26 juin 2016

Lu sur le Blog de Nicolas Dupont-Aignan : "Lettre au petits marquis qui nous gouvernent"

Éditorial de lucienne magalie pons

Relais d'information politique 

Ci-dessous en provenance du Blog de Nicolas Dupont-Aignan une "Lettre aux  petits marquis qui nous gouvernent" par Dominique Jamet


Vendredi 24 Juin 2016


Dominique Jamet -
Lettre aux petits marquis qui nous gouvernent
Personne ne pourra dire qu’ils n’avaient pas été mis en garde. Depuis des jours et des semaines, conseils, avertissements, menaces, anathèmes et malédictions pleuvaient comme des hallebardes sur les électeurs britanniques. Plus ou moins discrètement, plus ou moins grossièrement, plus ou moins finement, il n’était grand de ce monde, je veux dire du monde occidental, du monde mondialisé, du monde économiquement orthodoxe et politiquement correct, qui ne se crût permis de s’inviter dans chaque foyer d’outre-Manche et de s’ingérer dans les affaires intérieures du Royaume-Uni. Obama, Merkel, Hollande, Renzi, Tusk, Christine Lagarde, Schaüble, le FMI, la Banque centrale et bien entendu Juncker, tous jouaient la même partition, tous chantaient sur le même ton, tous sont intervenus dans le même sens et le même registre. Bien entendu, Eton, Oxford, Cambridge, la Bourse, la Banque, les multinationales, la City, l’Establishment faisaient chorus. De ce côté du Channel, les gens qui ont le droit à la parole, les gens qui savent, les princes autoproclamés et les petits marquis qui nous gouvernent, tous ceux qui se sont tant trompés et nous ont tant trompés, les grands partis, les grands journaux, les grands médias, l’ENA, le Siècle et Alain Minc n’étaient pas en reste pour agiter tous les vieux épouvantails, pour évoquer les spectres de la peur, et semer la panique dans l’espoir de récolter le « oui » tant attendu par David Cameron, apprenti-sorcier dépassé par sa propre manœuvre. Le Brexit, ce n’était rien de moins que la fin de la Grande-Bretagne et la fin de l’Europe, puisque c’est le nom mensonger dont vous persistez à affubler l’Union européenne, cette étrange construction à laquelle vous prétendez donner un toit quand ses fondations menacent déjà ruine.


Le peuple britannique s’est prononcé, massivement, clairement, librement. Jaloux de son indépendance, légitimement fier de son passé, attaché à sa souveraineté, il avait déjà réussi, seul dans l’Union européenne, et à contre-courant de l’idéologie dominante, à conserver sa propre monnaie, la maîtrise de son budget, le contrôle de ses frontières. Depuis quelque temps, il s’inquiétait pourtant des conséquences sur son niveau de vie, de protection sociale et de salaire mais davantage encore sur son équilibre, sur son homogénéité, sur son identité, des évolutions en cours. Il craignait d’être contaminé par cette redoutable maladie de langueur et de renoncement qu’est la bruxellose. Il ne voyait pas en vertu de quelle légitimité 32.000 fonctionnaires surpayés et autant de lobbyistes, sept cent cinquante députés élus sur une base nationale pour constituer de bric et de broc un simili-Parlement international, vingt-huit commissaires non élus et le président d’une Commission au fonctionnement opaque décideraient de son mode de vie, de son alimentation, de ses coutumes, de ses droits et substitueraient progressivement leur autorité à celle de son Parlement et de sa justice. Consulté sur ce qu’il entendait faire de son avenir, il a voté, et il a voté contre vous.


Oui, contre vous, contre vos ancêtres, contre vos pareils, contre tous les installés, contre tous les doctrinaires, contre tous les libéraux qui n’ont donné, qui n’ont accordé, qui n’ont concédé leur droit de vote ou pour mieux dire qui ne s’en sont laissés arracher l’exclusivité que sous la pression de l’histoire. C’était, disaient-ils, une grave imprudence et une erreur qui se paierait cher que d’étendre au peuple tout entier, ignorant, impulsif et crédule, un privilège qu’il était si sage, si judicieux et surtout si commode de réserver à l’élite. Oui, à cette élite qui, par force, a dû s’accommoder de la démocratie et du suffrage universel mais qui dans le fond de son cœur n’a pas cessé de lui préférer l’entre-soi comme elle préfère les arrangements de sa petite cuisine au souffle des vents du grand large.


En refusant de s’engager plus avant sur le chemin d’une union plus étroite avec la technocratie européenne, le peuple anglais a choisi la liberté. En refusant de se laisser ficeler par les réglements obscurs et obliques des Lilliputiens du Berlaymont, le Gulliver britannique a sauvegardé son ouverture sur le monde. Les accords commerciaux qu’il passera tôt ou tard avec la Chine, l’Inde, l’Amérique latine, l’Afrique et naturellement avec la Russie puis les Etats-Unis l’affranchiront de la tutelle des gnomes de Francfort ou de Bruxelles. Une fois encore, la mère des démocraties montre la voie et donne l’exemple. Elle ne se laissera pas confisquer sa victoire comme d’habiles et cyniques manipulateurs ont escamoté le résultat du referendum français de 2005.


Il y a quelques jours en Italie, hier en Grande-Bretagne, l’heure est venue du réveil des peuples. Dimanche prochain en Espagne devrait sonner le glas des vieux partis qui ont failli. Bientôt ce sera au tour de la France de voter, et de mal voter, mais cette fois vous ne parviendrez pas comme dans un passé récent à ignorer et vous n’oserez pas dissoudre le peuple.


Marine le Pen - Conférence DE PRESSE sur le Brexit - vidéo publiée le 24 juin 2016

Éditorial de lucienne magalie pons



Ajoutée le 24 juin 2016
Nanterre, le 24 juin 2016 - Conférence de presse de Marine Le Pen sur le Brexit

Déclaration de Stéphane Le Foll à l'issue du Conseil extraordinaire des Ministres du 24 juin 2016

Éditorial de lucienne magalie pons


Avec tous les événements politiques et sociaux  qui se passent  ces jours-ci notamment l'avant, le pendant et l'après  Brexit anglais et ses suites, j'avais mis de côté en attente  la déclaration du porte-parole du Gouvernement, Stéphane Le Foll, qu'il avait faite  à l'issue   du conseil  extraordinaire des  ministres  du 24 juin 2016,

C'est donc avec un  retard de 2  jours que je publie maintenant seulement cette déclaration très brève de 5 minutes 17, ce qui tout de même est insuffisant  pour un évènement historique comme le Brexist qui touche l'UE dans sa structure et son avenir.


Je pense ne pas trop m'avancer en concluant que le Gouvernement ne s'attendait pas la veille à un Brexit anglais  et que rien n'avait été prévu par Stéphone le Foll  pour  le commenter.

Il faudra pourtant qu'il s'y fasse et  se mette au gout du jour pour le prochain Conseil des Ministres, les journalistes en effet  sont restés sur leur faim.

Vidéo: 
Le porte-parole du Gouvernement, Stéphane Le Foll, s'est exprimé à l'issue du Conseil des ministres extraordinaire organisé à la suite du référendum britannique.


Déclaration de Stéphane Le Foll à l'issue du... par elysee

Madame Merkel se place en leader de l'UE pour contrer le Brexit anglais qu'elle déplore

Éditorial de lucienne magalie pons


Le coup de massue du Brexit qui s'est abattu sur les têtes   des dirigeants et responsables " in UE ",   Merkel, Hollande,   Renzi, Tusk, Schaüble, Juncker et d'autres,  les a rendu prolixes.

Ces politiques qui ont  pour mission de  sacrifier  l'UE sur l'autel du mondialisme, sont tous  paniqués à l'idée de voir se développer un effet de domino qui détruirait  leur édifice ..... ils  se  répandent depuis vendredi matin  en déclarations  pour se lamenter et verser des larmes de crocodiles,  sur le sort et l'avenir du Royaume-Uni, condamné selon eux  désormais   à l'isolement politique , financier, économique, commercial et industriel . et à la récession, ...., j'en passe et des meilleures ..., et pour  proposer " à chaud"  des initiatives pour sauver l'avenir de l'UE, c'est à qui en parlera  le premier ...en agitant chacun son épouvantail d'abord et son pare-feu ensuite ... 

Le vendredi 24 juin François Hollande paniqué comme ses homologues in UE,  de voir l'UE en danger de mort, - paniqué    comme le sont  tous les petits marquis politiques  européens  qui vivent en suçant le lait de l'UE   -, s'est lancé de l'Elysée,  devant la presse,  dans une déclaration alarmante sur les circonstances et les conséquences du Brexit tout en se plaçant implicitement,-   si l'on se réfère a ses propos-,  comme le  leader  initiateur d'un  nouveau programme  pour l'UE (qui perd ses poils), à l'effet de lui administrer quelque remède de cheval à sa façon .. afin qu'elle reprenne du poil de la bête. 

 Nous  citons un extrait  de sa déclaration   ..." C’est le mandat que j’irai porter au Conseil européen mardi prochain. Je rencontrerai au préalable les responsables politiques des grandes formations de notre pays.  J’irai également lundi à Berlin pour que, avec la Chancelière MERKEL et sans doute Matteo RENZI nous puissions également évoquer ce qui doit être fait, notamment pour la préparation de ce Conseil. " ........ parce que de notre unité dépend la cohésion de l’ensemble de l’Union européenne. L’Europe est une grande idée et pas seulement un grand marché. Et c’est sans doute à force de l’avoir oublié qu’elle s’est perdue."....

De bonne foi en l'entendant nous pensions qu'il  avait pris l'initiative de se rendre de lui-même  en Allemagne de sa propre décision pour se placer devant  les autres dirigeants   comme  le leader  initiateur d'une refondation novatrice  de l'UE ....  , mais bien vite nous avons compris qu'il s'était précipité pour passer devant "la dame" allemande ce qui n'est pas très courtois ,   en effet simultanément les médias indiquaient  qu'au cours d'une conférence de presse ,   la chancelière Allemande Angela Merkel dans un rôle de Leader,   s'était exprimée  longuement  sur le Brexit en déplorant  notamment  « un coup porté à l’Europe ... un coup porté au processus d'unification européenne " ... et que la   chancelière avait aussi annoncé   la tenue  d'une réunion    lundi dans la capitale allemande, un "mini sommet",  auquel elle avait invité notamment le président français François Hollande, le Premier ministre italien Matteo Renzi et le président du Conseil européen Donald Tusk.

 Donc contrairement à ce que nous avions compris c'est à l'invitation et donc l'initiative  de la Chancelière Allemande Angela Merkel que le Président François Hollande  se rendra Lundi à ce mini-sommet, et non à son initiative personnelle  ... 


Notons au passage que Monsieur Hollande et Madame Merkel dans leur déclaration respective de vendredi on parlé de l'Europe ,  selon la fâcheuse habitude que les dirigeants des pays membres de l'UE ont prises depuis longtemps en parlant de L'UE,   alors que l'UE n'est qu'une construction conventionnelle dont  seulement 28  pays européens font partie, et bientôt 27 quand le Brexit anglais  prendra son plein effet.

L'Europe proprement dite  est composée de   48  pays qui ont tout ou partie de leur territoire en Europe selon  des limites géographiques officiellement reconnues , et  51 pays  sont  considérés comme faisant partie du continent européen ,  parmi  ces  51 pays, 28 pays  seulement ont adhéré  progressivement  à l'Union européenne, et  sur ces 28  pays l'Angleterre est destinée à en sortir puisque que le Brexit a gagné lors du référendum du  jeudi 23 juin.
  
Quand à  Union européenne (UE )  c'est un instrument conventionnel  bureaucratique, technocratique, ultra-libéral et supra-national, et ses dirigeants et responsables  sont des gens    ambitieux, mondialistes et vassalisés par les Etats-unis qui prétendent parler  au nom de l'Europe , parmi  eux Monsieur Hollande qui représente la France , confond volontairement  l'UE et l'Europe dans ses propos ..Merkel et les autres font de même.

 C'est tout de même  pousser le bouchon un peu trop loin pour alimenter la confusion !  

24 juin 2016

Brexit : Déclaration de François Hollande à la suite du Référendum Britannique

Éditorial de lucienne magalie pons

Le président de la République, François Hollande, s'est exprimé sur  référendum par lequel les Britanniques ont décidé de quitter l'Union européenne. Il en  constate les circonstances  et énumère ensuite  des conséquences pour l'Angleterre et ses répercussions sur les autres pays de l'UE. 

Après avoir relaté sur le mode alarmiste les   conséquences et indiquer que   " Le danger est immense face aux extrémismes et aux populismes, il s'est positionner pour ainsi dire comme chef de file en expliquant longuement   "ce qui doit être fait "  et les initiatives qu'il prendra  : "  C’est le mandat que j’irai porter au Conseil européen mardi prochain. Je rencontrerai au préalable les responsables politiques des grandes formations de notre pays. J’irai également lundi à Berlin pour que, avec la Chancelière MERKEL et sans doute Matteo RENZI nous puissions également évoquer ce qui doit être fait, notamment pour la préparation de ce Conseil" ...."  parce que de notre unité dépend la cohésion de l’ensemble de l’Union européenne. L’Europe est une grande idée et pas seulement un grand marché. Et c’est sans doute à force de l’avoir oublié qu’elle s’est perdue" a-t-il aussi déclaré au cours de sa déclaration , pour conclure"    C’est ma conviction de Français et d’Européen et c’est ce qui me déterminera dans la conduite de notre pays dans cette période si décisive mais dont nous savons que l’histoire aujourd’hui nous juge puisque l’histoire est là soyons à la hauteur de la circonstance que nous traversons."

Des initiatives très ambitieuses certes, qui vont dans le sens d'une tentative de refondation de l'UE, qui auront le même résultat  qu'  un pansement posé à la hâte  sur une jambe de bois, pour lui permettre de cheminer encore jusqu'à  son effondrement inévitable, des initiatives  présentées sous le choc du Brexit anglais,  et  qui selon mon avis remplira et occupera  le peu de temps qu'il reste  à Monsieur Hollande pour terminer son mandat et lui donnera l'illusion d'être  " à   la hauteur de la circonstance que nous traversons ".

Voir  la vidéo : 



Déclaration à la suite du référendum britannique par elysee

* en texte :

.....................
" Les Britanniques par référendum ont décidé de quitter l’Union européenne. C’est un choix douloureux et je le regrette profondément pour le Royaume-Uni et pour l’Europe. Mais ce choix est le leur et nous devons le respecter, en en tirant toutes les conséquences.
La Grande-Bretagne ne fera donc plus partie de l’Union européenne et les procédures prévues par les traités seront rapidement appliquées, c’est la règle et c’est la conséquence.
La France pour elle-même et pour la Grande-Bretagne continuera à travailler avec ce grand pays ami, auquel l’Histoire et la géographie nous unissent par tant de liens, sur le plan économique, humain, culturel et je n’oublie pas nos relations étroites en matière de défense qui seront préservées.
Le vote des Britanniques met gravement l’Europe à l’épreuve. Elle doit montrer dans ces circonstances sa solidité et sa force, en apportant les réponses nécessaires pour maîtriser les risques économiques et financiers du départ du Royaume-Uni. Des mesures sont d’ores et déjà prises et j’ai confiance dans leur efficacité.
Mais la décision britannique exige aussi de prendre lucidement conscience des insuffisances du fonctionnement de l’Europe et de la perte de confiance des peuples dans le projet qu’elle porte.
Le danger est immense face aux extrémismes et aux populismes. Il faut toujours moins de temps pour défaire que pour faire, pour détruire que pour construire. La France, pays fondateur de l’Europe, ne l’acceptera pas.
Un sursaut est nécessaire. L’Europe pour aller de l’avant ne peut plus faire comme avant. Les peuples attendent de l’Union européenne qu’elle réaffirme ses valeurs, valeurs de liberté, de tolérance et de paix.L’Europe doit donc être une puissance qui décide souverainement de son destin et qui revendique son modèle.
La France sera donc à l’initiative pour que l’Europe se concentre sur l’essentiel : la sécurité et la défense de notre continent pour protéger nos frontières et pour préserver la paix face aux menaces ; l’investissement pour la croissance et pour l’emploi pour mettre en œuvre des politiques industrielles dans le domaine des nouvelles technologies et de la transition énergétique ; l’harmonisation fiscale et sociale pour donner à nos économies des règles et à nos concitoyens des garanties ; enfin le renforcement de la zone euro et de sa gouvernance démocratique.
L’Europe, et c’est ma conviction, doit porter des projets et non pas se perdre en procédures. Elle doit être comprise et contrôlée par les citoyens. Elle doit décider vite, là où on l’attend et laisser une fois pour toute aux Etats-nations ce qui relève de leurs seules compétences.
C’est le mandat que j’irai porter au Conseil européen mardi prochain. Je rencontrerai au préalable les responsables politiques des grandes formations de notre pays. J’irai également lundi à Berlin pour que, avec la Chancelière MERKEL et sans doute Matteo RENZI nous puissions également évoquer ce qui doit être fait, notamment pour la préparation de ce Conseil. L’Allemagne parce que de notre unité dépend la cohésion de l’ensemble de l’Union européenne. L’Europe est une grande idée et pas seulement un grand marché. Et c’est sans doute à force de l’avoir oublié qu’elle s’est perdue.
L’Europe doit continuer à être un espoir pour la jeunesse car c’est son horizon. Aujourd’hui, c’est l’Histoire qui frappe à notre porte. Ce qui se joue c’est la dilution de l’Europe au risque du repli ou la réaffirmation de son existence au prix de changements profonds.
Je ferai tout pour que ce soit le changement profond plutôt que le repli. Et la France a une responsabilité particulière parce qu’elle est au cœur de l’Europe, parce qu’elle a voulu l’Europe, parce qu’elle a bâti l’Europe, parce qu’elle est le pas qui peut entraîner les autres et qui est garant de l’avenir de notre continent.
C’est ma conviction de Français et d’Européen et c’est ce qui me déterminera dans la conduite de notre pays dans cette période si décisive mais dont nous savons que l’histoire aujourd’hui nous juge puisque l’histoire est là soyons à la hauteur de la circonstance que nous traversons.
Merci. " 


BREXIT : Communiqué de Presse de Jean-Marie Le Pen (24 Juin 2016 )

Éditorial de lucienne magalie pons

Relais d'information :


Source : Site officiel de Jean-Marie Le Pen 

* Copié/collé : 

Brexit : Communiqué de presse 
09:41:00












COMMUNIQUE DE PRESSE DE JEAN-MARIE LE PEN
                PRESIDENT D’HONNEUR DU FRONT NATIONAL 
              DEPUTE FRANÇAIS AU PARLEMENT EUROPEEN


Saint-Cloud, le 24 juin 2016

Je félicite le peuple britannique pour son courage et son esprit de résistance face aux incroyables pressions
 médiatiques et politiques qu’il aura su finalement déjouer : aujourd’hui le BREXIT, demain le FRAXIT !

Une certaine Europe est en déroute : celle des élites mondialisées dont la bureaucratie bruxelloise 
était le bras armé contre l’âme des nations et des peuples. Le replâtrage n’est désormais plus possible.

Un nouveau rêve européen se lève : celui de l’Europe boréale, si nécessaire aux équilibres et à la paix 
du Monde.

Sur ce sujet capital, le peuple français doit être consulté sans attendre par la seule voie acceptable, 
celle du référendum.


(fin du communiqué )

Brexit : Communiqué de Bruno Gollnisch " Du Brexit au Frexit" ( 24 juin 2016 )

Éditorial de lucienne magalie pons

Relais d'information :

copié/collé

Du Brexit au Frexit !

Communiqué de presse de Bruno Gollnisch,
député européen (FN)
europe des nations

Brexit : le peuple britannique a démontré ses capacités de résistance à une campagne de pressions sans précèdent, qui jouait sans vergogne de toutes les peurs injustifiées et de prédictions aussi calamiteuses que fantaisistes.
Une majorité inflige aujourd’hui un camouflet sévère et mérité aux Euro-mondialistes qui depuis des années dévoient la coopération européenne, en édifiant méthodiquement la bureaucratie d’un « Super-État », véritable prison des peuples, tout en ouvrant les frontières à tous les flux de personnes, de marchandises et de capitaux, fussent-ils dévastateurs.
Le Front National a été le premier à dénoncer cette évolution et à proposer une autre politique. Puisse-t-il enfin être entendu !

Lundi 20 janvier 2025 _ Investiture de Donald Trump , 47e Président des Etats-Unis( Revue de presse : vidéos, documents , articles de différentes sources)

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