Éditorial de lucienne magalie pons
Le Jeudi 5 et le Vendredi 6 septembre, lors du
Sommet du G2O à Saint-Pétersbourg (Russie)de 2 jours les « grands dirigeants du Monde » des pays les plus industrialisés, ont échangé
sur l’économie mondiale, selon l’ordre
du Jour officiel du G20, mais nous avons vu que la crise Syrienne a pris une
grande place dans leurs préoccupations au cours du diner de Jeudi soir entre les membres du sommet.
Les Etats-Unis
et la France notamment ont soutenu leur position pour une intervention armée
contre le Régime Syrien et tenté de convaincre leurs homologues
Dans leur communiqué
final, rien ne figure en conséquence la situation du Proche
- Orient et sur la Syrie, pour résumer les
médias rapportent que les membres du G20
estiment dans ce communiqué que les efforts nécessaires pour remettre
l'économie mondiale sur le chemin de la reprise ne sont pas encore
achevés.
Pour ce qui
concerne le dossier Syrien c’est par voix médiatique que nous suivons l’évolution politique de la crise syrienne à l'issue du G20 , et aussi en prenant connaissance des déclarations faites en conférence de presse et interviewes par
certains dirigeants.
Nous avons
ainsi appris par cette voie deux
informations très importantes, à savoir que
le Président Vladimir Poutine a indiqué
Vendredi 6 septembre lors de la
conférence de Presse à l’issue du
G20, que Russie va apporter son aide à
la Syrie en cas de frappes militaire, et que le Président François Hollande attendra la décision du Congrès américain, puis
le rapport des Inspecteurs de l’Onu et que c’est au de ces éléments qu’il aura
alors à prendre des d décisions.
Vous
trouverez en revue de presse les articles commentés qui relatent ce que nous pouvons considérer
comme un renversement de situation , en
tout cas un changement de cap - presque un revirement - dans les intentions actuelles de la France, et pour ce qui concerne la
position de la Russie une précision nette sur les responsabilités que la Russie
prendra pour aider la Syrie en cas de frappe militaires.
Avant de
passer en Revue de Presse voici en vidéo
un extrait de la déclaration du Président François Hollande qui se trouve
donc dans une position d’attente des décisions du Congrès américain :
Script :
François Hollande : .... Disons que la France n'accepterait pas que ce massacre chimique puisse rester impuni, et donc nous allons maintenant attendre la décision du Congrès , du Sénat américain, de la Chambre des Représentants, puis le rapport des Inspecteurs, puis et au vu de ces élément , j'aurais à prendre là encore des décisions , et puis j'en informerai le pays, et ce je peux ici vous confirmer c'est que cette position est comprise notamment par nos amis européens .
fin du script
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Nous attendons de rassembler les nouvelles réactions de l'opposition de droite et du centre qui demandaient depuis Mercredi un débat suivi d'un vote au Sénat et à l'Assemblée Nationale, en refusant que la France se montre dépendante du vote du Congrès américain. Nous y reviendrons dans un autre éditorial
REVUE DE PRESSE :
Source
- La Voix de la Russie – 6 septembre
2013 :
Syrie
: la France attendra le rapport des inspecteurs de l'ONU (Hollande)
Obama
s’adressera aux Américains le 10 septembre
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Autres
sources (articles liés) :
Le Monde - il y a 3 heures
Hormis l'Arabie saoudite et la
Turquie, les émergents oscillent entre la méfiance et une franche hostilité
vis-à-vis des velléités d'intervention.
Cameroonvoice - il y a 1 heure
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