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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Une réflexion de NICOLAS Dupont Aignan
qui vaut son pesant d’or !
La France boira le calice jusqu'à
la lie
Publié par LFO le Vendredi 22
Février 2013
Nos maîtres à Bruxelles viennent
de rendre leur avis sur la politique de la France. Et à en croire leurs
perspectives, la politique du gouvernement socialiste est un échec cuisant.
Avec une croissance estimée à 0,1% et un déficit à 3,7% du PIB pour 2013, la
déconvenue est rude pour le gouvernement socialiste. Loin d'inverser la courbe
du chômage, la France va s'enfoncer encore un peu plus dans la crise.
Comme tout économiste raisonnable
l'avait prévu, les efforts exigés par François Hollande depuis 8 mois ont été
des sacrifices vains.
Les Commissaires ont beau jeu de
constater aujourd'hui le désastre. Cet échec est aussi leur échec. Le
gouvernement socialiste, en élève docile, a appliqué à la lettre les
instructions des Commissaires bruxellois. Et le résultat n'est pas vraiment
probant. C'est le moins que l'on puisse dire...
M. Ayrault se refuse à parler de
rigueur ou d'austérité. C'est pire que ça. La politique menée est une politique
d'euthanasie méthodique de la croissance. Avec la complicité de Bruxelles il
s'évertue à étouffer dans l’œuf tous les ressorts de reprise économique. Et
malgré ce désastre économique, MM. Ayrault et Hollande vont continuer à obéir
gentiment à leur gourou bruxellois. Le lavage de cerveau est tel que la France
vient de céder de nouveaux pouvoirs aux Commissaires bruxellois. Désormais
ceux-ci pourront réviser les budgets nationaux avant même qu'ils soient étudiés
par les parlements nationaux. Décidément la France boira le calice jusqu'à la
lie.
L'Union européenne est une secte
qui vit hors des réalités. Si nous continuons à céder à son emprise
tentaculaire, nous allons sombrer avec elle. Ce sera inévitable.
Je refuse d'assister spectateur à
ce sabotage de notre économie. Nous n'avons aucune raison d'obéir aux
maitres-chanteurs bruxellois. Au lieu de se focaliser sur le déficit, mettons
le paquet sur la croissance. Comment ? En dévaluant l'euro, en rétablissant la
loyauté de l'échange avec les pays n’ayant ni nos normes sociales ou
environnementales, en baissant les charges pour les PME, en investissant
massivement dans des projets d'avenir...
Libérons-nous de l'emprise de nos
maîtres bruxellois. Apprenons à penser par nous-mêmes. Soyons créatifs, soyons
inventifs !
Marcela Iacubune femme argentino-française est une femme de48 ans née à Buenos Aires en
Argentine , connue comme juriste ,
chercheuse et essayiste , chroniqueuse,
journaliste , écrivain , notamment pour
sa défense d'idées féministes et libertariennes.
Marcela Iacub s'est rendue célèbre par plusieurs livres et ses interventions médiatiquesoù elle expose ses points de vue notamment sur la liberté de
choix des individus et les questions qui d’après elle, y sont liées , en
partant d'exemples juridiques précis afin de montrer quels en sont les enjeux
plus larges , et en proposant de nouvelles façons d'envisager la manière
dont la loi gère les questions de mœurs.
Parmi les causes qu’elle défend et affectionnefigurent, la défense du droit à la prostitution, du
mariage et de l'adoption pour les homosexuels et lesbiennes, des méthodes de
procréation artificielle, le végétarisme. Ellecritique féminisme français, qu'elle juge trop moralisateur et elle
défend l'idée que la révolution sexuelle des années 1970 a été un échec partiel
dans la mesure où elle a renoncé à ses ambitions émancipatrices.
Toutes ces prises de
position avancées lui ont valu le soutien de nombreux mouvementsrevendicatifs des droits des minorités sexuelles, mais aussi de violentes critiques, de la part de certaines féministes françaises
plus traditionnelles,
Ses propositions et des comparaisons , pour le moins insolites , sont
rapportées dans les médias notamment lors de l’émission « Réplique » d’Alain
Finkielkraut sur France culture en Avril 2012 où elle soutenait que le viol n’est
pas toujours traumatique , propos qu’elle illustrait par une comparaison pour
le moins choquanteenaffirmant :« Il y a des gens qui ont été
à Auschwitz qui ont été traumatisés et d'autres non ».
Un peuplus tard dans un
article de Libération elle exprimait des
propositionspour un service public du
sexe,et dans un article des cahiers
Français elle prenait position face à la question « Faut-il interdire la
prostitution ? ».D’après Marcela Iacub, la prostitution s'inscrit dans
l'économie des relations sexuelles entre les hommes et les femmes fondée sur le
principe de restriction sexuelle, principe que n'a pas remis en cause la
révolution des mœurs des années 1970, les femmes restant cantonnées dans les
fonctions maternelles et familiales., toujours d’après elle,la pénalisation du client de la prostituée
voulue par des groupes féministes vise en fait à accroître la pénurie sexuelle
existante, cette volonté de pénaliser les clients des prostituées étant, à ses
yeux, également lourde de menaces pour les libertés individuelles.
La voiciprête à publier
le 27février 2013 un livre, « Belle et Bête » - édition Stock -,, dans lequel Marcela Iacub évoque sa liaison avec un personnage
public , non nommé dans l'ouvrage, mais récemment LeNouvel observateurs lui a consacré sa
Une et 8 pages, en présentant plusieurs
passages de son livre « Belle et Bête »et une intervieweet dans
cet entretien, elle révèle qu’ellea
entretenu une liaison avec
DSK ( ndlr : de Janvier 2012à Septembre 2012) et décrit le personnage comme un « être double, mi-homme mi-cochon »,
et commentenotamment : « Ce qu'il y a
de créatif, d'artistique chez Dominique Strauss-Kahn, de beau, appartient au
cochon et non pas à l'homme. L'homme est affreux, le cochon est merveilleux
même s'il est un cochon. C'est un artiste des égouts, un poète de l'abjection
et de la saleté ».
D’autres de ses commentaires
visent aussi Anne Sinclair et des personnes liées
à des épisodes judiciairesanciens et en
cours dont Dominique Straus-Khan, est le sujet. On ne sait pas si ces
commentaires sontréels ou fictifs, mais
en tout cas ce sont ses appréciations personnelles, dont le Nouvel Observateur s’est
fait l’écho.
Bien entendu l’article fleuve du Nouvel Observateur a été
largement repris et commenté dans les
médias, certains médias flairent sous l’information
« littéraire » un opération de promotion du livre « Belle et
Bête , d’autres jugent ces révélations sur la vie privée et intime de DSK
comme scandaleuse s et déplacées, d’autres encore en rajoutent en détails plus
ou moins croustillants.
Dans un éditorial Christophe
Barbier de l’Express a jugéque l’Express
n'aurait pas publié « les bonnes feuilles du livre de Marcela Iacub sur son histoire avec DSK, « Ici, l'intérêt public n'est pas en question.
Quand un présidentiable s'effondre, c'est une affaire publique. Quand DSK a
participé à des soirées libertines organisées en étant en campagne, c'est la
même chose. Mais aujourd'hui, Dominique
Strauss Khan est retourné dans sa vie privée - présumé innocent, et ayant droit
à une vie personnelle, at-il déclaré notamment en expliquant que l’Express
continueradeparler de Dominique
Strauss-Kahn lorsqu'il s'agit de sa vie publique…, Mais sans l'empêcher d'avoir
désormais une vie privée. (voir la vidéo en fin d’article .)
Ce que dit Christophe Barbier devrait, à notre sens, tracer
une ligne de conduite éditoriale à ses confrères.
Après que Le Nouvel Observateur ait publié son article et l’interviewe
deMarcela Iacub, Domique Strauss Kahna réagi dans une lettre sévère adressée à Jean Daniel (éditorialiste et cofondateur de
l'hebdomadaire le Nouvel Observateur) et qu'il a fait parvenir au journal Le
Point :
Voici l'intégralité de la lettre
Cher Jean Daniel,
À la lecture du Nouvel Observateur de ce jeudi, je suis saisi
d'un double dégoût.
Celui que provoque le comportement d'une femme qui séduit
pour écrire un livre, se prévalant de sentiments amoureux pour les exploiter
financièrement et, ce faisant, abondant dans le sens des médias que naguère
elle critiquait vertement. Au-delà du caractère fantasmatique et donc inexact
du récit, c'est une atteinte méprisable à ma vie privée et à la dignité humaine.
Peut-être le dégoût est-il plus grand encore à l'égard du
Nouvel Observateur qui inquiet de perdre des lecteurs, et on comprend pourquoi,
imagine son salut en s'avilissant dans une publication commerciale et
crapoteuse qu'on croyait réservée à la presse de caniveau. L'ancien "
grand journal de la conscience de gauche " vient de sombrer dans une
opération qui donne la nausée.
Dans ces conditions, j'ai demandé à mes avocats d'étudier
toutes les voies légales pour combattre cette abomination.
Avec mes sentiments néanmoins respectueux à l'égard de votre
personne.
Dominique Strauss-Kahn
…………………………………….. /
De sont côté Anne Sinclair mise en cause dans le
livre de Marcela Iacub et dans l'interview que celle-ci a donné au Nouvel Observateur, Anne Sinclair a écrit
au directeur de la rédaction, Laurent Joffrin, et au responsable du service
culture, Jérôme Garcin ;
Cette lettre a été révélée par le site le
Figaro :
……..
Paris, le 20 février 2012
Messieurs,
Comment, pour des raisons mercantiles, le Nouvel
Observateur a-t-il pu descendre aussi bas dans l'abjection?
Ce faisant, vous accréditez la manœuvre d'une femme
perverse et malhonnête, animée par la fascination du sensationnel, et l'appât
du gain. Elle s'est introduite chez moi sous le prétexte fallacieux de me
témoigner sa sympathie et elle a fait un récit trompeur et fielleux de notre
entrevue en se livrant à une interprétation diffamatoire et délirante de mes
pensées.
C'est méprisable.
Lui donner la caution de ce que fut ce journal est
répugnant et le réduit à n'être plus qu'un hebdomadaire à scandales.
Je me réserve de donner à cette affaire les suites qui
conviennent.
………………………
Pour conclure notre
éditorial, nous retiendrons surtout la déontologie de Christophe Barbier et son
jugement :
Incident de séance à l’Assemblée
Nationale en séance Mardi soir 19
Février, à propos d'une suspension de séance, avant le vote de l’Article 1 du projet de Loi sur le mode d’élection
des conseillers départementaux.
Mardi soir à l’Assemblée Nationale, Laurence Dumont, présidait
les débats en l’absence de Claude Bartolone. Il faut croire que le courant
passe mal entre elle et l’opposition, ce
n’est pas la première fois qu’elle déclenche un clash, soit pour refuser une
suspension de séance à un députe de l’opposition, soit pour en accorder une à un député socialiste.
Alors qu'un vote sur l’article 1 avait été annoncé sur les
amendements de suppression de l'article, Jean-Jacques Urvoas (PS) président de la commission des lois,
demandait une suspension de séance et la
présidente de séance Laurence Dumont (PS).
Il faut remarquer que les bancs de l’Assemblée
Nationale à ce moment-là étaient remplis majoritairement par des députés de l’UMP
et que la
majorité socialiste minoritaire en nombre de députés
dans l’hémicycle risquait à coup sûr d’entre mise en minorité sur l’article
1 , il s’agissait par cette suspension de séance pour le groupe
des socialistes de battre le rappel des troupes dans l’hémicycle
pour voter.
Cette suspension de séance a eu
pour effet de déclencher les protestations des députés UMP restés dans l’hémicycle "Ils sont où, ils sont où les
socialistes!", "on veut voter! on veut voter!", ont-ils scandé, et à la reprise de la séance en présence de la Présidente de séance alors que Bruno Le Roux chef de file des députés socialistes s'apprêtait à prendre la parole , les députés socialistes
ont entonné « La
Marseille » tous debout , finalement Laurence Dumont a suspendu la séance pour 5 nouvelles minutes.
La question d’accorder ou de ne pas accorder une suspension de séance
ne semble pas clairement tranchée, en effet selon l'interprétation des socialistes ce n'est que lorsque le
président de séance (ou la présidente) prononce la phrase "nous allons procédé au vote" que les suspensions de séances sont interdites., mais l'opposition conteste cette interprétation.
Finalement les députés ont voté à
mains levées l'article 1er, du projet de
loi sur le mode d'élection des conseillers départementaux.
Voir un extrait vidéo de
cette séance mouvementée !
Après cet incident de séance, le président de l'Assemblée
nationale, Claude Bartolone (PS), a convoqué en urgence une Conférence des
présidents ,rassemblant notamment les chefs de file des groupes politiques.
Celle-ci a alors réaffirmé un principe, contesté par
l'opposition, décidé en novembre à la suite d'un incident analogue, et que Mme Laurence
Dumont avait déjà rappelé à la reprise à 21h30 : "l'annonce d'un scrutin dans
l'hémicycle n'interdit pas les suspensions de séance. Ce n'est que lorsque le
président de séance a prononcé la phrase 'nous allons procéder au vote' que les
suspensions sont interdites".
Cette question sera de nouveau abordée par un
groupe de travail consacré au fonctionnement de l'Assemblée, et dont la
première réunion a eu lieu mercredi.
Laurent Gbabgo comparaissait hier
pour le 3me jour d'audiences devant la CPI, L'ancien Président ivoirien
est soupçonné de crimes
contre l'humanité lors des violences post-électorales de 2010-2011,c es
audiences pourraient aboutir à la tenue d'un procès.
Cela peut-il
relancer les violences dans le pays ? Cette justice est-elle impartiale ?
Que deviennent ceux qui ont commis des crimes et qui ont soutenu
Alassane Ouattara ?
France 24 recevait sur son plateau
Toussaint Alain , ancien conseiller de Laurent Gbaggo , Mamadou Touré
responsable des militants de l'étranger du parti d'Alassane Ouattara,
Floran Geel, responsable Afrique Fédération Internationale des droits de
l'Homme, et Christian Bouquet géographe spécialiste de géopolitique
Africaine.
L'émission ouvrait un débat sur le thème
"Gbabbo face à la CPI : Une justice impartiale ?" au cours duquel les
invités étaient appelés à s'exprimer sur les questions suivantes : Cela
peut-il
relancer les violences dans le pays ? Cette justice est-elle impartiale ?
Que deviennent ceux qui ont commis des crimes et qui ont soutenu
Alassane Ouattara ?
Tout au long des débats la présentatrice
Vanessa Burggraf a arbitré fermement les débats, elle est intervenue
à plusieurs reprises pour que chacun des invités puissent s'exprimer et
développer son point de vue, et remettre du calme sur le plateau quand
tous les invités parlaient ensemble, en effet Mamadou Touré
responsable des militants de l'étranger d'Alassane Ouattara, ne cessait
d'interrompre les autres invités en les accusant de revisiter
l'histoire ou encore détournaient les questions pour commenter les faits d'une manière très partisane,
toutefois pour qui a suivi le drame Ivoirien les arguments et les
faits politiques et historiques développés par Toussaint Alain ancien
conseiller de Laurent Gbagbo étaient indéniables, de même que les
précisions de Christian Bouquet .
Il est vrai que la retransmission des
faits par Mamadou Touré partisan d' Alassane Ouattara ne peut que
laisser dans l'ombre les agissements criminels de la FNCI de Alassane
Ouattara , lesquels pour le moment ne sont pas à l'ordre du jour de la
CPI, pas plus qu'à l'ordre du jour de la justice de la Côte d'Ivoire.
Voici ci-dessous les liens qui vous permettront d'accéder aux deux parties de cette
émission de France 24 , dont nous pensons qu'elle a eu le mérite d'être
tout à fait indépendante d'un esprit partisan en laissant place à
l'expression des deux camps
Laurent Gbagbo comparaît devant la Cour Pénale Internationale.
L'ancien Président ivoirien est soupçonné de crimes contre l'humanité
lors des violences post-électorales de 2010-2011. Ces audiences
pourraient aboutir à la tenue d'un procès. Cela peut-il relancer les
violences dans le pays ? Cette justice est-elle impartiale ? Que
deviennent ceux qui ont commis des crimes et qui ont soutenu Alassane
Ouattara ?
Laurent Gbagbo comparaît devant la Cour Pénale Internationale.
L'ancien Président ivoirien est soupçonné de crimes contre l'humanité
lors des violences post-électorales de 2010-2011. Ces audiences
pourraient aboutir à la tenue d'un procès. Cela peut-il relancer les
violences dans le pays ? Cette justice est-elle impartiale ? Que
deviennent ceux qui ont commis des crimes et qui ont soutenu Alassane
Ouattara ?
Laurent Gbagbo
est né le 31 mai 1945 à Gagnoa, en Côte d'Ivoire. Il voit le jour au
sein d'une famille catholique modeste, originaire du grand-ouest
ivoirien.
L'éditorialiste Venance Konan monte en épingle les arguments des partisans de Laurent Gbagbo pour qui aucune réconciliation n'est possible tant que leur ...
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Il y a 2 jours – L'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, soupçonné d'avoir fomenté un "plan" de meurtres et de viols pour s'accrocher au pouvoir, ...