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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Le laboratoire français qui produit le vaccin h1n1 s’appelle Sanofi-Aventis
On trouve dans son conseil d’administration des noms qui posent quelques questions.
Ce laboratoire a produit 28 millions de doses, contre 16 millions pour le laboratoire suisse
Novartis, et 50 millions de doses pour le laboratoire britannique GSK.
Sanofi va fournir 40 % du marché mondial.
Ce qui représente un marché énorme.
Pour la France, le ministère de la Santé va payer 879 millions d’euros, pour 94 millions de doses.
Difficile d’estimer le montant global à l’échelle mondiale, mais par une simple règle de trois on peut estimer le marché mondial à 87,9 milliards d’euros, si chaque pays suivait l’exemple français.
Au conseil d’administration de Sanofi, il y a 16 membres.
Il y a par exemple Jean René Fourtou, lequel est aussi président du conseil de surveillance de Vivendi Universal.
Son épouse, Janelly, est députée européenne, et a quitté le modem pour se rapprocher de la majorité présidentielle. (on a évoqué des conflits d’intérêts au sujet de brevets)
Nous trouvons aussi Claudie Haigneré, proche de la majorité présidentielle et qui a été ministre de Jean Pierre Raffarin entre 2002 et 2005.
Il y a aussi Thierry Desmarets, président du groupe Total, et membre du conseil de surveillance d’AREVA, administrateur d’Air Liquide, et de Renault, ainsi que Patrick de la Chevardière, ex-directeur financier du groupe Total.
Robert Castaigne, membre lui aussi du conseil d’administration avait précédé Patrick de la Chevardière au poste de directeur de Total.
Il est aux côtés de Lindsay Owen Jones, président de L'Oréal, et de Christian Mulliez, vice-président du même groupe.
Ainsi que Jean Marc Bruel, membre aussi du conseil d’administration de l’institut Curie, composé de membres de l’institut Pasteur, et de représentants de l’état.
On voit donc les liens étroits qui existent entre l’état et ces entreprises.
Au-delà de la vaccination h1n1, c’est en quelque sorte la santé qui est en France et ailleurs une affaire de gros sous.
Par exemple, on sait que François Sarkozy, frère cadet de Nicolas, travaille depuis 2001 dans le secteur pharmaceutique.
Il est entré en 2005 au conseil de surveillance de Bio Toutiance Pharma, dont il est vice-président.
Ce François, soupçonné d’être le père de la fille de Rachida Dati, s’est illustré il y a quelque temps en faisant retirer un article qui avait paru dans « Voici ».
L’article, intitulé « une surprenante visite » montrait François Sarkozy sortant de la clinique parisienne où se trouvait Rachida Dati laquelle venait d’accoucher.
Revenons au groupe dont François Sarkozy est vice-président.
Crée en 1997, ce groupe a concentré son activité sur les marchés thérapeutiques en forte évolution : cancers, maladies virales graves, VIH, maladies infectieuses opportunistes.
Il est probable que l’annonce qu’a fait récemment Nicolas Sarkozy concernant le plan cancer aura des retombées positives sur les laboratoires de recherche et sur l’entreprise dont son frère cadet est le vice-président.
En effet, le 2 novembre Sarkozy a dévoilé son plan Cancer, pour lequel il a alloué une somme de 750 millions d’euros.
La question peut se poser : ne vaudrait-il pas mieux travailler en amont, pour empêcher la propagation du cancer et autres leucémies ? D’autant qu’on en connait (en partie) l’origine : pollution nucléaire amiante pesticide, ondes électromagnétiques
Le professeur Rath affirme que les moyens existent pour soigner efficacement le cancer, mais il s’est fait beaucoup d’ennemis en dénonçant : « le cartel des entreprises pharmaceutiques qui s’enrichissent honteusement en mettant sur le marché des médicaments qui tuent ou qui rendent malade, ou mettant sur le marché des produits inutiles ».
En France, la résistance s’organise.
Celui qui n’a pas encore lu le brulot de Patrick de Funès « médecin malgré moi » (au cherche-midi 2008) devrait réparer cet oubli.
Le fils de Louis dénonce des pratiques médicales, qui font dresser les cheveux sur la tête.
On peut aussi découvrir les critiques radicales émises par Christian Lehmann, médecin généraliste, dans son livre « les fossoyeurs » sous-titré : « notre santé les intéresse », éditions PRIVE.
Car comme disait un vieil ami africain : « La pluie mouille les taches du léopard, mais elle ne peut pas les effacer ».
L’ordre national de la Légion d’honneur est la plus haute décoration honorifique française. Elle a été instituée le 19 mai 1802 par Napoléon Bonaparte. Elle récompense depuis ses origines les mérites éminents militaires ou civils rendus à la Nation.
Il faut vraiment se trouver dans la confusion des genres pour se livrer, comme l’a fait le Président de la République lors de la remise des insignes de Chevalier de la légion d’honneur à Dany Boon, à des plaisanteries de « salon » d’un genre douteux, qui allait de du comique à la réflexionindécente sur des thèmes qui lui sont chers et qui en fait n’intéressent que ses propres interrogations permanentes sur l’identité de ses concitoyens, leurs racines, leurs religions, leur réussites, un peu comme le font les commères incultes quand elles se livrent à des cancans.
Ce jour là en remettant la légion d'honneur à Dany Boon, le Président de la Républiquen’a pu s’empêcher de lire sur son pupitre un discours agrémenté de ses vues et réflexions personnelles sur l’amour fusion , les femmes,le couple, les honneurs, les succès, la religion, l’immigration, la réussite, la popularité,la pensée dominante, les artistes, les faux intellectuels, la France etc… qui embrouillent son esprit, le tout formulé dans un salmigondis d'interrogations et d'affirmations existentialistes, dont il ne peut s’empêcher de discourir par transgressions en toutes occasions en dénaturant des cérémonies officielles, pour émettre des opinions qui sont les siennes et qui n’intéressent pas la majorité des Français.
Le ridicule ne tue pas et si nous étions révolutionnaires on ne pourraitque le regretter
Chacun en a eu pour son compte dans un discours de 11 minutes, distillé en formules flash débité avec des accent fiérots dans but était d’ironiser au passage sur ce et ceux qui déplaisent à Nicolas Sarkozy "soi même dans la société française, et de mettre en exergue ses choix et préférences en émettant des platitudes présentées comme des évidences ou des compliments sans appel.
Se permettre de remonteren riant et se marrant à l’origine de Dany Boon,en exposant : «
« Vous êtes fils d'un Kabyle, marié à une catholique picarde, d'un boxeur devenu chauffeur routier à Armentières. Bon, ça commençait pas terrible, il faut bien reconnaître les choses. Heureusement, la République vous a ouvert les portes. Enfin, disons que question rêve, on part de loin.
Vous avez déjà choisi la fiction contre la réalité en préférant le nom de Dany Boon au très joli nom, le vrai, Daniel Hamidou. Bon, ça s'aggravait de plus en plus. Je peux me permettre, moi c'est Sarkozy. Mais Hamidou, quand même, allez faire une carrière avec ça. »
Ces propos sont très significatif et révélateurde la vue fixe et bornéedel’orateur inspiré qui ne peut imaginer qu'une union mixte entre un Kabyle et une catholique Picarde et la profession de chauffeur routier ne peuvent être autrement que « pas terrible » ! Quant cet ignorant ajoute "Heureusement la République vous a ouvert ses portes", c'est encore d'une outrecuidance indigne de ses fonctions de Président que d'imaginer que Dany Boo aurait souffert de discrimination.
Remettons les pendules à l'heure, un Kabyle peut être soit Français, soit Algérien, soit musulman, soit catholique, le mot "Kabyle" pour désigner Monsieur Hamidou père montre bien que le Président veut bien appuyer sur la différence pour marginaliser cette famille française en la distinguant des autres familles , ce qui est très incorrect.de la part du Président. Quand à l'expression " Bon ça commençait pas terrible ! "cette forme dévalorisation par rapport à la classe sociale, elle est encore pire qu'incorrecte, elle est blessante, et enfin lorsque le Président s'exclame "Heureusement que la République vous a ouvert ses portes", là c'est vraiment historiquement merdique, en effet la famille Hamidou n'a pas attendu que la République lui ouvre ses porte, les ancêtres de la maman Picarde sans avoir à remonter jusqu'aux invasions Vikings ont vécu sous l'Ancien Régime et ensuite sous la République depuis son instauration jusqu'à nos jours, quand à Monsieur Ahmed Hamidou, du village de Benyani, près de Tizi Ouzou, ( en Algérie Française à l'époque) il était venu en France pour être boxeur est ancêtres ont fait connaissance avec la Nation Française depuis Charles X sous la restauration et ensuite avec la République Française depuis son instauration jusqu'à nos jours.Monsieur Ahmed Hamidou et Madame Danièle Hamidou sa femme sont Françaiss, font partie, appartiennent à la Républicque Française, sans avoir à les distinguer civilement ou socialement de leurs compatriotes cItoyens.
Nous aviserions nous de rappeler en public que à Monsieur Sarkozy que son père était Hongrois avant d'être Français ?
Je me demande comment Monsieur Dany Hamidou, Dany Boon pour le spectacle, a pu entendre sans riposter à de telles inepties, à moins qu'il ne tienne lui-même à se faire passer pour un artiste discriminé qui par sa valeur personnelle a su atteindre "la réussite", méthode très à la mode, qui peut lui servir à monter au pinacle ses succès pour les rendre "intouchables" à la critique, ce qui est une tactique de communication assez critiquable, je dirais même minable, je dirais même intellectuellement et politiquement misérable.
Tout le monde sait en effet que les œuvres des artistes prétendument discriminés deviennent intouchables et que la moindre critique peut être interprété comme un propos raciste voire injurieux susceptible de poursuites judiciaires. C'est ainsi que beaucoup de personnalités "intouchables" en vue, artistes et autres tiennent le crachoir
à longueur d'année en nous bassinant de leur propres points de vue communautaires et partisans de leur cause , devant la population française réduite au silence sous peine de passer pour raciste ou xénophobe.
Je ne vous infligerai dans cet articlelalecture de toutes ses appréciations partisanes ou de ses ironiesqui frisaient le genrepseudo-comique, simplement vous apprécierez de vous-mêmes la prestation de Nicolas Sarkozy en visualisant la vidéo ci-dessus,et en lisant les quelques phrases que j’ai relevées sur la toile en différents articles , sur différents sites :
. Evoquant Sangatte, le président lâche « il y a eu beaucoup de violences à Sangatte. Beaucoup de violences. J’y suis moi-même allé cinq fois ».
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S’adressant à Dany Boon :: « vous avez su faire la synthèse entre le bonjour des simples et le commerce des rusés. C’est pas d’moi, c’est d’René Char »
« Votre vocation prend forme lors d’une visite d’école sur une scène théâtre. Vous avez écritune lettre au propriétaire pour le persuader de vous engager comme balayeur, vous aviez une juste appréciation de vos qualités spontanées. Vous aviez compris qu’il fallait travailler, que ça n’allait pas de soi »
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« Vous avez même été aux Oscars, aux Golden globe. Et votre deuxième film Bienvenue chez les chti’s, c’est pas un succès, c’est un truc…euh inouï. Voilà, quoi. C’est une aventure extraordinaire, vous dépassez La grande vadrouille. Vous faîtes 20 millions d’entrées. Ce succès prouve la vitalité du cinéma français et sa capacité à s’exporter dans le monde entier, puisque Will Smith a acheté les droits de votre film et vous a demandé de le conseiller pour l’adapter ».
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PuisNicolas Sarkozys’étend sur le parcours professionnel de Dany Boon en soulignat à son adresse : « sans jamais vous départir d’une âme d’enfant, généreux, enthousiaste », pour enchaîner ensuitesur un élogede l’amour fusion, de l’engagement total, en se livrant à uneenvolée« désopilante »sur Yaël( seconde épouse de Dany Boon depuis 7 ans ) en insistant ; « « C’est pour elle que vous vous êtes converti au judaïsme » …….. « Franchement, je trouve ça passionnant, la puissance de l’amour et de l’engagement total. Tomber amoureux de quelqu’un. Se convertir. Comprendre sa culture. Intégrer son chemin. Pas se comporter comme une représentation classique : l’homme plein de succès qui conduit et la femme derrière, qui suit. Moi, je trouve que c’est assez bouleversant. Faudra qu’on en parle, c’est un truc qui m’intéresse ».
Enfin une dernière piqueméprisante destinée au monde de la culture distillée sur un ton qui s’apparente à celui de l’enfant gâté : « Et pis moi, je suis pas obligé de décorer que des gens que je connais pas, que des gens que j’apprécie pas, que des gens qui ont dit du mal de moi. Je vais faire un truc étrange, je vais décorer quelqu’un avec qui on s’est toujours bien entendu ».
Pour terminer avec le message à la pommade Sarkozienne : « Vous formez une véritable maison du bonheur et puis vous savez gérer la réussite. Quand vous avez eu des revers, vous avez conservé votre ligne, vous avez travaillé encore plus. Quand vous avez connu des succès, ça vous a pas fait changer d’un centimètre. Et au fond j’aimerais que vous puissiez contribuer à réconcilier les Français et la réussite. La réussite, c’est pas forcément mal dans notre pays ».
Ndlr : cette dernière phrase est très révélatrice des « valeurs sarkoziennes », une sorte de catéchisme ultralibéralqui heurte les valeurs culturelles classiques Françaises. Inutile d’un long commentaire, il suuffit de lire les mots ci-dessus soulignés.
Que ne faut-il pas endureren « Sarkozie » pour se voir accrocher sur le revers du veston cette distinction honorifique qui en cette circonstance parait détournée de sa symbolique nationale pour se trouver ramenée au niveau d’une parodie dérisoire qui ridiculise et rabaisse le récipiendaire autant que le celui qui le décore. Monsieur Dany Boon, avec une attitude complice a tout enduré, il peut maintenant se dire Chevalier de la Légion d’honneur
Bis répetita : Clint Eastwood entre en scène à son tour
Le Président de la République Nicolas Sarkozy a remis Vendredi dernier les insignes de commandeur dans l’ordre de la Légion d’honneur au cinéaste américain Clint Eastwood.
Tout le monde people sait que ces deux personnalités s’admirent mutuellement et ils n’ont pas manqué à cette occasion de s’adresser de multiples congratulations et compliments, tout en faisant passer leur message politique personnel
Très enthousiaste Nicolas Sarkozy dont on peut se demander s’il n’a pas refoulé dans sa libido le désir d’ une carrière d’acteur de cinéma, a célébréla carrière du réalisateur. "Quand on regarde un de vos films, on est enrichi par les sentiments qui y sont développés et en même temps on a tout compris. Pour nous, vous êtes un mythe, vous êtes un géant. Cela témoigne de l'admiration que nous avons pour la culture américaine, pour l'épopée américaine".
Là encore, Monsieur Nicolas Sarkozy transpose ses sentiments personnels : « l’admiration que « nous » avons pour la culture américaine, pour l’épopée « américain » a-t-il souligné,à moins que subitement il ait utilisé dans son élan le « nous » monarchique.
Clint Eastwood n’est pas demeuré enreste de compliments a lui aussi lancé de nombreux "J'ai beaucoup d'admiration pour vous, comme mon président – sic -(tiens dont ça c’est nouveau !) ...…….. » Si vous deviez vous présenter contre M. Obama, ce serait difficile de me décider, je serais déchiré", a conclu le cinéaste.
Là encore heureusement que le ridicule ne tue pas !
Madame Carle Bruniet le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand étaient également présents à cette cérémonie.
Il serait grand temps que lesdécorés de l’Ordre de la Légion d’honneur se regroupent pour demander au Président de la République de restituer à cette cérémonie de remise des insignes de la Légion d'Honneur la haute dignité symbolique nationale qu’elle contient et qu’elle confère au récipiendaire.
Rigoler entre soi en petit ou en grand comité privé dans un salon de l’Elysée avec des amis personnels est une chose, décorer publiquementune personnalité des insignes de la Légion d’honneur au nom de la Franceen est une autre, c’est une cérémonie officielle il ne faut pas confondre les genres.
De quoi se faire retourner l'Empereur Napoléon 1er dans sa tombe !
Il y a les "pour inconditionnels " qui nous conditionnent , notamment le Pouvoir et notre Ministre de la santé qui ont mobilisés tous les moyens de communications pour lancer depuis plusieurs mois cette campagne vaccinale contre le H1N1, et s'emploient actuellement à nous inciter par tous moyens à accepter le vaccin, il y a "ceux qui s'interrogent" avant de franchir le pas et qui recherchent à s'informer exactement de A jusqu'à Z avant de prendre une décision, il y a enfin "ceux qui sont contre" et tentent de présenter leur arguments pour attirer l'attention du public sur les raisons qui les incitent à dénoncer les risques que ce vaccin présente, d'après eux, pour la santé.
Comme les "contre" n'ont aucune chance d'obtenir un débat contradictoire objectif , de la part des pouvoirs publics et des "pour" de l'industrie pharmaceutique, il arrive que par des sources internet circulent des informations qui méritent d'être prise en considération pour nous aider à nous forger une opinion.
Faisant place à notre souci d'information, nous estimons utile de reproduire ci-dessous un courriel « anonyme » et le rapport qui y était joint que nous venons de recevoir dans notre messagerie. Bien entendu il ne s'agit pas de tenter d'influencer nos lecteurs, mais il est certain qu'il vaut mieux entendre plusieurs sons de cloches pour se forger individuellement une opinion .
Si vous le souhaitez, nous vous invitons à prendre connaissance de ces « infos sur la campagne vaccinale » que nous venons, comme dit plus haut, de recevoir ce jour,.
Courriel reçu dans notre messagerie le Jeudi 12 Novembre :
"Bonjour à toutes et tous,
"Voici le lien vers l'excellent site Web du Dr Marc Girard, dans lequel vous trouverez de nombreuses infos sur la "campagne vaccinale de la honte (campagne dont de plus en plus de gens réalisent qu'elle sert des intérêts "eugénistes avoués par un Rockefeller et par d'autres il y a des années avec un cynisme stupéfiant et plus "discrètement par de nombreux "responsables" (?) politiques et des milieux écologistes, ce qui explique leur "silence assourdissant
"Sur ce site et en PJ, les personnels médicaux ou paramédicaux (infirmières, élèves infirmières etc) trouveront par "exemple un document PDF (ci-dessous reproduit) pour les aider à refuser la réquisition scandaleuse que les "pouvoirs "publics" au service des labos pharmaceutiques et de sombres desseins essaient de leur imposer ...
"Soyons pacifiquement mais fermement citoyens et la vie l'emportera ...
"Personnellement, je me dois de faire circuler ces infos, dont chacun fera ce qu'il souhaite en toute liberté, par "respect pour la Vie, dont celle de mes enfants et petits enfants, celle des jeunes que je croise chaque jour aussi ...
"Bien à vous
Reproduction du document joint à ce courriel : Le document original est en Pdf, nous l’avons traduit en HTML avec un logiciel adapté, quelques petites différences de présentation peuvent exister dans cette traduction, mais le texte est fidèle à l’original à 100 %
« Vaccination antigrippale : le scandale d’une réquisition
« Dr Marc GIRARD
« Conseil en pharmacovigilance et pharmaco épidémiologie
« Expert européen (AEXEA)
« 76, route de Paris, 78760 Jouars-Pontchartrain (agosgirard@free.fr)
« Avant toute chose, il convient de remarquer que par rapport à la menace d’une réquisition, « la résistance a d’autant plus de chances d’être efficace qu’elle sera collective. Sanction de « son improvisation : le gouvernement n’a cessé de reculer (on vient encore de le voir avec « l’abandon d’un projet de vaccination obligatoire dans la gendarmerie), et il ne prendra pas le « risque d’affronter publiquement une opposition organisée et, surtout, motivée.
« Le second point, c’est qu’en aucun cas, semblable réquisition ne peut s’accompagner d’une « vaccination obligatoire : actuellement en France, il n’y a aucune obligation vaccinale contre « la grippe "porcine". Il s’agit donc de refuser tout net les pressions en ce sens.
« D’un point de vue pratique, toute réquisition doit être confirmée par écrit (CSMF). Ce pré « requis ouvre déjà un vaste champ de réaction car, compte tenu de la désorganisation actuelle « de la Poste : une lettre peut toujours n’être pas arrivée à destination (récemment, un de mes « correspondants, habitant à 500 km de chez moi, a vu un de mes courriers lui parvenir - après « un délai certain - après passage par le Laos...) ; · un professionnel de santé surchargé peut « toujours renoncer à faire une heure de queue au bureau de poste du coin pour aller retirer un « recommandé.
« Ainsi, s’autoriser du désordre actuel de la Poste pour ne pas se soumettre à un ordre de « réquisition sera doublement moral, car il s’agira :
« 1. de résister au comportement honteux d’un gouvernement s’appliquant à soumettre le peuple français aux desiderata des lobbies pharmaceutiques ;
« 2. de renvoyer le gouvernement à ses contradictions : à l’échelle d’un pays, c’est difficile de prétendre organiser quoi que ce soit dans l’urgence quand on s’est appliqué à en désorganiser les services postaux...
« La maladie, d’autre part, réalise une condition de force majeure permettant de ne pas se soumettre à la réquisition :
« . par les temps qui courent, nul ne peut contester à quiconque le droit à une bonne gastro-« entérite virale ou à une intoxication alimentaire :
" · il suffira d’appliquer les critères hautement discriminatifs qui ont permis aux « autorités sanitaires "d’accréditer l’existence d’une pandémie (fièvre à 38°C, un peu de « toux) pour s’auto diagnostiquer "une grippe porcine et justifier les mesures d’isolement « qui en découlent (Madame Bachelot ne "pouvant, alors, que se féliciter de voir les « contrevenants contribuer à crédibiliser le mythe d’une "
"pandémie en constante « croissance - auquel est s’est tellement consacrée...) ;
« · les professionnels retraités pourront également invoquer la fatigue liée à l’âge, les rhumatismes, etc.
« L’incompétence technique est également un motif suffisant pour ne pas déférer à une « réquisition. Ainsi, il peut être pertinent, en certaines circonstances, d’invoquer un manque « de pratique en matière d’injections vaccinales ; ce, d’autant la reconstitution d’unités « individuelles à partir de flacons multi-doses impose quand même un minimum de savoir-« faire pour garantir l’asepsie des injections.
« · En se référant au communiqué du Ministère de la santé, les sujets réquisitionnés pourront « arguer avec raison que ne satisfaisant pas les conditions d’un « acte médical à part entière » « (incluant, notamment, une évaluation personnalisée de chaque personne), la vaccination « improvisée à laquelle on prétend les forcer ne relève pas de leur pratique habituelle : on « n’est pas réquisitionné pour faire de la sous-médecine.
« · De plus et compte tenu des contradictions patentes1 – voire des mensonges caractérisés – « des autorités de santé sur la conformité des vaccins antigrippe A et les risques de la « pandémie, les professionnels de santé pourront également arguer qu’il ne leur est « actuellement pas possible de satisfaire à leur obligation préalable d’information loyale et « personnalisée à l’égard des personnes à vacciner.
« Cette nécessaire information est encore compromise par le fait que, dans les conditions « organisées par le Ministère, il ne sera pas possible aux gens de consulter ou de conserver la « notice du produit auquel on prétend les exposer : si les autorités ont fait confectionner des « flacons multi-doses, rien ne les empêchait de les assortir du nombre correspondant de « notices destinées aux patients.
« · Argument proche : l’Agence européenne du médicament (EMEA) ayant « formellement admis que les données d’efficacité et de tolérance pour ces vaccins « n’étaient pas complètes, tout praticien pourra soutenir avec raison que l’évaluation « individualisée du rapport bénéfice/risque de ce vaccin relève d’une compétence « pharmaco-épidémiologique très spécifique et qui n’est pas la sienne :
« 1) Par exemple, lorsque les responsables affirment, au gré des circonstances, que le nouveau « virus est tantôt « comme les autres », tantôt dangereusement « nouveau ». Ou encore « lorsqu’ils s’emmêlent les pinceaux sur le nombre d’injections à administrer. Ou enfin « lorsqu’ils présentent des chiffres sortis d’on ne sait où après avoir officiellement assumé de « ne plus dénombrer les cas (Les perles).
« 2) Lorsqu’on apprend rétrospectivement qu’au plus fort de l’alarmisme ayant conduit à « justifier qu’on n’allait plus compter les cas (juin 2009), pas plus de 5% des personnes « réputées avoir une grippe porcine n’en étaient effectivement atteintes. Ou encore, lorsque le « Ministre et son directeur de la DGS (c.-à-d. les deux principaux responsables sanitaires « français) affirment sans rougir que les vaccins antigrippaux ont été développés et autorisés « dans des conditions absolument standard, quand l’agence européenne affirme textuellement « le contraire (« circonstances exceptionnelles ») (Les perles).
« D’un point de vue plus juridique, en vertu d’une jurisprudence constante du Conseil d’Etat « (CSMF), trois circonstances doivent être réunies pour que le recours à la réquisition soit « jugé légal :
« 1. l’existence d’un risque grave pour la santé publique ;
« 2. l’existence d’une situation d’urgence ;
« 3. l’impossibilité pour l’administration de faire face à ce risque en utilisant d’autres moyens.
« Or :
« · on dispose désormais des données de l’hémisphère sud qui, en fin de saison grippale, « confirment que la morbi-mortalité grippale de cette année a été plutôt moins grave que les « précédentes ;
« · parfaitement en phase avec l’analyse de certains experts (suivez mon regard…), ce bilan « rassurant achève de réfuter la réalité d’une « urgence » ;
« · compte tenu des incertitudes avouées sur le bénéfice du vaccin, l’administration n’a « nullement démontré qu’il serait impossible de faire face à une épidémie grippale par « d’autres moyens : on relève d’ailleurs que nombre d’instances professionnelles ont « publiquement protesté de voir cette campagne vaccinale opérée en dehors du circuit normal « de médecine générale dont on ne voit nullement pourquoi il ne pourrait faire face à une « exigence de vaccination qui, pour l’instant, concerne moins de 20% des Français.
« C’est par rapport à ces arguments juridiques que l’action collective serait la plus appropriée « : il serait particulièrement utile que des syndicats défèrent pour illégalité l’arrêté de « réquisition devant le Tribunal administratif.
« Compte tenu des conditions d’illégalité manifeste dans lesquelles les décisions du « gouvernement ont été prises (notamment en ce qui concerne la dissimulation des liens « d’intérêts des experts qui ont pris part aux délibérations et à l’information des « professionnels comme du public), ils importe aussi que, par delà les professionnels de santé « réquisitionnés, les citoyens dans leur ensemble prennent la mesure du scandale : si l’on « savait déjà que les commerciaux de l’industrie pharmaceutique avaient pu circonvenir les « experts de l’OMS pour accréditer l’hépatite B comme risque grave pour la santé publique3, « si j’ai publiquement dénoncé l’incapacité récurrente des autorités sanitaires à assurer son « rôle de protection des citoyens par rapport au légitime souci de rentabilité de quelque « secteur industriel que ce soit, c’est sans doute la première fois que la force publique se « trouve requise – et avec quelle brutalité afin d’assurer le succès d’un marketing-…
« ( « L’habile stratégie d’un labo », Science et Avenir, janvier 1997, n° 599, p. 27) Amende jusqu’à 7500 €, assortie éventuellement de peines de prison.)
« ….pharmaceutique assez grossier pour avoir suscité la méfiance de plus de 80% des « citoyens.
« Il est sidérant que la force publique se trouve ainsi requise pour assurer l’écoulement de « stocks vaccinaux constitués au terme d’un processus décisionnel atterrant, où il est difficile « de faire la part entre l’incompétence d’une part, la corruption d’autre part.
« En foi de quoi, tout mouvement collectif visant à obtenir l’annulation de cet arrêté, mais « également tout professionnel de santé menacé de représailles judiciaires, peuvent compter « sur mon indéfectible soutien pour les aider à organiser l’argumentation technico-scientifique « justifiant une position de résistance.
Pour obtenir une approche sérieuse et objective de la questionil nous faut retenirla déclaration deMonsieur le député UMP Hervé Mariton, lequel, en dehors de toute préoccupation politicienne, a déclarélundi qu'il fallait revoir le dispositif sur le service minimum voté en 2007 et qui reste, "insuffisant". La grève du RER "doit nous amener à remettre l'ouvrage sur le métier pour qu'il y ait une meilleure garantie de service" car "la loi de 2007 n'est pas suffisante, il faut franchir une deuxième étape.
Information :
Mercredi 11 novembre : Reconduction pour ce jour de la Grève RATP
Les syndicats Sud, FO et CGT de la RATP ont annoncé mardi qu'ils reconduisaient pour une journée ‘Mercredi)la grève débutée lundi9 novembre.
Les motifs de la grève ;
Les syndicats Sud, FO et CGT de la RATPdénoncentles conditions du passage à l'interopérabilité, c'est-à-dire la suppression du changement de conducteur en gare du Nord entre la SNCF et la RATP. Ce sont donc des raisons techniques importantes qu’ils dénoncent liées à des questions de sécurité pour lesquelles leur Direction ne les jamais entendus.
Le service minimum vantécomme l’une desréformes à succès dansun tract électoral distribué sur marchés par l’UMP a été battu en brèche Lundi jour de grèvedans le RER ou l’insuffisancedes moyens mis en place pour assurer ce service minimum.
Pour masquer cette insuffisance , lesUMP « sarkoziens » en campagne, et les médias alignés, presse, radios, télévisions ont fait des déclarations en insistant pour accuser les grévistes RATP d’avoir « pris en otage un million de Franciliens qui se retrouvaient piégés et dans l’impossibilité de se rendre, dans des conditions normales à leur travail allant même jusqu’à extrapoler en disant « s’il n’y avait pas eu le service minimum il n’y aurait pas eu un seul train » ! Ces propos sont d’une stupidité remarquable.
Les moyens mis à la disposition du service minimum ont été très insuffisants, ce ne sont pas les grévistes qui en sont responsables , ce sont les Pouvoirs publics.
"Cette grève du 9 novembre était prévue depuis pratiquement neuf mois", a rappelé le président de la région "J’appelle la RATP à négocier", a-t-il insisté, plaidant pour un dialogue en amont et permanent.
Les grévistes en sont arrivés à cette extrémité faute d’être vraiment entendu par leur Direction. Point barre. Et les clients usagers bien que gênés comprennent parfaitement la situation puisque eux-mêmes sur leurs lieux de travail sonteux aussi bien souventpressés comme des citrons par leurs patrons et soumis à des conditions de travail de plus en plus contraignantes.
"Cette grève du 9 novembre était prévue depuis pratiquement neuf mois", a rappelé le président de la région"J’appelle la RATP à négocier", a-t-il insisté, plaidant pour un dialogue en amont et permanent.
Xavier Bertrand qui avait choisice Lundi pour plébisciter le mi-mandat de Sarkozyet les « succès » des réformes ‘ sarkoziennes’ (ndlr ; quelles réformes à part la « casse sociale » ?) alors que tout baigne actuellement dans la confusion dans les rangs du gouvernement et de l’UMP a été interrogé sur le service minimum, d’après lui,un train sur dix, ce n’était pas laparalysie : "Sans le service minimum, il n’y aurait eu lundi aucun train, aucun moyen de substitution, aucune annonce avant, sur ce qu’il allait se passer", a-t-il estimé.
Autre son de cloche UMP :
Cacophonie au sein de l’UMP : pour Yves Jego tout en remettant sur le tapis la question de la prise d’otage d’un million de Franciliens dont il accuse « la grève », sans parler de l’insuffisancedu service minimum, il estime qu’ Un train sur dix ce n’est pas suffisant !, et il juge la situation intolérable,
(alors que pour Xavier Bertrand « un train sir dix ce n’est pas la paralysie »)
Voici ce que soutient Yves Jego future tête de liste UMP en Seine et Marne, "la grève qui paralyse les lignes A et B du RER prend une fois de plus en otage un million de Franciliens qui se retrouvent piégés et dans l'impossibilité de se rendre, dans des conditions normales, à leur travail", avant d’ajouter : "Quand il y a un train sur dix, il y a une situation intolérable".
Monsieur Yves Jego en ses qualités d’UMP et soutien inconditionnel du Pouvoir sarkozien ne sait pas que « Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude »
Pour obtenir une approche sérieuse et objective de la questionil nous faut retenirla déclaration deMonsieur le député UMP Hervé Mariton, lequel, en dehors de toute préoccupation politicienne, a déclarélundi qu'il fallait revoir le dispositif sur le service minimum voté en 2007 et qui reste, "insuffisant". La grève du RER "doit nous amener à remettre l'ouvrage sur le métier pour qu'il y ait une meilleure garantie de service" car "la loi de 2007 n'est pas suffisante, il faut franchir une deuxième étape.
C’est le langage de la raison. ! et nous aimerions bien que les Ump en prennent leçons.
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Nous apprenons alors que nousnous apprêtions à « fixer sur toile » que le trafic devrait rester encore perturbé mercredi sur le RER B.
En effet, Les syndicats Sud, FO et CGT de la RATP ont annoncé mardi qu'ils reconduisaient pour une journée la grève débutée lundi, toujours pour dénoncer les conditions du passage à l'interopérabilité, c'est-à-dire la suppression du changement de conducteur en gare du Nord entre la SNCF et la RATP.
Pour mercredi,la RATP n'a pas encore diffusé de prévisions de trafic. Une assemblée générale est par ailleurs toujours en cours du côté des syndicats de la SNCF, qui exploite l'autre partie de la ligne RER B.
8 novembre 2009, une date mémorable, Michel Drucker reçoit sur l'inusable et célèbre canapé rouge de Vivement Dimanche, la toujours talentueuse, belle et jeune Sylvie Vartan, Madame ex-Halliday, actuellement depuis 25 ans Mme Tony Scotti , un score admirable, un parcours d'amour conjugal à citer en exemple, dans ce monde impitoyable des peoples dont les remariages se succèdent à la vitesse Grand V.
Michel Drucker reçoit aussi les fidèles amis de Sylvie, parmi eux le célèbre auteur-compositeur interprète, Didier Barbelivien, emballé dans un costume sur une chemise à col ouvert, un nouveau look qui met en valeur sa chevelure ondulée et son allure de play boy récidivant, tout aussi à l'aise que dans ses jeans légendaires et ses baskets, qu'il a remisé spour la circonstance au placard, sur les conseils impératifs de Dame Coquet, co productrice de l'émission dont on apprendra qu'elle est" coquette" et attachée indéfectiblement à l'élégance.
Michel Drucker, lui aussi gainé dans un costume posé sur un col de chemise ouvert, accueille ensuite Carla Bruni-Sarkozy, toujours élégante (même un sac de pomme de terre sur elle prendrait des allures de création de grand couturier) toujours souriante , yeux bleu, pommettes rose, décontractée, en ses grades et qualités de chanteuse guitariste et d'épouse amoureuse de notre grand homme d'État.
Et là surprise, surprise, nous apprenons de source authentique "Carla " que : " Le" pôvre" connait bien la la chanson !" qu'il est le" pôvre" son premier auditeur et qu'elle lui demande son avis dans l'intimité de leurs soirées musicales , et de source authentique "Didier ": "qu'il est de la génération des "Copains d'avant" et connait tout de "A à Z " du répertoire.
Carla précise : il aime "ça".
Pour la paix du ménage il vaut mieux partager les mêmes gouts, et enfin comme nous le savons la musique partagée adoucit les mœurs , s'il en était besoin, mais en l'occurrence ce n'est qu'un adjuvant secondaire, puisque nous savons tous que depuis la soirée mémorable de leur première rencontre chez Seguela , le couple présidentiel poursuit son itinéraire amoureux, sur la lancée du coup de foudre non moins mémorable qui l' a soudé dès le premiers instants , dès le premier regard.
Ah !qu'il était doux et troublant l'instant du premier rendez vous !
Enfin Carla Bruni toujours attentionnée nous apprend que lorsqu'ils assistent à un concert elle lui traduit en Français, les paroles des chansons anglos saxonnes pour qu'il perçoive très vite, ... pour que "ça" lui rentre vite dans le cœur ....."
Un homme pressé mais vraiment comblé , ce "pôvre" mari ...... qui n'a jamais eu le temps d' intégrer dans son parcours mouvementé, politique et sentimentale ,la langue anglo saxonne dans sa connaissance de "A à Z " du répertoire qu'il connait bien !
Heureusement qu'il a sa "Carlita" qui réunit en elle en plus de ses qualités physiques, intellectuelles et culturelles, une patience et une douceur d'ange en plus d'une pratique polyglotte de cinq langues, de quoi parcourir sans souci pour un mari que l'on ne peut soupçonner d'anglophobie, le monde international de la musique, pour le meilleur et pour le pire !
La vidéo ci-dessus a été créée par lucienne magalie pons, militante active de soutien à Dominique de Villepin :
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