* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
J'ai reçu hier de l'auteur Duboubou1er un article dans lequel il campe le personnage, du " Connard magnifique" qui est en train d'émerger majoritairement dans notre société moutonnière, personnage qui n'a pas échappé à son regard aiguisé et à sa plume avisée.
Son petit frère, le "cyber couillon", ce modèle basique est le plus rependu. On peut le rencontrer partout, parfois flanqué de cousins en version plus sophistiquées, estampillés "intello de chez Dupont la joie " sans que l'on sache pour quelle raison et en vertu de quels critères ce label leur a été attribué! Alors, le plus souvent c'est le dialogue de sourd qui s'installe. Les écrits des uns entrainent les commentaires ineptes des autres et voila qu’un blog sympathique se trouve en difficulté! La seule solution, pour éviter une disparition, pour cause de pollution, qui s'offre au webmestre du site concerné c'est de fermer brutalement le robinet des déjections importées par de tristes pingouins qui confondent insultes et échange de points de vues dans un débat strictement démocratique ! Heureusement que sur le Net après quelques tribulations il est presque toujours possible de trouver les informations dont on a besoin, en quelques clics et gratuitement! Le Net n'est, finalement, que le reflet fidèle, mais très cru, des turpitudes des habitants de notre planète Terre! La situation n'est pas toujours confortable mais c'est bien le prix à payer pour conserver un Internet "semi-libre" que les sécuritaires s'efforceront de contrôler toujours plus efficacement pour toutes sortes de bonnes raisons, ce qui n'est pas forcement rassurant! Toutefois à ce jour, nos libertés fondamentales, sont encore debout même si l'avenir ne peut pas être qualifié de serein puisque nous ne pouvons l'ignorer: nous sommes tous de plus en plus surveillés, fliqués comme l'affirme la grande majorité des jeunes qui se méfient de leurs portables! Bien que j'appartienne au clan des séniors, très confirmés, que des hypocrites viennent, à chaque scrutins, flatter le temps de la campagne, je n’ignore pas que mais ces beaux messieurs, immédiatement après, espèrent qu'une bonne canicule ou une pandémie meurtrière leur évitera de tenir leurs promesses, qui en fait n'ont jamais engagés que les naïfs qui les ont gobées! Donc, tout comme nos jeunes je déplore que les discours sécuritaires rassemblent autant d'adeptes frileux, même si je suis bien conscient que nous les vieux briscards, qui avons traversé des épreuves meurtrières pourrions finir dépouillés au coin d'une rue paisible! Mais rien ne sert de baliser et croire que la restriction de nos liberté peut seule nous apporter la sécurité totale ! Aujourd'hui notre République nous semble bien falote même si elle affiche toujours sur les frontons de ses édifices publics "Liberté-Égalité-Fraternité" affirmation d'un gros mensonge, qui ne devrait pas nous faire sourire mais pleurer de rage! Étonnante république ou les banquiers -de grands chemins- sont aidés par ceux qui nous gouvernent et ou la seule ambition affichée de la minorité dirigeante est d'abattre tous les acquis sociaux obtenu depuis des temps anciens et de haute lutte par nos pères! La crise n'a rien changé, les moutons de France n'ont toujours rien compris puisqu’il baisse toujours la tête afin de ne pas voir qu'ils sont coccus!
Pour moi qui suis dans ma dernière ligne droite à la fin d'un parcours chaotique je n'arrive pas à comprendre pourquoi vous acceptez l'esclavage moderne en badant d'admiration devant cette poignée de nantis qui fait le spectacle protégés par une classe politique docile élue par le peuple pour finalement ne servir que les puissants!
Nos voisins anglais ont récemment découverts le scandale des notes de frais encaissées par leurs parlementaires mais chez nous en douce France rien de semblable ne peut se produire puisqu'aucun contrôle n'est pratiqué et que demain, main dans la main, avec une belle unanimité nos politiques n'hésiterons pas longuement avant de se doter d'une loi inique les m'étant à l'abri d'une mauvaise surprise!
Moutons de France mes frères vous courez allègrement vers l'abattoir un bandeau sur les yeux et je vous le dit en face vous aggravez mes nausées !
Je me demande sérieusement si « le connard magnifique » n’est pas subitement devenu majoritaire dans cette nouvelle république "Bling-Bling" de type vide tirelire !
Résolument branchée, notreBernadette toujours nationale, a fait sensation au club « VIP Room de Saint-Trop' » àl'occasion des 20 ans du club, « fameux temple de la nuit » du célèbre Jean-Roch.
Jacques Chirac était de sortie par ailleurs. Tous les deuxétaient donc d’un commun accorden permission de minuit et plus,ce qui nous permet de rappeler que le mariage n’est pas une prison !
Bernadette se trouvait donc làsans son Jacques, mais entourés d’amies et amis célèbrespour écouter Alexandrele « musicien » de la famille Arnault qui était aux platines, fils de Bernard Arnault et d'Hélène Mercier-Arnault,elle-mêmepianiste réputée.L'an dernier, AlexandreArnault avait déjàcharméle club devant un parterre de célébrités.
Ne croyez pas qu’il y ait de l’eau dans le gaz entre Bernadette et Jacques, ce couple solide n’a pas besoin dese serrer- coller main dans la main et de se bisouter la pomme à longueur de journée, sous le feu des paparazzis, pour nous persuader de la solidité de leurs sentiments.
La liberté que chacun de ces deux époux s’accordentpournaviguer en solo, comme bien d’autres, en toute confiance, est comme le souffle et la respiration quipermet à chacune de leur personnalité de s’épanouir en affirmant ses goûts et de montrer sa différence pour mieux se faire apprécier. Les contraires s’attirent ! La longévité de leur mariage est la preuve que la recette est bonne, puisque ce couple, comme tant d'autres de leur génération, a traversé toutes les tempêtes sans mollir en prenant toujours le cap pour la sérénité
Oui bien sûr, tout le monde sait que « Chichi » autrefois du temps de sa triomphante jeunesse avait autre chose à faire que de perdre son temps à pédaler pour épater la galerie, et que, selon les rumeurs,ilauraitsubi quelques tentations qui aurait pu le porter à donner quelques « petits coups de canifs dans le contrat », bref s’il a eu quelques petits flirts vite fait bien fait dit-on, Bernadette veillait au grain, comme toutes les femmes de sa génération elletenait fermement la place , et savait monter au créneau en cas d’alerte , pour lui redresser les bretelles et la cravate à l’occasion.
Pour en revenir à la soirée du 13 Août, Bernadette était accompagnée de Sylvie Rousseau, Directrice de la Maison Dior, et dans son environnement immédiat se trouvaient de nombreux VIP, qui tous sont venus tour à tour lui témoigner leur amitié, comme Karl Lagerfeld créateur et directeur artistique de Chanel,et bien d’autrescélébrités, par exemple Adam Levine, du groupe Maroon 5 pour ne citer que lui
Il faut dire que Bernadette tout à fait dans le vent de la mode était un peu la star de la soirée et attirait comme d’habitude toutes les sympathies.
En effet,bien loin des stéréotypes ridicules dugenre « top model » attardé,Bernadette naturellement « up to date »a été admirée pour sa« cool attitude »en gardant seslunettes de soleil comme son ami Karl, et pour sa nouvelle élégance branchée,jugez-en, elle portait un t-shirt blanc surun petit jean droit, et pour compléter le tout un blazer noir et des mocassins.
De quoi faire pâlir d’envie toutes les vieilles dames, et moins vieilles, retenues contre leur gré au bercail pour préparer des tisanes à des maris vacillants en « panne d’essence » ou perte d’énergie, pauvres chouchous condamnés au repos par leur médecin , et qui ne peuvent se prévaloir des exploits festifs tropéziensdu toujours vert « Chichi » !
Rattrapé par l'actualité financière au cœur même de ses vacances varoises , le Chef de l'Etat a du intervenir d'urgence par communiqué pour tenter de calmer la polémique !
article de lucienne magalie pons
Polémique, scandale au cœur de l’été, crac boum hue, la question de la rémunération des traders vient de ressurgir comme un serpent de mer au cœur de l’été !
Suite à une initiative de BNP Paribas qui s’est aviséede provisionner dans son budgetenviron un milliard d'euros pour lesbonus de ses équipe, après avoirreçu quelque 5 milliards d'aides de l'État au plus fort de la crise financière, nous sommes en pleinedémonstration de communication « à chaud » entre l’Elysée et les banques sur ce thème financier, et dans le même temps, l’opposition et des élus de droite, certains même de l’UMP, ne ménagent pas de leurs critiques l’immobilisme etl’inefficacité du Gouvernement à faire obéir les Banques.
Cette polémique pourrait se calmer avant le retour des vacances présidentielle et ministériellepar la survenue d’une autre question épineuse en surface, un clou chasse l’autre, on oublie toutsi vite sous le ciel de Paris et il fait si beau sous le soleil des vacances !
Entrons dans le vif du sujet :
BNP Paribas a décidé de provisionner dans son budgetenviron un milliard d'euros pour lesbonus de ses équipes. Rappelons que cettebanque avait reçu quelque 5 milliards d'aides de l'État au plus fort de la crise financière.
En préambule nous pouvons penser que les traders qui sont mis en évidence dans cette polémique ne sont que les boucs émissaires d’une querelle de landerneauet que derrière cette volonté affichée implicitement par les banques se profile le maintien dusystème des bonuset parachutes dorés dont ne manqueront pas de continuer à profiterleurs dirigeants
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Se saisissant de cette question en plein cœur de l’été, l’opposition et certains élus UMP, ont dénoncé la "légèreté», sinon le laxisme laconique de l'exécutif sur cette question.
Certains s’imaginent que parce que l’Etat a aidéfinancièrement cette banque privée, parmi d’autres, à se « requinquer », cela lui permettrait d’intervenir dans ses décisions, d’autres font rappel des « règlesdu dernier G20 » sensées réglementer la question des bonus et rémunérations des dirigeants des banques et organismesfinanciers, en oubliant qu’il ne s’agissait que de recommandationsadoptées de pure forme , mais qui ne sont restés depuis que des souhaits pour ne pas dire des « vœux pieux » qui n’ont pas aboutis, et sont demeurés depuis en suspens.
Etant donné l’insistance avec laquelle ces recommandations avaientété mises en avant à l’époque pour nous persuader que Monsieur Sarkozy était parvenu à imposer ses volontés sur cette question épineuse aux pays les plus riches du monde, certains avaient fini par se persuader que la question des bonus, des parachutes dorés ,autres primes, largesses etrécompenses diverses, etc…. en usage dans le secteur financier notamment , était désormais réglementée en bonne et due forme. Il n’en est rien, bien que Monsieur Sarkozy se réclame de ces recommandations comme des « règles adoptées par le G20 de Londres »
Or, tous les observateurs financiers et économiques sérieux savent queles pays du G20ne sont pas en accord sur la question et quebon nombre d’entre eux, en UE et Europe notamment, sont hostiles à priori à toute harmonisation globalefinancière d’ensemble et que chacun d’entre eux préfère laver son linge sale en famille et en particulier.
Quoiqu’il en soit, ne négligeant aucune opération de « communication », l’exécutif s’est emparédu dossier sur les bonus financiers, pourcalmer et étouffer la polémique et masquer son inefficacitéà convaincre les dirigeants et les actionnairesdes Banques à se montrer moins gourmands.
C’est ainsique Monsieur Nicolas Sarkozy a rompu sa trêve de silence estival pour intervenir par communiqué dansle « dossier » des rémunérations et bonus des traders financiers, en demandant la "fermeté" dans l'application des « règles »(*)au moment même où les principaux acteurs du secteur bancaire étaient reçus à Matignon, sommés de s’expliquer sur les conditions d’attribution des bonus et amenés à faire le point sur l’octroi des crédits aux entreprises et aux particuliers. Dans ces objectifs,ils étaient reçus par un haut fonctionnaire, en l’absence de Monsieur Fillon, Premier Ministre, en vacances en Toscane.
DNA - Dernières Nouvelles d'Alsace - Il y a 10 heures
Si le Premier ministre avait été réellement scandalisé par l'annonce de BNP Paribas et de la Société Générale, il aurait reçu lui même les dirigeants des ...
reprise de l'article de lucienne magalie pons :
L’Elysée nousa appris que dans son communiqué, le chef de l'État "demande au gouverneur de la Banque de France d'appliquer avec fermeté les règles en vigueur, notamment en matière de rémunération".
"Il veut que personne ne passe entre les mailles du filet", rapporte l’Elysée, ….. « Le chef de l'État souhaite encore "vérifier le respect par les banques françaises des règles adoptées par le G20 de Londres"(*) …….. notamment en matière de rémunération, préciseson entourage ……. "La France est déterminée à faire du respect de ces règles par toutes les places financières mondiales, l'un des enjeux du G20 de Pittsburg en septembre prochain", poursuit encore l'Élysée, en annonçant que Nicolas Sarkozy écrira en ce sens à la fin du mois à tous ses collègues du G20.
Ndlr : (*) Nous restons tout confondus sur ces déterminations informatives qui persistent à faire passer les vœux pieux du dernier G20 de Londres comme des règles adoptées …. De qui se moque-t-on ? Nous restons tout aussi sceptiques quand à voir, en Monsieur Sarkozy, un redresseur de torts assez fort politiquement pour faire plier, comme un seul homme, tous les pays du G20 à sa volonté, de même de son pouvoir àfaire respecter les règles qu’il préconisepar toutes les places financières mondiales. Quelle que soit sa force politique, le bras de fer qu’il compte engager estune mission encoreplus « surhumaine »que celle de gouverner la France, pour tout dire une mission impossible pour un seul homme, un « être humain ».
L’opposition voittoutes ces annonces d’interventionde Monsieur Sarkozy pour le prochain G20, comme une grande opération de communication et de manipulation de l’opinion
Nicolas Sarkozy a annoncé dans son communiqué qu'il tiendra une réunion le 25 Aoûtà l’Elysée avec les dirigeants et acteurs du secteur bancaire et financier,pour faire le point sur le respect de « l'ensemble des obligations souscrites » (sic) par les banques et les acteurs financiers à l'occasion de la crise financière"
Ndlr : « l’ensemble des obligations souscrites » donnent à réfléchir, nous ne savons pas si ces obligations ont fait l’objet d’un contrat écrit et signé par les deux parties où sont restées dans le domaine du contrat verbal, or tout le monde sait que les paroles mêmes à valeurs contractuelles ou conventionnelles peuvent s’envoler en faveur des circonstances.
L’Elysée explique aussi que "Le chef de l'État entend s'assurer du maintien des financements bancaires à l'égard des entreprises et des ménages. Cet engagement des banques à préserver les crédits indispensables à l'économie est la contrepartie du plan de soutien au secteur bancaire français, mis en place en octobre 2008."
Parfait,nous attendons la suite de ces pourparlers empreint généralement de convivialité, qui tenus périodiquement s’apparententà des parlotes convenues entre l’exécutif et le monde des finances, pour nous jeter de la poudre aux yeux, ou du « bromicht à faire avaler augogos » comme dirait l’autre.
(si quelques lecteurs veulent des explications sur le bromicht (au sens figuré, façon pataouète, qu'ils n'hésitent pas à me questionner par commentaire, je me ferai un plaisir pour les initier à l'ancien langage populaire de l'ancienne Algérie Française, langage que je ne pratique pas mais que comprend tout particulièrement)
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Résumé et conclusion :
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La triste réalité :
La polémiquequi agite les politiques et les médias sur les BONUS DES TRADERS qui font l’objet d’une provision dans le budget deBNP Paribas,a donné l’occasion au Gouvernement desouligner son inefficacité actuelleà réglementer le secteur financier et bancaire privé si l’on s’entient à l’explicationde la ministre de l'Economie, MadameChristine Lagarde, qui adéclaré( à l’adresse de l’opposition *)quesi une loi, était promulguée, en ce qui concerne les bonus des traders, cette loi ne répondrait pas à la question :« Il faut d'abord et avant tout que ce soit international. Ce n'est pas la peine de bricoler à l'intérieur de ses frontières si, à Londres, à Singapour, ou à New York, le jeu reste ouvert ».
Rappelons que MonsieurJean-Marc Ayrault, président du groupe socialiste à l'Assemblée Nationale entend fairedéposer, lors de la rentrée parlementaire, une proposition de loi qui porteraitsur les salaires des dirigeants, notamment ceux des banques qui sont aidées par l'Etat, et surtout sur les systèmes de rémunérations type bonus, stock-options »
En conclusionnous pouvons penser que les traders qui sont mis en évidence dans cette polémique ne sont que les boucs émissaires d’une querelle de landerneau à rebondissement périodiqueet que derrière cette volonté affichée implicitementpar les banques de récompenser ses traders, se profile le maintien dusystème des bonuset parachutes dorés dont ne manqueront pas de continuer à profiterleurs dirigeants quoiqu’en dise, en pense ou fasse le gouvernementen l’absence de réglementation.
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La polémique ne pouvait laisser nos dirigeants indifférents !De leur lieu de vacances respectif ils ont réagi en urgence pour calmer la polémique.
En conséquence,Jeudi matin, Nicolas Sarkozy, en reposdans le Var, François Fillon, en vacanceet Christine Lagarde, en «plongée » Corse, ont échangés plusieurs « coups de fils »pour ajuster la ripostedu gouvernement aux nouvelles révélations sur les bonus
Un communiqué aété publié hier pour demander aux banques d'« appliquer avec fermeté « les règles » du dernier GR en matière de rémunération. Par ce communiqué les banques sont aussi conviées àune réunion à l'Élysée le 25 août,le jour du premier Conseil des ministres de la rentrée.
En apparence l’'exécutifestime« très regrettable » l'initiative de BNP Paribasjusqu’à présent considéré comme un bon élève,par la classe politique régnante.
Matignon, qui recevait hieren la personne d’un très haut fonctionnaire, les principaux banquiers français, a fait savoir pour éteindre le feu,que la décision de BNP Paribas estvirtuelleet que l’onne connaîtra qu'à la fin de l'année le montant réel des bonus.
En cas de non-respect des règles du G20 en matière de rémunération, le Gouvernement a fait savoir qu’il dispose de leviers d'intervention importants , sans préciser quels sont les pièces d’artillerie desonarsenal d’intimidation ou de sanction, , ce qui a produit tout au plusle même effet qu’un pet de lapin tiré à blanc. En tout cas le Gouvernement a tenu à signifier aux banquiers que les pouvoirs publics entendaient suivre de près le dossier des « rémunérations variables.
Bien entendu la réunion d’hier aaussirenouvelédes appels à des efforts en matière de crédit.
L'opposition a immédiatement émis les critiques qu’elles pouvaient lancer dans cette polémique pouraccréditer l'idée que le président en est réduit aux déclarations d'indignation vertueuses.
Il était évidemmenturgent pour Nicolas Sarkozy dese manifestersur ce thème qui pour luiest au premier rangde la « refondation du capitalisme »
Bien entendu la réunion d’hier aaussirenouvelédes appels à des efforts en matière de crédit.
Bref, L'Élysée a fait savoir que Nicolas Sarkozy enverrait à la fin du mois une lettre aux chefs d'État et de gouvernement du G20, afin de centrer le sommet de Pittsburgh pour la réforme du capitalisme,troisième sommetdu genre depuis le 14 novembre 2008, « autour de l'enjeu des bonus ».
MonsieurSarkozy veut que « personne ne passe entre les mailles du filet », indique ses proches, mais Monsieur Michel Sapinen charge des questions économiques au PS, estimeque l'on est « dans le traitement de l'opinion publique, pas dans le traitement du problème ». Il reproche à l'État de ne pas avoir exigé des banques« d'entrer dans le conseil d'administration des banques qu'il a subventionnées, ce qui aurait été le meilleur moyen de garder un œil sur le bonus versé ».
Pour dédouaner BNP Paribas le pouvoir a placé dans son objectif critique la banque américaine Goldman Sachs qui a provisionné, pour rémunérer les bonus de ses traders, une somme sept fois plus importante que celle de BNP Paribas. Selon différentes source, l’Elysée et Matignon ont jugé le montant provisionné par Goldman Sachs totalement « délirant », « franchement choquant » et un conseiller de l’Elysée a soutenu que BNP Paris n’a fait que profiter de la brèche ouverte par Goldman Sachs
Ndlr : Pour ledire autrement,la banque FrançaiseBNP Paribas se serait engouffrée, comme un mouton de panurge,dans la brèche ouverte parla banque américaine Goldman Sachs, ce qui laisserait malencontreusementsupposer que la tête du troupeau bancaireest conduite par la banque américaine.
Madame Christine Lagarde quihabituellement dans ses discours et déclarationsse ditsouvent«très réjouie »,même quand il n’y a pas lieu qu’elle le soit, s’est dite cette fois« scandalisée » par « les banques étrangères qui s'affranchissent des principes du G20 ». Elle répète qu’ « une réponse qui ne serait que nationale pénaliserait la France et les banques françaises ».
Pour l'Élysée c'est une question de crédibilitéqui se pose,puisque une fois de plus le Gouvernementse rabat sur l’annonce qu’avant de les imposer en France par le règlement ou la loiles » règles du G20 » «soient appliquées dans tous les pays ».
Tout la problème est là : La France est-elle ou sera-t-elleen position de force pourfaire adopter réglementairementpar tousles pays du G20des règles financières pourla régulation mondiale de la crise financière, la fin de l'automaticité des bonus ,la mise au placard définitive des spéculations sur les produits financierstoxiques etc …… ?
Le prochainG20 doit se réunirfin septembre, à Pittsburgh., d’ici là nous auront encore le temps de nous divertir en voyant passer dans le ciel national diverses polémiques comme des baudruches publicitaires.
revue de presse pour plus d'information sur la "polémique" et son origine :
La décision de BNP Paribas de provisionner environ 1 milliard d'euros de bonus pour ses traders est «conforme aux règles». C'est ce qu'a indiqué Chrisitian ...
PARIS — La banque BNP Paribas "respecte scrupuleusement" les règles établies pour les bonus dans les banques telles qu'elles ont été établies par le G20, ...
Libération a révélé mercredi que BNP Paribas avait déjà provisionné environ un milliard d'euros au titre des bonus 2009. "La question des rémunérations (des ...
Associations et opposition ont été promptes à faire le lien entre l'enveloppe d'un milliard d'euros mise de côté par BNP Paribas pour les bonus des traders...
Quel commentaire faites-vous à l'annonce des - bonus de la BNP-Paribas ? Yves Dimicoli. Le scandale des bonus est dû à un autre scandale beaucoup plus grand ...
DNA - Dernières Nouvelles d'Alsace - Il y a 10 heures
Si le Premier ministre avait été réellement scandalisé par l'annonce de BNP Paribas et de la Société Générale, il aurait reçu lui même les dirigeants des ...