28 juin 2015

GRECE : Le Parlement Grec a approuvé le référendum proposé par le Premier Ministre Tsipras ...( note et revue de presse )

Éditorial de lucienne magalie pons

Depuis  la décisions prise dans la nuit de vendredi à dimanche  par le premier Ministre grec Alexis Tsipras, et qui a fait l'effet d'un premier  lancé d'éclair digne de Zeus à l'adresse de la communauté européenne pour l'avertir qu'il n'était homme à perdre sa dignité en cédant à leurs exigences, le dossier a avancé en Grèce ,  mais se  trouve gelé à Bruxelles en attendant le résultat du référendum Grec du 5 juillet que le parlement  grec a approuvé  dans la nuit..

Ouvrons une parenthèse pour noter que les médias qui prennent partie contre cette décision nous  présente une soupe indigeste, une sorte de salmigondis en parlant d'un pari qui pourrait se retourner contre Alexis Tsipras, ils racontent ou écrive que les  grecs affolés , anxieux , se sont précipités vers les distributeurs d'argents et que les banques ont subi samedi une première attaque " d'anxiété" (sic) apparente, avec  des files d'attente beaucoup plus longues que d'habitude se formant devant les guichets automatiques, ils ajoutes que les caisses des banques sont vides, et citent  des témoins (ndlr : qu'ils choisissent )  qui proteste contre la décision  de Tsipras  et  manifestent leur colère ou leur critique en disant : " "Tsipras ne peut pas jouer avec l'avenir de mes enfants. Qu'il organise des élections, plutôt qu'un référendum",, ou encore  pour raconter  qu'ils sont venus dans leur anxiété  pour  "retirer autant d'argent qu'elle pouvait pour faire  face les semaines prochaines" ...

 Les médias qui  sans  approuver ou critiquer la décision de Tsipras se bornent à suivre l'évolution du dossier disent que la banque de Grèce a annoncé samedi  faisait tout pour assurer que les distributeurs soient bien équipés en billets", et que l'on trouve encore à Athènes de l'argent sans trop de difficultés.,  en indiquant de deux  distributeurs vides samedi matin, ont été réapprovisionnés dans la journée.Par ailleurs ces médias notaient qu'une source bancaire en Grèce soulignait aussi que la Banque centrale européenne,  est toujours "prête à intervenir à tout moment" pour ajuster le niveau de cette aide.


Mais qu'ils soit pour ou contre le côté positif de l'avancée du dossier est plutôt occulté au profit de considérations qui vont dans tous les sens, on parle de Brak run , on ne cite que quelques bribes du discours d'Alexis Tsipras au parlement grec,  les moins éloquentes, on les commente,  on évoque toujours l'éventualité d'un défaut de paiement de la Grèce, d'un Grexit imminent ... bref autant d'épouvantails que l'on agite  en  insistant sur  les déclarations des créanciers .

 Et les uns  dramatisent en disant L'UE lâche Tsipras, la Grèce est au bord du gouffre,, lâchée par la zone euro la Grèce va droit vers le défaut de paiement, Tsipras pensait peut-être se donner le beau rôle, en ne laissant aux créanciers que le week-end pour s'entendre avec la Grèce, misant sur leur peur que les marchés rouvrent lundi dans un désordre indescriptible, à la perspective d'un défaut de paiement de la Grèce envers le FMI, et de ses conséquences imprévisibles sur la zone euro....etc... etc... en dressant un tableau noir..

Mais  d'autres au contraire  approuve  Tsipras  et disent que sa stratégie consistera a obtenir des concessions de ses créanciers. en soulignant que  les créanciers n'ont pas bronché, tout en  annonçant qu'ils ne prolongeraient pas leur programme d'aide au delà du 30, date d'échéance du remboursement de 1,5 milliard dû à l'institution de Washington, et qu'il serait question d'étudier un plan B. 

Pour nous nous  pensons  que c'est  un  juste recours à la démocratie, cette démocratie dont se réclament tant  les dirigeants européens tant qu'elle sert les intérêts de la finance , et qu'ils ignorent quand elle est  invoquée au nom de l'intérêt des population européenne ! 

Alexis Tsipras  a fait savoir à la chancelière allemande  Angela Merkel  au président français François Hollande  lors d'un entretien téléphonique samedi, que le référendum se tiendrait "indépendamment de la décision de l'Eurogroupe".



L'annonce par le Premier ministre grec Alexis Tsipras d'un prochain référendum sur les demandes des créanciers a fait réagir  le FMI et les institutions européennes .

Samedi la directrice générale du FMI  après l’annonce de la tenue du référendum grec  et en arrivant à une réunion des ministres des fiances de la zone euro, a fait savoir que le FMI  allait  continuer à travailler" pour restaurer la stabilité financière de la Grèce, a assuré samedi sa directrice générale, en précisant Avec  «  avec les autres créanciers, nous avons constamment adapté nos approches, progressé dans les négociations avec un objectif double : restaurer la stabilité financière" de la Grèce et "permettre le développement de la croissance et de la compétitivité" du pays, .. nous allons continuer à travailler..  Cela suppose une approche équilibrée avec des réformes structurelles et une consolidation budgétaire propice à la croissance, et, d'autre part, cela nécessite des Européens un soutien financier et une opération sur la dette grecque" …. "C'est ce que nous avons toujours recommandé, je vais le dire à nouveau", a-t-elle ajouté.



Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schaüble le ministre Allemand des finances à  estimé samedi que le gouvernement grec avait "mis fin unilatéralement aux négociations" avec ses créanciers (UE, FMI) en annonçant la tenue d'un référendum sur le plan de renflouement du pays, … pour le moment, il n'y a plus de base pour des négociations [...], aucun des collègues à qui j'ai parlé n'a une idée de ce que l'on peut faire maintenant", a-t-il ajouté à son arrivée à  la réunion de  l’ Eurogroupe .


De son côté le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem,  a dénoncé  "une triste décision" pour la Grèce qui "ferme la porte à la poursuite des discussions". "Je suis très négativement surpris" par la nouvelle, a-t-il   déclaré  à son arrivée à la  réunion des ministres des Finances , "Nous allons écouter le ministre grec, et nous discuterons des conséquences" ……   "C'est une triste décision pour la Grèce, car cela a fermé la porte à la poursuite des discussions, alors que la porte était toujours ouverte dans mon esprit", a-t-il affirmé. "Nous allons parler des conséquences", a-t-il ajouté encore.


Les médias en relatant ajoute que les déclarations de Jeroen Dijsselbloem reflètent,  le sentiment de colère de plusieurs ministres des Finances au sein de la zone euro.


Le ministre finlandais Alexander Stubb  a considéré que l’annonce d’un référendum en Grèce est une « très désagréable surprise » … : «  C'est un jour triste en particulier pour le peuple grec", "Le plan B  [ ndlr : évoquant un défaut de paiement du pays ]  est en train de devenir le plan A"…..  Athènes a "fermé la porte à la poursuite des discussions" sur un plan pour éviter au pays un défaut de paiement le 30 juin, date d'un remboursement de 1,5 milliard d'euros que le pays ne peut honorer, sans aide financière de ses créanciers., a-t-il expliqué


Le  27 juin 2015 , dans le discours  au Parlement précédant le vote, (que vous trouverez plus bas reproduit  en extrait dans des articles en REVUE DE PRESSE )  , le Premier ministre Alexis Tsipras  a appelé   à voter "non" aux réformes exigées par les créanciers de la Grèce, il .s'est  dit persuadé que "le peuple grec dira un grand non à l'ultimatum" des créanciers du pays lors de cette consultation en  évoquant la démocratie en faisant appel à leur dignité    et à leur fierté nationale  ( dlr : en allusion à un événement historique ) "   en rappelant que  les Grecs, devront se prononcer "pour" ou "contre"  sur la dernière offre d'accord faite  vendredi par les créanciers (UE, FMI)  à la Grèce.
.  
L’opposition de droite a manifesté  violemment  son opposition à la proposition de référendum présentée  par Alexis Tsipras  au référendum  par la voix d'Antony Samaras ( vous retrouvez un extrait de la séance dans les articles en Revue de presse) 


Finalement, le  référendum prévu pour le dimanche 5 juillet a été approuvé par 178 députés sur un total de 300 parlementaires. Le nombre de députés ayant voté contre le référendum s'est établi à 120, tandis que seuls deux n'ont pas pris part au vote, selon le décompte définitif annoncé par l'Assemblée.


Le référendum proposé par le gouvernement grec sur la dernière offre d'accord faite au pays par ses créanciers (UE, FMI) a été approuvé à la majorité du parlement grec dans la nuit de samedi à dimanche. 


La veille Alexis Tsipras  s'était adressé aux  citoyens grecs  à la télévision, le 26 juin 2015.
" Citoyens grecs,
Au cours des six derniers mois, le gouvernement grec a mené une bataille sous une asphyxie économique sans précédent, dans le but d’appliquer le mandat que vous lui avez donné le 25 janvier.
Le mandat de négocier avec nos partenaires pour arriver à mettre un terme à l’austérité et pour faire revenir dans notre pays la prospérité et la justice sociale.
Pour un accord durable qui respectera la démocratie, les règles européennes, et qui conduira à une sortie définitive de la crise.
Durant les négociations, il nous a été demandé de manière répétitive de mettre en œuvre les politiques du mémorandum que les précédents gouvernements avaient accepté, en dépit du fait que ce mémorandum avait été condamné sans équivoque par le peuple grec lors des récentes élections.
Nous n’avons jamais envisagé d’abandonner – pas même pendant un instant. Ni de trahir votre confiance.
Après cinq mois d’âpres négociations, nos partenaires ont soumis une proposition-ultimatum à la rencontre de l’Eurogroupe, menaçant la démocratie et le peuple grec.
Un ultimatum qui contrevient aux principes et aux valeurs qui ont fondé l’Europe. Les valeurs de notre projet européen commun.
Il a été demandé au gouvernement grec d’accepter une proposition qui ajoutera un poids insupportable sur les épaules du peuple grec, et qui minera le rétablissement de l’économie et la société grecques – pas seulement en alimentant l’incertitude, mais aussi en aggravant les inégalités sociales.
La proposition des institutions  inclut des mesures qui vont augmenter la dérégulation du marché du travail, les coupes dans les pensions de retraite, et inclut de nouvelles réductions de salaires le secteur public – mais aussi une augmentation de la TVA sur la nourriture, les restaurants et le tourisme, tout en éliminant les exonérations d’impôts sur les îles grecques.
Ces propositions – qui violent directement les acquis sociaux européens et les droits fondamentaux à travailler, à l’égalité et à la dignité – prouvent que certains partenaires et membres des institutions ne veulent pas trouver un accord viable qui bénéficierait à toutes les parties, mais cherchent plutôt l’humiliation du peuple grec.
Ces propositions illustrent principalement l’insistance du FMI pour des mesures d’austérité sévères et punitives. Il est maintenant temps pour les pouvoirs dirigeants européens de se montrer à la hauteur de l’occasion et de prendre l’initiative pour mettre un terme définitif à la crise grecque, une crise qui affecte également d’autres pays européens, en menaçant le future proche de l’intégration européenne.
Citoyens grecs,
Nous faisons face à la responsabilité historique de ne pas laisser les luttes et les sacrifices du peuple grec rester vains, et de renforcer la démocratie et notre souveraineté nationale – cette responsabilité pèse sur nous.
Notre responsabilité pour le futur de notre pays.
Cette responsabilité nous oblige à répondre à l’ultimatum sur la base de la volonté souveraine du peuple grec.
Plus tôt ce soir, le Conseil des ministres était convoqué et j’ai proposé d’organiser un référendum afin que le peuple grec puisse décider.
Ma proposition a été unanimement acceptée.
Demain, le Parlement tiendra une session extraordinaire pour ratifier la proposition du Conseil des ministres pour qu’un référendum soit mis en place dimanche prochain, le 5 juillet. La question posée sera de savoir si la proposition des institutions doit être acceptée ou rejetée.
J’ai déjà informé le président français, la chancelière allemande et le président de la BCE de ma décision ; demain, je demanderai aux leaders de l’UE et des institutions une courte extension du programme – en cours d’écriture – pour que le peuple grec puisse décider sans pression et sans chantage, comme il l’est disposé dans la Constitution de notre pays et dans la tradition démocratique européenne.
Citoyens grecs,
Je vous appelle à choisir – avec la souveraineté et la dignité que l’Histoire grecque exige – si nous devons accepter l’exorbitant ultimatum qui appelle à une stricte et humiliante austérité sans fin, et qui ne donne aucune perspective de pouvoir un jour nous tenir debout sur nos deux pieds, socialement et financièrement.
Nous devrions répondre à l’autoritarisme et l’austérité sévère par la démocratie – dans le calme et la fermeté.
La Grèce, lieu de naissance de la démocratie, devrait envoyer un retentissant message démocratique aux Européens et à la communauté mondiale.
Et je m’engage personnellement à respecter la conséquence de votre choix démocratique, quel qu’il puisse être.
Je suis absolument certain que votre choix fera honneur à l’Histoire de notre pays et enverra un message de dignité à travers le monde.
Dans ces temps critiques, nous allons devoir rappeler que l’Europe est la maison commune de tous ses peuples.
Qu’en Europe, il n’y a ni propriétaires, ni invités.
La Grèce est et restera une partie intégrante de l’Europe, et l’Europe une partie intégrante de la Grèce.
Mais une Europe sans démocratie sera une Europe sans identité et sans boussole.
Je vous appelle tous à agir avec sang-froid dans l’unité nationale et à prendre une décision digne.
Pour nous, pour les générations futures, pour l’Histoire grecque.
Pour la souveraineté et la dignité de notre pays. "
Alexis Tsipras,

le 26 juin 2015"
____________/

En conclusion il reste aux créanciers de la Grèce  à ruminer leur colère , leur  déconvenue ou leur déception, ou peut-être même à comploter   en attendant les résultats du référendum grec.

Dommage qu'il n'y a pas dans l'UE  d'autres dirigeants pour faire bisquer ses homologues et la Commission de Buxelles ou son président ... .., de temps en temps David Cameron le Premier Ministre Britannique s'avise de le faire, mais lui ce n'est  pas trop pour des questions d'aide ou d'endettement , c'est surtout pour défendre la souveraineté de son pays ( on en parlera prochainement dans un autre article ) 

Revue de Presse :( note : les informations sont plutôt  traités par les médias dans la tonalité négative ...mais vous les interpréterez  selon votre analyse)

Grèce : le parlement approuve le référendum de Tsipras

TF1 - ‎Il y a 4 heures ‎
Cela ne va pas arranger les relations entre la Grèce et ses créanciers. Après l'annonce, vendredi par Alexis Tsipras, de l'organisation d'un référendum sur l'accord proposé par les créanciers du pays, l'UE et les FMI, l'Eurogroupe, réuni à Bruxelles, ...

info en continu - Radio-Canada.ca

ici.radio-canada.ca/info/

Le Parlement grec a approuvé sans surprise dans la nuit de samedi à dimanche ... Le 28 juin 2005, par 158 ...arlement grec approuve le référendum proposé par Alexis Tsipras

FRANCE 24 - ‎Il y a 2 heures ‎
Les députés grecs ont approuvé le projet de référendum du Premier ministre Alexis Tsipras sur les exigences des créanciers. Le Premier ministre est convaincu que le peuple opposera un refus net à l'ultimatum de l'UE et du FMI. Le bras de fer entre la Grèce ... 

Grèce : bras de fer avec l'Europe

Le Figaro - ‎Il y a 23 minutes ‎
En direct - A la suite de l'annonce surprise par Alexis Tsipras d'un référendum en Grèce sur le plan d'aide européen, les ministres des Finances de l'Eurogroupe ont refusé de prolonger l'actuel programme de renflouement, qui expire mardi. Censé ...

Le ''destin'' de la Grèce est de rester dans la zone euro (Sapin)

Le Figaro - ‎Il y a 17 minutes ‎
Séparez les adresses e-mail de vos contacts par des virgules. De la part de : Le "destin" de la Grèce est de rester dans la zone euro (Sapin). J'accepte de recevoir la newsletter quotidienne du Figaro.fr. Oui Non. Imprimer; Haut de page. Menu. Economie.

Du "Greferendum" au "Grexit", récit d'une négociation catastrophe

Challenges.fr - ‎Il y a 1 heure ‎
Bruxelles (AFP) - La réunion de la dernière chance entre la Grèce et ses créanciers a viré au scénario catastrophe après cinq mois de bras de fer, avec une rupture des négociations, précipitant le pays vers un défaut de paiement et une sortie de la zone euro.

Du plan A au plan B, l'Europe en territoire inconnu

L'Obs - ‎Il y a 2 heures ‎
BRUXELLES/ATHENES (Reuters) - Le projet européen d'une union indissoluble d'Etats liés entre eux par une monnaie commune est entré ce week-end dans l'inconnu avec l'annonce d'un référendum en Grèce et la décision de l'Eurogroupe de ne pas ...

Grèce : comment Tsipras s'est enfermé dans un cul-de-sac

L'Obs - ‎Il y a 2 heures ‎
En soumettant l'accord avec ses créanciers européens à un référendum, et en appelant à voter contre, le Premier ministre grec a privé son pays de l'aide financière dont il a besoin. Le Premier ministre grec Alexis Tsipras lors d'une allocution télévisée, dans ...

Crise grecque : quelles conséquences d'une sortie de la zone euro ...

metronews - ‎Il y a 35 minutes ‎
DECRYPTAGE - L'espoir de trouver un accord entre la Grèce et ses créanciers semble avoir quasiment disparu. La Banque centrale est en passe de "couper les vivres" aux Grecs. Des conséquences qui impacteront le pays et les Européens.

Du «Greferendum» au «Grexit», récit d'une négociation catastrophe

Libération - ‎Il y a 3 heures ‎
Le ministre grec des Finances Yanis Varoufakis à Bruxelles, le 27 juin 2015 (Photo John Thys. AFP). La réunion de la dernière chance entre la Grèce et ses créanciers a viré au scénario catastrophe après cinq mois de bras de fer, avec une rupture des ...

Après l'annonce d'un referendum, les créanciers en quête d'un plan B

Le Figaro - ‎Il y a 3 heures ‎
Alexis Tsipras a obtenu l'aval du Parlement grec pour la tenue d'un referendum sur le plan d'aide européen. Il s'est clairement positionné contre, sans toutefois indiquer vouloir rompre avec l'Union européenne. Sans accord avec ses créanciers, le pays ...

Grèce : le parlement approuve le référendum de Tsipras

TF1 - ‎Il y a 4 heures ‎
Cela ne va pas arranger les relations entre la Grèce et ses créanciers. Après l'annonce, vendredi par Alexis Tsipras, de l'organisation d'un référendum sur l'accord proposé par les créanciers du pays, l'UE et les FMI, l'Eurogroupe, réuni à Bruxelles, ...

Le Parlement grec approuve la tenue d'un référendum

Les Échos - ‎Il y a 3 heures ‎
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a proposé samedi la tenue d'un référendum populaire pour ou contre les demandes des créanciers de la Grèce. Le Parlement grec a approuvé sans surprise dans la nuit de samedi à dimanche la tenue le 5 juillet ...

Crise grecque : les dirigeants européens mettent en garde contre un ...

Boursorama - ‎Il y a 1 heure ‎
Nouvelle journée sous tension dans le dossier grec. Le conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) doit se réunir ce dimanche, alors qu'Athènes se dirige tout droit vers le scénario catastrophe d'un défaut de paiement, synonyme de ...

Grèce : le référendum sur le plan d'aide approuvé par le Parlement

Le Point - ‎Il y a 4 heures ‎
Le Parlement grec a approuvé dans la nuit de samedi à dimanche le référendum proposé par le gouvernement d'Alexis Tsipras. Grèce : le référendum sur le plan d'aide approuvé par le Parlement © ARIS MESSINIS. Le Parlement grec a approuvé dans la ...

Crise grecque : le référendum de Tsipras validé, un Grexit «presque ...

Boursorama - ‎Il y a 2 heures ‎
Nouvelle journée sous tension dans le dossier grec. Le conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne doit se réunir, sans doute dimanche, pour tenter d'éviter in extremis à la Grèce une déroute bancaire alors qu'Athènes se dirige tout droit vers ...

Le Parlement grec approuve le référendum

Le Figaro - ‎Il y a 4 heures ‎
Le Parlement grec a approuvé sans surprise la tenue le 5 juillet prochain d'un référendum pour ou contre les propositions de réformes réclamées par les créanciers d'Athènes en échange du déblocage de nouvelles liquidités. Lors du débat, hier soir, ...

Grexit: Réunion in extremis des gouverneurs de la BCE

20minutes.fr - ‎Il y a 3 heures ‎
Le conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne devait se réunir, sans doute ce dimanche, pour tenter d'éviter in extremis à la Grèce une déroute bancaire alors qu'Athènes se dirige tout droit vers le scénario catastrophe d'une sortie de la ...

Le parlement grec approuve le référendum proposé par Alexis Tsipras

FRANCE 24 - ‎Il y a 2 heures ‎
Les députés grecs ont approuvé le projet de référendum du Premier ministre Alexis Tsipras sur les exigences des créanciers. Le Premier ministre est convaincu que le peuple opposera un refus net à l'ultimatum de l'UE et du FMI. Le bras de fer entre la Grèce ...

L'avenir de la Grèce joué au poker menteur jusqu'au 30 juin?

RFI - ‎Il y a 44 minutes ‎
media Le président du Conseil européen Donald Tusk, en compagnie du Premier grec Alexis Tsipras (à droite) et son ministre des Finances Yanis Varoufakis, le 22 juin dernier à Bruxelles. REUTERS/Eric Vidal. Le « poker grec » continue, alors que les deux ...

GRECE. L'Europe met fin à son aide en réponse au référendum, le ...

L'Obs - ‎Il y a 5 heures ‎
De nouveau réuni samedi, l'Eurogroupe a annoncé qu'il ne renouvellerait pas son plan d'aide à la Grèce au-delà du 30 juin. Yanis Varoufakis dans la salle de presse de l'Eurogroupe, ce samedi à Bruxelles (JOHN THYS ..AFP)

27 juin 2015

Yassine Salhi a envoyé un selfi avec son portrait et la tête décapitée de sa victime à un correspondant qui se trouve en Syrie et qui ne serait pas inconnu de la police !

Éditorial de lucienne magalie pons


Les enquêteurs ont découvert que Yassin Salhi  le présumé suspect de l'attentat dans l'Isère , un homme que l'on prétend seul , n'appartenant pas à un réseau, .. a envoyé un selfie avec la tête de sa victime  à un correspondant  en Syrie et que le pseudo de ce dernier n'est pas inconnu de la police.

Aux dernières informations  on continue à dire qu'il semblerait qu'il ait agi seul et ne parait pas appartenir à un réseau , qu'il refuse de répondre aux enquêteurs, et que sa garde à vue sera prolongée.

Je me demande comment on peut seul se saisir d'un homme , le maîtriser et lui couper la gorge au couteau, il faudra qu'il s'en explique, dommage que  les coups de pieds au cul ou encore la  "gégène"  sont  interdits ,  il y a des moments où on devrait l'autoriser par rapport à l'horreur du crime commis, , qu' est-ce que  c'est que quelques  coups  de pied ou des petites secousses électriques par rapport  à l'horrible  supplice qui a été infligé à notre compatriote ?

S'il a des complices dans la nature il faut les arrêter le plus vite possible pour éviter qu'il fassent d'autres victimes. 

REVUE DE PRESSE 

REVUE DE PRESSE :


Attentat en Isère: Yassin Salhi a envoyé un selfie avec la ...

actu.orange.fr/.../attentat-en-isere-yassin-salhi-a-envoye-un-selfie-avec-la...


  • Il y a 1 heure - Yassin Salhi, le terroriste soupçonné dans l'attentat contre une usine en Isère, a envoyé un selfie avec la tête de sa victime, ont indiqué samedi ...
  • INFO M6 - Un selfie macabre pris par Yassin Salhi envoyé à ...

    https://fr.news.yahoo.com/info-m6-selfie-macabre-pris-yassin-salhi-envo...
  • Il y a 2 heures - Sur Yahoo Actualités France. Selon nos informations, les forces de l'ordre ont extrait du téléphone portable du terroriste présumé une photo le ...
  • Attentat en Isère : le suspect a envoyé un selfie ... - Midi Libre

    www.midilibre.fr/.../attentat-en-isere-le-suspect-a-envoye-un-selfie-avec-la-...
    Il y a 1 heure - Yassin Salhi, soupçonné d'avoir tué un chef d'entreprise avant de commettre un attentat en Isère, a envoyé un selfie avec la tête de sa victime.
  • Il y a 15 minutes - Yassin Salhi, en garde à vue depuis vendredi, a envoyé cette photo macabre avec l'application de messagerie instantanée WhatsApp vers un ...
  • Qui est Yassin Salhi ? - Libération

    www.liberation.fr › Société
  • Il y a 23 heures - Yassin Salhi, 35 ans, marié et père de trois enfants, est soupçonné .... Yassin Salhi, le principa suspect de l'attentat en Isère, a envoyé un selfie ...
  • Attentat en Isère : Yassin Salhi reste mutique en garde à vue

    www.europe1.fr/.../attentat-en-isere-yassin-salhi-reste-en-garde-a-vue-13...
  • Il y a 6 heures - Yassin Salhi, principal suspect mis en cause, est marié et père de trois enfants. ... Yassin Salhi a envoyé un selfie avec la tête de sa victime.
  • EN DIRECT. Attentat en Isère : en garde à vue, Yassin Salhi ...

    www.leparisien.fr/.../en-direct-attentat-en-isere-valls-de-retour-nouveau-...
  • Il y a 11 heures - Yassin Salhi a envoyé un selfie avec la tête de sa victime. Selon des sources proches du dossier qui confirment une information de M6, Yassin ...
  • Attentat en Isère : le macabre selfie de Yassin Salhi avec sa ...

    www.leparisien.fr/.../attentat-en-isere-le-macabre-selfie-de-yassin-salhi-a...
  • Il y a 41 minutes - Selon les informations de M6, Yassin Salhi, soupçonné d'avoir tué un ... Cette photo macabre a été envoyée par l'application de messagerie ...

    Manuel de Diéguez - "LA CLASSE DIRIGEANTE DES ETATS VASSAUX " - II - Le continent européen en apprentissage de sa servitude -

    Éditorial de lucienne magalie pons

     Nouveau sur le site de ...

                                         
    LA CLASSE DIRIGEANTE DES ETATS-VASSAUX 
    Quatre lettres ouvertes à M. Jacques Myard, Député de la nation, Président du Cercle Nation et République
    II
    Le continent européen en apprentissage de sa servitude


    Introduction

    Il suffirait à une poignée d'hommes politiques européens de quelques mots bien assénés pour renseigner le suffrage universel du Vieux Continent des raisons simples et évidentes pour lesquelles l'empire américain tente de dresser le Vieux Monde contre la patrie de Tolstoï et de Dostoïevski.

    Voici les clés de cette énigme: sept nations se trouvent officiellement détentrices de la foudre nucléaire, les Etats-Unis, la France, l'Angleterre, la Russie, la Chine, l'Inde et le Pakistan. Mais il ne suffit pas de disposer de l'arme apocalyptique pour exercer une hégémonie de type biblique. La Chine court en tête des nations proches d'insuffler à la terreur une âme économique, l'Inde suit Pékin avec un retard de quelques enjambées - mais l'essentiel est de se trouver sur la piste d'envol. Deux Etats, l'Angleterre et la France, ayant perdu leur empire colonial, se sont retirées de l'arène où d'autres puissances jouent au pilotage du globe terrestre. Le Pakistan, géant prématuré, piétine sur le seuil dans l'attente d'une audience internationale qui répondrait à sa fierté de détenir une arme inutilisable.

    Mais seule la Russie avance résolument sur la voie appienne des armes para-nucléaires de demain. La progression technologique de l'ex-empire des Tsars repose sur le perfectionnement à l'infini de l'armement classique. A l'heure de l'informatique et des logiciels, un Etat inventif prend rapidement une avance et qui condamne le sceptre nucléaire à un rapide vieillissement de son arsenal et de ses canonnades.

    D'ores et déjà, l'issue de cette confrontation ne fait plus de doute. La puissance militaire mondiale des Etats-Unis repose sur un adage vieux de deux millénaires, selon lequel la domination des mers serait la clé de la suprématie invincible d'une nation sur toutes ses consœurs. Cette fixation des esprits sur l'hégémonie navale d'autrefois est décédée dans les dernières années du XXe siècle, quand les monstres d'acier à propulsion nucléaire qui avaient succédé aux caravelles de Charles Quint ou de Guillaume le Conquérant sont devenues pulvérisables en haute mer et à des milliers de kilomètres des côtes du viseur qui les prend pour cibles: des missiles tirés du rivage et enfouis à cinquante mètres sous la terre ne laissent aucune chance de surnager aux tortues porteuses d'aéronefs sur leur carapace d'acier.

    L'avance technologique des armes téléguidées de la Russie et sa maîtrise des missiles miniaturisés ont convaincu l'empire américain d'achever en toute hâte la vassalisation économique et militaire du Vieux Monde et de tenter de lancer précipitamment le continent de Copernic à l'assaut, par procuration, de l'ex-empire des Tsars. Une telle stratégie n'est évidemment possible qu'en raison de la sous-information et de la pauvreté de la réflexion stratégique d'un continent fatigué et dont la connaissance de l'histoire et de la politique s'arrête aux portes de la science des armes modernes. Il faut avoir passé par Saint-Cyr ou par l'Ecole de guerre, comme le Général de Gaulle ou Jacques Chirac, pour porter sur les Etats et sur le cerveau de la classe dirigeante élue au suffrage universel un regard instruit à l'école des conquérants qui, depuis des siècles, ont démontré que la clé de la politique est dans la science de la guerre.

    C'est pourquoi on voit des enfants de chœur comme Mme Merkel ou François Hollande monter sur la scène du monde en tenue de majordomes décorés d'un mythe de la Liberté écrit sous la dictée d'un maître.


    Monsieur le Député,

    1 - Le retard intellectuel des classes dirigeantes

    A l'origine, le pouvoir populaire direct, donc encore petitement localisé, voyait les adultes de sexe masculin se rassembler plusieurs fois dans l'année et souvent en armes sur la place publique de leurs cités aux fins d'y trancher sans barguigner des affaires publiques à la majorité de mains levées. Mais sitôt que cette forme expéditive du gouvernement citadin s'est exercée sur un territoire relativement étendu et comportant plusieurs villes et de nombreux villages, la minusculité d'un pouvoir physiquement présent sur quelques lopins est évidemment devenue inapplicable aux casus belli les plus cruciaux.

    De plus, Athènes a rapidement démontré l'incapacité naturelle des peuples de ce bas monde, tant citadins que ruraux, de diriger une nation à l'échelle du monde pourtant restreint et lent de leur époque et de mettre occasionnellement et pour quelques heures seulement le siècle de leur temps à l'écoute des enseignements simplistes et sporadiques de la vie champêtre. Périclès lui-même était rapidement devenu l'otage de la place publique où un pouvoir seulement corporel courait dans le vide et la bride sur le cou.

    La désastreuse expédition de Sicile a tout de suite démontré aux chefs d'Etat que les démocraties à mi-temps ont besoin de sécréter une classe de transfuges permanents et qui mettront à quia la petitesse originelle des nations livrées à l'incompétence et à l'amateurisme populaires. Mais cette première élite d'une vie publique héritée du pouvoir de type corporel des origines ne saurait se montrer tout de suite suffisamment instruite et réfléchie pour élever aussi instantanément que spontanément une science de l'histoire au-dessus de la gestion des tracasseries de villages.

    2 - Comment instruire des élites vouées à l'éphémère ?

    Et pourtant, M. le Député, les démocraties devenues trans-municipales demeurent nécessairement condamnées à se nourrir leur vie durant de la fiction qui a donné naissance à leur vicariat originel, celui d'une collaboration censée étroite et naturelle entre les peuples et leurs dirigeants d'un moment, donc d'une interdépendance harmonieuse entre la tête microscopique et les jambes provisoires d'un seul et même corps électoral artificiellement unifié.

    Mais alors, un pouvoir politique précaire, parce que soumis à des réélections rapprochées et livré à une autorité éphémère par nature et par définition ne présente-t-il que l'avantage indirect d'empêcher du moins qu'un abîme grandissant ne s'ouvre entre le peuple et ses dirigeants d'un moment, mais seulement, hélas, faute qu'une classe dirigeante d'un grand génie trouve le temps de s'éduquer? Car la brièveté du pouvoir le prive du socle de toute légitimité solide. Si Néron avait dû demander tous les trois ou quatre ans aux Romains : "Voulez-vous continuer avec moi?", il n'y aurait plus de tyrannie, mais plus de légitimité réelle non plus, tellement l'autorité véritable se fondera toujours sur la durée dans l'esprit du genre humain.

    C'est pourquoi l'inaptitude des classes dirigeantes rudimentaires des démocraties modernes à conquérir rapidement la hauteur de vues et les savoirs nécessaires à leur fonction et à leur vocation s'est inévitablement révélée aux premiers anthropologues de la politique, ce qui n'a cessé de poser aux cités la question la plus fondamentale de toutes, celle à laquelle l'audace de votre initiative a donné une acuité appelée à révéler rapidement sa portée internationale.

    Car le spectacle de la médiocrité des élites dirigeantes élues par un peuple encore sous-informé de la nature de l'échiquier du monde a bien vite débarqué dans l'histoire tragique et sanglante des démocraties modernes: souvenez-vous de la mise en scène atterrante du désarçonnement des Etats européens entre 1919 et 1940, à l'heure où il s'est révélé impossible d'instruire la caste inexpérimentée hissée au pouvoir par le peuple et de l'informer de la nature de l'alliance du socialisme messianisé classique avec le nationalisme spartiate du IIIe Reich - puis, entre 1945 et 1989, quand les cerveaux dirigeants, donc censés pensants, n'ont pas réussi à conquérir une connaissance anthropologique de l'eschatologie politico-religieuse des marxistes et, en général, de la nature viscéralement onirique de l'encéphale des évadés de la zoologie.

    M. le Député de l'intelligence de la France, cette question darwinienne aurait dû se poser aux sciences humaines dès le XVIIIe siècle, puisqu'elle résultait de l'avènement, deux millénaires auparavant, d'une mythologie du salut universel et de l'ubiquité d'une délivrance miraculée du genre humain. Ces phantasmes politiques avaient conduit le fabuleux chrétien non seulement à abolir purement et simplement la propriété privée, mais à la démence d'éradiquer de surcroît les neurones et les chromosomes qui pilotent le fantastique cérébral dont ce malheureux animal se trouve habité de naissance. Si vous ne faites pas débarquer une psychobiologie, même élémentaire, dans la politologie mondiale d'aujourd'hui, la connaissance du genre humain dont témoignera votre parti en demeurera au siècle de Voltaire, qui rêvait de remplacer le Dieu des marmites infernales par un Dieu de bonté.

    3 - De la nature des grands Etats

    De nos jours, l'alliance de principe de l'utopie politique des premiers chrétiens avec les restes de la mystique dialectisée de Karl Marx - ce pacte se fondait sur l'espérance du débarquement, supposé imminent, mais au forceps, d'un succédané plus satisfaisant que le précédent du royaume sanglant des cieux sur le globe terrestre - cette alliance cruelle et carnassière, dis-je, du paradis et de l'enfer a cessé de se révéler périlleuse, du moins dans l'immédiat, et n'appelle plus en rien le fervent apostolat d'une pensée rationnelle résolument d'avant-garde.

    En revanche une anthropologie nouvelle est appelée à monter en première ligne: car il s'agit d'éduquer la prochaine élite politique de la démocratie mondiale, dont la pensée sera appelée à combattre une ignorance inconnue jusqu'à présent, celle dont souffrent désormais les Républiques fondées sur le dogme planétaire de l'infaillibilité d'un suffrage universel mystérieusement inspiré à sa propre écoute. A ce titre, cette autorité collective méconnaît les fondements tout humains des axiomes et des postulats réputés salvateurs qu'affiche la démocratie mondiale messianisée d'aujourd'hui. "Dieu" a passé la main: il a cessé de s'adresser seulement aux quelques chantres de sa grandeur qu'il était censé avoir triés sur le volet. Il y a gagné une audience nouvelle - celle des masses grisées par le mythe de la Liberté. Mais la passivité dévote des démocraties et leur docilité rivalisent désormais avec l'obédience religieuse des masses d'autrefois.

    Cette ignorance des secrets anthropologiques de la piété est mal inspirée. Elle s'offrira demain à la pesée d'une France mieux informée des sommeils et des réveils ravageurs du sacré. Observez les paramètres de la pseudo réflexion contemporaine concernant les léthargies et les sursauts eschatologiques des empires démocratiques - car le monde moderne s'est construit sur le songe de l'indépendance innée et de la souveraineté naturelle des masses. Celles-ci sont censées donner un souffle politique bénéfique par définition à un suffrage universel rédempteur. Croyez-vous, M. le Député, que les "Républicains" pourront se permettre d'ignorer longtemps encore les entrailles et le cerveau du nouveau guide suprême du genre humain - ceux du dieu Liberté ?

    On a pu observer tout récemment le type d'ignorance finaliste et d'incompétence scolastique propres à toute la classe dirigeante européenne d'aujourd'hui: souvenez-vous du comportement d'enfant rusé de Mme Merkel face à un Vladimir Poutine sagement réaliste. Aussi longtemps qu'il aura suffi à la Chancelière de s'affairer autour d'une nation des lessives et des confitures et de bien gérer le ménage d'après guerre des Germains mis à la rude école d'un empire étranger et domestiqués pour longtemps, aussi longtemps, dis-je, que cette ménagère aura paru armée d'une connaissance suffisante des fourneaux et de la gastronomie réservées aux chefs des démocraties actuelles, elle a semblé faire l'affaire. Mais sitôt que la planète des décérébrés retrouvera son allure transculinaire, il apparaîtra que cette Egérie des marmites ne comprend goutte au train des Etats vivants et des empires en mouvement.

    M. le Député, vous avez pris rendez-vous avec l'histoire réelle des Etats - mais c'est le monde entier qui attend une science anthropologique de la politique. Les "Républicains" sont-ils plus informés de la découverte de l'évolutionnisme en 1859 et de la psychanalyse en 1900 que les chrétiens du XVIIe siècle de l'astronomie de Copernic ?

    4 - Les Cathares du marxisme

    G.K. Chesterton (1874-1936) prophétisait que le monde serait dirigé par des ménagères. C'est dans un esprit d'institutrice-modèle et d'élève compénétrée d'évangélisme scolaire que Mme Merkel a vivement reproché au successeur des Tsars d'avoir violé un ordre international censé immobilisé pour l'éternité, puisque le mur de Berlin était tombé sur le modèle de la chute des murs de Jéricho. La Chancelière se présente en pédagogue d'une démocratie mise à l'abri des enseignements de l'histoire réelle des Etats. C'est à ce titre, et à l'instar d'un Barack Obama, qu'elle affecte d'ignorer qu'un gouvernement russe digne de ce nom ne saurait renoncer à l'ambition de toutes les grandes nations de conquérir les frontières que requièrent l'étendue de leur territoire et la masse de leur population. On ne dirige pas davantage la Russie à l'échelle du Lichtenstein que la France à l'échelle du Montenegro. M. le Président du Cercle Nation et République, que pensez-vous de la postérité à donner au traité de Westphalie de 1648, qui avait interdit aux Etats civilisés de se mêler de la politique intérieure des autres Etats?

    Quand bien même l'ex-empire des tsars aurait été vaincu en toute loyauté sur le champ de bataille, donc par la seule force du glaive d'un Alexandre invincible, aucun dirigeant russe d'envergure ne saurait délégitimer la vocation naturelle et propre à cette nation depuis plus de trois siècles de s'ouvrir - et l'épée à la main au besoin - le libre accès à la Mer Noire et à la Méditerranée. Tout chef d'Etat de ce pays qui renierait l'esprit de la politique de Pierre le grand et de la grande Catherine se verrait reprocher sa pleutrerie et n'éviterait le gibet qu'en raison de l'instauration, depuis 1996, d'un moratoire sur les exécutions en Russie.

    M. le Député, quelles sont votre politique et votre pesée de l'avenir de la nation française? Quelle est votre philosophie des frontières? Près de trois cent soixante dix ans après le traité de Westphalie, laisserez-vous un empire étranger entraîner toute l'Europe dans le sillage de son messianisme anti-russe ou bien armerez-vous la géopolitique d'aujourd'hui d'une réflexion de fond sur le droit international actuel ?

    Car, comme il est rappelé plus haut, la Russie soviétique ne s'est pas effondrée à la suite d'une guerre perdue, mais seulement pour avoir assisté à la répétition générale d'un théâtre eschatologique atterrant. Qu'en est-il du grotesque planétaire d'un mythe démocratique dûment calqué sur celui du christianisme originel? Si la démence inouïe d'un messianisme politique avait tenté de remettre en marche l'épopée ahurissante des Cathares du XIIe siècle, dont la folie rêvait de convertir tout le genre humain au saint devoir de sauver le joyau de la chasteté jusque sur le lit conjugal, un péril politique de ce calibre aurait été rapidement circonscrit et efficacement combattu, tellement un programme de la rédemption fondé sur le dépérissement sacré et l'extinction sanctifiée du désir sexuel, donc sur une planification de l'extermination salvifique de l'espèce pécheresse ressortissait à une hérésie dont il était inutile de combattre la stupidité à l'école des bûchers de l'Inquisition: il n'est pas besoin d'une science anthropologique de la folie humaine pour savoir que ce genre de dérangement cérébral s'éteindra parmi les fuyards de leurs forêts par la simple contre-offensive de l'instinct de conservation de tous les êtres vivants.

    5 - De l'utopie à la mystique

    En revanche, la glorification religieuse de la pauvreté et le rêve ahurissant d'abolir la propriété privée ne sont pas seulement d'origine chrétienne: leur source s'est révélée d'ordre psychobiologique. De plus, ce songe ne s'est montré congénital à un évangélisme d'origine biologique qu'à partir de la tradition ascétique de la philosophie stoïcienne et en réaction à une dépravation universelle et pathologique des mœurs. Mais, au XIXe siècle, une mutation aussi soudaine que peu banale du modèle de production capitaliste a subitement ensauvagé ce système économique: il n'était pas prévisible que des mécaniques motorisées et automatisées se substitueraient soudainement à la lenteur et à la maladresse du travail individuel. Cette accélération abassourdissante et cette massification à la fois catastrophique et comique du labeur des masses ont enfanté un esclavage d'un type inconnu et incroyable, celui de la robotisation des travailleurs systématiquement mécanisés. Dès 1936, Charlie Chaplin filmera cette gigantesque galéjade dans Les Temps modernes.

    De plus, la crédibilité de l'abolition - dans un bain de sang rédempteur - de l'instinct de propriété inscrit dans nos gènes depuis Cro-Magnon a pu se nourrir de la conversion de quatre-vingts pour cent de l'intelligentsia mondiale aux bienfaits d'une utopie politique. Mais jamais cette théologie pour asile d'aliénés n'aurait égaré le peuple le plus réaliste et le plus ancien de la terre, le peuple chinois, si la mécanisation effrénée des multitudes au profit d'un capitalisme d'esclavagistes n'avait pas présenté un péril plus réel pour la survie des fuyards du règne animal que le rêve d'enfermer une espèce sexuée dans la maison de fous de la chasteté universelle.

    Quoi qu'il en soit, une politologie qui châtierait à jamais la Russie en raison du naufrage d'un délire politique tellement passager que le christianisme originel l'avait terrassé en une seule génération ressortit à une forme de démence collective fort significative de la carence intellectuelle et philosophique qui frappe aujourd'hui de plein fouet les élites dirigeantes de type démocratique. Car Mme Angela Merkel, j'y reviens, semble ignorer l'origine messianique d'une mythologie politique imposée de l'extérieur à l'Europe et au seul bénéfice d'un empire mondial du salut par la démocratie [Voir Introduction]. Or, l'expansion foudroyante du mythe de la Liberté politique s'est précisément construite sur la voracité du capitalisme messianisé, lequel s'était déchaîné à l'échelle du monde entier depuis le XIXe siècle.

    L'idée de mettre la massue d'un maître de l'onirisme politique actuel entre les mains des vassaux de ce songe impérieux - et cela à seule fin de frapper la Russie à coups de gourdin - n'a d'autre finalité géopolitique que d'assurer la prospérité des marchés financiers ficelés à l'empire du dollar par les accords de Bretton Wood. C'est pourquoi la trique des sanctions économiques prises sous la férule d'un empire réputé rédempteur ont aussitôt fait progresser à tout va  les exportations de l'Amérique … en direction de la Russie.

    M. le Député de la nation, serez-vous le déclencheur de l'Europe d'une lucidité triplice: religieuse, politique et militaire? Serez-vous l'éveilleur qui dira aux Français qu'il n'y a pas de politique internationale qui puisse passer au large d'une science historique experte à peser ensemble et sur la même balance le poids des armes et celui des songes.

    6 - Psychobiologie de la vassalité parareligieuse

    Que dit le baromètre de la sottise politique - celui qui indique la température des mondes imaginaires dont l'histoire de la planète se nourrit ? Il faut expliciter les raisons psychobiologiques qui colloquent désormais le monde dans la postérité de l'évolutionnisme de Darwin et de l'inconscient de Freud. Car l'esclavage de type démocratique n'a pas livré les ultimes secrets de son Graal. Seule une décérébration brutale des élites et une infantilisation subite de toute la classe dirigeante européenne a pu engendrer une carence des cervelles perméables à ce type de domptage: la nouvelle épidémie de la folie sacrée est devenue celle de la chute précipitée des civilisations développées dans un type de puérilité spécifique et propre seulement à un mythe de la Liberté tombé dans la folie.

    C'est cette puérilité politique qui a conduit Mme Merkel jusqu'à soumettre les services secrets de son propre pays à la surveillance et au contrôle d'un empire étranger - et cela au point de leur ordonner le plus naïvement du monde d'espionner Airbus au profit de son concurrent, le géant américain Boeing. Seule une candeur pathologique peut rendre crédible un angélisme de ce calibre. Admettez-vous, M. le Député, ou bien que Mme Merkel ne sait pas un traître mot de la politique internationale et de l'histoire réelle de ce bas monde et qu'elle est demeurée aussi étrangère à ce domaine que Mallarmé ou saint François d'Assise, ou bien pensez-vous qu'elle devrait passer aux assises ?

    Mais, encore une fois, où sont les psychiatres de la feinte innocence du mythe de la Liberté quand le vainqueur de 1945 en tient le sceptre d'une main ferme ?
    7 - Le cerveau actuel des dirigeants européens http://aline.dedieguez.pagesperso-orange.fr/tstmagic/1024/triangle.gif
    Que la vassalisation cérébrale du monde d'aujourd'hui soit à l'école du mythe politique de la Liberté démocratique semble incroyable au premier abord; mais savez-vous que le Salvador s'est vu contraint de vendre trois cents tonnes d'or afin de payer une gigantesque amende que l'Amérique lui a infligée? Or, ce petit pays a été condamné précisément par le type de tribunaux qui permettra demain aux entreprises du Nouveau Monde de citer les Etats européens à comparaître, l'échine basse, devant des instances judiciaires composées de marchands américains. L'accusation dira que Paris, Londres ou Rome auront violé le saint principe de la liberté mondiale du commerce. On demandera aux malheureux Européens de ne s'opposer en rien à l'implantation vertueuse des entreprises d'outre Atlantique sur leur territoire ! La liberté démocratique est messianique ou n'est pas.

    M. le Député, vos collègues de l'Assemblée nationale ont-ils pris conscience de ce qu'après soixante-dix ans de présence de ses légions sur notre continent, le Nouveau Monde ne lâchera pas prise de sitôt et que seule une longue guerre de reconquête des apanages politiques propres aux Etats souverains leur redonnera leur autorité et leur influence d'antan? Mais sans doute avez-vous compté sur vos doigts ceux de vos compagnons de route qui ont vraiment compris cette situation. Aurez-vous la force de prendre la tête d'une France et d'une Europe à dévassaliser à l'écoute des leçons d'une connaissance anthropologique de l'histoire du monde? Dans ce cas, vous n'aurez aucune chance d'y parvenir si notre politologie biphasée et nos sciences humaines schizoïdes demeuraient obsolètes en raison de leur méconnaissance de la nosologie qui a rendu onirique de naissance l' encéphale dichotomisé de notre espèce. La politique ne se laisse plus comprendre seulement à moitié : si l'on ne va pas au fond des choses, on reste dehors.

    8 - Un animal masqué par son langage

    J'insiste sur ce point décisif. Car le gouffre qui s'est ouvert sous les pas de la classe dirigeante de la démocratie mondiale est d'une nature fort différente de celui qui s'était ouvert sous l'agora au cinquième siècle avant notre ère: cette fois-ci, seule la connaissance des ressorts qui commandent l'évolution des neurones d'un animal encore suspendu entre ciel et terre pourra armer la classe dirigeante européenne de demain d'une connaissance anthropologique de son inconscient cérébral; et seule une science de l'imagination humaine permettra de déclencher le divorce progressif des élites d'avant-garde d'avec un corps électoral mal instruit de la nature des verdicts que prononce un suffrage universel mythifié à l'école de son propre langage et à l'écoute de sa propre voix.

    Il serait stérilement piétinant, M. le Député, de constater seulement que l'homme n'est pas encore un transfuge parachevé du règne animal: car c'est de la spécificité auto-béatifiante de l'animalité humaine qu'il faut tenter de cerner le séraphisme. Or, cet angélisme est viscéral, et cela non point exclusivement parce qu'il porte toujours le masque d'un monde imaginaire, mais parce qu'il se révèle substantifié, si je puis dire, par la parole sacralisante des mythes collectifs. C'est le discours lui-même qui donne le change, c'est le discours lui-même qui métamorphose le réel à le transporter dans l'abstrait, c'est le discours lui-même qui chapeaute le monde et le couronne des guirlandes d'un vocabulaire pseudo ascensionnel. L'animalité humaine n'a pas d'équivalent dans le monde animal, parce que la domestication politique des peuples et des nations n'est pas un domptage de cirque, mais une tiare. La servitude des Etats européens n'est pas la vassalité des fauves terrifiés, mais celle d'une valetaille porteuse des pancartes de la vertu démocratique sur lesquelles leur maître a gravé le sceau de dela Liberté.

    L'empire américain n'est pas encore identifié dans ses prérogatives pseudo sanctifiantes, celles d'un César salvifique, mais seulement au titre d'une dérive "unipolaire" marginale de la politique classique. On s'imagine que l'animalité proprement humaine ne serait pas psychobiologique par nature sous le prétexte qu'elle ne broie pas les malades et les vieillards sous ses crocs - tout au contraire, elle leur "assure une fin de vie dans la dignité et dans l'apaisement" - ceux d'un humanisme saintement démocratisé.

    Quand, en 2013, le pape François mobilise un milliard et demi de catholiques contre la guerre en Syrie et, en 2015, la même multitude contre la pestifération de Vladimir Poutine, le devoir de la pensée rationnelle mondiale est de se dire que ce pape est un anthropologue à sa manière et qu'il a pris quelque avance dans la spectrographie des idéalités carnassières dont les fauves s'auréolent.

    Que dit le Jésuite déguisé en Franciscain - ou l'inverse - qui dirige l'Eglise? Que l'homme est un sanctificateur voué à glorifier sa bestialité masquée et qui met ses mâchoires à l'écoute de l'ange de la Liberté qu'il est devenu à ses yeux. Cet animal-là "fait l'ange", disait Pascal; et c'est viscéralement qu'il rentre ses griffes pour jouer au séraphin. M. le Député, la semaine prochaine, je me demanderai si vous ne vous seriez pas avancé sur un champ de mines, celui d'une révolution parallèle des sciences humaines et du droit international.

    Le 26 juin 2015




    J'ai plaisir à vous inviter à danser le Syrtaki et la la valse , ça réveille le patrimoine génétique de notre culture :

    Éditorial de lucienne magalie pons

    Au moment où l'Europe se  trémousse dans une décadence qui s'exprime par des danses robotiques et des onomatopées de zoulous, il est vital et revivifiant de se lancer dans le Syrtaki et  aussi dans la valse  ....et ce serait tellement agréable si tout le monde s'y mettait ....




    L'annonce du Référendum Grec ferme le dossier du plan A des créanciers qui ressortent du fond de leurs chaussettes un projet de plan "B"

    Éditorial de lucienne magalie pons


    Alexis Tsispras va très vite en besogne, après avoir assommé d'un seul coup les créanciers en annonçant le référendum grec, il demande un débat sur l'austérité, je suis sur qu'il finira pas les confondre, pour le moment il les tourne en bourriques et c'est tout ce que nous attendons de lui !

    REVUE DE PRESSE   de source  RTS INFOS - 




    Pour l'Eurogroupe, le référendum grec "ferme la porte aux discussions"

    Pour Jeroen Dijsselbloem, le référendum grec est synonyme de fin de discussions.
    Pour Jeroen Dijsselbloem, le référendum grec est synonyme de fin de discussions. [Yves Herman - Reuters]
    Les ministres des Finances européens considèrent que l'annonce d'un référendum grec "ferme la porte à la poursuite des discussions". L'extension provisoire du programme d'aide semble exclue.
    "Je suis très négativement surpris" par la nouvelle, a assuré Jeroen Dijsselbloem, président de l'Eurogroupe, à son arrivée à une réunion des ministres des Finances de la zone euro consacrée à la situation financière de la Grèce.
    "Nous allons écouter le ministre grec, et nous discuterons des conséquences", a-t-il déclaré. "C'est une triste décision pour la Grèce car cela a fermé la porte à la poursuite des discussions", a-t-il affirmé, reflétant le sentiment de colère de plusieurs ministres des Finances au sein de la zone euro.
    >>Lire: La Grèce dégaine l'arme ultime du référendum face à ses créanciers

    "Une très désagréable surprise"

    Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schaüble, a estimé de son côté que le gouvernement grec avait "mis fin unilatéralement aux négociations". L'annonce d'un référendum est "une très désagréable surprise. C'est un jour triste en particulier pour le peuple grec", a renchéri le ministre finlandais Alexander Stubb.
    "Le plan B (un possible défaut de paiement du pays, ndlr) est en train de devenir le plan A", a-t-il ajouté. Athènes a "fermé la porte à la poursuite des discussions" sur un plan pour éviter au pays un défaut de paiement le 30 juin, date d'un remboursement de 1,5 milliard d'euros que le pays ne peut honorer, sans aide financière de ses créanciers.

    Pas d'extension de programme

    Pour le ministre finlandais, une extension de quelques jours du deuxième programme d'assistance pour la Grèce, d'ici la tenue du référendum prévu le 5 juillet, est "hors de question".
    "Nous avons déjà un programme" d'assistance financière, et il arrive à son terme mardi prochain. Il est donc nécessaire que l'Eurogroupe prenne une décision mais c'est difficile quand il y a une rupture unilatérale des négociations", a estimé le ministre espagnol, Luis De Guindos, qui brigue la présidence de l'Eurogroupe.
    Le programme en cours expire le 30 juin et les 15,3 milliards d'euros qu'il contient encore cesseront d'être disponibles après cette date. Athènes souhaite repousser "de quelques semaines" cette date butoir afin de pouvoir organiser le référendum.
    ats/reuters/mre

    Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

    Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...