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08 novembre 2009

H1N1 : Secret-défense" pour des " raisons ... de sécurité évidentes" (????)

Direction de la santé dixit :" si la procédure était classée « secret-défense », c’était uniquement « pour des raisons de sécurité évidentes, en raison des impératifs de santé publique "

Oh ! qu'en termes obscurs ces choses là sont dites !

Essayons d'y voir un peu plus clair :

article -information de lucienne magalie pons


Pour faire face à la grippe « A » les autorités sanitaires françaises ont commandé Quatre-vingt-quatorze millions de doses de vaccins pour 871 millions d’euros et les dépenses annexes porteraient l’ardoise à plus d’un milliard d’euros


D’après certains médias, des laboratoires pharmaceutiques financeraient les « experts de la grippe A » et s’interrogent sur leur influence dans les décisions de santé publique.


Pour donner un exemple de la contribution des laboratoires au financement d’experts appelés à conseiller les autorités sanitaires sur la politique vaccinale , ces médias citent le Groupe d’expertise et d’information sur la grippe(Geig), dont le Président du comité scientifique Geig, le Professeur Bruno Lina, apparaît comme l’un des experts officiels du ministère de la Santé alors que son groupe est financé à 100 % par les laboratoires producteurs du vaccin contre la grippe.


Tout récemment certains laboratoires pharmaceutiques autorisés à fabriquer le vaccin, proposé aux Français à partir du 12 novembre, ont publié leurs comptes, dopés par les commandes à travers le monde, une « manne » d’après ces mêmes médias qui posent la question : Ces firmes ont-elles pu user de leur influence auprès du ministère de la Santé pour l’inciter à acheter des vaccins en surnombre ?


La Direction générale de la santé se défend de tels procédés, d’après cette direction le contrat pour le vaccin grippe A s’est déroulé en juillet « selon une stricte procédure d’appel d’offres », et si la procédure était classée « secret-défense », c’était uniquement « pour des raisons de sécurité évidentes, en raison des impératifs de santé publique ».


Ndlr : Le « Secret-défense » pour une procédure de santé « pour des raisons de sécurité évidentes » est-il justifié ? On aimerait savoir exactement ce que recouvrent « les raisons de sécurité évidentes » ?


Par ailleurs, le Professeur de Médecine Marc Girard, auteur d’un livre ‘Alertes grippales » qui explique ces conflits d’intérêts a fait remarquer : « Les pouvoirs publics sont infiltrés par des représentants des firmes pharmaceutiques, il faudrait qu’ils balayent devant leur porte ! »


Une « pratique » déjà constatée lors de la campagne de vaccination contre le virus de l’hépatite B en 1994, sous la pression de laboratoires et de l’Organisation mondiale de la santé.

ndlr : avant de poursuivre notre article nous vous proposons une revue de presse :


  • H1N1 : Bachelot sort les contrats des labos mais efface les prix ...

    30 oct 2009 ... Le ministère de la Santé laisse filtrer les accords passés pour la fabrication de vaccins. Les sommes à payer ont été effacées.
    www.rue89.com/.../h1n1-bachelot-sort-les-contrats-des-labos-mais-efface-les-prix-124020 - En cache - Pages similaires
  • Le virus H1N1 prend la France en grippe - Sciences – Toute l ...

  • Sur le thème "Les français ne veulent pas se faire vacciner", voir le site :

    www.france-amerique.com/articles/2009/11/06/h..




  • reprise de l'article information :

  • Faute d’en savoir plus de la Direction générale de la santé, « secret-défense » oblige pour des « raisons ( ndlr :obscures) de sécurité évidentes » des internautes pour s’informer plus avant font circuler entre eux des textes figurant sur « Le Journal de Michel Dogna », et nous avons reçu ce matin d’un « anonyme » par e mail, les textes ci-dessous reproduits , qui n’engagent que leurs auteurs , mais dont la lecture peut éclairer nos lanternes d’un jour nouveau.


    Nous ne pouvons ni confirmer ni infirmer ces textes, nous ne sommes pas dans le secret des Dieux, et pour « des raisons de liberté d’expression et d’interprétation » qui nous paraissent « évidentes » nous les soumettons à la réflexion de nos lecteurs internautes qui n’en auraient pas eu connaissance :


    LE JOURNAL DE MICHEL DOGNA - N°76 n NOVEMBRE - DÉCEMBRE 2009 PAGE 10

    Le 21 septembre 2009, Verichip annonçait officiellement la mise en application prochaine d’un nouveau système de détection du virusH1N1 par l’utilisation de nouvelles puces. Elle a vu ensuite ses actions grimper en flèche à la bourse après avoir remporté la licence pour le brevet H1N1.


    Un tel programme va être mis en place aux Hospices civils de Lyon pour mesurer les risques de propagation des maladies nosocomiales.

    Nous avons déjà ces engins sur nos nouveaux papiers d’identité qui transmettent non seulement l’identification du porteur, MAIS AUSSI SA LOCALISATION !!! Cependant, sous le prétexte de cette « pandémie », on accoutume l’opinion publique à l’implantation de puces électroniques sur les individus et même à l’intérieur d’eux-mêmes. Ce système, autorisé pour l’usage médical en octobre 2004 par la FDA des États-Unis, utilise la micro puce humaine implantable passive RFID et le disque de santé personnel correspondant.


    Au cours des dernières années, les nanotechnologies ont accompli de spectaculaires progrès. Désormais, une fois installée dans le corps humain au cours de n’importe quel acte chirurgical, cette puce qui peut avoir des dimensions infimes de l’ordre de 4

    centièmes de millimètre (plus petite qu’un grain de sable) permet de connaître bien des choses sur cet humain et de le suivre à la trace.


    Elle est aussi capable de transmettre un signal excitant certaines parties du cerveau et de modifier ainsi le comportement humain. Ainsi, on peut stimuler des structures cérébrales spécifiques, provoquant alors des réactions émotionnelles et mentales chez les animaux comme chez les hommes, ce qui ouvre la porte à des possibilités de contrôle effrayantes.


    Cette puce peut en outre transmettre l’information de notre influx nerveux à un ordinateur et, d’autre part, par la commande d’un ordinateur, injecter un signal qui est reçu par notre système nerveux. La micro puce sous-cutanée présente une interface par laquelle une personne implantée s’expose à d’éventuelles manipulations qui lui seraient inconnues. Et bien qu’elles relèvent encore dans l’esprit de la grande majorité des gens du domaine de la science-fiction, ces puces sont déjà opérationnelles et permettent de mettre en place des automatismes sur les animaux qui réduisent le travail des éleveurs d’animaux de batteries en ce qui concerne le tri, l’alimentation et la reproduction. Outre les animaux, on peut à présent les implanter sous la peau de tout individu que l’on veut surveiller : enfant, malade, vieillard sénile, prisonnier ou militaire. Certains se réjouissent de ce « progrès » sans imaginer que cette nouvelle technologie risque de porter atteinte à la vie privée des porteurs de puces, en transmettant à leur insu des informations très personnelles.


    DE L’ANIMAL À L’HUMAIN


    Depuis longtemps déjà, les puces étaient utilisées par la médecine vétérinaire pour identifier des milliers d’animaux à travers la planète, mais cette surveillance ne s’était pas encore étendue à l’être humain. A l’heure de la mondialisation, lentement mais sûrement, l’homme est considéré comme un membre du troupeau avec tout ce que cette définition implique. Soumis à la loi du profit, les gouvernements nous imposent une société dans laquelle certains responsables, scientifiques ou politiques, munis de pouvoirs mais dépourvus de conscience, n’hésitent pas à transformer l’être humain en une marchandise qu’on peut impunément vendre, acheter ou simplement jeter suivant les besoins.


    En 1992, à la grande surprise des médecins qui savaient qu’aucune épidémie n’était en vue, fut pratiquée au Québec une vaccination de masse contre la méningite.


    Cette décision avait été prise par des fonctionnaires du gouvernement contre l’avis de la plupart des membres du corps médical ; mais le Gouvernement passa outre. Un grand nombre de médecins et d’infirmières se sont alors demandé, non sans raison, pourquoi ils devaient appliquer un « protocole particulier » pour administrer cette injection et pourquoi il fallait donner une inclinaison singulière à la seringue et une pression très forte pendant plusieurs secondes à l’endroit de l’injection. Serge Monast, un journaliste d’investigation, décédé depuis dans de mystérieuses conditions avait constaté : « Ce fait rattaché au “protocole spécial” est d’autant plus étrange dans l’administration d’un vaccin qu’il ressemble en tous points à la manière dont on injecte un “implant électronique” servant à l’identification personnelle et fabriqué, entre autres, par la Texas Instrument. La méthode est aussi semblable à celle utilisée pour l’injection de cristaux liquides afin d’empêcher leur retour dans la seringue.


    Ces rapports entre la puce et le virus de la grippe A ne peuvent que confirmer les craintes qui entourent ce vaccin : la technologie menace maintenant l’Homme et sa Liberté.


    Point n’est besoin d’être paranoïaque pour imaginer la possibilité de l’installation de systèmes de contrôle et d’influence du style de « Big Brother » comme dans 1984


    de George Orwell. Les pouvoirs dans notre monde n’ont pas arrêté de se centraliser et certaines orientations de hauts responsables politiques font tout naturellement surgir des questions inquiétantes sur leurs réelles intentions. Aussi, nous devons rester vigilants :

    Tant que la puce reste implantée sur un objet, nous pouvons toujours échapper à ce pistage en nous débarrassant de cet objet, mais lorsqu’elle sera implantée dans notre corps, nous ne pourrons plus nous en débarrasser !


    Sylvie Simon


    © 2009 REPRODUCTION PARTIELLE AUTORISÉE AVEC MENTION D’ORIGINE


    LE JOURNAL DE MICHEL DOGNA - N°76 n NOVEMBRE - DÉCEMBRE 2009 PAGE 5


    C’est la raison pour laquelle il a été très facile pour le très méritant prix Nobel de la Paix, Barak Obama, de décréter l’état d’urgence sanitaire (étape n° 11), qui est l’étape préalable à l’instauration d’un état totalitaire. Je rappelle quand même que la FEMA (Federal Emergency Management Agency) aura la gestion de toute cette campagne de vaccination massive que j’annonce comme obligatoire depuis fin août. Quand on sait, par ailleurs, que c’est à la FEMA qu’on a confié la gestion des 800 camps de concentration vides disséminés sur tout le territoire des Etats-Unis, on comprend tout.

    Mais on n’en estpas encore là. Ça, c’est l’étape n° 12.


    ET POUR LA FRANCE ?


    À noter que la France sera probablement le premier pays européen à déclarer l’état d’urgence sanitaire.


    En effet, Nicolas Sarkozy (qui ne dit pas un mot sur la question) ne voudrait quand même pas être à la traîne du modèle américain.


    Comme le FluMist n’est pas (encore) autorisé en Europe, la stratégie est différente, mais le principe est le même.


    Il faut savoir qu’un premier lot de vaccins a été livré à la France le 27 août dernier, en provenance de l’entreprise pharmaceutique la plus criminelle du monde : Baxter (je rappelle que c’est Baxter qui avait contaminé 72 kg de matériel vaccinal en février 2009, en mélangeant « par accident !» le virus de la grippe H3N2 à celui de la grippe H5N1. Ces vaccins livrés fin août à la France sont très certainement des vaccins contenant le virus de la grippe aviaire H5N1, issus de ce qui avait été produit antérieurement par Baxter en préparation de la pandémie de grippe aviaire (il faut bien recycler les invendus, non ?).


    D’ailleurs, il est impossible que ce soit des vaccins contenant le H1N1 – les délais de fabrication étant trop courts, par rapport à la date de livraison de la souche Californienne qui a servi à la production des vaccins. Ces vaccins ont d’ailleurs été gardés sous haute surveillance militaire à Miramas, en Provence.


    Et ce sont eux qui sortent les premiers...


    Voici mon hypothèse intuitive (jusqu’à présent, toutes les intuitions que j’ai depuis mai 2009 se sont avérées exactes, mais je peux me tromper) :


    - Les premières personnes vaccinées en France le seront avec le vaccin contre le H5N1 (mais, on ne leur dira pas). Les vaccinés qui seront déjà porteurs du H1N1 risquent de vivre une commutation entre le H5N1 vaccinal et le H1N1 présent dans le corps et faire des complications, et en mourir probablement.


    - Autre hypothèse : comme la France est à peu près le seul pays qui exige une traçabilité absolue de la vaccination (où l’on notera soigneusement le numéro du lot dispensé à une personne), j’imagine qu’il se pourrait que la deuxième injection se fasse avec un vaccin contenant, lui, le virus H1N1. Histoire d’être sûr de provoquer la fameuse commutation tant attendue H5N1 + H1N1. On retrouve, dans les deux cas, l’étape n° 9.


    Donc, attendez-vous, chers amis, que la France décrète, elle aussi l’état d’urgence sanitaire dans quelques jours (c’est peut-être déjà fait lorsque vous lisez l’article), car c’est dans ce pays que la deuxième vague va frapper dur ! Entraînant, à sa suite, la déclaration de l’état d’urgence sanitaire dans tous les pays européens. Et que nos voisins belges ne se croient pas protégés par l’amendement obtenu récemment, garantissant la liberté de vaccination !


    DEUX ARMES COMPLÉMENTAIRES POUR ASSURER L’HÉCATOMBE


    La première arme, c’est le rôle néfaste et mortel du TAMIFLU. En effet, n’avez-vous pas remarqué que la plupart des personnes jeunes et en bonne santé qui mourraient de Détresse Respiratoire Aiguë ou de surinfection bactérienne pulmonaire avaient pratiquement toutes été traitées au TAMIFLU, dans les heures précédant leur décès.


    Voir :


    http://www.flutrackers.com/forum/showthread. php?t=126123


    La deuxième arme, c’est qu’il y a eu, depuis mars 2009, une très grande intensification de CHEMTRAILS dans le ciel, aussi bien en Europe qu’en Amérique du Nord (je n’ai pas d’informations pour les autres continents). Une référence, parmi beaucoup d’autres:


    http://www.chemtrails-france.com/


    . Pour ceux qui ne le savent pas, il s’agit de traînées répandues dans le ciel par des avions volant à haute altitude, qui imitent les traînées de condensation que font les avions de ligne. Les vraies traînées ne demeurent dans le ciel que quelques minutes, car ce n’est que de l’eau et les gouttelettes se dispersent rapidement.


    Les CHEMTRAILS (littéralement, traînées chimiques) sont disséminés dans le ciel par une série d’avions volant dans deux directions perpendiculaires, créant ainsi un quadrillage. À la différence des traînées de condensation, non seulement ces traînées ne disparaissent pas en quelques minutes, mais au contraire, elles grossissent et finissent par se rejoindre, plombant le ciel bleu d’une lourde chape de nuages gris en quelques heures. Un biochimiste britannique participant à ces opérations a révélé, l’été dernier, que ces traînées chimiques contenaient des aérosols précurseurs à base de Baryum radioactif, qui réagiront une fois en contact avec les composants du vaccin, pour provoquer une propagation rapide du virus H1N1 (voir la page 4 du document)


    http://www.lepouvoirmondial.com/media/02/00/2026651703.pdf


    Ces virus, bien entendu, retombent sur nos têtes régulièrement... Surveillez le ciel !


    CONCRÈTEMENT, QUELLES INITIATIVES ?


    Tout d’abord, quand vous entendrez que le nombre de morts augmente, vérifiez si c’est parmi les vaccinés. Si c’est le cas, vous serez assurés de la position à prendre par rapport à ce vaccin. Rappelez-vous aussi qu’en aucun cas, un vaccin ne renforce le système immunitaire. Au contraire, chaque vaccination est une agression qui affaiblit un peu plus le système immunitaire.


    07 novembre 2009

    Fondation Chirac : Remise des prix pour la Prévention des Conflits - 6 novembre 2009 -

    article de lucienne magalie pons

    La fondation créée par l'ancien président Jacques Chirac a remis vendredi son premier prix pour la prévention des conflits à l'imam Muhammad Ashafa et au pasteur James Wuye, anciens miliciens religieux du Nigéria devenus d'inlassables acteurs "de la réconciliation des cœurs et des esprits". Le prix du jury a été attribué à l'ancien ministre sud-coréen de la Réunification, Park Jae Kyu, qui a dédié sa vie au dialogue entre les deux Corées.


    Les trois lauréats étaient présents pour la cérémonie de remise des prix, à l'université de la Sorbonne, en présence de Jacques Chirac, de la plupart des membres du jury, et d'un parterre de personnalités composé de personnalités françaises et étrangères comme l'ancien président du Mozambique Joaquim Chissano, le directeur de la Bibliothèque d'Alexandrie Ismaël Serageldin ou l'ex-directeur du Fonds monétaire international Michel Camdessus.

    Monsieur Nicolas Sarkozy s'y trouvait aussi naturellement.


    Paradoxalement, ce qui pour le moment intéresse les médias alignés , c'est le discours de clôture que Monsieur Nicolas Sarkozy a présenté en fin de cérémonie.


    Commençons donc par la fin :


    Dans son discours qui débute par les salutations d’usage, Nicolas Sarkozy enchaîne tout au début de son discours en se personnalisant par la formule « c’est moi…. », et n’a pas manqué par la suite de mettre en évidence « son combat » en faveur de l'ouverture du Conseil de sécurité de l'ONU aux nouveaux pays émergents, pour un rôle accru de l'Union pour la Méditerranée (UpM), notamment dans la résolution du conflit entre Israël et les Palestiniens, ou la création d'une Organisation mondiale de l'environnement


    Il a loué "l'initiative extraordinairement positive et utile" de Jacques Chirac et a exhorté tous les pays à "continuer à agir en ce sens", notamment via le G-20, l'Union pour la Méditerranée ou par la création d'une organisation internationale de l'environnement.


    Il a insisté pour militer en faveur d'une réforme du conseil de sécurité de l'ONU où l'Afrique et l'Amérique latine ne sont pas représentées, où la Chine avec ses 1,4 milliards d'habitants ne dispose pas de siège permanent. "Est-ce raisonnable?", s'est interrogé Nicolas Sarkozy.


    Il a également plaidé pour sa diplomatie, dénonçant les "idées fausses", selon lui de « ceux » qui l'accusent de privilégier les intérêts commerciaux aux droits de l'Homme. "On n'a rien par la faiblesse mais on n'a rien non plus en humiliant les autres", a-t-il opiné


    Nicolas Sarkozy a enfin insisté sur « son plaisir » d'être aux côtés de Jacques Chirac" et de montrer ainsi "la continuité des responsabilités" et le "respect" entre responsables, en faisant allusion aux rivalités passées évoquées dans ses mémoires par l'ancien chef de l'Etat.


    Tout au long se son discours pour s’adresser à l’ancien Président République Jacques Chirac, Nicolas est passé progressivement du « Vous » au « Cher Jacques » puis familièrement du « vous » au « tu » et du Cher Jacques à « Jacques « tout court », sans doute pour démontrer qu’il se trouvait invité en sa qualité de Chef de l’Etat tout autant qu’en ami.


    Parlant de lui-même dans le cours de son intervention, Nicolas Sarkozy s’est désigné comme, « Président de la République, Chef des armées ».


    Dan son intervention, en ses titres et qualités, Nicolas Sarkozy « C’est Moi » n’a pas manqué à plusieurs reprises, de se situer au cœur de l’évènement, en conclusion nous pouvons dire : « C’est tout lui »


    Revenons plus sérieusement à l'objet même de la cérémonie de remise des Prix pour la prévention des conflits :


    Monsieur Jacques Chirac a rendu hommage aux trois lauréats en inscrivant leur action dans la lignée d'un Ghandi, d'un Martin Luther King ou d'un Nelson Mandela.


    Le remarquable discours d'ouverture de notre ancien Président de la République Jacques Chirac, qui s'est bien gardé de se mettre personnellement en évidence, était d'une haute tenue oratoire, (pas de "tu" ), et comme il convenait il a fait une analyse des causes de conflits, tout en mettant en valeur l'action des Lauréats et des militants civils en faveur de la Paix.


    Voici deux courts extraits du discours de Monsieur Jacques Chirac :


    "La crise économique et financière accroît les risques et multiplie les déséquilibres et les inégalités. Ses conséquences, cruelles pour les populations les plus fragiles des pays riches, sont dramatiques pour les pays pauvres"

    ……

    "Je crois à la primauté du droit sur la force. Je crois en la vertu du dialogue. En clair, je crois en l'homme", a noté Jacques Chirac. "Plus que jamais, il nous faut des militants de la paix qui soient issus de la société civile. Car l'action politique, si elle exige vision et hauteur de vue, a aussi besoin de relais", a-t-il ajouté.


    D’autres personnalités et non des moindres sont restés au cœur de l’évènement en saluant l’action des lauréats et l’action de Jacques Chirac en faveur de la paix :


    Simone Veil qui a remis le prix doté de 100.000 euros aux deux Nigérians a salué l'action des lauréats, mais aussi l'engagement de Jacques Chirac en faveur de la paix: "Il fallait de l'imagination, il fallait beaucoup de confiance en l'homme, il fallait beaucoup d'espoir", a souligné l'ancienne ministre, membre du jury.


    L'ancien secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, qui a remis le prix du jury, a également inscrit cette initiative dans le parcours personnel de Monsieur Jacques Chirac


    Pour conclure il est à regretter que dans son discours de clôture, Monsieur Nicolas Sarkozy se soit saisi de l’occasion pour en faire une tribune personnelle pour se mettre en évidence en plaidant pour sa politique, ce n’était ni le lieu ni le thème de cet évènement de remise des Prix pour la prévention des conflits.


    05 novembre 2009

    Identité Nationale Française : Lettre ouverte aux Grandes Gueules - RMC

    article de lucienne magalie pons

    Lettre ouverte aux Grandes Gueules - RMC

    Le thème de l'identité nationale française fait l’objet actuellement d’un débat national en France et vous en parler dans votre émission. Les délais d’attente au téléphone ne me permettent pas d’accéder à votre émission pour intervenir


    Je tiens à vous faire part par cette « Lettre ouverte » publiée sur mon blog de mes réflexions sur le thème de l' Identité Nationale Française :


    Nicolas Sarkozy en avait fait l’un des thèmes politique de sa campagne électorale à l'élection présidentielle de 2007


    Ma réflexion : L’instrumentalisation politique du thème de l’Identité Nationale Française pour l’instituer comme un débat national est une manœuvre politique abusive et démagogique.


    Faire de l’identité Nationale Française un thème de campagne électorale est un appel du pied aux électeurs qui se réclament du nationalisme. C’est une tactique électorale abusive, un appel au vote à des électeurs « nationalistes « Or le nationalismes est une idéologie politique qui ne peut se confondre avec l’Identité Française.

    Etre Français ressort d’un statut légal et non idéologie


    Éric Besson, actuellement a déclaré en octobre 2009 : « J'ai envie de lancer un grand débat sur les valeurs de l'identité nationale, sur ce qu'est être Français aujourd'hui ……..avec les parlementaires, députés et sénateurs, avec les députés européens ».


    Ma réflexion : élargir le débat jusqu’aux députés Européens est parfaitement indicatif d’une ambition politique démesurée, je ne vois pas ce que Monsieur Eric Besson a pour objectif réel dans sa démarche …… on peut là-dessus s’interroger ! Pour le moment je n’ai pas de réponse mais la suite de sa réflexion et de ses interventions pourra peut-être nous permettre de nous forger une opinion à ce sujet.


    Il a ajouté, entre autres : « Il faut réaffirmer les valeurs de l'identité nationale et la fierté d'être français » et encore : « Je pense par exemple qu'il serait bon – aux États-Unis c'est banal, en France ça reste parfois compliqué – que tous les jeunes Français aient une fois dans l'année l'occasion de chanter la Marseillaise


    ma réflexion : vouloir réaffirmer les valeurs, la fierté, d’être …… l’occasion de chanter la Marseillaise, » et les raccrocher comme des petits wagons publicitaires à l’Identité Nationale Française, ressort d’une idéologie politique, philosophique ou sentimentale qui n’entre pas dans les obligations légales du citoyen Français..

    Il ne manquerait plus qu’il préconise de porter une cocarde sur la poitrine !


    Ma réflexion : : lancer un débat national sur l’Identité nationale Française est une manœuvre essentiellement politique qui me paraît abusive et j’estime que cette manœuvre n’a pas à se surajouter à la mission ministérielle officielle de Monsieur Eric Besson.


    On peut estimer que ce débat, délivré de sa connotation politique actuelle, peut aussi s’inscrire dans une démarche intellectuelle ou philosophique ou encore existentielle, chacun est libre dans son salon, dans une association, ou sur plateau de conférence exercer cette liberté, et dans ce contexte, délivré de toute idéologie, partisane politique, il retrouverait toute sa valeur culturelle.


    Pour moi citoyenne Française, identifiée comme telle sur ma Carte d’Identité Française, seul document que je prends come référence pour user de mes droits et remplir mes obligations dans mes démarches administratives, et pour aller périodiquement voter, de ma propre volonté, je n’ai pas pour habitude de me lever tous les matins en m’interrogeant sur ma nationalité, sur les valeurs Françaises, sur mon Identité ‘‘nationale ‘’Française, je n’en éprouve aucun sentiment de fierté ou d’humilité, pas plus que je ne m’interroge sur l’identité de mes voisins ou des personnes que je rencontre dans la rue ou dans mes déplacements pour me demander s’ils sont Français ou pas.


    Pour ce qui concerne mes croyances et mes pratiques culturelles, mes gouts, mes préférence, je les partage en privé avec mes proches et mes amis, même s’ils ont d’autres croyances et pratiques, on n’a pas l’habitude de s’affronter sur ces questions on en discute librement.


    Mon éducation civique acquise dans ma famille et surtout à l’école primaire dans une ancienne époque ou l’éducation et la morale civique était encore au programme de l’instruction, me met à l’abri de telles interrogations, mais je comprends qu’un marge minoritaire de Français puisse s’interroger sur leur Identité Française.


    Par contre mon Identité Française me conforte dans les principes de Liberté, Egalité et Fraternité de la République Française et je n’hésiterai pas) m’en prévaloir pour obtenir le rétablissement d’un droit légal civil personnel dont la société, un individu, ou encore une administration française entendrait abusivement me priver, ce qui ne m’est jamais jusqu’à présent jamais arrivé.


    Nul n’a la science infuse, et pour ceux qui s’interrogent il leur suffirait d’ouvrir le Code Civil et de lire les articles consacrés à la nationalité Française et à la suite, si quelques énonciations légales leur posent un problème d’interprétation, personne ne les empêche de questionner des juristes ou d’aller consulter leur Maire ou un élu en permanence à la Mairie, pour éclaircir ce qui leur échappe.


    Je ferai remarquer au passage qu’en général les Français usent de leur nationalité Française pour exercer leurs droits et remplir leurs obligations tout naturellement, un peu comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir.


    Je ne crois pas à priori que les animateurs des GG s’interroge sur leur Identité Française et sur les droits et obligations qu’elle confère et qu’ils exercent légalement, tout naturellement , dans leur quotidien comme une grande majorité de leur compatriotes sans avoir à se sentir « fiers » de porter « les valeurs françaises » notions sentimentales, philosophiques, culturelles ou comportement existentiel cocardier, qui n’ont rien à voir avec l’ identité française stricto sensu.


    Que l’on soit Français de naissance ou Français par filiation, Français par droit du sol ou Français par naturalisation, selon les règles légales édictées par le Code Civil, tous les Français jouissent des mêmes droits et sont tenus aux mêmes obligations ;


    Le nationalisme, le communisme, le socialisme, la droite, la gauche, toutes les opinions politiques sont des idéologiques politiques qui n’entrent pas dans le cadre légal des obligations du Citoyen Français.

    La religion, les traditions culturelles, l’expression culturelle actuelles sont des libertés que ‘l’on peut exercer ou pratiquer librement ou non à titre privé, ou public à condition qu’elles ne contreviennent pas aux lois Françaises, elles ne sont pas imposés ni censurés par l’Identité Française qui est un statut légal dont on peut se prévaloir civilement et administrativement pour obtenir les droits qu’elle confère, dont on peut se trouver contraint pour remplir les obligations qu’elle confère, l’Identité Française n’est pas un passe droit, ou un passe obligations, c’est un Statut légal.


    Personne en sa qualité de Français n’a l’obligation de se sentir « fier de sa nationalité, la fierté est un sentiment et les sentiments ne sont pas du domaine légal de l’Identité Française, personne non plus en sa qualité de Français n’a l’obligation de chanter la Marseillaise, personne n’a l’obligation d’approuver dans toutes leurs dimensions l’héritage culturel traditionnel de la culture Française ou de son évolution actuelle, chaque Français peut y adhérer ou y rester indifférent, participer à son essor ou se contenter d’en profiter, d’émettre ses opinions culturelles critiques ou pas sans avoir à les conditionner à son Identité Française, ou par référence à son Identité Française. De même les religions, l’athéisme, ou la libre pensée, sont du ressort de la conscience personnelle et de la pratique privée et ne sont pas prises en compte dans le statut identitaire légal Français et n’ont pas à l’être.


    La République Française n’impose pas arbitrairement aux étrangers qui résident en France de demander la Nationalité Française, les étrangers résidents régulièrement dans le pays, sont tenus comme tous les Français, de ne pas contrevenir par leur agissement ou leur comportement de respecter les Lois Françaises.


    Ma conclusion : lancer un débat national sur l’Identité nationale Française est une manœuvre essentiellement politique qui me paraît abusive et j’estime que cette manœuvre n’a pas à se surajouter à la mission ministérielle officielle de Monsieur Eric Besson.


    On peut estimer que ce débat, délivré de sa connotation politique actuelle, peut s’inscrire dans une démarche intellectuelle ou philosophique ou encore existentielle, chacun est libre dans son salon, dans une association, ou sur un plateau de conférence d’exercer cette liberté, et dans ce contexte, délivré de toute idéologie, partisane politique, il retrouverait toute sa valeur culturelle.


    Pour la petite histoire : un exemple navrant !


    Lors du Campus de l'UMP de Seignosse qui s'est tenu les 5 et 6 septembre 2009, Monsieur Éric Besson ministre de l'Immigration …… s’est livré à une démonstration regrettable, il s’est permis avec un air « malin » en s’écartant de la caméra d’ adresser un doigt d'honneur à un journaliste de Canal + .


    Manque de pot il a été « capturé » par une caméra et la vidéo a circulé et circule encore sur le net.


    Par la suite Eric Besson s’en est expliqué sur France info : « ."C'est d'un goût douteux, "Je ne pensais pas une seule seconde être piégé par la caméra, donc c'est de ma faute", en ajoutant … » "C'est un journaliste que je connais et que j'apprécie. Il m'a chambré pendant toute la journée et moi aussi ………. C'était un jeu mais je reconnais bien volontiers que j'aurais mieux fait de faire autrement. Voilà."


    Note « mieux fait de faire autrement » ? Peut-être un bras d’honneur ? ….


    Sans doute une façon singulière pour Monsieur Eric Besson de s'intégrer vulgairement aux « valeurs Françaises »


    Voir la vidéo :



    04 novembre 2009

    La République Tchèque ratifie le traité de Lisbonne

    information de lucienne magalie pons

    Revue de presse européenne du 04/11/2009

    Source EURO/TOPICS

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    Klaus libère la voie

    Après des mois de blocage, le président tchèque Václav Klaus a été hier le dernier chef d'Etat à ratifier le traité de Lisbonne. La Cour constitutionnelle à Brno avait auparavant rejeté la plainte de sénateurs conservateurs contre le règlement. De grands espoirs reposent sur la réforme de l'UE, qui peut désormais entrer en vigueur.

    Berlingske Tidende - Danemark
    Maintenant que la République tchèque a apposé sa signature au bas du traité de Lisbonne, l'UE peut enfin mieux collaborer et faire face aux défis de l'avenir, exulte le quotidien Berlingske Tidende : "Depuis que le dernier pays de l'UE, la République tchèque, a signé hier le traité de Lisbonne, l'Europe peut pousser un soupir de soulagement. Après un processus incroyablement pénible et bureaucratique, les 27 membres de l'UE sont parvenus à adopter un traité qui relie sérieusement les pays entre eux dans de nombreux domaines et rend possible … une collaboration plus flexible des Etats membres européens en ce qui concerne de nombreux défis internationaux. Avec l'adoption du traité de Lisbonne, il sera nettement plus facile de trouver des solutions communes aux problèmes climatiques, à la mondialisation et à la collaboration internationale." (04.11.2009)

    Dziennik Gazeta Prawna - Pologne
    Après la signature du traité de Lisbonne par le président tchèque Václav Klaus, le quotidien Dziennik Gazeta Prawna demande que l'UE établisse des institutions fortes : "Le traité de Lisbonne a été adopté. Sans lui, l'UE ne serait pas seulement condamnée à faire du surplace, elle commencerait aussi à subir une évolution négative jusqu'à finalement être déchue de la première ligue des grandes puissances. Bien sûr, ce traité ne reste qu'un premier pas. Il faut désormais lui attribuer un contenu et donner des institutions fortes à l'UE. Ce n'est pas un hasard si les Etats-Unis ne considèrent plus l'Europe comme leur partenaire principal. Les choses sont ainsi parce que le Vieux Continent ne dispose notamment d'aucune capacité décisionnelle et parce que les politiques nationaux se mettent mutuellement des bâtons dans les roues. Il manque tout simplement à Washington un interlocuteur qui parle d'une seule voix de l'autre côté de l'Atlantique." (04.11.2009)

    Il Sole 24 Ore - Italie
    Le journal économique Il Sole 24 Ore évoque Benjamin Button, le personnage du roman de l'auteur américain F. Scott Fitzgerald, pour expliquer que le traité de Lisbonne est d'ors et déjà dépassé : "Le nouveau texte qui vient d'être mis au monde … n'est ni la Constitution rêvée, ni l'indispensable manuel de gouvernance à 27 [Etats membres]. Ne sabrez pas le champagne. Comme le père de Benjamin Button, le personnage de Scott Fitzgerald contraint à vivre sa vie à rebours, nous découvrons dans le berceau un petit vieillard ridé et non un nouveau-né vif, doté de 27 âmes. … La répartition avide des postes nouvellement créés n'évoque … aucune innovation. … Il faudrait que l'Europe se retrouve rapidement pour conjurer le déclin. Contrairement à Benjamin Button, nous n'avons pas toute la vie devant nous pour rajeunir." (04.11.2009)
    » informations complémentaires (lien externe, italien)
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    Tous les textes disponibles de » Enrico Brivio

    Právo - République tchèque
    "C'est un soulagement pour l'Europe", remarque le quotidien de gauche Právo après que la Cour constitutionnelle tchèque a déclaré le traité de Lisbonne conforme à la Constitution et que le président Václav Klaus l'a ratifié : "Il a toutefois gardé son attitude de rejet et a sévèrement critiqué les juges constitutionnels. Il continue de dire que la République tchèque perd sa souveraineté. … Mais il n'existe pas de souveraineté illimitée de l'Etat. On ne perd pas une souveraineté étatique comme on perd sa virginité ; on peut la renouveler par une décision de l'Etat. … Les opposants ont tort quand ils prétendent que l'évolution de l'Europe est un processus incontrôlable et indépendant de la volonté de la République tchèque. L'Etat ne doit ainsi céder de nouvelles parties de sa souveraineté que lorsque le législateur l'approuve et que le gouvernement donne sa bénédiction à la voie empruntée." (04.11.2009)
    » informations complémentaires (lien externe, tchèque)
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    Tous les textes disponibles de » Petr Uhl

    The Irish Times - Irlande
    La dispute entre le parti conservateur britannique et l'Europe se poursuivra malgré la ratification du traité de réforme de l'UE, estime le quotidien The Irish Times : "Le chef de parti [conservateur britannique] David Cameron est apparemment prêt à reconnaître que la question [d'un référendum] n'a pas lieu d'être puisque le processus de ratification est achevé. … Sa réconciliation tardive avec le traité ne signifie pas toutefois qu'une fois au pouvoir, il ne s'occupera plus de la question des relations entre la Grande-Bretagne et l'UE. Les Tories restent désireux de rapatrier de Bruxelles des compétences significatives [au niveau national]. … La promesse que la mise en œuvre [du traité] mette fin à la dispute constitutionnelle et institutionnelle au sein de l'UE, semble malheureusement illusoire. … Des perspectives peu réjouissantes." (04.11.2009)
    » article intégral (lien externe, anglais)
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