Éditorial de lucienne magalie pons
Avant de passer en revue de presse, nous attirons aussi tout particulièrement votre attention et votre vigilance sur la nouvelle menace qui s'annonce imminente au niveau de l'UE contre l'enfant et la famille, en effet le 4 février prochain les députés européens sont appelés a examiner le rapport Lunacek, présenté comme « la feuille de route de l’UE contre l’homophobie et les discriminations fondées sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre ».
Le mouvement La Manif Pour Tous, a lancé une pétition destinée à sensibiliser les députés européens et demandant le rejet pur et simple du rapport Lunacek, et dénonce un projet visant clairement à la mise en place d’un dispositif européen favorisant les revendications du lobby LGBTI (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transexuels et Intersexes).
En nous référant à l'article de source:
- nous résumons ci -dessous ce qu'il faut au moins savoir du rapport Lunacek (que nous vous invitons si vous le souhaitez de combattre en signant une pétition en ligne)
1/Le vote prévu le 4 février pourrait passer inaperçu , il ne figure pas à l’ordre du jour pour le débat public. Seule son adoption est annoncée .
2/Le texte du rapport disponible ici en français demande la mise en place d’une feuille de route « visant à la protection des droits fondamentaux des personnes LGBTI », « contre l’homophobie et la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre ».
3/Il est exigé des États membres « d’adapter leur droit de la famille aux changements que connaissent actuellement les structures et les modèles familiaux et va jusqu'à inclure la possibilité que les enfants aient plus de deux parents (tuteurs légaux), car cela ouvrirait la voie à une meilleure reconnaissance des familles arc-en-ciel et des familles LGBT, tout comme des familles recomposées ».
4/ Le rapport recommande aussi « de garantir l’accès des femmes célibataires et des femmes lesbiennes aux traitements de fertilité et aux traitements de procréation médicalement assistée »
5/ de promouvoir « dans les écoles le respect et l’intégration des personnes LGBTI et de favoriser un enseignement objectif des questions concernant l’orientation sexuelle, l'identité de genre et l'expression du genre dans les écoles et les autres structures éducatives ».
6/ Il demande également de faciliter l’organisation de « défilés de type “Pride” » car – disent-ils – ces manifestations « sensibilisent le public aux questions relatives aux LGBTI et permettent aux personnes LGBTI de s’exprimer ».
7/ Ce rapport demande à ce que les enfants puissent avoir plus de deux parents
8 / Ce rapport a été préparé et promu par ILGA Europe, c’est-à-dire par la LGBTI (lesbiennes-gays-bisexuels-transsexuels-intersexes) au niveau européen.
9/ Il faut souligner que ce lobby ultra-minoritaire ne représente en rien l’ensemble des personnes homosexuelles puisqu’il rassemble à peine quelques milliers de personnes pour l’ensemble de l’Union européenne, mais qu'il est pris en grande considération par le Parlement européen ILGA Europe a en effet été financée à hauteur de 1,408 millions d’euros en 2012 et si le rapport est voté un financement encore beaucoup plus important est prévu.
ndlr : la pétition de la Manif Pour Tous dénonce aussi l’objectif financier de ce rapport.
Pour interpeler vos députés : http://www.deputespourtous.com/europe/
__________________________________________________________________/
EN FRANCE :
Nous attirons aussi votre attention sur la propagande qui a trouvée sa place dans les discours de plusieurs haut responsables politiques français et aussi sur leur "outil " à valeur de test " le manuel "ABCD de l’égalité", engagée à la rentrée par le ministère de l’Éducation Nationale dans dix académies."
De même nous dénonçons leur arguments quand pour ne pas prendre en compte les protestations des centaines de parents qui s'opposent à l'enseignement de la théorie du genre dans nos établissements ils prétendent que les parents sont instrumentalisés et manipulés, et que l'enseignement de la Théorie du genre est une "rumeur" , et résulte des instrumentalisations de ceux qui, venus de l’extrême-droite négationniste, sont en train de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants,…. » , arguments qui ont été repris par les médias qui leur sont dévoués.
Comme si tous les parents étaient des abrutis incapables de réfléchir et d'agir par eux mêmes !
Dans les jours précédents ( et le mouvement continu) des centaines de parents n'ont pas présentés leurs enfants dans les écoles en signe d’opposition aux idéologies véhiculées par la "théorie du genre" par le manuel le manuel "ABCD de l’égalité", engagée à la rentrée par le ministère dans dix académies, largement promotionné par un syndicat d’enseignants proche du gouvernement
Très vite les responsables du gouvernement affolés par ce mouvement à l'approche des municipales ont, par la voix du Ministre de l'éducation nationale, dénoncés en séance à l'Assemblée Nationale , je cite ... " des rumeurs venues de l’extrême-droite négationniste, de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants,…. » , arguments qui ont été repris par les médias qui leur sont dévoués.
En effet avant-hier le 28 janvier à l’assemblée nationale au cours de la séance de questions aux gouvernement "la théorie du genre" était à l'ordre du jour.
D'abord c'est le député de la majorité socialiste et de gauche, Olivier Faure du Groupe socialiste républicain et citoyen qui a posé sa question au Ministre de l’éducation Nationale en lui tendant généreusement la perche, en parlant de rumeur, de groupes extémistes, de pyromanes .., qu'il tient pour responsables de la manifestation de dimanche dernier (jour de colère) et d'être à la base de l' instrumentalisation des parents qui n'ont pas présenté hier leurs enfants dans les écoles, et il a même accusé Jean-François Copé , lequel selon lui "a choisi de relayer la rumeur en se déclarant « choqué par la théorie du genre » plutôt que de dénoncer l’absurdité de telles allégations. ....."
_____________/
Voici leur échange extrait du compte rendu intégral de la deuxième séance du mardi 28 janvier 2014 .
M. le président. La parole est à M. Olivier Faure, pour le groupe socialiste, républicain et citoyen.
M. Olivier Faure. Ma question s’adresse au ministre de l’éducation nationale.
Monsieur le ministre, la rumeur n’est hélas pas un phénomène nouveau, mais les moyens technologiques ont renforcé sa viralité. Aujourd’hui, des groupes extrémistes utilisent ce poison pour manipuler les consciences, les exciter contre des projets imaginaires, mieux les dresser contre le travail indispensable que vous menez pour refonder l’école.
Ainsi, certains pyromanes, clairement issus des rangs de l’extrême-droite, qui manifestaient dimanche dernier comme vient de le rappeler Matthias Fekl, développent l’idée que le Gouvernement serait à la tête d’un vaste complot qui aurait pour moyen la négation de toute réalité biologique et pour but la destruction de notre civilisation. Rien de moins !
Depuis quelques jours, et singulièrement depuis hier, la rumeur s’est amplifiée dans nos écoles. Cette manipulation, par voie de mails et de SMS, dénonce l’officialisation et la généralisation de la théorie du genre pour les enfants scolarisés. On a même vu des SMS prévenant les parents que des cours de masturbation étaient organisés chez les tout-petits !
Le résultat a été de susciter artificiellement l’inquiétude des parents, et certains ont même choisi de retirer leurs enfants de l’école. À cet égard, je regrette et je déplore que M. Copé ait choisi de relayer la rumeur en se déclarant « choqué par la théorie du genre » plutôt que de dénoncer l’absurdité de telles allégations. (Exclamations sur de nombreux bancs du groupe UMP.)
Alors, monsieur le ministre, je souhaiterais tout simplement que vous mettiez un point final à cette rumeur absurde. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe SRC.)
Avant de passer en revue de presse, nous attirons aussi tout particulièrement votre attention et votre vigilance sur la nouvelle menace qui s'annonce imminente au niveau de l'UE contre l'enfant et la famille, en effet le 4 février prochain les députés européens sont appelés a examiner le rapport Lunacek, présenté comme « la feuille de route de l’UE contre l’homophobie et les discriminations fondées sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre ».
Le mouvement La Manif Pour Tous, a lancé une pétition destinée à sensibiliser les députés européens et demandant le rejet pur et simple du rapport Lunacek, et dénonce un projet visant clairement à la mise en place d’un dispositif européen favorisant les revendications du lobby LGBTI (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transexuels et Intersexes).
En nous référant à l'article de source:
Rapport Lunacek : nouvelle menace anti-famille au Parlement européen
- Aleteia - il y a 1 jourLe 4 février prochain, les députés adopteront-ils un dispositif européen favorisant les revendications du lobby LGBTI ? GPA, PMA.... Ce rapport ...
- nous résumons ci -dessous ce qu'il faut au moins savoir du rapport Lunacek (que nous vous invitons si vous le souhaitez de combattre en signant une pétition en ligne)
1/Le vote prévu le 4 février pourrait passer inaperçu , il ne figure pas à l’ordre du jour pour le débat public. Seule son adoption est annoncée .
2/Le texte du rapport disponible ici en français demande la mise en place d’une feuille de route « visant à la protection des droits fondamentaux des personnes LGBTI », « contre l’homophobie et la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre ».
3/Il est exigé des États membres « d’adapter leur droit de la famille aux changements que connaissent actuellement les structures et les modèles familiaux et va jusqu'à inclure la possibilité que les enfants aient plus de deux parents (tuteurs légaux), car cela ouvrirait la voie à une meilleure reconnaissance des familles arc-en-ciel et des familles LGBT, tout comme des familles recomposées ».
4/ Le rapport recommande aussi « de garantir l’accès des femmes célibataires et des femmes lesbiennes aux traitements de fertilité et aux traitements de procréation médicalement assistée »
5/ de promouvoir « dans les écoles le respect et l’intégration des personnes LGBTI et de favoriser un enseignement objectif des questions concernant l’orientation sexuelle, l'identité de genre et l'expression du genre dans les écoles et les autres structures éducatives ».
6/ Il demande également de faciliter l’organisation de « défilés de type “Pride” » car – disent-ils – ces manifestations « sensibilisent le public aux questions relatives aux LGBTI et permettent aux personnes LGBTI de s’exprimer ».
7/ Ce rapport demande à ce que les enfants puissent avoir plus de deux parents
8 / Ce rapport a été préparé et promu par ILGA Europe, c’est-à-dire par la LGBTI (lesbiennes-gays-bisexuels-transsexuels-intersexes) au niveau européen.
9/ Il faut souligner que ce lobby ultra-minoritaire ne représente en rien l’ensemble des personnes homosexuelles puisqu’il rassemble à peine quelques milliers de personnes pour l’ensemble de l’Union européenne, mais qu'il est pris en grande considération par le Parlement européen ILGA Europe a en effet été financée à hauteur de 1,408 millions d’euros en 2012 et si le rapport est voté un financement encore beaucoup plus important est prévu.
ndlr : la pétition de la Manif Pour Tous dénonce aussi l’objectif financier de ce rapport.
Pour interpeler vos députés : http://www.deputespourtous.com/europe/
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EN FRANCE :
Nous attirons aussi votre attention sur la propagande qui a trouvée sa place dans les discours de plusieurs haut responsables politiques français et aussi sur leur "outil " à valeur de test " le manuel "ABCD de l’égalité", engagée à la rentrée par le ministère de l’Éducation Nationale dans dix académies."
De même nous dénonçons leur arguments quand pour ne pas prendre en compte les protestations des centaines de parents qui s'opposent à l'enseignement de la théorie du genre dans nos établissements ils prétendent que les parents sont instrumentalisés et manipulés, et que l'enseignement de la Théorie du genre est une "rumeur" , et résulte des instrumentalisations de ceux qui, venus de l’extrême-droite négationniste, sont en train de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants,…. » , arguments qui ont été repris par les médias qui leur sont dévoués.
Comme si tous les parents étaient des abrutis incapables de réfléchir et d'agir par eux mêmes !
Dans les jours précédents ( et le mouvement continu) des centaines de parents n'ont pas présentés leurs enfants dans les écoles en signe d’opposition aux idéologies véhiculées par la "théorie du genre" par le manuel le manuel "ABCD de l’égalité", engagée à la rentrée par le ministère dans dix académies, largement promotionné par un syndicat d’enseignants proche du gouvernement
Très vite les responsables du gouvernement affolés par ce mouvement à l'approche des municipales ont, par la voix du Ministre de l'éducation nationale, dénoncés en séance à l'Assemblée Nationale , je cite ... " des rumeurs venues de l’extrême-droite négationniste, de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants,…. » , arguments qui ont été repris par les médias qui leur sont dévoués.
En effet avant-hier le 28 janvier à l’assemblée nationale au cours de la séance de questions aux gouvernement "la théorie du genre" était à l'ordre du jour.
D'abord c'est le député de la majorité socialiste et de gauche, Olivier Faure du Groupe socialiste républicain et citoyen qui a posé sa question au Ministre de l’éducation Nationale en lui tendant généreusement la perche, en parlant de rumeur, de groupes extémistes, de pyromanes .., qu'il tient pour responsables de la manifestation de dimanche dernier (jour de colère) et d'être à la base de l' instrumentalisation des parents qui n'ont pas présenté hier leurs enfants dans les écoles, et il a même accusé Jean-François Copé , lequel selon lui "a choisi de relayer la rumeur en se déclarant « choqué par la théorie du genre » plutôt que de dénoncer l’absurdité de telles allégations. ....."
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Voici leur échange extrait du compte rendu intégral de la deuxième séance du mardi 28 janvier 2014 .
copié/collé :
M. Olivier Faure. Ma question s’adresse au ministre de l’éducation nationale.
Monsieur le ministre, la rumeur n’est hélas pas un phénomène nouveau, mais les moyens technologiques ont renforcé sa viralité. Aujourd’hui, des groupes extrémistes utilisent ce poison pour manipuler les consciences, les exciter contre des projets imaginaires, mieux les dresser contre le travail indispensable que vous menez pour refonder l’école.
Ainsi, certains pyromanes, clairement issus des rangs de l’extrême-droite, qui manifestaient dimanche dernier comme vient de le rappeler Matthias Fekl, développent l’idée que le Gouvernement serait à la tête d’un vaste complot qui aurait pour moyen la négation de toute réalité biologique et pour but la destruction de notre civilisation. Rien de moins !
Depuis quelques jours, et singulièrement depuis hier, la rumeur s’est amplifiée dans nos écoles. Cette manipulation, par voie de mails et de SMS, dénonce l’officialisation et la généralisation de la théorie du genre pour les enfants scolarisés. On a même vu des SMS prévenant les parents que des cours de masturbation étaient organisés chez les tout-petits !
Le résultat a été de susciter artificiellement l’inquiétude des parents, et certains ont même choisi de retirer leurs enfants de l’école. À cet égard, je regrette et je déplore que M. Copé ait choisi de relayer la rumeur en se déclarant « choqué par la théorie du genre » plutôt que de dénoncer l’absurdité de telles allégations. (Exclamations sur de nombreux bancs du groupe UMP.)
Alors, monsieur le ministre, je souhaiterais tout simplement que vous mettiez un point final à cette rumeur absurde. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe SRC.)
M. le président. La parole est à M. le ministre de l’éducation nationale.
M. Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale. L’école de la République a trois missions, monsieur le député : instruire les enfants de la République, favoriser leur insertion professionnelle et transmettre les valeurs de la République. La représentation nationale l’a souhaité, elle peut en être fière dans sa diversité. Notre devise républicaine est à nouveau apposée sur tous les établissements de France. Nos 48 000 écoles sont pavoisées du drapeau français et du drapeau européen, la charte de la laïcité est présente dans les établissements, ainsi que la Déclaration des droits de l’Homme.
Au cœur de ces valeurs, il y a l’égalité, et cela concerne aussi l’égalité entre les hommes et les femmes car, dans notre pays, vous le savez, il y a trop d’inégalités. À même niveau de responsabilité, les écarts de salaire sont de plus de 25 %. Alors qu’un plus grand nombre de jeunes filles réussissent dans les filières scientifiques, moins d’un tiers d’entre elles se destinent au métier d’ingénieur alors que nous en avons besoin.
L’éducation nationale assume tout simplement la transmission de ces valeurs, le respect et l’égalité entre les filles et les garçons. Elle refuse totalement la théorie du genre, et elle refuse les instrumentalisations de ceux qui, venus de l’extrême-droite négationniste, sont en train de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants, que tel serait notre point de vue.
Jamais nous ne renoncerons à l’enseignement de l’égalité, que nous inscrivons au fronton de toutes nos écoles. Nous continuerons de lutter contre toutes les discriminations, le racisme, les inégalités, mais je veux très solennellement rassurer tous les parents de France : n’écoutez pas ceux qui veulent semer la division et la haine dans les écoles. Ce que nous faisons, ce n’est pas la théorie du genre, que je refuse, nous voulons promouvoir les valeurs de la République et l’égalité entre les hommes et les femmes. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC, écologiste et RRDP.)
fin du copié/collé
__________________________________/M. Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale. L’école de la République a trois missions, monsieur le député : instruire les enfants de la République, favoriser leur insertion professionnelle et transmettre les valeurs de la République. La représentation nationale l’a souhaité, elle peut en être fière dans sa diversité. Notre devise républicaine est à nouveau apposée sur tous les établissements de France. Nos 48 000 écoles sont pavoisées du drapeau français et du drapeau européen, la charte de la laïcité est présente dans les établissements, ainsi que la Déclaration des droits de l’Homme.
Au cœur de ces valeurs, il y a l’égalité, et cela concerne aussi l’égalité entre les hommes et les femmes car, dans notre pays, vous le savez, il y a trop d’inégalités. À même niveau de responsabilité, les écarts de salaire sont de plus de 25 %. Alors qu’un plus grand nombre de jeunes filles réussissent dans les filières scientifiques, moins d’un tiers d’entre elles se destinent au métier d’ingénieur alors que nous en avons besoin.
L’éducation nationale assume tout simplement la transmission de ces valeurs, le respect et l’égalité entre les filles et les garçons. Elle refuse totalement la théorie du genre, et elle refuse les instrumentalisations de ceux qui, venus de l’extrême-droite négationniste, sont en train de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants, que tel serait notre point de vue.
Jamais nous ne renoncerons à l’enseignement de l’égalité, que nous inscrivons au fronton de toutes nos écoles. Nous continuerons de lutter contre toutes les discriminations, le racisme, les inégalités, mais je veux très solennellement rassurer tous les parents de France : n’écoutez pas ceux qui veulent semer la division et la haine dans les écoles. Ce que nous faisons, ce n’est pas la théorie du genre, que je refuse, nous voulons promouvoir les valeurs de la République et l’égalité entre les hommes et les femmes. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC, écologiste et RRDP.)
fin du copié/collé
- suite de notre éditorial
Il se trouve d'après notre analyse, que le Ministre de l’éducation Nationale a répondu en disculpant l’Éducation Nationale et lui même de la « Théorie du genre » , et en détournant la question il a
placé sa réponse sur le terrain
des valeurs républicaines et de l’égalité entre les hommes et les femmes et pour faire
diversion il a parlé des écarts de salaire de
plus de 25 % entre les hommes et les
femmes et sur « le plus grand
nombre de jeunes filles (qui) réussissent dans les filières scientifiques, » en soulignant que « moins d’un tiers d’entre elles se
destinent au métier d’ingénieur alors que nous en avons besoin. », on se demande ce que viennent faire les écarts de salaires et les jeunes filles ingénieurs dans la "théorie du genre, une allusion selon laquelle on peut penser que dans l'esprit du Ministre t_gne une épaisse confusion des genres !
Et vous ne serez pas surpris qu’à l’approche des élections
Municipales ce Ministre ait prétendu que l"Education nationale "refuse totalement la théorie du genre" et qu'elle "refuse
les instrumentalisations de ceux qui, venus de l’extrême-droite négationniste sont en train de vouloir répandre l’idée, qui fait peur
aux parents et blesse les enseignants, que tel serait notre point de
vue"
Le mot "négationniste" n'a pas été prononcé par hasard, il ajoute une connotation dont tout le monde devine l'intention .
La manœuvre du Gouvernement et des députés de la majorité est claire, elle dans la ligne politicienne qui est la
leur de noyer le poisson , et de passer à l'alerte en désignant l’extrême droite, l’ultra
droite, les négationnistes d'extrême droite etc..., qui peuplent surtout leur imagination cauchemardesque , comme responsables de tout mouvement de protestation à l’encontre de leur politique , et
cette fois dans les protestations des
parents, ils argumentent contre « les
instrumentalisations de ceux qui, venus de l’extrême-droite négationniste, sont
en train de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les
enseignants,…. "( ‘sic)
Ces arguments ne tiennent pas debout, ce sont des arguments
qu’ils utilisent dès qu’un mouvement s’oppose contre la politique du gouvernement
pour toutes questions de société touchant à leur politique familiale et
sociétale : mariage pour tous par exemple, et contre tous ceux qui
manifestent contre leur politique économique,
fiscale, sociale, contre les promesses
non tenues et leur échec sur toute la ligne, en matière de chômage notamment.
Pour terminer nous publions ci-dessous un remarquable réquitoire scientifique et politique contre la "théorie du genre" dont il faut considérer qu'il est d'actualité puisqu'il tient compte des nouveaux rebondissements de la "Théorie du Genre" de ces tous derniers jours en France.
29
jan
Idéologie du genre dans les écoles, bien loin d’une rumeur toute l’UE est concernée
par
Quand un état perd tout repères, très vite s’installent les idées, ces dernières peuvent être philosophiques, intellectuellement pertinentes, mais sont-elles des références basées sur une vérité scientifique ? Sont-elles une constatation précise et nette de la vérité, par exemple biologique ? Les lobbys notamment ultra féministe, ont compris qu’ils peuvent très facilement inculquer leurs fallacieuses théories en s’attaquant à l’œuf. Les gauchistes européens sont partis en croisade pro-genre.
www.radinrue.com le XXIX – I – MMXIV, 10h42, par : Benjamin Dawid PYRZ
L’Education
Nationale investie par des groupes d’individus radicaux, aux idéologies
marxistes, aux théories qui exaltent le plaisir sexuel et réfutent dans
ce domaine la responsabilité au nom du désir qu’elles sacralisent ? Une
idée reçue et ringarde ? Pas vraiment, à la vue de la lente
progression, mais très effective, d’idéologies de ce type, qui peu à peu
se greffent dans les manuels scolaires des petits européens, sans que
personne ne dise rien ?
L’œuf est pourri sous sa coquille, et revendique haut et fort qu’on le laisse tranquille, en s’autoproclamant indépendant, et peu importe s’il transmet son propre pourrissement à nos enfants. Dans toute l’Europe le débat sur la théorie du genre agite les politiques.
L’œuf est pourri sous sa coquille, et revendique haut et fort qu’on le laisse tranquille, en s’autoproclamant indépendant, et peu importe s’il transmet son propre pourrissement à nos enfants. Dans toute l’Europe le débat sur la théorie du genre agite les politiques.
Hier en France, quand des centaines de parents ont
décidé de retirer leurs enfants des écoles en signe d’opposition aux
idéologies véhiculées par un manuel largement promotionné par un
syndicat d’enseignants proche du gouvernement, très vite la réponse fut
toute transmise aux médias : l’enseignement de la Théorie du genre est
une rumeur ; on claironnait les médias. Rumeurs ? Non pas du tout,
l’envie de mettre en place la Théorie du genre ne se passe pas qu’au
sein de l’Education Nationale Française, il s’agit d’une théorie
largement plébiscitée par les socialistes de l’Union Européenne. Et bien
sûr, pour s’en défendre très vite la rhétorique a été trouvée : « c’est
une folle rumeur », « ceux qui s’opposent au « gender » sont des
extrémistes » des « ultras »…
La campagne qui a surpris les promoteurs de cette théorie, a été bien relayée par les SMS
et les réseaux sociaux. Le but de cette alerte est de rappeler aux
parents qu’ils sont les seuls maîtres de l’éducation de leurs enfants,
et qu’ils s’opposent totalement à ce que des socialistes militants d’une
gauche frustrée utilise leurs enfants comme des cobayes. L’initiative
"Journée de retrait de l’école", a reçu mardi le soutien de l’Institut
Civitas et de la présidente d’honneur du Parti chrétien-démocrate
Christine Boutin, en soi la campagne a été lancée par Farida Belghoul.
Avec
la majorité de la presse comme alliée de la propagande, c’est avec une
sournoiserie discrète que le ministère de l’Education n’a pas hésité à
inclure le manuel contesté "ABCD de
l’égalité", engagée à la rentrée par le ministère dans dix académies. Ce
projet est argumenté par une soi-disant volonté de lutte « contre les
stéréotypes filles-garçons à l’école » et pour corriger les inégalités
entre les sexes dès le plus jeune âge. Lundi, le boycott a visé
l’Ile-de-France. Dans les Hauts-de-Seine, de nombreux établissements de
Gennevilliers, mais aussi d’Asnières, Nanterre et Colombes ont été
touchés par un absentéisme atteignant parfois 30 % des effectifs.
Démasqué
et obligé de s’expliquer, notamment à l’Assemblée Nationale, Vincent
Peillon, le ministre de l’Education Nationale a tenté de rassurer les
parents et a déclaré hier qu’il n’y aurait pas d’enseignement de la
théorie du genre à l’école, mais une "éducation à l’égalité
filles-garçons". "Il y a aujourd’hui un certain nombre de personnes qui
diffusent des théories qui sont celles du mensonge, et donc je veux
rassurer les parents. Ne vous inquiétez pas, c’est une éducation à
l’égalité filles-garçons, au respect filles-garçons et rien de plus", a
déclaré Vincent Peillon. Prouvant par-là que la « théorie du genre »
peut changer de nom, et que de toute manière sa manière d’être enseignée
est toujours douce, répartie sur le temps, et que c’est en camouflage
qu’elle finit par pénétrer l’esprit d’enfants, qui de par leurs jeunes
âges ne sont pas encore construits.
Depuis le 1er octobre
2013, deux ministères (ministre de l’Éducation, Vincent Peillon, et la
ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem) proposent aux
enseignants, via un espace Internet dédié, des « ressources » et
« outils ». Exemples : cette séquence pédagogique autour des
« représentations esthétiques de l’enfant, de la femme et de l’homme »
au fil des siècles, du célèbre portrait par Rigaud de Louis XIV,
arborant talons rouges ornés de diamants, au smoking pour femme d’Yves
Saint Laurent en 1966 ; ou cette réflexion sur « La figure de la belle »
dans les contes.En réalité tout un programme de « déconstruction sexuelle »
chez l’enfant, tendant ouvertement à nier les différences sexuelles
entre filles et garçons, expliquant que ces différences sont amenées par
des concepts extérieurs à la nature humaine, tout en niant
obligatoirement par ailleurs le concept évident de "nature" humaine !
Une manière aussi d’expliquer que l’homosexualité est tout à fait
naturelle, et ce, pour des enfants de 7 à 8 ans !
Ce que c’est vraiment la Théorie du genre
oo
____________________________/
oo
Publiée le 17 oct. 2013
Voici dans la vraie vie ce qu'est
l'idéologie du genre, nouveau dérivatif fascisant du lobby LGBT. Des
enfants dénaturés, idéologisés dès le plus jeune âge, enlevé à leurs
parents pour être soumis à la perversion.
Ca commence à la crêche, et c'est maintenant, chez nous, en France.
www.civitas-institut.com www.francejeunessecicitas.com
Ca commence à la crêche, et c'est maintenant, chez nous, en France.
www.civitas-institut.com www.francejeunessecicitas.com
-
Catégorie Actualités et politique
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LicenceLicence YouTube standard
La
théorie du genre, qui débute dans les campus américains au milieu de
féministes dégénérées, qui clamaient Beauvoir comme une déesse, est une
des idéologies qui tend à s’installer dans la conscience, sous des faux
habits de pseudo-science, mais qui en fait n’a rien à envier aux
théories sectaires et dangereuses de certains gourous. Aujourd’hui une
telle propagande a donc trouvé sa place dans des manuels scolaires
français. A ce jour, lentement et discrètement elle prend forme, et bien
sur ce couvre d’une auréole bien-pensante : « l’égalité homme-femme » …
qui oserait critiquer un tel objectif louable ? Ceux justement qui
savent lire entre les lignes !
Déjà en octobre 2011, 80 députés
sur 344 se sont aperçus de la supercherie. Ils furent alors perçus
comme de nombreuses personnes lucides ayant deviné concrètement déjà à
l’époque les prémices de ce qui se passe aujourd’hui. Ils ont dénoncé
la volonté de certains groupes d’influences d’intensifier leur vision
sociétale en l’incluant dans le cursus scolaire, sous des habits qui la
présente comme une observation scientifique irréfutable. Cette action
maligne et sournoise est aussi bien incrémentée, que la propagande
visuelle, au semblant anodin qui l’accompagne : le manuel illustre le
développement de la théorie du genre, par des images de la gay-pride,
des affiches pro-féministe etc… le tout en fait pour obliger notre
cerveau à reconnaître l’exception comme une norme !
En 2011 déjà, les manuels français de SVT
( Biologie ) présentent donc la théorie du genre sur l’orientation
sexuelle comme une donnée scientifique. L’aberrante propagande a trouvé
80 députés pour la dénoncer, et un ministre de l’éducation nationale de
l’époque Luc Châtel, qui n’a pas eu le courage de critiquer la
manipulation des lobbys, en sacralisant « la non censure » envers le
fruit de l’Education Nationale, comme –ci cette dernière, et les profs
qui la compose, étaient un sacro-saint magistère ! Aussi le manuel
scolaire présentant l’identité sexuelle des individus autant par le
contexte socioculturel que par leur constitution biologique ne fut pas
retiré. Trois ans après la lente influence de la Théorie du genre se
propage toujours !
Monseigneur Tony Anatrela, expliquait déjà le
danger de cette promulgation en « vérité » des idéologies de ce type,
dans une interview donné à l’agence catholique Zenit en décembre 2008,
le psychanalyste et spécialiste en psychiatrie sociale disait :
« Nous
sommes ainsi passés de la dénomination d’un comportement, à
l’affirmation d’une identité pour en venir à une revendication
politique. Être « gay » serait presque considéré comme un état, voire
une catégorie ontologique propre à la personne. Une vision des choses
qui n’est pertinente ni au plan psychologique ni au plan philosophique.
Un désir aussi singulier que celui d’un attrait pour des personnes de
même sexe ne saurait être une des caractéristiques définissant l’être
même de la personne humaine. La personnalité qui est l’expression
psychique de la personne peut être travaillée par divers désirs, mais un
désir que l’on appelle aujourd’hui une « orientation sexuelle », ne
fait pas pour autant une identité. L’identité de la personne se décline
au masculin ou au féminin dans un corps sexué. C’est à partir de cette
réalité objective que nous avons à nous développer ou à maintenir
certains désirs dans les aspects régressifs de la personnalité (au sens
freudien du terme c’est-à-dire d’état premier de la sexualité). En ce
sens nous comprenons mieux que le cœur ontologique d’un sujet humain est
sa personne et non pas une gamme de désirs qui peut parfois poser de
sérieux problèmes psychiques et sociaux. L’identité sexuelle qui est un
fait que le jeune enfant intègre progressivement dans sa personnalité,
ce qui représente un réel travail psychique avec des tâches internes
spécifiques, est confondue avec une orientation sexuelle qui, elle, est
le résultat du traitement des pulsions partielles et des identifications
primaires. Mais lorsqu’une orientation, ou plus précisément un désir,
est en contradiction avec l’identité sexuelle au point de chercher à le
vivre exclusivement pour lui-même, alors ce fait témoigne d’un conflit
et d’une tâche psychique non élaborée. A tort, le désir est retenu pour
une identité et cette vision confine à la confusion dans bien des
domaines. L’homosexualité est toujours le symptôme d’un problème dans la
personnalité. Il est assez étonnant de vouloir faire d’un complexe
psychique un enjeu politique au point d’entraîner des changements
substantiels dans la société sans vouloir en mesurer les conséquences
sur le long terme. Depuis l’instauration du mariage entre personnes de
même sexe, l’Espagne fait réécrire le code civil par des juristes afin
de gommer les distinctions entre homme et femme pour favoriser
l’indistinction sexuelle. En agissant ainsi, réalise-t-on que l’on
prépare de nouvelles violences ?
La valorisation actuelle des
orientations sexuelles est à l’unisson de l’état de la société qui se
présente de façon morcelée, régressive et agressive. Tout et n’importe
quoi devrait être légitimé et si ce n’est pas le cas des sujets se
présentent en victimes et tentent de culpabiliser la société par médias
interposés. Ce système marche et intimide les responsables politiques
qui, paralysés et sans voix, légifèrent plus sous la pression des
oligarchies que dans le sens de l’intérêt général en matière conjugale,
familiale et éducative.
(…) La notion de « l’identité de genre »
qui figure dans le titre de la déclaration française. Elle reprend la
terminologie de l’idéologie de « la théorie du genre » qui laisse
entendre que l’identité sexuelle est une construction sociale et procède
de la culture que la loi sociale peut faire et défaire. C’est une façon
de supprimer l’identité personnelle. La théorie du genre est plus
pernicieuse que le marxisme et, sous couvert de libération subjective de
la différence sexuelle, elle prépare de nouvelles aliénations que l’on
retrouve dans la plupart des séries télévisées qui banalisent les
confusions du genre. Elle provoquera davantage de dégâts que le marxisme
en altérant la symbolique conjugale et familiale qui a mis des siècles
pour se construire ».
On voit donc que face à l’inculcation
scabreuse de la théorie du genre, qui sera donc bientôt enseignée au
lycée à l’initiative du ministre de l’Education nationale, quoi qu’il
tente de faire croire le contraire, en se barricadant derrière
« l’indépendance » des uns par rapport aux autres, on n’est plus devant
une vérité scientifique, mais devant une idée totalement subjective et
qui n’a en rien sa place dans des cours de biologie.
Christine Boutin, sur Europe1, comme d’autres n’a pas manqué de bons sens en lançant : "Il est impensable que ce qui ne représente qu’une option philosophique parmi tant d’autres soit présenté à des adolescents comme une explication scientifique : cela les incite à adhérer à une vision de l’homme et de sa sexualité qui non seulement est profondément contestable, mais qu’il ne relève pas du rôle de l’Education nationale d’inculquer", fait valoir l’ex-ministre du Logement. "Je n’accepte pas que les parents soient ainsi dépossédés de leurs rôles d’éducateurs : c’est à eux que revient de prendre en charge l’éducation affective et sexuelle de leurs enfants. L’Etat n’a pas le droit de s’attribuer ce rôle et de s’immiscer ainsi dans la formation de la conscience des jeunes".
Christine Boutin, sur Europe1, comme d’autres n’a pas manqué de bons sens en lançant : "Il est impensable que ce qui ne représente qu’une option philosophique parmi tant d’autres soit présenté à des adolescents comme une explication scientifique : cela les incite à adhérer à une vision de l’homme et de sa sexualité qui non seulement est profondément contestable, mais qu’il ne relève pas du rôle de l’Education nationale d’inculquer", fait valoir l’ex-ministre du Logement. "Je n’accepte pas que les parents soient ainsi dépossédés de leurs rôles d’éducateurs : c’est à eux que revient de prendre en charge l’éducation affective et sexuelle de leurs enfants. L’Etat n’a pas le droit de s’attribuer ce rôle et de s’immiscer ainsi dans la formation de la conscience des jeunes".
Dans l’affaire de l’absentéisme scolaire volontaire en
signe de contestation, très vite le gouvernement et les médias
généralistes se sont trouvés une approche pour défendre la Théorie du
genre, ainsi désormais on déclare que ceux qui osent s’opposer à la
Théorie du genre, ou plus simplement au manuel « ABCD
de l’Egalité sont des « extrémistes de droite » ! Ben voyons ! Et les
extrémistes gauchisant qui nous gouvernent, eux ils sont quoi ? Aidé
par les médias, Najat Vallaud Belkacem, porte-parole du gouvernement et à
l’origine de la mise en place de ce manuel contesté a matraqué sur
Europe 1 : "A l’école, on apprend l’égalité aux filles et aux garçons,
pas la théorie du genre", a déclaré la ministre. Dans le programme ABCD
de l’égalité des ministères des Droits des femmes et de l’Education
nationale, actuellement testé dans dix académies, Najat Vallaud-Belkacem
a insisté sur le fait "qu’on ne parle aucunement de sexualité à des
enfants de primaire". "On parle du fait que les filles et les garçons
doivent pouvoir ambitionner d’être à égalité plus tard dans les rêves
qu’ils font, dans les ambitions professionnelles qu’ils peuvent avoir’.
qu’ils peuvent avoir’.
Pourtant quand on étudie les « matériaux de réflexion » mis à disposition par le gouvernement pour les enseignants ont peut lire sous la plume de Sophie Ruel-Traquet des réflexions du type : « Les jouets et les jeux, aspects fondamentaux de la culture enfantine, demeurent des supports de la différenciation sexuelle. Ils sont des matrices symboliques grâce auxquelles se réalise la prise en compte des manières de vivre, de penser, des modèles de comportements appropriés à chaque genre. En tant qu’« objets-supports » concrets, ils interviennent comme éléments essentiels d’une dichotomie féminin-masculin. Par l’emploi des jouets, les enfants s’approprient la différence des genres qui caractérise notre société ». Sous le titre « Filles et garçons.Loisirs culturels et différenciation de genre dans l’enfance », l’auteur porte une réflexion idéologique purement et simplement encrée dans la théorie du genre ! Et ça ce n’est qu’un petit exemple, ils sont des milliers sur le site « RESSOURCES POUR L’ÉGALITÉ ENTRE LES FILLES ET LES GARÇONS » (HTTP ://WWW.CNDP.FR/ABCD-DE-L-EGALITE/RESSOURCES-DOCUMENTAIRES.HTML) …
Pour sa part Jean-François Copé sur le sujet. Le député-maire de Meaux a déclaré mardi au Parisien être "choqué par la théorie du genre" et a assuré "comprendre l’inquiétude des familles". Il a rajouté plus tard, sur Radio Classqiue et LCI que le fait de soustraire les enfants à l’école n’était pas défendu par sa position : "Il faut naturellement que les parents envoient les enfants à l’école", a insisté M. Copé mercredi, tout en appelant l’éducation nationale à "lever toute ambiguïté".
Combattre la Théorie du Genre est un réflexe naturel et tout à fait normal venant des parents, promouvoir, même de manière perverse c’est-à-dire cryptée cette théorie du genre est une mission que se sont donnés de nombreux gauchistes en Union Européenne et la bataille avec ses extrémistes de gauche ne fait que de commencer, et le fait qu’ils utilisent l’enseignement que nous leur confions pour nos enfants pour en faire leurs disciples ne passera pas.
Radinrue.com
qu’ils peuvent avoir’.
Pourtant quand on étudie les « matériaux de réflexion » mis à disposition par le gouvernement pour les enseignants ont peut lire sous la plume de Sophie Ruel-Traquet des réflexions du type : « Les jouets et les jeux, aspects fondamentaux de la culture enfantine, demeurent des supports de la différenciation sexuelle. Ils sont des matrices symboliques grâce auxquelles se réalise la prise en compte des manières de vivre, de penser, des modèles de comportements appropriés à chaque genre. En tant qu’« objets-supports » concrets, ils interviennent comme éléments essentiels d’une dichotomie féminin-masculin. Par l’emploi des jouets, les enfants s’approprient la différence des genres qui caractérise notre société ». Sous le titre « Filles et garçons.Loisirs culturels et différenciation de genre dans l’enfance », l’auteur porte une réflexion idéologique purement et simplement encrée dans la théorie du genre ! Et ça ce n’est qu’un petit exemple, ils sont des milliers sur le site « RESSOURCES POUR L’ÉGALITÉ ENTRE LES FILLES ET LES GARÇONS » (HTTP ://WWW.CNDP.FR/ABCD-DE-L-EGALITE/RESSOURCES-DOCUMENTAIRES.HTML) …
Pour sa part Jean-François Copé sur le sujet. Le député-maire de Meaux a déclaré mardi au Parisien être "choqué par la théorie du genre" et a assuré "comprendre l’inquiétude des familles". Il a rajouté plus tard, sur Radio Classqiue et LCI que le fait de soustraire les enfants à l’école n’était pas défendu par sa position : "Il faut naturellement que les parents envoient les enfants à l’école", a insisté M. Copé mercredi, tout en appelant l’éducation nationale à "lever toute ambiguïté".
Combattre la Théorie du Genre est un réflexe naturel et tout à fait normal venant des parents, promouvoir, même de manière perverse c’est-à-dire cryptée cette théorie du genre est une mission que se sont donnés de nombreux gauchistes en Union Européenne et la bataille avec ses extrémistes de gauche ne fait que de commencer, et le fait qu’ils utilisent l’enseignement que nous leur confions pour nos enfants pour en faire leurs disciples ne passera pas.
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