* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Nous connaissons très peu la vraie image des politiques et peoples qui à longueur d'année s'exhibent à la Une sur papier glacé et sur les écrans de télévisions, sous cette écorce chacune, chacun, dissimule sa vrai personnalité, de même chacune de leur parole dans leurs discours, déclarations et interviews, est soigneusement pesée en fonction de leurs objectifs et du public qu'ils veulent attirer et manipuler.
Tout ce travail de" com " ne se fait pas sans les conseils d' un "gourou " qui les modèle de A à Z depuis les neurones jusqu'au bout des ongles pour leurs exercices de communication.
Faisons aujourd'hui connaissance avec la Conseillère en communication de Rachida Dati, qui par ailleurs, a dans son carnet une clientèle composée en majeure partie de" figures de prou" de l'UMP et de l'écurie des financiers du CAC 40.
La suppression de la Taxe Professionnelle privera, on le sait, les Conseils généraux et collectivités locales des ressources fiscales qui leur permettaient d'investir dans des investissements de caractères sociaux, culturels, économiques et biens d'autres pour donner aux habitants de ces Régions un niveau de vie moyen digne d'un citoyen du 21me siècle.
Le Gouvernement a promis des compensations. Faute de précisions sur la source fiscale de ces compensations promises et leur redistributions, les communes, les collectivités locales et les régions craignent que les ménages devront par le biais des impôts locaux, financer au moins 25 % de leur manque à gagner.
Enfin les élus locaux voient dans la réforme des collectivités locales une atteinte au principe de décentralisation qui avait été initié avec succès par le Général de Gaulle, décentralisation qui depuis a fait ses preuves en permettant le développement des Régions de France d'une façon harmonieuse et relativement autonome par rapport au Pouvoir Central, ce qui était conforme à une libération locale décisionnelle et politique très opérationnelle, libérée d'une allégeance politique au Pouvoir Central , méthode de décentralisation efficace qui permettaient de faire avancer et de réaliser des projets en éliminant les lourdeurs administratives centralisatrices et qui satisfaisaient pleinement les initiatives et objectifs de Développement des Régions.
Or la politique très centralisatrice et "concentrationnaire décisionnellement" pour ne pas dire dictatoriale vis à vis des Régions, menée par Nicolas Sarkozy et le Gouvernement, telle qu'elle ressort à travers la Réforme des collectivités locales qu'ils entendent imposer, ne convient pas à la majorité des élus de nos Régions qui viennent d'exprimer au moyen d'une vidéo leur inquiétude.
Pourtant lors de sa campagne pour les Présidentielle le candidat Sarkozy avait promis de ne pas toucher à la politique de décentralisation.
Encore une promesse de plus qu'il n'a pas tenue ! Peut-il encore se réclamer légitimement du Gaullisme alors que sa politique hypercentralisatrice et anti-sociale est tout à l'opposé de la Politique du Général de Gaulle ?
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Pour plus d'information voici donc cette Vidéo et la présentation qui en est faite sur le site Dailymotion
"Depuis un an, Arnaud Montebourg, président du Conseil général, tire le signal d’alarme. Que restera-t-il des aides départementales ? Est-ce la fin de la décentralisation ? La réforme des collectivités et la suppression de la taxe professionnelle ont de quoi inquiéter. Les initiatives du gouvernement privent les Départements de recettes financières et de perspectives. Elles inquiètent les élus de tous bords politiques : les Départements n’ont plus le choix de leurs politiques, ils sont menacés. Comme vingt-cinq départements, la Saône-et-Loire est directement concernée pour 2010. Trente-sept le seront l’année suivante."
Monsieur Pierre Bergé n’est pas le seul à s’interroger sur l’utilisation des fonds récoltés tous les ans par le Téléthon .
Pour d'autres raisons, l'Eglise catholique du Var, aussi amis en cause l’utilisation des fonds récoltés par le Téléthon : "Il ne semble plus possible aujourd'hui de participer au financement de ce grand show médiatique", tranche le billet, du responsable d'une commission consacrée à la bioéthique. L'auteur reproche aux organisateurs de l'émission, l'Association française contre les myopathies (AFM), de financer des recherches qui ne respectent pas "le droit à la vie de l'enfant embryonnaire".
Au sein de la communauté catholique, il n'est pas le premier. Mais ses prédécesseurs n'avaient pas réussi à porter le débat sur la place publique.
Un évêque, puis deux, bientôt rejoints par deux archevêques, viennent de demander des comptes à l'AFM sur l'utilisation des dons
L'objet de la polémique? Les travaux d'une équipe de pointe hébergée par Généthon, le laboratoire créé par l'AFM à Evry (Essonne). Dirigée par le neurobiologiste Marc Peschanski, cette unité Inserm est la première en France à mener des recherches sur les embryons
. L'an dernier, elle a bénéficié d'une subvention correspondant à 2,5% du montant total alloué par l'AFM à la recherche, 57,9 millions d'euros.
Les organisateurs donateurs de la Confédération nationale des associations familiales catholiques, souhaiteraient «pouvoir choisir les programmes de recherche qu'ils soutiennent en fonction des conséquences sur l'embryon» A cette demande, la présidente de l'AFM, Laurence Tiennot-Herment, oppose pour l'instant une fin de non-recevoir
.
Cellules réparatrices
L'institut I-Stem, financé à hauteur de 3,4 millions d'euros pour trois ans par le Téléthon, tente d'exploiter le potentiel des cellules souches. Un premier projet repose sur les embryons donnés à la recherche par les couples qui ont eu recours à la fécondation in vitro. Le but est de constituer des lignées de cellules indifférenciées capables d'évoluer en cellules du cœur ou du cerveau afin de réparer l'organe déficient chez un malade. Le second axe porte sur les embryons écartés au cours de diagnostics préimplantatoires car porteurs du gène d'une maladie grave et incurable. Ces lignées de cellules souches «malades» doivent permettre de tester des médicaments ou des thérapies innovantes pour ces pathologies;
Pour plus d'informations sur la personnalité de Monsieur Marc Peshanski (dirigeant neurobiologiste de l' unité INSERM de recherche sur les embryons) vous trouverez un article sur Wikipédia qui retrace sa formation et sa carrière.
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A titre d'information sur les cellules souches nous donnons ci-dessous une reproduction d'une information
Marc Peschanski : il faut autoriser la recherche sur l'embryon
Hier, devant la mission parlementaire sur la révision des lois de bioéthique, Marc Peschanski, directeur scientifique de l'Institut des cellules souches pour le traitement et l'étude des maladies monogéniques (I-Stem), a demandé que la loi autorise la recherche sur l'embryon.
Rappelons que, depuis 2004, la loi interdit la recherche sur l'embryon mais l'autorise à titre dérogatoire, pour cinq ans, à condition que celle-ci puisse démontrer son intérêt thérapeutique. Marc Peschanski a d'ailleurs été le premier à obtenir l'autorisation, en 2006, d'établir des lignées de cellules souches embryonnaires.
"Quand le législateur a posé la dérogation de cinq ans, c'était avec l'idée que cette période permettrait peut être de montrer que les cellules souches n'avaient pas l'utilité attendue et que l'on pourrait arrêter l'expérience. Or, aujourd'hui, personne ne songe à arrêter", estime-t-il.
Pour lui, il faut autoriser ces recherches sans limite dans le temps et sans finalité thérapeutique. Dans son argumentation, il a mis en avant le domaine des applications industrielles : "les industriels de la pharmacie doivent pouvoir tester les médicaments sur des cellules in vitro, qu'il s'agisse d'études de toxicologie ou d'efficacité [...]. Les cellules souches embryonnaires humaines représentent le Saint-Graal, car à partir d'une seule lignée, elles peuvent proliférer et elles sont pluripotentes, on peut les différencier en n'importe quel type cellulaire".
En revanche, le scientifique n'a pas plaidé pour le clonage thérapeutique estimant "qu'aujourd'hui, on a une autre solution plus facile que le clonage". Cette solution, ce sont les cellules iPS, identifiées en 2007 par le chercheur Shinya Yamanaka (cf. Synthèse de presse du 21/11/07).
Par ailleurs, André Syrota, directeur général de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), a expliqué, mardi, que la levée du moratoire sur la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines était pour les chercheurs "l'enjeu majeur" de la révision des lois de bioéthiques.
Chaque article présenté dans Gènéthique est une synthèse des articles de bioéthique parus dans la presse et dont les sources sont indiquées dans l'encadré noir. Les opinions exprimées ne sont pas toujours cautionnées par la rédaction.
La Croix (Marianne Gomez) 15/01/09 - Le Figaro.fr 14/01/09 - Romandie News 13/01/09
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En cas de contestation, un courriel suffira pour les supprimer de nos pages.
J’ai réagi ce matin même à un article publié sur le site leFigaro.fr, je l'ai fait par un commentaire à mon avis mesuré, il a été rejeté par les modérateurs du site en question qui l'ont jugé "agressif"
Un militaire âgé de moins de 20 ans a été tué à l'arme blanche, vraisemblablement par l'un de ses camarades du 501e régiment de chars de combat de Mourmelon, ce matin, alors qu'ils étaient en manœuvres dans une zone proche de Reims (Marne), a-t-on appris auprès de la gendarmerie et de source judiciaire.
L'auteur présumé des faits s'est rendu volontairement au commissariat de police de Reims et a été transféré dans les locaux de la section de recherches de la gendarmerie de la ville, en charge de l'enquête, où il a été placé en garde à vue, a-t-on précisé à la gendarmerie.
Un différend entre les deux militaires, de jeunes engagés volontaires, semble être à l'origine du drame qui s'est produit aux alentours de 6h30 sur un terrain militaire du fort de Montbré, a-t-on indiqué de mêmes sources."
Voici le commentaire que je leur avais adressé en ligne :
« Lorsque vous relatez un incident mortel vous vous devez de publier une information complète¨
Ou vous détenez l'information et vous la censurez vous même, c'est ce qui s'appelle de la rétention d'information, ou vous ne la posséder pas et dans ce dernier cas vous devez l’indiquez »
Voici leur réponse par courriel :
Votre message a été rejeté
Lundi 23 Novembre 2009 8h11mn 12s
De:
"L'équipe du Figaro.fr"
À:
desavignac2000@yahoo.fr
Bonjour magali002001,
et merci pour votre participation sur lefigaro.fr.
(Lire la charte de modération Votre message et/ou contenu a été modéré. Les propos résolument agressifs dirigés à l’encontre d’une marque, d’un produit, d’un organisme, ou d’une personne ne sont pas admis sur cet espace. L’agressivité est proscrite de la ligne éditoriale lefigaro.fr.
Lorsque vous relatez un incident mortel vous vous devez de publier une information complète¨
Ou vous détenez l'information et vous la censurez vous même, c'est ce qui s'appelle de la rétention d'information, ou vous ne la posséder pas et dans ce dernier cas vous devez l’indiquez
Dans leur article l’âge de lavictime était indiqué (20 ans), l’âge de l’auteur présumé des faits n’était pas indiqué, les identités de l’auteur présumé des faits et de la victime n’était pas indiqués.
Si l’agresseur était mineur, j’estime que le site lefigarto.fr aurait dû faire état de sa minorité. Ne pas donner l’information laisse la porte ouverte à toutes les suspicions.
D’autres part sur d’autres sites j’ai pu lire que l’auteur présumé des faits s’était acharné jusqu’à donner 12 coupsavec son arme blanche.
Je laisse les internautes libres de leurappréciation
Pour ma part je leur ai retourné leurcourriel avec la mention « Je vous emmerde »
Si le sujet vous intéresse vous pouvez le lire sur le site même" lefigaro.fr" et prendre aussi connaissance des autres commentaires dont certains aussi se pose la question.
Michel Vauzelle, président PS de la Région « Paca » a toujours prétendu que "personne ne comprend ce que Paca veut dire, a fortiori à l'étranger où cet acronyme est un désavantage économique."
Depuis longtemps il propose d’en changer et une consultation estivale a permis à plus de dix mille Provençaux internautes en majorité, de donner leur avis, certaine propositions insolites telles que "Moustache gourmette" ou "Ensoleillade" qui tiennent de la satire et d’un humour douteux n’ont pas manqué minoritairement de se manifester, passons allègrement dessus ces galéjades pour retenir que c’est la dénomination « Provence » qui vient en tête avec 28 % des voix.
Oui mais ceci ne fait pas l’affaires des Alpes qui tiennent à rester dans le sigle et en deuxième position nous avons « Provence-Alpes-Côte d’Azur » avec 15 % des voix.
Oui mais voilà les puristes régionaux se dressent sur leurs ergots et disent que Côte d’Azur n’est qu’une désignation touristique et ne correspond pas à une identification territoriale, alors qu'au contraire les commerçants et les professions du tourisme souhaitent voir maintenir cette désignation : « Côte d’Azur » dans le sigle final.
D’autres proposants pour faire court ont envisagé :« Provence méditerranée » à 8 % des voix, en gommant allègrement Alpes et Côte d’Azur !
Personne n’a, semble-t-il proposé « PROCALP », évidemment ça sonne un peu trop commercial, mais enfin puisque les objectifs de Monsieur Vauzelle sont prioritairement économiques pourquoi n’y avoir pas pensé ?
Comme on le voit les divergences de vues et de propositions risquent de poser problèmes et Monsieur Vauzelle peut s’attendre à de belles querelles de clochers.
Réuni pour la première fois, tout récemment, le comité d'experts chargé de proposer un nouveau nom à la région Paca présentait un aspect néo folklorique assez inattendu :
L'un des intéressés, peut-être lecteur de Mistral , a proposé que l'on travaille en provençal. Un autre s'est étonné , on se demande pourquoi, de la "survivance de sentiments identitaires 220 ans après la disparition des provinces." Un troisième a convenu que tout cela risquait "d'être extrêmement complexe ….
Trêve de rappels historiques et de complexité il faudra bien trancher :
"L'ancien nom est très beau et le garder coûterait moins cher", a fait savoir Andrée Reversat (Verts), l'une des élues participant au comité de vingt sages qui planchent sur la question.
Monsieur Henri Couillot (UMP) estime quant à lui que"C'est une bonne idée de consulter et d'aller vers plus de simplicité"
Note : autrement dit en verlan il faut faire compliqué pour faire simple
En principe seront retenues trois ou quatre propositions d'ici à la fin de l'année et après les élections régionales, un référendum devrait être engagé afin de trancher la question, à moins qu’un changement politique n’intervienne à la tête de la Région à ce moment là, auquel cas la recherche d’un nouveau nom pourrait peut-être être enterrée.
Le mot de cette étape transitoire revient au Professeur Jean Claude Bouvier, Président du Comité « plancheur » : «Même si cela peut paraître mineur il y va de l'identité de cette région".
Bon il aurait pu ajouter « il y va de l’identité régionale de cette Région »pour ne pas créer de confusion à un moment ou le Pouvoir se gargarise à tout propos de l’Identité Nationale de la France et de ses habitants.
Chaque politique veut modeler « sa » région à sa façon selon ses préférences et les intérêts qu’il défend, on aura tout vu et tout entendu et au fond Madame Reversat a raison … «".Garder l’ancien nom coûterait moins cher "
Alors chers contribuables de Provence, des Alpes, de la Côte d’azur, serez vous d’avis de changer PACA ou bien serez vous partisans de YAPACA rien changer ?
A titre préventif Christine Lagarde arbitre et met en garde : touche pas à mon pote !
Dans un entretien relatémercredi dans Les Echos, Henri Proglio, qui sera nommé le 25 Novembre à la tête d’EDF,s’était exprimé surle modèle intégré d'Areva CEPFi.PA et a souhaité l'ouverture du capital de la filiale de réacteurs du groupe nucléaire, l'ex-Framatome devenu Areva NP
En réponseaux propos d'Henri Proglio sur larefonte de la filière nucléaire française, Madame Christine Lagarde, ministre de l'Economie et des finances , ajugé bon de remettre les pendules à l’heure et afait savoirvendredipassé sur RTL qu’il faut que "chacun s'occupe de ses dossiers"
C’est ainsi queMadame Lagardeavec une certaine diplomatie dans l’expressionet une grande détermination dans le regard, est montée tout de suite au créneau :
"Je comprends très bien et j'approuve sa détermination à vouloir renforcer la position de la France dans le domaine nucléaire parce qu'on y est puissant, reconnu et qu'on a largement une longueur d'avance", a-t-elle opiné surRTL.
"En revanche, il y a un groupe qui s'appelle Areva dont on est en train de financer un plan de développement très important, et je crois qu'il faut que chacun s'occupe de ses dossiers", a-t-elle précisé
Une façon comme une autre de dire par personne interposé« Fais ton boulot Proglio mais ne touche pas à mon pote ». A bon entendeur salut !
Monsieur de Villepin répond aux questions des internautes , comme toujours, des réponses précises, une largeur de vues qui tient compte de ce qui existe, et des moyens à mettre en œuvre pour parfaire les actions économiques et sociales, les actions de sécurité, avec pour régulateurs communs le pacte républicain, le pacte social et bien entendu dans l'observance de la solidarité nationale.