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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
L'Elysée avait déclaré vendredi que le président français " pourrait" se rendre à Benghazi, peut-être avec le Premier ministre britannique David Cameron, à l'invitation du Conseil national de transition libyen (CNT).
Depuis que le Chef de la rébellion libyenne Mustapha Abdeljali a été reçu à l’Elysée le Mercredi 21 Avril et surtout depuis la visite de John McCain député Américain le 22 Avril en Libye, les médias évoquaient ,sans trop insister,la possibilité d’un prochain voyage du Président Nicolas Sarkozy en Libye,certains avancaient qu’il pourrait l’accomplir de concertavec David Cameron le premier Ministre britannique.
L’Elysée,sans doute relancée à ce sujet, a fait savoir le 22 Avril à un quotidien qui s’en faisaitl’écho : ….."C'est possible mais il est prématuré d'en parler"…. "Si cela se fait, ce sera dans le plus grand secret pour des raisons évidentes de sécurité"
D'après les médias le président aurait demandé à ses conseillers de vérifier la faisabilité d'un voyage éclair à Benghazi, pour rencontre les rebelles sur place,on parle d'une visite de quelques heures à peine et d'une rencontre limitéeavec le président du Conseil national de transition, Moustapha Abdeljalil, et des responsables militaires.
D’après les dernières nouvelles qui nous sont parvenues la sécurité n’est pas assurée en Libye, les frappes aériennes de l’Otanse multiplient sur Tripoliet Misrata et sur des villes tenues par les forces loyales, et de leur côté les forces de Kadhafi ripostent par des tirs redoublés de roquettes, en conséquence le voyage de Monsieur Sarkozy en Libye ne parait pas encore programmé.
"Sarkozy n’a pas raison d’aller à Benghazi" a estimé hier sur Europe 1 l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin".
"On voit bien qu’on est en train ou qu’on risque de rejouer la scénario de l’Irak", a prévenu l’ancien ministre des Affaires étrangères. "Nous n’avons pas vocation à nous battre pour un changement de régime en Libye (...) je ne veux pas que dans dix ans, des soldats français meurent en Libye", a-t-il estimé.
"L'affaire libyenne, nous n'en sommes peut-être qu'au début. Cette affaire peut durer longtemps", ...... "L'Irak nous a montré le chemin, l'Afghanistan nous montre le chemin, ne jouons pas les fiers-à-bras, ne jouons pas les libérateurs", a-t-il lancé.
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Rappelons qu’endéplacement à Kiev mardi, le Premier ministre François Fillon avait, pour sa part, déclaré que la France allait "intensifier" ses frappes aériennes pour protéger les civils contre les forces du colonel Kadhafi.
Le prétexte de protection des populationsciviles libyennes contre le Colonel Kadhafimaintes fois exprimé par la Coalition Internationalepour justifier ses frappes aériennes sur la Libye, se dément de lui-même si l’on considère quel’essentiel des frappes aériennes de l’Otanet de la Coalition Internationale se concentrent depuis une semaine surles lieux de résidence du Colonel Kadhafi àTripoli, faisant de nombreux blessés civils.
Il est certain que l’objectif principal et prioritaire de la Coalition Internationale et et de l’Otan est de liquider Kadhafi, de l’éloigner ou même le faire périrpar « tous les moyens nécessaires », mais s’ils y parviennent ce n’est pas pour autant que le calme serait assuré en Libye, les partisans de Kadhafi se trouveraient alorsopposés face à faceavec les insurgés dansdes combats qui risqueraientde faire périr des milliers de civils au cours des affrontements, à moins que la Coalition dans une escale d’ingérence encore plus accentuée ne décide d’occuper le terrain au sol pour soutenir les insurgés et imposer le CNT à le tête du pays, pour autant ce nouveau pouvoir serait encore contesté et dans ce cas l’occupation du payspar les forces armées de la Coalition risquerait de s’enliser pour plusieurs années dans un conflit comparable à celui de des forces de l’Otan enAfghanistan.
Rappelons que l’Otan a accentué ses frappes aériennesvendredi soirsur le secteur de Bab Al-Aziziya, où se trouve la résidence du dirigeant libyen.etque la coalition internationale avait déjà détruit un bâtiment dans cette résidence, affirmant qu'il s'agissait d'un centre de commandement.
24 et 25 Avril :
Samedi et Dimanche les frappes se sont poursuivies avec intensité, et ce jourmême Lundi 25 Avriltrès tôtle bureau du colonel Kadhafi, situé dans sarésidence à Tripoli, a étédétruit par une frappe aérienne de l'Otanetde fortes explosions ont été ressenties dans plusieurs quartiers de la capitale survolée par des avions
Vers03 h.00locales (01 h.00GMT), la fumée s'échappait toujours d'une partie du bâtiment détruit,autour duqueldes dizaines de partisans du régime s’étaientrassemblés, scandant des slogans à la gloire dudirigeant Libyen.
. Une salle de réunion, en face du bureau du colonel Kadhafi, aaussi été touchée par le souffle de l'explosion et partiellement détruite, ont constaté des journalistes
Un responsable libyen qui accompagnait des journalistes sur les lieux détruitsa annoncé que 45 personnes ont été blessées, dont 15 grièvement,et de nombreusespersonnes sont portées disparues, dans le bombardement du bureau de Mouammar Kadhafi,enprécisant qu’il ignoraits'il y avait d'autres victimes sous les décombres.
Pour ce responsable libyenil ne fait aucun doute qu’il s'agit d'une tentative d'assassinat du colonel Kadhafi.
Le fils du colonel Kadhafi Seif Al-Islam, fils du colonel Kadhafi, a qualifié de "lâche" cette attaque à la Télévision Allibya : « …….Cette attaque lâche sur le bureau de Mouammar Kadhafi peut faire peur ou terroriser les enfants mais nous n'abandonnons pas la bataille et nous n'avons pas peur »…… : « Des millions (de gens) sont avec Mouammar Kadhafi. Des gens qui n'ont pas peur, a-t-il dit, affirmant que la bataille engagée par l'Otan était perdue d'avance….. « Est-ce que vous avez vu tous ces gens qui se trouvent à Bab Al-Aziziya malgré les raids' Comment allez-vous vaincre ce peuple?, a-t-ilajouté
(Des dirigeants africains s'étaient réunis dans cette salle avec le colonel Kadhafi il y a deux semaines pour proposer un plan de paix accepté par le régime, mais finalement rejeté par la rébellion)
ooOoo
Résumé des interventionset déclarations médiatiques, diplomatiques et politiques du 18 Avril au 24 Avril :
18 Avril :
Envoi de troupes au sol ?
Lundi, Axel Poniatowskidéputé (UMP), président de la Commission des Affaires Etrangères, évoquaitles perspectives d'un enlisement des offensives rebellesqu'il juge «évitable», et préconisait«que l'Otan envoie au sol non pas des troupes combattantes, mais des forces spéciales dont la seule missionserait d’après lui,d'identifier les coordonnées des objectifs».
D’après Monsieur Poniatowski, cette initiative ne contreviendrait pas à la résolution 1973 de l'ONU autorisant «toutes les mesures nécessaires» pour protéger les populations civiles. «Il ne s'agirait aucunement de troupes d'occupation, ce qu'exclut la résolution, mais de 200 à 300 hommes des forces spéciales servant d'appui au sol pour guider les bombardements», «cela permettrait de rendre l'intervention de la coalition plus efficace et d'éviter les bavures qui risquent de se multiplier» expliquait-il.
Le ministre libyen des Affaires étrangères, Abdelati Laabidi, a aussitôt affirmé sur la BBC qu'une telle initiative "prolongerait" le conflit. "Nous estimons que toute présence militaire représente un pas en arrière et sommes sûrs que si les bombardements (de la coalition) s'arrêtaient, avec un vrai cessez-le-feu, nous pourrions avoir un dialogue de tous les Libyens sur ce qu'ils veulent : démocratie, réformes politiques, Constitution, élections", a-t-il dit.
Par ailleurs, lastagnation des offensives rebelles et les résultats « mitigés »des frappes aériennes ont relancé, dans le camp allié, la réflexion sur l'assistance militaire à la rébellion,notamment l'envoiou le renforcement de « commandos »dont certains seraient déjà sur place.
19 Avril :
La ville assiégée était toujours le théâtre d'intenses combats mardi, entre les loyalistes et les insurgés.
Le Premier ministre français François Fillon a évoqué "la violence des bombardements auxquels sont soumises plusieurs villes de Libye ....du fait de forces loyales à M. Kadhafi".
François Fillon a insisté sur la nécessité de "trouver une solution politique" au conflit. "Il faudra trouver une solution politique, c'est-à-dire les conditions d'un dialogue pour que la crise libyenne se résolve", a-t-il déclaré de Kiev où il se trouvait.
"Nous allons donc intensifier notre effort militaire à partir de nos forces aériennes pour empêcher les forces de M. Kadhafi de poursuivre leur entreprise contre les populations civiles", a encore répété mardi Alain Juppé.
Ndlr : Des déclarations alambiquées de Monsieur Fillon et de Monsieur Alain Juppé, on pourrait entendre que les bombardements de la Coalition et de l'Otan ont lieu du fait que les forces loyales de Kadhafi poursuivent "leur entreprise"contre des populations civiles, ce qui est faux, les forces de Khadafi interviennent contre les insurgés armés.
Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, s'est aussi déclaré "tout à fait hostile" à l'éventualité d'une intervention au sol
La réflexion se poursuivait en vue d'apporter une aide plus importante aux insurgés,William Hague, le Chef de la Diplomatie britannique, avait suggéré, la semaine dernière, la possibilité de fournir des armes aux rebelles, et de son côté l e premier ministre britannique David Cameron avait confirmé , avant la déclaration de Monsieur Axel Poniatowski, qu'il réfléchissait au moyen d'aider davantage l'insurrection, et sur la possibilité d'envoyer des troupes au sol, le chef du gouvernement britannique avait déclaré ….. «nous n'allons pas envahir la Libye, nous n'allons pas l'occuper», enévitant de se prononcer sur une intervention terrestre ponctuelle
Selon la presse britannique, des membres des forces spéciales britanniques sont déjà présentes sur le terrain et pourraient être sollicités pour entraîner les rebelles" peu aguerris
Depuis, Londres a promis l'envoi de conseillers militaires auprès du Conseil national de transition (CNT), organe officiel de la rébellion, pour l'aider à améliorer son organisation militaire et sa logistique.
Mais les insurgés de Misrata veulent obtenir davantage et réclament l'envoi de soldats français et britanniques sur les bases de "principes humanitaires" :
Mardi Misrataétait toujours le théâtre d'intenses combats, les loyalistes contre-attaquant et prenant des ambulances pour cible, (d'après les insurgés cités par des médias), des avions de l'Otan survolaient la ville, mais l'Alliance a affirmé être limitée par l'utilisation de boucliers humains par les forces pro-Kadhafi.
Nouri Abdallah Abdoullati, l'un des chefs insurgés dans la ville de Misrata à 200 kilomètres à l'est de Tripoli, indiquaitmardi soir à la presse que les rebelles demandaient l'envoi de soldats français et britanniquespour les secourir sur la base de principes "humanitaires".
"Auparavant, nous demandions qu'il n'y ait aucune interférence étrangère, mais c'était avant que Kadhafi utilise des roquettes Grad et des avions". "Désormais, il s'agit d'une situation de vie ou de mort", a-t-il déclaré.
Dans le même temps, le fils du Colonel Kadhafi Seif el-Islam, se disaitdit "très optimiste" et sûr que le régime allait l'emporter. "Nous allons vaincre", a-t-il déclaré lors d'une émission télévisée sur sa chaîne Allibya, assurant que "la situation évolue chaque jour en (notre) faveur".
La semaine dernière, les médias indiquaient,en citantun responsable occidental qui avait requis l’anonymat,que la France, l'Italie et la Grande-Bretagne avaient des attachés militaires présents à Benghazi, siège de la rébellion, chargés de transmettre des informations à l'Otan concernant la situation sur le front.
Mardi Bernard-Henri Lévy, défenseur de la rébellion libyenne et de retour de Benghazi, avait déclaré que deux officiers de liaison, un Français et un Britannique, étaient déjà présents au QG opérationnel des insurgés à Benghazi (est).
La France, l'Italie et le Royaume-Uni ont annoncé cette semaine l'envoi de conseillers militaires auprès des rebelles. Quelques officiers français effectuent déjà une mission pour conseiller le CNT, Rome va envoyer dix instructeurs à Benghazi et Londres "moins de 20 militaires".
20 Avril :
Des officiers de liaisons Français prêteront "main forte"aux insurgés libyens :
La France a annoncé, mercredi, l'envoi d'officiers de liaison auprès du Conseil national de transition (CNT) libyen, au moment même où son président Mustapha Abdel Jalil était reçu à l'Élysée par le président Nicolas Sarkozy, mais Parisa souligné Mercredi qu'il n'était pas question de déployer des troupes au sol pour prêter main-forte aux insurgés libyens.
Mustapha Abdel Jahil espérait plus et souhaitait l’envoi de troupes au sol de la part des pays de la Coalition Internationale, notamment de la France.
Le porte-parole du gouvernement, François Baroin, a annoncé ce mercredi lors du compte-rendu du Conseil des ministres qu’un petit nombre d'officiers de liaison français effectuerait une mission auprès du Conseil national de transition (CNT) libyen :
"La position de la France est très simple : nous n'envisageons pas des troupes de combat au sol, en aucune façon et sous aucune forme que ce soit." …… "Nous ne prenons pas d'initiative pour demander une nouvelle résolution au Conseil de sécurité, a-t-il souligné. La position française est stable et inchangée sur cette problématique d'application de la résolution 1973."
Il a expliqué qu'il y "aura un petit nombre d'officiers de liaison, quelques unités, aux côtés du CNT pour effectuer une mission de liaison afin d'organiser la protection des populations civiles".
À la question de savoir si ces officiers étaient déjà sur place, François Baroin a répondu que c'était au Quai d'Orsay de dire ce qu'il en était,selon lui, leur nombre est inférieur à dix.
À l'issue du Conseil des ministres, le ministre de la Défense Gérard Longuet a été catégorique. À la question "l'envoi de troupes au sol est-il exclu ?", il a répondu : "Oui." … "Ce n'est pas la résolution 1973 (de l'ONU) et nous travaillons dans le cadre de cette résolution", a rappelé le ministre. L'envoi de troupes au sol est "un vrai sujet qui mérite une réflexion internationale", a-t-il reconnu.
Alors qu'on lui demandait si le CNT, favorable au déploiement de troupes au sol, n'allait pas être déçu, Gérard Longuet a répondu : "On ne peut pas faire plaisir à tout le monde tout le temps ……Le porte-parole du gouvernement François Baroin l'a réaffirmé mercredi. "La position de la France est très simple : nous n'envisageons pas des troupes de combat au sol, en aucune façon et sous aucune forme que ce soit." "Nous ne prenons pas d'initiative pour demander une nouvelle résolution au Conseil de sécurité, a-t-il souligné. La position française est stable et inchangée sur cette problématique d'application de la résolution 1973." Pour autant, il a affirmé qu'il y "aura un petit nombre d'officiers de liaison, quelques unités, aux côtés du CNT pour effectuer une mission de liaison afin d'organiser la protection des populations civiles".
De nombreux analystes, au cours des derniers jours, ont souligné la difficulté croissante des aviateurs alliés à frapper les troupes et matériels libyens, souvent fondus dans la population civile.
Le président américain Barack Obama a dit "soutenir" ces initiatives mais la secrétaire d'État Hillary Clinton a explicitement exclu que les États-Unis en envoient eux-mêmes.
La position de Washington est très hypocrite dans la crise Libyenne, depuis que l'Otan a pris le commandement des opérations militaires, ils soufflent parcimonieusement en surface des déclarations assez tièdes pour soutenir ou approuver comme s'ils n'étaient que peu concernés, alors que l'on sait bien qu' au fond ils "poussent au crime" et n'attendent qu'une chose pour remonter en surface et reprendre la situation politique en main, a savoir que l'Otan et les autres membres de la coalition les débarrassent de Khadafi "par tous les moyens nécessaires".
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a estimé que l'envoi de conseillers militaires marquait le début d'une opération "terrestre", un acte "risqué et aux conséquences imprévisibles" selon lui.
20 Avril :
Tim Hetherington, collaborateur britannique du magazine Vanity Fair, et l'Américain Chris Hondros, de l'agence Getty, ont été victimes mercredi20 AVRIL d'un tir de mortier dans le centre de Misrata.
"Ce sont des héros... Ils sont venus pour témoigner du conflit au reste du monde", a déclaré Abdel Hafiz Ghoqa, vice-président du CNT.
Dans la nuit de jeudi 21 avrilà vendredi 22avrilles corps de deux photographes tués ont été accueillis à Benghazi par une cérémonie réunissant une trentaine de journalistes, diplomates, représentants d'ONG et de la rébellion.
21 Avril :
Washington aannoncé jeudi21 avril, par la voix du secrétaire à la Défense Robert Gates, que deux drones armés seraient en permanence engagés au-dessus de la Libye.
Cette mesure a été saluée par la rébellion :
"Nous espérons que cela puisse mettre fin au siège de Misrata," troisième ville de Libye théâtre depuis plusieurs semaines d'une guérilla urbaine meurtrière entre la rébellion et les forces kadhafistes, a déclaré Moustapha A l-Guerriani,l’undes porte-parole du Conseil national de transition (CNT).
Moustafa Awadmamy,un combattantrevenu du front de Bregaa déclaré àl’AFP : ….. "les drones ont frappé avec succès les forces de Kadhafi". "Nous voudrions plus d'avions sans pilote"…. »
Par contre Khaled Kaïm, vice-ministre libyen aux Affaires étrangères Khaled Kaïm, a déploré cette mesure au micro de la BBC, jugeant qu'"ils tueront encore plus de civils".
22 avril :
(Rappelons que le 13 avril, le sénateur américain JohnMcCain avait déploré le désengagement militaire américain en Libye, jugeant que les Français et les Britanniques n’avaientpas les moyens nécessaires pour faire pencher la balance en faveur des rebelles libyens. "Lorsque que nous retirons du champ de bataille nos moyens les plus décisifs (- les avions AC-130 et A-10)nous perdons alors une capacité significative. Nos alliés ne possèdent pas cela", avait-il alors estimé)
Le 22 avril, au lendemain de l'annonce par Washington de l'envoi de drones armés au-dessus de la Libye, le sénateur américain John McCain est arrivé à Benghazi pour une visite « de son propre chef » aux insurgés libyens
Monsieur John McCain, - candidat républicain à l'élection présidentielle de 2008 - et actuel partisan d'un soutien militaire aux rebelles libyens, a été accueilli selon la presse, par une cinquantaine de manifestants aux cris de "Libye libre, Kadhafi va t'en, merci l'Amérique, merci Obama !"
Le sénateur américain devait rencontrer dans la journée les dirigeants du CNT, l'organe politique de la rébellion qui siège à Benghazi,et en arrivant a salué les personnes rassemblées devant le palais de justice, où se trouve le quartier général du CNT.
"C'est un grand moment pour nous, parce que ça signifie que les Américains de tous bords sont avec les Libyens", a déclaré à l'AFP Fayruz Naas, 47 ans, un enseignant venu acclamer le sénateur américain.
Un vétéran de la guerre du Vietnam chaudement accueilli à Benghazi : le sénateur américain John McCain est en visite ce vendredi dans la principale ville de l'est libyen, bastion de l'insurrection.
20 avr. 2011 ...Montmartre-Duboubou. Aller au contenu | Aller au menu | Aller à ... Par Duboubou 1er le mercredi, avril 20 2011, 09:42 - Dossiers chauds ? ... blog.amis-mondovision.net/ - En cache - Pages similaires
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En déplacement au HavreMonsieur Nicolas Sarkozyest intervenu en adaptant son précédent discours des Ardennes à la politique maritime de la France.
Son discoursest un passe partout de fond qu’il luisuffit d’ajusterau contexte régional.
Comme dans les Ardennes, il a de nouveau pourfendu les « conservatismes » de tous bordsqui selon lui freinent le développement du pays.
Ceci ressemble à un aveu d’impuissance puisque depuis bientôt quatre ans qu’il est au commande il n’a pu entamer ces fameux« conservatismes » qui en fait n’existent que dans son esprit critique pour couvrir l’errance improvisée de sa politique et de celle son Gouvernement sur les plans politique, économique et social.
Il a remisencore une fois sur le tapisla « prime obligatoire » quiserait versée aux salariés des grandes entreprises françaises dont les dividendes versés aux actionnaires sont ou seraient en hausse, en se lamentant qu’à l’annonce de la création de cette prime à droite, à gauche, et au centre des critiques se soient élevéees :
Avec la création de cette prime, "j'ai vu se dresser devant moi les murs du conservatisme et de l'immobilisme, à gauche parce qu'on aurait aimé le faire et qu'on ne l'a jamais fait, à droite parce que c'est trop, au centre parce que ce n'est pas encore assez", a affirmé M. Sarkozy.
"Moi, ce que je veux c'est que ça avance. Nous n'avons pas le choix, nous devons nous adapter et nous avons tous les atouts pour réussir", a-t-il dit en avançant qu'il fallait "développer les métiers de la mer, des transports, de la logistique".
"Je suis passionné mais je crois que (dans les ports français) bat un des poumons économiques majeurs de la France", a-t-il lancé, tout en regrettant le retard pris par les ports hexagonaux sur leurs concurrents européens.
"Le premier port pour les containers français, c'est Anvers! Je suis profondément européen, mais quand même!", a-t-il regretté en assurantqu'il comptait sur la réforme portuaire pour redresser la situation qui permettra "de faire aussi bien, et même de faire mieux qu'Anvers".
Bref dans le registre des accusations il s’est montré très prolixe et intarissable, , tout y est passé, après les conservatismes et les immobilisme , il a dénoncé les conflits sociauxde retarder le développement du pays :
"On a une réputation en France: on est intelligent, un pays avec un cadre de vie extraordinaire, où il fait bon vivre" mais "les conflits sociaux, les paralysies, les lourdeurs administratives, ça nous a fait un mal considérable. Surtout que dès que quelqu'un fronçait les sourcils, on cédait. Évidemment ça crée des habitudes!", a philosophé Nicolas Sarkozy.
Non content de s’attaquer aux conservatismes, aux immobilismes, aux conflits sociaux, il a entonné un chapitre contre nos anciens présidents pour mettre en évidence son projet du Grand Paris, ce qui n’est évidemment pas du tout fair play et très vulgaire.
"Mes prédécesseurs ont fait une bibliothèque ou un musée. C'est très bien", a-t-il ironisé en faisant allusion à la Bibliothèque nationale de France de François Mitterrand et au musée du Quai Branly de Jacques Chirac.
Mais "moi, je veux le Grand Paris", a-t-il asséné, alors qu'il projette de faire du Havre le port du Grand Paris, en reliant notamment les deux villes en une heure et quart par une liaison TGV.
Nicolas Sarkozy entend en effetdonner un sérieux coup d’accélérateur au projet de LGV Paris-Normandie, qui doit desservir Rouen, Caen et Le Havre.
Il aannoncéque le débat public doit s’achever fin 2011 que le choix du tracé et la répartition du financement de ce projet (entre 9 et 13 milliards d’euros) entre l’Etat, Réseau Ferré de France et les collectivités concernées en Île-de-France et en Normandie sera connu début 2012.
Ce n’est pas une surprise qu’il soit une fois de plus en désaccord avec les experts qui envisageaient une mise en servicevers 2020 ; Monsieur Nicolas Sarkozy est un homme pressé et refuse ces délais :
"Les experts les plus optimistes évoquent une mise en service au mieux en 2020. Eh bien, je refuse ces délais. Je préfère 2017 pour les 500 ans de la fondation du Havre. Si les procédures et règlements actuels ne permettent pas d’aller assez vite, je ferai voter une loi. A projet exceptionnel d’intérêt national, mesures exceptionnelles"
(Rappelons que le président a nommé Antoine Rufenacht, ex-maire UMP du Havre, à la tête d’un Commissariat au développement de la Vallée de la Seine, il aura pour mission le pilotage national du développement de la Vallée de la Seine et de la façade maritime de la région capitale. Il coordonnera les politiques d’aménagement, de transports et de logements qui concernent l’axe Seine. Il disposera pour cela d’une administration de mission légère, mais dotée de larges compétences interministérielles et sera branché en ligne directe avec l’Elysée. Ce qui devrait« accélérer le projet en permettant de faire sauter certains verrous, si nécessaire. »
"La réponse française à la crise, ce n'est pas la rétractation mais l'innovation, l'intelligence. C'est pour ça que j'ai voulu le Grand Paris", a-t-il insisté.
Mais "rien, personne ne m'empêchera" de réaliser ce Grand Paris, qui passe par le développement de la Vallée de la Seine. Et si cela se révèle impossible à réaliser par "les procédures normales, je n'hésiterai pas à proposer une loi pour que les choses aillent plus vite", a-t-il dit.
"A un moment donné, il faut une volonté", a déclaré le président.
Mais ce n’est pas tout, il a encore dénoncé« certaines lourdeurs administrative » en évoquant Louis XIV……... "Si Louis XIV avait eu le code d'urbanisme d'aujourd'hui, c'était mal parti pour Versailles!", s'est-il exclamé.
Enfin en dépit de toutes les critiques qui se dressent contre lui, les conservatismes, les immobilismes, les conflits sociaux, les lourdeurs administratives qu’il a dénoncées sans avoir pu les vaincre en quatre ans d’agitations endémiquessur le terrain, Nicolas Sarkozy reste persuadé qu’il aboutira dans ses projets, au besoin en proposant des lois pour que les choses aillent plus vite … Comment peut-il se rabattre encore une fois de plussur des propositions de loi ?
Manque-t-il à ce point de crédibilité et d’audience et de moyens pour « faire sauter les verrous » pour devoir encore envisager de recourir au législateur ?
On ne peut plus douter que le Président est déjà en campagne présidentielle et qu’il anticipe et présente son programme politique jusqu’en 2017 comme si sa réélection était déjà acquise !
Ses fansinconditionnels, politiques et médiatiques,ont commenté ses déclarationsdu Havre comme cellesdes Ardennes comme la délivrance « d’une leçon » de volontarisme politique de la part du Président.
Que n’entonnent-ils pas : Merci Monsieur le Professeur … on ne vous oubliera jamais … !
Lors de la précédente campagne présidentielle le candidat Sarkozy nous avait bercé de promessedont 95 % n’ont pas été tenues, ce n’est pas en dénonçant des blocages imaginairesque lePrésident convaincra les électeurs pour 2012, moins encore en promettant des lois , moi encore en clamant sa volonté, il ne suffit pas de vouloir,il faut pouvoir,et il n’a pas pu !
Au cours de cette visite au Havre intervenue six jours après la signature de la réforme portuaire de 2008 destinée à relancer le trafic Français etalors que les ports Français on perdu du terrain par rapports à leur concurrents Européens , une rencontre à « huis clos »était au programme entrele Chef de l’Étatetles représentants des syndicats des différents métiers portuaire, mais dès mercredi, veille de sa visite, la CGT du grand port maritime (GPM) du Havre avait"décliné""On ne souhaite pas rencontrer" le président de la République, avaitaffirméLaurent Delaporte, le secrétaire général de la CGT au GPM du Havre, ….."Il est le père de l'antisocial pour les salariés, on ne souhaite pas faire face à ce personnage", avait-t-il expliqué en assurant que le syndicat préférait "l'ignorer".
Rappelons, pour la petite histoire, qu’en 2009, les syndicats avaient organisé des manifestations lors de sa troisième visite du 18 Juillet 2009 au Havre, à l’appel de la CGT ,de Solidaires, de la Ligue des Droits de l’Homme, du NPA, du PCF, du PS, du PRG, des Verts…unrassemblement contre les « lois liberticides » avait été organiséau Havre le jeudi 16 juillet 2009
De plus lesAssociations, syndicats et partis de gauche lui avaient réservéun accueiltonitruantsur l’air de « Pas de vacances contre l’arrogance ! ». Deux jours auparavant le 14 Juillet 2009 Antoine Rufenacht alors maireUMP du Havre, proche du Président, avait été promu commandeur de la légion d’honneur
La réforme des portsengagée était déjà très contestée en Normandie, le Chef de l’ETA pour cette visite du 16 juillet s’était entouréedes ministreset des secrétaires d’État de l’époque,à savoir,le Ministrede l’Écologie,Jean-Louis Borloo, de l’Agriculture et de la Pêche, Bruno Le Maire, des secrétaires d’État aux Transports, Dominique Bussereau, et à l’Écologie, Chantal Jouanno.
A l’époquecertains syndicalistes étaientaussi très remontés contreNicolas Sarkozy pour d’autres motifs qui venaient s’ajouter à la réforme des ports, et depuis plusieurs joursdes militantes et militants manifestaient devant les commerces du Centre Ville contre le travail du dimanche, au pont de Tancarville, contre le « péage-racket », et surtout devant chez Renault Sandouville où l’on promettait que Nicolas Sarkozy serait très mal reçu s’illui prenait l’ envie d’y passer pour faire le beau…
Certains médias locaux regrettaientque le « Guignol » qui se produisait dans le square Saint-Roch à l’occasiondes "Z’Estivales"n’ait eu leplaisirde lui administrer une bastonnade comme il en a le secreten ajoutantque commeGuignol, d’autres aimeraient bien frotter l’échine des princes qui nous gouvernent.
Article France Info. Publié le 21 avril 2011 à 15:52. - Présidentielle 2012.
www.france-info.com/france-presidentielle-2012-2011-04-21-sarkozy-en-campagne-au-havre-defend-la-prime-aux-salaries-531382-... - En cache
21 avr. 2011 ... Le syndicat qualifie le président de la République de "père de l'antisocial pour les salariés".
www.lepoint.fr/.../la-cgt-refuse-de-rencontrer-nicolas-sarkozy-au-havre-21-04-2011-1321854_20.php - En cache
21 avr. 2011 ... Le président de la République doit s'entretenir avec les syndicats du secteur portuaire. -
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18 avr. 2011 ... L'information n'est pas encore confirmée par l'Elysée. La ...
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20 avr. 2011 ... Le président Nicolas Sarkozy effectue demain au Havre (Seine-Maritime) un déplacement consacré à la politique maritime de la France. ...
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20 avr. 2011 ... Le Monde.fr - La CGT du grand port maritime du Havre a "décliné" une rencontre inscrite au programme de la visite de Nicolas Sarkozy, ... www.lemonde.fr › Élection présidentielle 2012
21 avr. 2011 ... Nicolas Sarkozy s'est rendu au Havre jeudi matin pour mettre un point final à la réforme des ports français. Un programme de privatisation ... www.francesoir.fr › Actualité › Politique - En cache
21 avr. 2011 ... Actualités Orange : toute l actualité du jour en France et dans le monde en direct. Vidéos, infos et dépêches de l actu politique, ...
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Décidément on prend les salariés pour des chiens, cette promesse d'os à ronger que l'on propose aux patrons de jeter aux salariés après avoir dégusté le rôti, n'est ni une augmentation de salaire ni un intéressement, elle créerait une inégalité entre les salariés des grands groupes et ceux des moyennes et petites entreprises.
Bien entendu cette promesse de prime suscite des critiques fondées et ce n'est pas l' air épanoui et satisfait de certains perroquets de service de l'UMP qui reprennent cette annonce hypothétique, ni l'air doctoral de la Ministre Lagarde qui cite des formules " n" en prenant un air suffisant de docteur en mathématiques qui arrivera à convaincre les syndicats et les salariés.
Le pouvoir d'achat ne peut rester suspendu aux aléas d'une distribution de dividendes qui pourrait être retardée ou contournée, les salaires doivent suivre au moins l'augmentation des prix et doivent rester dans leur progression indépendants d'une opération qui s'annonce comme une parcimonieuse distribution d'os à ronger au bon plaisir du patronat et des actionnaires .
La prime pour les salariés du secteur privé, annoncée par Nicolas Sarkozy, suscite la polémique. Si certains faux naïfs la voient comme un coup de pousse au pouvoir d'achat, d'autres la considèrent comme une chimère sans identité sociale ni salariale encore moins économique et en définitive si elle est un jour ou l'autre distribuée, elle n'aura qu'un impact limité et un effet de saupoudrage insuffisant et inégalitaire.
Aujourd’hui dans le journal de TF1 Jean-Pierre Pernaut a annoncé le décès du 56° soldat français mort en Afghanistan en expliquant que le véhicule des militaires avait sauté et explosé sur une mine artisanale et dans la suite de son commentaire il était expliqué que les mines artisanales se trouvaient le long des routes …. Encore une fois on s’efforce dans le journal télévisé de « banaliser » ce dramatique accident , or d’après le communiqué de la Présidence il s’agit d’un décès intervenu au cours d’une opération en Kapisa , le véhicule blindé a été touché par l’explosion d’un engin explosif improvisé et neuf autres marsouins ont également été blessé dans l’attaque.
Le communiqué de la Présidence est repris par ailleurs dans la rubrique Info du site TF1 , alors pour TF1 deux sons de cloches coexistent, dans son journal de TF1 du 21 avril à 13 heures cette chaîne annonce que le véhicule a sauté sur une mine artisanale, et dans son site rubrique Info du 20 Avril 2011, mis à jour le 21 avril à 10 h :03 sous le titre "Afghanistan : Embuscade meurtrière pour des soldats français", l'information est différente :
Extrait de l’article :
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"Un soldat français est mort et neuf autres ont été blessés dans une embuscade mercredi lors "d'une opération en Kapisa. Il s'agit du 55e soldat français tué en opération en Afghanistan depuis "2001.
"Aujourd'hui dans l'après-midi, le président de la République a appris avec « beaucoupd'émotion "la mort d'un caporal du 2ème Régiment d'Infanterie de Marine en « Afghanistan", écrit la "présidence, ajoutant qu'au "cours d'une opération en Kapisa, son « véhicule blindé a été touché "par l'explosion d'un engin explosif improvisé". "Neuf autres « marsouins ont été également "blessés dans l'attaque", poursuit l'Elysée. Le président de la « République a "présenté à la famille et aux "proches du soldat tué au combat ses plus sincères « condoléances et s'(est) associé à leur peine". "Il "(a) souhaité aux militaires blessés de se « rétablir au plus vite et les (a) assuré ainsi que leurs familles "de toute sa sympathie dans « cette douloureuse épreuve".
« Le chef de l'État a réaffirmé "son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes" et « exprimé "la "détermination de la France à continuer d'œuvrer au sein de la Force « Internationale d'Assistance à "la Sécurité". "Cette force, mandatée par l'ONU, a reçu la « mission de contribuer au retour de la "stabilité, au rétablissement de la paix et au « développement en Afghanistan", conclut la présidence. "La France a déployé quelque 4.000 « hommes sur le sol afghan.
Fin de l’extrait
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Conclusion : La désinformation règne en maître dans les JT de TF1 on donne une version et dans la rubrique Info du site de TF1 on donne l’information officielle , c’est inadmissible de maquiller en JT les informations officielles.
Aujourd’hui, au lendemain du départ d’Afghanistan du ministre de la Défense Gérard Longuet, au cours d’une opération à Kapisa un de nos soldats français, caporal du 2e Régiment d'Infanterie de Marine est décédé portant à 56 le nombre de nos soldats tués en Afghanistan depuis le début des interventions dans ce pays en 2001.
"Pour faire un soldat de Marine, il faut avoir dans la poitrine le cœur d'un matelot et celui d'un soldat"
"Mort au combat au service de la France", selon la formule consacrée par les autorités , nos soldats meurent en réalité en Afghanistan et sur des territoires étrangers pour assurer la sécurité des populations civiles ..selon ce que l'on nous assure .
Le caporal Alexandre Rivière, 23 ans, était marié et père d'un enfant. Il s'était engagé au 2ème RIMa d'Auvours en février 2007. "Militaire sportif et enthousiaste" selon ses chefs, ce "marsouin" avait servi au Tchad et en Cote d'Ivoire, avant de rejoindre l'Afghanistan en décembre dernier au sein du Battle Group Richelieu de la Task Force Lafayette
Neuf autres soldats ont été blessés au cours de cette opération, au cours de laquelle leur véhicule blindé a été touché par l'explosion d'un engin explosif.
Au cours de sa visite aux troupes Françaises lors de sa visite de 48 heures, Le Ministre de la Défense Gérard Longuet s'était notamment rendu à Kapisa où sont déployés la majorité des quelque 4 000 soldats français en Afghanistan, et sa visite avait été marquée par un attentat à Kaboul qui selon les talibans le visait, ce qui avait été démenti immédiatement par Paris.
Le ministre de la Défense, Gérard Longuet, a indiqué que la compagnie du groupement tactique interarmes (GTIA) de Surobi était engagée dans une mission de contrôle de zone au sud de la Kapisa, quand leur véhicule blindé a été touché par l'explosion d'un engin.
Les neuf blessés, dont trois grièvement, «ont immédiatement été pris en charge par l'équipe médicale qui se trouvait sur place puis évacués vers l'hôpital militaire», a-t-il précisé.
D’après les médias, le Ministre de la Défense s’est dit «convaincu qu'au-delà de la légitime souffrance de cette famille et de ses proches, ce nouveau sacrifice n'est pas vain». Pour lui, le combat que mènent ces soldats, aux côtés de ceux de la coalition internationale, «est celui de l'espoir».
Le chef de l'État a présenté à la famille et aux proches du soldat tué au combat « ses plus sincères condoléances» en souhaitant aux militaires blessés de «se rétablir au plus vite».
Par ailleurs, Nicolas Sarkozy a réaffirmé «son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes» et exprimé «la détermination de la France à continuer d'œuvrer au sein de la Force Internationale d'Assistance à la Sécurité».
Le Premier ministre, François Fillon, à fait part de son émotion en s'associant à la douleur des proches du soldat, ainsi qu’à celle de l’ensemble du deuxième régiment d’infanterie de marine du Mans».
François Fillon a aussi indiqué que le véhicule du soldat tué appartenait à «la Task Force La Fayette».
20 avr. 2011 ...Un soldat français a été tué et neuf autres blessés mercredi au cours d'une opération en Kapisa (est de Kaboul) au cours de laquelle ils ont ... tempsreel.nouvelobs.com › Actualite › Monde
20 avr. 2011 ...Un soldat français a été tué en Afghanistan et neuf autres ont été blessés dans une embuscade survenue dans la province de Kapisa à l'est de ...
www.rfi.fr/.../afghanistan-soldat-francais-tue-9-autres-blesses-province-kapisa
20 avr. 2011 ... PARIS (Reuters) - Un soldat français a été tué mercredi en Afghanistan dans la province de Kapisa (nord-est), décès qui porte à 56 le nombre ...
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