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24 mars 2009

Un récent article de l'auteur Duboubou 1er

lundi 23 mars 2009

Et si l'on nommait un syndicaliste Préfet ? Cela mettrait un peu d'animation dans cette morosité?

Nous vivons des lendemains du 19 mars qui ne chantent pas beaucoup. L'horizon semble pas, non plus, très dégagé et demain s'annonce pire encore ?

Et dire que l'on a raccourci, le citoyen Capet pour en arriver là !

Tout à coup c'est une nouvelle qualifiée de bonne, par des optimistes, qui nous apprend :"Edouard de Rothschild, l'actionnaire principal du quotidien de la rue Béranger, vient de prendre la présidence du conseil de surveillance du journal. Alors que la presse écrite traverse une grave crise, la survie et l'avenir de Libération sont « désormais assurés », affirme le fondateur de la banque d'affaires Rothschild & Cie."

En réalité je ne me sens pas totalement rassuré. Pourquoi subitement ce sympathique banquier a-t-il décidé de se lancer dans l'humanitaire ? Alors l’idée me vient de me poser cette question simple : à quelle sauce va-t-il demander au bouillant Laurent Mouchard dit Joffrin d’accommoder son impertinente gazette. Pourra-t-elle encore s'intéresser aux déshérités abandonnés depuis que la plupart des médias sont entre les mains du club des nababs. En effet tous ces patrons de presse sont des copains de la madone rédemptrice du MEDEF et aussi du grand berger "agité" qui tient les manettes et gave de promesses non tenues le petit peuple de France!

La presse, on le clame partout, est bien malade mais toutefois l'espoir semble renaitre parmi quelques dirigeants depuis qu'ils ont constaté qu'en dépit de la crise les sinistrés de la finance ont réussi à ce refaire une santé ! Alors pensent-ils, avec raison, pourquoi les porte-voix du pouvoir ne mériteraient-ils pas d'être aidés eux aussi.


Comme le pouvoir semble totalement désintéressé il devrait leur proposer prochainement une sortie de crise sérieusement facilitée ? Contre un changement minime, puisque le système qui semble retenu est déjà expérimenté par la profession, souvent avec bonheur! Le lecteur aurait toujours le choix entre un grand nombre de manchettes mais les contenus proviendraient d'un tronc commun mais cela ne devrait pas choquer les lecteurs déjà habitués à ce genre de pratique depuis longtemps! Le changement envisagé semble en effet minime et la presse de demain sera toujours plus libre, plus indépendante et avantage très convainquant, ce léger changement la débarrassera de problèmes mercantiles! Tous les titres pourront être distribués gratuitement en laissant la liberté du choix de la manchette - celle à laquelle nous sommes fidèles- depuis parfois bien longtemps! Le seul petit changement, mais si peu important, concernera le contenu rédactionnel qui sera alors concocté dans une annexe proche du big patron ce qui évitera sans doute beaucoup d’erreurs dans la transmission des informations confidentielles si difficiles à contrôler.

Le seul problème non encore totalement résolu est pour le moment celui du financement global du projet. Mais il parait tout à fait raisonnable de faire preuve d'optimisme puisque l'équipe au pouvoir a su trouver une solution peu couteuse pour l'audiovisuel conditionné "National" . Il semblerait en effet que les gentils bénéficiaires du bouclier fiscal paillent d'impatience pour prouver que la France des riches est prête à devenir le fer de lance de la rénovation de notre presse qui demain pourra être, grâce à eux, déposée gratis sur notre paillasson copieusement enrobée de Pub de haut niveau!


Vous avez dit Mignonne ?


Je viens de recevoir un message intitulé "Vous avez dit Mignonne ........" dont l’expéditeur m’est inconnu : il signe « Un vieux commandant militaire de la Gendarmerie, qui en a pourtant vu d'autres et c'est peu de le dire »

Dans son message il relate la visite du mardi 3 mars dans la Drôme du Président Sarkozy.

Comme des protestations de plus en plus nombreuses s’élèvent de toutes part contre les dépenses et les mesures excessives de sécurité qui sont mises en œuvre lors des trop nombreux et bien trop souvent provocants déplacements de Nicolas Sarkozy, je ne peux résister à vous faire partager la lecture de ce message pour information :

De : ..................

Date : 23/03/2009 19:50:24

A : undisclosed-recipients@sfr.fr

Sujet : ......... mégalomanie en temps de crise MAIS QUELLE CRISE?..............

Vous avez dit : Mignonne ?............pas trop....même pas du tout.....

Mégalomanie en temps de crise MAIS QUELLE CRISE?..............

Déplacement de l'Empereur SARKOZY 1er à Valence (Drôme)

Ce mardi 03 mars à 11h00, l'empereur SARKOZY était chez nous, dans la Drôme.

A l'heure des économies, à l'heure où il faut se serrer la ceinture, il aura encore "claqué" des millions d'euros pour sa propagande !!!

1265 gendarmes déployés !!! Oui, vous avez bien lu 1265 !

Nous montons la garde 24h/24 à l'aérodrome de Chabeuil et à la gare TGV.

Son altesse ne voulant pas venir en Falcon république, il vient en Airbus (plus spacieux et nettement plus "digne" de son rang, du moins le pense-t-il).

Seulement, il n'y a pas de rampe pour le faire descendre de l'avion ; ce n'est pas grave, on en fait venir une, vite fait, par convoi exceptionnel depuis Lyon !!!

Ce soir, je prends le boulot à 19h30, jusqu' à demain 15h30... C'est ma troisième nuit ! Pour ne pas être gêné, l'Empereur aura la voie rapide Valence/ Romans coupée dans les deux sens pendant 30 mn. 60 voitures d'usagers de la SNCF (sur son passage) seront mises à la fourrière. Si jamais il y avait un contretemps, ce ne serait pas grave : un hélico Puma est tenu à sa disposition ainsi qu'un hélico Gazelle en appui...

Il va donc aller faire le beau sur deux sites (École de Chatuzange-le-Goubet et salle polyvalente d'Alixan) et pour se faire mousser, il a invité 3000 (TROIS MILLE) personnes à un petit vin d'honneur avant de remonter dans son avion à 14h00. Je vous laisse faire le calcul de la facture à l'adresse des contribuables que nous sommes...

Dire que la France est au bord de la faillite et lui, il nous met une balle dans la nuque!

En 26 ans, j'en ai fait des services de ce genre (sous Mitterrand et sous Chirac) mais jamais je n'ai vu un tel déploiement et surtout un tel coût !

Pour info, c'est une évidence, mais il est bon de le dire... au moindre sifflet, au moindre tag, à la moindre banderole hostile, le préfet saute ainsi que le Commandant de Groupement de gendarmerie...

Pauvre France, nous sommes tombés bien bas avec un tel imposteur !

Bonne nuit à tous. Je suis non seulement écœuré mais révolté que tant d'argent soit claqué et que mes voitures de service affichent 250.000 km au compteur...

Signé : Un vieux commandant militaire de la Gendarmerie, qui en a

pourtant vu d'autres et c'est peu de le dire.

22 mars 2009

Quel mal mystérieux frappe le Maître et son conseiller spécial, tous deux atteints de tics et de tocs ??


commentaire de lucienne magalie pons

Dans les vidéos de ces derniers mois nous avions déjà remarqué les difficultés d’expression de Monsieur Henri Guaino, ses phrases inachevées, ponctuées de grattements de gorge incessants, et agrémentés quelques tics faciaux, tout ceci était déjà gênant à supporter pendant ses prises de parole, mais dans la présente vidéo nous voyons cette fois une nette aggravation de ces symptômes, il bégaie maintenant et présente des tics nerveux des paupières et des tiraillements de muscles faciaux incessants, sa tenue est tout autant agitée et il se balance incessamment de gauche à droite sur son siège. De quoi souffre-t-il ? Est-il nerveux, malade, stressé, fatigué ? à moins qu'il ne s'agisse que de mimétisme ?


En tout cas il était là fin février , face à Jean Michel Apathie de RTL,pour nous expliquer en survolant les causes de la crise selon sa vision, que la relance de la consommation n'est pas souhaitable ... bla, bla, bla, bla, rien de transcendant ni de nouveau, que du déjà bafouillé, re- mitonné à la sauce du jour de plus en plus indigeste.


J'ai ressenti aussi de sa part une expression de lassitude mal dissimulée dans son allocution alambiquée faite de phrases inachevées, citant et passant d’un sujet à l’autre sans les développer, bref une sorte de litanie syncopée récitée par un homme dont le visage était constamment déformé par des tics nerveux incontrôlables. Je commence à croire, au vu d’autres exemples de tocs et tics élyséens frappant un autre occupant et non des moindres de cet illustre palais, que l’air qui circule dans les bureaux de l’Élysée diffuse un dangereux virus non encore identifié qu’il serait temps de découvrir et d’éradiquer radicalement avant qu'il ne se développe dans toutes les couches de l'intelligentsia parisienne par un regrettable effet de mode contagieux.


Monsieur Guaino aurait pu s’éviter la peine de se trouver là pour nous servir avec beaucoup de difficultés son discours de propagande et il aurait mieux fait dans son état de rester chez lui pour reposer ses tics.




21 mars 2009

Syndicats et Gouvernement : le bras de fer se durcit mais la force est du côté des syndicats !

article de lucienne magalie pons

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Syndicats et Gouvernement : Le bras de fer se durcit mais la force est du côté des syndicats : 3.000.000 de manifestants les ont entendu et suivi !

La manifestation syndicale unitaire du 19 mars, a réuni , selon les syndicats, seuls crédibles à mon sens en la matière, 3 millions de personnes mais en dépit de cette expression massive de désaveu à l’encontre de la politique sociale et économique, le Chef l’État et son Gouvernement se livrent à des manœuvres dilatoires pour garder leur cap, qui n’est pas celui souhaité par population française dans sa grande majorité.

Nos dirigeants exécutifs ne veulent rien voir et rien entendre, ils se bornent à parler pour refuser toute hausse du smic, toute suppression des cadeaux fiscaux aux nantis du libéralisme sauvage et aux entreprises.

De Bruxelles ou le Président Sarkozy se trouvait avec ses homologues de l’UE et tous déployaient une fois de plus entre eux des efforts de fausse amabilité et d’imagination stériles pour se persuader que l’Europe pourra au G20 impressionner l’Amérique de Monsieur OBAMA, l e chef de l’État Français après avoir attendu un jour avant de s’exprimer, à une fois de plus dénaturé notre manifestation, « dans la tempête il faut garder le cap » a-t-il déclaré et dans cette manifestation de jeudi il feint de ne voir que « l’inquiétude de certains salariés à propos de la crise mondiale », comme si le question du pouvoir d’achat et de la casse sociale et l’expression massive du mécontentement général de la population française ne trouvait en lui aucun écho.

En conséquence pour notre Gouvernement, il n’y aura pas de hausse du smic, ni de suppression des heures supplémentaires ou du bouclier fiscal en vue.

Le chef de l’état et les membre du Gouvernement qui font les sourds, mais qui en réalité ont les chocottes sans vouloir le montrer, ces dignitaires qui ne peuvent plus se déplacer sans des contingents importants de police , de cordons de sécurité et de gardes du corps, se plaisent à jouer les gros bras moralisateurs en se permettant de conseiller aux Français de « garder leur sang-froid » de faire preuve d’un peu de patience.

Et au lieu d’étudier sérieusement les causes profondes er réelles du mécontentement et des revendications, une fois encore ils se plaisent , perchés sur des estrades ou profilés sur des écrans de télévisions, en annonces et en paroles gratuites et prometteuses , saliver pour promettre ne leur coûte rien, bien que ca nous coûte à nous très cher.

« Nous allons mettre en oeuvre sans délai les mesures décidées le 18 février », a promis Nicolas Sarkozy. Un message repris tout au long de la journée par ses fans aficionados « On ne peut pas faire un nouveau plan de relance à chaque fois qu’il y a une manifestation », a déclaré Henri Guaino, son conseiller très spécial.

Les cabinets ministériels, travaillent à de nouvelles pistes, « notamment pour préserver l’emploi et favoriser l’insertion des jeunes » nous dit-on ! .... Ah bon ! Leurs efforts on l’a vu consistent à faire débaucher implicitement les CDI pour faire embaucher des RSA , et encore dans la limite des emplois disponibles, le tout pour permettre aux entreprises de faire financer une grande partie des salaires par les cotisants et les contribuables.

Les syndicats ne sont pas dupes de leurs atermoiements et de leurs vagues promesses. Confortés par la réussite de la journée du 19 mars, les syndicats peuvent légitimement condamner la surdité d’un gouvernement qui se plait à biaiser, et n’entendent pas en rester là.

Pour Jean Claude Mailly « L’objectif est de gagner », quand à Monsieur Chérèque leader de la CFDT il a donné un ultimatum au gouvernement en lui accordons « Dix jours pour répondre… »

Un ultimatum qui renforce un bras de fer pour maintenir une pression justifiée face au mépris de nos dirigeants.

Les huit organisations syndicales se sont données jusqu’au 30 mars pour décider des suites de ce mouvement social : sans réponse et sans reprise des négociations de la part du Gouvernement, ils s’accorderont en inter syndicale pour mettre au point une nouvelle action générale concertée et une nouvelle date de manifestation ou grève générale.

Si l’on tient compte de l’agenda du mois d’avril (vacances de Pâques notamment), on peut penser que le mois Mai sera chaud (sans référence au « réchauffement climatique ») ! Pour plusieurs commentateurs, une chose est sûre : le 1° Mai s’annonce déjà comme le nouveau temps fort de ce mouvement social

Comme d’habitude Madame Laurence Parisot, Présidente du Medef, qui se plait à jouer les Cassandre quand il y a des grèves, brandit l’épouvantail des faillites en chaîne pour l’entreprise et le nombre de chômeurs qui en résultera. Brrr.......... à qui croit-elle s’adresser ? À des moutons égarés et apeurés ? Elle devrait savoir que justement c’est quand ils n’ont plus rien à perdre que les français, ceux des labeurs et des peines du quotidien, savent comme la salamandre renaître de leurs cendres et s’unir pour tout regagner.

Quand à vous minorité de français insolents ancrés sur la pyramide des profits et des richesses acquises à la sueur du front de vos salariés, vous n’avez qu’à bien vous tenir. Votre morgue, vos mensonges, vos menaces, votre suffisance, vos étalages de luxe et de richesses excessives, parfois même votre luxure, et votre mépris de la population salariée que vous réduisez à la pauvreté, nous les tolérons tant qu’ils ne portent pas atteintes aux besoins essentiels des familles ou des individus, mais notre tolérance n’est pas une complaisance aveugle et consentante, et il vous faudra bien en tenir compte quand la population entière sera dans les rues et vous demandera de rendre des comptes et de leur rendre vos profits indus.

Nous y sommes presque ! Il est temps de vous reprendre de toute urgence et de faire preuve de solidarité nationale.


19 mars 2009

Le préservatif protège du sida et des MST

article de lucienne magalie pons

Après les déclarations du pape Benoît XVI, qui se mêle de tout et s’introduit à découvert dans l’intimité sexuelle des couples et selon lequel l'usage du préservatif "aggrave" le problème du sida, ,notre Ministre du logement Madame Boutin, nous apprend que ce n'est "pas drôle de mettre le préservatif quand on fait l'amour".

Pour affirmer ceci, nous pouvons penser qu’elle a du au moins une fois expérimenter « la chose »mais sa déclaration ne nous apprend rien de plus, peut-être aurait-elle du donner quelques conseils pratiques pour nous apprendre comment la rendre drôle, cela aurait instruit en la matière les couples innocents.

Nous savons que Mme Boutin, a pris parti contre l'avortement, ce qui se comprend puisque les méthodes contraceptives sont largement diffusées depuis des décennies, et qu’elle a de solides arguments contre la pilule du lendemain , ce qui me semble logique d’autant que concernant les toutes jeunes adolescente mineures elles peuvent se la faire prescrire sans avoir recours à l’autorisation des parents, ce qui implicitement est un encouragement de la société à leur faire jeter leur bonnet par-dessus les moulins, un peu trop vite et beaucoup trop jeunes, à un âge encore tendre où autrefois on jouait encore en bonne écolière à sauter à la corde dans la cour de l'école sans penser à se faire sauter et se faire enfourner un petit jésus dans le tiroir, pour ensuite le faire sauter au moyen de la pilule du lendemain : trop facile !

"Il est bien sûr que la lutte contre le sida, c'est bien plus la recherche médicale et pharmaceutique", a affirmé la ministre. Oui mais en attendant, Madame la Ministre, drôle ou pas il vaut mieux en attendant un remède radical utiliser un préservatif.

Madame la Ministre tout à fait laxiste et un peu « Ponce Pilate » a affirmé qu’en matière de préservatif, "chacun fait comme il peut et comme il veut", en ajoutant "n'attendez pas du pape qu'il dise qu'il faut mettre le préservatif".

Madame, nous n’attendons pas qu’il nous indique les pratiques et les résultats de l’acte sexuel protégé ou à nu, en matière de protection sexuelle, nous attendons de lui qu’il s’intéresse à maintenir la chasteté parmi ses troupes, cardinaux archevêques, évêques, curés etc. .., des mises en accusations anciennes et récentes , dont nous avons largement eu connaissance notamment par des procès retentissants pour actes pédophiles de la part de ces messieurs, nous permettent d'affirmer que le Pape devrait en matière de mœurs et pratiques bêcher dans son jardin et châtier comme il se doit les religieux "prédateurs" , pour ne pas dire "violeurs" dépendant de son autorité, et nous lui demandons de laisser les couples de ses fidèles et les autres, se protéger comme ils l'entendent et si besoin avec les conseils de leur médecin. Le Pape, en matière de protection contre le sida et autres MST n'a apparemment pas d'expérience personnelle à faire valoir, de plus il n’a pas qualité ni autorité scientifique pour nous renseigner sur le bon ou le mauvais résultat du préservatif, selon ses considérations théoriques, la pratique lui faisant défaut.


Je n'ai rien contre Madame Boutin, c'est une femme de bon sens, quelque fois originale dans ses propos, mais je regrette qu'elle s'exprime selon ses valeurs personnelles, qui sont les siennes et que je respecte, mais de la part d'une Ministre, puisqu'elle s'est prononcée sur la question publiquement, j'aurais préféré qu'elle dise clairement qu'il faut surtout mettre un préservatif pour se protéger du Sida et des MST.


16 mars 2009

Le 13 mars Nicolas Sarkozy présentait la réforme de l'Hôpital et de la Santé à Rambouillet.









La tonalité des propos et le son du rire de Monsieur Nicolas Sarkozy sont affligeants de vulgarité, il ose prétendre en riant niaisement pour amuser sa "cour" que ce que lui a dit un syndicaliste "n'est pas très lumineux" ! voir la vidéo

"Rira bien qui rira le dernier" !

préambule :Dans les urgences pédiatriques fermées au public, il a rencontré quatre délégués syndicaux : « On voit qu’ils sont passionnés, même si ce qu’ils disent n’est pas toujours lumineux », a ironisé le président qui trop souvent laisse échapper des appréciations qui révèlent à son insu le mépris qu’il ressent pour des représentants syndicaux. « J’aime les gens qui aiment leur métier. J’aime la passion » a expliqué Nicolas Sarkozy en visite à l’hôpital de Rambouillet ..... Je ne peux pas reprocher à quelqu’un d’aimer passionnément ce qu’il fait même si c’est pas toujours lumineux ce qu’il dit » avant de se mettre à rigoler.(photo)

Ndlr : ces paroles lancées vulgairement dans un discours officiel et de plein fouet à l’encontre des syndicalistes qu'il venaient de rencontrer sont très mal venues à quelques jours de la journée de mobilisation en France qui doit se dérouler le 19 mars prochain, elles ne sont pas dignes d’un Président.

article de lucienne magalie pons

La visite du Vendredi 13 mars de Nicolas Sarkozy à l’hôpital de Rambouillet, venu présenter la « réforme de l’hôpital et du système de santé » qui doit être votée le 18 mars à l’Assemblée, accompagné de Roselyne Bachelot, ministre de la santé et de Gérard Larcher(UMP) président du Sénat et Maire de la commune de Rambouillet, avait été soigneusement préparée, afin d’ éviter tous débordement et manifestations et de s’assurer les applaudissements des élus UMP et d’un public militant trié sur le volet.

A Rambouillet toutes les « précautions » avaient été mises en œuvre, non seulement pour éviter des manifestations au passage du cortège, mais encore pour sélectionner l’auditoire

La visite engagée au « pas de course » et très protégée a démarré à 10 h 30, passant des urgences, à la radiologie, à la cardiologie puis à la gériatrie

Dans les urgences pédiatriques fermées au public, il a rencontré quatre délégués syndicaux : « On voit qu’ils sont passionnés, même si ce qu’ils disent n’est pas toujours lumineux », a ironisé le président qui trop souvent laisse échapper des appréciations qui révèlent à son insu le mépris qu’il ressent pour des représentants syndicaux.

« J’aime les gens qui aiment leur métier. J’aime la passion » a ensuite expliqué Nicolas Sarkozy en visite à l’hôpital de Rambouillet ..... Je ne peux pas reprocher à quelqu’un d’aimer passionnément ce qu’il fait même si c’est pas toujours lumineux ce qu’il dit » avant de se mettre à rigoler.

Ndlr : ces paroles lancées bien plus vulgairement qu’ironiquement de plein fouet à l’encontre des syndicalistes sont très mal venues à quelques jours de la journée de mobilisation en France qui doit se dérouler le 19 mars prochain, elles ne sont pas dignes d’un Président.

Ensuite, présenté par un Gérard Larcher « triomphant » dont c’était le jour de gloire communal, Nicolas Sarkozy a ensuite exposé sa réforme devant un petit auditoire sélectionné et choisi qui l’a accueilli chaleureusement, comme de bien entendu et convenu.

Les réactions syndicales et aussi celles des habitants de la commune sont toutes autres :

« Il était là pour communiquer sur sa réforme sans écouter nos inquiétudes », a fait remarquer Patrick Mangenot, délégué CGT. Il raconte comment en quelques minutes les policiers étaient là et tambourinaient à leur porte, quand lui et d’autres militants avaient mis des drapeaux aux fenêtres de leur local et ont scandé des slogans à son passage. lui et d’autres militants ont mis des drapeaux aux fenêtres : « Nous avons dû baisser pavillon. » commente-t-il avec aigreur.

Depuis une semaine avant que la visite programmée, les « officiels » étaient sur les dents.

A l’hôpital branle bas de combat : la veille de la visite, des ouvriers repeignaient les urgences tandis que d’autres goudronnaient des morceaux de chaussée.

Pour la sécurité, plus de 1 100 policiers et gendarmes ont quadrillé les rues, les routes et les forêts autour de Rambouillet et de Clairefontaine.

Une manifestation de 200 salariés de Continental a été soigneusement bordurée.

Cette pléthore de précautions en a agacé la population.

Au comptoir de la brasserie le Cent un habitant témoigne : « Une amie a dû faire un esclandre. Elle a été bloquée à deux pas de son domicile, juste en face de l’hôpital, entre 11 h 30 et midi. Son petit garçon, rentré de l’école, l’attendait à la maison pour déjeuner. ». Un autre croisé rue du Général-de-Gaulle, proteste lui aussi : « Il faut expliquer cette loi, c’est sûr… Mais je crois que ce déplacement n’apporte rien aux gens que le président a à peine croisé .... »

Le Président a ensuite a participé à une table ronde avec des professionnels de santé, organisée, elle, à Clairefontaine, devant 700 invités triés sur le volet.

Ainsi tout ce branle bas de combat de préparations et de précautions , toutes ces forces de sécurité déployées autour de ces « causeries » en petit et grand comité, auront permis à Nicolas Sarkozy de recueillir sur place à Rambouillet d’abord, les marques d’amitié des militants et des élus UMP et ensuite , des militants er des élus UMP du département regroupés qui l’ont ovationné au cours d’un meeting très privé organisé sur l’hippodrome, juste avant qu’il ne reprenne son hélicoptère. Il était alors 14 heures.

Encore une visite en cercle fermé UMP qui a pu se terminer sans incident, grâce aux préparations, précautions préalables et forces de sécurité déployées, le tout aux frais de l’État c'est à dire vous et moi. Les séances de communication du Président deviennent de plus en plus couteuses pour assurer sa sécurité et celle de son entourage et de plus elles dérangent outrageusement les habitants au mépris des libertés publiques de circuler, d'aller et venir librement dans leurs communes. C'est vraiment choquant de voir que personne n'ose protester formellement.

Pour ceux d’entre vous qui souhaiteraient voir la vidéo ou le texte du discours de Rambouillet vous les trouverez sur le site officiel de la Présidence de la République facilement accessible en recherche Google ou Orange.C'est gratuit, mais ça vaut le détour pour les mimiques, les tics, les gestes et mouvements d’épaules, quand au discours prononcé par un homme convaincu qu’il a toujours raison il n’éclaire pas plus que les débats à l’Assemblée sur les objectifs de cette réforme, que de nombreux praticiens récusent sans être entendus.





14 mars 2009

Voyage au Méxique, Une polémique chasse l'autre !


comment résister à la tentation ? Bah ! Roselyne n'est pas là ! Profitons- en !"On oublie tout.
Sous le beau ciel de Mexico,On devient fou,Au son des rythmes tropicaux...
"



Les yeux dans les yeux ne sont-ils pas "choux" ? effet "champagne" ou "téquila" ?




article de lucienne magalie pons

L'affaire Cassez se tasse, elle suivra son cours légalement, une autre polémique reprend le dessus et s'enflamme avec l'interrogation sur les frais de vacances des Sarkozy au Mexique : Qui a payé la note ?


En effet quelques jours après leur week-end "romantique" privé dans le très luxueux complexe hôtelier de Tamarindo , en prélude et en marge de la visite officielle, le voyage du couple présidentiel au Mexique soulève des interrogations et certains politiques et médias se demandent qui a pu financer leur séjour privé.

L' Elysée a expliqué que le couple avait été « invité par le président Calderon », mais ceci ne semble pas aussi évident pour les médias français. La radio RTL, une des première à s'interroger, a cité un diplomate mexicain, selon lequel ce n’est pas Mexico qui a financé le séjour.RTL va encore plus loin en prétendant qu’un certain Roberto Hernandez Ramirez aurait joué les mécènes, un célébre banquier milliardaire dont la rumeur dit qu’il serait… proche des milieux de la drogue.

D'après le site Rue 89, le Banquier Ramirez accusé par des médias mexicains d’avoir activement participé au trafic de cocaïne dans les années 80-90., possèderait les résidences où sont descendus Nicolas Sarkozy et Carla Bruni.

ooOoo

Premier article : rappel de l'affaire Cassez et ses prolongements

Deuxième article : polémique, qui a payé les vacances des Sarkozy au Mexique ?

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Premier article : rappel de l'affaire Cassez et de ses prolongements

Florence Cassez avait été arrêtée fin 2005 près de Mexico par les forces de police alors qu'elle se trouvait en compagnie de son ex-compagnon, accusé lui de diriger une organisation criminelle. Elle ne cesse depuis de se dire innocente et de dénoncer les irrégularités et les incohérences de son dossier.

Ses proches avaient décidés d'en appeler à Nicolas Sarkozy à la veille de sa visite d'État, en espérant que le Président Français obtiendrait sa libération et Florence Cassez, elle-même avait adressée une lettre à Carla Bruni Sarkozy pour solliciter son intervention.

«Elle n'attend qu'une chose, c'est de rentrer en France» a notamment déclaré le père de Florence Cassez.

Florence Cassez qui a la possibilité légale de demander son extradition sous réserve de renoncer à se pouvoir en cassation, a préféré surseoir à toute décision en remettant son sort entre les mains de Nicolas Sarkozy

Une visite de Carla Bruni-Sarkozy à la détenue, demandée et souhaitée par la famille de Florence Cassez, n’avait pas été retenue par l'Élysée qui avait assuré que toutefois le couple présidentiel ferait "ce qui est utile à Florence", mais le président avait promis d'évoquer ce dossier jugé avec son homologue mexicain, le Président Felipe Calderon.

C’est ainsi que la visite du Président Français, à l’origine prévue au renforcement de la coopération franco-mexicaine a pris une connotation politique avec la lourde condamnation par la justice locale de Florence Cassez, 34 ans qui se dit innocente après sa condamnation à 60 ans de prison en appel, par la Justice mexicaine comme complice d'un gang de kidnappeurs dans un pays où les enlèvements sont devenus une "industrie florissante ». Sa culpabilité a été confirmée en appel après une première condamnation où elle avait été condamnée à 96 ans de prison pour enlèvement et séquestration.

Elle avait été arrêtée fin 2005 près de Mexico par les forces de police alors qu'elle se trouvait avec son ex-compagnon, accusé de diriger une organisation criminelle. Elle ne cesse depuis de se dire innocente dénoncer les irrégularités et les incohérences de son dossier.

M. Calderon s’était exprimé le mercredi précédant la visite du Président Français sur la "possibilité" d'un transfert en France de Florence Cassez.

Florence Cassez qui a la possibilité légale de demander son extradition sous réserve de renoncer à se pouvoir en cassation, a préféré surseoir à toute décision en remettant son sort entre les mains de Nicolas Sarkozy. La médiatisation de cette affaire, notamment par suite des lettres adressées directement à Nicolas Sarkozy et même à son épouse par Florence Cassez, a précédé et accompagné tout le séjour du Président Français au Mexique.

«Elle n'attend qu'une chose, c'est de rentrer en France» avait déclaré le père de Florence Cassez.

Pour le Président Français, il est évident qu’il ne pouvait se permettre de ramener dans son avion de retour Florence Cassez ou de rééditer un rapatriement « à la Tchadienne », en dépit de l’idée de Bernard Cassez, père de Florence, qui avait rêvait d’un scénario « à la tchadienne », où Calderon accorderait sa grâce comme le président tchadien Idriss Déby le fit avec les six Français de l'association l'Arche de Zoé, condamnés au Tchad fin 2007 avant d'être rapatriés en France, puis libérés après une grâce du président tchadien.

Ce qui a été possible au Tchad n’est pas envisageable au Mexique, et Felipe Calderon a été prompt à doucher les espoirs du père de la prisonnière : « Il n’y aura pas d’impunité pour Florence Cassez ni pour d’autres ! » avait-t-il affirmé en évoquant les victimes « ces hommes et ces femmes qui ont vécu enfermés, ces enfants menacés de se faire amputer un doigt, un bras ».

Par ailleurs, attaqué par l’opposition et les associations de victimes, Felipe Calderon devra affronter en juillet des législatives à risques et s’est trouvé « tiraillé » entre l’opinion publique Mexicaine dont il doit tenir compte à l’approche de nouvelles élections et la venue de Nicolas Sarkozy qu’il veut satisfaire en raison de leur intention commune de consolider la « coopération franco-mexicaine » inscrite au menu de la visite officielle de son homologue Français.

L’affaire n’est pas simple. Si une partie de l’opinion publique française, du moins celle qui a le temps de s’interroger et de s’apitoyer sur le sort de Florence Cassez, est persuadée qu’elle est « peut être innocente », l’opinion publique mexicaine est en majorité convaincue qu’elle est coupable et complice des enlèvements perpétrés par son compagnon.

« L’homme de la rue » interrogé au Mexique ne mâche pas ses mots, il considère que les Français sont mal informés en la disant « innocente » mais pour lui il soutient qu’il y a eu enquête, procès et deuxième jugement en appel et il fait confiance en la Justice de son pays. L’intervention de Nicolas est contestée en ces termes résumés « « elle a kidnappé des femmes et des enfants, c’est normal qu’elle reste en prison, le président français ne peut pas arriver chez nous, prétendre qu’elle est innocente et repartir avec elle, nous somme dans un pays de droit, notre Justice s’est prononcée .... »

Un quotidien Mexicain centre droit a publié à de nombreux courriers s’insurgeant même contre son intention d’intervenir pour Florence Cassez.

Quoiqu’il en soit, Vendredi après-midi alors qu’ils se trouvaient en vacances sur la splendide côte pacifique du Mexique, Nicolas et Carla Sarkozy ont longuement téléphoné à Florence Cassez, Depuis sa prison de Tepepan, la jeune femme leur a confié qu’elle ne se pourvoirait pas en cassation, renonçant ainsi à être innocentée ouvrant ainsi la voie à son transfert dans une prison française.

Ce contact avait été tenu secret par l’Élysée sans doute pour ne pas ranimer la colère des journaux mexicains contre celle qu’ils n’hésitent pas à qualifier de « kidnappeuse » ou de « diabolique », dans le contexte d’un pays où les rapts ou enlèvements (quelque 8 000 par an) sont un fléau national et sèment la consternation dans la population.

Finalement, le président français et son homologue mexicain Felipe Calderon ont officiellement engagé la procédure de transfèrement, en vertu de la convention de Strasbourg de 1983. Une commission de juristes des deux pays réglera les derniers détails « dans les trois semaines

Conscient que le dossier est explosif, Sarkozy, tendu et agacé mais très prudent, s’est employé à calmer les esprits lors d’une conférence de presse avec son homologue. D’après les médias, il s’est gardé de se prononcer sur l’innocence ou la culpabilité de Florence Cassez. il ne s’est fait pas l’avocat d’une possible kidnappeuse .... Il ne s’est pas ingéré dans les affaires mexicaines ....... « Je ne suis pas venu ici pour contester la décision de la justice mexicaine, je ne suis pas magistrat », a-t-il déclaré en affirmant : « Je ne suis pas l’homme de l’impunité ! »

Sur place, il a reçu cinq associations de victimes… et pour ceux qui craindraient une hypothétique amnistie ou réduction de peine de Florence Cassez une fois en France, Sarkozy a fait savoir que ce n’est pas lui qui décidera mais la Justice Française. « La France est un État de droit, on n’y fera pas n’importe quoi ! » a-t-il promis.


Deuxième article : polémique, "Qui a payé les vacances des Sarkozy au Mexique ?


Finalement l’affaire Cassez a trouvé une solution légale et suivra son cours, les polémiques à sont sujet se sont atténuées en France sur cette question, mais les médias avides de combler les vides de leurs pages et de leurs émissions se sont emparés d’une autre question qui n’a pas finit de prêter à interprétations : Qui a payé les vacances des Sarkozy au Mexique ? Certains médias vont jusqu'à dire que le couple aurait été hébergé dans un Hôtel plus que luxueux dont le propriétaire, ami de Felipe Calderon, serait un riche banquier multimilliardaire qui entretiendrait des liens avec les milieux de la drogue. La polémique devient fumante et sulfureuse de déclarations en démentis de part et d'autres.

That is the question ......pas de réponse claire pour le moment, il semblerait que les avis divergent entre le Mexique et la France.

Pour y voir plus clair pour ceux que la question préoccupe je vous invite à lire les articles ci-dessous en cliquant sur les liens :

Revue de presse :

Vacances des Sarkozy: l'Elysée et le Mexique n'ont pas la même version

20minutes.fr - ‎Il y a 6 heures‎

Interrogé sur ce communiqué, l'Élysée s'est fendu d'un laconique: Nicolas Sarkozy et son épouse ont séjournée «un jour et demi, du vendredi début ...

Mexique: mais qui héberge les Sarkozy? Gala

Vacances au Mexique des Sarkozy : l'Elysée a menti Rue89

Questions autour du voyage privé du couple Sarkozy au Mexique Le Monde

nouvelobs.com - Libération


Pour plus d’informations, faites une recherche par Google pour lire sur le site « Rue 89 » deux articles qui reprennent cette questions :

1°) Vacances au Mexique des Sarkozy : l'Élysée a menti

2°) Mexique : Sarkozy a-t-il séjourné chez un narco présumé ?

Par Rue89 Droit de suite | 14/03/2009 | 16H59

Entretien entre Sarkozy et les parents de Florence Cassez, détenue ...

nouvelobs.com - ‎Il y a 14 heures‎

AP | 14.03.2009 | 03:03 Le président Nicolas Sarkozy s'est entretenu vendredi soir à l'Elysée avec les parents de Florence Cassez, détenue au Mexique pour ...

Les parents de Florence Cassez reçus par Nicolas Sarkozy à l'Elysée Ouest-France

Sarkozy dans les embrouilles mexicaines Le Point

Les parents et l'avocat de Florence Cassez une nouvelle fois reçus ... La Voix du Nord

HautCourant - Star Du Week

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Pour tout compliquer Stéphane Guillon en rajoute à sa façon !



article de lucienne magalie pons