13 novembre 2014

L'affaire JOUYET-FILLON : le Gouvernement fait tout pour banaliser cette affaire qui pourtant rn est une et de taille

Éditorial de lucienne magalie pons


Il est certain que le Gouvernement ne veut pas répondre aux questions qui lui  sont posées  par les journalistes et les parlementaires  au sujet  du scandale qui secoue les milieux politiques  depuis huit jours au sujet des échanges  entre Monsieur François Fillon ex premier ministre et Monsieur Jean-Pierre Jouyet un de ses anciens  collaborateurs  , actuellement Secrétaire  général de l’Elysée, en présence de Monsieur Antoine Gosset-Grainville,    lors  du  déjeuner  du 24 juin qui  les réunissaient tous les trois  dans un  salon privé,  chez le célèbre et très luxueux Pavillon  Ledoyen, ( dont il n’est utile ici de citer la renommée et les tarifs de son restaurant , ce n’est pas ici le sujet) , puisque la polémique ne porte que sur ce qui auraient été dit par les convives,  qui a fuité  un peu plus tard dans les médias, et qui subitement a resurgi il y a huit jours, provoquant depuis des remous, et des prises de parti, dans tout la classe politique .
En effet,  pour ce qui a été dit aux Journalistes   c’est le porte - parole du Gouvernement Stéphane le Foll qui hier mercredi en point de presse s’en est chargé, en fait il  a détourné les questions qui lui ont été posées sur l’Affaire Jouyet-Fillon,   en éludant l’essentiel  et le fond,   en déviant sur des questions liées, et si les journalistes insistaient,  il se campait  dans l'omerta…. " Non , je vois où vous voulez en venir ...mais vous ne m'entrainerez pas  dans ce débat… 
  
Pour que tout soit clair pour nos lecteurs dans l’opacité des réponses du porte-parole  aux  questions des journalistes  en point de presse,   nous ne pouvons mieux faire que  de vous proposer  de voir la vidéo ci-dessous, en réglant votre curseur  sur la partie consacrée aux questions-réponses :



______________/

 De son côté le Premier Ministre Manuel Valls déplace lui aussi le sujet pour le banaliser, comme s’il s’agissait d’une polémique quelconque, dans laquelle il ne veut  pas entrer, il  a  détourné   la difficulté  le 11 novembre sur France 2  en  s’en remettant    "au respect de la justice"  et au "rassemblement" qui  doit   's'imposer' en ce jour du 96e anniversaire de l'Armistice de 1918" .. en expliquant notamment "Il y a des débats qui abaissent le niveau politique. J'en appelle au respect de la justice, des hommes et des Français".

Il ne s’agit pas d’un débat,    il s’agit d’une affaire qui met en scène et vise en premier lieu le Secrétaire Général de l’Élysée et l’ex- Premier ministre François Fillon. Ces deux personnalités,     ne débattent pas,  ils s’accusent mutuellement  et s’affrontent sur ce qui auraient été dit par l'un et par l'autre,  sur des sujets politiques importants , au cours du déjeuner du 24 juin, et leurs  versions  sont différentes … donc il a là un mensonge de la part de l'un ou de l'autre,  à tel point que François Fillon est amené à poursuivre en diffamation Jean-Pierre Jouyet , ce qui effectivement se situe au-dessus d’un débat ou d’un échange d’opinions politiques.
  
Mieux encore hier  à l’Assemblée Nationale  le Premier Ministre Manuel Valls a répondu à côté des questions  que lui posaient le Chef de Groupe des députés UMP, Monsieur Christian Jacob et le Député Henri Guaino.

   En effet après plusieurs réponses déviantes, le Premier Ministre a   suggéré   à Monsieur Christian Jacob   de poser d’autres questions  plutôt que d’être  dans la polémique .


Voici  l’une de ses tirades  :  : «  Monsieur le président Jacob, plutôt que d’être dans la polémique comme c’est votre droit du reste, vous auriez pu aborder aujourd’hui, comme président du groupe et responsable de l’opposition, l’accord historique sur le climat conclu entre la Chine et les États-Unis par exemple. Vous auriez pu poser une question sur la situation très préoccupante au Proche-Orient. Vous auriez pu vous interroger sur des questions économiques et budgétaires. Mais encore une fois, c’est votre droit de ne pas l’avoir fait. Vous voulez m’entraîner, à coups d’amalgames, vers des polémiques dans lesquelles je n’entrerai pas. Je m’y refuse ! Je m’en tiendrai aux faits, rien qu’aux faits, car là est la vraie question. » …..

Donc les faits pour Monsieur Valls c’est qu’il s’agit selon lui d’amalgames et  de polémiques ! 

Comment peut-il  parler de polémiques et d’amalgames quand François Fillon ex-Premier Ministre en arrive a saisir la justice en diffamation contre le Secrétaire Général de l’Elysée ? 

Il n'a mieux répondu à Monsieur Henri Guaino.


Nous reproduisons  ci-dessous  les extraits  des échanges qu’ils  ont eus   en  Première séance du mercredi 12 novembre 2014, pendant les questions au Gouvernement,  échanges  entrecoupés de diverses  réactions venant des bancs de droite et de gauche,

1) Echange avec Monsieur Christian Jacob 
     Extrait copié/collé
………
Contradictions du secrétaire général de l’Élysée


M. le président. La parole est à M. Christian Jacob, pour le groupe de l’Union pour un mouvement populaire.


M. Christian Jacob. Monsieur le Premier ministre, nous pensions qu’à l’Élysée François Hollande s’occupait de la France plutôt que de l’opposition. (« Ah ! » sur les bancs du groupe SRC.) La réalité, c’est qu’au sommet du pouvoir, tous les moyens sont mis à disposition pour abattre l’opposition. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.– Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)


M. le président. Mes chers collègues, un peu de calme, s’il vous plaît !


M. Christian Jacob. Le secrétaire général de l’Élysée, le plus proche collaborateur du Président de la République, a gravement failli en se prêtant à de basses manœuvres de mensonge et de diffamation. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)


M. Bruno Le Roux. N’importe quoi !


M. Christian Jacob. Ce mensonge en rappelle d’ailleurs d’autres : celui de Mme Taubira à propos des écoutes téléphoniques d’un ancien président de la République, celui de M. Cahuzac, que déjà le Président de République avait tenté de couvrir… (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Ce n’est pas seulement un mensonge de plus de la présidence Hollande,…


M. Bruno Le Roux. N’importe quoi !


M. le président. Monsieur le président Le Roux, s’il vous plaît ! Il y aura une réponse à cette question !


M. Christian Jacob. …c’est un mensonge qui porte gravement atteinte à l’honneur d’un ancien Premier ministre. (« Oh ! » sur les bancs du groupe SRC.) François Fillon a dirigé le gouvernement de la France avec un sens de l’État et une intégrité incontestables. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe UMP.) Nos questions, celles de tous les députés du groupe UMP, sont donc simples. Pensez-vous un seul instant que le Président de la République puisse ignorer les agissements de son secrétaire général ? (« Non ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP.)


M. Henri Jibrayel et plusieurs députés du groupe SRC. Oui !


M. Christian Jacob. Pensez-vous sérieusement que M. Jouyet ait pu agir de la sorte sans avoir reçu les instructions du Président de la République ? (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)

Monsieur le Premier ministre, M. Jouyet a commis une véritable forfaiture. Nous demandons solennellement sa démission. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)


M. Bruno Le Roux. Vous êtes dans la nuance !


M. le président. La parole est à M. le Premier ministre.


M. Guy Geoffroy. Voilà les éléments de langage…


M. Manuel Valls, Premier ministre. Monsieur le président Jacob, plutôt que d’être dans la polémique, comme c’est votre droit du reste, vous auriez pu aborder aujourd’hui, comme président du groupe et responsable de l’opposition, l’accord historique sur le climat conclu entre la Chine et les États-Unis par exemple. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe SRC.) Vous auriez pu poser une question…


M. Sylvain Berrios. On pose les questions qu’on veut !


M. Manuel Valls, Premier ministre. …sur la situation très préoccupante au Proche-Orient. Vous auriez pu vous interroger sur des questions économiques et budgétaires. Mais encore une fois, c’est votre droit de ne pas l’avoir fait. (Vives exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Vous voulez m’entraîner, à coups d’amalgames, vers des polémiques dans lesquelles je n’entrerai pas. (Mêmes mouvements.) Je m’y refuse ! Je m’en tiendrai aux faits, rien qu’aux faits, car là est la vraie question.

Les comptes de campagne de votre candidat à la dernière élection présidentielle ont été rejetés par le Conseil constitutionnel dans une décision du 4 juillet 2013. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et écologiste. – Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Le Conseil constitutionnel a considéré que c’est à bon droit que la commission nationale des comptes de campagne avait rejeté ce compte.


Plusieurs députés du groupe UMP. Ce n’est pas la question !


M. Manuel Valls, Premier ministre. Il a estimé que, dès lors, le candidat n’avait pas droit au remboursement forfaitaire déjà perçu et qu’il devait le restituer. Il a aussi validé le montant du versement que votre candidat devait verser au Trésor public,…


M. Claude Goasguen. Et alors ?


M. Manuel Valls, Premier ministre. …du fait de son dépassement du compte de campagne, tout en précisant que ce versement présentait le caractère d’une sanction.

Les faits, c’est également l’intervention le 1er janvier 2014 des commissaires aux comptes de l’UMP, votre formation politique, monsieur Jacob, qui ont transmis leurs observations au parquet de Paris sur le paiement de cette pénalité. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Comme l’a rappelé le parquet, c’est au vu des seuls éléments portés à sa connaissance par les commissaires aux comptes de l’UMP qu’il a ouvert le 2 juillet une enquête préliminaire et qu’il a, au terme de celle-ci, confié le 6 octobre à des juges financiers, évidemment indépendants, l’ouverture d’une information judiciaire pour abus de confiance, complicité
et recel.

Monsieur le président Jacob, voilà les faits ! Comment ne pas rappeler les propos de François Fillon qui déclarait au Monde le 20 juillet : « Nous sommes frappés par un scandale financier majeur. Aux juges de faire la lumière. Nous en tirerons les conséquences ensuite. »


M. Sylvain Berrios. Et M. Jouyet ?


M. Manuel Valls, Premier ministre. Mesdames, messieurs les députés, dans toutes les décisions, celles de la commission nationale des comptes de campagne, puis celles du Conseil constitutionnel et enfin celles du parquet de Paris et des juges d’instruction, il n’y a eu aucune intervention de l’exécutif. Aucune ! Depuis 2012, monsieur le président Jacob, il est révolu le temps des interventions et des pressions sur la justice à tous les niveaux. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et écologiste. – Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Même si vous avez du mal à l’admettre, les temps ont changé ! Le respect, le simple respect de l’indépendance de la justice, telle est notre règle constante. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)

Je constate une fois de plus que certains d’entre vous n’arrivent pas à respecter ce principe, comme le montre, par exemple, votre refus de la révision constitutionnelle relative au CSM. Pour preuve, un ancien président de la République ne disait-il pas récemment que dans la République, la justice ne fait pas la guerre au pouvoir politique ? Bien sûr ! Les responsables politiques, monsieur Jacob, ne sont pas au-dessus des lois, du droit et de l’État de droit.


M. Julien Aubert. Et M. Jouyet ?


M. Manuel Valls, Premier ministre. Pour ce qui nous concerne, nous n’avons qu’une seule ligne, celle-là même que vous devriez avoir : le respect du droit, de l’État de droit, l’indépendance de la justice et son respect. Quand on respecte l’État de droit, quand on respecte la justice, puisque l’ancien Premier ministre a annoncé qu’il la saisirait, on attend qu’elle travaille.

Monsieur Jacob, mesdames, messieurs de l’opposition, sachez que vous n’entraînerez pas le Président de la République,…


M. Sylvain Berrios. Il y est allé tout seul !


M. Julien Aubert. On n’a pas eu besoin de l’entraîner !


M. Manuel Valls, Premier ministre. …le Gouvernement et la majorité dans ces polémiques qui ne sont pas à la hauteur de l’attente des Français. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC, écologiste et RRDP.)





fin de l'extrait
______________/

2 - Echange avec Monsieur Henri Guaino :

Extrait copié/collé :

" Agissements politiques

M. le président. La parole est à M. Henri Guaino, pour le groupe de l’Union pour un mouvement populaire.

M. Henri Guaino. Monsieur le Premier ministre, écoutez-moi bien (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.: « J’ai perçu chez deux ou trois ce vilain frémissement des narines qui sentent les boules puantes et qui se régalent à l’idée de renifler les odeurs d’égout », ainsi parlait Georges Pompidou après l’affaire Markovic. À mon tour, j’ai perçu, comme beaucoup d’entre nous, ce vilain frémissement des narines la semaine dernière… et les odeurs d’égout venaient cette fois-ci de l’Élysée (Vives exclamations sur les bancs du groupe SRC.), plus précisément du bureau du secrétaire général.

Le secrétaire général de l’Élysée a failli à son devoir. Voilà le fait, simple et vrai.

Il a mis sur la place publique sa version d’une conversation privée. C’est une faute contre l’honneur.
Il a porté contre un ancien Premier ministre, dans le gouvernement duquel il a servi, des accusations d’une extrême gravité, qu’il ne peut étayer par la moindre preuve. C’est une faute contre le droit.

Il a menti, puis il s’est rétracté devant l’évidence du mensonge. C’est une faute contre la morale.

Il a mis le troisième convive, ami de l’un et de l’autre, dans une position intenable. C’est une faute contre l’amitié, et ce n’est pas la moindre.
Sous le couvert de la Présidence de la République, usant de l’autorité que lui confèrent ses hautes fonctions, il s’est livré à une manipulation politique, que dis-je à une machination, visant à discréditer non pas seulement un homme, ce qui est déjà impardonnable, mais l’opposition tout entière. C’est une faute contre la démocratie et la République. (« Oh là là ! » sur les bancs du groupe SRC.)

Compte tenu de la place qu’il occupe dans l’État, oui, le seul mot qui convienne est celui de forfaiture. Elle fait naître une terrible suspicion sur les agissements au sommet de l’État !

D’autres manipulations, d’autres machinations de ce genre ont-elles eu lieu dans les palais de la République depuis deux ans et demi ? (« Excellente question ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP. – Vives protestations sur de nombreux bancs du groupe SRC.)


M. le président. Monsieur Bays, retrouvez votre calme, je vous prie.

M. Henri Guaino. Que penser de ces connivences avec des journalistes qui violent à tout bout de champ le secret de l’instruction, qui passent leur vie à l’Élysée, au ministère de la justice et avec certains magistrats ? En conservant M. Jouyet au poste que celui-ci n’a pas eu la décence de quitter de lui-même, le Président de la République couvre de tels agissements ; il les approuve.

Monsieur le Premier ministre, c’est grave car la dignité de l’État est en jeu ! Allez-vous ne rien… (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
M. le président. La parole est à M. le Premier ministre.

M. Manuel Valls, Premier ministre. Monsieur Henri Guaino, j’ai du respect pour vous, et je sais que vous faites souvent référence à l’histoire, à vos racines gaullistes. Mais quand on connaît l’histoire, l’on constate que c’est votre inconscient qui a parlé. Ainsi, puisque vous avez évoqué l’affaire Markovic, je dois vous rappeler d’où sont venus les coups contre Georges Pompidou (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe SRC.) : ils provenaient de son propre camp. C’est pourquoi je suis très étonné que vous fassiez référence à cette affaire. (Mêmes mouvements.)

Monsieur Guaino, j’ai déjà eu l’occasion de vous le dire ici très directement : respectez et respectons tous la justice et les médias.


M. Henri Guaino. Mais M. Jouyet a menti !

M. Manuel Valls, Premier ministre. Ici, à l’Assemblée nationale, mettre en cause la justice, comme vous l’avez déjà fait il y a quelques mois, mettre en cause la décision du Conseil constitutionnel quand celui-ci a rejeté les comptes de campagne de votre candidat alors que nous devons évidemment accepter toutes ses décisions, et, aujourd’hui, vouloir faire ici la justice à la place de la justice, ce n’est pas votre rôle ! Que ce soit à propos des comptes de campagne ou de ce qu’on appelle « l’affaire Bygmalion », il me suffirait de rappeler toutes les déclarations de votre camp pour bien montrer que ce n’est pas cette majorité, ce gouvernement, qui intervient en cette affaire.

M. Claude Goasguen. Ce n’est pas vrai ! Il faut dire la vérité !

M. Manuel Valls, Premier ministre. Je le répète : laissons la justice travailler, respectons son indépendance ; et puisque vous faites souvent référence au gaullisme, à l’État de droit, aux valeurs de la République, à ce que défend notre pays, j’invite chacun à respecter l’État de droit. Ayons tous le sens de l’État et de la République, et n’oublions pas que la polémique dans laquelle vous voulez nous entraîner pour échapper à la vérité abaisse le débat politique et ne correspond pas à ce que les Français attendent de la représentation nationale ! (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et RRDP, ainsi que sur de nombreux bancs du groupe écologiste.)

fin de l'extrait 


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   REVUE DE PRESSE 






  1. ... de Fillon aux deux journalistes du Monde. Consultez notre dossier : L'affaire Jouyet-Fillon.

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Conseil des Ministres du Mercredi 12 novembre 2014

Éditorial de lucienne magalie pons

Le porte-parole du Gouvernement, Stéphane Le Foll,  lors de son point de presse à l'issu du Conseil des Ministres,  a  rendu compte des déclarations du Président de la République sur l'actualité et ensuite des  différents projets  présentés  ou points  évoqués par les ministres  en Conseil des ministres, avant de répondre aux questions des journalistes.

En ce qui concerne la première partie,  concernant  le compte rendu des projets présentés par les ministres et les points qu'ils ont évoqué en conseil , comme à son habitude le porte parole du Gouvernement  en les commentant   emploie des mots ou des termes excessifs pour les qualifier  , en voici  dans le désordre quelques exemples extraits de son "monologue":  c'est important".. un changement profond".., un point très important,  " le chiffre important ".. un engagement majeur ...."un signal très important"..."une présentation très importante"... "un sujet majeur"..."trois grands objectifs"...."très importants et très positifs",... un travail  très important" ... " à l'échelle de la planète " .." on à là des conditions objectives"  ... un sujet audacieux, ambitieux  pour le futur"...." un sujet  à l'échelle de la planète" ... etc ..

Sur cette première partie rappelons que de nombreux projets qu'il a présentés de façon tout ausi grandiose par le passé on depuis été votés,  et que leur mise en œuvre  sur le terrain économique et social ne donnent pas les résultats annoncés par l'exécutif à l'origine ... je crois qu'une certaine modestie au vu de ces résultats négatifs devraient s'imposer au porte-parole du Gouvernement,  ... mais non il est toujours suffisant et sûr à priori de la future efficacité des projets qu'il commente. 

Quand à la deuxième partie du point de presse, il élude le fond des questions des journalistes en déviant sur des questions liées , et si les journalistes insiste il se campe dans l'omerta " Non , je vois où vous voulez en venir ...mais vous ne m'entrainerez pas  dans ce débat,    ceci notamment sur l'affaire Jouyet-Fillon, et sur les autres questions  importantes , s'il ne veut pas donner des précisions,  il agit de même en détournant les questions et les faisant dévier sur d'autres sujets liés mais en marge.

Je vous laisse écouter son compte-rendu en point de presse,  suivi de ses réponses aux journalistes, il  est évident que nous sommes plus exactement informés  en lisant ou en écoutant les médias qu'en écoutant le porte-parole du Gouvernement,  et à la limite on se passerait de tels points de presse hebdomadaires  qui restent très opaques et se résument  en un exercice de communication destiné à gratifier de manière  "très importante" , les faits et les gestes,  les intentions et l' action de l'exécutif de façon très ostentatoire  dont nous constatons  ensuite aucun échos positif sur le terrain  économique et social.

source - site de l'Elysée :




Le ministre des finances et des comptes publics et le secrétaire d’État chargé du budget ont présenté le projet de loi de finances rectificative pour 2014.

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AUTRES SOURCES: 

autres  sites  officiel :

ndlr : le compte rendu ci -dessous moins concentré et renvoie par des liens à des chapîtres développés :

Compte rendu du conseil des ministres du 12 novembre 2014

www.gouvernement.fr/conseil-des-ministres/2014-11-12
Il y a 17 heures - Le ministre des finances et des comptes publics et le secrétaire d'État chargé du budget ont présenté le projet de loi de finances rectificative ...
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  1. Le projet de loi de finances rectificative pour 2014 présenté en Conseil des ministres | Le portail des ministères ...
    Ministère de l'économie, des finances et de l'industrie - Il y a 21 heures

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REVUE DE PRESSE  


  1. A la sortie du Conseil des ministres, lors du point presse hebdomadaire, à l'Assemblée.








11 novembre 2014

Affaire JOUYET-FILLON : Le témoignage d'Antoine Gosset -Grainville accable Jean-Pierre Jouyet

Éditorial de lucienne magalie pons


Selon  un article figurant sur le site de TF1 (que vous trouverez  en tête de notre revue de presse),  Antoine Gosset-Grainville, que le journaliste qualifie  de … "troisième homme du déjeuner du 24 juin ",  confirme la version de François Fillon, dans une interviewe accordée au Figaro qui devrait paraître demain , et dans l’article en question très documenté il est rappelé  que «  Déjà samedi, il avait démenti à l' AFP toute intervention de François Fillon auprès du secrétaire général de l'Elysée pour accélérer les procédures judiciaires visant Nicolas Sarkozy., …… "À aucun moment François Fillon n'a sollicité la moindre intervention de la part de Jean-Pierre Jouyet sur un quelconque sujet politique. Je suis formel", a-t-il redit au Figaro.

En   soulignant … …."Ce déjeuner n'a pas porté sur des questions de politique nationale, encore moins sur les affaires de l'UMP. Sans que je puisse me souvenir mot à mot de la  discussion d'un déjeuner qui s'est déroulé il y a cinq mois, je peux dire qu'aucun des propos tenus ne pouvait prêter à polémique. Compte tenu des fonctions de l'un et de l'autre, cela m'aurait frappé" ..... "Je trouve infamant que l'on ait pu prêter à François Fillon des propos aussi éloignés de sa conception de l'engagement politique";

Dans l’article on peut lire encore  qu’il  estime "important" d'apporter son "éclairage sur la manière dont les choses se sont passées".



Voila  un témoignage  très important  qui inscrit en faux   le   "démenti - redémenti"    de Jean-Pierre Jouyet ,  émanant d’un ancien collaborateur de  François Fillon, mais aussi de Jean-Pierre Jouyet, et ce  témoignage donne bien la dimension politique à ce scandale qui   n’est pas   cantonné dans la  seule sphère médiatique  puisque il   met en jeu la crédibilité de deux hommes politiques ,  face au   témoignage d'un    avocat ancien  haut fonctionnaire, et bien sûr deux journalistes qui détiennent un enregistrement et Le Monde qui a alimenté la chronique.....

Le dérapage politique  qui a conduit un secrétaire général de l’Elysée  en fonction à dire et à se contredire  en l’espace de trois/quatre jours,  doit interpeller  le pouvoir, une décision devrait être prise, elle ressort du Chef de l’Etat, démissionner Jean-Pierre Jouyet , ou au contraire   le maintenir dans  ses fonctions de  Secrétaire Général  de l’Elysée ,  est pour le Président de la République  une décision difficile à prendre, en effet qu’il le maintienne ou qu’il le démissionne , sa décision  n’effacera pas   le scandale  politique  qui  enserre  comme un piège  celui que ses amis qualifie « de grand serviteur de l’État »  très proche en amitié personnelle  de longue date avec le Président de la République.

Jusqu’à  présent  le   Premier ministre Manuel Valls  a préféré ne pas se prononcer sur ce scandale, il  a  détourné   la difficulté  en  s’en remettant    au respect de la justice et au "rassemblement" qui  doit   's'imposer' en ce jour du 96e anniversaire de l'Armistice de 1918. "Il y a des débats qui abaissent le niveau politique. J'en appelle au respect de la justice, des hommes et des Français", a-t-il dit sur France  2 .

La déclaration du Premier Ministre est à mon avis peu adaptée  à cette situation, certes il y a des débats qui abaissent le niveau politique,  mais dans l’Affaire JOUYET-FILLON  il ne s’agit pas d’un débat politique, il s’agit d’un dérapage politique qui atteint directement le fonctionnement de l’État.

REVUE DE PRESSE :

  

Affaire Jouyet : le 3e homme du déjeuner défend la version de Fillon

TF1 - ‎Il y a 47 minutes ‎
Jouyet, Fillon : il connaît très bien les deux protagonistes. Antoine Gosset-Grainville, qui a été l'ancien directeur adjoint de cabinet de François Fillon à Matignon, puis ancien bras droit de Jean-Pierre Jouyet à la Caisse des dépôts, livre une nouvelle fois ses ...
______________________/

source site de France 2 

             Affaire Jouyet-Fillon : comment le témoin du déjeuner...


"Ce déjeuner n'a pas porté sur des questions de..
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Affaire Jouyet-Fillon : qui est Antoine Gosset-Grainville, le 3e ...

metronews - ‎Il y a 1 heure ‎
POLITIQUE – Le troisième homme présent au déjeuner entre François Fillon et Jean-Pierre Jouyet en juin dernier, au cours duquel l'ex-Premier ministre aurait demandé à l'Elysée de "taper fort" sur Nicolas Sarkozy livre, ce mardi, sa version des faits au ...


François Bayrou.

Pour François Bayrou, la démission de Jean-Pierre Jouyet est « inéluctable » POST DE BLOG

Le président du MoDem, qui a soutenu François Hollande au second tour en 2012, estime que le secrétaire général de l'Elysée doit partir parce que « cette affaire est une atteinte au pacte de confiance ».



AFFAIRE JOUYET-FILLON : Comment expliquer qu'un scandale d'Etat a pour origine un déjeuner privé entre amis de bord politiques différents ?

Éditorial de lucienne magalie pons

Dans certains articles que vous lirez , si tant soit peu  cette embrouille scandaleuse vous intéresse, on peut lire que l'addition est salée tant pour le Gouvernement que pour le parti d'opposition UMP, relativement aux dégâts que cette affaire provoque dans les deux camps.

Par ailleurs puisque nous parlons d'addition des dommages politiques, il y a une autre addition dont on ne parle pas encore, celle qui a été réglée au restaurant Ledoyen lors de ce déjeuner privé,  suivi plus tard d'un enregistrement  ravageur , en effet  les médias indiquent que  le déjeuner  qui fait aujourd'hui scandale a eu lieu de 24 juin au Pavillon Ledoyen , tout près de l'Elysée , dans un salon privé, sans pour autant  revêtir un caractère secret, puisque les protagonistes sont entrés et sortis par la grande porte au vu de la clientèle.

Pourquoi ne pas s'étendre alors sur  cette addition , puisque le nombre des convives est tantôt indiqué comme 3 et que certains médias disent  4 , au vu de cette addition si elle était présentée on verrait  d'abord si il y avait 3 menus où 4 ,  et cette première  interrogation serait tranchée, ensuite et c'est là que la question peut intéresser l'opinion publique on  connaîtrait le montant  total de l'addition  et là une interrogation  surgirait pour corser  l' embrouille , qui a payé, qui a fait les frais de cette rencontre ?  , est-ce l'inviteur, ou encore en partage  par  les 3 convives , ou tout "bonnement"  le montant sans doute  "respectable" a- t-il été passé aux frais de'Etat ... auquel cas pour un déjeuné privé ce serait un abus à dénoncer... 

Rappelons que selon les dires officiels ils étaient 3 dans le salon privé, Jean-Pierre Jouyet, François Fillon et Antoine Gosset-Grainville, lequel selon les bruits répandus cette fois par les médias "a joué les intermédiaires pour monter ce déjeuner",  sans pouvoir pour autant nous dire si  l'idée  de cette rencontre revient à Jean-Pierre Jouyet ou à François Fillon, autrement qui est à l'origine de cette rencontre, qui  en a pris l'initiative ?, en effet selon" Le Monde " , Jean-Pierre Jouyet prétend que c'est François Fillon qui a chargé  Gosset-Grainville de monter la rencontre., mais  d'autres médias affirment que François Fillon Fillon  affirment le contraire et que "selon certaines sources" c'est  le secrétariat de Jean-Pierre Jouyet qui  a pris l'initiative de contacter le secrétariat d'Antoine Gosset-Grainville pour demander d'organiser un déjeuner à trois.

 Pour les rebondissements je vous propose de consulter dans la Revue de presse ci-dessous les différentes interprétations de cette embrouille d'Etat qui prend le chemin d'un hallali général dans les deux camps, une tête risque de tomber au Gouvernement  si Jean-Pierre Jouyet est convaincu de mensonges, et dans le parti UMP ? sans se  trop insister pour savoir  si François Fillon a  oui ou non poussé à la roue pour cette rencontre-déjeuner, ils  sont déjà depuis pas mal de temps à couteaux tirés les uns contre les autres pour prendre la tête de l'UMP, et se placer pour 2017, l'Affaire JOUYET-FILLON vient à point pour faire péter leur baraque.



REVUE DE PRESSE :

Ajoutée le 10 nov. 2014

Toute l'actualité sur http://www.bfmtv.com/ En meeting lundi soir à Caen, l'ex-président Nicolas Sarkozy a évoqué l'affaire Fillon-Jouyet. "Il nous fait tourner la page de ces feuilletons écœurants où l'on veut abattre un concurrent ou un adversaire en le salissant"; a-t-il déclaré. Il dénonce ainsi le "mensonge", "pratique quotidienne du pouvoir en place". "Je voudrais poser la question de savoir si le pouvoir n'a vraiment rien d'autre à faire que de donner le sentiment de vouloir instrumentaliser en permanence la justice", a ajouté Nicolas Sarkozy.



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Ajoutée le 10 nov. 2014

Jean-Jacques Bourdin reçoit Hervé Mariton, député UMP de la Drôme et candidat à la présidence de l’UMP.



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Ajoutée le 10 nov. 2014


Toute l'actualité sur http://www.bfmtv.com/ BFMTV a pu écouter, lundi matin dans nos locaux, les enregistrements de l'entretien accordé par le secrétaire général de l'Elysée Jean-Pierre Jouyet à deux journalistes du Monde. Enregistrement qui le place depuis ce week-end dans la tourmente. Selon notre journaliste, aucun doute possible, la voix de l'ami intime de François Hollande est parfaitement identifiable.

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Ajoutée le 10 nov. 2014

Toute l'actualité sur http://www.bfmtv.com/ Dans l'avion pour l'Algérie, Emmanuel Macron a commenté les accusations contre Jean-Pierre Jouyet, accusé d'avoir menti dans l'affaire de l'entretien avec François Fillon. "Je connais bien Jean-Pierre Jouyet, c'est un grand serviteur de l'Etat. Ce n'est pas quelqu'un qui ment", assure le ministre de l'Economie.

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Ajoutée le 10 nov. 2014


Toute l'actualité sur http://www.bfmtv.com/ Carlos Da Silva, l'un des porte-parole du Parti socialiste, a jugé lundi "inadmissible, scandaleux" de "vouloir mêler l'Élysée à une sordide guerre à l'UMP", au sujet de l'affaire Fillon-Jouyet. "Bien sûr que Jean-Pierre Jouyet ne doit pas démissionner", a affirmé le socialiste sur BFMTV. "La droite est prête à n'importe quoi" pour dissimuler "l'affrontement assez dur" au sein de l'UMP.

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L'addition salée de Fillon et Jouyet

L'Obs - ‎Il y a 37 minutes ‎
Simple scandale de plus ou affaire d'Etat ? Qu'importe : les dégâts de cette affaire ne peuvent que contribuer à éloigner encore davantage les citoyens de leurs représentants. François Fillon et Jean-Pierre Jouyet, le 12 novembre 2008.

10 novembre 2014

Florian Philippot ce matin sur sud Radio ( document sonore)

Éditorial de lucienne magalie pons

Au menu, principaux sujets : 

l'Affaire Jouyet-Fillon -  , l'indépendance de la justice,-  l'enregistrement  des journalistes .. - , quel parti  serait  avantagé ,  les français attendent de l'alternative politique sur le fond,-, le FN, les adhésions; - commémoration  FN  à Colombey-les-deux-Eglises,  le gaullisme,  situation politique française sous tutelle de l'Europe et de toute part ,...., le budget de la défense pour 2015, recul inadmissible de l'armée, fermeture des casernes  -, Sarkozy veut tout changer à l'UMP , ....., ce n'est pas ce qui  intéresse les Français, la question du changement de nom du FN , n'est pas d'actualité  -,  inauguration à Oran (Algérie)  aujourd'hui par Laurent Fabius et Emmanuel Macron d'une usine  Renault de fabrication automobiles.....



Florian Philippot - 10 novembre 2014 par hurraken75

Bruno Le Maire s'y verrait bien ..!(vidéo)

Éditorial de lucienne magalie pons

Inutile d'en rajouter les images parlent d'elle-mêmes ! 





Ajoutée le 9 nov. 2014

Ex-collaborateur de Dominique de Villepin, ex-ministre de Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire, 45 ans, fait sonner l'heure de son émancipation politique et défie l'ancien chef de l'Etat dans la course à l'élection pour la présidence de l'UMP du 29 novembre. Durée: 02:05

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...