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29 janvier 2013

Mariage "pour tous" : Aujourd'hui Mardi l'Assemblée Nationale entame l'examen du projet de loi, en séance publique

Éditorial de lucienne magalie pons

Ce jour Mardi 29 janvier à 16 heures 15, l’Assemblée Nationale entame  en séance publique l’examen du projet de loi ouvrant le mariage aux couples  de même sexe, cet examen devrait se poursuive jusqu’au Dimanche 10 Février 2013.
Pour ceux d’entre vous qui possède un ordinateur, mon avis est que cette séance est de préférence à regarder en direct en vidéo sur le site de l’Assemblée Nationale, en effet l’émission télévisée est entrecoupée  de commentaires pendant lesquels une partie de la séance échappe aux téléspectateurs.
Après avoir vu la séance directement et  intégralement sur le site de l’Assemblée Nationale, pour voir les commentaires télévisés ont peut retrouver l’émission en replay sur le site de la télévision émettrice. 
Ainsi par ce procédé que j’applique  toujours en ce qui me concerne l’information est complète.

Mariage "pour tous" - pétition pour la saisine du CESE : Mode d'emploi -

Éditorial de lucienne magalie pons


Mobilisation générale : je viens de recevoir  dans ma messagerie personnelle un message en provenance de  Monsieur le Député Maire , Jacques  Bompard, contenant  les indications pour télécharger la lettre de pétition  citoyenne à l'attention du CESE;

Des citoyens ont déjà fait le nécessaire, mais puisque j'ai la chance d'avoir un site et que  ma réflexion me pousse à lutter  radicalement  contre tout  le projet de loi  pour des raisons essentiellement fondées sur des considérations sociétales et juridiques  et naturelles qui résistent à l'enfumage de la confusion des sentiments et des genres  que les partisans de ce projet voudraient imposer à la nation,  ,j'ai estimé  qu'il est  important pour satisfaire mon militantisme personnel , de relayer  les informations de Monsieur le Député Jacques Bompard  afin que cette pétition réunissent le plus de signatures possibles, étant rappelé qu'il faut réunir 500.000 signataires.

Copie ci-dessous du mail que j'ai reçu : pour télécharger la pétition cliquez selon les indications  sur les liens actifs en bleu :

De : Jacques Bompard
Date : 28 janvier 2013 17:09
Objet : Signez la pétition de saisine du CESE demandant avis sur "le mariage pour tous"
À : ponsavignac@gmail.com
 
Paris, le 28 janvier 2013
Chers amis, défenseurs du mariage traditionnel et des droits de l'enfant,
 afin de lutter contre le projet de loi ouvrant mariage et adoption pour les couples du même sexe, je vous invite à signer et faire signer la pétition citoyenne à l'attention du Conseil économique, social et environnemental.
Le but de cette action est de demander l'avis du Conseil sur le mariage pour tous. Il faut réunir 500 000 signataires.


Elle est également imprimable par la pièce jointe au présent mail.
Il est nécessaire de l'imprimer et la renvoyer avant le 12 février à l'adresse suivante :
La Manif Pour Tous –15 rue Pottier – 78150 LE CHESNAY
 Je vous annonce également que des manifestations décentralisées auront lieu le samedi 2 février à 15h : vous pouvez consulter les lieux où ces manifestations se dérouleront près de chez vous ici.
En vous remerciant,
Jacques Bompard
Député de Vaucluse
Maire d'Orangis

27 janvier 2013

Moyens d'informations et de communications criminels

Éditorial de lucienne magalie pons

Depuis la démultiplication  et la sophistication,  à échelle internationale,   des moyens d'informations et de communications,  les politiques, leurs commettants et  le haut gratin des puissants, parvenus de ce monde,   n'ont qu'une politique  et une religion : l'argent et la puissance qu'ils procurent, pour réduire les peuples à leur merci.


Le présent, l'avenir,  la paix, les religions , les droits de l'humanité et la vie des populations,  ils les effacent et les piétinent en fonction de leur intérêts particulier, de leurs appétits financiers et aussi de leurs appétits sexuels pervers, pour ceci ils utilisent ces engins de communications moderne qui influencent  psychologiquement les foules jusque dans leurs  subconscients, et là encore c'est une violation très grave  de la personnalité des individus  qu'ils commentent, en plus des privations sociales qu'ils leur infligent, je dirais  même que c'est un crime organisé et généralisé  autrement dit une show reality politique et financière  criminelle qui se répète tous les jours sous nos yeux.


La publicité commerciale et industrielle, y compris la publicité érotique et pornographique, utilisent  les mêmes moyens pour capturer des consommateurs potentiel.

C'était mon coup de gueule du jour.!


MALI : Que savons-nous des Forces engagées au Mali de leurs moyens et de leur combat ?

Éditorial de lucienne magalie pons


Forces  engagées au Mali

Les médias  rapportaient  Mardi dernier que le  nombre de soldats français déployés sur le sol malien pour l'opération Serval entamée le 11 janvier pourrait atteindre les 3.000 hommes
.
SJ l’on s’en tient à des dépêches d’agences  et aux informations officielles  du  Ministère de la défense sur son site internet,  le nombre des soldats français déployés au Mali s'élevait  désormais (mercredi  23 janvier)  à 2.300 hommes.

Le 21 janvier, un bâtiment de projection et de commandement (BPC) a appareillé de Toulon avec à son bord les éléments d'un groupement tactique interarmes (GTIA) de l'armée de terre qui s'engagera dans l'opération Serval. (Le GTIA est la version moderne d'un bataillon, associant à l'infanterie des éléments du génie, des blindés et de l'artillerie.)

Parallèlement, on nous apprend  que les contingents africains continuent d'arriver au Mali et au Niger et regroupent désormais près de 1.600 soldats,  selon le ministère de la Défense.

Ces informations sont interprétées dans les médias  comme une « montée en puissance » des effectifs français   et ceux de la force africaine.

Les médias rapportent que près de 1000 Nigériens, Nigérians, Togolais et Béninois ainsi que les premiers éléments du futur état-major sont désormais engagés au sein de la Mission internationale de soutien au Mali (Misma) et  que plus de 500 soldats tchadiens ont rejoint Niamey.

En ce qui concerne les forces maliennes qui combattent aux côté des effectifs français  le porte parole de l’état major français Thierry Burkhard a précisé lors d’un point de presse à Paris qu’il y a 4000 à 6000 soldats maliens à former.

Une mission de formation de l'Union européenne, qui comprendra 450 hommes, dont 200 instructeurs, sera officiellement lancée à la mi-février.

Par les médias nous apprenons que les Français et l'armée malienne, ont repris cette dernière semaines le  contrôle de plusieurs villes, on cite  Diabali , Douentza, dans le centre du Mali, d'où les combattants islamistes ont disparu où se sont éparpillés  d’après les médias , on apprend aussi  de différentes sources,  que la France a annoncé Samedi que  les forces françaises se sont emparées samedi  de l'Aéroport et d'un pont sur le fleuve Niger à Gao, la principale ville du nord-est du Mali, dont la chute marque ou marquerait  une étape  déterminante  de l'offensive lancée pour faire échec aux rebelles islamistes qui menaçaient de s'emparer du pays,  pour preuve on cite  Sadou Dialou, le Maire de Gao qui s’était réfugié à à Bamako a pu regagner sa ville accompagné par le colonel Dako.

Jean-Yves Le Drian , ministre français de la Défense  a annoncé le succès de l'opération menée à Gao dans un communiqué  en adressant  « ses plus vives salutations aux unités françaises « impliquées »

Extrait du communiqué :

"Les terroristes djihadistes qui ont affronté les armées malienne et française ont vu nombre de leurs moyens mobiles et de leurs sites logistiques détruits",;;

De son côté,  le porte-parole de l'état-major des armées, le colonel Thierry Burkhard, a indiqué à l’agence de presse Reuters que la prise de l'aéroport et du pont à la sortie sud de la ville avaient fait un nombre de victimes estimé à "un peu plus d'une dizaine" dans les rangs des rebelles.

L'opération, menée par les forces spéciales dans la nuit de vendredi à samedi, a mobilisé des troupes au sol, des hélicoptères et des avions de transport d'assaut avec un appui aérien.

Les principaux accrochages se sont produits à proximité du pont sur le Niger mais il n'y a eu aucune perte côté français, a  aussi  précisé le porte-parole. Le pont et l'aéroport sont tous deux praticables.

Mais au Mali  Mali, un officier français a précisé que les unités sur place faisaient encore face samedi à des actes de "guérilla" des rebelles islamistes. "Les rebelles se sont fondus parmi la population locale. Ils pratiquent le harcèlement. L'opération est toujours en cours, c'est un peu compliqué", a-t-il expliqué.
  
Le colonel Burkhard, porte parole de l’Etat major  des armées a confirmé ces "opérations de harcèlement".

Selon  Reuters ,  «   l'annonce de la prise de la zone de l'aéroport à Gao confirme que les forces françaises et maliennes progressent rapidement dans leur offensive lancée voici deux semaines depuis Konna, dans le centre, pour reprendre les territoires du nord conquis par les islamistes d'Ansar Dine, du Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) et d'Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). »

De même source nous apprenons que :

« des officiers maliens rapportent qu'il n'y a eu ces derniers jours aucun affrontement direct avec les combattants islamistes, qui ne cessent de battre en retraite pour éviter les bombardements de l'aviation française."Ils se cachent tous. Ils partent à pied ou à moto", a dit le capitaine Faran Keita, interrogé par Reuters à Konna.

«  Le porte-parole de l'état-major français a indiqué que les unités impliquées dans les combats de la nuit n'avaient pas pour mission de pénétrer dans Gao mais, en s'emparant de l'aéroport et du pont, de permettre l'acheminement de renforts maliens, voire africains, qui seront chargés du contrôle de la ville.   Une vaste colonne de véhicules blindés et de plusieurs centaines de militaires tchadiens est sortie samedi de Niamey, la capitale du Niger, pour se diriger en direction de la frontière du Mali, de l'autre côté de laquelle se trouve Gao.


"Des contingents africains, formés de militaires nigériens et tchadiens, arrivent sur zone pour prendre le relais de nos forces. Les armées africaines et malienne devront sécuriser la région de Gao", écrit le ministère français de la Défense dans un communiqué.

La Misma doit compter au final jusqu'à 6.000 soldats. Pour le moment   1.900 soldats africains sont arrivés au Mali.


Les forces Françaises et maliennes  « continuent à progresser prudemment vers le nord du Mali. Il n'y a pas de prisonnier à ce jour » , a dit  le Colonel Thierry Burkhard.

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a insisté sur la mobilité des agresseurs, depuis que leur progression vers le Sud a été stoppée. "Ils sont très agiles, très mobiles".

"D'abord, ils essaient de se regrouper et de pénétrer dans des petites villes, des bourgs, de se mêler à la population pour éviter que l'aviation ou les hélicoptères français effectuent des frappes qui entraîneraient des dégâts collatéraux, ce que nous ne faisons jamais lorsqu'il y a des risques pour les populations civiles", a-t-il dit sur France 24.

"Lorsqu'ils sont en trop grande difficulté, ils s'éparpillent, ils remontent et ils sont extrêmement mobiles, ce qui rend la chose très difficile puisqu'il faut les repérer dans un ensemble désertique", a ajouté Jean-Yves Le Drian.

Des voix continuent à s'élever dans l'opposition pour dénoncer l'isolement de la France sur le terrain, ce que réfutent tous les responsables socialistes.

On ne peut pas dire que la France est  tout à fait  seule sur le terrain des combats au Mali,  mais les  forces militaires  qui combattent  où combattront à ses côtés sont-elles en mesure de combattre efficacement sur le terrain des combats , ont-elles les capacités techniques,  disposent-elles  des moyens de financement qui se chiffrent à plusieurs centaines de millions d’Euros ?

 Il y a d’abord l’armée Malienne dont on vient de dire que 4000 à 6000 hommes  restent  à former, il y les forces  africaines, la Misma,  qui arrivent  lentement sans se presser, il y a aussi le financement qui n’est pas encore assuré

Une conférence de donateurs pour le Mali doit se tenir le  Lundi 29 janvier à Addis Abeba pour financer le déploiement des troupes africaines,  avait précisé mardi le ministère français des Affaires étrangères. 
 Cette conférence devrait réunir  au moins 340 millions d'euros, dont 220 millions pour la Misma, dont les effectifs, fixés à 3.300 hommes par le Conseil de sécurité de l’ONU, pourraient doubler d’après de récentes informations.

Et finalement on voit bien ce que   l’opposition veut dire en disant que la France est seule au Mali, en effet si l’on considère   que les autres forces, maliennes ou africaines,  manquent de formation pour les maliens et manque de financement pour les forces de la Misma, et là encore on peut penser que les militaires de la Misma  devront être eux aussi formés,  on peut dire avec l’opposition que la France est seule au Mali.

 Parmi tous ces pays africains qui ont l’intention d’aider la France seul le Tchad dont 500 hommes sont déjà sur place sont des  combattants formés et aguerris.

Et si l’on considère qu’en contrepartie d’un grand soutien moral de la France dans son engagement au Mali les pays occidentaux pour le moment  n’ont envoyés que quelques équipements de combats de façon si j’ose dire symbolique, on peut aussi dire,  comme l’opposition ,que la France est seule au Mali.

ooOoo

Pour en  revenir à la Misma et en savoir  plus   sur les  renforts attendus de la MISMA  au Mali par les forces françaises et Maliennes,  nous nous sommes plongés dans la presse étrangère  et nous avons sélectionné un article sur le site « Jeune Afrique »   actualisé au  25 Janvier,  intitulé :


 «   Mali : pourquoi la Misma se hâte... lentement »  - 25/01/2013 à 16h:42 Par Rémi Carayol-« 
Pour ne pas dénaturer cet article très documenté, nous avons décidé de le copier/coller et de le reproduire ci-dessous :
25/01/2013 à 16h:42 Par Rémi Carayol

La Force internationale d'intervention au Mali doit être composée de 3 300 hommes. Mais la mission demande à être précisée, et l'arrivée des soldats reste lente.

Mis à jour à 19h30.

À Bamako, il aura fallu attendre six jours après le déclenchement de l'opération Serval pour voir défiler les premières troupes africaines. Des Nigérians en l'occurrence, arrivés le 17 janvier, quelques heures avant les Tchadiens et les Togolais. Six jours, cela peut paraître long. « Pour nous, c'est en fait assez court », souffle un chef d'état-major d'un pays de la région.

Pour une fois, ce ne sont par les réticences politiques qui expliquent ce délai. Dès lors que les jihadistes ont lancé l'offensive, « tout le monde était d'accord pour intervenir », indique un ministre des Affaires étrangères de la zone. De fait, les voisins du Mali n'ont ainsi pas traîné pour annoncer l'envoi de soldats au sein de la Force internationale de soutien au Mali (Misma), pour un total qui pourrait aller jusqu'à 7 000 hommes - au lieu des 3 300 prévus au départ. Selon la Cedeao, les besoins de financement pourraient passer quant à eux de 500 millions de dollars à un milliard.

Dans la plupart des cas, les hommes engagés dans l'intervention représentent la crème des armées nationales. Les Nigériens, par exemple, ont été formés par des instructeurs français, et ils se trouvent depuis des semaines à la frontière avec le Mali. Quant aux Burkinabè, la plupart ont déjà effectué des missions de maintien de la paix, au Darfour notamment.

Misère logistique

Le commandant de cette force est un général nigérian. Son adjoint, un Nigérien. Chaque pays s'est vu confier une zone d'affectation. « En réalité, tout avait été décidé en amont », explique notre chef d'état-major.
D'un point de vue militaire, l'apport des soldats ouest-africains reste flou.

Ce qui a retardé l'arrivée de ces troupes, c'est tout simplement la misère logistique et la faible capacité de projection qui caractérisent les armées de la région. « C'est compliqué d'envoyer 500 hommes sans moyens de transport ! se défend un général ouest-africain. Même si des partenaires nous ont proposé des moyens aériens pour transporter les troupes, nous devons acheminer le matériel par la route. »

Autre explication, avancée par un diplomate ouest-africain : « Envoyer des hommes, cela signifie qu'il faut se réorganiser, à l'intérieur du pays, pour éviter des trous dans la surveillance du territoire. »

http://www.jeuneafrique.com/photos/012013/024012013091139000000dossiemalioki.jpgRenforts

Quel rôle peuvent jouer les soldats ouest-africains ? D'un point de vue militaire, leur apport reste flou. Officiellement, ils viendront en soutien de l'armée malienne, même si un général admet qu'il se peut « que [ils aient] un rôle plus offensif ». Les experts militaires français sont dubitatifs quant à l'apport que peuvent représenter ces soldats réputés peu formés et mal équipés. Leur arrivée est, en revanche, une bonne nouvelle diplomatique. « Cela permet de montrer que la France n'est pas seule dans ce combat », explique un diplomate ouest-africain.

L'apport tchadien est d'une tout autre nature. Les généraux français ont accueilli avec soulagement l'annonce, le 16 janvier, que N'Djamena enverrait 2 000 hommes au Mali (dont des membres de la garde présidentielle). Un renfort de poids. « Ce sont de bons soldats, qui connaissent bien le Sahel. Comme les Mauritaniens d'ailleurs », explique un expert africain. Après avoir longtemps tergiversé, Idriss Déby s'est décidé après avoir reçu une demande formelle du président malien par intérim, Dioncounda Traoré, mais aussi après un intense lobbying de certains de ses pairs, dont le Nigérien Mahamadou Issoufou. Les Tchadiens ne seront pas intégrés à la Misma, mais combattront à ses côtés, à l'image des Français. À l'heure où nous écrivions ces lignes, la Mauritanie n'avait pas encore pris sa décision, mais le président Mohamed Ould Abdelaziz n'y était pas opposé, à condition que les autorités maliennes le lui demandent. 

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Note : La carte de l'intervention militaire internationale au Mali  figure sur le Site "Jeune Afrique" à la suite de cet article , pour la consulter cliquez sur le lien ci-desous :

26 janvier 2013

Mali : la guerre au mali et le traitement de l'infoirmation

Éditorial de lucienne magalie pons


 Comment sommes nous informés sur la guerre  ? Pour nous en  faire une opinion nous sommes allés pêcher sur divers sites Internet une vidéo très édifiante  et des articles que vous retrouvez en Revue de presse à la suite.



Cette vidéo a pour source le Site "l'Expresse.fr

Commentaire de présentation figurant sur le site l'Expresse.fr" :

Le Mali une Guerre sans images et à huis clos
De la Libye à l'Afghanistan en passant par la Bosnie ou encore la bande de Gaza, ces deux "baroudeuses" à la tranquille assurance, sont les invitéees d'Immédias , sur l'Espress.fr

 Revue de Presse - Autres sources -:

Double menace sur le Mali: pénuries et exactions de l'armée
l'Humanité
Bamako (Mali), envoyé spécial. Selon plusieurs ONG présentes au nord et
dans les zones de conflit, la situation humanitaire se détériore de
façon alarmante. Les accusations d'expéditions punitives sanglantes se
multiplient contre des militaires maliens.
<http://www.humanite.fr/monde/double-menace-sur-le-mali-penuries-et-exactions-de-513746>



COR-Le Mali, un "appel d'air" pour candidats au djihad en France
Le Point
PARIS (Reuters) - La progression des islamistes au Mali a créé un "appel
d'air" pour de nombreux candidats au djihad en France, mais les départs se
raréfient depuis le début de l'intervention militaire française,
déclare le juge anti-terroriste Marc ...
<http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/cor-le-mali-un-appel-d-air-pour-candidats-au-djihad-en-france-25-01-2013-1620284_240.php>

Mali: La France sera «vigilante» pour éviter des exactions
20minutes.fr
Alors que la contre-offensive franco-malienne progresse face aux insurgés
islamistes, les accusations d'exactions à l'encontre de l'armée locale se
multiplient de la part des associations de défense des droits de l'homme
depuis une semaine. L'armée ...
<http://www.20minutes.fr/article/1087619/mali-france-vigilante-eviter-exactions>

Guerre au Mali : c'est le moment de reconstruire un État
Le Nouvel Observateur
LE PLUS. "Il n'y a pas d'Etat au Mali." La phrase est de Salif Keita, alors
la France est intervenue pour tenter d'endiguer la progression des
djihadistes. Pour Pouria Amirshahi, député (PS) de la 9e circonscription
des Français de l'étranger, nous ...
<http://leplus.nouvelobs.com/contribution/768504-guerre-au-mali-c-est-le-moment-de-reconstruire-un-etat.html>

VIDEO. Mali : les 1res images des raids français contre les islamistes
TF1
Jusqu'à présent, la guerre au Mali entre l'armée française et les
islamistes, notamment Aqmi, est une guerre sans images. Aucun média n'a en
effet encore réussi à se rendre sur le front, avec ou sans autorisation.
Même si elles proviennent du service ...
<http://lci.tf1.fr/monde/afrique/video-mali-les-1res-images-des-raids-francais-contre-les-islamistes-7794465.html>

GUERRE D'INFOS – Le difficile travail des journalistes au Mali
Le Monde
Comment parler de la guerre au Mali quand la moindre (et rare) information
est invérifiable ? Que montrer d'un conflit où photographes et équipes
de télévision n'ont pas accès au front et où les seules images
disponibles sont occasionnellement ...
<http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/01/25/guerre-dinfos-le-difficile-travail-des-journalistes-au-mali/>

MALI. La France perd-elle la bataille de l'information ?
Le Nouvel Observateur
En espérant qu'on allait nous éviter cela. Les voilà. Les "premières
images des bombardements français" au Mali. Regardez bien, ouvrez bien les
yeux devant votre écran. Deux scènes : 1/ un carré de sable vu du ciel
entouré de ce qui ressemble à des ...
<http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20130125.OBS6699/mali-la-france-perd-elle-la-bataille-de-l-information.html>


"Pas de risque d'enlisement" au Mali selon Jean-Marc Ayrault
L'Express
Le Premier ministre a affirmé ce vendredi qu'il n'y avait "pas de risque
d'enlisement" de la France au Mali. Le chef du gouvernement a ajouté que
"les objectifs" fixés par l'exécutif français dans ce pays étaient
"atteints et respectés". Celui-ci s'est ...
<http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/pas-de-risque-d-enlisement-au-mali-selon-jean-marc-ayrault_1213684.html>

Afficher tous les articles sur ce sujet:
<http://news.google.fr/news/story?ncl=http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2715p022-031.xml3/&hl=fr&geo=fr>

La "méthode Obama" de la France au Mali et des chambres avec ...
France Info
Un des principaux responsables de la sécurité nationale en France l'a
confié en d'autres termes très explicites à Marianne : si l'armée
française est au Mali, c'est pour "casser le plus possible de ces
connards", autrement dit tuer le plus possible de ...
<http://www.franceinfo.fr/societe/la-revue-de-presse/la-methode-obama-de-la-france-au-mali-et-des-chambres-avec-vue-sur-terre-871653-2013-01-25>

L'ONU hésite sur son degré d'engagement au Mali
Le Monde
Engagée en première ligne au Mali, la France ne cesse de mettre en avant
le soutien politique obtenu aux Nations unies. Pour autant, Paris semble
avoir des difficultés à obtenir à New York un engagement concret,
financier ou matériel, en appui au ...
<http://www.lemonde.fr/international/article/2013/01/25/l-onu-hesite-sur-son-degre-d-engagement-au-mali_1822494_3210.html>

Davos 2013 : David Cameron appele à une réforme de l'UE - 24 -01- 2013 -

Éditorial de lucienne magalie pons




Il est vrai que l’UE ne fait pas dans la souplesse , tous les pays membres, du plus puissant au plus faible, du plus grand au plus petit, sont soumis aux même  directives, européennes et  aux décisions de la Commission  Européennes,  et  il est indéniable que cette  uniformité  freine comme un carcan  la compétitivité,  la croissance , et l’essor économique  de  certains pays.


Jeudi, lors de deuxième journée du forum économique David Cameron le Premier Ministre Britannique  s’est expliqué  sur ses intentions en matière d’intégration à l’Europe, et a appelé   à une réforme de l’Union Européenne, pour  une Europe plus  libérale et  plus flexible ,  tout en soulignant que son pays n’avait pas l’intention  de tourner le dos à l’Europe et en assurant que son intention  au contraire n'était pas que les Britanniques quittent l'UE  ( ndlr :  avec le futur référendum. ) 


'Nous ne tournons pas le dos à l'Europe, au contraire  a-t-il affirmé en indiquant que  «  la Grande-Bretagne espérait une Europe plus libérale et plus flexible, »    ce qui en clair signifie que le Premier Ministre Britannique  souhaite renégocier le statut britannique dans l’UE pour obtenir de meilleures conditions, autrement dit disposer d’  une marge de manœuvre  plus flexible  et  libérale .


On peut penser que ce serait une entreprise  risquée pour l’unité de l’Europe que de renégocier le statut d’un pays membre, d’autres pays pourraient eux aussi à l’exemple de l’Angleterre réclamer un statut particulier, et au final  qu’on se trouverait  dans une Union Européenne qui par certains aspects politique se retrouverait dans une « Europe des nations », où chaque pays  à la faveur de ces exceptions nationales, ménagerait en priorité ses intérêts nationaux avant ceux généraux de l’UE .


Il faut remarquer aussi que ces exceptions nationales seraient adaptées à chacun des pays qui en bénéficieraient, ce qui en rajouterait encore dans le sens d’une UE à multiples conditions, qui pourraient même sans doute se trouver en contradiction entre elles.


Donc une UE ingouvernable, autant qu’elle est lente  sous sa forme actuelle à s’accorder et à trouver des solutions et des accords unanimes.


L’initiative  ou les souhaits de David Cameron ont le mérite , au moins,  de poser le problème  des conditions de l’intégration à l’Europe de l’Angleterre en particulier,  implicitement par contre coup  la question de l’intégration des autres pays membres,  mais aussi de remuer  « la cuillère dans la panade » (ndlr : vous comprenez que je voulais écrire « le bâton dans la m…. européenne),     en appelant  à la réflexion les dirigeants  de l’UE , ce petit monde  d’élites politiques qui habituellement  tourne en cercle et se mord la queue  pendant de longs  mois , sur des solutions à trouver  pour sortir des crises successives , financière, économique, sociale et  crise spécifique de l’Euro, et pour faire progresser l’UE vers plus  d’uniformité, d’unité, de consensus politique, … et bla bla bla bla .. .., sans vraiment y parvenir qu’au prix de longs mois  et  de difficiles  pourparlers, négociations ,  réunions et conseils, vote, ratifications, etc .. 


En ce sens l’initiative de David Cameron permettrait à son pays de décider de sa politique économique notamment sans avoir à attendre les décisions de l’UE .


Et on peut se féliciter que David Cameron, même si son attitude est parfois insupportable vis-à-vis de ses partenaires européens  et que je n’apprécie pas toujours ses prises de positions politiques,  a réussi à Davos l’exploit de les  remuer et de les faire réagir à chaud.

Sur place  au Forum  économique Mondial de Davos, plusieurs chefs de gouvernement présents se sont élevés contre la volonté de réforme  de David Cameron


Il faut ici rappeler    que l’Allemagne et la France  (  que certains dénomment « le moteur franco-allemand ) ont toujours  avancé  pour plus d’intégration et d’unité, ce que de récentes initiatives de ces deux pays ont démontré,   certains commentateurs   le rappellent  dans les médias  en soulignant  que l’initiative envisagée par David Cameron irait  notamment à l’encontre des positions franco-allemandes , que ce serait une entreprise « hasardeuse » « pas simple » ,  « un pari risqué » , "car des pays comme la France et l’Allemagne   la refuseront "

 Sur place au Forum  économique mondial de Davos, plusieurs chefs de gouvernement présents se sont élevés contre la volonté de réforme  de David Cameron


Dans les médias européens  de tendance conservatrice  et libérale,   on estime que David Cameron a posé la bonne question , certains  d’entre eux soulignent que  l'UE se trouve à un tournant,  par exemple le journal  italien libéral-conservateur  «  Il Sole 24 Ore » écrivait dans un article  le 25 janvier 2013 "L'euro n'est plus un projet purement économique, c'est un projet politique. … La réalité [ ndlr : d'une zone euro de plus en plus intégrée] montre que l'époque d'un projet européen commun est révolue. L'UE est depuis longtemps composée de plusieurs unions. Cela nous pousse à un changement de stratégie. Nous avons besoin d'un traité politique 'pré-constitutionnel' entre les Etats de la zone euro et les Etats qui n'en font pas partie. Un traité qui permette en premier lieu de créer un regroupement politique et au final de renégocier les conditions de compétitivité sur le marché intérieur européen. Il ne sera pas facile d'établir une Europe différenciée. Mais le discours de Cameron nous montre que c'est nécessaire." 


En France  cette année, nos médias presse   et audio-visuels  sont très avares  d’informations sur le Forum de Davos, nous savons que les socialistes sont toujours très méfiants sur les échanges et conclusions des forums de Davos  et qu’ils  n’en ont  jamais fait leur tasse de thé, du reste  le Président de la République Française  François Hollande et le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault  ne se sont pas dérangés, et  le pouvoir français a fait  subsidiairement acte de présence en  y envoyant deux ministres, et un fonctionnaire de l'Elysée.


Au fond  ça  me  permet aussi de remarquer que  presque tous les médias français  ne mettent à la Une et à leurs sauces du jour que les évènements  mis en scène par le pouvoir  pour se valoriser,  et à enchaîner avec des polémiques sans fins, grotesques, ridicules, comme l’affaire Cassez dont on nous rabat les oreilles depuis plusieurs jours en relatant tout ses faits et gestes  du matin au soir,  et jusqu’à la nuit, et dont la seule chose qu’on ne sait pas c’est l’heure à  laquelle elle peut faire son pipi-caca.



Pourtant l’état et le sort de  l’Union Européenne conditionnent  au plus haut point l’avenir de notre pays , eh bien non , les médias préfèrent  écrire  et parler sur des baudruches ou des poupées  gonflées à l’hélium élyséen et gouvernemental, tout ceci  me conduit à conclure,  d’une part que les médias  , flexibles comme des" roseaux  pensants", pensent  et écrivent à droite ou à gauche, selon le pouvoir en place, et  d’autre part , que  je regrette d'avoir fait preuve  de bonne volonté, depuis  l’élection du 6 mai  et pendant quelques mois de bonne volonté  pour ne pas critiquer la gauche ,en raison notamment d’une certaine réserve  médiatique de leur part pendant les tous premiers mois, qui m'incitait à penser qu'ils  étaient sérieusement "au travail".


Mais en fait  j’ai vite réalisé que ce  n’était qu’une tactique pour tâter le terrain et mesurer jusqu’où ils pouvaient aller, eh bien ils ont vite compris qu’ils pouvaient y aller, les médias n’attendaient que ça pour doper leurs  CA et leurs audimats,  ils ont foncé,  et c’est ce que nous voyons depuis plus d’un mois, le déroulement d'un feuilleton  politico-médiatique , ou les médias et les politiques, la mano dans la mano, nous servent  les épisodes d'une storytelling aussi ridicule,  fictive et prétentieuse que  celle que nous a fait déguster  le précédent quinquennat

A ce point de vue là nous n’avons pas gagné au change, et à d’autres points de vue tout reste aux nouveaux arrivants à nous démontrer.



Revue de presse européenne du 25/01/2013  - Source EURO/TOPICS -

À LA UNE


Cameron réclame une réforme de l'UE
Lors du Forum économique mondial à Davos, le Premier ministre britannique David Cameron a souligné jeudi que son pays n'avait pas l'intention de tourner le dos à l'Europe, tout en appelant à une réforme de l'Union. Certains commentateurs soutiennent l'appel de Cameron pour une Europe plus compétitive. D'autres estiment que l'Allemagne et la France ne tolèreront pas d'exception britannique.

Il Sole 24 Ore - Italie
L'Europe a besoin de plusieurs unions
Deux thèmes ont dominé le discours de Cameron : quel degré d'intégration la Grande-Bretagne et l'Europe peuvent-elles supporter sans perdre davantage de compétitivité globale ? Cameron pose la bonne question et l'UE se trouve à un tournant, estime le journal économique libéral-conservateur Il Sole 24 Ore : "L'euro n'est plus un projet purement économique, c'est un projet politique. … La réalité [d'une zone euro de plus en plus intégrée] montre que l'époque d'un projet européen commun est révolue. L'UE est depuis longtemps composée de plusieurs unions. Cela nous pousse à un changement de stratégie. Nous avons besoin d'un traité politique 'pré-constitutionnel' entre les Etats de la zone euro et les Etats qui n'en font pas partie. Un traité qui permette en premier lieu de créer un regroupement politique et au final de renégocier les conditions de compétitivité sur le marché intérieur européen. Il ne sera pas facile d'établir une Europe différenciée. Mais le discours de Cameron nous montre que c'est nécessaire." (25.01.2013)

El Mundo - Espagne
Cameron veut seulement négocier
Plusieurs chefs de gouvernement européens ont critiqué la volonté de réforme de Cameron lors du Forum économique mondial de Davos. Le Premier ministre irlandais Enda Kenny et son homologue néerlandais Mark Rutte ont ainsi exclu l'aménagement d'exceptions nationales dans l'UE. La stratégie du Premier ministre britannique est risquée, juge le quotidien conservateur El Mundo : "David Cameron a tenté hier à Davos d'apaiser ses partenaires européens en assurant que son intention n'était pas que les Britanniques quittent l'UE avec le futur référendum. 'Nous ne tournons pas le dos à l'Europe, au contraire' a-t-il affirmé. Il a indiqué que la Grande-Bretagne espérait une Europe plus libérale et plus flexible, ce qui ne correspond pas à certaines des récentes initiatives de la France et de l'Allemagne. Tout semble indiquer que Cameron veut renégocier le statut britannique dans l'UE pour obtenir de meilleures conditions. Mais ce ne sera pas simple, car des pays comme la France refuseront de collaborer. C'est dans tous les cas une entreprise hasardeuse." (25.01.2013)

Frankfurter Allgemeine Zeitung - Allemagne
Les réactions offensées donnent raison à Cameron
Le fait que de nombreux politiques aient vertement critiqué le discours sur l'Europe tenu mercredi par Cameron montre qu'il a tapé dans le mille avec sa mise en garde, estime le quotidien conservateur Frankfurter Allgemeine Zeitung : "Cameron a raison : l'UE doit devenir plus flexible et accroître sa compétitivité. Elle doit clarifier la relation entre les pays de la zone euro et les autres pays de l'UE. La rétrocession de compétences au niveau national doit devenir possible. Enfin, l'UE doit devenir plus équitable et plus démocratique. Ceux qui se montrent offensés, avec des reproches comme ceux de l'actuel ministre des Affaires étrangères allemand Guido Westerwelle ('un caprice') ou l'ancien ministre à ce poste Joschka Fischer ('une liquidation de l'UE'), ne doivent pas s'étonner si plus de citoyens encore tournent le dos à l'Europe. ... Qu'ils partent s'ils en ont envie, disent de nombreux Européens convaincus, tout en occultant le fait que leur argument d'un approfondissement de l'intégration perd ainsi tout fondement. Car s'il est avéré que seule une Europe unifiée peut avoir un poids et une voix dans le monde, elle ne pourra s'imposer sans la puissance politique, militaire et financière de la Grande Bretagne." (25.01.2013)

Der Standard - Autriche
Le Commonwealth ne peut remplacer l'UE
L'excellente position internationale de la Grande Bretagne au sein du Commonwealth ne peut remplacer sa relation avec l'Europe, écrit l'historien et l'essayiste Timothy Garton Ash dans le quotidien de centre-gauche Der Standard. Ash, qui se trouve actuellement en Inde, écrit : "[E]couter le discours de Cameron depuis Bombay est une expérience particulièrement surréaliste. Ici en Inde, on vous dit préférer vivre et faire des affaires à Londres, on vous fait part de l'admiration pour les universités britanniques, ... on vous parle d'une certaine affinité avec les traditions littéraires britanniques, avec un bon gouvernement et un bon régime juridique. En revanche, la nouvelle idée des tories qu'une 'relation particulière' entre la Grande-Bretagne et l'Inde, la Grande-Bretagne et l'ensemble du Commonwealth, puisse remplacer la place de la Grande-Bretagne en Europe ou le rapport de l'Inde à l'Europe dans son ensemble, ne suscite aucun écho ici. L'Inde, comme la Grande Bretagne, poursuit ses propres intérêts nationaux, notamment dans son voisinage. Si Cameron n'est pas encore au courant de ce fait, il l'apprendra lors de sa prochaine visite ici." (25.01.2013)

POLITIQUE