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Éditorial de lucienne magalie pons Comme suite à notre précédent éditorial qui soulignait les exactions commises par les terroristes dits modérés dans la Ghouta orientale , nous complétons nos informations par une Revue de Presse actualisée de source SPUTNIK FRANCE 🔻 REVUE DE PRESSE :
Le rôle de la Russie soutien de la Syrie est prépondérant dans la mise en oeuvre du Cessez le feu humanitaire d'un mois, voté par le Conseil de sécurité de l'ONU le 24 février , ceci n’apparaît pas clairement dans les reportages et articles russophobes de nos médias occidentaux, à la solde de la communauté internationale qui prétend faire la différence entre les mouvements rebelles qu'elle protège et les terroristes.
Passons aussi sur les rôles de certains dirigeants européens que les médias occidentaux présentent comme déterminants pour la mise en oeuvre du cessez le feu humanitaire alors qu'en réalité ils ne sont que des figurants qui s'imaginent pouvoir faire pression sur Moscou , alors qu'ils ne font que parler au téléphone ou se déplacer pour parler d'exigences qu'ils sont bien incapables de réaliser eux-mêmes..
Ne tombons pas dans le piège de la désinformation occidentale , comme certains au moment du siège d'Alep en décembre 2016, de nouveau des terroristes sont qualifiés de «modérés» par les médias occidentaux et des accusations mensongères sont répétées à l'encontre du gouvernement de Damas, qualifié de «régime», et de l'armée syrienne qui bombarderait des civils, alors que ce sont les terroristes qui agissent et violent le cessez-le-feu, en tirant sur des civils pour empêcher leur évacuation.
Pour bien comprendre le contexte géopolitique et les combats qui ensanglantent la Ghouta orientale , il faut s'informer en se référant à des personnalités qui étudient et analysent depuis l'origine ces conflitset dont la compétence et la formation ne peuvent et ne sauraient être mise en doute.
Selon l'analyse de Monsieur Bassam Tahhan, enseignant et politologue franco-syrien, spécialiste des questions internationales, qui fut professeur notamment à la Sorbonne, à l'Ecole polytechnique et ancien directeur de séminaire de géopolitique à l'Ecole de Guerre : «Continuer à dire sur nos chaînes et nos radios 'ce sont des rebelles modérés', c'est être complice du terrorisme, c'est grave», a-t-il déploré sur le plateau de RT France le 26 février 2018, tout en expliquant ce que le terme générique de «rebelles» recouvrait en réalité.
Nous le citons , pour lui dans la Ghouta ..." vous avez des groupes terroristes bien confirmés comme al-Nosra, et le groupe Tahrir al-Cham, affilié à al-Nosra, c'est connu. Mais il y a Jaïch al-Islam, c'est-à-dire l'Armée de l'Islam», dit-il , en rappelant que ce groupe de rebelles était soupçonné en 2015 –(par le controversé Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), qui sert de source quasi-unique aux médias occidentaux aujourd'hui pour décrire les pertes civiles dans la Ghouta –) d'avoir déjà utilisédes civils et des soldats syriens comme boucliers humains en périphérie de Damas. Pour l'analyste, le qualificatif de «rebelles modérés» employé pour désigner des combattants djihadistes est en réalité une "fake news".
Pour ceux d'entre nous qui n'ont pas une bonne connaissance des conflits du Moyen-Orient , l' analyse et les informations données par Monsieur Bassam Tahhan sur RT France le 26 février nous permettrons de mieux comprendre les articles et documents sélectionnés plus bas en Revue de Presse.
A cet effet voici ci-dessous un extrait vidéo de son analyse :
Des combattants djihadistes ont ouvert le feu sur des civils qui tentaient de fuir les combats dans la Ghouta orientale, tuant quatre personnes. D'autres civils seraient parvenus à tuer trois combattants.
... a une nouvelle fois accusé les groupes de rebelles islamistes. Des civils qui tentaient de fuir la Ghouta tués par des rebelles djihadistes. Des combattants djihadistes ont ouvert le feu sur des civils qui tentaient defuir les combats dans la Ghouta orientale, tuant quatre personnes. D'autres civils seraient… francais.rt.com.
Il y a 2 jours - Des civils qui tentaient de fuir la Ghouta tués par desrebelles djihadistes. Des combattants djihadistes ont ouvert le feu sur des civils qui tentaient de fuir les combats dans la Ghouta orientale,tuant quatre personnes
Le Conseil de sécurité russe a estimé que, en livrant des armes et en encourageant les aspirations séparatistes parmi les Kurdes, Washington avait poussé Ankara à intervenir à Afrin, en Syrie.
Pour la deuxième journée consécutive, la police militaire russe et l'armée syrienne ont échoué à assurer l'ouverture d'un corridor humanitaire visant à permettre aux civils de quitter la Ghouta contrôlée par des groupes rebelles djihadistes.
Après avoir rencontré le chancelier autrichien Sebastian Kurz, Vladimir Poutine a fait savoir que Moscou ne tolérerait pas indéfiniment les obus qui s'abattent tous les jours sur Damas depuis la Ghouta, et qui ont récemment touché l'ambassade russe.
Lors de son allocution à Genève devant le Conseil des droits de l'homme, le ministre russe des Affaires étrangères a appelé Washington à établir un couloir humanitaire en Syrie, près de la frontière avec la Jordanie.
Sergueï Lavrov a déclaré lors de la conférence sur le désarmement à Genève que l'armée américaine entraînait des Etats européens à utiliser l'arme nucléaire contre la Russie.
L'ancien Premier ministre de Jacques Chirac a rappelé au micro de RTL que la France était «partie prenante» dans le conflit syrien et a appelé au dialogue avec «les différents belligérants» : notamment Bachar el-Assad et la Russie.
The Economist a fait sa une avec une caricature de Vladimir Poutine en pieuvre faisant planer une menace sur les démocraties occidentales. Une image choc mais déjà vue, qui rappelle d'anciens visuels anti-russes remontant aussi loin que 1805.
Le ministre français des Affaires étrangères s'est rendu à Moscou pour déterminer comment faire respecter concrètement le cessez-le-feu demandé par les Nations unies. La visite coïncide avec l'entrée en vigueur d'une trêve dans la Ghouta.
Le ministre russe des affaires étrangères s'est entretenu avec son homologue français lors d'une visite officielle de ce dernier à Moscou. Devant la presse, ils ont abordé la problématique de la guerre civile en Syrie.
L'ONU a confirmé le 27 février la reprise des combats dans la Ghouta orientale, à proximité de Damas, malgré l'annonce par Moscou d'une trêve humanitaire quotidienne.
Après le vote du Conseil de sécurité de l'ONU du 24 février réclamant une trêve dans la Ghouta orientale, une pause quotidienne dans les combats entre 9h et 14h, préconnisée par la Russie, est entrée en vigueur le 27 février.
Les ministres russe et français des Affaires étrangères se rencontrent pour évoquer de nombreux sujets de politique internationale, même si la dégradation de la situation dans la Ghouta, près de Damas, devrait être au centre des discussions.
Ankara a envoyé des unités spéciales dans la région d'Afrin, dans le nord de la Syrie, en préparation de la nouvelle phase de son opération «Rameau d’olivier», alors que le Conseil de sécurité vient de voter un cessez-le-feu.
Emmanuel Macron a demandé à son homologue turc d'appliquer la résolution des Nations unies qui exige un cessez-le-feu sur l'ensemble de la Syrie, et non pas seulement dans la Ghouta. Ce n'est pas la première fois que Paris interpelle Ankara.
Le président russe a ordonné la mise en place d'une trêve chaque jour entre 9h et 14h. D'après le ministre de la Défense Sergueï Choïgou, un corridor humanitaire sera ouvert afin d'évacuer les civils de la Ghouta.
Après l'adoption d'une résolution de l'ONU appelant à un cessez-le-feu «sans délai» en Syrie le 24 février, Angela Merkel, Emmanuel Macron et Vladimir Poutine se sont entretenus par téléphone.
Le Conseil de sécurité des Nations Unies «réclame» à l'unanimité le 24 février un cessez-le-feu en Syrie pour au moins 30 jours consécutifs. A la demande de Moscou, le Conseil se réunira de nouveau dans 15 jours pour s'assurer du respect de la trêve.