22 janvier 2009
Un article de Michel Mahler : "l'UMP peut gouverner sans l'opposition"
Un article de Michel Mahler du Site "Le Réveil des Marmottes"
Mercredi 21 janvier 2009
Les Sections Sarkozystes sont-elles en train de museler la démocratie en France ? Le petit caporal aurait-il des problèmes avec son Eva Braun ? Il serait temps que les vrais gaullistes reprennent le chemin de la résistance. Comparé à Nicolas Sarkozy, Charles de Gaulle passerait pour un humaniste démocrate. Les gaullistes comme Nicolas Dupont-Aignan ont été muselés, ne parlons même pas de Dominique de Villepin... Pendant ce temps, l'Amérique s'envole vers une nouvelle ère renouant avec les valeurs essentielles d'une grande démocratie, c'était le message de Barack Obama dans son discours d'investiture le mardi 20 janvier.
Des députés de gauche ont quitté l'hémicycle de l'Assemblée en chantant
L'opposition veut boycotter la séance des questions au gouvernement retransmise à
Julien Clerc soutenu par Carla : du trac du "téléthon " au Casino de Paris
Lors de la soirée téléthon de décembre 2008 , où Julien Clerc se produisait avec Carla Bruni-Sarkozy ,lui au piano, elle à la guitare, et les deux "chuintant" et " bêlant " de la voix, dans un morceau qui n'a laissé aucune trace indélébile dans ma mémoire, Julien Clerc visiblement épuisé a du s'y reprendre à trois fois, avant de pouvoir placer sa voix et trouver les bonnes notes sur le piano, à la stupéfaction de tous, en dépit des efforts habiles du présentateur qui a su banaliser l'incident .
Quelques jours plus tard, changement de lieu et de décor, Julien Clerc 61 ans et toutes ses dents, sur scène au Casino de Paris, semblait avoir retrouvé son pep et du poil de la bête !
Carla Bruni-Sarkozy est allée applaudir son collègue au Casino de Paris et quand ce dernier a entamé la chanson Déranger les pierres elle s'est approchée de la scène en fidèle admiratrice de longue date de son talent, pour lui manifester sa vive sympathie et son soutien artistique. Pendant cet intermède touchant, Monsieur Nicolas Sarkozy qui était venu lui aussi au Casino de Paris, est resté seul, assis dans la salle , ( seul sur le tapis comme disent les mauvaises langues) en attendant que son épouse revienne vers lui pour voir ensemble la fin du spectacle.
Le soir même le Président devait s'envoler pour Charm el Cheick pour le mini-sommet international pour favoriser une trêve durable dans la bande de Gaza.
21 janvier 2009
Le discours de Barack Obama : Revue de presse Européenne
Source : Eurotopics
Revue de presse européenne du 21/01/2009
À LA UNE
Un discours à forte portée symbolique
Après la prise de fonction du nouveau président américain, Barack Obama, la presse européenne commente son discours d'investiture et sa portée symbolique.
Süddeutsche Zeitung - Allemagne
Dans son discours d'investiture, le nouveau président américain Barack Obama a appelé sa nation à la modération, estime le quotidien Süddeutsche Zeitung: "Fais toi petit pour que d'autres puissent se sentir grands – telle est la ligne de conduite d'Obama qui lui confère une grandeur particulière. Aucun autre terme ne décrit mieux ce style que celui de responsibility, ce qu'on peut traduire par "responsabilité" et "compétence", mais aussi par "obligation". La responsibility, concept clé de la pensée d'Obama, correspond à une attitude de service, une vertu classique qui n'est absolument pas empreinte d'arrogance ou de folie du pouvoir. Pour Obama, le concept de responsibility résume la phrase célèbre de Kennedy que celui-ci a également prononcée lors de son discours d'investiture: ne te demande ce que ton pays peut faire pour toi mais ce que tu peux faire pour ton pays. Par cet appel à la responsabilité, Obama redonne aux électeurs la responsabilité de la charge de son mandat, il répartit les tâches sur de nombreuses épaules et donne une nouvelle direction à la politique américaine. Ce changement de direction est le message le plus dramatique du nouveau président." (21.01.2009)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » USA, » Mondial
Tous les textes disponibles de » Stefan Kornelius
The Guardian - Royaume-Uni
Le quotidien de gauche The Guardian considère le discours d'investiture de Barack Obama comme l'acceptation prosaïque des difficultés de son pays: "Ceux qui attendaient d'Obama qu'il prête serment et fasse le meilleur discours public d'Amérique depuis Abraham Lincoln ont dû être déçu hier. Mais on oublie l'essentiel. Obama est maintenant président, plus candidat à la présidence. Son devoir est de tirer parti des attentes et non de faire appel à elles. Il sait que l'Amérique fait face à une énorme crise économique et qu'elle se bat en même temps dans des guerres difficiles et douteuses. Pour cette raison, ne pas avoir dressé un tableau trop rose de la situation dans ce discours est peut-être la preuve supplémentaire d'une politique intelligente. Un homme sérieux en cette période difficile convient parfaitement pour tempérer des attentes irréalistes." (21.01.2009)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Relations Internationales, » Politique Intérieure, » Europe, » USA
Der Standard - Autriche
Le nouveau président américain doit parvenir à apporter un nouveau souffle dans l'esprit de ses concitoyens, rien de plus, écrit le quotidien Der Standard: "Comme l'a récemment indiqué l'économiste Jeremy Rifkin dans un entretien avec Der Standard, il est possible que [Barack] Obama n'ait aucun 'plan directeur' pour venir à bout de la crise. La question est toutefois de savoir si le président a réellement besoin d'un tel plan. S'il est vrai que la psychologie est l'une des principales causes de la crise, Obama peut alors très bien être le bon président en ces temps difficiles, même sans plan directeur. ... Hier c'était 'Yes we can', aujourd'hui 'Yes we do'. Si le 44e président des Etats-Unis parvient vraiment à réinsuffler à des Américains hagards leur légendaire esprit de pionnier, il aura déjà beaucoup répondu aux attentes de part et d'autre." (21.01.2009)
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Tous les textes disponibles de » Christoph Prantner
La Repubblica - Italie
Le quotidien progressiste de gauche La Repubblica commente le contenu religieux du discours d'investiture de Barack Obama: "Le serment prêté sur la bible de Lincoln, les nombreuses références à Dieu, le long serment qui a précédé le discours du nouveau président, le patriotisme intrépide et le sentiment sublime d'une cause nationale spécifiquement américaine ont dû être assez déconcertants pour de nombreux Européens. … Ce discours s'inscrit aux Etats-Unis dans une importante tradition rhétorique, qualifiée à juste titre de religion civile de l'Amérique. … Compte tenu de la profonde force émotionnelle de cette langue (imprégnée de religion) et de sa capacité à déterminer des priorités nationales, Obama a toujours puisé de manière particulièrement habile dans le réservoir de Jefferson, Lincoln, Kennedy et Martin Luther King. Le nouveau président tente d'utiliser la force de cette tradition en l'opposant à la variante nationaliste de [George W.] Bush, et de la mettre au service de son nouveau programme complètement différent." (21.01.2009)
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Tous les textes disponibles de » Alexander Stille
Carl Bildt Blog - Suède
Le ministre des Affaires étrangères suédois, Carl Bildt, écrit dans son blog que le nouveau président des Etats-Unis, Barack Obama, dispose d'une immense crédibilité morale. Le symbole de son investiture serait pourtant plus important que le contenu même de son discours: "En suivant le discours d'investiture, j'ai constaté que la personne qui défendait sa politique était plus importante que les mots et les formules qu'elle prononçait. Un homme de couleur issu d'un milieu modeste, avec comme second prénom Hussein, prêtant serment, représente un changement si radical qu'il est à peine imaginable. Et c'est ce changement , bien plus que d'éventuelles modifications, qui donnera à la politique américaine de nouvelles possibilités et sa force." (21.01.2009)
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Tous les textes disponibles de » Carl Bildt
La Vanguardia - Espagne
La Vanguardia revient sur le discours d'investiture du nouveau président américain: "La prise de fonction de Barack Obama inaugure une nouvelle ère. Son discours d'investiture en tant que président des Etats-Unis marque un changement radical dans la politique du pays le plus puissant de la planète. Avec des mots brefs et pleins d'espoir, Obama s'est engagé à ouvrir une nouvelle ère de paix qui repose sur la collaboration et la compréhension mutuelle, ainsi qu'une nouvelle ère de progrès, basée sur le travail, l'effort et la responsabilité individuelle." (21.01.2009)
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Nouveau dans le magazine d'euro|topics: Barack Obama
Il suscite des espoirs dans le monde entier et représente l’incroyable force de renouvellement des Etats-Unis : Barack Obama, le 44e président des Etats-Unis. La presse européenne l’a observé de près pendant sa campagne électorale comme dans la période qui a précédé son investiture. Qu’attendent les Européens de la nouvelle figure de Washington ? » suite
Nouveau dans le magazine d'euro|topics: Un nouvel ami ?
Quelles sont les attentes des Européens vis-à-vis de Barack Obama, ce nouveau dirigeant à la Maison Blanche, et qu’attend-il des Européens? » suite
Le JT du 20 Janvier 2009 s'est attardé avec indécence sur les "failles" de Monsieur OBAMA
En zappant sur plusieurs chaînes j’ai pu suivre hier la cérémonie d’investiture du 44mePrésident des États Unis Barack Obama, puis à 20 heures je suis revenue sur le Journal Télévisé de TF1 de Laurence Ferrari qui en première partie de son journal a présenté en édition spéciale les images les plus marquante de cette journée historique.
Jusqu’à là rien à dire, nous avions déjà vu ces images et les commentaires de Laurence Ferrari retraçaient les évènements avec une certaine exactitude.
Mais à la suite à son invitation ? Gilles Bouleau s’est attardé en buvant du petit lait sur deux petits trébuchements de langage que le Président Obama a commis dans sa prestation de serment et ensuite dans son discours.
D’après Gilles Bouleau, pisse vinaigre de service, il a dit en parlant de Barack Obama qu’il « avait montré ses failles » en commentant longuement ces deux trébuchements de langage.
Voici reproduit ci-dessous le morceau de désinformation , et l' interprétation excentrique et indécente, de ces deux trébuchements de langage auquel Monsieur Gilles Bouleau s'est livré avec une langue de vipère :
« Ecoutez, voilà un homme qui depuis de très longues années est persuadé qu’il a rendez-vous avec le destin, il sait qu’il va rencontrer 300 millions d’américains, qu’il a rendez vous avec 3 milliards de téléspectateurs ... Que se passe-t- il à midi ? Eh bien il trébuche sur cette très simple phrase qui constitue sa prestation de serment ... Que se passe-t- il quelques minutes après ? ... A nouveau il trébuche dans son discours, alors même qu’il a un prompteur et qu’il a répété ses discours une dizaine fois, les sportifs auraient dit qu’il a ressenti la pression, d’autres diraient simplement (sic) que le poids de l’histoire lui est tombé sur les épaules. Vous savez dans cette campagne il a tout promis, il a promis de changer l’Amérique, de changer le monde , excusez du peu (sic) eh bien demain ( ndlr : non pas demain ce même jour) voilà, il a les clefs du pouvoir, il a tous les pouvoirs et il va tenter de résoudre ce qui ne peut pas l’être ( selon Gilles Bouleau) , cette crise sans précédent depuis les années trente et c’est sans doute de ce cela dont il a pris conscience il y a quelques instants ( ndlr : !) et voilà pourquoi cet homme que l’on voyait fort , voilà a monté ses failles, c’est un homme, et c’est le Président de
Satisfaite de cette envolée grotesque de Gilles Bouleau, Laurence Ferrari à souligné d’un ton convaincu « Absolument..... »
A quelques secondes de là Monsieur Nicolas Sarkozy était présenté dans le même JT dans l’un de ses innombrables déplacements, à Provins exactement, une journée de travail comme une autre semble-t-il pour lui? et à la question d’un journaliste qui l’interrogeait au passage sur l’investiture de Monsieur Obama il a répondu d’un ton plus contrarié que bourru : « Obama qu’il se mette au travail et qu’on change le monde avec lui » !
Ndlr : Monsieur Obama travaille mais ne se disperse pas comme notre Président en un tourbillon de déplacements excessifs, assortis de déclarations et de discours dont les paroles à 95 % glissent comme les gouttes d’eau par temps de pluie sur une vitre pour se disperser dans le néant.
Pour en revenir aux trébuchements de langage, dans ce même Journal quelques instants plus tard Laurence Ferrari elle-même à déformé un mot et son compère d’occasion Gilles Bouleau revenu à l’écran presque en fin d’émission a trébuché à deux reprises, sur des mots très simples : auraient-ils tous deux des failles, dans leur personnalité ? Je vous en laisse juges !
Au moment de sa prestation de serment M. Obama s'est rendu compte que M. Roberts avait placé le mot "fidèlement" après "président des Etats-Unis", et non pas avant comme écrit dans la loi fondamentale. M. Obama s'était interrompu, avant que M. Roberts ne répète le morceau de phrase, à nouveau dans le désordre. M. Obama avait obtempéré et fini son serment tel qu'il l'avait entendu.
ndlr : il ne s'agissait pas d'un trébuchement de langage, bien au contraire, mais d'une véritable présence d'esprit, il ne pouvait en rester là comme sur un disque usé, et par courtoisie après s'être repris en une seconde , il a répété les mots tels que Monsieur Roberts les énonçait.
Ndlr : Laurence Ferrari et Gilles Bouleau ont voulu nous faire croire que Barack Obama, en cette occasion avait montré ses "failles", qui peut croire une telle sottise ? prennent les téléspectateurs pour des imbéciles ?
Ils sont bien mal placés pour en juger, il arrive très souvent que Laure Ferrari bafouille à l'écran, idem pour son compère d' émission Gilles Bouleau
C'était visible comme le nez au milieu d'un visage qu'ils cherchaient à descendre Obama, il ne s'agissait pas d'information mais de propagande politique. Triste spectacle !
20 janvier 2009
Barack Obama à la "Une" en Europe: Revue de presse
À LA UNE
Obama devient président
Aujourd'hui, Barack Obama prête serment en tant que 44e président des Etats-Unis d'Amérique. Un nouveau chef d'Etat a rarement fait l'objet d'autant d'attention.
Helsingin Sanomat - Finlande
Le quotidien Helsingin Sanomat est optimiste quant à la capacité d'Obama à améliorer l'image des Etats-Unis. "Les attentes à l'égard d'Obama sont excessivement élevées et il faudra attendre plusieurs années pour que les décombres laissés par [Georges W.] Bush soient déblayés. Mais le nouveau président peut dès à présent engager et mettre en œuvre rapidement le rétablissement de la bonne réputation des Etats-Unis, de l'Etat de droit et des règles du jeu démocratique. Par chance, ses derniers discours laissent également penser qu'il a l'intention de le faire." (20.01.2009)
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Diário de Notícias - Portugal
Dans le quotidien Diário de Notícias, l'ancien chef d'Etat portugais, Mário Soares, déclare ne pas douter que Barack Obama tiendra ses promesses. "Obama prend ses fonctions à une période très difficile et les attentes à son égard sont grandes. Le jeune président humaniste veut rénouveler le rêve américain. … Obama a promis un changement, y compris pour ce qui est des relations internationales des Etats-Unis, et il va s'efforcer de le réaliser. Je ne doute pas qu'il y parvienne." (20.01.2009)
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Tous les textes disponibles de » Mário Soares
Delo - Slovénie
Le quotidien Delo écrit: "L'euphorie est grande, les attentes encore plus. Obama prévient que la situation peut encore se dégrader avant de s'améliorer. Mais il semble que le peuple ait reçu un nouvel élan après huit ans de cynisme et de sarcasmes. Les paroles de Franklin D. Roosevelt prononcées lors de son discours d'investiture en 1933 décrivent le mieux la situation: 'La seule chose que nous ayons à craindre, c'est la peur elle-même.'" (20.01.2009)
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Tous les textes disponibles de » Boris Cibej
Les Echos - France
Le quotidien économique Les Echos s'intéresse aux difficiles défis auxquels Obama doit faire face. "Deux guerres et la plus grave récession depuis les années 1930: les défis auxquels se trouve confronté Barack Obama sont spectaculaires. Nul n'en mesure l'ampleur mieux que lui, tant il s'est préparé à une charge qu'il exerce déjà virtuellement depuis son élection triomphale du 4 novembre dernier et l'éclipse de George W. Bush." (20.01.2009)
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Tous les textes disponibles de » Nicolas Barré
Der Standard - Autriche
Pour résoudre les gros problèmes hérités de son prédécesseur George W. Bush, Obama ne peut que recourir à une plus grande coopération, écrit le quotidien Der Standard. "Obama considère que les problèmes clés mondiaux ne peuvent être résolus que par une coopération qui serve autant les intérêts des autres nations que ceux de son propre pays. Il promet de mettre en œuvre une diplomatie énergique et de n'utiliser la violence qu'en derniers recours. … En Europe, les attentes d'une amélioration rapide des relations transatlantiques affectées pourraient s'avérer trop élevées." (20.01.2009)
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Tous les textes disponibles de » James Hoge
Dagens Nyheter - Suède
Le quotidien de Stockholm Dagens Nyheter voit dans la prise de fonction d'Obama le début d'une nouvelle ère. "La chance est là. Barack Obama, comme tous les autres présidents, fera passer les intérêts des Etats Unis au premier plan. Il ne laissera jamais une organisation internationale avoir le dernier mot quand il s'agira de savoir où, quand et comment des troupes américaines devront intervenir. Mais la foi trop grande dans les moyens militaires sera remplacée par une foi encore plus forte dans la diplomatie." (20.01.2009)
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Romania Libera - Roumanie
On attend beaucoup du nouveau président des Etats-Unis. Le quotidien Romania Libera tempère ces attentes. "Ces jours-ci, une grande partie des Etats-Unis et du monde considère le nouveau président comme le messie, un sauveur, porteur d'espoir, qui peut résoudre tous les problèmes du monde, qui peut réparer toutes les injustices et soigner toutes les blessures. Barack Obama a eu jusqu'ici une carrière politique brève et fulgurante qui ne lui permet pas de bien connaître ses capacités de président. Une chose est claire cependant: Barack Obama n'est pas le messie! Il n'est pas le rédempteur venu sur terre pour sauver le monde." (20.01.2009)
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Tous les textes disponibles de » Cristian Campeanu
Postimees - Estonie
Le quotidien Postimees est sceptique sur la capacité du nouveau président américain à maîtriser les tâches qui l'attendent. "Les opposants politiques et les partisans déçus commenceront très vite à rappeler à Obama ses promesses de campagne, notamment le retrait rapide des troupes d'Irak ou la création de quatre millions de nouveaux emplois - celles-ci pourraient se révéler être des tâches tout simplement irréalisables. Obama doit désormais montrer qu'il est non seulement capable d'enthousiasmer les masses, mais qu'il est aussi en mesure de les diriger." (20.01.2009)
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To Ethnos - Grèce
Le quotidien To Ethnos estime qu'il faut laisser du temps au nouveau président américain pour que celui-ci puisse répondre aux attentes. "Il n'a peut-être pas composé le gouvernement que souhaitaient de nombreux citoyens progressistes aux Etats-Unis et dans le monde entier. Il en sait peut-être plus que nous et donne la priorité au réalisme et à l'équilibre. ... Il faudra du temps pour découvrir si Obama constituera vraiment un changement important pour les Etats-Unis et le reste du monde." (19.01.2009)
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Tous les textes disponibles de » P Panagiotou
Sme - Slovaquie
Le quotidien progressiste Sme écrit: "L'Amérique repose traditionnellement sur trois piliers: la prospérité de son économie, la puissance de son armée et la force d'attraction du modèle américain. Ils sont aujourd'hui tous trois affaiblis, … même si les Etats-Unis continuent de fasciner après huit années de [George W.] Bush. … On ne peut que souhaiter bonne chance à Obama. S'il réussit à sortir l'Amérique de la crise, il améliorera la position de l'Occident aux yeux du monde et avec elle, celle de l'Europe." (20.01.2009)
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Tous les textes disponibles de » Tomáš Valášek
Nouveau dans le magazine d'euro|topics: Un nouvel ami ?
Le 20 janvier, Barack Obama prêtera serment en tant que Président des Etats-Unis. Quelles sont les attentes des Européens vis-à-vis de ce nouveau dirigeant à la Maison Blanche et qu’attend-il des Européens? » suite
Discrimination positive et Promotion de la Diversité
Selon une étude du Haut Conseil à l'Intégration (HCI) rendue publique lundi, les élus issus de l'immigration non-européenne ne représentent que 6,68% des élus des communes de plus de 9.000 habitants de France métropolitaine
Cette part a toutefois doublé entre 2001 et 2008, passant de 3,18% à 6,68%.
Dans l'éventail politique, le PS remporte pour les municipales de 2008 un bien meilleur score en terme de diversité (8,71%) que l'UMP (3,44%), la palme revenant aux Radicaux de gauche (9,66%) et aux Divers gauche (9,54%
Le Monde Fr a titré sur son site un article « Des élus locaux d'origine immigrée veulent voir émerger un Obama français » et indiqué « Barack Obama inspire les élus locaux français d’origine immigrée »
Nous apprenons par leur article qu’une vingtaine d'élus locaux de la banlieue parisienne d'origine immigrée se sont exprimés lundi pour l'émergence de candidats "de la diversité", à la veille de l'investiture de Barack Obama.
J’ai retenu à la lecture de leur article, que l’un des fondateurs de l'Association nationale des élus locaux de la diversité (Aneld), créée en novembre, Kamel (en français « Camille » peut-être ?) Hamza a déclaré : "On est 70, on espère dans un avenir prochain, peut-être septembre, lancer un congrès des élus locaux de la diversité".
Et il a décrit le parcours de l’ascenseur politique qu’il souhaite voir fonctionner pour les élus de la diversité :
"On va faire en sorte que les élus de la diversité, ceux qui sont conseillers municipaux puissent devenir des maires adjoints, ceux qui sont maires adjoints puissent devenir des conseillers régionaux, des conseillers généraux, devenir des maires", a-t-il exposé lors d'une conférence de presse à l'Assemblée nationale.
De son côté, sans doute conscient que l’ascenseur politique n’est pas garanti à tout le monde, Sari Fouad, adjoint au maire UMP de Vigneux-sur-Seine (Essonne) a affirmé que l’ "un des objectifs de l'Aneld, c'est aussi de repérer, de faire émerger et d'accompagner les futurs Obama français, les Zidane de la politique".
Ndlr : A mon avis il faudrait que notre Gouvernement pense aussi à promouvoir nos jeunes Français de souche en voie de marginalisme , c'est une question d'égalité républicaine, ils ont tout autant besoin de soutient que les autres Français d'origine immigrée, mais comme nous avons vu la politique de paupérisme instaurée par Martin Hirch avec son RSA, nous aurons surement à déplorer ,maintenant qu'il est responsable de la Jeunesse( dans son ensemble) qu'il n'exerce ses talents que pour les maintenir dans des conditions sous dimensionnées par rapport à leurs qualités et pour les pérenniser dans une masse taillable et corvéable à merci par les puissances économiques.
Plus pragmatique et lucide, Mokhtaria Kebli, conseillère municipale déléguée à la médiation scolaire et au second degré à la mairie PS d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) a estimé : "Il faut que notre association permette que les partis politiques nous reconnaissent pour nos compétences, nos expériences et tout le travail que l'on mène sur le terrain, que l'on ne nous utilise plus comme des faire-valoir ou comme des hameçons pour alpaguer l'électeur issu de l'immigration des quartiers populaires".
Tous mes vœux l’accompagnent ! En effet le risque d’instrumentalisme par les partis politiques existe bel et bien !
Je me garderai bien d’entraver toutes ces bonnes résolutions et volontés, mais puisque référence est faite à Barack Obama, je crois qu’il est bon de signaler que son parcours ne doit strictement rien à la discrimination positive ou encore à la promotion de la diversité.
Je dois aussi remarquer qu’il ne doit rien non plus à sa couleur de peau et à ses origines blanches ou noires, il n’a jamais sollicité rien de personne, il s’est construit avec son intelligence et son physique n’est pour rien dans son histoire. Les hommes et les femmes qui l’ont accompagnés et suivis dans sa vie ont trouvés en lui des qualités essentielles pour lui faire confiance et lui donner la chance qu'il méritait.
Pour tout dire Monsieur Barack Obama n'a jamais compté sur la démocratie positive ou la promotion de la diversité pour faire ses preuves dans ses études et sa vie professionnelle et son essor politique : il a choisi lui-même son chemin. et ses compagnons de route, aussi bien en privé, que dans les affaires et en politique.
Il n’a pas eu besoin non plus d’un Haut Conseil à l'intégration (HCI) pour s’adapter et s’intégrer et en toutes circonstances.
Pour preuve voici son parcours :
Barack Hussein Obama Jr.
* Né le 4 août 1961 à Honolulu, Hawaï
* À l'âge de 10 ans, il est rapatrié, seul d'Indonésie, à Honolulu pour vivre chez ses grands-parents maternels, afin de s'assurer une meilleure scolarité.
* Après le lycée, Obama étudie deux ans au Collège occidental de Californie où il trouve un exutoire à ses études dans les fêtes estudiantines. Puis il entre à l'Université Columbia de New York. Il en sort diplômé en science politique et en relations internationales.
* Il commence une carrière professionnelle à Chicago comme analyste d'une grande compagnie financière.
* En 1984, il choisit de travailler comme animateur social dans le quartier noir défavorisé de South Side. Jusqu'en 1987, Obama, surnommé " Baby Face " par les pasteurs locaux, arpente South Side pour aider les résidents à s'organiser dans la défense de leurs intérêts, pour obtenir le désamiantage des logements sociaux, l'ouverture de bureaux d'embauche ou pour lutter contre la délinquance des jeunes.
* En 1987 Obama quitte Chicago pour trois ans afin d'étudier le droit à la faculté de droit d'Harvard (Harvard Law School) à Boston dont il sera diplômé.
* En 1990, il devient le premier noir, rédacteur en chef de la prestigieuse Harvard Law Review, élu face à 18 autres candidats.
* À la fin de ses études, Obama revient à Chicago pour devenir enseignant en droit constitutionnel à l'Université de Chicago et entre dans un cabinet juridique spécialisé dans la défense des droits civiques.
* En 1992, il épouse Michelle Robinson, juriste originaire de Chicago rencontrée en 1989 dans le cabinet d'avocats où il travaille. Le couple Obama a 2 filles, Malia (née en 1999) et Natasha (née en 2002).
* En 1996, Obama est élu au Sénat de l'État de l'Illinois dans la circonscription des banlieues sud de Hyde Park à Chicago comprenant le quartier de South Side.
* En 2000, il tente de se faire désigner aux primaires démocrates pour être candidat à
* Le 2 novembre 2004, après avoir balayé quelques mois plus tôt ses adversaires démocrates lors des primaires, Barack Obama est élu au Sénat des États-Unis avec 70 % des voix contre 27 % à son adversaire républicain, Alan Keyes.
* Le 5 janvier 2005, Barck Obama prête serment comme sénateur devenant le seul afro-américain à siéger au Sénat, et le cinquième de l'histoire.
* Le 16 janvier 2007, il annonce la création d'un comité exploratoire en vue de lever des fonds pour sa candidature aux élections présidentielles de 2008.
* Le 10 février 2007, il a officiellement déclaré sa candidature à l'investiture démocrate pour l'élection présidentielle américaine de 2008.
* Le 3 juin 2008, après une longue bataille entre les deux candidats et les dernières primaires dans le Montana et le Dakota du Sud, Barack Obama obtient le seuil requis de délégués, ainsi que le soutien de nombreux super-délégués.
* Le 7 juin 2008, Hillary Clinton " suspend " sa campagne à l'investiture démocrate et apporte son soutien à Barack Obama dans sa campagne présidentielle contre le républicain John McCain.
· Le 5 novembre 2008, Barack Obama est élu président des États-Unies d'Amérique, avec 349 " Grands Électeurs ", contre 163 pour McCain.
· Le 20 janvier 2009, investiture officielle de Monsieur Barack Obama à
Mon commentaire : Il est évident que quand un Français d’origine immigrée présentera un tel parcours sans faute, et sera animée d’une volonté pour se diriger vers le but qui lui convient, toutes les portes lui seront ouvertes en France aux plus hautes destinées privées et politiques, sans qu’il lui soit besoin de déclamer en colloques et conférences pour solliciter et promouvoir une politique de
On perd parfois beaucoup trop de temps chez nous à chercher des causes et des raisons et à faire valoir des prétentions,sans pour autant mettre en œuvre des solutions, mais dans la vie quand on a les qualités et la volonté nécessaires, il vaut mieux agir personnellement pour atteindre son but et réussir, si tant est que les hautes positions politiques puissent être qualifiées de réussite. Tout est relatif, tout est question de préférences, il y a bien d’autres fonctions dans le privée tout aussi gratifiantes et moins exposées.
L'assistanat social est souvent nécessaire et justifié, l'assistanat politique à mon sens mène à la dépendance, le mieux serait pour une femme ou un homme de se faire reconnaître pour ses propres compétences et son savoir faire, que ce soit dans le secteur privé que le secteur public et dans la vie politique, si ça leur convient.
Dans les temps passés de mes études mon professeur se plaisait à nous dire " Aux âmes bien nées la valeur n'attends point le nombre des années" (Pierre Corneille)
Chaque âme à sa valeur, l'âme , qui au-delà des origines et des apparences , est l'essence de l'être et efface les différences d'origine , alors au-delà des considérations c'est l'être qui prime sur le paraître , l'être qui dans les sociétés existe bien plus pour ce qu'il est et peut donner que pour ce qu'il peut recevoir et c'est un homme comme Obama que nous attendons en France, qu'il soit Français d'origine immigrée ou Français de souche.
Relais d'information : TVLibertés du 28 novembre 2024 _ L"essentiel de l'actualité_ Le JT du Jour - le Zoom : L 'invité du Jour_ Le Journal court de TVL _
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