20 novembre 2007

Hugo Chavez reçu à PARIS par Nicolas Sarkozy





Aprés avoir rendu visite à son allié anti-américain Mahmoud Ahmadinejad, Hugo Chavez est arrivé lundi soir à Paris en provenance de Téhéran.

Le président vénézuélien pour sa première visite en France depuis la Présidence de Nicolas Sarkozy, s'était promis d' apporter des « preuves de vie » d’Ingrid Betancourt, otage des FARC. Dans une interview au Figaro la semaine dernière il avait assuré qu’il apporterait de « bonnes nouvelles » à Paris.

Dimanche, il se disait dit « sûr » qu’elle était vivante, tout en admettant ne pas disposer encore de « preuves matérielles comme une vidéo ou un enregistrement ».

Hugo Chavez déjeunera avec Nicolas Sarkozy mardi. Chacun devrait également recevoir séparément la famille d’Ingrid Betancourt après leur déjeuner. L’Elysée se dit pour l’instant « très, très prudent » sur ces fameuses « preuves de vie ». « Les preuves de vie arriveront, la question est de savoir si la guérilla veut faire ce cadeau ou non à Hugo Chavez » pour sa visite à Paris, d'après une source diplomatique

Chavez s’est imposé comme médiateur dans ce dossier sensible. Son homologue, le Président colombien Alvaro Uribe l’a autorisé à voir le chef des Farc Manuel Marulanda, tout en excluant de le rencontrer lui-même. Mais il lui a également fixé une date limite : Chavez, mandaté depuis trois mois par la Colombie, doit réussir sa mission de médiation avant le mois de décembre

Soutenu par ses propres convictions Monsieur Hugo CHAVEZ devra faire les preuves de son talent de médiateur.

.

Le Roi Abdallah remet les pendules de Chavez à l'heure










Le 17/11/2007 -

Selon l’étiquette internationale c’est à Hugo Chavez, Président du Vénézuela, pays où s’était tenu le précédent sommet de l’OPEP en 2000, qu’il revenait l’honneur de prononcer le discours d’ouverture du 3me sommet de l’OPEP qui se déroulait ce dernier week-end à Ryad en Arabie Saoudite

Le président vénézuélien Hugo Chavez a osé faire le signe de croix et citer par deux fois le Christ samedi à Ryad, devant les chefs d'Etat des principaux pays du Golfe et son hôte le roi Abdallah d'Arabie, qui a le titre de "Serviteur des deux Saintes Mosquées". "Nous savons (...) que l'unique chemin de la paix, comme l'a dit le Christ, c'est la justice", a notamment lancé M. Chavez, qui a invoqué une autre fois Jésus Christ pendant un discours de 25 minutes.

La semaine précédente, le Vénézuélien s'était violemment opposé à l'exécutif espagnol en traitant l’ancien et l’actuel Chef du Gouvernement espagnol de fascistes et l’ Espagne de pays impérialiste, provoquant la colère roi d'Espagne, a tel point qu’il lui avait demandé de se taire. (Voir mes articles précédents sur ce dernier sujet)

Avant de commencer son discours au 3me sommet de l’OPEP, Hugo Chavez solennel s'est signé, événement sans précédent connu dans la capitale du pays qui abrite les deux principaux lieux saints de l'islam, à La Mecque et Médine, et devant le roi saoudien, qui a le titre de "Serviteur des deux Saintes Mosquées". "Nous savons (...) que l'unique chemin de la paix, comme l'a dit le Christ, c'est la justice", a notamment lancé M. Chavez, qui a invoqué une autre fois Jésus Christ pendant un discours de 25 minutes.

Une très importante personnalité qui se trouvait près du Roi d’Arabie Saoudite l’a entendu cire à voix haute à l’adresse de Hugo CHAVEZ : « Tais-toi », mai Sa Majesté Abdallah s’est contenu pour ensuite remettre les pendules à l’heure.

Pendant son discours, Hugo Chavez s’est attaqué à Georges Busch, mettant en garde les Etats-Unis de "commettre la folie d'envahir l'Iran ou d'agresser à nouveau le Venezuela".
Le président vénézuélien a également exalté l'histoire "révolutionnaire" de l'OPEP. Arrivé au pouvoir en 1999, alors que le cours du brut était tombé à son plus bas niveau historique, Hugo Chavez s'est ensuite enorgueilli d'avoir ressuscité l'OPEP, qui, a-t-il dit, avait été pratiquement "réduite en miettes" dans les années 80 par le président américain Ronald Reagan.

"Le prix de 100 dollars est un prix équitable, un prix juste", a-t-il poursuivi, … «Si les Etats-Unis commettent la folie d'envahir l'Iran ou d'agresser à nouveau le Venezuela, alors le prix du pétrole n'atteindra pas 100 dollars, mais 200 dollars", a menacé Hugo Chavez, au cours de son discours devant les responsables des pays exportateurs de pétrole en présence du président iranien Mahmoud Ahmadinejad.

Ndlr : alors que le but de ce sommet était de trouver des solutions face à l'envolée du prix de l'or noir.

"Le pétrole est la source de toutes les agressions" dans le monde, a encore affirmé le président vénézuélien, dénonçant que c'était la "raison sous-jacente" de la guerre en Irak et des menaces contre l'Iran.

Reprenant un thème qui lui est cher, mais qui est aux antipodes de la position de l'Arabie et de la majorité des autres membres du cartel, le président vénézuélien a ensuite souhaité que l'OPEP "change et devienne un acteur politique, géopolitique"

Une très importante personnalité qui se trouvait près du Roi d’Arabie Saoudite, dont l'amitié avec les américains est connue, l’a entendu dire discètement mais à voix haute pendant ce discours, à l’adresse d’Hugo CHAVEZ : « Tais-toi », mais Sa Majesté Abdallah s’est contenu, se réservant de remettre les pendules à l’heure pendant le discours qu’il s’apprêtait à prononcer.

Le souverain saoudien a ensuite, dans une brève allocution, rejeté les propos d’Hugo Chavez( sans le citer) en déclarant , dans un style plus sobre, mais avec tout autant de fermeté, que "le pétrole ne devait pas se transformer en outil de conflit" et que l'OPEP était opposée aux "perturbations brusques des prix du pétrole".

L'Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole, a en outre promis de consacrer 300 millions de dollars à la réduction des émissions de gaz à effet de serre pour contribuer à la protection de l'environnement, ainsi que l’a annoncé samedi le roi Abdallah.

Encore une fois Monsieur CHAVEZ qui est en show de propagande politique permanent s’est fait remettre en place par une personnalité qui sur la scène internationale sait ce qu’il faut dire à la manière des Chefs d’Etat responsables, avec distinction, fermeté et sobriété, pour remettre les pendules à l’heure.

NOTE : Le but de ce sommet était de trouver des solutions face à l'envolée du prix de l'or noir.

La CFTC - cheminots cherche à ménager la chèvre et le chou

Entre les deux son coeur balance !

La presse « alignée » nous fait savoir qu’au 6me jour de grève SNCF « on sent une certaine fatigue chez les cheminots …….. mais que l’on n’est pas prêt à suspendre le mouvement pour maintenir une force de pression sur les négociations »

Monsieur Pottier, secrétaire général de la CFTC-cheminots, syndicat minoritaire à la SNCF s’exprime : "pour « certains » sur le terrain, la négociation doit primer sur la grève, pour « d’autres »il faut de la pression ", selon lui.

Monsieur Pottier ne précise pas le nombre des "certains" et le nombres "d'autres" ce qui laisse planer le doute.

Comme toujours à la CFTC qui cependant a renouvelé son appel à la grève, sous la pression de sa base, on cherche à ménager la chèvre et le chou et on adopte un langage officiel mi-figue mi-raisin, celui des hypocrites.

19 novembre 2007

8000 zéros contre les grévistes !


Environ 8 000 "zéros" ont manifesté, dimanche 18 novembre, à Paris, pour réclamer la fin de la grève qui perturbe les transports publics depuis le 14 novembre. Ces égoïstes et égocentriques animés par leur conviction de droite libérale ont marché sur le parcours traditionnel des manifestations syndicales, entre les places de la République et de la Nation, aux cris de "Fillon, tiens bon" …….. « Au Boulot » ....... Cette protestation était organisée par une association libérale « Liberté chérie ».

Certains d’entre eux, questionnés par les médias, ont prétendus le visage sévère et les traits du visages contractés de colère, qu’il n’était pas normal que ceux qui versent 40 années de cotisations payent pour ceux qui n’en versent que 37,5 , et ont fait preuve d’une méconnaissance totale des vraies questions de décote et de pénibilités des conditions de travail qui sont surtout au cœur des négociations. D’autres ont prétendu qu’il n’était pas normal que des « grévistes » empêchent les autres d’aller travailler. Mais enfin si vous suiviez les judicieux conseils de votre Ministre libérale Madame Lagarde vous circuleriez en vélo pour aller au travail OU au moins donner l’exemple. Enfin, 8000 zéros qui se complaisent à regarder leurs nombrils, ce n’est pas significatif aux yeux de millions de salariés dans l’embarras et qui soutiennent par leur silence les grévistes.

JL Borloo, 56 ans, Président du parti Radical valoisien












La roue avant et la roue arrière


Comme prévu, Jean-Louis Borloo, a été élu dimanche président du Parti radical « valoisien » et prend la tête du peloton "valoisien".

Il a affirmé son ambition d'en faire "un grand parti" dans une "stratégie d'indépendance loyale" vis-à-vis de l'UMP, à laquelle ce Parti s’est « raccroché » en 2002.

Son élection à la tête du Parti radical intervient quelques jours après la reprise du dialogue (souhaitée par le pouvoir UMP) entre radicaux valoisiens et radicaux de gauche, brouillés depuis 35 ans.

Ce qui n’a pas empêché Monsieur Borloo d’affirmer :"Ne me demandez pas d'être le leader d'un courant de l'UMP", devant les délégués et invités réunis à Paris pour le 108ème congrès du « plus vieux parti de France. »

Monsieur Borloo avait brigué la présidence du Parti Radical, dont il était jusqu’alors co président avec Monsieur André Rossinot Maire de Nancy, un très ancien radical, pour selon lui en faire « un grand parti »

Monsieur André Rossinot très lyrique a précisé que bien entendu les radicaux : « soutiennent l'action du président et du gouvernement, dans une liberté d'action, de rêve et de parole".

Cette formule très large, selon moi, offrira à certains radicaux libres maintes occasions de s’envoler dans un rêve radical idéal et de se gargariser dans des flots de paroles qui iront rejoindre dans les moulures du plafond de leurs salles de réunions, ceux qui s’y trouvent en suspens depuis des lustres.

Plusieurs élus des fédérations ont pris la parole au cours de ce congrès et s'étaient succédés auparavant à la tribune pour apporter lui un soutien "vigilant", l'interpellant notamment sur les municipales de 2008 et les régionales de 2010. ……."Tu seras jugé sur les résultats aux municipales, de façon à ce que le Parti radical ne soit pas seulement un beau mouvement d'idées", a prévenu la présidente de la fédération du Rhône.

Arlette Fructus, responsable dans les Bouches-du-Rhône, a pris la parole pour rappeler aux nouveaux cadres du parti, que le Parti radical est "le parti du pouvoir régional". "Il faut un programme" avec "plus de visibilité, plus de soutiens sur le terrain et plus d'existence dans les fédérations", "pour prendre le pouvoir des régions".

"Je serai réellement le président de ce parti" a répondu Jean-Louis Borloo mais "la condition, c'est que vous ayez le même engagement d'y aller à fond".

Il a prévenu que ce qu'il allait faire risquait d'"en déranger plusieurs, parmi nos amis". "Ce ne sera pas simple", "il y aura des résistances", et "il va falloir jeter des ponts au-delà de nous-mêmes", mais "dans l'intérêt de notre pays", a-t-il averti, dans une allusion à un éventuel rapprochement avec le PRG de Jean-Michel Baylet (ndlr : souhaité par l’UMP)

André Rossinot a plaidé pour un "pôle central décomplexé" dans le paysage politique et pour un Parti radical "catalyseur de cet espace central", face à "l'épuisement idéologique d'une gauche socialiste déboussolée" d’après lui.

Le Parti radical devra être un "laboratoire d'idées", "une plate-forme rénovatrice" de la vie politique. "C'est d'ailleurs une de nos fonctions historiques" ………. "Il faut à la fois rester nous-mêmes et nous adapter", a souligné M. Rossinot.

Monsieur Rossinot, Maire de Nancy, en passant les clefs de la Présidence du parti à Monsieur Borloo, aura beaucoup plus de temps pour se consacrer à sa ville, mais bien entendu il restera toujours actif dans la maison valoisienne qui sera peut-être un jour éventuellement jumelée avec la maison des radicaux de gauche pour satisfaire le désir d’ouverture de l’UMP, laquelle deviendrait ainsi la l'équipe chargée de d'intégrer un nouveau petit vélo , étant rappelé qu’elle tire celui de la maison valoisienne depuis fin 2002 .

Monsieur Rossinot a aussi annoncé la création prochaine d'une fondation pour promouvoir les valeurs du radicalisme, Enfin, Monsieur Rossinot a rappelé à la tribune les valeurs traditionnelles et progressivement élargies du radicalisme : "République, démocratie, solidarité, fraternité, laïcité, individu, et toutes les valeurs intégratrices au sein d'une nation de plus en plus européenne" en annonçant la création prochaine d’une Fondation qui aura pour but de promouvoir les valeurs des radicalismes.

Bien entendu, le nouveau Président, l’ancien co-président, les délégués, les cadres du parti ont été chaleureusement applaudis à l’occasion de leurs interventions et sur deux jours de contentement le Congrès s’est terminé, avec les prolongements habituels, repas et réjouissances entre amis.

Macias "aimerait" accompagner Sarkozy en Algérie


en haut à gauche : Constantine

en haut à droite : Le Chef du Gouvernement Algérien, Monsieur
Abdelaziz Boukhadem

en bas : Monsieur Sarkozy, Président de la République Française, Monsieur Enrico Macias, chanteur, ami du Président.



Le chanteur Enrico Macias, natif de Constantine (Algérie) aimerait accompagner le président Nicolas Sarkozy lors de sa prochaine visite dans ce pays début décembre pour sa première visite d’Etat dans ce pays, mais cette perspective soulève des réticences à Alger, ou certaines personnalités le considèrent comme « personna non gratta »

M. Belkhadem, actuel Premier Ministre du Gouvernement Algérien, qui avait publiquement combattu une première fois la venue de M. Macias en Algérie en 2000, s'est déclaré opposé à la venue du chanteur et a déclaré: "Je n'ai pas changé d'avis " toutefois, Monsieur Belkhadem à diplomatiquement modéré ses propos en ajoutant « nous n'avons pas le droit de choisir les invités qui vont accompagner le président français :"Ceux qui viendront avec le président Sarkozy seront nos invités.

"J'ai exprimé mon désir auprès du président de pouvoir l'accompagner, mais je lui ai dit qui si cela posait des problèmes, il ne fallait pas qu'il se gêne pour me le dire", a déclaré le chanteur après des déclarations du Premier ministre algérien Abdelaziz Belkhadem.

Selon un projet de programme officiel évoqué par la presse algérienne, le chef de l'Etat français pourrait se rendre à Constantine, magnifique ville édifiée dans l’antiquité sur les vertigineuses gorges du Rhummel dans l’Est algérien ville natale du chanteur, qui y a exercé la profession d’ instituteur dans sa jeunesse, avant de prendre le chemin de l'exode après la proclamation de l'indépendance algérienne en juillet 1962.

En 2000, Monsieur Belkhadem, avait pris la tête d'un "front du refus" d'une visite annoncée du chanteur, qui devait se rendre dans son pays natal à l'invitation du président Abdelaziz Bouteflika. Abdelaziz Belkadem n'avait pas de fonction officielle au gouvernement à cette époque là .

Interrogée, l'Elysée a indiqué que la venue du chanteur était effectivement évoquée, mais se heurtait à des réticences en Algérie. Sarkozy en Algérie.

Monsieur Enrico Macias a bien entendu tous les droits d’exprimer ici ses opinions politiques et de soutenir au nom de celles-ci et de son amitié, son ami Nicolas Sarkozy, mais saisir le prétexte d’une visite d’Etat pour hausser sa personnalité qu’il sait contestée en Algérie, au niveau du cortège officiel, est une prétention irraisonnée, qui ne tient pas compte des nuances qui existent entre un chanteur et un homme politique officiellement reconnu dans les pays étranger.

Il est à noter que Monsieur Enrico Macias peut, à titre privé, voyager à sa convenance en Algérie, le territoire Algérien ne lui est pas interdit par les autorités Algérienne, mais bien évidemment à titre privé sans les honneurs et le prestige d'un cortège officiel.

Beaucoup d’artistes sont tentés de faire cette confusion en usant de leur renommée artistique et culturelle, sans se rendre compte par vanité personnelle, qu’ils risquent de créer des gênes politiques et diplomatiques dommageables. Nous ne pouvons que le regretter, mais en conclusion, il y a des circonstances où il vaut mieux ne pas se donner en spectacle : "nul n'est prophète en son pays .... natal ", surtout quand ce pays est sorti du giron de la France depuis 1962, soit 45 ans déjà et que les liens restent toujours très délicats à renouer entre nos deux pays.

Note : Constantine connue avant les Romains sous le nom de Cirta - En 311 après J.-C. elle se révolte contre Rome, au prix de sa destruction par l'empereur Maxence. Elle est reconstruite en 313 par l'empereur Constantin qui lui donne son nom. C’est durant cette période qu'est édifié le "castella" de Tiddis (Castellum Tidditanorum) situé à quelques kilomètres de Cirta. - Les quatre siècles allant de Constantin à l’apparition de l’Islam, où l’Empire chrétien, ébranlé par les Vandales de Genséric et prolongé par les Byzantins, a imprimé sa marque.Quatre langues ont été parlées durant ce millénaire : le libyque, le punique, le grec et le latin.

18 novembre 2007

Echange "vif" entre MM. Sarkozy et Devedjian










IL N'Y QU'UN SEUL PRESIDENT !

En présence de nombreux témoins médusés, Monsieur Sarkozy, à l'issue d'un échange très vif avec Monsieur Devedjian, lui rappelle qu' "il n'y a qu'un seul Président"

Jeudi soir 15 novembre, une vive et longue altercation a opposé lors de la réunion de l'état-major de l'UMP à l'Elysée, Nicolas Sarkozy et Patrick Devedjian. Un article du « Figaro »de lundi dernier, rendant compte de la prestation de Patrick Devedjian, secrétaire général de l'UMP, au « Gand Jury » diffusée la veille au « Grand Jury » par RTL et LCI, avait provoqué un grave mécontentement chez le Président.

D’après les médias le titre - « Devedjian ressent une certaine déception de l'opinion » - était resté en travers de la gorge du chef de l'Etat.

« On n'est pas obligé de dire dans la presse qui nous est favorable qu'on ressent une certaine déception », a accusé Monsieur Sarkozy .

Devedjian s'est défendu en expliquant que ce n'est pas ce qu'il voulait dire, et que le contenu de l'article était plus équilibré que le titre.

Monsieur Sarkozy a insisté en jugeant que l'attitude de Devedjian n'était pas très professionnelle au vu de son expérience.

Patrick Devedjian ne s’est pas démonté : « Je peux donner d'autres exemples de très bons discours qui n'ont été résumés que par un mot. Par exemple, celui de détail », a-t-il lancé en allusion a au discours de François Fillon, du 6 octobre, devant le conseil national de l'UMP où, utilisant ce terme pour évoquer les tests ADN, le Premier ministre avait soulevé une vive polémique. Assistant à l'altercation, Monsieur Fillon, soucieux de ne pas jeter de l’huile sur le feu.est resté silencieux.

Après quelques échanges qualifiés de vifs par les médias, Monsieur Nicolas Sarkozy a conclu, très tranchant : « Il y a peut-être plusieurs exemples, mais il n'y a qu'un seul président. »

Toujours d’après les médias, nombre de témoins ayant assistés à cet esclandre seraient sortis « médusés » de la réunion.

INFORMATIONS-VIDEOS : 1/Philippe de VillIers face à Philippe Deval: Vidéo de source CNEWS, 22 novembre 2024_ 2 /Entretien Philippe de Villers-CNEWS , 8 novembre 2024 -

Relais d'information  de lucienne magalie pons 1/ ppppppppppppppppppppp gggggggggggggggggggggg52:31 oo0oo 2/