manière dont Moubarak, en raison de son incapacité à gouverner, pourrait être renversé après 30 ans au pouvoir. … On a assisté hier à un tournant déterminant. La foule a osé s'opposer à la police dans le centre de la capitale, où se trouve un nombre bien plus important de médias qu'à Tunis. Même s'il est facile de dresser des parallèles avec Ben Ali, il faut comprendre que Moubarak ressemble davantage à [l'ancien dictateur roumain Nicolae] Ceaușescu : un autocrate qui a réussi à devenir notre allié dans la région." (26.01.2011)

Trouw - Pays-Bas
L'Occident doit revoir ses positions
La révolution tunisienne et les mouvements de protestation en Egypte ont des conséquences sur la politiques occidentale, estime la journaliste et historienne Tineke Bennema dans le quotidien Trouw : "L''intifada numérique' arabe ne cesse de rappeler très décemment que l'Occident est au courant des infractions systématiques aux droits de l'homme telles que les arrestations, la torture et l'absence de liberté d'opinion. … Mais l'Occident a sciemment détourné le regard car ces éléments ne cadraient pas avec ses propres intérêts. La marge de manœuvre de l'Occident au Proche-Orient sera désormais plus restreinte. La question de la violation des droits de l'homme sera davantage évoquée qu'auparavant. L'Europe et les Etats-Unis seraient bien avisés de privilégier les droits de l'homme et de trouver des partis désireux de s'investir pour cela dans les pays concernés. Il faut mettre fin au soutien militaire apporté à ce régime. … Tout comme le monde arabe, l'Occident doit également apprendre à écouter la rue." (26.01.2011)

POLITIQUE
Linie
Le Temps - Suisse
Le Hezbollah gagne en influence au Liban
Le président libanais Michel Sleimane a nommé mardi au poste de Premier ministre le candidat du parti islamo-radical chiite du Hezbollah. Si Najib Mikati est sunnite et jugé modéré, sa nomination accroît néanmoins l'influence du Hezbollah, estime le quotidien Le Temps : "Cette avancée du parti d'Hassan Nasrallah ne devrait pourtant surprendre que ceux, comme les Etats-Unis, qui ont cru qu'il était possible de proscrire le Hezbollah. Au plan de la démographie, les adeptes du parti chiite n'ont cessé de croître en nombre. Politiquement, le mouvement que Washington considère toujours comme une organisation terroriste a étendu sa toile au point que, ces derniers mois, rien ne se faisait au Liban sans l'aval du Hezbollah. Militairement, ce dernier est un Etat dans l'Etat tant ses capacités dépassent largement celles de l'armée libanaise." (26.01.2011)
» article intégral (lien externe, français)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » Liban
Tous les textes disponibles de » Stéphane Bussard

Côte d'Ivoire : L'Union Africaine divisée

Informations de source :


Côte d’Ivoire : l’Union africaine divisée
Le président de l’organisation panafricaine à Abidjan






Visite surprise du président de l’Union africaine Bingu wa Mutharika. Le chef d’Etat malawite est arrivé mardi à Abidjan afin de rencontrer les deux présidents proclamés de Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara. Le dossier ivoirien fait de moins en moins l’unanimité au sein de l’UA, qui réclame officiellement le départ de Laurent Gbagbo au profit de son rival. Après les présidents angolais, ghanéen et sud-africain, c’est au tour ce mardi de l’Ougandais Yoweri Museveni de se démarquer. « Il faut enquêter et ne pas se contenter de dire "untel a gagné" », a-t-il notamment déclaré, contestant les choix de l’ONU et de l’UA.
Bingu wa Mutharika prend les choses en main. Après l’échec du Premier ministre kényan Raila Odinga, le médiateur qu’il avait désigné, le président de l’Union africaine (UA) a débarqué mardi midi à Abidjan pour une « visite d’information », sans avoir annoncé au préalable sa venue à la presse. Il a été accueilli à l’aéroport par le Premier ministre du gouvernement Gbagbo, Aké N’Gbo, et son ministre des Affaires étrangères Alcide Djédjé. Il a rencontré les deux présidents ivoiriens proclamés, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, ainsi que le chef de l’opération de l’ONU en Côte d’Ivoire (Onuci), Choi Young-Jin. Selon une source diplomatique africaine à Abidjan qui s’est livrée à l’AFP, Bingu wa Mutharika ne devait pas effectuer de médiation entre les principaux protagonistes de la crise ivoirienne, mais recueillir les informations qui lui permettront d’établir un rapport présenté lors du prochain sommet de l’organisation panafricaine prévu du 29 au 31 janvier à Addis Abeba, en Ethiopie.

Aussi, mardi soir, à l’issu de ses entretiens, M. Mutharika a déclaré qu’il transmettrait les « propositions » et « vues » de Laurent Gbagbo « à ses frères chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine, afin qu’ensemble, par la concertation, nous puissions trouver un moyen d’avancer ». « Mon frère et ami (Laurent Gbagbo) m’a expliqué en détail ce qui s’est passé et il m’a aussi expliqué en détail ses idées », a-t-il ajouté. A son côté, sur les marches du palais présidentiel, M. Gbagbo acquiesçait, selon le correspondant de l’AFP. Aucune précision n’a été donnée quant aux « propositions » de sortie de crise formulées par Laurent Gbagbo.
La semaine dernière, Raila Odinga a publiquement confessé l’échec de sa médiation. « Malgré des discussions approfondies avec M. Laurent Gbagbo et avec le président élu Alassane Ouattara, qui se sont prolongées très tard dans la nuit, j’ai le regret d’annoncer que les progrès requis ne se sont pas matérialisés », a-t-il déclaré mercredi, lors de sa dernière tentative. N’ayant pas réussi, comme le réclame officiellement l’Union africaine depuis le 8 décembre, à faire Laurent Gbagbo céder le pouvoir à son rival, le Premier ministre kényan a déclaré vendredi, à Nairobi, qu’à défaut d’accord négocié les membres de l’Union africaine devraient se « résoudre à d’autres mesures telles que l’isolement diplomatique et des sanctions économiques et commerciales ». Une position en deçà de celle de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui menace depuis le 24 décembre de déloger Laurent Gbagbo par la force. Lundi, le ministre des Affaires étrangères, Odein Ajumogobia, au nom de la CEDEAO, annonçait via la presse de son pays que le Nigeria avait demandé à l’ONU le pouvoir d’user de la force militaire pour chasser l’hôte du palais présidentiel ivoirien.


Nouvelle discordance au sein de l’UA
Cependant, jour après jour, l’unité affichée des chefs d’Etats africains contre Laurent Gbagbo laisse apparaître des failles. En plus du président angolais José Eduardo dos Santos qui, d’emblée, avait refusé de condamner Laurent Gbago et de réclamer sa démission, d’autres chefs d’Etats se sont démarqués de la position officielle de l’UA. John Atta Mills, le président Ghanéen, avait le 30 décembre déclaré qu’il n’enverrait pas ses troupes en Côte d’Ivoire, et une semaine plus tard, le 7 janvier, lors d’une conférence de presse, il avait précisé qu’il soutiendrait le gouvernement ivoirien « quel qu’il soit ». Ce mardi, c’est le président ougandais Yoweri Museveni, par la voix de son porte-parole Tamale Mirundi, dont les propos ont été diffusés dans le journal national Daily Monitor, qui s’est opposé à la reconnaissance par l’ONU d’Alassane Ouattara comme président élu de la Côte d’Ivoire. « L’Ouganda n’est pas d’accord avec l’Onu et la communauté internationale au sujet de la Côte d’Ivoire », a déclaré M. Mirundi, citant le président ougandais. « Il faut une approche sérieuse qui comprenne une enquête sur le processus (électoral), notamment sur l’élaboration des listes électorales et sur l’identité des électeurs », a poursuivi Yoweri Museveni, cité par son porte-parole. « Chaque pays dispose d’une Constitution et d’un cadre permettant de régler les problèmes internes », a souligné M. Museveni qui, le 18 février, tentera d’obtenir un quatrième mandat à la tête de l’Ouganda qu’il dirige d’une main de fer depuis 1986.


Vendredi dernier, le 21 janvier, c’est le président sud-africain Jacob Zuma qui, après un entretien avec Yoweri Museveni en visite dans son pays, avait estimé que l’annonce des résultats en Côte d’Ivoire faisait apparaître des « contradictions ». « Nous devons faire autre chose que de demander à l’un des deux leaders de partir », avait-il déclaré avant de proposer qu’un moyen de vérifier les « graves accusations » d’irrégularités électorales soit trouvé et de donner rendez-vous à ses pairs le 30 janvier, à Addis Abeba, pour en débattre. L’ancien président sud-africain, Thabo Mbeki, médiateur infructueux de l’UA en Côte d’Ivoire début décembre, avait déjà prévenu qu’il ne fallait pas diaboliser Laurent Gbagbo. « La crise actuelle ne vient pas d’un conflit entre anges et démons », écrivait Thabo Mbeki le 7 décembre dans une lettre transmise au président de la commission de l’UA, Jean Ping, au retour d’une mission de médiation en Côte d’Ivoire. « Le seul moyen de résoudre la crise ivoirienne est de convaincre Gbagbo et Ouattara de négocier », poursuivait l’ex-chef d’Etat, en mettant en garde contre le risque de « guerre très destructrice » en l’absence de dialogue, dans le document révélé lundi par le quotidien sud-africain The Times. Thabo Mbeki, qui a supervisé en 2008 la signature d’un accord de partage du pouvoir au Zimbabwe, prône en Côte d’Ivoire une « solution qui englobe toutes les parties ».


Le week-end prochain, en Ethiopie, les membres de l’Union africaine  devraient à nouveau plancher sur le meilleur moyen de conduire la crise ivoirienne vers une issue pacifique.

Article actualisé le 26/01/2011 à 01h55

Marianne2 s'élève contre un "dérapage" de Monsieur Sarkozy

Revue de Presse:

Source : Site de Marianne2


Sarkofrance, chez Marianne2.



Sarkozy voulait être crédible à Saint-Nazaire, mais dérape à Pornic 8 jours trop tard.

Mardi, Sarkozy a dérapé. Salement, une vraie bévue dans sa séquence préélectorale si bien préparée. Il n'a fallut qu'un fait divers, dramatique, pour que Sarkozy redevienne Sarkozy. Oublié l'exercice zen d'un président protecteur qui prend le temps de la réflexion ! Avant de partir à Saint-Nazaire pour un grand show industriel à la faveur d'un double évènement, le lancement d'un appel d'offre pour l'éolien offshore et la commande de deux navires de guerre par la Russie, le candidat avait reçu quelques parlementaires UMP à l'Elysée, pour leur confier son indignation après le drame de Pornic et son souhait d'une nouvelle loi... A Saint-Nazaire, son discours commença par un message sur le même fait divers. Chassez le naturel, il revient au galop ! Cette capacité toute sarkozyenne à déraper sur l'émotion s'est illustrée, grandeur nature, et en public, ce mardi 25 janvier.
Sarkozy voulait être crédible à Saint-Nazaire, mais dérape à Pornic 8 jours trop tard.

lire l’intégralité de l’article  en cliquant sur le lien ci-dessous :

Sarkozy voulait être crédible à Saint-Nazaire, mais dérape à ...
Marianne2.fr
Mardi, Sarkozy a dérapé. Salement, une vraie bévue dans sa séquence préélectorale si bien préparée. Il n'a fallut qu'un fait divers, dramatique, ...
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Tunisie : Remaniement Ministériel attendu ce jour

Éditorial de lucienne magalie pons


26 janvier 2011

Complément d’information   

 Source : AFP/ACTUALITES ORANGE


Tunisie: remaniement attendu, tirs de lacrymogènes contre des manifestants à un barrage
La police anti-émeute tunisienne a tiré mercredi des grenades de gaz lacrymogène sur des manifestants qui tentaient de forcer un barrage bloquant un accès à l'esplanade où se situent les bureaux du Premier ministre…../….

- Lire la suite de l’article :

o        11:03 - Tunisie : remaniement attendu, ...

- à lire aussi



La révolte tunisienne ne cède pas

Éditorial de lucienne magalie pons

RAPPEL (très résumé)  des évènements depuis Dimanche 23 Janvier, jusqu'à ce jour  Mercredi 26  où le Gouvernement Tunisien devrait remanier le Gouvernement :


La Caravane de la libération était  arrivée  à Tunis dimanche,  composée des milliers de  manifestants venus du Centre, du Sud, de tous le pays, par tous moyens,  à pied, en moto ou en voiture Des milliers de manifestants de tout le pays  étaient ainsi venus  se regrouper à Tunis,  dimanche  ils  ont défilé au centre-ville en débattant et en  haranguant la foule,  transformant  l’avenue Bourguiba en une véritable  forum  d’information et de concertation politique , avec pour fil conducteur  de  leur détermination,  un seul mot d’ordre : « plus aucun membre de l’équipe  Ben Ali dans le Gouvernement « »

Ils ont  ensuite campé  devant la  Primature tunisienne,  devant le siège du Palais de la Kasbah qui abrite les bureaux du Premier Ministre,   rejoint par des  centaines de manifestants, et  dans la soirée, et en dépit du couvre feu nocturne, ils  ont manifesté  en se relayant toute la nuit,  avec un  avec toujours un seul mot d'ordre : plus aucun membre de l'équipe Ben Ali dans le gouvernement.

D’après les médias, … «  des tentes de fortune ont été montées et l’armée qui tolère, distribue même quelques couvertures. De jour comme de nuit, la rue est là désormais pour répéter son message : faire tomber le gouvernement ou du moins les caciques de l’ancien régime. »


Les mises à l’écart par le Gouvernement de transition de  différentes personnalités du régime Ben Ali, dont tout récemment  celles de  deux » caciques de l’ancien régime » (pour reprendre l’expression) ,  Abdallah Kallel, ex-ministre de l'Intérieur de Ben Ali, mis en résidence surveillée ,  et l’interpellation du patron de la chaîne de télévision privée Hannibale, accusé de vouloir favoriser le retour du président déchu, n’ont pas suffit à calmer les manifestants, pas plus que  les démissions des ministres « Benaliens » ou encore les mesures sociales annoncées et les nouvelles libertés accordées, .... ce que veut  la révolte tunisienne c’est  une rupture complète avec le Régime Benali et tous ceux qui y ont participé, avant les élections.


Dès lors, les manifestations se sont poursuivies depuis Dimanche, Lundi, et Mardi, et  dès Lundi, jour théorique de reprise des cours,  les enseignants du primaire  avaient aussi  appelé à la tenue d’une « grève générale illimitée ».

Sous  pression ,  le gouvernement toujours très contesté devait annoncer Mardi  un nouveau remaniement ministériel, mais  il a repoussé cette annonce à ce jour Mercredi

ooOoo

En France après les propos  tenus au début de la révolte tunisienne par  la Ministre des affaires étrangères qui n’ont pas été acceptés par l’opposition notamment ,  la France a prudemment adopté de  « nouvelles »  normes de communication  et  les personnalités politiques françaises,  de la majorité principalement,  qui sont appelés à se prononcer sur la révolution tunisienne  et sur le rejet du régime et   du clan Ben Ali par la population,   se placent  sur le terrain de  la surprise .

 C’est ainsi que Monsieur Axel Poniatowski, Président de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale, récemment  invité de l'émission internationale diffusée dimanche soir sur RFI , France 24 et TV5 monde, a déclaré le plus innocemment du monde,   : « Nous savions que des problèmes de droits de l'homme se posaient, que quelques journalistes étaient en prison. Nous avons été surpris par l'ampleur du dégoût pour le pouvoir et les familles Ben Ali et Trabelsi ».

Le Président de la République Française  s’est exprimé en substance   lui-même le lundi 24 Janvier en Conférence de presse,  pour la première fois depuis le début de la révolte tunisienne, en  revendiquant certaines réserves relatives aux pays  proches de la France , mais il reconnu qu’il y avait des désespérances …etc…, desquelles   « nous n’avions pas pris une juste mesure » (voir  dans le corps de la Revue de Presse,  après la première vidéo,  un lien actif qui vous conduira  vers une vidéo reprenant  exactement ses déclarations  à ce sujet)


Par Saadeddine Zmerli
Le 14 janvier 2011, la manifestation de tout un peuple toutes générations  et toutes classes confondues, manifestation pacifique ...
 Comment endiguer la vague de dégradation des notes de contreparties Tunisiennes ?
L’annonce de la dégradation des notes souveraines de la Tunisie par les trois agences américaines leaders et l’agence ...

Face à la crise
Par Habib Touhami
Pendant un quart de siècle, Ben Ali, son clan et ses auxiliaires ont pillé le pays, domestiqué l’Etat, asservi  les ..

.
L’avarie du sel
Par Adel Kammoun
Pourquoi la rue continue-t-elle à presser le gouvernement et pourquoi celui-ci continue-t-il à concéder en donnant ...




___________________
Revue de Presse :

  1. Tunisie: remaniement ministériel mercredi sous la pression de la rue


    AFP - Il y a 29 minutes
    TUNIS — Le gouvernement tunisien de transition, contesté par des milliers de manifestants de plus en plus nerveux, sera remanié mercredi selon son ...
    Tunisie: le remaniement du gouvernement annoncé aujourd'hui- TF1
    Tunisie. un remaniement pour calmer la rue- LaDépêche.fr
    Les Échos - Le Figaro
    Autres articles (943) »
  2. Tunisie : Clan Ben Ali, le trésor secret


    France Soir - Publié il y a 1 heure
    L'ensemble des biens mal acquis détenus en France par l'ex-président tunisien, son épouse, Leïla Trabelsi, et les membres de cette vaste famille est ...
    Tunisie : Les Ben Ali étaient bien attendus à Paris- melty.fr
    Tunisie. Leila Trabelsi et «son» hôtel particulier parisien- Kapitalis
    Tunisie : le Parquet de Paris s'intéresse aux biens de Ben Ali en ...- Ouest-France
    peopleinside.fr - 24heuresactu.com
    Autres articles (121) »

    France Soir
  3. Un ancien ambassadeur de France en Tunisie contredit Sarkozy


    Libération - Il y a 12 heures
    Les informations du Quai d'Orsay sur le régime de Ben Ali ont été ignorées, regrette Yves Aubin de la Messuzière, ambassadeur de France en Tunisie de 2002 à ...

     000000000
    Monsieur Sarkozy a évoqué un droit de réserve mais il a reconnu qu'il y avait une désespérance ... dont "nous" n'avions pas pris la juste mesure ;
    Tunisie: réponse de Sarkozy "trop embarrassée, trop tardive" selon ...- AFP
    EN TIRANT LES LEçONS DES ÉVÈNEMENTS DE TUNISIE- Liberté-Algérie
    MediaPart - Le Monde
    Autres articles (36) »
  4. Kaddafi sous le charme de la révolution tunisienne


    Jeune Afrique - Il y a 7 heures
    Dans une interview diffusée sur Nesma TV, Mouammar Kaddafi ne jette plus la pierre aux Tunisiens, dont il déclare désormais comprendre la révolution. ...
    Khadafi "avec le peuple tunisien"- Le Figaro
    Mouammar Kadhafi a peur pour la révolution tunisienne- GlobalNet Tunisie
    Khadafi (Libye) : volte-face pétrolier vis à vis de la Tunisie ?- Le Blog Finance (Blog)
    Le Post (Blog) - Egalité et Réconciliation
    Autres articles (12) »

    Jeune Afrique
  5. Tunisie : la rue ne se calme pas


    Le Figaro - Il y a 58 minutes
    Boulanger au chômage, il a fait le voyage en bus de Kasserine, où sont tombées plus de la moitié des victimes de la révolution tunisienne. ...
    Un nouveau gouvernement tunisien sera annoncé mercredi- Radio-Canada
    Autres articles (15) »



___________________

Gaz de shiste : réticences locales

Des projets de grande envergure donnent lieu à protestation dans les régions du Sud-Aveyron;

Communiqué

Réunion Millau et Cruiser

Jean-Marie Juanaberia, José Bové, Patrick Herman et Fabrice Nicolino vous invitent à participer à la création du collectif « Stop au de Gaz de schiste en Sud-Averyon » vendredi 4 février 2011, à 18H,…
Pour lire la suite cliquez ici

25 janvier 2011

Abeilles : communiqué de presse

Éditorial de lucienne magalie pons


COMMUNIQUE DE PRESSE – Paris le 24 Janvier 2011

• Victoire de l’Union Nationale de l’Apiculture Française contre l’autorisation du pesticide CRUISER® en Conseil d’Etat.

Le Conseil d’Etat a examiné aujourd’hui, lundi 24 janvier 2011, les trois requêtes de l’Union Nationale de l’Apiculture contre les décisions d’autorisation de mise sur le marché du CRUISER 350 dont les apiculteurs français et européens dénoncent depuis des années les effets dévastateurs sur les abeilles et sur l’ensemble des insectes pollinisateurs. A l’audience du Conseil d’Etat, le Rapporteur Public, monsieur Edouard GEFFRAY vient de demander l’annulation des décisions par lesquelles le ministre de l’Agriculture a autorisé le CRUISER en 2008, 2009 et 2010. Le magistrat a demandé également la condamnation de l’Etat à verser 9.000 € d’indemnités à l’UNAF pour ses frais de procédure.(english Version)

mini, hyper, supra Président, une ascension volatile virtuelle !

Source : site Gaullistes de Bretagne et Pays de la Loire:

Sarkozy: d'hyper président à supra président, selon la presse
 
PARIS — De la conférence de presse de Nicolas Sarkozy lundi, les éditorialistes retiennent que l'hyperprésident des débuts devient "supraprésident" et que la présidence du G20 lui donne l'occasion de se "représidentialiser" en vue de 2012.
 
Dans Les Echos, Henri Gibier estime qu'"avec un tel programme au coeur de "son" G20, l'hyperprésident va devenir (...) une sorte de +supraprésident+, au-dessus des partis et presque au-dessus de son pays".
 
Rémi Godeau de L'Est Républicain croit aussi que "le crypto-candidat à 2012 veut capitaliser sur ses réussites passées à l international - Géorgie, crise financière - pour mieux se représidentialiser."
 
Le Courrier Picard sous la plume de Didier Louis, assure également que "pour son grand oral devant les journalistes, Nicolas Sarkozy avait choisi un classique de la Ve pour chef d'Etat aspirant à se représidentialiser."
 
"Sarkozy semble avoir compris qu'il fallait qu'il se +présidentialise+. Mais ce revirement n'arrive-t-il pas trop tard?" se demande Jean-Marcel Bouguereau dans La République des Pyrénées.
 
Hervé Favre dans La Voix du Nord assure qu'"à l'heure où sa popularité est au plus bas, le président recherche un nouveau souffle dans l'ascension des sommets de l'année, G8 en juin, G20 en novembre."
 
Ils sont plusieurs à évoquer l'abandon du style bling-bling ou agité comme Laurent Marchand d'Ouest-France qui souligne que "c'est un nouveau style que Nicolas Sarkozy a étrenné. Pas de volontarisme. Pas d'envolée lyrique sur la refondation du monde, de sa finance, de son ordre. Pas de détails people. Pas d'accrochage avec les plumes les plus acides de la presse française. Pas de phrase choc ni de réflexe d'autodéfense".
 
Les éditorialistes ne sont pourtant pas certains du résultat, tel Michel Lépinay de Paris-Normandie qui se demande si "le galon de président temporaire du G20 suffira-t-il à rendre son pari gagnant ? Sur certains points peut-être. Sur d?autres, il a probablement mis la barre bien haut."
 
"Nicolas Sarkozy avance pour sa présidence des G20 et G8 avec de grandes ambitions", juge également François Ernenwein de La Croix.
 
"À l?international, comme au national, le chef de l?État offre l?image d?un président qui parle beaucoup. Communique efficacement. Évoque avec pertinence les dossiers. Mais obtient peu de résultats.(...)", note avec circonspection François Martin dans Le Midi Libre.
 
Quant à Paul-Henri du Limbert, éditorialiste du Figaro, il choisit l'ironie: "Comment, lorsqu'on est de gauche, s'opposer à un homme qui fait de la régulation mondiale son combat ? Comment, lorsqu'on est de gauche, s'opposer à un homme qui entend combattre la spéculation sur les marchés agricoles, car elle crée +les émeutes de la faim+?". Et même la perfidie: "Comment, enfin, lorsqu'on est de gauche, s'opposer à quelqu'un qui, sur tous ces sujets, a la même vision que Dominique Strauss-Kahn".
 
Par Gaullistes de Bretagne et Pays de la Loire - Publié dans : Politique

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24 janvier 2011

Mur d'actualités - vidéos récentes -

Éditorial de lucienne magalie pons

Conférence de presse de Monsieur le Président de la République du 24 Janvier 2011

Éditorial de lucienne magalie pons

--


G 20-G8 « Nouveau Monde    Nouvelles idées » ... nouveau Président !

Brèves réflexions sur la Conférence du Président de la République

Si l’on en juge par l’attitude et l’expression du Président de la République lors de sa conférence de presse du 24 Janvier 20011, on peut se rendre compte que l’on peut donner l’illusion d’un nouveau monde et de nouvelles idées  en  rejouant fondamentalement   le même air sur fond de système monétaire, de mondialisation, de gouvernance mondiale, de financement  du développement, mais  entrecoupé de courtes séquence  pour en atténuer la rigueur technique,  comme par exemple une réflexion qu’il souhaite engager sur « un socle de protection sociale universelle »

 
Les questions qui seront prioritairement mis à l’ordre du jour des G20 et G8 ne sont pas nouvelles, mais le Président de la République  qui entend  faire de la présidence du G20 un temps fort de la fin de son quinquennat, s'est livré lundi à un exercice incantatoire pour exposer ses  grandes priorités , mise en chantier d'un nouvel ordre monétaire, lutte contre la volatilité des prix des matières premières, amélioration de la gouvernance mondiale et financement du développement., avec pour accompagnement  sa conviction affirmée de la mondialisation, d’un nouveau monde, de nouvelles idées, et de la régulation qui s’impose dans ces différentes perspectives .

"La planète est devenue un village, c'est une réalité. La France ne peut être abritée derrière des frontières imaginaires", a-t-il dit, en estimant que l'agenda français était "de nature à reconnecter l'opinion publique et le G20", en confirmant qu’il se rendrait en Chine fin mars pour participer à  un séminaire de réflexion sur la réforme du système monétaire international.

Nicolas Sarkozy a  aussi annoncé  l'organisation d'un sommet social à la veille du sommet du G20, en parallèle à un G20 des chefs d'entreprise.


Le chef de l’état à  développé quelques nouvelles  pistes de travail pour faire avancer ces objectifs en citant  notamment :

(liste non exhaustive)

- la lutte contre la volatilité des céréales et des monnaies  et les bénéfices qui pourraient en résulter pour la France, en classant ces objectifs comme des sujets « profondément quotidiens «  pour des catégories comme les éleveurs ou les chefs d’entreprises »


 -   le  financement du développement, il y voit le seul moyen d'endiguer des flux migratoires en provenance de l'Afrique vers l'Europe, que "personne n'arrêtera" si le continent n'a pas accès à l'énergie et aux grandes infrastructures.

- une taxe financière : le Chef de l’état s’est à nouveau dit favorable à une taxe sur les transactions financières pour financer le développement des pays les moins favorisés et aussi pour lutter contre la spéculation, tout en assurant que la France  entendait montrer l'exemple, tout en étant prête à discuter d'autres solutions.


- l’organisation mondiale du travail : "La France ne se résigne pas à ce que les huit conventions de l'organisation internationale du travail sur les droits fondamentaux du travail ne soient pas ratifiées par tous les membres du G20"


- la réforme du système monétaire international : Nicolas Sarkozy  a jugé inévitable l'émergence de nouvelles monnaies internationales tout en estimant que le "rôle éminent" du dollar ne devait pas être remis en cause.


(Le chef de l’Etat   , selon lui,  encouragé par ses contacts récents avec les dirigeants des principaux pays du G20 - Chine, Inde et Etats-Unis - même s'il ne juge pas réaliste d'espérer à une réforme du SMI à la fin de l'année.

Le Mexique, qui succèdera à la France à la présidence du G20, a accepté de co-diriger avec l'Allemagne un groupe de travail sur la réforme du système monétaire international, ce qui permettra d'assurer une continuité)

- sur le FMI : Monsieur Sarkozy a  souhaité une nouvelle  réforme des statuts du FMI et a exposé :  …. « Nous avons réformé le FMI, la Banque mondiale, nous avons créé le Conseil de Stabilité Financière …. » … « J'ai dit notre volonté que le FMI prenne toute sa place dans la surveillance des déséquilibres mondiaux, mais il reste énormément à faire. … La création d'une organisation mondiale de l'environnement, la cohérence de toutes les organisations agricoles, l'action des institutions financières par rapport aux normes fondamentales de l'OIT, la création d'un secrétariat permanent du G20 pour suivre la mise en œuvre de nos décisions entre deux présidences.


- sur les  matières premières : La Russie s'impliquera  dans le dossier matières premières, sur lequel Nicolas Sarkozy a proposé la création d'une base de données internationale sur les produits agricoles afin de "prévenir les crises alimentaires".

"Nous risquons des émeutes de la faim dans les pays les plus pauvres et un impact très défavorable sur la croissance mondiale", a  prévenu  le chef de l'État.

- sur internet :  le Président s’est aussi exprimé sur Internet qu’il veut civiliser ….

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Bien entendu notre article n’est qu’un très court aperçu de l’intervention du Président de la République et de sa conférence de presse, mais pour bien saisir l’impact et la finalité de ce message deux petites phrases méritent d’être relevées :

"Je suis certain qu'on ne règlera pas tous les problèmes en une présidence mais la France souhaite un débat car le débat ne peut plus attendre"

 "Si le G20 veut rester légitime, il doit demeurer efficace".  

 Plusieurs réunions sont déjà prévues, entre ministères des Finances, des Affaires étrangères, de l'Agriculture et du Travail.

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Notre conclusion : le débat ne peut plus attendre, le Président de la République est certain qu’on ne  réglera pas tous les problèmes en une présidence, des réunions sont prévues,  beaucoup de débat en perspectives, et enfin une recommandation pour asseoir la légitimité du G20 …. « Il doit demeurer efficace » !


Petite question subsidiaire : le G20 vous a-t- il paru efficace ? Nous l’avons vu prendre des décisions qu’il n’a pas le pouvoir d’appliquer, finalement c’est  faire tourner un moulin pour produire des paroles qui s’envolent dans le vent  d’une histoire volatile à souhait.

De nombreuses critiques ou appréciations  figurent dans les grands quotidien du jour, nous les verrons progressivement et les commenterons dans un autre article.

oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooCi-dessous en vidéo  l’intégralité de la Conférence de presse, intervention complète de Nicolas Sarkozy suivie la séance de questions.

Nous n’avons pas pu transférer directement sur notre page la vidéo, mais vous la trouverez très facilement et directement en cliquant  sur le lien actif ci-dessous :

G20-G8 : Conférence de presse de M. Nicolas Sarkozy
envoyé par elysee. - L'info internationale vidéo.

L'embryon est un être humain

Revue de presse  et pétition relayées par  lucienne magalie pons

Quand vous avez signé la pétition pour la protection de l’embryon, vous étiez 5.000, et vous êtes maintenant près de 8.000 !
> C’est un succès qui vous revient, grâce à la diffusion de cette pétition auprès de vos contacts.

Cette pétition a été envoyée à chaque parlementaire le11 janvier à l’aube.
Ils ont été informés que ce résultat n’était que provisoire puisque la signature restait ouverte sur la page « pétition » du site www.les2ailes.com jusqu’à la veille des débats parlementaires.

Quant à la presse généraliste régionale ou nationale, elle n’a pas encore relayé cette information malgré le communiqué de presse qu’elle a reçu.
Seul le quotidien « Ouest-France », l’a repris dans toutes ses éditions du 13 janvier. Le fait mérite d’être signalé.
L’objet de ce mail n’est pas de venir vous encombrer une nouvelle fois, mais de nous mobiliser.
En effet, à nous tous de prouver que le meilleur média, c’est VOUS
Il est indispensable de leur démontrer que les français ont quelque chose à dire sur le sujet.

Merci si vous pouvez insister encore auprès de vos amis et relations qui n’auraient pas encore signé.

Merci de leur transférer ce message et d’argumenter auprès d’eux.
Dépasser le cap des 15.000 signatures est parfaitement accessible.

Pour signer, il suffit de cliquer sur un des mots « pétition » de la page d’accueil du site « http://web.stan.free.fr/index.php?option=com_petitions&view=petition&id=63&Itemid=115 »

Toutes vos familles peuvent signer sous la même adresse, mais il faut remplir un formulaire par personne

Vous pouvez envoyer la pétition en pièce jointe par mail .

 le texte intégral du communiqué de presse  a  été envoyé dans les rédactions. Il contient :
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- Communiqué de Presse (p.2)
- Message adressé aux parlementaires (p. 3)
- Texte de la pétition (p. 4)

Son résumé est le suivant :  
Une pétition pour un moratoire sur la recherche embryonnaire a été envoyée le 11 janvier 2010 à chaque parlementaire.
Son texte a déjà rassemblé près de 8.000 pétitionnaires
Sa signature restera ouverte jusqu’à la veille des débats parlementaires.
Elle s’appuie sur huit arguments mis en avant qui ne sont ni d'ordre religieux ni politiciens.

Revue de presse - Pétition relative à la recherche embryonnaire

Contact : stan@les2ailes.com Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

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Communiqué de presse de "les2ailes.com" du 10 janvier 2011

Une pétition a été adressée à chaque parlementaire le 11 janvier 2011.  Le texte a déjà rassemblé plus de 5.000 pétitionnaires et  sa signature restera possible jusqu’à la veille des débats parlementaires.
Hébergée par le site Internet www.les2ailes.com, c'est la seule pétition proposée actuellement aux Français sur la question de la recherche embryonnaire dans le cadre de la prochaine loi de bioéthique.
Son initiateur, Stanislas de Larminat,  explique « sans a priori religieux, les motifs des pétitionnaires pour lesquels ceux-ci demandent un moratoire sur la recherche embryonnaire, après les 5 ans de dérogations dont elle a bénéficié ».
Les arguments mis en avant font valoir « la nature de l'embryon. De façon définitive, il s'agit d'un être humain : un « être » parce que ce n'est pas une chose, et « humain » parce que son développement ne conduit pas à la naissance d'un animal ».
La pétition met également en exergue la différence philosophique existant « entre ‘l'être' et ‘l'avoir'. Or la dignité de tout 'être humain', inscrite dans les droits de l'homme, ne se mesure pas à la quantité d''avoirs' (facultés, handicaps, autonomie, projet parental, etc...), mais se fonde sur le seul fait d'être un ‘être' humain. Ce n'est pas parce que l'embryon est 'dépendant' de ses proches qu'il en est moins humain ».
La pétition appelle les députés à ne pas se fonder sur le souci légitime de « l'utilité de nos pratiques » au point d'en arriver à « un principe d'utilité ». Elle rappelle que « l'utilité ne peut être un principe ayant même rang que celui de dignité. L'utilité des pratiques n'occupe qu'un rang secondaire tant que tous les autres principes ne sont pas respectés, à commencer par celui de « dignité », cité dans plus de 40 articles du Code de santé publique ».
Au total, ce sont huit arguments qui sont mis en avant et qui appellent les parlementaires français « à déposer ou à voter un amendement valant moratoire sur la recherche embryonnaire ». (10 janvier 2011)
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Message adressé à chaque parlementaire le 11 janvier 2011

Madame,  Monsieur le Député
J’ai pris l’initiative de proposer sur internet une pétition  sur la recherche embryonnaire.
J’ai été surpris de fédérer, autour de ce texte, 5.000 signatures sans aucun soutien de la grande presse nationale.
Vous avez élu une « commission  spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la bioéthique ». Celle-ci doit encore se réunir avant de rendre public son rapport dans quelques jours.
C’est pourquoi je me permets de vous informer de l’existence de cette pétition. Elle restera ouverte jusqu’au vote finalisant le débat parlementaire.
Sans entrer dans une analyse détaillée de la géographie des signataires, j’attire votre attention sur le fait que toutes vos circonscriptions sont concernées.
Les pétitionnaires de Paris et de la région parisienne ne représentent, en effet, que 25% des signataires.
Concernant la province :
-   20% des signataires de Province  sont domiciliés dans cinq des grandes métropoles françaises (Bouches du Rhône, Haute-Garonne, Loire-Atlantique, Nord, Rhône).
-   Au-delà de ces grandes régions, 20 % des signataires provinciaux qui se sont mobilisés sont originaires d’une dizaine de départements moins peuplés (Hautes-Alpes, Calvados, Corrèze, Gard, Hérault, Isère, Loire, Morbihan, Oise, Vienne).
-   C’est dire que les 60 autres % des signataires provinciaux sont originaires de partout en France.
Je vous tiendrai informé(e), une seconde fois,  de l’évolution du nombre de pétitionnaires avant le début du débat parlementaire.
Les signataires, de leur côté, seront informés à l’issue des débats des noms des députés de leur département ayant voté pour un tel moratoire.
Je suis sûr que vous  saurez accepter la forme de ce texte qui, pour les uns sera un peu « accrocheur » -c'est la loi du genre- et pour d'autres légèrement humoristique. L’important n’est ni la qualité de son initiateur, ni la forme utilisée, mais le fond du texte ci-dessous.
Je vous prie de croire en l’expression de mes sentiments distingués.
Stanislas de Larminat, stan@les2ailes.com Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
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Interview sur Radio Notre Dame le 03 janvier 2011

Ce sera l’un des grands rendez-vous de cette année 2011 au Parlement… Le projet de loi de bioéthique sera examiné début février par les députés… Les associations et l’Eglise se sont mobilisées sur ces questions qui touchent à la vie et à sa transmission… Les citoyens eux aussi veulent se faire entendre… Comme notre invité ce matin…
Avec Stanislas de Larminat, à l’origine d’une pétition pour un moratoire sur la recherche embryonnaire.
Ecoutez l'interview sur le site de Radio Notre Dame, ou directement sur notre site (colonne de droite).
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Famille chrétienne n° 1721 du 8 janvier 2011

« Une pétition en faveur de l’embryon - Ingénieur agronome à la retraite, Stanislas de Larminat, qui a suivi le troisième cycle en bioéthique de l’Institut Politique Léon-Harmel, à Paris, a lancé, le 10 décembre dernier, une pétition qui sera envoyée à l’ensemble des députés et sénateurs. Il les y exhorte « à déposer ou à voter un amendement valant moratoire sur la recherche embryonnaire » [provoquant un arrêt temporaire de cette recherche, NDLR].  Avant le 1er janvier, cette pétition avait déjà obtenu 3.000 signatures. Voir sur le site www.les2ailes.com »
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Interview par l'agence "Zenit" du 11 janvier 2011

France : La pétition pour protéger l’embryon continue sa progressionROME, Mardi 11 janvier 2011 (ZENIT.org) - La pétition lancée sur le site www.les2ailes.com continue sa progression. Elle a franchi le cap des 5.000 signatures et a été adressée par mail à chaque parlementaire le 11 janvier 2010. La pétition restera ouverte aux signatures jusqu'à la veille des débats sur le projet de loi de bioéthique. Le texte met en avant huit arguments n'ayant pas de caractère religieux. La recherche embryonnaire n'était, jusqu'ici, qu'une affaire de spécialiste. Cette pétition a été lancée par un ingénieur à la retraite, Stanislas de Larminat, qui montre ainsi que les Français ont quelque chose à dire sur le sujet. Il répond ci-dessous aux questions de Zenit.
Zenit - Votre pétition a déjà obtenu 5.000 signatures en seulement trois semaines. Quelle leçon en tirez-vous ?S. de Larminat - Le texte signé sur le site « les2ailes.com » prouve que les Français refusent que l'embryon, même sans projet parental, soit réduit à devenir un simple matériel de recherche : « l'embryon est un être humain », dit la pétition, « un être, parce que son développement prouve que ce n'est pas une chose, et humain, parce qu'on ne l'a jamais vu donner naissance à un animal ». Point besoin d'être scientifique pour affirmer cela de façon définitive. Sur les questions de mères porteuses ou de dons d'organes, chacun a son idée. Ce qui surprend avec cette pétition, c'est que, contre toute attente, les Français veulent s'exprimer sur un sujet qui ne leur parait pas aussi compliqué qu'on veut bien le leur dire.Ne croyez-vous pas, malgré tout, que l'opinion a le souci de voir progresser la recherche médicale pour sauver des vies humaines, ou au moins, limiter les souffrances de tant de malades ?Bien sûr que oui ! Les pétitionnaires comprennent «la nécessité, pour la France, de se doter de moyens efficaces pour la recherche médicale ». Mais ils ne sont pas dupes : un certain discours fait croire que le projet de loi est identique à la loi de 2005 sur ce sujet. C'est faux puisqu'on se perd dans des raisonnements sur l'outil qui sera utilisé pour la fin de l'embryon : l'utilité thérapeutique ou l'utilité médicale ? C'est une mascarade sémantique qui cache le vrai débat, celui de l'utilité même que les Français refusent de voir ériger en principe. Bien sûr qu'il faut avoir le souci de nos pratiques médicales, mais, entre le principe et la pratique, il y a la frontière qu'exprime bien le proverbe qui est encore populaire : « la fin ne justifie pas les moyens ». Petit à petit, l'opinion a conscience qu'une interdiction de la recherche médicale sur l'embryon relancerait d'autres pistes autrement plus efficaces. Vous mettez en cause le concept même de projet parental dont beaucoup d'embryons sont privés...C'est typiquement une dialectique qui conduit à toutes les dérives, non seulement concernant l'embryon, mais aussi l'euthanasie. Curieusement, le parlement a décidé de remettre cette question à son ordre du jour le 20 janvier. Or, beaucoup de gens connaissent l'échelle de Maslow. Un embryon a des besoins physiologiques pour devenir bébé. Il a des besoins de sécurité dès la naissance. Il a besoin d'amour pour passer le cap de l'enfance, d'estime pour se construire adolescent. Il lui faut s'accomplir pour devenir un adulte. Quant à la personne âgée, elle dégringole le long de cette échelle quand elle est gravement malade. La demande d'euthanasie n'est qu'un appel au secours pendant cette chute. Mourir dans la dignité, c'est permettre à un malade de retrouver un peu d'amour, de sécurité et de fierté. C'est difficile à apporter, mais les parlementaires doivent réapprendre que la dignité d'un individu ne se mesure pas à la quantité de ses « avoirs » sociaux ou physiologiques, mais au seul fait d'être un « être » humain. L'embryon humain perdrait-il son droit à la dignité faute de projet parental ? La personne âgée le perdrait-elle sans un projet filial porté par ses enfants ? Si on n'accorde pas à l'embryon un droit à la dignité, on sera incapable d'apporter une réponse sensée sur l'euthanasie. Pourquoi, demain, ne pas retirer sa dignité à une personne isolée parce qu'elle n'aurait pas de projet fraternel porté par ses frères en humanité ? Doit-on retirer sa dignité à l'embryon parce qu'il n'a pas de futur, et à la personne âgée qui n'a plus que son passé ? Serions-nous dans une civilisation du présent sans recul ni vision ?Votre pétition appelle donc les députés à la responsabilité ?Dans quelques semaines, ce seront probablement 10.000 pétitionnaires qui auront signé sur « www.les2ailes.com » en étant sensibles à ce jeu de mot « Ne soyons pas coupables d'être irresponsables ».
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"Portrait - Un défenseur de l'embryon" - La Croix du 13 janvier 2011

Un défenseur de l'embryonStanislas de Larminat, auteur d'une pétition pour un moratoire sur la recherche embryonnaire.
Ancien ingénieur à la retraite, ce passionné de bioéthique vient d'écrire à tous les députés pour qu'ils amendent le projet de loi facilitant, par dérogation, la recherche sur l'embryon. Il revendique 6.000 signatures à sa pétition lancée en décembre sur le site "www.les2ailes.com".
Il n'est pas familier des arcanes politiques. Mais l'enjeu lui a paru suffisamment important pour interpeller les députés qui s'apprêtent à débattre, en février, de la révision des lois de bioéthiques. Cette semaine, Stanislas de Larminat, ingénieur agronome à la retraite, a adressé à tous les parlementaires une lettre pour qu'ils amendent l'article 23 du projet de loi sur la recherche embryonnaire. Un article qui facilite l'utilisation des cellules souches embryonnaires à des fins de recherche, une pratique interdite sur le principe mais qui bénéficie de dérogations.
Pour ce chrétien de 65 ans, passionné de bioéthique, l'embryon doit au contraire être protégé. Mi-décembre, il a lancé sur son site www.les2ailes.com une pétition réclamant un moratoire sur ce type de recherches. Celle-ci a déjà rassemblé 6.000 signatures, indique-t-il. "Il est vrai que la foi m'anime, mais je ne représente aucune institution religieuse et mes arguments sont des arguments de raison", insiste-t-il, soucieux d'être audible au delà des cercles catholiques. Dans sa lettre aux parlementaires, il souligne que l'embryon est un "être humain" (sans entrer dans le débat de savoir si c'est une personne), "un "être" parce que ce n'est pas une chose, et "humain" parce que son développement ne conduit pas à la naissance d'un animal". A cet égard, il ne saurait être l'objet de recherches, sauf à céder au "principe d'utilité", argumente Stanislas de Larminat, d'autant que des progrès thérapeutiques peuvent être réalisés à partir de cellules souches adultes, notamment "reprogrammées".
En dépit du poids des chercheurs dont beaucoup souhaitent obtenir une autorisation pure et simple de la recherche sur l'embryon -à laquelle plusieurs députés sont d'ailleurs favorables-, l'ancien ingénieur, père de quatre enfants, est confiant. "On peut renverser les choses avec une pétition, cela s'est vu au niveau européen avec le principe de la clause de conscience aujourd'hui reconnu". Pas si sim^le, estime Jean-Marie Le Méné, qui salue toutefois une initiative "allant dans le bons sens". Selon le président de la Fondation Jérôme-Lejeune, pour qu'une telle démarche soit décicisve, il faut surtout que les élus soient au fait des enjeux en matière de bioéthique. Il attend beaucoup des auditions qui auront lieu ces prochains jours à l'Assemblée devant la commission spéciale sur la bioéthique.
- Marine Lamoureux -
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Ouest-France du 13 janvier 2011

Une pétition sur la recherche embryonnaireA l'initiative de Stanislas de Larminat, une pétition a été adressée à chaque parlementaire le 11 janvier. Hébergée sur le site www.les2ailes.com, elle fait déjà l'objet de 5.000 signatures. A la veille du débat sur la loi de bioéthique, le texte, qui se dit sans a priori religieux, rappelle que "l'embryon est un être humain". Il appelle donc à un moratoire sur la recherche embryonnaire après les cinq ans de dérogation dont elle a bénéficié. 
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