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13 juillet 2010

12 juillet 2010 : Intervention du Président de la République

Éditorial de lucienne magalie pons

Ambiance :


L’intervention de Président de la République du Lundi soir 12 Juillet, réalisée d’une terrasse du Palais de l’Élysée, un espace sans aucune verdure ni décoration , a part sur la gauche en retrait le flottement du drapeau Français et du drapeau de l’Europe, donnait d’emblée une atmosphère austère à l’émission présentée sur F2 de 20 heures 15 à 21 heures 30.


Dans ce décor volontairement banalisé , Nicolas Sarkozy et David Pujadas en tête à tête, assis chacun sur une chaise ordinaire séparé par un petit bureau tout aussi ordinaire ont chacun joué leur rôle, les questions précises de David Pujadas purgées de toute agressivité ont permis au Président de s’exprimer de 20 h 15 à 20 h 30 sur la ligne politique qu’il mène avec son gouvernement et dont nous avons pu nous rendre compte pour avoir suivi l’émission qu’elle ne variera pas d’un pouce.


Ce qui me laisse penser qu’un communiqué de l’Élysée aurait pu produire le même effet que cette émission, à ceci près que le visage du chef de l’État projeté en gros plan sur l’écran donnait une image nouvelle, celle d’un homme grave, sérieux, tendu au regard concentré, avec visage plutôt crispé, débarrassé de tout sourire ou des mimiques de connivences auxquelles nous étions accoutumés.


Notons au préalable que Monsieur David Pujadas était là pour poser les questions qu’il est inutile de reproduire, puisque les réponses du Président se suffisent à elles-mêmes pour les situer.


Passons au vif du sujet

Résumé de l’intervention


D’entrée le Président de la République s’est tout d’abord étendu sur l’intégrité du Ministre du Travail Eric Woerth en confirmant qu’il porterait la réforme des retraites au Parlement cet automne.


Le Président de la République n'a «jamais douté» de l’innocence de Monsieur Eric Woerth, et s'appuyant sur le rapport de l’IGF a soutenu : « Eric Woerth est un honnête homme …compétent qui a toute ma confiance ».


Pour Nicolas Sarkozy Éric Woerth est lavé de tout soupçon : L’IGF "a conclu que jamais, à aucun moment ni d'aucune façon, Éric Woerth n'est intervenu dans les affaires fiscales de Mme Bettencourt. Il est donc lavé de tout soupçon" «C'est un homme qui vient de subir la calomnie et le mensonge pendant trois semaines»


Le Président de la République s’est prononcé sur la fonction de ministre d'Éric Woerth, avec en parallèle celle de trésorier de l'UMP, en affirmant qu’ 'il avait conseillé à Éric Woerth de se concentrer sur son rôle de ministre. "Mon souhait, c'est qu'Éric Woerth se consacre exclusivement à la réforme des retraites."


«Comme par hasard - le fait qu'Eric Woerth soit aussi trésorier de l'UMP - devient gênant quand il mène la réforme des retraites», a ironisé le président.


Il affirme lui avoir dit qu'il souhaitait qu'il se consacre exclusivement à la réforme des retraites, et lui a conseillé de ne plus être trésorier de l'UMP. « Mais la décision lui appartient » …


Le Chef de l’État a affirmé "Quand vous mettez en œuvre des réformes, vous bousculez des intérêts", "Il y a trois mois, nous avons subi les pires calomnies, ma femme et moi", a aussi rappelé Nicolas Sarkozy en mentionnant «la rumeur» sur sa vie privée d'il y a trois mois. «C'est une perte de temps par rapport à ce qu'attendent les gens de moi. De les sortir de la crise.»


Sarkozy dément être un intime des Bettencourt, rappelant que le maître d'hôtel de la milliardaire lui-même a affirmé qu'il n'y avait été vu que trois fois en 17 ans.


Le président rappelle qu'il y a d'autres dossiers bien plus importants à traiter. Il mentionne que la calomnie peut aussi servir à détourner l'attention de ces gros chantiers, en mentionnant "Il y a trois mois, nous avons subi les pires calomnies, ma femme et moi"….. «C'est une perte de temps par rapport à ce qu'attendent les gens de moi. De les sortir de la crise.»


(A retenir : «Eric Woerth est un homme honnête, il défendra donc bien la réforme des retraites selon le calendrier prévu »)


( ndlr : Ainsi sous cette formule et sur la suite du discours, nous avons compris que les informations qui touchaient (ndlr : et qui toucheront encore) Monsieur Eric Woerth et d’autres personnalités politiques du pouvoir dans les remous et rebondissements du dossier Bettencourt sont ressenties par le Chef de l’État comme des « rumeurs », des « calomnies » « des mensonges » et aussi comme un « complot organisé contre la réforme des retraites ».)


Sur le train de vie de certains membres du gouvernement, Nicolas Sarkozy a reconnu un certain laisser-aller en faisant références à des habitudes et a ensuite résumé le train de vie de l’état assez sobrement en évitant de s’étendre sur la question Pour le Chef de l’État, ce sont «des indélicatesses, de maladresses», les ministres ont démissionné d'eux-mêmes : «Deux ministres ont commis des indélicatesses ou des maladresses. Je le leur ai dit, ils en ont tiré les conséquences … en donnant leur démission, nous les avons acceptée …..


Sarkozy a aussi défendu Philippe Courroye dont il est proche en démentant toute intrusion du pouvoir exécutif au sein de l'enquête menée par Philippe Courroye. «Comme c'est curieux, a-t-il expliqué Lorsqu'au début de la semaine dernière les éléments étaient à charge contre Éric Woerth, personne ne posait cette question et, comme par hasard, les juges étaient indépendants. Mais maintenant que les témoignages s'effondrent les uns après les autres, le magistrat devient quelqu'un dont il faut soupçonner l'intégrité.» Le président, victime d’un « lapsus » a parlé du «juge» pour désigner le procureur Philippe Courroye, tout en rappelant que celui-ci est territorialement compétent.


Nicolas a aussi refusé l'idée de changer de cadre procédural alors que de nombreuses personnalités politiques de droite, comme de l’opposition, demandent avec insistance qu'un juge d'instruction indépendant soit saisi de l'affaire Bettencourt.


Sur la «République irréprochable», Sarkozy rappelle que «jamais la Cour des comptes n'avait vérifié les comptes de l'Élysée» avant lui, et qu'il a «voulu un homme de l'opposition» pour la diriger. «Est-ce que ce n'est pas être irréprochable?» demande-t-il, ….


«La France n'est pas un pays corrompu», martèle le président. Il admet cependant quelques «mauvaises habitudes». «J'ai essayé d'apporter de la clarté dans les procédures. Même s'il y a encore des choses à faire», a-t-il insisté en soulignant que "la classe politique, gauche/droite confondue, est en général honnête"


A l’appui il a rappelé que «le dernier scandale politique» n'a pas eu lieu en France mais en Grande-Bretagne.

(Pour répondre peut-être sans la citer à Ségolène Royal qui avait dénoncé fin juin "un système Sarkozy corrompu", dénonciation politique reprise ensuite par l’opposition en différentes tonalités)


Enfin, et ce n’est une surprise pour personne, pour rétablir une image de statibilité du Pouvoir le président de la République a prévenu qu’il n’y aurait aucun remaniement ministériel avant que la réforme des retraites ne soit adoptée par le Parlement (ndlr : à l’automne vraisemblablement) en argumentant : "Les remaniements ne se font pas parce que tout d'un coup, les commentateurs s'agitent. Je n'ai pas le droit de céder à l'agitation du milieu, tout en critiquant " «La valse des ministres et des ministère fait la risée de la France et donne une image ridicule à notre pays »


Sarkozy réaffirme donc qu'il ne remaniera qu'en octobre, comme prévu.


Ce n’est qu’après avoir pour ainsi dire tenté de désamorcer le climat de la crise politique à sa façon, en défendant un Eric Woerth victime de calomnies, en dénonçant un « complot contre la réforme des retraites »,en défendant Philippe Courroye, en reconnaissant que deux ministres ont commis « des indélicatesses », en brossant ensuite un tableau idyllique de la république irréprochable en assurant qu’il allait mettre un terme aux mauvaises habitudes, tout en reconnaissant que « la classe politique, gauche/droite confondue, est en général honnête, et en réaffirmant qu’il ne remaniera pas le gouvernement jusqu’en octobre, que le Chef de l’État a abordé les questions de fond sur lesquelles les français attendaient des réponses :


Pour le Chef de l’État, la réforme des retraites n'est pas la réforme majeure de son quinquennat, «mais une réforme nécessaire».


Alors que le ministre du Travail doit présenter, mardi, en Conseil des ministres, le texte de loi de réforme des retraites en vue de rétablir l'équilibre du régime d'ici 2018, Nicolas Sarkozy a défendu la réforme en dénonçant à priori deux "catastrophes économiques" : l'abaissement de l'âge de la retraite à 60 ans et les 35 heures payées "par les plus pauvres".


Il a défendu et maintiendra le recul de l'âge légal de la retraite progressif à 62 ans en déclarant que la première injustice serait de ne pas financer les retraites. "La première injustice serait de faire croire aux Français qu'elle est garantie alors qu'elle ne l'est pas. Ce que nous faisons en 2010, tout le monde sait bien qu'on aurait dû le faire bien avant."


D’après le Président de la République pour les retraites, il n’y a que trois solutions qu’il énonce en y répondant : « Baisser leur pension ? ….Je dis aux 15 millions de retraités qu'on ne touchera pas à leur retraite" …. Augmenter les impôts ? Nicolas Sarkozy refuse cette solution, car "le monde est un village" et que la France doit rester compétitive, et l’on comprend que la troisième solution c’est qu’il entend rester ferme sur les 62 ans. "Je ne dis pas : c'est à prendre ou à laisser (mais) les 62 ans, on n'y touchera pas", tout comme "l'alignement des cotisations du public sur le privé", a affirmé Nicolas Sarkozy.


Nicolas Sarkozy a expliqué qu'il «se refuse» à toucher au montant des pensions de retraite, à augmenter les impôts aussi bien pour les particuliers que pour les entreprises pour ne pas faire baisser le pouvoir d'achat ou la compétitivité. «Deux ans de travail en plus rapporte 22 milliards d'euros», souligne le président, et rappelant que tous nos voisins européens «ont fait l'effort» qu'il demande aux Français.


«C'est plus facile d'être populaire en disant aux gens qu'ils doivent travailler moins, plutôt que de leur expliquer que le monde a changé et qu'ils devront travailler plus.»


Le président a avancé que ceux qui ont commencé à travailler à 15 -16 ans et jusqu'à 18 ans partiront à 60 ans.

Questionné sur la pénibilité du travail, il a dit que le gouvernement reconnaissait un "droit nouveau" pour ceux qui ont une incapacité de travail reconnue par la médecine du travail.


Enfin sur l'emploi des seniors, plus faible en France que la moyenne européenne, Nicolas Sarkozy a indiqué que le recours aux préretraites était "rendu infiniment plus compliqué" et que le taux d'emploi des seniors avait augmenté de 1 % en 2009.


Toutefois il a reconnu que : «Les polypensionnés nous posent un problème » en promettant « Tout l'été, on va travailler" : Nicolas Sarkozy assure qu'Eric Woerth et François Fillon vont «travailler tout l'été» avec les partenaires sociaux et seront « très à l'écoute» de leurs interlocuteurs.


Sauf sur les 62 ans.


Sur l'importance des manifestations» le Président a répondu. «Je m’attends à ce qu’il y ait des manifestations, je sais qu’il y a de la souffrance». Mai même s’il comprend «comprend les manifestants» et sait «que c'est une forme d'expression sociale»., le Président maintiendra la réforme des retraites … : «Je le fait parce que c'est l'idée que je me fais de mon devoir et ma responsabilité de chef d'État.» «Je veux pouvoir dire à mes compatriotes qu’on a travaillé pour assurer l’avenir de leurs enfants.


Sur les impôts, Nicolas Sarkozy rappelle qu'ils ont été diminués de 16 milliards d'euros pour «préparer la France au monde d'aujourd'hui et pas des années 60».


Le Chef de l’État mise que jusqu'à 10 milliards d'euros seront trouvés sur les niches fiscales.


Concernant les niches fiscales, le président garantit qu'il ne touchera pas aux services à la personne à domicile... à part quelques petits «aménagements techniques».


Le président rappelle qu'il compte économiser 100 milliards d'euros. «Il faut qu'on fasse un effort. La France ne peut pas vivre au-dessus de ses moyens.»


Nicolas Sarkozy rappelle la suppression de 100.000 postes de fonctionnaires en 3 ans. Dans le budget 2011, il y en aura 34.000 de plus. Sarkozy «suggère» que les collectivités territoriales, «notamment les régions», se comportent comme l'État, en lançant «un appel à la responsabilité.»


Le Président de la République s’explique ensuite sur le cap de la politique de la France pour « redonner de la compétitivité à la France », il fait observer en préambule : "j'ai été gâté", en citant la crise financière, la crise économique, la crise agricole, la crise de l'euro... "En deux ans, quatre crises" !


Ndlr : le Président n’a pas cité la crise politique ….


Nicolas Sarkozy balaye le risque sur la dette française "grâce à la réforme des retraites", il envisage aussi de redonner de la compétitivité à la France par "la fin des 35 heures", "les heures supplémentaires", l'argent mis sur "les universités" et sur "la recherche".


Les mesures préconisées ou suggérées visent essentiellement les classes moyennes, mais le chef de l’État s’est justifié en répétant « La France ne peut pas vivre au-dessus de ses moyens ».


Il a aussi justifié la suppression de la demi-part fiscale pour les parents des étudiants, si ces étudiants touchent les allocations logement.


Par contre, le Chef de l’État entend préserver le bouclier fiscal et s’interdit d’y toucher en argumentant sur le thème de l’augmentation des impôts qu’il se refuse à appliquer : … "Si nous continuons cette marche folle vers l'augmentation d'impôts nous n'aurons plus d'entreprise ni de consommation en France", a prétendu le chef de l'État en refusant une augmentation générale des impôts pour réduire les déficits …. Il a rappelé que «la France est le pays au monde qui taxe le plus ses citoyens les plus riches».. "De tous les pays du monde la France est celui qui taxe le plus les contribuables aisés", a-t-il martelé avant citer pour exemple les socialistes allemands et espagnols qui ont supprimé l'ISF, en rappelant qu'il avait lui-même refusé cette issue (ndlr : à regret peut-être ?) et que la France était l’un des rares pays d’Europe à avoir maintenu l’ISF.


Dans une parenthèse, dont on peut se demander si elle trouvait vraiment sa place dans son intervention, Nicolas Sarkozy a tenu à affirmer : «Je ne suis pas un homme d'argent et a stigmatisé "un rapport malsain à l'argent qui n'est pas une fin mais un moyen" en ajoutant : "J'entends des gens qui disent leur détestation de l'argent", et Nicolas Sarkozy explique «L'argent n'est pas une fin, c'est un moyen.» Le président dit détester tout autant ceux qui idolâtrent et ceux qui détestent l'argent. Il dit «ne pas être un homme d'argent», sinon il «n'aurait pas choisi une carrière dans la politique».


Pour les médias, Nicolas Sarkozy a donné son avis sur les journalistes «qui font un travail difficile» avec l'exigence de plus en plus accrue du public. Il refuse de reprendre à son compte les attaques de certains élus UMP et avoue: «J’aime les journalistes.»


Enfin une éclaircie ? … Comme nous le savons la France présidera le G20 à partir de novembre prochain, en abordant cette question le visage de Nicolas Sarkozy s’éclaire soudain, il rappelle que c’est « une invention française » et décline les priorités qu’il a tracé pour sa présidence : «d'abord un nouvel ordre monétaire international", ensuite la régulation "des matières premières" –Le chef de l’États a ajouté "Je défendrai le modèle agricole français et européen" et enfin "une nouvelle gouvernance mondiale". En résumé Nicolas Sarkozy veut un nouvel ordre monétaire mondial. «Bretton Woods c'était il y a plus de 60 ans.» Il compte aussi «défendre le modèle agricole français et européen», et qu'un nouvel ordre mondial arrive, en plaçant l'Afrique par exemple au Conseil de sécurité de l'ONU.


(Ndlr : Vaste programme …. Sur lequel il lui sera très difficile de naviguer si l’on en juge par les résultats des précédents G20)


Sur le moteur franco-allemand «Mme Merkel et moi on a dû apprendre à se connaître.» Sur les relations franco-allemandes et le fait qu’Angela Merkel ait traîné des pieds pour des décisions communes pendant la crise grecque, Nicolas Sarkozy glisse un «On ne va pas faire payer le nazisme à l’Allemagne jusqu’à la fin des temps»

Une question épineuse …Un mot tabou « rigueur » … Sarkozy ne veut pas de rigueur mais être rigoureux. «Rigueur ça veut dire baisser les salaires, je ne le ferai pas, augmenter les impôts, je ne le ferai pas. Rigoureux ca veut dire revenir à l'équilibre. Je le ferai.»


Pour le Président "La France doit faire des efforts pour continuer à exister", a-t-il prévenu ce qui ne signifie pas la rigueur …. "Le mot rigueur ça veut dire baisser les salaires augmenter les impôts je ne le ferai pas".


Pour la sécurité, il martelé qu'il « aurait des résultats » en évoquant la Seine-Saint-Denis. Il est revenu aussi sur la responsabilité parentale des mineurs délinquants pour "qu'ils soient un petit peu responsables pénalement" ….Le Président s'est dit "impressionné" par le nombre de jeune qui sort de l'école à 16 ans. Il a promis que tout jeune dans cette situation trouvera une formation jusqu'à 18 ans et a continué de résumer tout ce que son gouvernement a déjà annoncé.


Sur la question des nominations des dirigeants de l'audiovisuel public. Nicolas Sarkozy répond qu'«il y a désormais une transparence» en la matière. Il rappelle que le CSA a toujours la possibilité de refuser la nomination, tout comme les commissions des affaires culturelles de l'Assemblée et du Sénat. Rémy Pflimlin est apparu au président comme «l'homme le plus apte à mener la réforme» chez France Télévisions.


Concernant les deux journalistes otages en Afghanistan, Sarkozy affirme: «Nous ferons tout pour les sortir de la situation où ils se sont mis.» Il indique qu'il n'a pas «d'inquiétude brûlante» pour eux, mais beaucoup plus pour l'otage français retenu au Sahel.


En marge de la déconfiture de l’Équipe de France en Afrique du Sud qui a été évoquée, le Chef de l’État s’est justifié de la réception de Thierry Henry à l’Élysée (le même jour se déroulait dans Paris une manifestation contre la réforme des retraites) en rappelant que c'était le joueur qui avait demandé à être reçu, et que cette réception avait été accordée à un joueur aux "124 sélections"……«Il a porté le maillot de l’équipe de France, il est celui qui a marqué le plus de buts pour la France... Ça compte»


Le Président a par ailleurs évoqué la question de la gouvernance des Fédérations sportives.


Pour fermer le ban Nicolas Sarkozy a « délayée » la question sur son éventuelle reconduction à l'élection présidentielle : "La prochaine élection présidentielle a lieu dans un peu moins de deux ans, a-t-il argumenté, … « il n'y en a qu'un qui n'a pas le droit de penser à la prochaine présidentielle, c'est moi".


Il a insisté en soulignant qu'il devait "sortir les Français de la situation dans laquelle ils se trouvent". …… «Il n'y en a qu'un qui n'a pas le droit d'avoir des ambitions présidentielles actuellement. C'est moi. Car les Français veulent du résultat, du concret de l'action. Tout mon énergie et là.» La décision sera prise pas avant l'automne 2011.


Nicolas Sarkozy affirme que «quand il a un moment, il passe du temps en famille», et ne se «projette pas deux ans en avant» pour penser à la présidentielle de 2012.


Ndlr : j’ai écourté certains développements que vous aurez le loisir de retrouver si le cœur vous en dit dans une première revue de presse ci-dessous, mais je ne terminerai pas sans relever quelques citations que le Président n’a pas manqué d’introduire dans le cours de son intervention :


"J'ai été élu pour résoudre les problèmes de la France et des Français, des problèmes qui n'ont pas été résolus depuis des années parce qu'ils sont très difficiles ….. notamment la réforme des retraites"


Revue de presse et de toile :

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12 juillet 2010

Parenthèse douloureuse : les augmentations au 1er Juillet 2010

nouvelles douloureuses pour notre porte monnaie

Laissons de côté momentanément les polémiques qui secouent la classe politique pour découvrir avec un certain retard ce qui augmente cette année au 1er juillet !


1) LE GAZ : Une augmentation du gaz de 4,7 % est envisagée, mais cette augmentation n'est pour le moment pas officielle.


La méthode de calcul du prix du gaz implique que ce prix soit indexé sur celui du pétrole, ce qui promet une hausse prévisible de 4,7 %, après une hausse déjà importante en avril dernier (+ 9,7 %). Mais pour GDF Suez le prix du gaz en France est l'un des plus bas d'Europe, et malgré ces différentes augmentations, son prix actuel est toujours inférieur à celui qui était pratiqué il y a un an et demi.


La ministre de l'Économie Christine Lagarde avait demandé le 25 juin que l'augmentation du prix du gaz soit gelée jusqu'au 1er janvier 2011. D'ici là, elle souhaite qu'un audit soit réalisé afin de déterminer si cette formule tarifaire est efficace.


Si la Ministre de l’économie n'obtient pas gain de cause, une nouvelle augmentation est fortement probable en octobre prochain.


2) SNCF : augmentation de 2,5 % pour les trains Corail, Intercités et TER


Pour un trajet au tarif normal en seconde classe, le prix du billet augmentera de 10 centimes à 2,30 euros selon la distance parcourue.


La raison de la hausse des prix ?, la réponse est toute trouvée : « contribuer à la rénovation des trains »

Il est à noter que le prix des cartes de réduction (Carte 12-25, Senior, Escapades, Enfant+) ne changera pas cette année. Le prix pour les TGV ne changera pas non plus puisqu'ils avaient déjà été augmentés de 1,9 % en janvier dernier.


3) Les TRANSPORTS : hausse du prix des transports de 3,9 % (Ile de France)

Le Syndicat des Transports d'Île-de-France (STIF) a annoncé que ses tarifs allaient augmenter de 3,9 % en moyenne au 1er juillet prochain.


4) LE METRO : Le prix d'un ticket de métro à l'unité passera donc de 1,60 euro à 1,70 euro, Le carnet de 10 connaîtra lui aussi une hausse de tarif de 11,60 euros à 12 euros.


Au 1er juillet, le prix des abonnements mensuels va également augmenter :


Zones 1 et 2 : 60,40 euros (au lieu de 56,60 euros).

Zones 1 à 3 : 78,20 euros (au lieu de 74,40 euros).

Zones 1 à 4 : 95,50 euros (au lieu de 91,70 euros).

Zones 1 à 5 et 1 à 6 : les tarifs restent inchangés, soit respectivement 109,90 euros et 123,60 euros.

5) LA POSTE : Le timbre passe de 0,56 à 0,58 euro

Dès le 1er juillet prochain, après 16 mois de stabilité tarifaire, les timbres postaux pour lettres de moins de 20 g vont passer de 0,56 euro à 0,58 euro.


Pour les autres courriers, les prix augmentent d'environ 1,6 % en moyenne.


Ces ajustements placent les tarifs de la Poste dans la moyenne des autres pays européens.


6) La prime à la casse automobile passe de 1000 euros à 500 euros


La prime de 1 000 euros, offerte aux acheteurs de véhicules neufs qui se débarrassaient de leur ancienne voiture vieille de plus de 10 ans, avait déjà été ramenée à 700 euros au 1er janvier 2010. Le montant de cette prime va encore baisser au 1er juillet, ne représentant plus que 500 euros.


Mais pour profiter de cette prime de 500 euros, vous devez commander une voiture neuve d'ici le 31 décembre 2010 , en effet, cette prime va disparaître progressivement en 2011, (aucun calendrier précis n'est encore fixé aujourd'hui.)


Maigres consolations :


1) RETRAITES DES ANCIENS COMBATTANTS :

A compter du 1er juillet prochain, la retraite des anciens combattants sera augmentée de 2 points, portant ainsi l'indice à 43, et non à 48 comme les associations l'avaient demandé.


Cette mini hausse avait déjà bénéficié aux veuves d'anciens combattants le 1er avril dernier.


2). Les allocations chômage augmentent de 1,2 %


L'Unedic a annoncé le 29 juin que les allocations chômage allaient augmenter dès le 1er juillet 2010.

Les demandeurs d'emploi effectuant des "actes positifs de recherche d'emploi" verront donc leur allocation augmenter de 1,2 %.


L'annonce de cette hausse de l'allocation fait suite à l'augmentation du nombre de chômeurs de 0,8 % à la fin du mois de mai dernier.


3) le prix des communications téléphoniques en Europe avec un téléphone portable


Un règlement de l'Union Européenne plafonne le coût des opérations téléphoniques en Europe pour les téléphones portables, c'est ce qu'on appelle l'eurotarif.


Au 1er juillet 2010, les appels reçus et émis à travers les pays d'Europe verront leur coût baisser, un appel effectué depuis l'étranger vers la France coûtait jusqu'à maintenant 1,10 euro la minute, il ne coûtera plus que 0,39 euro la minute.


Pour un appel reçu à l'étranger, il faudra compter 0,15 euro la minute, contre 0,58 euro auparavant. Pour ce type d'appel, une facturation à la seconde après la 30e seconde a été mise en place.


Il s'agit d'un tarif maximum, mais les opérateurs peuvent décider d'appliquer une tarification moins importante.


Remous et mises au point après le rapport de l'IGF

Éditorial de lucienne magalie pons


En matière de polémique c'est comme la chevelure d'Eléonore quand il y en a plus il y en a encore ...



Jean Bassères, le chef de l'Inspection générale des finances, a rendu son rapport sur l'affaire Woerth-Bettencourt. Ses conclusions, sans surprise, étaient très attendues par les politiques et les médias.


D’après certains médias, François Baroin, le ministre du Budget, aurait demandé à Jean Bessières de travailler seul sur le dossier. .


La majorité avant même la publication es conclusions du rapport avait prédit qu'elles permettraient de laver Eric Woerth de tout soupçon d'intervention politique sur le dossier fiscal Bettencourt et bien entendu cette prédiction à jeté un doute chez certains commentateurs qui s’interrogeaient comment la majorité, alors que le rapport n’était pas encore publié pouvait déjà en présumer la teneur.


Le fait de confier l'enquête à un seul homme et les prédictions de la majorité avaient donc donné du grains à moudre dont certains médias ne se sont pas privés , lesquels tout en soulignant l’indépendance relative de l’Inspection générale des finances dont le Chef est nommé par le Président de la République , insistaient sur le fait qu’elle a pour vocation de contrôler les services administratifs et non pas les politiques et que l’ IGF n'est pas un contre-pouvoir institutionnel et le pouvoir exécutif ne peut pas être contrôlé par une instance qui émane de lui-même.


Le lien de subordination qui existe entre le chef de l'IGF et le ministre, font planer le doute à tort ou à raison sur le travail effectué par Jean Bassères, bien que les qualités de ce haut fonctionnaire ne puissent être mise en doute.

En conclusion, le rapport de l'IGF ne signera pas la fin de l'affaire Woerth-Bettencourt


Une enquête sur les éventuelles interventions d'Eric Woerth dans le dossier fiscal de Liliane Bettencourt aurait dû être confiée soit au pouvoir législatif, c'est à dire au Parlement, soit au pouvoir judiciaire, c'est à dire à un juge d'instruction indépendant - et pas à un procureur, dépendant de l'exécutif, comme c'est le cas actuellement pour les diverses enquêtes préliminaires ouvertes sur l'affaire.


Confier ce rapport à Jean Bassères en particulier, a été ressenti comme une instrumentalisation de l'IGF à des fins politiques et par ailleurs le fait pour la majorité présidentielle de présumer par avance de ses conclusions a confirmé cette impression.


oo0oo


Monsieur Eric Woerth après la publication du rapport l’IGF a déclaré ce matin sur Europe 1:


«Je verrai, (...) on va y réfléchir, je vais y réfléchir» en affirmant qu'il n'était «pas intervenu» dans le dossier fiscal de Liliane Bettencourt, le ministre du Travail

«J'avais besoin des conclusions» du rapport de l’IGF), a précisé le Ministre du Travail, qui était précédemment mis en cause et soupçonné par l'opposition de conflit d'intérêts en raison de ses fonctions ministérielles (au Budget puis au Travail) par rapport à celle de trésorier de l'UMP, gérant les dons des particuliers.

Revenant sur les conclusions du rapport de l'IGF, Eric Woerth, a commenté : «L'inspection générale des finances a fait ce rapport de manière extraordinairement détaillée, très sérieuse ,,,,,, Les choses sont claires et c'est vrai que je suis énormément soulagé parce qu'enfin on me croit», a-t-il expliqué, jugeant «scandaleux» de douter de l’objectivité de ce rapport. «C’est une instruction médiatico-politique qui est systématiquement à charge (...) L’IGS ne va pas chercher ses ordres vers ce dont elle dépend administrativement. Dire cela est insultant à l’égard des inspecteurs des finances qui ont mené cette mission», a insisté l’ancien ministre du Budget.


Pour ceux qui s’obstineraient à l'accuser d'être intervenu oralement dans le dossier fiscal de Mme Bettencourt, ils «ne connaissent rien à la procédure», a-t-il poursuivi. «Comment voulez vous donner une instruction orale à l’administration fiscale ? A un moment donné, il y a toujours une trace», estime-t-il.


D’autres estimeront sans doute que « les paroles s’envolent et les écrits restent » en faisant leur deuil d’instructions écrites.


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Le chef de l’État répondra aux questions de David Pujadas seul intervieweur. L’Élyséen a fait savoir hier dimanche, que «tous les sujets seraient abordés» et les médias supposent que Nicolas Sarkosy qu’il s’exprimera aussi sur l’Affaire Bettencourt.

A n’en pas douter s’il s’exprime sur l’affaire Bettencourt (ndlr : surtout ne dites pas l’affaire Woerth) il se confortera des conclusions du rapport de L’Inspection générale des Finance qui affirme que Monsieur Eric Woerth, «n'est pas intervenu» dans le dossier fiscal de Madame Liliane Bettencourt quand il était au Budget (2007-mars 2010). Ce rapport qui était attendu pour ce Lundi a été mis en ligne et rendu public dimanche soir sur le site du ministère du Budget.

Comme il fallait s’y attendre, ce n’est une surprise pour personne, l’Inspection générale des finances (IGF) a rendu « pile poil » au moment voulu son rapport qui blanchi Monsieur Eric Woerth de tout soupçon d’intervention fiscale en faveur de Liliane Bettencourt, François-Marie Banier ou Patrice de Maistre.

Mais pour l’opposition ce rapport qu’elle conteste résulte d’une « manœuvre cousue de fil blanc » , d’après de précédentes déclarations de l’opposition, relayées par certains médias, l'inspection générale des Finances travaille sous la tutelle du ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi et du ministre du Budget.

Nicolas Sarkozy comme nous le savons accorde une entière confiance au Ministre du Travail comme il a déjà fait connaître dans différentes déclarations, pour le Président de la République «Eric est l'honnêteté faite homme», avait-il dit le 30 juin devant des députés UMP réunis à l'Élysée. Il n’a jamais été question pour Nicolas Sarkozy de se séparer d’Eric Woerth, car «ça voudra dire qu'il y a donc quelque chose» (à lui reprocher), a aussi estimé le Chef de l’État.

Un remaniement avant le mois d’Octobre ne parait pas certainement pas opportun en cette période où le Chef de l’État aux dires des commentateurs doit reprendre en main une communication qui lui a échappé ces dernières semaines, enfin comme il l’a fait savoir Nicolas Sarkozy n'a pas l'intention de «se laisser dicter son calendrier».

L'opposition n’attend rien de cette intervention, la parole du chef de l'État «s'est beaucoup usée», a estimé le président (PS) de la Commission des Finances de l'Assemblée, Jérôme Cahuzac.

En conclusion le chef de l’État, le Premier Ministre , les membres du Gouvernement et les portes paroles de la majorité présidentielle qui ne cessent de monter au créneau en réponse aux informations des médias, ont fini par discréditer leurs interventions par une surabondance de communication, qui offre l’image d’un fleuve tumultueux dont les eaux débordantes font craquer les digues de protection les unes après les autres, contrairement à leur attente.

Dans l’attente de l’intervention du Président de la République, les médias se font l’écho des dernières interventions et déclarations des personnalités politiques, pour les uns défenseurs de l’honneur de Monsieur Eric Woerth le rapport de l’IGF met un terme aux suspicions entretenues.

Pour Mme Alliot- Marie, l’enquête avance, pas de dépaysement du dossier envisagé puisque d’après elle seules les parties au dossier pourraient le demander et enfin la garde des sceaux affirme que la justice ne subira aucune pression et que les enquêtes (préliminaires) en cours ne concernent pas Eric Woerth.

Mais pour l’opposition le rapport de l’IGF, institution qui travaille sous la tutelle du Ministère du budget , reste contestable de même que la conduite des enquêtes préliminaires lancées par le Procureur de Nanterre, Philippe Courroye, qui lui se trouve soumis hiérarchiquement à la Chancellerie,

L’opposition et d’autres personnalités politiques restent sur leur position, en insistant sur la saisine d’un juge d’instruction indépendant, sur le dépaysement de l’Affaire Bettencourt dans un autre Tribunal et sur la création d’une commission d’enquête parlementaire.

L’intervention imminente du Président de la République reste liée, dans les articles de la presse et sur la toile aux polémiques en cours sur le rapport de l’IGF, et sur le poids supposé à tort ou à raison de l’exécutif dans le traitement du dossier Bettencourt sur fond de crise politique.

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