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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Fabriquée en Suisseen toute discrétionla première crème antirides « Néocutis » à base de fœtus humains provenant d’un avortement, lancéeen toute discrétionaux Etats-Unis,est depuis quelques jours au centre d’une polémique outre atlantique mais aussi en Europe,lesassociations catholiques « pro life » américaines et européennes s’élèvent contre l’utilisation de cellules d’origine humaine.
La vente de cet crème n’est pas autorisée à la vente en Europe,mais ont on peut facilement se le procurer via le Web, moyennant 90 €
Frédric Koehn fabricant de « Néocutis » ne s’embarrasse pas de préjugés moraux,très laxiste pour défendre son « commerce », c’est le moins qu’on puisse dire,il explique« Il se trouve qu’une patiente qui avait avorté nous a fait don de quelques cellules de peau de son fœtus. Ensuite, nous avons reproduit ces cellules en laboratoire afin de faire nos crèmes. En aucun cas, nous n’encourageons l’avortement. »,a-t-il ajouté
Cette explication est bien trop courte :
Une question se pose, en faisant ce don la patiente était-elle informéequeces « quelques cellules de son fœtus »serviraient ensuite à servir de baseà une crème antirides commercialisable ? où bien supposait-ellequ’elles serviraient à la recherchescientifique à des fins thérapeutiqueproprement dites ?
C’est au sein du service de gynécologie-obstétrique et génétique du CHU de Lausanne (Suisse) que cette crème a été élaborée. « En opérant des fœtus in utero, les chercheurs se sont rendu compte qu’une fois nés, les bébés n’avaient ensuite aucune cicatrice, poursuit Frédéric Koehn. Ils se sont donc dit que les cellules de fœtus devaient avoir des vertus régénératrices qui pouvaient servir à soigner les grands brûlés. »
Des scientifiques ont donc mis au point une crème permettant d’obtenir des résultatssur des patients à l’épiderme très abîmé. Ces chercheurs ontdécidéensuite de s’associer à un laboratoire privé, Neocutis, et l’ont « autorisé »autorisent à commercialiser, uniquement aux Etats-Unis et en passant par le corps médical, la première crème antirides à base de cellules fœtales.
« Les dermatos la conseillent aux patients qui ont suivi des traitements qui leur ont desséché la peau ou à ceux qui cherchent un antirides. Nous proposons différentes concentrations pour des usages divers », souligne Frédéric Koehn.
De son côté, le généticien Axel Kahn n’est pas choqué par ce nouveau produit. « Avant qu’il ne soit interdit dans les années 1990 en France en raison de possibles transmissions de virus, l’industrie cosmétique a longtemps utilisé du placenta humain, considéré comme un déchet opératoire et récupéré dans les hôpitaux.
D’après ces apprentis sorciers immorauxles cellules de fœtus ou de placenta n’ont rien à voir avec les cellules souches embryonnaires assurent-ils en banalisant la question.
Il y pourtant une notable différence du point de vue moral etéthiqueentre les cellules prélevées sur un fœtus humain et celles qui sont prélevées sur un placenta.
Il n’est besoin d’être catholiques ou religieux pour s’élever contre cette pratique commerciale, qui du reste ne résulte pas toujours d’un don de la femme avortée.
Avec une vulgaire insolence qui confine au réquisitoire, El Kabbach sur Europe 1 , a tout fait au cours de cette interview pour démolir Madame de Menthon. Madame de Menthon ne s'est pas laissé démonter, je la préfère dans l'expression professionnelle qu'elle a développée dans ses réponses , que dans son rôle de "Grande Geule" dans l'émission genre poulailler en folie de RMC "Les grandes Geules" ou chacun des participants s'égosille avec fureur pour couvrir la voix autres participants pour fanfarroner le plus HAUT la sottise de son propos.
Un avis : de grâce Madame de Menthon quittez ce poulailler qui n'est qu'un piège de coquins dans lequel ils vous ont attirés pour vous perdre dans l'opinion publique, vous n'êtes pas à votre place chez RMC dont certaines émission et aussi les publicités sont situés au-dessous de la ceinture.
Il arrive que certaines statistiques et prévisions ne correspondent pas aux vœux des responsables politiques et du gouvernementet que les organismes officiels qui les produisent se trouvent soumis à des mesures restrictives soit par incidence de mesures légales, soit par diminution de leurs ressources de fonctionnement.
L’indépendance légale de l’Insee garanti sa neutralité et la rigueur de ses analyses, maisquandses prévisions sont alarmistes, quand sondiagnostic met en cause la pertinence des politiques économiques, cet Institut à tout à craindre pour son avenir, voire même pour sa pérennité.
Il est justement à redouter dans notre période actuelle de non-transparence concertée, quel’Inseecet organisme véritable « thermomètre social et économique » dont la précision ne peut être mise en doute, ne se voit en partie privée de son indépendance de fonctionnement et entravé dans sa mission.
Pour 2010le ministère du budget vient d'annoncer à l'Insee une réduction spectaculaire de 20% de ses crédits de fonctionnement
Si ce plan d'austérité est maintenu, l'Insee sera obligé derenoncer ànombre de ses missions,essentielles à la bonne qualité de l'information économique et donc au bon fonctionnement de la démocratie.
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C’est justement à redouter en cette période ou le Gouvernement prend la liberté de nousenfumer avec des prévisions catastrophiques des Cassandres prophétesses aux ordres du Gouvernement, dont le COR (Conseil d'orientation des retraites) par exemple,chargé d’examinertrois scénarios, prévoyant que le déficit global des différents régimes atteindra 72 à 114 milliards d'euros par an à partir de 2050.
Faire référence à lacriseactuelle et nous SERVIR3scénarios forcément hypothétiques et même fictifs couvrantune période de 40 ans, pour justifier et imposer dans l’immédiat des réformesanti -sociales (Retraites par exemple), est une façon de gouverner au radar tout à fait inacceptable et pas crédible du tout. Qui peut croire en effet que l'on peut, sans graves dégâts,s’appuyer sur un ou des scénarios fictifs couvrant des périodes de 40 ans, pour justifier des réformes à appliquer dans l’immédiat ?
L’Inseecet organisme véritable « thermomètre social et économique » dont la précision ne peut être mise en doute, peut en produisant ses statistiques au fil des années, contredire cet enfumage, tout seraitalors à remettre en cause pour les retraites ce qui n’arrangerait pas le Gouvernement qui veut nous enserrer dans une urgence « durable » concoctée à sa façon, etjustement c’est pour cela que l’Insee devient gênant pour le Pouvoiret a tout à craindre pour la pérennité de sa mission.
Souvenons nousd’un précédentfameux, àla fin de 1993, le gouvernement Balladur « indisposé » par les diagnostics précis et pertinentsdu CERC,avait porté un très mauvais coup à la recherche économique, en supprimant le Centre d'études des revenus et des coûts (CERC), qui s'était fait une spécialité d'étudier la progression en France des inégalités sociales., ce qu’un gouvernement libéral ne saurait supporter sans trépigner de rage.
Depuis 2007, la situation s'est encore dégradée, et ces derniers jours le Gouvernement de François Fillon a signé l’arrêt de mort du Conseil supérieur de l'emploi, des revenus et des coûts (CSERC), qui avait « été censé » prendre le relais du CERC à partir de 1994.
Mais c'est surtout le plus grand et le plus précieux des organismes économiques français, l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), quia le désavantagedese trouver dans le collimateur de l'Elysée etdu Gouvernementpar sa trop grande indépendance, sa neutralité et la rigueur de ses analyses.
Ce n’est pas nouveau : Sa mise à l’indexpar Nicolas Sarkozydate de 2004, en effetà l’époqueNicolas Sarkozy, Ministre des finances, agacé ou contrarié par les statistiques avait mis en causepubliquementla qualité des travaux de l’Insee.
Depuis 2007, les manœuvres de « sape » contre l’Insee ont repris insidieusement, pas d’attaque frontal certes, mais par incidence, par exemple enapplication de la Révision générale des politiques publiques (RGPP), l'Insee a vu plusieurs dizaines d'emplois disparaître, puisen2008, le chef de l'Etat a annoncé sans concertation devant des élus une délocalisation partiel de l'Institut à Metz, ce qui a été perçue par beaucoup d'économistes et de statisticiens comme une tentative de démantèlement.
Mais Eurostat, organe européen de statistique quireprésente la France dans les instances internationales où il est question de statistique et dont l’Insee est correspondant, souligne dans un rapport en janvier 2007, que « l’indépendance professionnelle est un point fort de la culture de l’Insee » et que « l’Insee est généralement considéré comme un institut statistique de grande qualité ». Eurostat recommandait que cette indépendance de fait soit « inscrite dans le droit » vis-à-vis du gouvernement.
La lettre de mission adressée par le président Sarkozy le 11 juillet 2007 à la Ministre de l'Économie, des Finances et de l'Emploi, Christine Lagarde, spécifiait : « Vous engagerez parallèlement une réflexion sur notre appareil statistique, notamment l'indice des prix et les chiffres du chômage, pour que les statistiques utilisées par le gouvernement pour définir sa politique présentent toutes les garanties et reflètent réellement la réalité vécue par les Français. », et l’on voit là une nouvelle fois poindre le souci « soupçonneux »de Nicolas Sarkozy sur l’indice des prix et les chiffres du chômage.
Depuis, suivant les recommandations de Eurostat, l'indépendance professionnelle de l’Insee dans l'élaboration des statistiques a été inscrite dans la loi statistique française, par le biais de la loi de modernisation de l'économie adoptée par le Parlement français les 22 et 23 juillet 2008. Le nouvel article définitle périmètre du service statistique public, qui comprend l'Inseemais aussi les services statistiques ministériels, et le champ des statistiques publiques, dont « la conception, la production et la diffusionsont effectuées en toute indépendance professionnelle, ce qui a la limite peut permettreaux pouvoir certains amalgames dans le sens du poil quand à leur utilisation.
Toutefois la loi a aussi créé une Autorité de la statistique publique en charge de veiller à cette indépendance. La composition de cette autorité,a été publiée au Journal officiel de la République française le 27 mai 2009,et sa compétence comprend l'Insee et les services statistiques ministériels, »
Mais la compétence de cette autorité reste limitée à veiller à l’Indépendance de l’Insee bien entendu.
Pour en revenir à 2008, l’annonce duPrésident de la Républiquefaite en septembrelocalementdevant des élus mosellans n'avait pas été perçue comme résultant d'une réflexion approfondie sur les missions et les moyens de l'Institut, mais plutôt comme un moyen de donner du corps à la promesse qu’il avait faitequelques mois plus tôt de transférer des postes de fonctionnaires dans les villes les plus touchées par la restructuration de la carte des implantations militaires
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La pertinence de la délocalisationavait étéremise en cause au-delà des agents concernés : chercheurs, acteurs sociaux, parlementaires se sont mobilisés pour faire part de leur inquiétude. Le rapport remis au premier ministre en décembre 2008 par ledirecteur général de l'Insee, dénonçait un projet « à hauts risques. » Il notait « qu'une telle opération comporte un risque élevé de perte d’expérience professionnelle et de capital humain, ainsi que des coûts de relocalisation qu’il faut mettre en regard du gain obtenu en termes d’aménagement du territoire » et que « l’opportunité d’ouvrir une nouvelle implantation territoriale en Moselle ne va pas nécessairement de soi. »
Ministre des finances, en 2004, Nicolas Sarkozy avait fait apparaître publiquement son agacement contre l'Insee et avait mis en cause injustement la qualité de ses travaux. Et depuis 2007,ses manœuvres de « sape » ont repris insidieusement, pas d’attaque frontale, certes, mais par incidence, par exemple, enapplication de la Révision générale des politiques publiques (RGPP), l'Insee a vu plusieurs dizaines d'emplois disparaître puisen 2008, le chef de l'Etat a annoncé sans concertation une délocalisation partiel de l'Institut à Metz, qui a été perçue par beaucoup d'économistes et de statisticiens comme une tentative de démembrement.
Pour 2010 le ministère du budget vient d'annoncer à l'Insee une réduction spectaculaire de 20% de ses crédits de fonctionnement
Si ce plan d'austérité est maintenu, l'Insee sera obligé derenoncer à nombre de ses missions, essentielles à la bonne qualité de l'information économique et donc au bon fonctionnement de la démocratie.
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Presque tout savoir sur l’Insee :
L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) est l'institut national de statistique français.
Il est chargé de la production, de l'analyse et de la diffusion des statistiques officielles en France.
Il est rattaché, en tant que direction générale, au ministère de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi (MINEIE). En tant qu’institut, il dispose d’une indépendance de fait vis-à-vis du Gouvernement, désormais garantie en droit par la loi depuis octobre 2007
(Rappel historique : Le Service national des statistiques a ététransformé en Insee en 1946.C'est la loi de finances du 27 avril 1946 qui crée l’Institut national de la statistique et des études économiques pour la métropole et la France d'outre-mer)
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Mission principalede l’Insee :
Mesures statistiques, Publications d'études économiques, Assurer l’accès à l'information de l'Insee, Missions européenne et internationale, Enseignement et recherche,Indépendance Neutralité et rigueur d’analyse.
L’Insee aimplantédes « intermédiaires Insee » dans les différentes régions françaises
L’Insee collabore à plusieurs titres avec le Conseil national de l'information statistique.
Fonctions principales de l'Insee
- organiser et exploiter les recensements de la population et publier les différents chiffres de population en France ;
- mener des enquêtes (périodiques ou ponctuelles) d'intérêt général auprès des entreprises ou des ménages ;
- mesurer les principaux indicateurs économiques qui concernent la France (Produit intérieur brut, chômage en France, taux d'emploi, taux de pauvreté, etc.) ;
- produire et publier de nombreux indices
Parmi les indices des prix mesurés :
- l’indice des prix à la consommation (IPC) constitue la mesure officielle de l'inflation (augmentation du niveau général des prix)
- d'autres indices sont des références obligatoires pour la conclusion ou la révision de certains contrats (par exemple, l'indice de révision des loyers (IRL) construit entre autres à partir de l'indice du coût de la construction).
L'Insee gère des répertoires :
-d'individus (numéro d'inscription au répertoire national d'identification des personnes physiques, communément appelé Numéro de Sécurité sociale)
-d'entreprises et de leurs différents établissements (identifiants SIREN et SIRET).
L'Insee gère les codes qui servent à identifier
- les zones géographiques et leurs composants, communes,cantons,arrondissements,départements,régions,pays et territoires étrangers
L’Inseegère des nomenclatures :
- par exemple la nomenclature d'activités françaises, qui sert notamment à coder l'activité principale exercée (APE) par une entreprise ou un établissement, ou la nomenclature des catégories socio-professionnelles (CSP)
L’Insee assure la collecte, l’analyse, la diffusion, la publication :
- des informations statistiques,- et publie ainsi de nombreux documents, livres ou périodiques,des microfiches (pour les recensements) et des cédéroms.
.Publications d'études économiques :
-Les services de recherche économique et de conjoncture de l'Insee publient des études économiques, dans le respect d’une stricte neutralité etobservent une rigueur d'analyse.
- En amont des données statistiques définitives, l'Insee réalise des prévisions à trois ou six mois des principaux agrégats statistiques. Tous les quatre mois, l'Insee publie une note de conjoncture.
- Accès à l’information :
Toutes les publications sont mises sur le sitede l’Insee en accès libre et gratuit par simple téléchargement. Elles sont également disponibles sous forme d'ouvrages en librairie ou sur commande.
(L’Insee propose également quelques services payants.)
Relation et Collaboration avec Eurostat :
L’Insee est le correspondant français d'Eurostat, l'organe européen de statistiques (qui ne travaille pas directement dans les pays, mais fait toujours appel aux organes nationaux), et représente la France dans les instances internationales où il est question de statistique.
Formation :
Le Groupe des écoles nationales d'économie et statistique rassemble les activités d'enseignement et de recherche de l'Insee
Avec une vulgaire insolence qui confine au réquisitoire, El Kabbach sur Europe 1 , a tout fait au cours de cette interview pour démolir Madame de Menthon. Madame de Menthon ne s'est pas laissé démonter, je la préfère dans l'expression professionnelle qu'elle a développée dans ses réponses , que dans son rôle de "Grande Geule" dans l'émission genre poulailler en folie de RMC "Les grandes Geules" ou chacun des participants s'égosille avec fureur pour couvrir la voix autres participants pour fanfarroner le plus HAUT la sottise de son propos.
Un avis : de grâce Madame de Menthon quittez ce poulailler qui n'est qu'un piège de coquins dans lequel ils vous ont attirés pour vous perdre dans l'opinion publique, vous n'êtes pas à votre place chez RMC dont certaines émission et aussi les publicités sont situés au-dessous de la ceinture.
Monsieur Patrick OBAMA et Monsieur Dmitri Medvedev sont parvenus à s’entendre sur la question du désarmement nucléaire qui était en négociation entre les Etats-Unis et la Russie depuis de longs mois, et c’est avec solennité qu’ils ont signé passé dans la « Salle Espagnole » du Château de Prague, le nouveau traité planifiant la réduction de leurs arsenaux nucléaires.
Par ce nouvel accord, qui remplace l’accord de ce type datant de 1991, les deux pays s'engagent à réduire leur arsenal à 1.550 ogives nucléaires sur sept ans, contre 2.200 aujourd'hui, soit un tiers de leur arsenal. Les deux pays disposent de sept ans après la ratification pour y parvenir. Une décision importante, le dernier accord de ce type datant de 1991.
Il s’agit d’un évènement historique le Président OBAMA qui a affirmé que cet accord allait «rendre les Etats-Unis et le monde plus sûrs», en assurant qu’il voulait que ce nouveau traité soit ratifié dès «cette année» par le Sénat américain.
De son côté Dmitri Medvedev, Le Président Russe, a considéré que ce nouveau traité de désarmement nucléaire va ouvrir une «nouvelle page» dans les relations entre la Russie et les Etats-Unis.
Messieurs Obama et Medvedev ontdonc amorcé dès jeudi passé une relance des relations entre leurs deux pays, en évoquant aussi les prochains dossiers qui restent à négocier prochainement entre les deux pays.
Reste aussi entre les deux pays la question sensible « du bouclier antimissile américain », sur laquelle par la voie de son Président les États-Unis souhaiterait «un dialogue sérieux» avec la Russie et de son côté le Président russe s'est dit confiant dans la possibilité de parvenir à un compromis sur cette question.
Le président Medvedev a satisfait à la diplomatie occidentale ambiante en assurant que de nouvelles sanctions de l'ONU contre l'Iran seraient possibles si Téhéran ne lève pas les doutes sur son programme nucléaire, en regrettant que l'Iran n'ait pas répondu aux nombreuses propositions offertes par la communauté internationale. Une position qui tranche avec l'attitude
Dès Lundi etce Mardi présent , 47 chefs d'État et de gouvernement assistent à Washington au sommet sur la sécurité nucléaire dont Barack Obama a pris l'initiative, battant le fer tant qu’il est chaud, tout de suite après la signature de l’accord de désarmement avec Dmitri Medvedev, dans l’espoir de mobiliser les énergies internationales contre le «terrorisme nucléaire».
Ce sommet devrait définir des règles sévères en matière de sécurisation des matériaux nucléaires et de lutte contre la contrebande, afin d'éviter que des «bombes sales» ne tombent entre les mains d'organisations terroristes.
Bien entendu le Sommet s’est ouvert dès hier à Washington, les messages de mes correspondants particuliers de Washington arrivent en masse dans ma messagerie, mais je dois les traduire avant d’en faire une synthèse résumée qui fera l’objet d’un prochain article demain dans le « mag ».
(à suivre)
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Mais pour la petite histoire on m’a appris que Monsieur Nicolas Sarkozy a accordé un entretien à CBS à l’occasion du sommet sur la sécurité nucléaire à Washington, il a fais part des réserves de la France sur ce sujet d’importance, mais une question incidente qui à mon avis n’aurait pas du lui être posée, est venue se glisser dans l’entretien sur les rumeurs qui ont ces derniers temps chagrinée son couple et le Président Nicolas Sarkozy les a qualifiées de « clapotis » …. Des clapotis seulement ….. Flop ! flop ! flop … ça rime avec Dop ! Dop … Dop … ce n’était pas la peine alors qu’il shampouine énergiquement son fidèle et dévoué Conseiller Pierre Charron pour si peu au point de risquer de le rendre chauve en plus de muet puisqu’il lui a aussi interdit toute paroles sur ce sujet.
Le trafic est toujours perturbé à la SNCF, comme nous le savons, pour en souffrir journellement dans nos déplacements, les cheminots face aux refus de négociation de la Direction SNCF, sont toujours en grève depuis mardi dernier à l'appel de la CGT et de Sud Rail, pour négocier, du moins ils l'espèrent , avec la Direction de la SNCF, (toujours muette) des créations d'emploi, défendre les conditions de travail et s'opposer aux restructurations dans le fret (transport de marchandises).
Ainsi, dans ce climat tendu, la grève à la SNCF se poursuit pour la 7me journée consécutive et dès Lundi la CGT, première force syndicale, avait même annoncé un «élargissement» de la mobilisation, notamment en Ile-de-France.
«Pas de négociation sans reprise du travail» insiste la Direction de la SNCF qui s’enferre dans sa position, en déclarant que sa porte restera fermée à toutes négociations tant que durera la grève.
Vis-à-vis des usagers transformés en statue dans les halls de gare, la Direction de la Sncf fait tout pour dénaturer le mouvement de grève en s’employant à l’annoncer comme « un arrêt de travail de travail d’une partie de ses agents".
Dans les halls de Gare on entend une voix suave et douce, presque glamour qui annonce aux voyageurs en attente de leurs trains à peu près ceci : « Par suite d’un arrêt de travail d’une partie de certains agents, le trafic est perturbé ….. le train n°… est annoncé à l’arrivée avec un retard de …..la Sncf vous présente ses excuses et vous remercie de votre compréhension »
Cette comphension est tout à fait présupposée.
Pour les trains au départ qui accusent des retards de mise à quai, même topo., la voix suave reprend les même arguments.
Que de douceurs, que d’angélisme, que de tentatives de séductions « glamour » dans la voie SNCF diffusée par les hauts parleurs , il faut bien essayer d’amadouer des usagers figés dans l'attente, crispés au bord de la crise de nerfs qui se contiennent malgré tout pour ne pas créer d’incidents. La Direction des gares de la Sncf ne vont pas jusqu’à leur offrir du café pour meubler l’attente, et pour cause la caféine pourrait faire exploser les « chaudières ».
Mais avec cette voix suave diffusée sur tout le territoire national dans les Gares, la Direction de la SNCF entend bercer les usagers pour les endormir dans une torpeur en reportant « sur une partie de ses agents » la responsabilité de ses défaillances de communication avec les syndicats. C’est un système de communication perverti ( généralisé du reste ) qui nous coûtent cher, très cher et « ça commence à bien faire » comme aurait du le dire l’autre que l’on n’a pas entendu encore sur cette question qui pourtant n’est pas une rumeur, mais bien une grève réelle importante qui couvre tout le territoire national.S'il en reste un à croire que les grèves ne se voient pas, il est bien celui-là. Bon passons il a d'autres soucis.
Merci Sncf, en effet nous avons compris, mais à notre façon en corrigeant votre langue de bois qui cherche à effacer l’importance de la Grève dont nous faisons les frais, par « une partie de vos agents » notre compréhension entend « grévistes »
Nous savons par les médias que la direction « irresponsable » a fermé la porte à toute négociation tant que durera la grève.
Nous savons aussi qu’elle a proposé Lundi dernier aux syndicats lundi pour le Lundi 21 Avril une « table ronde » pour discuter (discuter n’est pas négocier comprenons nous) pour discuter emploi, parcours professionnels et conditions de travail, seulement si, d’ici là les conditions de « trafic normales sont rétablies »
Par conditions de trafic normales, nous soulignons, nous les usagers que la normalité pour la Sncf c’est de faire endurer presque tous les jours en temps normal des retards aussi bien pour les grandes lignes allant de 30 minutes à 2 heures dans le meilleur des cas, plusieurs fois par semaine».
Le secrétaire général de la CGT cheminots, Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT cheminots avait insisté pour l'ouverture de discussions dès lundi, et déclaré que le 21 avril proposé par la SNCF n'était «pas sérieux».(note c’est le moins que l’on puisse dire), et il a appelé les cheminots «à la poursuite de la mobilisation et à son élargissement» jusqu'à ce que la direction ouvre des négociations.
Dans une lettre ouverte au président de la SNCF , le Syndicat Sud-Rail a lui aussi insisté sur l'ouverture immédiate de négociations, en dénonçant «une stratégie d'évitement et de contournement de la négociation».
Alors nous les usagers à l’adresse de la Direction de la Sncf on peut dire « Ça commence à bien faire » vos excuses et vos appels à notre compréhension je confirme : « Ça commence à bien faire », on a tout compris vous êtes responsable et vous n’assumez pas vos responsabilités en refusant de dialoguer avec vos syndicats, résultat vous aggravez la situation et vous prolongez dans le temps les graves désagréments des usagers, ce sont pourtant eux qui vous payent et c’est eux que vous pénalisez à travers vos syndicats que vous méprisez, vous aggravez aussi le manque à gagnez et vous direz ensuite que c'est la faute des grévistes, non ce n'est pas de leur faute, c'est votre refus de négocier qui en est responsable, donc vous et votre Ministre de Tutelle qui vous ordonne votre conduite.
Note : l’auteur de l’article n’engage qu’elle-même bien sur.
Pour la bonne règle, il faut reconnaître qu’il y a aussi une minorité d’usagers qui n’ont plus le courage de réagir, complètement amortie par la « glamour » de service. Mais cette minorité d’usagers est à l’image d’une partie de la population manipulée par les techniques officielles de communication qui diffusent quand il le faut, aussi bien dans le public que dans le privé « de la langue de bois suave » pour réveiller des instincts de bête moutonnière dans ce qu’ils ont de plus bas.
Heureusement que la majorité des usagers en a ras le bol et commence à le faire savoir.
Lorsdes élections législatives de mars 1860, les deux députés élus par Nice au parlement de Turin, Giuseppe Garibaldi et Charles Laurenti Robaudi, sesontopposés à l'annexion et la population de Nice aussi se montre réticente.
Mais Napoléon II qui veut aider l’Italie à faire son unité dans le but de contenir l’Autriche, pour éviter de créer un État unifié potentiellement dangereux juste à côté de la France, réclame en échange de son aide le duché de Savoie et le Comté de Nice, deux régions stratégiques importantes sur leplan militaire.
Le principe de l’échange est établi en 1858, lors des accords de Plombières, entre Napoléon III et Cavour, même si ce dernier a tenté par la suiteensuite de sauver Nice, mais finalementLe Traité de Turin, en mars 1860, entérine le changement de souveraineté de la ville.
Le roi Victor-Emmanuel II de Savoie, le 1er avril 1860, au nom de l’Unité Italiennedemande solennellementà la population de Nice d’accepter l’annexion .Un plébiscite est voté le 15 et le 16 avril 1860. Les adversaires de l'annexion appellent à s'abstenir,mais le oui emporte 83 % des inscrits dans l'ensemble du comté de Nice et 86 % à Nice, en partie grâce à la pression des autorités religieuses et des fonctionnaires.
Ainsil'annexion du comté de Nice à la France d’abord contestée par les populations concernées a finalement été acceptée et le territoire de Nice est officiellement cédé à la France le 14 Juin 1860
Aujourd'hui, l'annexion est remise en causeremise en cause pardes mouvements autonomistes ou indépendantistes et souhaite l’abrogation du traité de Turin.
En ce sens, tout récemmentle24 mars 2010, de Genève, Alain Roullier-Laurens, pour la LRLN et Jean de Pingon, fondateur de la Ligue Savoisienne, ont signé une déclaration communedemandant l'abrogation du Traité de Turin, etils ont adressé ce texte à tous les Ambassadeurs des puissances signataires du Traité de Paix de 1947, accrédités en Suisse, pour transmission àleurs gouvernements successifs.
Après avoir exposéleurs motifs juridiquespour étayer leur souhait del'abrogation du Traité de Turin, selon euxdu fait du non-respect par la France de l'article 44 du Traité de Paix de 1947, "ils demandent, qu'en vertu du Droit des Peuples à disposer d'eux-mêmes, une consultation électorale, soit organisée par l'O.N.U dans ces deux pays, afin que les Niçois et le Savoisiens puissent librement décider de leur destin."
Cette questionaretenu l’attention du député de la Loire (UMP) qui a déposé le 6 Avril 2010à propos de l'abrogation du traité de Turin et des conséquences internationales qui pourraient en résulter