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30 janvier 2009

Un désaveu cinglant

La grève et les manifestations du 29 Janvier 2009 expriment avant tout un désaveu cinglant de la politique Sarkozienne.

Pour minimiser l'ouragan qui les menace, le Pouvoir, l'Ump, et certains médias qui leur sont affiliés ont interprété la grève et les manifestations nationales du 29 Janvier 2009 comme "des vagues" d'angoisses, d'inquiétudes, de mécontentements .....


Il y a de ça certes, individuellement et collectivement , mais le message national le plus net et le plus dominant du peuple en direction du pouvoir et de son gouvernement est un désaveu cinglant de la politique sociale et économique de Nicolas Sarkozy et de son gouvernement. C'est ce message que le peuple a exprimé, c'est ce que tous nous avons entendu et le Pouvoir sera contraint d'en tenir compte comme il a été obligé d'en tenir compte pour le refus du CPE.

Echauffouréees à Paris le 29 Janvier












A la fin de la manifestation parisienne du 29 Janvier des groupes voulaient se diriger vers l'Elysée et des échauffourées se sont produites entre des manifestants et les forces de l'ordre.

Voir l'article en cliquant sur le lien ci-dessous :

Echauffourées à la dispersion de la manifestation parisienne

Les caprices du Petit Prince












article de lucienne magalie pons

Les mutations du Préfet de la Manche et du Directeur départemental de la sécurité publique sont dénoncées à droite comme à gauche comme un « caprice » et le « fait du prince »

Quinze jours après la visite agitée de Nicolas Sarkozy à Saint-Lô le 12 janvier, le préfet de la Manche Jean Charbonniaud et le directeur départemental de la sécurité publique Monsieur Philippe Bourgade, ont reçu leur mutation.

Monsieur Jean Charbonniaud, Préfet jusqu’alors, se retrouve au placard comme préfet hors cadre pour siéger comme "membre du Conseil supérieur de l'administration territoriale de l'État".

Quand au directeur départemental de la sécurité publique, Monsieur Philippe Bourgade, son « point d’atterrissage » n’est pas encore connu : il a tout expliqué tout récemment :"Mon directeur central m'a appelé pour me dire qu'il fallait que je sois remplacé, que je choisisse une autre affectation", sans savoir encore où il allait postuler.

"Qu'est-ce qui s'est passé de grave ? Pas grand-chose, si ce n'est que le Président a entendu les manifestants le siffler. Il aurait fallu plus d'effectifs pour les maintenir plus loin" du Président, alors que les manifestants considéraient déjà les effectifs des forces de l'ordre comme de la "provocation", ......... "Je n'ai pas à rougir de ce qui s'est passé."

L'Élysée s’est empressé de démentir « toute punition », mais les réactions à droite comme à gauche dénoncent le "fait du prince" :

Avant que ne soit publiée la mutation du Préfet, Monsieur Jean-Karl Deschamps, vice-président socialiste du conseil régional de Basse-Normandie, avait dénoncé un "caprice d'État" : «Nicolas Sarkozy est venu présenter ses vœux à Saint-Lô. Les élus UMP ont appelé la population à venir applaudir le Président, mais il y a eu des manifestants", a-t-il expliqué sur le site Internet d' Ouest-France.

Et il vient d’ajouter : "Il faut un responsable : on déplace le préfet. Je ne comprends pas qu'on utilise l'appareil de l'État et de la République pour passer ses caprices."

Le maire UMP de Saint-Lô, François Digard, a jugé cette décision "très sévère et plutôt injuste".

Monsieur Jean-François Legrand, président UMP du conseil général de la Manche s'est élevé contre le fait que l'on utilise "un représentant de l'État comme si on utilisait un Kleenex".

Quant au président du MoDem François Bayrou, il a critiqué "une sanction arbitraire, une nouvelle fois le fait du prince"

Rappel des faits

Le 12 Janvier les principales fédérations de l'Éducation nationale avaient boycotté les vœux de Nicolas Sarkozy, et s’étaient réunis à Paris pour débattre entre elles.

Alors qu'il était venu présenter ses vœux au monde enseignant. Nicolas Sarkozy avait été chahuté par des manifestants lors de sa visite à Saint-Lô le 12 janvier dernier.

Le 12 Janvier à Saint-Lô dans la Manche, avant les vœux de Nicolas Sarkozy au personnel de l'Éducation nationale, des heurts s’étaient produits entre les policiers et des manifestants qui avaient été empêchés de rejoindre les abords de l'école visitée par le président de la République. Quelque 2.000 manifestants au total, selon la police, s’étaient rassemblés.

Alors que le chef de l'État souhaitait prendre un bain de foule lors de son arrivée à Saint- Lô, (les élus UMP avaient appelé la population à venir applaudir le Président,) seuls une vingtaine de sympathisants avaient réussi à franchir le cordon de sécurité des cinq cents CRS ;

Mais d’autres manifestants avaient pu jeter des projectiles divers et des chaussures au passage du cortège présidentiel et d’autres encore avaient hurlé ensuite sous les fenêtres de la salle où Nicolas Sarkozy présentait ses vœux.

Ndlr : une interrogation : les CRS se sont-ils trompés de manifestants en refoulant les sympathisants ?

"De l'argent pour l'Éducation, ça fera moins de gens en prison" ....., "Non à la fin des Rased (Réseaux d'aides spécialisées aux enfants en difficulté), avaient scandé les manifestants en utilisant également des sifflets.

Enfin, la vitrine d'un magasin de vêtements du centre-ville avait été brisée dans une bousculade et des gaz lacrymogènes avaient été lancés par les forces de l'ordre.

D’après la presse locale ... « Furieux, le locataire de l'Élysée a marqué à plusieurs reprises son énervement hors caméra » (Ouest France.)

Il est temps qu'il se calme. 2.500.000 grévistes et manifestants hier dans toute la France lui ont fait subir le désaveu cinglant de sa politique et l'ont implicitement invité à adopter un profil bas.




29 janvier 2009

Grève suivie massivement en France le 29 Janvier 2008

Pour lire l'article complet cliquer sur les liens ci-dessous :

Manifestations massives et grève en France, mais pas de "jeudi noir"
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Des centaines de milliers de personnes - plus de 2,5 million selon les syndicats - ont manifesté jeudi contre la politique du président Nicolas Sarkozy face à la crise, mais les mouvements de grève n'ont pas donné lieu au "jeudi noir" prédit par certains.


Grève à Lyon

Grève à Marseille

Grève et Manif à Paris

Manif à Rennes

Vidéo GREVE - ROUEN

La réponse du Berger à la Bergère

Grève : Revue de Presse

Source : Nouvel Obs.com
Economie

Grève générale: Nicolas Sarkozy ne peut pas répondre "j'ai rien vu, j'ai rien entendu", juge Bernard Thibault

AP | 29.01.2009 | 09:15

Le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault a déclaré jeudi qu'il n'était pas "possible" pour Nicolas Sarkozy, face à la grève générale, de répondre "'j'ai rien vu, j'ai rien entendu et j'ai rien à dire'".

"Moi, je ne peux pas supposer que demain ça soit la version 'j'ai rien vu, j'ai rien entendu et j'ai rien à dire' de la part du chef de l'Etat. Ce n'est pas possible de faire ce choix-là", a déclaré le secrétaire général de la CGT, jeudi sur RTL.

"Le fait que dans cette situation sans précédent, tous les syndicats de salariés se soient mis d'accord pour élaborer un texte qui aborde les questions de la situation économique, de l'emploi, des salaires, de l'investissement public, des services publics, pour juger comme inéquitables, injustes, les décisions qui ont été prises jusqu'à présent en défaveur des salariés, nécessite une certaine remise à plat", a-t-il estimé.

Le secrétaire général de la CGT a également jugé que "si on n'accepte pas de réévaluer, dans les mécanismes économiques, la part que l'on consacre à la reconnaissance du travail, il faut pas s'étonner qu'on (reste) enfermé dans une crise économique et financière internationale et permanente".

Suite" Revue de Presse" :

cliquer sur l'article qui vous intéresse :




L'intégration ne se transfuse pas comme le sang !

Ni la discrimination positive, ni la promotion de la diversité, initiatives essentiellement politiques et démagogiques, ne viendront à bout d'un esprit communautaire qui ne disparaîtra qu'avec le temps.

Elsevier - Pays-Bas
La politique d’intégration n’est qu’une illusion
Selon une étude réalisée aux Pays-Bas, les Turcs et les Marocains préfèrent habiter dans le même quartier, à proximité de leur famille et de leurs propres magasins. Cette constatation constitue un revers pour les partisans de l'intégration par la mixité des quartiers, estime l'hebdomadaire conservateur Elsevier: "L'intégration forcée est le fruit d'une politique illusoire. Depuis toujours, nous préférons cohabiter avec d'autres personnes partageant les mêmes valeurs culturelles, économiques et sociales. … Laissez les migrants habiter entre eux, leur intégration se fera d'elle-même, si besoin est, par le travail. Au lieu d'une politique d'intégration, les Pays-Bas ont besoin d'une politique d'immigration stricte mais juste. Une politique qui tolère uniquement de nouveaux immigrants qui apportent quelque chose et qui viennent pour travailler ici. Leur intégration se fera probablement d'elle-même, sans que l'Etat s'en mêle." (29.01.2009)
» article intégral (lien externe, néerlandais)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Intégration, » Pays-Bas
Tous les textes disponibles de » René van RijckevorselSource : Eurotopics

Un aveu d'impuissance noyé dans un discours dérisoire

Monsieur Sarkozy écoute et ne tient pas compte et quand il écoute et tient compte il ne peut rien faire, sinon d'après lui ce serait fait depuis longtemps ! Pour l'avenir il se dit déterminé à poursuivre ses réforme "on va essayer non pas de compenser, on va essayer de faire mieux ..."
Enfin il se félicite d'avoir "eu Carla". Encore un discours dérisoire devant des personnalités régionales inquiètes du sort de leur ville et de leur région, discours fait de promesses aléatoires et qui n'apporte aucune solution concrète.

ooOoo

Nicolas Sarkozy avait envisagé et promis en septembre 2008 qu'il se rendrait avant la fin de l'année en Moselle, l'un des départements les plus touchés par les restructurations. Pour le moment il n’y est pas encore allé se réduisant à recevoir des élus locaux.

Puis finalement, quelques 4 mois après sa promesse, c’est à Provins, ville de 12.000 habitants située aux confins de l'Ile-de-France et dirigée par l'UMP Christian Jacob, que le chef de l'Etat a rendu visite, mardi passé ,en compagnie de quatre membres du gouvernement : les ministres Hervé Morin (Défense) , Xavier Darcos (Education nationale), et les secrétaires d'Etat Dominique Bussereau (Transports) et Hubert Falco (Aménagement du territoire).

Sur place, sacrifiant à son péché mignon, le président s'est longuement auto plébiscité des réformes qu’il a engagées, d'avoir réduit le nombre de morts sur les routes, d'avoir supprimé la publicité sur les chaînes de télévision publique etc. ... refrain connu qui commence à grésiller à nos oreilles comme un disque rayé.

Puis s’avisant enfin qu’il effectuait à Provins sa première visite de suivi de la réforme de la carte militaire il a déclaré : « Revoir la carte militaire ...c'est pas une lubie" ...... "On va essayer non pas de compenser, on va essayer de faire mieux", a-t-il assuré, ajoutant que la crise actuelle était une "opportunité pour en sortir plus fort".

Evoquant enfin l'utilité de la modernisation de l'armée, il s'est livré devant l’assistance à un trait d'humour hors de propos, tant en ce qui concerne l’évocation d’une ancienne éventuelle invasion italienne, qu’ en ce qui concerne une « flatterie » visant son épouse, Carla Bruni-Sarkozy, native de Turin :

« Des régiments ont naguère été installés dans le sud-est de la France pour éviter une éventuelle invasion italienne, a-t-il rappelé...... "On ne voulait pas l'armée italienne, on a eu Carla. C'est quand même plus agréable, en tout cas pour moi", a-t-il dit.

Ndlr : ce n’était vraiment pas le moment d’évoquer son épouse, je ne vois pas en quoi Carla est concernée, elle n’était pas née à l’époque et si pour lui c’est agréable de l’avoir « eu », ce n’était pas le genre de confidence qu’il convient de faire dans un discours officiel et devant des personnalités qui s’inquiètent de l’avenir de leur ville et de leur région et pour qui Carla n’est pas la priorité qui occupe leurs pensées.

Enfin, Nicolas Sarkozy qui souvent en d’autres occasions, annonce dans ses discours, un nouveau monde et un nouvel ordre mondial du 21° siècle, s’est contenté à Provins de partir en croisade contre toutes les formes de conservatisme pour mettre en évidence son style modern style oratoire et l’orientation de son écoute sélective.

A Provins, ville qui s’efforce de pallier les difficultés économiques du départ annoncé de son 2me Régiment de Hussards, il s’est emporté en soulignant : « Dès que je veux changer quelque chose, toutes les formes du conservatisme se mobilisent ...... j’étais préparé à ça. J’écoute, mais je ne tiens pas compte »

Pour justifier sa stratégie il s’est déclaré déterminé à poursuivre ses réformes

Rappelons que le plan de modernisation des armées annoncé l'été dernier prévoit la fermeture de 83 sites militaires, dont une dizaine dès cette année, essentiellement dans le Nord-Est.

Le 2e Régiment de hussards, qui compte près de 900 hommes, va quitter la Seine-et-Marne pour Agueneau dans le Bas-Rhin. Conséquence directe et regrettable : Sourdun, ville voisine de Provins perdra la moitié de ses habitants.

Pour pallier économiquement cette perte, Sourdun devrait accueillir à partir de la rentrée 2009 l'un des internats du plan "Espoir banlieues". Il comprendrait à terme entre 500 et 700 élèves boursiers de la 6e au BTS et aux classes préparatoires.

Pour compenser ce départ, le site devrait accueillir d'ici 2010, 330 employés du Service d'étude sur les transports, les routes et leurs aménagements (Setra) de Bagneux (Hauts-de-Seine).

Ndlr : les personnels de la Stéra, dans leur grande majorité se refusent à rejoindre Sourdun,

Mais ils ne sont ni écoutés ni entendus, ce qui les braquent encore plus dans leur détermination.

A Provins, plusieurs élus se sont inquiétés des conséquences pour leur ville de la réforme de la carte militaire.

Le Maire de Sourdun, Eric Torpier, a mis en garde contre "les conséquences catastrophiques pour les finances locales" de cette décision, dénonçant une désertification d'un lotissement de 40 logements, la fermeture possible de deux classes et une baisse de 30% du chiffre d'affaires des commerçants.

Vincent Eblé, président PS du Conseil général de Seine-et-Marne, a jugé insuffisants les 10 millions d'aide publique promis pour compenser le départ des hussards.

Ndlr : Monsieur Sarkozy les a écouté mais les a-t- il entendu, a-t-il tenu compte de leurs inquiétudes ?

En réponse à Monsieur Vincent Eblé : il a répondu par une pirouette verbale assez vulgaire :

"C'est la qualité des projets qui nous intéresse, ça se fait pas au poids. Et elle veut un rôti de combien la p'tite dame ? C'est pas ça", a rétorqué Nicolas Sarkozy

Encore des déclarations à l’emporte pièce qui n’ont pas apaisé ses auditeurs régionaux, eux aussi ont écouté, eux aussi ont entendu, et ce qu’ils ont retenu c’est que le Président de la République a déclaré : «On va essayer non pas de compenser, on va essayer de faire mieux", en ajoutant que la crise actuelle était une "opportunité pour en sortir plus fort".

Ndlr : « essayer » n’engage en rien, puis qu’au final il y a un aléa, soit on atteint l’objectif, soit on n’aboutit pas, mais puisque la « crise » est un miroir à double face on nous présentera au final l’échec comme une conséquence de la crise.

Ca vraiment c'est pas du sérieux !


26 janvier 2009

Conseil National de l'UMP du 24 Janvier 2008




article de lucienne magalie pons

Il faut savoir que selon la volonté de Nicolas Sarkozy, le conseil national de l’UMP du 24 Janvier 2008 était placé sous le signe de l'Europe. Sans soute pour prolonger un peu les fameux délices d’auto satisfaction personnelle qu’il a éprouvés au cours de sa présidence au Conseil de l’UE.


Le conseil national de l’UMP devait officiellement désigner, samedi 24 janvier, ses têtes de liste dans les huit grandes régions françaises, pour conduire la campagne des élections européennes du 7 Juin 2009.


Le conseil national avait auparavant désigné la nouvelle direction, mis au point ces derniers jours par Nicolas Sarkozy.


Le nouveau bureau politique a ensuite élu Xavier Bertrand, et ses adjoints - Nathalie Kosciusko-Morizet, Eric Besson, Axel Poniatowski et Marc-Philippe Daubresse.


Les trois nouveaux vice-présidents sont le ministre du Travail Brice Hortefeux, et la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie et le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo.


"Il m'a semblé normal que la famille de pensée que je représente ait une part active dans la définition de la politique de l'UMP", a déclaré « Mam » à la presse.


Quand à Jean Marie Borloo il affichait sa satisfaction souriante de voir « son » Parti Radical renforcer « sa » position au sein de la majorité présidentielle.


La ministre de la Famille, Nadine Morano devient conseillère politique de l'UMP de quoi ne pas regretter de n’être pas au secrétariat général.


Bref pour cette manifestation UMP, sur laquelle je m’attarderai pas trop, tant elle baigne dans une connivence d’à propos et de circonstance, et manque de spontanéité, il faut tout de même retenir, pour ne pas mourir idiot, que le bureau politique de l'UMP a élu, samedi 24 janvier, "à l'unanimité" Xavier Bertrand secrétaire général de l'UMP, et que l'ancien ministre du travail atteint d’une ambition démesurée a promis de faire du parti majoritaire un "mouvement populaire" , en se fixant pour objectif de porter à 500 000 le nombre de ses militants en 2012, contre 270 000 aujourd'hui en expliquant : "Aujourd'hui, il est temps d'engager la rupture pour faire de l'UMP le grand mouvement populaire que les Français attendent", ......... Aujourd'hui forte de 270.000 adhérents, l'UMP "doit donner une autre image de la politique", s'ouvrir "à toutes les bonnes idées" et refléter la diversité de la société, a-t-il ajouté.


Ndlr : si la rupture c’est donner une autre image de la politique, s’ouvrir à toutes les bonnes idées et refléter la diversité, pour faire de l’UMP le grand mouvement populaire que les Français attendent , c’est vraiment utopique et insuffisant.


Et puis qui peut légitimement prétendre et dire que les Français attendent un grand mouvement populaire qui serait l’UMP ? Pour le moment et dans l’immédiat les Français dont les politiques s’emparent illégitimement pour parler en leur nom, ont d’autres chat à fouetter que de supporter l’UMP dans ses ambitions.


Sans doute pour faire encore « plus populaire que moi tu meurs » Xavier Bertrand a annoncé que le siège du parti serait déménagé dans un lieu "plus populaire" que la rue de la Boétie.


Le nouveau secrétaire général de l’UMP, se propose d'encourager le débat au sein du mouvement. "Je préfère le débat au sein du mouvement avec tous plutôt que le débat entre quelques-uns par médias interposés", a dit Xavier Bertrand, qui a déclaré qu'il n'y aurait pas de "sujet tabou".


Ndlr : une sorte de censure extérieure qui privera les cadres de l’UMP d’étaler en public par médias interposés, leurs divergences de vues, désormais ils devront se contenter de débattre au sein du mouvement, ce qui aura pour effet, entre autres, de les priver de se montrer dans les médias et ils seront sûrement obligés, pour ne pas se faire oublier de l’opinion publique, de dévoiler en public leur vie intime sexuelle et d’écrire chacun son livre de mémoire.,* comme vient d’en donner l’exemple tout récemment un membre du Gouvernement. *


ndlr : *pour ma part je trouve indécentes et déplacées ces confessions intimes au ras des caleçons et des culottes qui n'ont rien à faire en politique. Ne me croyez pas choquée, je trouve simplement que la confession publique de sa vie sexuelle par un homme une femme n'apporte rien au débat politique et dégage un parfum d'exébitionnisme du plus mauvais goût, une sorte de bling bling situé au-dessous de la ceinture.


Après cette diversion, revenons à l'UMP, quoiqu’il en soit après quelques tractations et pressions, c’est Nicolas Sarkozy avec Brice Hortefeux, responsable des élections au sein du parti, qui ont pressenti et enfin choisi les locomotives éligibles selon ce que rapportent les médias alignés. (Ndlr : d’après nous locomotives « présumées » éligibles)


Il faut retenir aussi que Monsieur Barnier actuel Ministre de l’Agriculture sera tête de liste UMP en Ile-de-France, et conduira la campagne des Européennes au niveau national en vue d’obtenir un poste de commissaire à Bruxelles.


En Ile-de-France, faute de pouvoir compter sur Rama Yade qui souvent se signale par son refus d’obtempérer, Nicolas Sarkozy finalement s’est rabattu sur « la soldate » Rachida Dati toujours prête à le servir , qui secondera Michel Barnier en 2me position sur la liste de l’Ile de France , une manière faussement élégante de lui offrir une sortie à l’anglaise du Gouvernement pour le mois de Juin .


Michel Barnier tête de liste aura donc sous son aile un numéro 2 en la personne de Rachida Dati qui n’a pu refuser cette « distinction » devant l’insistance de Nicolas Sarkozy , ce qui lui a valu une déclaration d’amour collective de l’UMP dont Jean-Pierre Raffarin s’est fait le porte parole du haut de la Tribune du Conseil national : « "On aime ton courage, on aime ton sourire, on aime ta détermination, on aime Rachida!".


Dans une envolée lyrique conditionnée elle aussi par le plébiscite recommandé, sinon imposé, de la récente et prétendue « glorieuse » présidence française de l’Europe, Monsieur Barnier a affirmé "Si nous tardons trop, nous allons perdre le momentum de la présidence française, où nous avons apporté la preuve que l'on faisait bouger les lignes et qu'on mettait la politique au cœur de l'Europe".


D’après des médias » bien informés », des sondages confidentiels ont permis de départager les candidats. C’est ainsi que dans le Sud Ouest Dominique Beaudis a été choisi comme tête de liste au détriment de l’euro député Alain Lamassoure écarté.


Il faut noter aussi que bon nombre d’intervenants cadres UMP qui se sont succédés à la Tribune ont, selon leurs habitude, fait valoir gratuitement leur prétendue supériorité ou efficacité face au PS.


"On va parler des européennes pendant que le Parti socialiste en est encore à son plan de relance", a relevé Dominique Paillé, le « La Palice » porte-parole de l'UMP.


Evidemment dans le faire valoir « obligé » de la Présidence Française de l’Europ, les UMP oublient et passent sous silence l’échec du Traité de Lisbonne illustré par son absence de ratification.


L’ancien cadre du Parti socialiste et nouveau ministre de l'Immigration, Eric Besson, qui avait viré sa cuti à droite pendant la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, a eu son petit quart d’heure de vedettariat.


"Depuis deux ans je suis membre de cette majorité présidentielle. Quand je m'engage je le fais à fond", a-t-il dit à son arrivée à la Maison de la Mutualité (où se tenait le Conseil National de l’UMP) .... "Qu'il y ait quelques dents qui grincent (à l'UMP), ça me paraît normal", a ajouté Eric Besson.


Ndlr : En réalité il a eu de nombreux grincements de dents de la part de cadres de l’Ump, mais en dehors du Conseil.


François Fillon, le premier Ministre veut faire lui de l'UMP le "parti du rassemblement national face à la crise". Il a salué la promotion d'Eric Besson dans ses instances, en affirmant que sa présence était "une chance et une richesse".


"Par son parcours et sa sensibilité politique, Eric est naturellement différent de nous. Encore que, il y a moins de différences entre Eric et moi qu'entre les différents courants du Parti socialiste", a-t-il ajouté en se voulant ironique.


(L'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, seul vice-président sortant qui ait conservé son poste, avait aussi célébré une UMP "rassemblée dans la diversité".)


Enfin avant la clôture l’orateur tant attendu de ses fans, est venu par sa présence et son discours déposer la cerise sur le gâteau de l’UMP missionnée « Europe-Européennes » :


Dans discours il a fait longuement un bilan élogieux tant de ses propres initiatives et décisions en France et en Europe, de même l’éloge de son gouvernement et des différentes personnalités de l’UMP. Il s’est adressé à chacun qu’il voulait mettre en évidence en manifestant sa satisfaction et quelques légères remarques au passage.

Il a relancé son thème favori : l’Europe "Qu'est-ce que c'est que cette attitude qui consisterait à dire que l'Europe ce n'est pas ce qu'il y a de plus important pour l'avenir de notre continent?", a lancé, le 24 janvier, Nicolas Sarkozy devant le conseil national de l'UMP.


Avec le sens de la dramaturgie comique qui le caractérise Nicolas Sarkozy a prononcé un discours glorifiant sa présidence passée de l'Union européenne, en vantant une Europe qu’il a remise en action (selon lui), une Europe "qui protège et rassure les citoyens dans la tourmente."


Ndlr : « qui protège et rassure les citoyens dans la tourmente » je ne sais pas où il a été cherché ça, alors que la grande majorité des citoyens sont hilares en le voyant discourir, à l’exception des politiques de son bord qui l’encensent hypocritement et des politiques de l’opposition en action qui serrent les dents en attendant de le mordre. C’est un peu dans la même ligne oratoire que celle de Xavier Darcos qui voyait, il y a quelques jours, les « lycéens dans l’angoisse » alors que ceux-ci se marraient franchement en voyant sa bobine.


Le discours de Monsieur Sarkozy a été assez long, pour ceux qui ne craignent pas les overdoses, ils peuvent se rendre sur le site officiel de l’UMP où ils retrouveront la séance en vidéo du début jusqu’à la fin et les discours de tous les intervenants.


oo0oo


Ma conclusion : La récente mais déjà passée présidence française de l’UE, joué comme un Joker sur la table des Elections Européennes, peut en effet voir diluer ses effets dans le temps. D’ici le mois de Juin, il peut se passer des évènements économiques et sociaux contrariants pour le pouvoir et son parti majoritaire, sans compter des évènements imprévus, en conclusion le Joker est sur la table mais les jeux ne sont pas encore faits et tous les dés ne sont pas encore jetés.


"La vraie campagne ne pourra commencer que plus tard", a fait savoir Alain Lamassoure selon lequel en définitive « c'est la situation économique qui décidera de tout.


Je ne suis pas sympathisante UMP, mais honnêtement comme je ne suis pas sectaire, je ne me priverai pas de dire que je partage son avis.


Et puis ou sont vraiment l'ouverture, le changement, la rupture, la diversité , le dynamisme de l'Europe ? Nicolas Sarkozy a redistribué le rôle exécutif et politique de certains des hommes et femmes du Gouvernement et du Parti , mais ce sont toujours les même hommes et les mêmes femmes qu'il glisse d'un échiquier à l'autre, les thèmes de leurs discours n'évoluent pas, auto satisfaction, promesses..... assortis de critiques contre l'opposition , je n'ai retenu qu'une volonté nouvelle, celle de censurer les militants ou les cadres de l'UMP qui seront invités à ne débattre qu'au sein du parti, ce qui indique que le nouveau Secrétaire Général du Parti est contre la liberté d'expression et qu'il entend introduire dans l'UMP une méthode communication hiérarchisée et une censure extérieure qui s'apparente au secret, méthode bien connue en Franc maçonnerie ou le culte du secret est entretenu avec des airs de grand mystère symbolique sacré, alors que tout le monde sait qu'il ne s'agit que d'un secret de polichinelle.


A la limite d'âge ..... un article de l'Auteur Duboubou1er

Après le Conseil National de l'UMP en peu de mots mais avec sa clarté d'esprit remarquable, l'auteur Duboubou1° nous livre ses réflexions :




Montmartre-Duboubou


dimanche, janvier 25 2009

A la limite de l'âge …

…Ce temps qui ne se mesure plus ?

Par Duboubou 1er - Humeur ?

Lorsque l'on n'a pas eu l'opportunité de tirer sa révérence avant d'atteindre ce tournant désagréable où l'on est obligé de constater que l'on est déclinant ou tout simplement l'ombre de soi même, conserver sa joie de vivre n'est pas si simple même si la nature vous à doté d'un mental particulièrement bien trempé.

En effet même si une poignée de neurones fonctionnent encore, si vous vous risquez à miser sur votre avenir c'est à ce moment là que votre belle mécanique se met subitement à tousser, à grincer, à se détraquer subitement ! Impuissant, vous en êtes réduit à comptabiliser vos grandes et petites faiblesses qui jour après jour compliquent sérieusement votre quotidien et sapent incontestablement votre désir de vivre !

Pourtant c'est spontanément et sans presque réfléchir que l'on oubli sa triste condition pour se pencher sur le petit peuple de France, troupeau déboussolé conduit à l'abattoir par des bergers qui sont parvenus à lui faire croire, hier, que seul le capitalisme triomphant allait leur apporter la prospérité et qu'ils devaient donc renoncer à tous les acquis sociaux afin de faciliter la mutation indispensable à la réussite de cette refondation salvatrice. Impuissants et désarmés ils ont jusqu'à maintenant assisté au démantèlement du service public et dû se repaitre de discours fumeux leur faisant croire que leur âge mur serait protégé non point par la traditionnelle retraite par répartition mais par de juteux fonds de pension ! Et la crise est arrivée apportant la preuve que ces gens là n'étaient finalement que des spécialistes en pipeau ! Politiques et Banquiers n'ont rien vu venir aveuglés qu'ils étaient par leur cupidité…

Bien que les caisses soient vides ces gens la ont immédiatement trouvé un gros paquet d'argent pour sauver les banques et sans plus attendre ils se sont attelés à reconstruire à l'identique le nouveau capitalisme sans ce soucier le moins du monde des innocents qui leur ayant fait confiance ont perdu une grande partie de leurs économies dans des fonds de pensions réputés solides par spécialistes douteux ! Cela ne les empêche surement pas de dormir et ils parcourent le Monde soi-disant pour le reconstruire alors qu'ils sont à peine capables d'expédier les affaires courantes ! Alors ces brasseurs de vent font diversion et animent la scène politique pour conforter leur pouvoir et ils galvanisent leur troupe en vue des prochaines échéances électorales car pour eux la seule chose vraiment importante c'est de détenir le pouvoir dans la durée et faire croire aux naïfs que les héros qui nous représentent se doivent de bénéficier de conditions toujours plus avantageuses afin de donner aux autres dirigeants du Monde une image flatteuse de notre représentation nationale !

Et cela semble bien fonctionner, les gogos affluent dans les légions du parti majoritaire et l'on se demande avec effroi : jusque ou iront ces valeureux avaleurs de couleuvres avant qu'ils ne se rendent compte qu'ils sont cocus !

Mais où est donc passé la Gauche ? Elle existe pourtant et la dernière fois qu'elle s'est manifestée elle a même chanté notre hymne national !


25 janvier 2009

Carla Bruni-Sarkozy déclare à la « Rai » n'avoir eu "aucun rôle" dans la décision du Brésil


Cesare Battisti, 54 ans, avait été condamné par contumace en 1993 par la justice italienne à la réclusion à perpétuité dans son pays pour avoir commis deux homicides et pour sa complicité dans deux autres en 1978 et 1979 en Italie, alors qu'il était membre des "Prolétaires armés pour le communisme".


Evadé d'une prison italienne en 1981, il avait gagné le Mexique puis s'était installé en France en 1990, où il travaillait comme gardien d'immeuble et écrivait des romans policiers. Menacé en 2004 d'être extradé vers l'Italie, il avait pris la fuite et avait été arrêté en 2007 à Rio de Janeiro.


Le Brésil avait annoncé le 13 janvier 2009 avoir accordé le statut de réfugié politique à l'ex-activiste italien d'extrême gauche réfugié au Brésil en 2004, arrêté à Rio de Janeiro en mars 2007, et détenu à Brasilia

Le gouvernement brésilien veut accorder à Battisti le statut de réfugié politique et la décision appartient désormais à la Cour suprême, qui peut mettre des années à se prononcer.


La décision du Brésil a provoqué la colère de l'Italie qui a menacé de rappeler son ambassadeur à Brasilia pour consultations à Rome.


Certains médias et courants d’opinions italiens qui s’étaient déjà insurgés contre le refus de la la France d’extrader en Octobre 2008 Marina Petrella, l ex activiste des brigades rouges d’extrême gauche, condamnée à perpétuité en Italie, à laquelle Valeria Bruni la sœur de Carla Bruni Sarkozy avait apporté publiquement son soutien , viennent de nouveau de s’élever contre l'épouse du chef de l'Etat français en lui prêtant un rôle dans le refus du Brésil d'extrader Cesare Battisti.


Une association italienne de victimes du terrorisme, Domus Civitas, est allé plus loin que les protestations et les reproches des médias, elle prétend que Carla Bruni, épouse du président français Nicolas Sarkozy, favorise le terrorisme international, et annonce formellement qu’elle est intervenue dans le dossier de l'ancien militant d'extrême gauche italien Cesare Battisti.


Le président de Domus Civitas, Bruno Bernardi, a publié mercredi un communiqué où il annonce des recours légaux :


- "Nous savons de manière certaine que l'épouse du président français Nicolas Sarkozy est intervenue personnellement dans le cas Battisti, en téléphonant à Lula da Silva, président brésilien, pour lui recommander ne pas extrader Cesare Battisti du Brésil", affirme-t-il. De plus Domus Civitas annonce avoir donné mandat à des avocats pour qu'ils introduisent un recours "afin d'agir pénalement contre Carla Bruni Tedeschi pour avoir favorisé la criminalité et le terrorisme au niveau international".


Du côté du pouvoir Italien, un recours contre la décision brésilienne est sérieusement envisagé. Un ministre du Gouvernement de Silvio Berlusconi, Elio Vito, ministre italien chargé des rapports avec le Parlement a déclaré :

"L'Italie réfléchit à tous les recours possible de la part des ministres de la Justice et des Affaires étrangères et envisage même une intervention devant la Cour suprême du Brésil", a déclaré Elio Vito, ministre chargé des rapports avec le Parlement, cité par l'agence Ansa.


Bien entendu, Le gouvernement français a catégoriquement démenti toute intervention dans le dossier Battisti et estime que cette affaire ne concernait plus la France mais le Brésil et l'Italie.


Dans une émission de la télévision Italienne, la « Rai », diffusée dimanche soir, et dont l’Agence Ansa a publié des extraits, l’apouse du Président de la République Française, Carla Bruni-Sarkozy a tenu à affirmer qu’elle n’avait eu "aucun rôle" dans la décision du Brésil de refuser l'extradition en Italie de l'ex-activiste italien d'extrême gauche Cesare Battisti


"Non, je n'ai eu aucun rôle, absolument aucun", déclare l'épouse du chef de l'Etat français dans cette émission de la télévision Rai dont l'agence Ansa.


"Je ne me le permettrais jamais, je n'en ai pas l'idéologie, je n'ai jamais défendu Battisti et je suis heureuse de pouvoir répondre à cette question et de le dire aux proches des victimes", a-t-elle affirmé.


"Je ne vois vraiment pas comment quelqu'un pourrait penser que l'épouse d'un président pourrait parler d'un tel sujet avec le président d'un autre Etat", a-t-elle ajouté.


L'épouse du chef de l'Etat a supposé que ce rôle qui lui avait été prêté venait "peut-être du voyage fait au Brésil" par le couple présidentiel fin décembre.


Interrogé sur sa proximité avec la gauche, elle répond: "Moi, de gauche ? Mon mari ne considère pas que je suis de gauche, il dit que je suis beaucoup plus complexe que cela".


Dans cette même émission Carla Bruni Sarkozy a chanté deux chansons de son dernier album.

C’était la Première fois que Mme Bruni-Sarkozy se produisait à une émission de la télévision italienne depuis son mariage avec Nicolas Sarkozy en février 2008.


On dit qu’en France tout se termine par des chansons, nous ne pensons pas qu’il en sera de même en Italie et il est bien gênant pour nous Français de constater et de souffrir la honte que c’est aussi la première fois qu’une épouse d’un Président de la République Française est mise en cause par une association qui se propose d’introduire un recours afin d'agir pénalement contre elle pour avoir, selon elle , favorisé la criminalité et le terrorisme au niveau international".

Affaire Cesare Battisti : une victime donne son opinion

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23 janvier 2009

Elkabbache pepeolise ses questions


Monsieur Elkabbach a posé , en se référant à des rumeur de sites internet, une question d'ordre privée à Monsieur Aznar, au cours de son interview , le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle était "osée' après d'autres plus sérieuses .

A déguster en cliquant sur le lien !

http://www.europe1.fr/popup/reecoute/(idconducteur)/96789/(idsequence)/1186


conclusion : le sujet paraissait épuisé, mais pour Monsieur Elkabbach, en reconversion d'après d'autres rumeurs, et à la recherche d'un nouveau style, la question qu'il remet avec toupet sur le tapis est toujours d'actualité