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03 novembre 2010

Éditorial de lucienne magalie pons

Monsieur Jean-Louis Borloo depuis qu'il est pressenti "présumé favori premier ministre" est pris en pâture par la sphère médiatique, les uns vantent ses mérites, les autres soulignent ses échecs, d'autres vont dans la critique esthétique,....

Il est vrai que depuis le mois de Mars les médias et les ministres concernés attendent un remaniement repoussé de quinzaine en quinzaine et on a l'impression de voir un échiquier sur lequel des pions masqués sont avancés, reculés, sortis du jeu, repositionnés au bon plaisir d'un joueur qui demeure secret sur ses intentions.

Pendant ce temps le gouvernement condamné à un remaniement se garde prudemment de toute initiative et se cantonne dans une position de routine pour traiter les dossiers en cours, le Chef de l'Etat a les mains libres et se produit sur la scène internationale sans souci de la gouvernance interne.

Cette situation de blocage intérieur démontre l'irresponsabilité qui caractérise nos dirigeants.

Les médias en espérant peut être provoquer un remaniement qui de l'avis de tous devient urgent , au moins pour respecter la forme sinon le fond , n'ont d'autres recours que d'insister sur les derniers pronostics qui font de Monsieur Jean Louis Borloo un présent "présumé futur Premiet Ministre"

Tour d'horizon

Borloo pour un Grenelle de la fiscalité
leJDD.fr
A quelques semaines d'un remaniement qui devrait avoir lieu mi-novembre, Jean-Louis Borloo assure une nouvelle fois qu' "il n'a jamais évoqué la question ...
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leJDD.fr
Borloo défend un Grenelle de la fiscalité
Challenges
Jean-Louis Borloo n'est pas candidat pour Matignon. C'est ce qu'il assure dans un entretien accordé au Parisien à quelques jours du remaniement, ...
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Coiffé ou décoiffé, Borloo ne sera pas décoiffant
Marianne2.fr
Jean-Louis Borloo, pressenti favori pour succéder au poste inutile de premier ministre, amuse la galerie en attendant une nomination putative. ...
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Jean-Louis Borloo, un caméléon en politique
Le Monde
Ni la crise économique mondiale ni le mouvement d'opposition à la réforme des retraites n'ont permis aux socialistes d'incarner. ...
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"Il ya beaucoup de méchancetés dans la vie politique"
L'Express
Jean-Louis Borloo est plus que jamais le favori n°1 pour succéder à François Fillon. Mais cela n'intèresse guère Manuel Valls. François Baroin juge lui que ...
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CONTRE-BILAN du Grenelle de l'environnement
Ecolopresse (Blog)
En matière de transport, la voiture électrique, dont Jean-Louis Borloo est si fier, est loin de prouver son utilité écologique puisque sa faible autonomie ...
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La revue de presse et du web
France Info
Le scoop du matin : Jean-Louis Borloo n'est toujours pas candidat pour Matignon... Pas candidat, c'est lui qui le dit dans le Parisien-Aujourd'hui en France ...
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France Info
Deux élus régionaux en croisade pour l'eau
Sud Ouest
Serge Morin et Benoît Biteau dénoncent une récente directive du ministre de l'Écologie, Jean-Louis Borloo, favorable aux irrigants et à la création de ...
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Sud Ouest
Grèce: explosion "controlée" d'un colis piégé à l'ambassade de Russie
France Soir
Aimeriez-vous voir Jean-Louis Borloo Premier ministre ? Les rumeurs vont bon train au sujet d'un prochain remaniement ministériel : Jean-Louis Borloo ...
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France Soir
Carburant : encore un peu de patience
Autonews.fr
Jean-Louis Borloo se félicite qu'il ne reste "plus que quelques difficultés ponctuelles." Le ministre de l'Ecologie et de l'Energie précise que "les grands ...
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Miterms : les tous premiers résultats

Éditorial de lucienne magalie pons

Avertissement : Il nous reste à attendre les résultats définitifs des Midterms pour affiner l’analyse qui résulte de mes réflexions et qui n’engage que moi

D’après les nouvelles de l’aube médiatique française, qui correspond une soirée très avancée aux États-Unis en raison du décalage horaire, et alors que les opérations de dépouillage des Midterms étaient encore en cours, les Républicains obtiendraient la majorité à la Chambre des représentants mais les démocrates garderaient la majorité au Sénat.

L’hypothèse d’un affaiblissement de la représentation du parti démocrate de Barack Obama à la Chambre des Représentants à ces élections de mi-mandat ne signifie pas un échec ou une catastrophe pour le Président des États-Unis comme le prédise avec une mauvaise fois certaine les médias français de droite.

Quelque que soit la nouvelle couleur majoritaire du Congrès, on ne peut pas considérer que le régime américain entre dans une cohabitation telle que nous l’avons pratiquée en France, en effet, le Président des États-Unis dispose d’un droit de véto et peut ainsi intervenir pour soutenir et défendre sa politique, on peut aussi remarquer que les républicains qui siègeront majoritairement (peut-être) à la chambre des représentants, et ceux qui siègeront au Sénat soutiendront avant tout en période de crise ,une politique qui ira dans le sens de l’intérêt des États-Unis, en faisant l’impasse sur leur idéologie politique qui a tendance à s’éclater en campagne mais à s’effacer au Congrès quand les intérêts fondamentaux du pays le commande, surtout en période de crise.

Et il n’est pas dans l’intérêt des républicains à deux ans des élections présidentiel de s’opposer, sous prétexte qu’elle émane d’un Président démocrate, à une politique qui irait dans le sens de l’intérêt de la nation, l’opinion américaine le leur reprocherait. Il ne s’agit donc pas d’une « cohabitation » comme on pourrait l’imaginer en France.

Contrairement à ce que médias français politique et économique de droite « bushien »-sarkozien, vont vouloir nous faire entendre, si les démocrates perdent la majorité au Congrès, il ne s’agit pas d’une catastrophe pour le Président OBAMA, rappelons que Bill Clinton avait aussi perdu ces élections à mi mandat ce qui ne l’a pas empêché de gouverner et d’être réélu pour un second mandat. Monsieur Obama qui est un homme réfléchi, travailleur, près et à l’écoute de la population des États-Unis, et qui sait mesurer les difficultés, il l’a déjà prouvé, trouvera les moyens politique de s’entendre avec son opposition n’en doutons pas. Il ne s’agit donc pas d’un régime de » cohabitation à la française » mais bien d’une période de concertation « à l’américaine » qui s’ouvre aux États-Unis pour les deux dernières années du mandat présidentiel.

L’Amérique est un pays dynamique qui ne se plait pas en situation de blocage politique, « qui n’avance pas recule , et en période de crise le Président des États Unis et le Congrès savent qu’ils ont tout intérêt à agir en concertation pour ne pas bloquer les dossiers, ils l’ont prouvé déjà à maintes reprises dans le passé, ils savent en dehors des périodes de campagne accorder leur politique dans l’intérêt de leur pays, et ce qu’ils ont déjà prouvé ils le prouveront encore.

Tout au contraire en France tout est bloquée, aucune concertation n’est possible, toute négociation est écartée :

En France la constitution de 1958 séparait judicieusement dans le temps les élections présidentielles et législatives et ces dernières jouaient un rôle analogue à celui des élections du « mi parcours » américain, mais récemment en France par suite d’une stratégie politique émanant de la volonté de « qui vous savez », le risque de cohabitation a été éliminé par la révision constitutionnelle qui réduit le mandat présidentiel de sept à cinq ans, ce qui fait coïncider, à un mois près environ, après l’élection présidentielle les élections législatives, et ceci dans l’optique qu’un mois après les électeurs voteraient sur la même lancée pour des députés du parti présidentiel, offrant ainsi à l’Assemblée Nationale une majorité sans risque au nouveau Chef de l’État.

Nous venons de nous rendre compte a quel point que cette initiative est dramatique pour les français, il n’existe plus qu’un recours syndical et social pour contester la politique du Chef de l’État du Gouvernement d’où les manifestations, les grèves, la paralysie du pays … sans pour autant pouvoir contraindre un président et des ministres obstinés, soutenus par la majorité présidentielle, à revoir leur politique, amender leurs textes ou les amener à négocier.

Le régime que nous subissons s’apparente à une dictature.

Ainsi en France sous des apparences d’activité de gouvernance qui ne sont en fait que des opérations médiatiques à grand spectacle de manipulation, qui donnent dans tous les genres et dans tous les sens, et qui s’étalent en voyages, réunions, sommets, colloques, conférences politiques, conférences de presse, et joyeusetés mondaines, assortis de discours grandiloquents, utopiques et fantasmatiques, allant de la gouvernance nationale jusqu’à la gouvernance de l’Europe, avec pour objectif la gouvernance mondiale du nouvel ordre du 21me siècle , il n’y a aucun temps et aucune place pour une concertation, tout est volontairement bloqué, verrouillé, confisqué, par une oligarchie politique et financière qui a su user des rouages légaux de la République pour imposer sa dictature capitaliste néolibérale. C’est la triste réalité … et ce ne sont pas les médias de droite qui vous le diront, pour le moment, ils passent leur temps à démolir Obama, à pronostiquer sur la nomination d’un futur Premier Ministre français , à glorifier la politique de l’État français et de son Chef, , à souligner les » bonnes intentions » du Medef, a égratigner les syndicats, à critiquer l’opposition …et à convaincre les français qu’ils ont tort de manifester ….

Vous pourriez penser que je suis de gauche ? Pas du tout … mais je ne reconnais pas la droite gaulliste dans ceux qui au sommet de l’État et au parlement, tout autant qu’à l’UMP et au NC s’en prévalent abusivement. C’est pourquoi je m’emploie à dénoncer leurs manquements vis-à-vis du peuple français qui pourtant croyant à leur affirmations de campagne avaient votés pour eux, ils ont été trompés !

A droite pour le moment je ne vois aucun candidat qui mérite confiance

Ceci dit je n’ai rien contre la gauche qui dans ses rangs a des personnalités remarquables et doués de bon sens, il est beaucoup plus difficile d’en remarquer à l’UMP. L’opposition peut sous certaines conditions représenter une alternative, c’est à elle de définir son programme en tenant compte des demandes de la population française. Après tout nous avons déjà vécu sous l’autorité de la Gauche et nous n’en sommes pas morts, bien au contraire, tandis que le pouvoir actuel de « droite » nous mènent à l’agonie.

02 novembre 2010

Une "démission" insolite imaginée par un auteur inconnu

si ça pouvait arriver !

Montmartre-Duboubou


À l’usage de ceux qui n’ont jamais rien compris?

Par Duboubou 1er le mardi, novembre 2 2010, 18:26 - Bon à savoir...


(Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite)

Borloo ....Premier Ministre ? Monsieur Barbier nous éclaire

Monsieur Christophe Barbier commente une bonne raison de nommer Monsieur Borloo Premier Ministre, et deux bonnes raisons de ne pas le nommer :


cliquez sur le lien ci-dessous :

Pour ou contre Borloo
envoyé par LEXPRESS. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

Un présumé futur Premier Ministre : Jean Louis Borloo ...?

Éditorial de lucienne magalie pons

Chaque petit maître de plume, de micro, ou d’écran, qui à Paris s’imagine influencer l’opinion et s’ingénie à faire croire qu’il est dans les petits papiers du pouvoir un peu plus que les autres, se plait depuis le début de l’été à commenter le prochain remaniement qui se fait attendre en attisant les interrogations des uns et des autres, Qui ? … Quand … ? , avec une accentuation prononcée pour la question … Qui à Matignon ….. ?


De là des évocations et des suppositions diverse débordant dans des articles où l’on passe en revue les personnalités susceptibles d’être choisies pour cette fonction, certains il y a quelques semaines citaient encore des figures emblématiques du gouvernement actuel, sans trop se risquer à citer des personnalités nouvelles.

Qui à Matignon ?

On parlait de Madame Alliot-Marie, de Christine Lagarde, de Monsieur Baroin, d’autres ministres encore, on évoquait aussi le maintien de Monsieur François Fillon ; et chacun de ces personnages interrogés (ou presque tous), faisait vis-à-vis des médias preuve de modestie, « c’est le Président qui décide »….. »Matignon ne se demande pas » … « chacun sera utile où il plaira au Président », (ndlr .. : le bon plaisir comme critère de choix ? !), tout en affirmant haut et clair qu’il se tenait prêt à servir à l’appel du Président au cas où ……..

D’autres se prenaient à espérer la promotion tout en restant discrets, sauf lapsus malencontreux dont l’un d’entre fut victime (Luc Chatel), et enfin d’autres en marge, pas très en cour après l’avoir été, demeuraient très discrets dans l’espoir de garder un portefeuille auquel ils s’agrippent comme à une bouée de sauvetage, en attendant de remonter en cour.

Quand aux ministres phares sûrs de rester dans le gouvernement remanié, on ne les entend pas, eux aussi se font discrets pour ne pas dévoiler à l’avance « la surprise du chef ».

Pour en revenir sur le futur « présumé » Premier Ministre, l’éventail médiatique des pronostics s’est resserré, ce qui ne veut pas dire qu’il ne peut pas se redéployer, l’interrogation bien sur reste entière, mais tout conduit les médias à penser qu’ils tiennent enfin une piste crédible. Il y a environ quinze jours Monsieur de Villepin qui paraissait sur de lui et bien informé (par qui ? ….on ne sait pas… on aimerait le savoir …) affirmait dans une de ses interventions que Monsieur Jean Louis Borloo serait nommé Premier Ministre … et aussitôt progressivement de fil en aiguille les médias ont repris cette information comme un appel d’air et depuis ces derniers jours, le Ministre de l’Ecologie Jean Louis Borloo fait figure de favori pour succéder à François Fillon pour le poste de Premier Ministre.

Nous avons eu droit à la mise en piste, dimanche sur Canal +, de Jean Louis Borloo, invité du Grand Journal , présenté comme « le favori, le pressenti … futur ministre » par l’animatrice, lequel nous est apparu sur le plateau physiquement très rajeuni sous un look nouveau, cheveux plus courts, coiffure disciplinée, le visage ferme sans presque aucune rides.

Monsieur Borloo, depuis que la question de sa nomination est sous entendue et prend progressivement corps dans les médias et les partis politique, a fait souvent l’objet de quelques remarques touchant son physique, des journalistes ont prétendus qu’il se coiffait « à la Fillon » et qu’il paraissait d’apparence plus discipliné …

J- L. Borloo dans sa carrière politique a eu déjà à surmonter des critiques, mais cette fois pour couper court à toute interprétation sur sa coiffure et son apparence, il a déclaré un peu agacé : «j'ai l'impression de relire le même film: tout d'un coup je deviens brouillon, je suis mal coiffé ou je suis trop bien coiffé ou je n'ai pas la tête de l'emploi".

Monsieur Borloo évidemment a le droit de changer de look, on ne lui reproche pas d’en changer, mais tout de même on est bien obligé de voir qu’il a changé de coiffure et qu’il n’a presque plus de rides, tout cela est à son avantage, pourquoi s’en plaint-il … je vous le demande ? On pourrait penser que l’apparence physique reste un sujet tabou …, en politique au moins.

Bon ! Passons au sérieux de l’émission :

Branchez vous directement sur Canal+, si vous souhaitez visualisez les vidéos consacrées à l’invitation du Ministre de l’Écologie du Dimanche 30 Octobre : un tour d’horizon complet … à ne pas négliger pour se faire une idée objective de l’état d’esprit politique d’un ministre en exercice, présumé futur premier ministre

Petit résumé très concentré :

Pour Jean Louis Borloo, le remplacement ou non de François Fillon procède d'un "choix politique" et il préféré parler de politique générale tout en expliquant « … avoir tiré des leçons de la crise des hydrocarbures, ….., qui touche à sa fin à l'instar de la contestation de la réforme des retraites …. ce que j'ai appris, c'est qu'il faut être là 24 heures sur 24 et rester calme", a notamment déclaré le ministre de l'Énergie

Monsieur Jean Louis Borloo ne s’est pas étendu sur le sujet du « remaniement »qu’il trouve "assez inélégant" à l'égard du Premier ministre : «Je n'ai pas à gagner ou perdre des points. On n'est pas dans un mercato", a-t-il répondu alors qu'on lui demandait quels bénéfices politiques il pourrait tirer de cette gestion de crise… » (Crise des carburants …)

Pour Jean Louis Borloo, le remplacement ou non de François Fillon procède d'un "choix politique" et il préféré parler de politique générale tout en expliquant « … avoir tiré des leçons de la crise des hydrocarbures, …... qui touche à sa fin, à l'instar de la contestation de la réforme des retraites …. ce que j'ai appris, c'est qu'il faut être là 24 heures sur 24 et rester calme", a notamment déclaré le ministre de l'Énergie.

A plusieurs reprises le Ministre de l’Écologie a rappelé que son Ministère est le « Ministère des crises », et qu’il faut garder le calme en temps de crise, que la crise c’est le calme ….la crise c’est le calme, a-t-il répété ….

Il s’est exprimé aussi sur le social, et serait pour la reprise du dialogue social.

"Il faut reprendre le chemin de la cohésion sociale", a-t-il plaidé

Enfin il fait une large place à la réforme de la fiscalité

Certains médias le critiquent d’ores et déjà en voyant dans cette émission de Canal + une opération de promotion de sa candidature au poste de premier ministre et passent au crible tous ses propos.

Reste à savoir si le Maître du Jeu a déjà battu le paquet et sorti de son jeu la carte maîtresse, la question reste entière … mais il faut bien que les médias attisent le feu des curiosités et en attendant il leur faut bien passer les plats.

Borloo : des soutiens dans le gouvernement et la majorité

Le Figaro - ‎Il y a 6 heures ‎

Le secrétaire général de l'Élysée, Claude Guéant, explique ainsi à Valeurs actuelles que Borloo «a pour lui deux qualités: c'est un orfèvre en matière sociale, et il a l'oreille des syndicats». (Crédits photo: Eric Feferberg/AFP) À l'UMP, ...

Carburant: Le plan Toussaint est "satisfaisant" leJDD.fr

Un drôle de remaniement La Voix du Nord

Le Parisien - France Soir - Journal L'Alsace - Le Monde

Afficher tous les articles sur ce sujet »Dominique de Villepin dans Soir 3 Politique, sur le changement de ...
Politique Digitale France
« Je connais bien Jean-Louis Borloo. Il a d'abord été un très bon Ministre de l'Emploi et des Affaires sociales dans mon gouvernement et c'est quelqu'un sur ...
Afficher tous les articles sur ce sujet »

· Borloo pense à la réforme de la fiscalité, pas à Matignon...


Le Parisien - Il y a 3 heures

Jean-Louis Borloo, qui fait figure de favori pour succéder à François Fillon, se dit favorable à ce que la méthode du Grenelle de l'environnement soit ...

Remaniement : Sarkozy hésite toujours entre Borloo et Fillon- Les Échos
En bref- Libération
Plus de 95% des stations-service dans une "situation normale"- nouvelobs.com
Le Figaro - On Se Buzz
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95% des stations-service approvisionnées en carburant


Le Parisien - Il y a 1 jour

... et "on arrivera à une situation de normalité la semaine prochaine", a indiqué dimanche le ministre de l'Ecologie et de l'Energie Jean-Louis Borloo. ...

Vidéo : Carburant : retour à la normale à partir de lundi

YouTubeBFMTV

95% des stations-service approvisionnées en carburant- 20minutes.fr
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·

Borloo, le caméléon


AgoraVox - Il y a 18 heures

Tout comme le caméléon, Jean Louis Borloo sait s'adapter à toutes les situations, et son parcours, de Mao à Sarko en passant par Lalonde, Bayrou et Tapie en ...



AgoraVox

·

Retraites: une nouvelle manifestation samedi, et après?


Le Parisien - Il y a 18 heures

A cet égard, l'actuel ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, apparait comme un "premier ministrable" social, après notamment que le très influent ...



Le Parisien

·

01 novembre 2010

Elections Miterms : à la veille des Elections les Démocrates semblent remonter ...

Éditorial de lucienne magalie pons

Hier encore, le camp républicain se voyait déjà reprendre, la majorité dans les deux Chambres

Mais le vent tourne ……….

Barack Obama a contre-attaqué et fait campagne dans treize États pour soutenir les candidats démocrates lors des Midterms, Michelle Obama de son côté a participé à neuf réunions électorales dans six États, Joe Biden, le vice-président, sillonne le pays pour remonter le moral des troupes démocrates que les médias encore hier estimaient en baisse.

.Résultat, les démocrates semblent reprendre du poil de la bête. je croise les doigts pour eux, chacun est en droit de croiser les doigts pour qui il veut !

Les analystes ne les donnent pas encore gagnants mais presque …. Suspens… suspens, les électeurs américains trancheront le 2 Novembre 2010.

C’est bien dommage que nous n’ayons pas de « Midterms » (élection de mi-parcours) en France, cela nous aurait permis de renvoyer dans leurs foyers bon nombre de parlementaires qui votent contre le peuple des lois injustes… patience ! …….2012 s’avance à la vitesse grand V… on saura les remercier à notre façon en votant massivement contre eux
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Revue de toile : Lu sur le Web : Barack Obama et le rebond des dernières heures ..

SOURCE : site EXPRIMEO.FR :

………/

Publié le 01 Novembre 2010

Les derniers sondages réalisés démontreraient un rebond de dernière minute d'électeurs démocrates dans des Etats clefs. Ainsi, dans le Nevada, Sharron Angle et Harry Reid seraient désormais dans un mouchoir de poche.

(lire la suite de l'article)

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Début octobre, les républicains devançaient de six points les démocrates (49 % contre 43 %) d'après un sondage Washington Post-ABC News.

Quinze jours plus tard, selon Reuters-Ipsos, l’écart n’était plus que de quatre points (48 % contre 44 %) et la majorité des analystes prédisaient aux « Bleus » démocrates, une défaite à la Chambre des représentants, mais pas au Sénat.

(Il y a quatre ans, à la même période, les « Bleus » démocrates, surclassaient les « Rouges » républicains de douze points).

Monsieur Hollande se dirige vers la Présidentielle ....

Éditorial de lucienne magalie pons

Pour visualiser la vidéo cliquez sur le lien ci-dessous


François Hollande - Dimanche soir politique - 30/10/2010
envoyé par blog_francoishollande. - Regardez les dernières vidéos d'actu.


mon commentaire :Monsieur François Hollande s'est exprimé à titre personnel en responsable politique socialiste , il a souligné qu'il n'était pas porte parole du PS, nous devons donc comprendre que son intervention est l'expression de sa ligne politique qu'il soutiendra ..... jusqu'en 2012.

Personnellement je ne suis pas d'accord sur une proposition qu'il développe au sujet de l'emploi des séniors et des jeunes, pour lui une entreprise devrait maintenir des séniors jusqu'à l'âge de départs en retraites et embaucher en même temps des jeunes pour instituer un "tutorat" d'entreprise et transmettre des savoirs professionnels, en contrepartie l'entreprise serait exonérée sur ces contrats de toutes cotisations sociales. Cela me parait ressortir du socialiste utopique, l'entreprise n'est pas un lieu de pédagogie par excellence, encore moins un laboratoire d'expérimentations d'idées de transmission des savoirs faire, ce n'est pas parce qu'un sénior a de l'expérience qu'il peut s'improviser pédagogue dans un lieu qui n'est pas prévu pour ça, mais surtout et avant tout pour assurer du rendement, quand à l'exonération de toutes cotisations sociales promise dans ce contexte à l'entreprise, c'est tout à fait contestable puisque les caisses sont en déficit.

Pour les autres propositions il y en a de passablement correctes, d'autres plus floues, mais il faut tout écouter, tout voir, tout entendre, tous les avis sont à connaître pour ne pas arriver idiots à la présidentielle de 2012 et savoir à qui vraiment on a à faire.

Lu sur un site Web :
01/11/2010

Cette nouvelle fait exactement l'effet d'une bombe qui n'a pas explosée, un parfum de boule puante sans plus !

SOURCE : LA PROVENCE.COM

Un colis piégé destiné à Nicolas Sarkozy intercepté à Athènes

Publié le lundi 01 novembre 2010 à 15H05

ATHENES (Reuters) - Un colis a explosé lundi au siège d'une société de courrier à Athènes tandis que des artificiers de la police ont désamorcé deux autres bombes dissimulées dans des paquets, dont l'un était destiné au président français Nicolas Sarkozy.

"L'un des deux engins explosifs transportés par les suspects était adressé au président de la République française, Nicolas Sarkozy", a indiqué à Reuters un porte-parole de la police.

La police pense que le colis qui a explosé n'est pas le fait d'Al Qaïda et que les suspects arrêtés pourraient appartenir à des groupuscules d'extrême gauche.

La police croit qu'il n'existe pas de liens avec Al Qaïda. "Notre enquête continue", a ajouté le porte-parole de la police.

D'après les premiers éléments de l'enquête, le colis qui a explosé était destiné à l'ambassade du Mexique en Grèce. L'un des deux autres devait être livré à l'ambassade des Pays-Bas.

"L'engin a sauté quelques minutes après avoir été livré par deux hommes", a indiqué un responsable de la police sous le couvert de l'anonymat. "Une employée souffre de brûlures superficielles.

Deux suspects arborant des gilets pare-balles et des armes ont été arrêtés. L'un deux serait membre des "Cellules du complot du feu", un groupuscule gauchiste grec, selon la police.

Aux Pays-Bas, le ministère des Affaires étrangères a confirmé qu'un paquet intercepté dans une entreprise de courrier était destiné à son ambassade à Athènes.

En juin, un proche collaborateur du ministre grec de la Police avait été tué dans l'explosion d'un colis piégé au ministère.

Renée Maltezou, version française Jean-Loup Fiévet

Hélas ! on n'arrête pas le progrès !

La gestion de la "pandémie" AHIN1 ne satisfait pas la cour des comptes

revue de presse :

COUR DES COMPTES - Un rapport accable la gestion ministérielle du ...

Le Point - ‎30 oct. 2010‎
La grippe A H1N1 n'a pas fini de faire parler d'elle. Après les commissions d'enquête de l'Assemblée nationale et du Sénat cet été, la Cour des comptes s'est penchée à son tour sur la gestion de la pandémie de grippe A H1N1. Dans un rapport consacré à ...
La Voix du Nord - Canoë - santé log - Infirmiers.com

2 Novembre 2010 : Elections du Midterm aux Etats- Unis

Éditorial de lucienne magalie pons

2 novembre 2010 : Élections du « Midterm » - ou élection de mi-mandat aux États-Unis

Peu d’analystes se risquent à prédire le résultat des élections du 2 novembre, (à part quelques médias acharnés contre le Président OBAMA surtout en France qui rêvent de le voir chuter), mais les analystes sérieux notent que l'écart s'est réduit entre démocrates et républicains. Il est possible que les démocrates conservent une courte majorité au Sénat et à la Chambre.

Tous les deux ans, les Américains retournent aux urnes au milieu du mandat de 4 ans du président des États-Unis, le premier mardi suivant le premier lundi de novembre, soit le Mardi 2 novembre en cette année 2010.

La totalité des sièges de la Chambre des représentants et un environ un tiers du Sénat seront renouvelés.

Des élections de gouverneurs d’État auront lieu également et les électeurs sur leurs bulletins de vote choisiront aussi des juges, des shérifs et des responsables locaux.

La Chambre des représentants en totalité reflétera la tendance politique du pays, tandis que le Sénat renouvelé seulement d’un tiers gardera une certaine stabilité.

Le congrès américain regroupe deux chambres:

- le Sénat, composé de 100 membres (deux par État) élus le plus souvent pour six ans

- la Chambre des représentants (435 membres, répartis proportionnellement à la population des États), élus pour deux ans.

Les deux chambres introduisent et votent les lois.

Le président dispose d'un droit de véto, qui peut être retourné au Congrès par un vote à la super majorité des deux tiers.

Le mandat de sénateur est plus long (six ans) que celui des Représentants (deux ans) mais c'est le Speaker de la Chambre (leader de la majorité) qui se trouve en tête sur la liste de succession après le vice-président.

Les deux principaux partis ont organisés chacun des primaires pour choisir les candidats au Congrès qui se présenteront devant les électeurs des États-Unis le 2 Novembre qui voteront pour renouveler la totalité de Chambre des représentants et un tiers du Sénat, pour élire aussi 37 Gouverneurs d’États et leurs représentants aux assemblée locales.

A la Chambre des représentants actuellement avant le Midterms du 2 novembre, sur 435 représentants qui avaient été élus pour un mandat de deux ans, les démocrates disposent de 257 sièges, et les républicains ne disposent que de 178 sièges et devront en gagner 40 pour renverser la majorité démocrate. Rien n’est joué !

Au Sénat, le scrutin concerne actuellement 37 sièges (sur 100), renouvelés pour six ans. Les démocrates disposent de 57 sièges, les républicains de 41, 2 sièges sont détenus par des indépendants. Pour obtenir la majorité qu’ils ont perdue en 2006, les républicains ont besoin de 10 sièges, et les observateurs politiques leur en prédisent 5 environ.

Un mouvement discutable par son outrance à tendance raciste, - le « Tea party », - créé il y a environ 18 mois, regroupant des « ultras » républicains galvanisés sous la houlette et la jactance de l’animateur de télévision Glenn Beck -, organise des manifestations pour dénoncer avec colère l’État Fédéral avec pour objectif de déstabiliser le Président des États-Unis Barack Obama.

Peu d’analystes se risquent à prédire le résultat des élections du 2 novembre, (à part quelques médias acharnés contre le Président OBAMA surtout en France qui rêvent de le voir chuter), mais les analystes sérieux notent que l'écart s'est réduit entre démocrates et républicains. Il est possible que les démocrates conservent une courte majorité au Sénat et à la Chambre.

Le mouvement populiste de droite Tea Party, connu pour l’outrance de ses positions, qui n’est encore qu’une mouvance et non un parti, présente aussi des candidats, mais les analystes pensent qu’il s’agit d’un mouvement qui ne s’imposera pas comme une force autonome et que les électeurs américains voteront surtout en l'absence de leader pour l'ensemble du mouvement.

D’autant que le Samedi 30 octobre a eu lieu contre le Tea Party la “March to Restore Sanity”, « marche pour le retour du bon sens », une manifestation organisée à l’initiative du comédien Jon Stewart. Plusieurs de milliers de personnes ont envahi le cœur de Washington. Cette marche a été triomphale !

(Quelques mois plus tôt l’animateur de la droite conservatrice et présentateur de Fox News, Glenn Beck, avait organisé un rassemblement du Tea Party)

ooOoo

Quelques notions sur le Tea Party :

Le Tea Party s’agite avec beaucoup de virulence, ce mouvement tapageur et outrancier, créé il y a 18 mois environ, a trouvé un large écho à la télévision, dans la presse, sur Internet (associations et Groupes de soutiens, Freedom Works, The 912 Project, blogs, vidéos, etc., relayé par les médias), mais au-delà de cet effet spectaculaire, il lui reste à trouver un leadership assez crédible politiquement parlant pour pérenniser le mouvement.

Sarah Palin qui de son côté joue la carte du populisme, manifeste quelques sympathies pour le Tea Party qu’elle utilise comme une occasion pour se montrer en public, mais elle garde son autonomie et ne fait pas partie de ce mouvement

En théorie, le Tea Party lors de sa création et les premiers mois suivant ne s’affirmait ni démocrate ni républicain, et affichait en façade un apolitisme et une certaine neutralité, mais à l’approche des primaires des élections de mi-mandat, le Tea Party s’est rapproché idéologiquement du Parti républicain, mais avec une dose d’extrémisme très accentuée.

Le Tea Party, « identifié » comme mouvement populiste de droite, met en avant des célébrités, artistes, comédiens, politiques etc., certains d’entre eux portent en permanence un badge de Glenn Beck, on peut y voir aussi la résurgence d’un culte de la personnalité qui parait germer dangereusement dans leur idéologie.

La base militante du Tea Party offre une diversité d’ultras, de conservateurs, d’indépendants, de libertariens, qui se regroupent autour de valeurs plus ou moins communes telles que le patriotisme, le respect de la constitution, avec des connotations nationalistes, ou extrémistes, on dénombre une Tea Party Nation à Nashville, des Tea Party Patriots à Chicago, un Tea Party Express en Californie

En fait les analystes politiques classent le Tea Party comme un mouvement populiste de droite et ils font ressortir que le point commun du populisme américain, qu’il soit de droite ou de gauche selon les périodes historiques, serait sa méfiance envers le pouvoir central incarné par l’État Fédéral.

(Jusqu'à la première guerre mondiale, le populisme américain était amarré à gauche, c’est après la première guerre mondiale qu’il a entamé son tournant à droite, la révolution bolchévique en Russie n’est pas étrangère à ce virage du populisme américain vers la droite, enfin dans les années 1930 le New Deal du président Franklin D. Roosevelt (1933-1945), a renforcé le populisme américain encore plus à droite vers le camp conservateur, et à cette époque ce sont des associations comme American Liberty League, des institutions privées, et des journaux de droite et conservateurs qui l'incarnaient.)

Le Tea Party conteste principalement la politique de Patrick Obama.

Le Tea Party, selon les éléments le plus souvent rapportés par les observateurs politiques, dénonce les déficits publics, le plan de sauvetage des banques, le plan de relance de l'économie de 787 milliards de dollars, et la réforme de l'assurance-maladie. Le Tea Party use aussi de slogans véhéments lancés par des militants radicaux qui profitent de l’ouverture relative de ce mouvement populiste décentralisé, pour s’exprimer avec outrance, ces « ultras » mettent en cause notamment les origines d'Obama, attaquent l'immigration, militent contre l’avortement, mettent en avant des principes moraux discutables.

Enfin les membres du Tea Party propagent des peurs et des rumeurs insensées comme par exemple les « death panels » censés décider de l’euthanasie des personnes les plus âgées dans le cadre de la réforme de l’assurance santé, ce mouvement accuse aussi l’État Fédéral de comploter, d’avoir participé au « 11 septembre », d’avoir inventé le réchauffement climatique. Le G8, le G20, l’ONU, les Universitaires sont aussi dans leur collimateur, et ils agitent des peurs en relation avec la situation de l’emploi et d’autres faits sociaux, tout et n’importe quoi leur est bon pour « flasher », y compris la libération sexuelle qui affecte leurs principes moraux, certains d’entre eux prêchent pour l’abstinence sexuelle et contre la masturbation, notamment l’une de ses têtes d’affiches, Christine O’donnell qui a remporté la primaire du 14 septembre dans le Delaware et dont l’un des thèmes de campagne est l’abstinence sexuelle.

En fait le Tea Party ne représenterait qu’une minorité de 18 à 20 % de l’électorat américain.

Pourtant, le Tea Party présente le 2 Novembre, des candidates et des candidats, notamment du côté des candidates, Sharron Angle qui s'est imposée aux primaires dans le Nevada et cherche maintenant à battre Harry Reid, chef de la majorité démocrate au Sénat. Carly Fiorina ancienne patronne de Hewlett-Packard et Meg Whitman ex-PDG d'eBay, qui ont remporté les primaires républicaines de Californie pour les postes de gouverneur et de sénatrice, Nikki Haley, une Indo-Américaine de 38 ans, candidate au poste de gouverneur de Caroline du Sud et du côté des candidats notamment Joe Miller qui a battu la sénatrice républicaine Lisa Murkowski en Alaska, Marco Rubio, jeune avocat d'origine cubaine, qui s'est imposé en Floride, avec le soutien des élites du Parti républicain dont l'ancien vice-président Dick Cheney, Carl Paladino qui s’est fait remarquer dans l'État de New York, en prenant position contre la construction d'une mosquée près de Ground Zero, Rand Paul, fils de Ron Paul, l'ancien candidat à la Maison Blanche en 1988, qui s'est imposé dans le Kentucky, donnant un visage à la composante libertarienne du Tea Party.

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Le financement principal du Tea Party provient principalement de deux grands groupes, le premier est FreedomWorks, dirigé par l'ancien numéro deux des républicains à la Chambre des représentants, Dick Armey, le second groupe, baptisé « Americans for Prosperity » est lui-même financé par les frères David et Charles Koch., tous deux septuagénaires, « milliardaires du thé , libertariens, magnats du pétrole » , qui sont classés en très bonne place dans la liste des grandes fortunes américaines.

Il faut citer aussi les contributions des particuliers, mais la décentralisation du mouvement ne permet pas d’évaluer le montant respectif des financements, on parle plus ou moins d’opacité financière.

LU SUR CBS NEWS


Slate.fr - Il y a 21 heures

Jon Stewart (du Daily Show) et Stephen Colbert (du Colbert Report), avaient décidé de mettre en place ce rassemblement après deux ans d'activisme du Tea ...

Gros succès pour une manifestation d'humoristes aux Etats-Unis- RFI
Manifestation à Washington Les humoristes Stewart et Colbert sur ...- Radio-Canada
"Rally to Restore Sanity or Fear" : l'humour de Stewart et Colbert ...- Ilovepolitics.info
Métro Montréal - Blog Le Monde (Blog)
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· L'humour sauvera-t-il l'Amérique?


Libération - Il y a 1 jour

Une foule impressionnante a répondu à l'appel de Jon Stewart et Stephen Colbert, ... vraiment du monde, plus que pour la manif anti Tea Party du 2 octobre). ...

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Déguisements et dérision pour contrer l'ultra-droite américaine


TF1 - Il y a 1 jour

... slogan visant directement une des égéries du Tea Party, Christine O'Donnell, ... Jon Stewart, qui a revêtu une veste aux couleurs des Etats-Unis, ...

Oui les manifestations étaient nécessaires, c'est un signal fort et puissant !

Éditorial de lucienne magalie pons

La réforme des retraites est injuste et les médias sont menteurs.

Depuis la dernière manifestation contre la réforme des retraites qui en période de vacances, il faut le reconnaître, a connu un succès incontestable, si vous vous infligez, comme moi pour analyse, d’écouter les programmes de « désinformation » des radios et télévisions du système de droite, vous vous rendrez facilement compte que ces médias tentent de dénaturer l’action des syndicats , des manifestants et des grévistes en utilisant des formules diluées dans un flot de bavardages insipides et mensongers, que l’on peut synthétiquement résumer ainsi : « les syndicats ont été battus, la Président de la République a été élu, les parlementaires ont été élu, ils sont légitimes, la loi a été votée, il faut respecter la loi, elle sera appliquée, la réforme était inévitable , les français sont gagnants, leurs retraites seront payées ça ne sert à rien de continuer à revendiquer et manifester ….ect…,etc… », tout en faisant intervenir des auditeurs et des téléspectateurs qui vont dans le même sens , enfin pour compléter le tableau ils vont jusqu'à dire qu’il n’y a « ni perdant ni gagnant », mais que les syndicats auront du mal a garder la tête haute, qu’il faudra se garder de les humilier…. ils vont même jusqu'à dire que le Chef de l'État a réussi a imposer cette réforme "juste nécessaire et inéluctable", qu'il a joué sur du velours ....qu'il a donné le "la" ...

Ces médias n’oublient pas non plus de cibler l’opposition, mais là ils y vont plus fort, ils rapportent leurs déclarations en les citant d’un air narquois, en se moquant d'eux, enfin dans leur journaux radios et télé, ils font parler, en allant les interviewer sur un terrain "préparé" , des usagers (sélectionnés pour leur réponse) qui manifestent leur mécontentement au sujet de la difficulté de circuler ou de s’approvisionner en carburant

Toute ce mise en scène médiatique est cousue de fil blanc ! ...... en réalité ils ont la pétoche et l'inquiétude leur colle aux fesses .


Les syndicats, les manifestants, l’opposition, ne sont pas battus, nous avons et nous gardons la tête haute, nous ne sommes pas humiliés, nous sommes trahis par le Pouvoir, pour le moment nous n’avons pas l’intention de manifester sur cette réforme injuste au-delà du 6 Novembre, sauf évènement imprévu, il faut laisser place au conflit juridique et il faut attendre le résultat du recours constitutionnel, ensuite on avisera.

Mais le message essentiel est passé : les manifestations suivies sont un avertissement fort et puissant qui signifie clairement à l’adresse du Pouvoir que les français sont déterminés à se mobiliser en nombre, en bon ordre, à bon escient, pour défendre leurs intérêts communs et leur avenir, et qu’ils manifesteront dans l’avenir contre lui autant de fois que nécessaire pour défendre leurs acquis sociaux, le Pouvoir a beau faire de ne rien voir et ne rien entendre, c’est lui qui a perdu définitivement la manche politique si nous nous avons perdu provisoirement la manche sociale , la réforme des retraites a fait déborder le vase, une grande majorité de Français ne lui font plus confiance, le dernier sondage n’accorde que 29 points de confiance au Chef de l’État, c’est tout dire ! Ne parlons pas de son Gouvernement de paille en voie d’extinction, quel que soient les personnalités qui seront nommées lors du remaniement prochain, dès lors qu’elles auront acceptées, elles deviendront suspectes aux yeux d’une population qui a décidée de ne plus s’en laisser conter.

Le Président de la République n’a pas gagné, l’opinion est contre lui, il compte se refaire une santé politique en se produisant au plan international, ce n’est pas acquis d’avance, il y a des Chefs d’États, en Europe et dans le Monde, plus référents et plus écoutés que lui pour emporter ou geler des décisions. Angela Merkel, affaiblie dans son pays, n’a plus la marge d’influence pour le soutenir efficacement, sur qui peut-il compter ?...... sur les pays sous développés ? la belle affaire .. ……certes il peut trouver auprès d’eux une approbation plutôt qu’un appui, en leur faisant des promesses, mais il faudra qu’il trouve des thèmes plus crédibles que la fable de Copenhague qui est tombée en queue de quenouille, et puis promettre ce n’est pas pouvoir …il faut en avoir les moyens politiques et financiers ...… les pays économiquement puissants s’en battent l’œil des promesses de la France et des espoirs qu'elle fait naitre dans des pays en voie de développement et des pays sous développés, au final ce sont eux qui imposent leur loi et leur décision, quand ça leur convient et surtout quand ça leur rapporte en retour ce qu’ils en attendent.

Ne pas s’étonner non plus que ces mêmes médias mènent régulièrement des campagnes contre le Président Obama ! A les entendre on pourrait croire que le Président des États Unis est en agonie politique , ce qui est tout à fait exagéré.

Et pour tout apprécier, même si le Chef de l’État remontait un peu au plan international, ce ne pourra être que dans des pays qui n’ont qu’une importance géographique et politique mineure, et ici en France ça n’impressionnera pas la grande majorité de la population laborieuse de France qui se voit provoquée, négligée et brimée au plan national, la confiance n’est plus là, il n’a pas tenu ses promesses de campagne, et même dans certain cas il a fait le contraire.

19 mois nous sépare de l’élection présidentielle, pour lui il est trop tard …Ce ne sont pas les campagnes « savantes » de désinformations menées par les Directeurs et les animateurs des radios et des écrans, au service de la droite (et du Medef), qui changeront la donne, pas plus que la presse genre « Figaro », JDD, etc… Ils sont tous grillés …..

La loi est votée, elle sera appliquée, soit … mais elle est injuste …et on leur fera payer cette injustice en votant contre eux !