11 octobre 2011

Voyage éclair du Président Français en Arménie, en Azerbaïdjan et en Géorgie

Éditorial de lucienne magalie pons

Les questions d’actualités nationales nous ont conduites à résumer le Voyage du Président Français en Arménie, en Azerbaïdjan et en Géorgie avec un certain retard, mais comme ce voyage à l’Étranger du Chef d’Etat Français était aussi teinté de certaines questions à portée nationale et européennes, il est évident que nous ne pouvions en faire l’impasse.

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Jeudi 6 Octobre et Vendredi 7 Octobre : visite du Président Français en Arménie, en Azerbaïdjan et en Géorgie

1) visite en d’Etat en Arménie

Lors de cette visite d'Etat en Arménie, première étape d'une tournée dans le sud du Caucase le président français Nicolas Sarkozy a appelé vendredi la Turquie à reconnaître sa responsabilité dans le génocide arménien de 1915, laissant entendre que la France pourrait faire voter une loi pénalisant le négationnisme en la matière, en évoquant implicitement la menace de faire voter en France une loi contre le négationnisme turc, si la Turquie s'entêtait dans son refus de reconnaître le génocide arménien.

"Si la Turquie ne le faisait pas, alors sans doute faudrait-il aller plus loin", a-t-il déclaré. ....... "Dans ce cas-là, la réaction de la France, en fonction de ce que diront les dirigeants turcs, se ferait connaître dans un délai assez bref, et si je ne le précise pas, c'est parce que j'espère toujours dans les réactions de la société turque et du gouvernement turc", a souligné le chef de l'Etat. ..... "Mais enfin, assez bref, cela a une signification qui, en tout état de cause, englobe la durée de mon mandat", a-t-il précisé.

Note : ( Certains médias soulignent que plus d’un siècle plus tard la question du génocide arménien de 1915 remonte à la surface, à six mois de la prochaine élection présidentielle française de 2012 , en soulignant de bonne mémoire qu’avant son élection en 2007, Nicolas Sarkozy avait promis aux représentants de la communauté arménienne de France, estimée à un demi-million de personnes, de soutenir le vote d'une loi réprimant spécifiquement la négation du génocide de 1915, reconnu en 2001 par une loi française , mais que ce projet de loi avait été enterré en mai faute d'une majorité au Sénat et surtout du soutien du gouvernement de Nicolas Sarkozy. )

Le Président Sarkozy depuis Jeudi avait déjà invité à plusieurs reprises la Turquie à « revisiter son histoire » , il avait déjà confié que sa visite au mémorial de Tsitsernakaberd, dédié aux victimes du génocide, lui avait rappelé des sentiments similaires à ceux qu'il avait eus en se rendant au mémorial Yad Vashem consacré aux victimes de l'Holocauste, à Jérusalem, et dans un musée rendant hommage aux victimes du génocide au Rwanda.

"La Turquie, qui est un grand pays, s'honorerait à revisiter son histoire comme d'autres grands pays dans le monde l'ont fait, l'Allemagne, la France", a déclaré Monsieur Sarkozy à la presse à l'issue de cette visite du monument avec son homologue arménien Serge Sarkissian.

"Le génocide des Arméniens est une réalité historique", a-t-il encore déclaré à des journalistes. "Le négationnisme collectif est pire encore que le négationnisme individuel" et "on est toujours beaucoup plus fort quand on regarde son histoire", a-t-il ajouté.

Patrick Devedjian, Charles Aznavour et Hélène Segara était invités dans la délégation présidentielle.

Pour sa part, l’ex-ministre d'origine arménienne Patrick Devedjian, considère la visite du Président Français en Arménie comme un "geste" à l'endroit des Arméniens de France.

Dans leurs articles concernant la visite d’Etat en Arménie, les médias évoquent aussi que le pouvoir français est opposé à l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, et que plusieurs chapitres des négociations d’adhésion qui ont commencé en 2005 sont bloqués à l’instigation de Paris ce qui a provoqué des tensions entre les deux pays.

La réaction Turque ne s’est pas fait attendre, mais à l’inverse de ce que le président Français espérait, Ahmet Davutoglu, le ministre Turc des affaires étrangères, a qualifié les propos du Président français «d’ « opportunisme politique » en ajoutant « malheureusement, chaque fois qu’il y a des élections en Europe, on assiste à ce genre d’opportunisme.. Le Ministre des affaires étrangères Turc a aussi déclaré que « la France, du fait de son passé colonial, était mal placée pour critiquer Ankara .... »

Quand à l’invitation du Président Français qui avait déjà sollicité à plusieurs reprises la Turquie à « revisiter son histoire » , ce fût le ministre turc aux affaires européennes, Egemen Bagis, qui réagit vendredi lors d'une visite à Sarajevo, : "Il serait mieux, pour la sérénité en France, en Europe et dans le monde, que M. Sarkozy abandonne le rôle de l'historien et se creuse un peu la tête pour sortir son pays du gouffre économique dans lequel il se trouve et produise des projets pour l'avenir de l'Union européenne."

Sur sa lancée « moralisatrice » Nicolas Sarkozy a également appelé l'Arménie à faire la "paix" et à la "réconciliation" avec l'Azerbaïdjan voisin sur le Haut-Karabakh, territoire séparatiste azerbaïdjanais peuplé en majorité d'Arméniens.( Dix-sept soldats ont été tués depuis le début de l'année autour du Haut-Karabakh, république autoproclamée depuis une guerre dans les années 1990 qui a fait 30 000 morts.)

2) visite en Azerbaïdjan

Nicolas Sarkozy a poursuivi sa journée de vendredi et son déplacement caucasien en se rendant en Azerbaïdjan, pour une visite de quelques heures.

Nicolas Sarkozy a été accueilli en Azerbaïdjan par son homologue Ilham Aliev, au palais de la présidence, les deux présidents se sont retirés ensuite pour un entretien en tête-à-tête, avant un déjeuner de travail avec leurs délégations.

Les deux dirigeants devaient ensuite poser la première pierre du lycée français de Bakou.

Les observateurs rapportent que le Président Français nourrit l’ambition de faire avancer la paix entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan qui se disputent toujours le territoire azerbaïdjanais du haut-Karabakh, une enclave séparatiste peuplé d’Arméniens en majorité, et qu’il aurait renouvelé au Président azerbaïdjanais le message de paix et de réconciliation qu’il avait formulé en Arménie.

Dans la foulée, ils écrivent aussi que Paris espère de cette rencontre un "coup de pouce" à la conclusion de gros contrats dans ce pays important producteur de gaz et de pétrole, pour des entreprises Françaises.

2) visite en Géorgie :

Le Chef de l’Etat Français a quitté ensuite Vendredi après midi l’Azerbaïdjan pour se rendre en visite officielle à Tbilissi, en Géorgie, (pro-américaine) pour une rencontre avec le président Mikhaïl Saakachvili.

Et c'est avec la même casquette de "faiseur de paix" que Nicolas Sarkozy devait conclure son périple vendredi après-midi à Tbilissi, trois ans après avoir négocié un cessez-le-feu controversé entre la Russie et la Géorgie

Certains médias rapportent que le président français a souvent affirmé qu'il avait empêché que la Géorgie soit "rayée de la carte", et qu’il entend ainsi par sa visite en Géorgie « capitaliser » les efforts de médiation qu'il avait entrepris en août 2008 pour mettre fin au conflit trois ans après avoir négocié un cessez le feu entre la Russie et la Géorgie et les médias vont même jusqu’à écrire que c’est avec la « même casquette de faiseur de paix » que Nicolas Sarkozy rencontrera le Président Mikhaïl Saakachvili.

Nous voulons bien les croire ...c’est en effet sur la place de la Liberté devant un rassemblement de Géorgiens brandissant des drapeaux géorgiens, européens et français, que le Président Nicolas Sarkozy a appelé la Russie à cesser "les menaces, les intimidations" contre la Géorgie, dont deux régions séparatistes ont été reconnues par Moscou après la guerre d'août 2008.

Entre la Géorgie et la Russie des différents et des tensions subsistent, des attentats et des accrochages ont lieu le long de la ligne de séparations entre les troupes géorgiennes et russes, et le pouvoir de M. Saakachvili en attribue le plus souvent la responsabilité aux renseignements militaires russes

"La France considère la Russie comme son amie, comme un partenaire stratégique", a avancé Monsieur Sarkozy, (avec une certaine prudence) "mais pour rétablir la confiance il faut que cessent les menaces, les intimidations, les menaces et les tentatives de déstabilisation qui sont proprement inacceptables".

Nicolas Sarkozy a également estimé que la Géorgie devait "être libre d'exprimer son aspiration à l'Union européenne et un jour à la rejoindre". Pour le Président Français "ce rapprochement continu avec l'Union européenne [dépend) d'abord de vos réformes et de l'approfondissement de votre démocratie".

""Lorsque je suis à Tbilissi, je me sens en Europe et pas ailleurs", a déclaré Nicolas Sarkosy et il a insisté sur la liberté qu'a la Géorgie de rejoindre l'Union européenne et même l'Otan, c'est à n’en pas douter un avertissement qu'il envoie à l'ancien et probablement futur président russe Vladimir Poutine

Rappelons que la semaine dernière dans les "Izvestia", Vladimir Poutine dévoilait le projet géopolitique qu'il voulait développer quand il reviendrait à la présidence l'an prochain. Pour Vladimir Poutine il s'agit de créer une "union eurasienne", formée avec les pays qui formaient autrefois l'Union soviétique. Vladimir Poutine indiquait qu'il ne s'agissait pas de recréer l'URSS, mais de porter "une union économique et politique à un niveau élevé d'intégration. Une structure supranationale capable de devenir un des pôles du monde moderne."

Si ce n'est pas selon Poutine l’ancienne Union soviétique, cela ressemble à cet empire dont Poutine avait écrit en 1991 que "sa disparition, était la plus grande catastrophe géopolitique du XXe siècle".

Avant la fin de 2011, l'ébauche de cette union prônée par Vladimir Poutine pourrait se faire d'abord avec le Kazakhstan et la Biélorussie, puis ensuite avec le Tadjikistan et le Kirghizstan, avant l'Arménie, l'Ouzbékistan et pourquoi pas la Géorgie...

En conclusion dans les trois pays qu’il a visités le Président Français, comme à son habitude, a empreint son rôle de « faiseur de paix » en assaisonnant ses interventions de propos contre la Turquie et la Russie, qui n’en doutant pas s’en souviendront.

Manoeuvre informatique maladroite

Éditorial de lucienne magalie pons

Par mégarde en essayant de configurer la liste des membres de ce blog, j'ai fait une fausse manoeuvre et le plus grand nombre des membres de ce blog a été bloqué.

Je le regrette vivement, mais pour ne pas aggraver le "désastre" en essayant de les rétablir par moi-même, j'ai demandé à l'Aide Google de m'indiquer le processus pour les rétablir, j'attends leur réponse.

En attendant je prie les membres qui ont disparu momentanément de bien vouloir m’excuser.

Primaire de Gauche : en attendant le second tour ...

Éditorial de lucienne magalie pons

François Hollande qui a obtenu 39,5 % et Martine Aubry 30,47 % restent en lice pour le second tour de la Primaire de Gauche ;

Les électeurs d’Arnaud Montebourg qui l’ont doté de 17 % devraient peser dans le second tour pour les départager, de même que les électeurs qui ont accordé 7 % de leur voix à Ségolène Royal.

Manuel Vals qui n’a recueilli que 5 % des voix s’est immédiatement signalé pour offrir son maigre score à François Hollande de même que Jean-Michel Baylet qui lui porte son score presque inexistant de 1%, ces ralliements font pencher François Hollande du côté droit du parti et finalement cela pourrait lui porter préjudice.

Ségolène Royale dotée de 7% des voix laissera sans doute à ses électeurs le soin de voter pour l’un ou l’autre des deux candidats, elle devrait se déterminer après avoir reçu Martine Aubry et Arnaud de Montebourg, mais les observateurs estiment que son programme est plus proche de celui de Martine Aubry et que ses électeurs devraient reporter leurs voix sur elle.

Arnaud Montebourg fort de 17 % des voix au premier tour se réserve de trancher après avoir entendu François Hollande et Martine Aubry s’exprimer sur les thèmes qu’il a défendu au premier tour, mais sur France 2 il a déclaré qu’il enverrait une lettre ouverte aux deux candidats et qu’en fonction de leur réponses il se prononcerait.

Cette démarche épistolaire est tout à fait habile, les paroles s’envolent mais les écrits restent.

François Hollande et Martine Aubry mis au pied du mur devront répondre par écrit.

«Je vais lire avec beaucoup d'attention ce que va nous adresser Arnaud Montebourg, parce que je respecte cette démarche-là», a souligné François Hollande, hier soir.

Pour François Hollande qui se pose comme le candidat du rassemblement acceptera-t-il de gauchiser son programme ? «Je dois non pas changer de ligne, non pas faire une espèce de virevolte, non pas essayer de séduire, ça mérite mieux, la primaire et l'élection présidentielle. Je dois donner une cohérence aux Français», a fait savoir François Hollande tout en affirmant qu'il «entendait les préoccupations des électeurs d'Arnaud Montebourg».

En face, avec ses 8,5 points de retard Martine Aubry n’a pas tort d’espérer ramener à elle les voix d’Arnaud Montebourg «Je crois être bien placée», a commenté Martine Aubry, hier soir sur TF1.

D’après Gérard Grunberg «Elle va jouer son va-tout pour essayer de disqualifier Hollande. Face à cela, soit il ne répond pas aux attaques, se revendiquant comme l'homme du rassemblement, soit il gauchit son discours», estime cet expert en ajoutant , « Elle, aussi, répondra à Arnaud Montebourg: «Nous avons des points largement communs et je les reprendrai moi aussi dans le second tour».

Reste qu’au final ce seront les électeurs du second tour qui trancheront, en effet Arnaud Montebourg, Ségolène Royal, Manuels Vals et Jean-François Baylet ne sont pas propriétaires de la voix de leurs électeurs du premier tour, ils peuvent tout à fait adroitement se prévaloir du vote de leurs électeurs respectifs du premier tour pour intervenir en faveur de l’un ou de l’autre des deux candidats qui restent en piste, ils n’en demeure pas moins que les électeurs du second tour voteront dimanche pour celui ou celle qui aura su les convaincre des « valeurs de la gauche » avant tout.

Entre parenthèse inutile d’épiloguer sur les critiques des personnalités de la droite qui essaient de minimiser l’impact de la Primaire de gauche en ironisant maladroitement et en faisant des amalgames, comme Jean François Copé , inutile aussi d’insister sur les médias de droite qui essaient de dramatiser le second tour en l’illustrant et le dramatisant comme un combat , un duel « sanglant » qui devrait opposer les deux candidats François Hollande et Martine Aubry, tout cela relève des cancans de leur fond de commerce politicien a bout de souffle et d’arguments et qui ne présente plus aucun intérêt et ne saurait influencer les électeurs d’un second tour de la Primaire de Gauche.

actualisation à 12 heures :

Le président de la République a aussi critiqué ce mardi la Primaire de Gauche en se référant au Général de Gaulle.

On aurait préféré qu’il émette ses critiques de sa propre veine, le Pouvoir et l’UMP n’ont pas le monopole de la grandeur du Général loin s’en faut.

Bref, lors d’une réunion « petit-déjeuner » avec des responsables de sa majorité et selon l’un des participants à cette agape matinale, Nicolas Sarkozy a laissé entendre qu'elle était contraire à l'esprit de la Ve République. ...."La Ve République ne peut être l'otage des partis politiques et le candidat pris en otage par son parti, le général de Gaulle, a voulu une élection à deux tours, pas à quatre tours", a dit le chef de l'État »

Harlem Désir, le premier secrétaire par intérim du Parti socialiste Harlem Désir, a estimé aujourd'hui que les critiques de Nicolas Sarkozy sur la primaire PS traduisaient "un immense désarroi" du président de la République "face au succès" de ce scrutin, inédit en France.

D’après Harlem Désir, les propos du président de la République traduisent surtout un immense désarroi de Nicolas Sarkozy face au succès des primaires et à la forte participation des Français à cet évènement", et selon lui il y voit une confirmation que "la droite est ébranlée".

"Monsieur Sarkozy est un président qui a peur du peuple et des Français", a-t-il affirmé, estimant "étrange" de la part du chef de l'Etat de "prétendre que la République serait prise en otage".

"La République a besoin d'écoute, de respect des citoyens. Elle ne peut être l'otage d'un clan enfermé dans son palais et qui n'entend plus les Français", a lancé Harlem Désir.

En quelque sorte le réponse du berger à la bergère.

Revue de presse :

Montebourg, arbitre du duel Hollande - Aubry, les renvoie dos à dos
La Voix du Nord
Martine Aubry et François Hollande doivent intégrer à leur campagne le succès d' Arnaud Montebourg. Arnaud Montebourg, en position d'arbitre de la finale de la primaire socialiste, a renvoyé dos à dos François Hollande et Martine Aubry, ...
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La Voix du Nord

Pour Copé, il y a une «proximité d'idées» entre Montebourg et Le Pen
Le Parisien
Le secrétaire national de l'UMP Jean-François Copé, s'en est pris vivement ce matin à Arnaud Montebourg, comparant son discours sur la démondialisation à celui de Marine Le Pen. | LP/Arnaud Journois. Après une vive altercation qui l'a opposé dimanche ...
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10 octobre 2011

Social : Nouvelle mobilisation sociale demain

Éditorial de lucienne magalie pons

Nouvelle journée de mobilisation sociale demain

Information :

Les syndicats (CGT-CFDT-FSU-Unsa-Solidaires) appellent à une journée de mobilisation demain 11 Octobre.

Près de 200 manifestations sont organisées sur tout le territoire, dont environ 160 unitaires et 134 auxquelles la CFDT participera.

07 octobre 2011

Libye : Les forces rebelles pilonnent Syrte

Éditorial de lucienne magalie pons

Les forces du CNT se sont donnés deux jours pour investir Syrte :

Les forces du CNT ont évoqué un "assaut final" pour faire tomber ce bastion des partisans de Mouammar Kadhafi qui ne se résignent pas et font toujours face.

"Nous avons l'ordre de terminer la mission aujourd'hui", a affirmé un combattant du CNT nouveau régime, Faisal Asker. "On nous a dit que c'était l'assaut final. Inch Allah (Si Dieu le veut), nous allons prendre Syrte aujourd'hui", a ajouté l'un de ses camarades, Barak Abou Hajar.

Des avions de l'Otan survolent la zone, secouée par le vacarme des mitrailleuses et des déflagrations. "Il y a une grosse opération aujourd'hui" à Syrte, a déclaré à l'AFP Abdel Ibrahim, porte-parole du Conseil militaire de Misrata.


Les forces du pouvoir intérimaire libyen face à la résistance des partisans de Kadhafi ont tiré aujourd'hui vendredi à l'artillerie lourde sur Syrte.

Des colonnes de fumée noire se sont élevées dans le ciel de la ville côtière, située à environ 450 km à l'est de Tripoli. Les forces du Conseil national de transition (CNT) pilonnent le centre-ville de

Des milliers de civils cherchant à fuir une situation humanitaire critique ont été surpris par les bombardements et se sont éparpillés, paniqués, pendant que les explosions secouaient la ville de 75.000 habitants.

Les forces loyales de Mouammar Kadhafi, regroupées à Syrte s'appuient sur des tireurs embusqués et des lance-grenades RPG pour empêcher l'avancée des troupes du conseil intérimaire.

Un hôpital de campagne installé à plusieurs km à l'ouest de Syrte a admis ces dernières heures une cinquantaine de civils ou combattants blessés dans les combats, la plupart grièvement.

Selon un habitant ayant réussi à prendre la fuite, il reste désormais à peine la moitié de la population de la ville dans Syrte et la plupart des gens se sont regroupés dans trois quartiers où les affrontements sont moins intenses.

De nombreux articles dans la presse rapportent les scènes dramatique de cette guerre féroce , notamment l'article ci-dessous de source "Romandie News" que nous avons décidés de reproduire ci dessous intégralement :

Revue de Presse :

Romandie News


Scènes de chaos dans un hôpital de campagne près de Syrte


Syrte (Libye) - Scènes de chaos et va-et-vient incessant des ambulances; sous le bruit des explosions, les victimes de la bataille féroce de Syrte sont emmenées dans un hôpital de campagne installé dans un bâtiment délabré tout près du front de l'Est libyen.

Toutes les deux-trois minutes, une ambulance arrive, dans un crissement de pneus. Du personnel médical ouvre les portes et s'empare cette fois d'un drap rempli de parties de corps humains.

L'hôpital est situé à quelques kilomètres des violents affrontements qui opposent dans Syrte les combattants du Conseil national de transition (CNT), les ex-rebelles ayant chassé Mouammar Kadhafi au pouvoir, et les derniers partisans du leader déchu.

La zone résonne du bruit des mitrailleuses, des déflagrations et des sirènes des ambulances, qui arrivent à tombeau ouvert pour ramener les blessés et les morts de la ligne de front.

Allah Akbar! (Dieu est le plus grand!), crient les combattants du CNT, Kalachnikov à la main, en s'activant autour d'une ambulance.

En milieu d'après-midi, au moins dix corps ont été transportés et 150 blessés, selon l'administrateur de l'hôpital, Ahmed Abou Oud.

Tous viennent de la partie ouest de Syrte, aucun bilan n'étant disponible pour l'heure pour l'ensemble de la ville.

Les blessés, touchés par des éclats d'obus et des balles, sont conduits à l'intérieur d'une salle réservée aux urgences, où les médecins, habillés en blouses bleues, passent d'un patient à un autre pour les soigner.

Selon Ahmed Abou Oud, quatre ambulances ont été détruites par les forces pro-Kadhafi et deux ambulanciers blessés.

Un filet de sang est visible sur les marches conduisant à la salle de soins. Dans un coin, un homme allume calmement des bâtons d'encens.

A l'extérieur, un jeune homme en jeans et T-shirt pleure. Son camarade d'armes, un jeune homme de 20 ans qui était son voisin dans la ville de Misrata, fait partie des corps se trouvant dans la morgue improvisée.

Il a été tué lorsqu'une grenade a été lancée contre son pick-up, alors que son unité, qui cherchait à entrer dans Syrte, se trouvait dans la périphérie sud de la ville.

Nous essayons de faire en sorte qu'il soit ramené à sa famille rapidement. Ensuite, nous retournerons au combat, confie Hakim Majouq. Il n'est pas le premier ami que j'ai perdu. Mais les hommes qui meurent iront au paradis, se console-t-il.

Un pansement ensanglanté sur l’œil, un autre combattant gémit en sortant de la morgue, où quatre corps sont enroulés dans des couvertures grises. Il se met à courir comme un fou à travers l'hôpital, criant et secouant ses amis qui tentent de le consoler.

Un peu plus tôt, une camionnette avait quitté l'hôpital, emmenant quatre cadavres, également enroulés dans des couvertures. Avec sur chaque poitrine, un papier avec le nom du combattant décédé.

(©AFP / 07 octobre 2011 16h05)

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Combats intenses à Syrte: au moins huit morts

nouvelobs.com - ‎Il y a 1 heure ‎
TRIPOLI (AP) — D'intenses combats à Syrte, ville natale de Moammar Kadhafi, ont fait vendredi huit morts parmi les forces révolutionnaires. Le ministre adjoint de la Défense Fawzi Bukatif a expliqué à l'AP que les forces révolutionnaires étaient sur le ...
Courrier Picard - AFP - Le Monde

Libye : Les forces rebelles se donnent deux jours pour faire tomber Syrte...on croyait que c'était déjà fait

Éditorial de lucienne magalie pons

Syrte est depuis plus trois semaines environ assiégée par les combattants rebelles du CNT, et se trouve la cible des attaques et des bombardements continus des forces du gouvernement intérimaire et des frappes aériennes de l'Otan.

Le Conseil national de transition ne cesse d’émettre des communiqués par lesquels il prétend chaque jour que la prise de Syrte est imminente, il n’en est rien, le siège prolongé de cette ville retarde la formation d’un gouvernement de transition maintes fois annoncé , maintes fois retardée, le CNT veut une victoire rapide pour s’affirmer politiquement et s’efforce de parvenir aux prix d’un processus de plus en plus meurtrier pour les habitants civils de cette ville à une victoire qui pour le moment lui échappe.

Les habitants civils, les familles tentent de s’éloigner de la ville pour échapper aux bombes et aux obus, on voit des incendies, des appartements sont détruits, les conditions de vie quotidienne se dégradent gravement dans la ville, on voit des incendies, des appartements et des maisons sont détruits et endommagés, l’approvisionnement alimentaire fait défaut, de nombreuses rues sont inondées, des quartiers sont privées d’électricité, l’hôpital Ibn Sina a aussi souffert des combats et ne dispose plus de servies médicaux suffisant pour accueillir et soigner les malades et les blessés qui se pressent à sa porte. Selon une équipe de la Croix-Rouge parvenue à apporter des fournitures médicales à l'hôpital de Syrte, la ville portuaire est privée d'électricité.

Les familles gravement atteintes sont en deuil, Reuters rapporte qu’un jeune habitant, Ali Dourgham ne peut retenir ses larmes en racontant comment son père a été tué par un obus à Syrte alors qu'il se rendait à la mosquée avec son frère."Il est mort dans mes bras. Je l'ai enterré hier ....", l’oncle de ce jeune homme a été admis à l’hôpital qui est la cible d’obus

L'oncle du jeune homme a été admis à l'hôpital Ibn Sina de Syrte qui, selon des témoins, a lui aussi souffert des combats."L'hôpital est la cible de tirs d'obus", dit Dourgham, à l'instar d'autres habitants qui fuient la ville. "Il est plein de saletés. Il n'y a que trois médecins pour s'occuper des malades."

Mais en dépit des pilonnages ce jeune homme est résolu à regagner Syrte pour en faire sortir son oncle.

Les récits des habitants qui fuient la ville donnent une idée tragique de ce qui s'y passe.

Certains évoquent deux familles dont les voitures des familles sont touchées par des lance-roquettes alors qu'elles tentaient de quitter la ville.

"C'est inimaginable, là-bas», a déclaré à Reuters Massoud Aouidat, qui arrive tout juste de la ville à bord d'une voiture au pare-brise et aux portières criblés d'impacts de balles.

"Cela empire chaque jour. Il n'y a pas de nourriture. On voit des incendies, des appartements sont détruits."

Des habitants sont contraints de dormir dans les rues et sous les escaliers, de peur que les toits de leurs immeubles ou de leurs maisons s'écroulent sur eux la nuit.

Trois femmes et deux hommes originaires du Tchad et disant vivre à Syrte depuis des années, avançaient mardi sur une route proche de la ville avec neuf enfants effrayé et sans effets personnels.

Lorsqu'on leur a demandé a demandé s'ils pensaient que les réserves de nourriture dureraient un certain temps à Syrte, l'un des hommes a répondu: "Quelle nourriture ?"

A Syrte des éléments pro-Kadhafi opposent une résistance acharnée, des civils rapportent que des partisans de Kadhafi se cachent dans des zones résidentielles, ces civils craignent des combats de rue meurtriers dans un futur proche

Des éléments pro-Kadhafi opposent une résistance acharnée Syrte, un médecin du CNT Machallah Al Zoy reconnaît qu’à Syrte ce ne sera pas comme à Tripoli", par allusion implicite au dénouement relativement modéré qu'a connu le siège de la capitale.

"Ce sera rue par rue, maison par maison, comme l'a dit (Kadhafi)."

Les partisans de Kadhafi résistent à Syrte et forcent les pro-CNT à s'engager dans des combats de rue rapprochés, sous la menace de tireurs embusqués pendant que les forces loyalistes s’occupent de repousser depuis plus de trois semaines les pro-CNT.

Jeudi, les forces du CNT bombardaient toujours lourdement Syrte et sur le terrain les rebelles tentaient de s’infiltrer dans une avenue stratégique dans l'est de la ville, qui mène de l'université au «quartier des Mauritaniens» dans le centre-ville, une des places fortes tenue par les forces loyalistes de Mouammar Kadhafi.

«Nous allons tenter de nous emparer ce soir de cette avenue pour empêcher les mouvements ennemis. La zone ici est trop dangereuse au milieu des habitations, nous devons prendre cet axe», a affirmé à l'AFP un officier du CNT, Nagib Mismari

Le Centre de conférence Ouagadougou, autre place-forte des partisans de l'ancien régime, était aussi toujours la cible d'intenses bombardements, de même que l'Université et le «quartier des Mauritaniens», où combattraient de nombreux mercenaires naturalisés Libyens mais originaires de ce pays, selon un journaliste de l'AFP.

Mouammar Kadhafi toujours introuvable, a adressé un nouveau message sonore jeudi soir diffusé par la Chaine Arraï basé en Syrie, pour appeler les Libyens à manifester «par millions» contre le nouveau pouvoir, le Conseil national de transition (CNT)

«Je leur dis n'ayez peur de personne, vous êtes le peuple, vous appartenez à cette terre. Faîtes entendre votre voix contre les collaborateurs de l'Otan», ...... «Certains parlent du CNT comme du représentant légitime du peuple libyen, mais d'où vient cette légitimité, de l'élection par le peuple libyen?», a-t-il fait mine de s'interroger.

Par ailleurs, à 130 km au sud-ouest de Tripoli, de violents affrontements entre pro et anti-Kadhafi se déroulaient à Ragdaline, aux mains des fidèles de l'ex-régime, selon un responsable militaire du CNT, Smaïl Atouchi. D’après lui, les combattants pro-CNT «font face à quelque 900 soldats de l'ex-régime».

Du côté de Bani Walid, un millier d'hommes et une centaine de véhicules militaires des forces du CNT quittaient jeudi matin Gargarech, à 10 km de Tripoli, pour Bani Walid (à 170 km au sud-est de la capitale), où les combattants pro-Kadhafi résistent depuis des semaines, a indiqué un commandant militaire. Moussa Ali Younes un commandant de la brigade Jado, dirige cette opération, il a déclaré à l’AFP «Nous allons d'abord négocier pour une reddition pacifique des pro-Kadhafi et tenter de faire sortir les 10% de civils qui sont encore dans la ville avant de lancer un assaut».

Les supputations de la présence de Kadhafi de ses fils et de ses proches continuent à alimenter la chronique, selon Moussa Ali Younès ... «Seif al-Islam (un des fils Kadhafi) se trouve à Bani Walid et peut-être aussi Mouammar Kadhafi mais il y a 50% de doutes sur la présence (de Kadhafi). Il y a beaucoup de proches de Kadhafi à Bani Walid, plus qu'à Syrte» .... a-t-il expliqué.

Mais force est de constater qu’en dépit des annonces répétées du CNT assurant que la chute de Bani Walid entre leurs mains est imminente, après plus d’un mois les forces pro-CNT ne parviennent pas à progresser face à la résistance acharnée des pro-Kadhafi, mais aussi d'un manque de coordination et de moyens.

Le tableau ne serait pas complet sans citer l’opinion du Secrétaire américain à la Défense, Léon Panetta sur la situation des combats en Libye, de Bruxelles il a affirmé que le conflit «approche de sa conclusion, après la chute du régime» de Mouammar Kadhafi. «Mais il y a toujours de sérieux combats et des menaces contre la population civile.» Avant de décider de mettre fin à ses opérations, l'Otan, qui a pris les rênes de la coalition internationale le 31 mars, prendra en considération quatre facteurs, selon lui: «l'évolution de la situation à Syrte, les moyens que conservent les forces de l'ex-régime pour attaquer les civils, le maintien de la capacité de Kadhafi à commander ces forces et la capacité des nouvelles autorités à assurer la sécurité.»

La déclaration de Léon Panetta est assez ambiguë, d’après lui le conflit approche de sa conclusion ... et dans sa déclaration quand il cite les quatre facteurs a prendre en considération pour mettre fin aux opérations de l’Otan il souligne entre autre « l’évolution de la situation à Syrte, les moyens que conservent les forces de l’ex régime pour attaquer les civils, le Secrétaire d’Etat américain, fait l’impasse sur les milliers de civils tués et blessés sous les bombardements et les obus des forces rebelles et des frappes aériennes de l’Otan.

Quand à la « capacité des nouvelles autorités à assurer la sécurité », le Secrétaire américain,

doit savoir parfaitement que sans l’Otan les capacités des rebelles du CNT sont proches de zéro, ce qui nous laisse présager que l’Otan, de prolongement en prolongement de sa mission, continuera ses frappes aériennes intensives pour pallier l’insuffisance notoire des rebelles.

En France les ministères de la Défense et des affaires étrangères qui normalement doivent connaître exactement ce qu’il en est de l’évolution du conflit Libyen tant sur le plan des opérations militaires que sur l’évolution politique du CNT (ou plutôt sur ses difficultés à s’imposer) , ne nous gratifient pas d’informations ou de communiqués susceptibles de nous éclairer exactement sur le sort de la Libye Nouvelle , sauf à nous faire savoir de temps en temps en substance depuis plus de trois mois déjà que le CNT « contrôle la Libye. », de même le CNT se montre toujours optimiste depuis des mois quant à une victoire irréversible sur les loyalistes, pour eux, d’après leurs communiqués, il s’agit jour après jour « d’une question de jour » pour aboutir au contrôle total de la Libye.

Aux dernières nouvelles le CNT se donne deux jours pour faire tomber Syrte, L'OTAN a déclaré qu'elle poursuivra ses bombardements en Libye tant qu'il y aura des poches de résistance pro-Kadhafi sur le terrain, mais aucune personnalité officielle ne parlent des dissensions politiques et militaires qui existent ouvertement au sein du CNT et de ses forces combattantes, les médias en font état et rapportent que certaines milices entrent en compétition ouverte avec la nouvelle autorité militaire avec pour incidence politique que ces dissensions rendent encore plus difficile la formation d'un gouvernement de transition et que le Chef militaire de Tripoli Abdelhakim Belhaj voit sa légitimité remise en cause

L’Otan ne fixe aucune date pour la fin de ses opérations en Libye, et pour cause , le CNT échoue à rassembler sous autorité les divers composants de la Révolution Libyenne, la nouvelle autorité libyenne ne peut être désavoué par ses amis et alliés, des intérêts autres que la défense des droits de l’homme et la protection des civils, arguments qui prennent l’eau de jour en jour, sont en jeux, notamment pétroliers, comment pourrait-ils reconnaître que ce CNT qu’ils ont imposés se fissurent de jour en jour ?

Revue de presse :

Libye: Combats urbains à Syrte, Kadhafi appelle à manifester par ...

20minutes.fr - ‎Il y a 1 heure ‎

Les forces des nouvelles autorités libyennes bombardaient jeudi lourdement Syrte et s'engageaient dans de dangereux combats urbains face aux partisans de Mouammar Kadhafi. L'ex-dirigeant toujours en fuite a de son côté appelé les Libyens à manifester ...

Kadhafi appelle les lIbyens à manifester par millions contre le CNT Radio Chine Internationale

Dans Syrte assiégée, une situation "inimaginable" nouvelobs.com

AFP - Libération - Le Monde - Le Figaro

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Libye

LE FIL INFO EN DIRECT

Avec Yahoo! Actualités

Informations actualisées le 07/10/2011 à 06:41:17

LIBYE/OTAN: L'Otan ne fixe aucune date pour la fin de ses opérations en Libye (le vendredi 07/10/2011 à 05h)
Libye/Otan La Libye était au centre d'une réunion de l'Otan à Bruxelles jeudi 6 octobre. Les ministres de la Défense des pays membres ont fait le point sur leur intervention dans le pays six mois après le lancement de l'opération Protecteur unifié. Le secrétaire général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, lors de sa conférence de presse, à Bruxelles, le 3 octobre 2011. Reuters/Eric Vidal

Libye - L'OTAN continuera à bombarder tant que les pro-Kadhafi résisteront (le jeudi 06/10/2011 à 16h)
L'OTAN déclare qu'elle poursuivra ses bombardements en Libye tant qu'il y aura des poches de résistance pro-Kadhafi sur le terrain.

LIBYE/OTAN: L'Otan tire un premier bilan de son action en Libye (le vendredi 07/10/2011 à 02h)
Libye/Otan La Libye était au centre d'une réunion de l'Otan à Bruxelles jeudi 6 octobre. Les ministres de la Défense des pays membres ont fait le point sur leur intervention dans le pays six mois après le lancement de l'opération Protecteur unifié. Le secrétaire général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, lors de sa conférence de presse, à Bruxelles, le 3 octobre 2011. Reuters/Eric Vidal

LIBYE: Libye: la lassitude gagne les troupes du CNT à Syrte (le vendredi 07/10/2011 à 06h)
Libye Les forces des nouvelles autorités libyennes ont lourdement bombardé Syrte hier jeudi et s'engagent à présent dans de dangereux combats urbains face aux partisans de Mouammar Kadhafi. L'ex-dirigeant toujours en fuite a de son côté appelé les Libyens à manifester «par millions» contre le nouveau pouvoir, le Conseil national de transition (CNT), dans un message sonore diffusé jeudi soir par ...

LIBYE: En Libye, des dissensions apparaissent au sein des forces pro-CNT (le jeudi 06/10/2011 à 05h)
Libye Alors que les forces pro-CNT font toujours face à une résistance acharnée des loyalistes retranchés dans Syrte, à Tripoli, certaines milices entrent en compétition ouverte avec la nouvelle autorité militaire. Ces frictions risquent de rendre encore plus difficile la formation d'un gouvernement de transition. Le chef militaire de Tripoli Abdelhakim Belhaj voit sa légitimité remise en cause ...

Libye: les combats s'intensifient dans les rues de Syrte (le jeudi 06/10/2011 à 20h)
Fin d'après-midi sur la ligne de front de Syrte. Les combattants du Conseil...

L'OTAN poursuivra ses bombardements sur la Libye (le jeudi 06/10/2011 à 17h)
BRUXELLES - La campagne de bombardements de l'OTAN sur la Libye, qui a débuté il y a sept mois, se poursuivra malgré la chute du régime de Mouammar Kadhafi, ont annoncé jeudi des responsables de l'Alliance atlantique.

L'OTAN va poursuivre ses bombardements sur la Libye (le jeudi 06/10/2011 à 15h)
La campagne de bombardements de l'OTAN sur la Libye, qui a débuté il y a sept mois, se poursuivra malgré la chute du régime de Moammar Kadhafi, ont annoncé jeudi des responsables de l'Alliance atlantique.

L'Otan espère l'arrêt prochain de sa mission en Libye (le jeudi 06/10/2011 à 18h)
BRUXELLES (Reuters) - L'Otan a espéré jeudi que sa mission en Libye s'achèverait dans un proche avenir, précisant que la décision serait fondée sur une estimation de la menace pesant sur la population civile et de la capacité des nouvelles autorités à assurer la sécurité.

Libye: le CNT se donne deux jours pour faire tomber Syrte (le jeudi 06/10/2011 à 16h)
Les rebelles libyens promettent une victoire dans les prochains jours. Au moment des derniers combats, quelle est la situation en Libye?

03 octobre 2011

Jean-Louis Boorlo jette l'éponge

Éditorial de lucienne magalie pons

Éditorial de Lucienne Magalie Pons

Depuis hier la renonciation de Jean Louis Borloo à se porter candidat pour la présidentielle 2012 fait un tabac dans les milieux politiques et dans les médias.

Voir en cliquant sur le lien ci-dessous une séquence d'un journal télévisé commentant la nouvelle, étant précisé que nous publierons plus tard un éditorial en cours de préparation dans nos salles de rédactions

2012 : Jean-Louis Borloo renonce à se présenter

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...