13 juin 2010

Le député Hervé Mariton prend ses distances politiques avec le Mouvement de Monsieur de Villepin

article de lucienne magalie pons


D'après les raisons qu'il développe dans son annonce de vendredi à L'AFP pour expliquer sa toute récente décision de ne pas rejoindre le Mouvement de Monsieur de Villepin, dont la création aura lieu le 19 juin à Paris, Monsieur Hervé Mariton, Député, considère notamment qu'il est plus utile de continuer à porter un regard exigeant et libre au sein de l'UMP, il ne pense pas aussi que dans un moment difficile pour la majorité , la multiplication des structures soit une bonne chose. Par ailleurs entre autres considérations politiques dont il motive sa décision, il apparait qu'il a le souci de ne pas faire le choix de la double appartenance à l'UMP et au Parti de Monsieur de Villepin "Ce n'est pas commode , j'aurais du mal à exprimer de double positionnement à mes électeurs"

Ces soucis ne semblent pas agiter pour le moment les députés et autres personnalités politiques qui soutiennent Monsieur de Villepin, il est à noter toutefois qu'au début de leur regroupement autour de Monsieur de Villepin ils paraissaient dans une opposition affirmée à l'exécutif, mais que ces temps derniers certains d'entre eux ont insisté dans leurs déclarations sur le fait qu'ils représentent une force de propositions constructives. La double appartenance au Mouvement de Monsieur de Villepin, du moins de leur côté, ne parait pas leur poser problème.

Voici ci-dessous la dépêche de Vendredi de l'AFP par laquelle nous avons appris que Monsieur Hervé Mariton s'explique sur sa décision de ne pas rejoindre le Mouvement de Monsieur de Villepin :


Source AFP via Wikipédia:

""Hervé Mariton, qui fût ministre de l'Outre-mer quelques mois à la fin du gouvernement Villepin en 2007, a décidé de ne pas rejoindre le futur parti de Villepin et il a reconnu ne plus être depuis quelques temps "sur la même ligne" que son mentor sur certains sujets, notamment sur "la fiscalité" et sur "les propos d'une extrême vivacité" de l'ancien Premier ministre sur Gaza.

Insistant sur le fait qu'il se plaçait "dans la majorité", M. Mariton a insisté sur le fait qu'il se plaçait "dans la majorité" en exprimant des réserves sur le futur parti de Dominique de Villepin où certains selon lui sont "clairement dans l'opposition". "Je ne veux ni fracture, ni rupture au sein de la majorité", a-t-il dit.

Il a expliqué qu'il ne se voyait pas adhérer à un nouveau parti naissant et être d'emblée dans une position de critique. Il ne veut pas non plus être "capté" par une opposition à l'exécutif.

"Il faut une cohérence d'ensemble", a-t-il dit, avant d'ajouter : "Je ne veux pas animer un débat par rapport à Dominique de Villepin qui lui-même anime un débat par rapport à la majorité".

Pour autant, a-t-il poursuivi, "je ne suis pas devenu aveugle face aux qualités et défauts de l'exécutif".

Rendant hommage aux "qualités personnelles" de l'ancien Premier ministre, "à ses positions souvent justes", M. Mariton a récusé la possibilité de faire le choix de la "double appartenance", c'est-à-dire à l'UMP et au parti de M. de Villepin. "Ce n'est pas commode. J'aurais du mal à exprimer ce positionnement à mes électeurs".

Il a dit en outre "ne pas comprendre" que M. de Villepin ne veuille pas participer à des primaires UMP pour la présidentielle. "Je sais : c'est son positionnement gaulliste (l'élection présidentielle doit être la rencontre d'un homme avec le peuple, NDLR). Mais, avec des primaires, il y aurait un vrai débat, un vrai combat politique".

Hervé Mariton a prévenu Dominique de Villepin de sa décision.

"Je respecte sa décision. Mais je considère qu'elle met encore plus en lumière la démarche de Dominique de Villepin, qui n'est pas de rassembler des appareils ou des personnalités, mais qui n'a qu'un seul objectif : rassembler les Français sur des principes républicains, une vision pour la France", a commenté auprès de l'AFP le député villepiniste, Jean-Pierre Grand.""

Pour en savoir plus :


Mariton lâche Villepin- Les Échos
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12 juin 2010

Un match nul, les bleus ont sauvé la face rien de plus

article de lucienne magalie pons

Hier soir, les bleus de France qui jouaient en blanc, ont débuté leur Coupe du monde par un match nul face à l'Uruguay (0-0). Les Bleus se sont montrés offensifs physiquement décontractés, mais on percevait qu’ils étaient psychologiquement tendu , un stress intérieur mal vécu sur le train qui les a fait viser le but des adversaires en manquant souvent de précision , sans compter que le goal Uruguayen s’est montré d’une rapidité et d’une précision remarquable pour bloquer le ballon.


En dépit de ses difficultés offensives la France garde encore des chances de qualifications pour les huitièmes de finales


A noter, le retour au système 4-2-3-1. Pour ce match, Raymond Domenech avait abandonné le dispositif 4-3-3 au profit du dispositif 4-2-3-1, une tactique qui s’était révélée payante contre le Costa-Rica (2-1), moins efficace contre la Tunisie un nul (1-1) et une déconfiture devant la Chine (0-1).


La prestation du Lyonnais Govou, n’a pas relevé ses faibles performances, et les spécialistes se demandent pourquoi Domenech le gratifie encore de sa confiance. Govou n’a pu reprendre une offrande de Ribéry dans les six mètres (26e)et qui plus est le Lyonnais a souvent opéré les mauvais choix en cours de match et perdu un nombre impressionnant de ballons.


Nicolas Anelka, avant-centre des bleus a trop souvent débordé sur les plates-bandes de Govou côté droit, résultat l'attaquant des Blues aura presque tout raté s'illustrant seulement par une tête à côté sur un centre de Sagna (43e).


Malouda le milieu de Chelsea efficace tout au long de la saison avait perdu sa place au profit de Diaby, 24 ans, le gamin d'Aubervilliers a su a imposer son physique à la récupération et distillé pas mal de bons ballons, il a bien joué notamment lors de sa chevauchée de la 26e minute où il a éliminé avec brio trois Uruguayens .


Le coup franc de Gourcuff bien appliqué n’a pas abouti, le ballon a été dégagé de la lucarne par Muslera (19e), et là encore la rapidité du goal uruguayen a provoqué la surprise.


Finalement les Uruguayens sous la conduite de Forlan ont tout fait pour sauver leur match sans trop pousser d’attaques contrer les efforts de la France et en dépit de l’entrée en jeu d’ d'Henry dans sous l'ovation du stade, dont on espérait un renouveau d’énergie chez les bleus, le rythme est resté assez morne (74e) et enfin l'expulsion de l'Uruguayen Lodeiro 17 minutes après son entrée en jeu a été mal ressentie.


Au micro de TF1, dont les commentateurs pendant le match s’étaient efforcés de faire planer des espoirs, Patrice Evra le capitaine des bleus a admis à l’issue du match à l’issue du match : «Il y avait la place …. « Mais je suis fier de l'équipe. Il fallait gagner mais je suis confiant. A part sur coup de pied arrêté, ils ne nous ont pas mis en danger. Sincèrement je ne vois pas où ils pouvaient le faire».


«C'est un match frustrant», a plaidé Raymond Domenech ajoutant un peu plus tard le qualificatif de «crispant»

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mon opinion personnelle : un match de routine, rien de plus


Il reste à Raymond Domenech, que l’on a pu voir pendant le match virevolter sur place comme une marionnette et pousser à un certain moment une gueulante, a jusqu'à jeudi pour déstresser et pour trouver des solutions.

L’entraineur des Uruguayens que l’on a pu voir très concentré, les yeux fixés sur le match devra lui aussi trouver des solutions pour rendre son équipe plus offensive.


Un dégel dans les relations franco-allemande

article de lucienne magalie pons


Je ne laisserai pas se terminer une semaine qui avait mal commencé Lundi passé pour les relations de Madame la Chancelière Allemande Angela Merkel au doux prénom et notre Président Nicolas Sarkozy, en raison d’un rendez vous manqué en raison de l’agenda chargé de Madame Merkel qui l’avait contrainte d’annuler le dîner de travail avec le Président Français, qui avait été programmé à Berlin, sans noter que ces deux dirigeants, en dépit des commérages médiatiques et politique qui les présente comme le frère et la sœur ennemis de l’UE , sont au contraire en concertation permanente sur les questions qui sont dans l’actualité en Europe, à fortiori dans la zone Euro, notamment en matière de régulation des marchés financiers et de moralisation des Banques.

Il convient d’oublier ce regrettable impératif de calendrier qui nous a privé des belles photos que le dîner du Lundi soir nous aurais values, et où nous aurions pu voir sur papier glacé , tous les deux « yeux dans les yeux » une Angela au visage souriant creusé de fossettes tenue sous le charme des petites caresses que notre french love national lui aurait prodigué, pour noter que ces deux acteurs fondamentaux auto représentatifs à la fois de leurs de leur entente et de leurs divergences secondaires, viennent d’afficher leurs convergence sur la régulation financière en adressant Mercredi d’une main et signature commune, une de ces belles lettres dont ils ont le secret pour faire des proposition et inciter ou booster d’un commun accord Monsieur José Manuel Barroso , Président de la Commission Européenne, d’avoir non seulement à tenir compte de leur positions commune sur ces questions mais encore à les porter à l’ordre jour de la Commission en Juillet plutôt qu’en Octobre.

Sarkozy et Merkel affichent leurs convergences sur la régulation financière

Ce courrier adressé à José Manuel Barroso, Président de la Commission Européenne, a été rendu public à l’aube Mercredi 9 juin, Madame Merkel et Monsieur Sarkozy insistent notamment, entres autres propositions communes, pour que soient présentés en juillet plutôt qu'en octobre ses propositions sur l'interdiction en Europe de certaines ventes à découvert ou produits dérivés, accusés de favoriser la spéculation.

Si l’on en juge par ce courrier (reproduit intégralement en fin du présent article) , nous pouvons noter au passage que Madame Merkel sait entraîner à sa suite le Président Français dans les positions qu’elle défend âprement et sur lesquelles le Président Français se montrait plutôt encore en réflexion approfondie )

L'Élysée a tenu à faire le clair sur cette reprise de l’entente franco-allemande en écartant toute "connexion" entre la lettre de mercredi et le rendez-vous manqué de lundi, et en informant que cette lettre était en préparation "dans les tuyaux" depuis la semaine dernière.

Bien entendu les « aigres-doux » médiatiques de la presse aussi bien que certains politiques persistent à voir dans ce courrier la volonté de réaffirmer qu’en dépit des tensions sous-jacentes persistantes entre le couple Angela-Nicolas, la France et l’Allemagne ont intérêt à travailler ensemble.

Foin de tous bavardages médiatiques qui bien souvent n’ont pour objectif de la part de leurs auteurs de se faire mousser dans l’actualité, il est temps maintenant de prendre connaissance de ce courrier à mon sens plus important que le diner raté, tout en espérant que Monsieur Barroso y sera tout à fait sensible :

Lettre commune adressée par M. le Président de la République et Mme Angela Merkel, Chancelière de la République fédérale d'Allemagne à M. José Manuel Barroso, Président de la Commission européenne

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« Monsieur le Président,

L'Union européenne est pleinement engagée dans la mise en œuvre des décisions prises par le G20. Des mesures fortes sont déjà entrées en vigueur, notamment concernant l'enregistrement et le contrôle des agences de notation de crédit et la réglementation des activités bancaires. Nous sommes confiants que les discussions entre le Conseil, la Commission et le Parlement européen vont aboutir rapidement sur la directive sur les gestionnaires de fonds alternatifs et que la création d'un nouveau cadre européen de supervision est sur la bonne voie. Nous partageons la priorité que vous accordez à l'aboutissement de ces discussions dans votre programme d'action des prochains mois.

Les sévères turbulences sur les marchés financiers dans les derniers mois suscitent cependant de fortes préoccupations de la part des États membres de l'Union européenne et de l'ensemble de nos concitoyens. Alors que la communauté internationale s'est unanimement engagée à ne plus laisser aucun marché, aucun produit, aucun acteur ni aucun territoire en dehors de la régulation et de la supervision, le retour d'une forte volatilité des marchés rend légitime de s'interroger spécifiquement sur certaines techniques financières et l'utilisation de certains produits dérivés comme par exemple les ventes à découvert et les Credit Default Swaps (CDS).

Ces préoccupations vous ont été exprimées dans la lettre adressée le 10 mars dernier par le Président de la République française, la chancelière d'Allemagne, le Premier ministre du Luxembourg et le Premier ministre grec. Elles appellent la mise en œuvre rapide et déterminée de votre programme d'action en matière de régulation des infrastructures des marchés de produits dérivés. Les dernières évolutions de marché nous conduisent à demander à la Commission d'accélérer et d'intensifier encore ses travaux.

Compte tenu des évolutions récentes des marchés, nous estimons qu'il existe un besoin urgent que la Commission puisse accélérer ses travaux s'agissant de l'encadrement renforcé du marché des CDS souverains et des ventes à découvert, et présente avant l'ECOFIN de juillet, l'ensemble des pistes d'action envisageables.

En particulier, nous estimons qu'il est indispensable de renforcer la transparence sur les positions courtes sur actions et sur les obligations, en particulier pour les obligations souveraines.

Le travail de la Commission devrait comprendre la possibilité d'une interdiction au niveau européen des ventes à découvert à nu de toutes ou de certaines actions et obligations et de certains CDS à nu sur titres souverains, ainsi que ses conditions, en tenant en compte en particulier du rôle spécifique joué par les Spécialistes en Valeurs du Trésor.

Nous souhaitons également que la Commission européenne examine la possibilité d'harmoniser au niveau européen les délais de règlement-livraison des titres applicables aux transactions réalisées sur les marchés européens.

Nous savons pouvoir compter sur votre plein engagement sur ce dossier essentiel pour la préservation de la stabilité financière dans l'Union européenne.

Nous vous prions d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de nos sentiments les meilleurs. »

Mon commentaire final : Tous les espoirs sont permis en lisant ce morceau de bravoure franco-allemand


VIE CULTURELLE A LODEVE

Relais d'information :

"De Gauguin aux Nabis" une nouvelle exposition à Lodève

Inauguration aujourd'hui de cette très belle exposition qui provient au deux tiers du musée Maurice Denis à Saint Germain en laye et pour le reste à des collectionneurs privés. Les deux commissaires…

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11 juin 2010

La générosité sous pression de Madame Boutin ouvre une brèche qui fera couler beaucoup d'encre

article de lucienne magalie pons

Madame Christine Boutin, ex-ministre du Logement, s'était retrouvée tout à coup dans l’actualité satirique après la révélation mardi soir par le Canard Enchaîné de son salaire pour la mission sur les "conséquences sociales de la mondialisation » dont l’avait investi l'Élysée en décembre 2009.


Faut-il rappeler que Madame Christine Boutin, Présidente du Parti Chrétien-Démocrate (PCD), avait été évincée du gouvernement en juin 2009, depuis lors tout en restant alliée à l'UMP, elle montrait parfois critique pour l'exécutif, comme lors du débat sur l'identité nationale.


Du coup, la mission qui lui a été accordé a également alimenté des commentaires sur son attitude vis-à-vis de la majorité, certains mauvais esprit insinuant le doute en se demandant si cette mission rémunérée n'était pas le prix de son renoncement à se présenter à la présidentielle de 2012.


Madame Christine Boutin, qui comme bien d’autres candidats potentiels, laisse planer le doute sur la question, s'est déclarée "profondément blessée" par une telle analyse.


"Je vous le dis très clairement. Il est tout à fait possible que je me présente en 2012 à la présidentielle", a-t-elle prévenu.


Après avoir défendu mercredi l'ancienne ministre du Logement, par la voix de Luc Chatel, qui soulignait qu'"à tout travail correspond une rémunération", le gouvernement a changé subitement de cap jeudi matin.


Le ministre du Travail, Eric Woerth, auprès de qui est rattachée la mission de Mme Boutin, a annoncé dans la matinée qu'il allait demander à cette dernière de renoncer "au cumul entre sa pension de retraite et la rémunération" pour sa mission, une manière habile pour un ministre empêché d’une décision qu’il ne pouvait prendre en l’absence de textes légaux.


Finalement Jeudi , après deux jours d'une polémique qui se faisait acide dans un concert cacophonique d’économie budgétaire émanant de personnalités politiques diverses, chacun y allant de son chapitre « moralisateur » plus ou moins agressif selon sa paroisse , Mme Boutin face à la polémique et sous la pression du Gouvernement, pour couper court à tout, a annoncé sur JT de France 2 qu'elle avait "entendu les Français qui ont de petits salaires" passant ainsi négligemment l’éponge sur les aboiement des politiques ses faux confrères.

Nous ne savons pas comment les Français qui ont de petits salaires se sont fait entendre par Madame Boutin, mais quoi qu’il en soit elle a déclaré avec une délicatesse qui l’honore : "J'ai donc décidé de mener cette mission de façon gracieuse en renonçant à mes 9.500 euros", a-t-elle annoncé.


Sur le plateau de France 2, Mme Boutin a estimé aussi que l'affaire posait "une question fondamentale, qui est celle de savoir dans un État de droit où la loi est respectée, s'il faut plier sous le poids de la tourmente médiatique".


L'ancienne ministre a rappelé que le cumul de ses revenus (9.500 euros pour sa mission, 6.000 euros de retraite parlementaire, 2.000 euros d'indemnités de conseillère générale) était "légal" et a prévenu incidemment : «Je suis en train de créer une jurisprudence avec cette décision. Il y a beaucoup de gens qui sont dans cette situation et qui vont aujourd'hui ou demain être confrontés au même problème".


Un véritable coup de pied lancé « gracieusement », avec une remarquable adresse stratégique, dans la fourmilière de l’écurie politique des Chefs de missions cumulards de diverses retraites, pensions, indemnités et avantages divers qui effectivement vont peut-être devoir s’aligner avec ou sans pression sur ce bel exemple d’altruisme.


Le Gouvernement ne pouvait rester insensible à cette ruade bien appliquée



Quelques minutes après l'interview un communiqué de Matignon a indiqué que le Premier ministre "se félicitait de la décision de Christine Boutin de renoncer à toute rémunération pour la mission qu'elle effectue sur la dimension sociale de la mondialisation" , en poursuivant : "Le Premier ministre a demandé au secrétaire général du gouvernement de veiller, sans délai, à ce que les rémunérations éventuellement octroyées à des personnalités chargées d'une mission par toute administration de l'État soient cadrées selon une doctrine uniforme afin d'éviter toute ambiguïté".


Toujours d’après ce texte "Cette doctrine fixera des références, notamment sur leur niveau, les éventuels cumuls, et bien sûr prendra en compte la nature et les exigences de chaque mission".


La lecture de ce communiqué fait ressortir une position assez fluctuante qui laisse place à quelques remarques, en premier lieu il est question d’ « une doctrine uniforme afin d’éviter toute ambiguïté »…, mais en second lieu il est question d’une doctrine qui « fixera des références, notamment sur leur niveau, les éventuels cumuls, et bien sûr prendra en compte la nature et les exigences de chaque mission".


Autant dire que le cumul sera non pas interdit mais modulé au bon plaisir du Prince ordonnateur.


Deux poids et deux mesures : Ce n’est pas juste ! Gageons que les personnalités politiques avides de cumuls et d’avantages divers ne se presseront plus au portillon pour risquer de travailler à l’œil, alors qu’un slogan bien connu « travailler plus pour gagner plus » vient d’être mis en péril par la générosité « sous pression » de Madame Christine Boutin.


Magali, une jeune fille de notre temps

article de lucienne magalie pons

Permettez-moi de me faire l’écho d’un article publié sur le site « EXPRIMEO.FR »

Le Jeudi 10 Juin


Très souvent « EXPRIMEO.FR » nous présente les responsables et les modérateurs du réseau social Villepincom.


Il se trouve que j’ai rencontré « Magali » par deux fois, une première fois lors de la soirée mémorable de l’Amérique Latine au cours de laquelle Monsieur de Villepin avait rassemblé un très large auditoire et qui fut en quelque sorte le coup d’envoi d’une forte expression politique, une seconde fois lors d’une de ses visites de travail à Paris.


Magali est une jeune fille dynamique très observatrice des questions de société qui préoccupent ses concitoyens, c’est une jeune fille active qui mène de front des études de haut niveau qui seront prochainement mise sà profit dans une prochaine activité professionnelle, son activité au sein du Club Villepin et de VillepinCom est appréciée et nous ne manquons pas de lire ses publications et communiqués avec un intérêt toujours renouvelé.

Enfin avant de terminer mon éloge j’engage tous les jeunes à suivre son exemple.


Tous mes compliments Magali.


Voici l’article publié par le site « EXPRIMEO.FR » :

Source EXPRIMEO-FR


Dominique de Villepin et la "vitamine Magali"


J - 9 : à 9 jours du lancement du Mouvement de Dominique de Villepin, nous continuons la présentation de personnes qui font la force et l'originalité du réseau de l'ancien Premier Ministre. C'est le cas aujourd'hui de Magali, étudiante de 23 ans dans une belle ville du Sud de la France.

Chaque semaine, les membres du réseau social Villepincom reçoivent une lettre et sont conviés à participer à de nombreux forums thématiques.


Ces messages sont signés Magali.


Magali est âgée de 23 ans. Elle est étudiante, jamais encartée, elle n'apprécie pas vraiment le militantisme "de base" et l'esprit partisan.


Mais la forme associative et la personnalité de Dominique de Villepin l'ont ainsi attirée à adhérer au Club Villepin. Elle s'engage pour une nouvelle façon de faire de la politique, au delà des clivages partisans dans lesquels la plupart des français ne se reconnaissent plus (l'abstentionnisme l'a encore récemment démontré).


Magali est passionnée d'informatique, c'est un outil qu'elle utilise depuis son plus jeune âge.


La création du réseau VillepinCom a reçu tout son enthousiasme et sa participation active. Elle apprécie beaucoup le concept : un lieu de débat partagé, au delà des différences géographiques, culturelles, d'âges ...

VillepinCom est devenu aujourd'hui une grande famille dans laquelle les membres se reconnaissent, prennent plaisir à échanger et à prendre des nouvelles les uns des autres.


Magali est modératrice sur ce réseau social. Avec Christophe Carignano, elle travaille à rendre le site toujours plus convivial et les débats intéressants. Au programme : accueil et aide des nouveaux membres, promotion du réseau social sur le net ..

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En novembre 2009, elle a soumis l'idée d'une newsletter hedbomadaire à Christophe Carignano de façon à informer les membres de l'actualité du réseau (débats, réunions locales, intervention des personnalités politiques, actualité de DDV, sélection des meilleurs articles, etc). Celui-ci a reçu l'idée avec enthousiasme.


Magali gère aussi un groupe nommé "semaine-débat" qui propose chaque dimanche un nouveau sujet de débat. Celui-ci est choisi par les membres, parmi des sujets qu'ils ont eux même proposés, sous la forme d'un sondage ouvert chaque semaine. Au total ce sont plus de 25 débats qui ont été lancés et plus de 600 contributions précises, détaillées, argumentées postées dans ce groupe

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Enfin, Magali a travaillé ce printemps avec une petite équipe de membres actifs du réseau afin de synthétiser l'ensemble des contributions postées sur le site depuis sa création dans un "Livre blanc de VillepinCom".

Ils ont fait ainsi remonter une dizaine de synthèses sur des problématiques variées: défense, europe, finances publiques, nouvelles technologies, éducation, culture, international, collectivités territoriales, retraites, agriculture ...


Cela ne constitue qu'un "tome 1" qui sera suivi de nombreuses autres synthèses. D'autres tomes suivront.

Magali réalise un travail d'une extrême qualité qui "montre l'exemple" à bon nombre de sites tenus par des permanents de partis politiques.


A elle seule, Magali incarne la force de la fraîcheur, la vitalité de l'engagement : c'est la "vitamine Magali", celle qui pourrait faire la différence lors d'une présidentielle new look montant de la base des citoyens à l'écart des armées mexicaines de permanents d'appareils.


09 juin 2010

La crise ... sous les projecteurs de l'auteur Duboubou 1er

article de lucienne magalie pons

La crise…sans doute jusqu’à la St Perpette ?

Par Duboubou 1er - Dossiers chauds ?

Il n’y a pas si longtemps que nos dirigeants nous assuraient que l’Euro était la monnaie de référence qui finirait par supplanter le dollar en raison du colossal déficit accumulé par nos amis américains et puis, tout à coup, voilà que notre vaillante Europe se met à trembler et que l’Euro vacille ! La belle unité de façade affichée par les dirigeants de notre Europe libérale -qui a eu un peu de mal a se montrer évidente- risque fort de se craqueler ce qui au fond ne changera rien puisque de toute façon ils finiront bien par se rejoindre pour faire le malheur de leurs peuples, bernés simplement une fois de plus ! En fait nos politiques dont la suffisance est aveuglante mais à la compétence limité ne sont en fait que des assistants du «Marché ». Dominé par Wall Street qui mène la danse sans se soucier outre mesure des imprécations du paternel Président Barack Obama.

Jour après jour, il apparaît de plus en plus clairement que des banques et des fonds spéculatifs américains jouent l’éclatement de la zone euro et nos spécialistes verbeux nous racontent des histoires peu crédibles en pensant nous rassurer !

Il y a peut de temps Jean Quatremer* un authentique spécialiste en la matière écrivait: « Selon des informations fiables, émanant à la fois d’autorités de marché et de banques, une grande banque d’investissement américaine (qui a bénéficié du plan de sauvetage des banques US) et deux très importants hedge funds (dont l'un s'est illustré en jouant avec les subprimes de sinistre mémoire) seraient derrière les attaques contre la Grèce, le Portugal et l’Espagne. »

En somme une affaire presque anodine dans ce monde ou l’argent règne en maitre exigeant mais pour le béotien en économie que je suis cette explication a tout de même sérieusement éclairé ma vieille lanterne et renforcé mon scepticisme !

Alors il me semble clair que nous ne sommes pas prés à sortir de cette spirale infernale et pour moi qui suis dans la dernière phase de ma vie je considère que j’ai peu de chance de pouvoir constater une véritable amélioration des conditions de vie du peuple de France ! En ce qui concerne les privilégiés qui vivent « Aux frais de la Princesse » pas de véritable angoisse, leur douce vie continuera de s’écouler comme un long fleuve tranquille. Dans une telle société inégalitaire il semble logique que : « Les jeunes aient ce sentiment d’être les laissés-pour-compte de cette société d’abondance. Ils parlent avec colère de leur appartenance à la génération des bac + 5 à 1 000 euro. Les idées de la décroissance sont donc beaucoup plus facilement compréhensibles. Il va falloir apprendre à vivre beaucoup mieux avec beaucoup moins. »

C’est à ce moment là qu’est intervenu Christian Rozéqui m’a interpellé sur le thème des apôtres de la décroissance et il semble bien que Paul Aries l’ai convaincu que : « que nous allions dans le mur car notre mode de vie actuel est intolérable pour la planète, que notre survie est en jeu, que nos ressources sont limitées, que les pauvres finiront bien par se révolter...

Et de proposer de vivre autrement de façon à préserver notre capital terrestre.

Vivre en polluant moins, en limitant nos avoirs inutiles bien souvent, en se faisant plaisir sans accaparer les ressources d'autrui… »

Et mon interlocuteur de conclure : « Bref, un exposé passionnant, une voie tracée mais malheureusement un parterre de gens assez intellectuels alors qu'il faudrait convaincre le plus grand nombre !

Il s’agit donc d’une nouvelle voie explorée par une minorité de gauche dont le chef de file semble être Paul Ariès, politologue et écrivain qui répète à loisir une vérité incontestable : « Les crises accouchent en effet plus souvent d’Hitler et de Staline que de Gandhi. Les crises nous font oublier ce que nous savons, comme le prouve la relance du nucléaire. La crise est génératrice de misères matérielles mais aussi morales. »

Je ne terminerai pas mon papier sans citer une dernière fois ce Paul Aries très réaliste :

« Pour cela, il faudrait réussir à prendre le pouvoir… »

Et si cela se passait ainsi que ferait alors cette gauche qui se proclame de gouvernement et est particulièrement sensible au confort que lui procure le libéralisme ?

Il parait en effet difficile de mettre dans le même sac ceux qui dirigent et ceux qui n’ont d’autre choix que de subir ?

*Jean Quatremer journaliste à Libération. Biographie: http://bruxelles.blogs.liberation.fr/about.html

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...