11 novembre 2012

11 Novembre 2012

Éditorial de lucienne magalie pons



En ce Dimanche 11 Novembre 2012, environ 800 commémorations se dérouleront à travers toute la France en hommage  à tous les morts  pour la France



La France célèbre en ce jour le 11 Novembre,  commémoré traditionnellement le 11 Novembre  comme jour du souvenir  depuis une loi du 24 0ctobre 1922  en  souvenir de  la fin de la Première Guerre mondiale, elle sera à compter de ce jour une journée d’hommage à tous les morts  pour la France, en application d’une loi votée  par le Parlement en février dernier, sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy.

En ce Dimanche 11 Novembre 2012, environ 800 commémorations se dérouleront à travers toute la France en hommage  à tous les morts  pour la France


En ce jour particulier nombreux sont ceux qui attendaient ce geste de l’Etat Français.


ooOoo


L’armistice, signé le 11 novembre 1918, à 5 h 15 a  marqué  la fin des combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918), la victoire des Alliés et la défaite totale de l'Allemagne.

.
Pour la signature, les  généraux  alliés et allemands  notamment le général Weygand, le maréchal Foch , et les amiraux britanniques Rosslyn Wemyss et G. Hope., le ministre d’État allemand Matthias Erzberger, le général major Detlof von Winterfeldt  de l’armée impériale, ,  le comte Alfred von Oberndorff des Affaires étrangères et le capitaine de vaisseau Ernst Vanselow de la Marine impérial, .se sont réunis dans un wagon-restaurant aménagé,  provenant du train d'État-Major du maréchal Foch, dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne.
  
 Le cessez-le-feu fût   effectif à onze heures,  entraînant  dans l'ensemble de la France des volées de cloches et des sonneries de clairons annonçant la fin  de la Première Guerre Mondiale  qui a fait plus de 18 millions de morts et des millions d'invalides ou de mutilés. 


 Plus tard à Versailles, ils signeront le 28 Juin 1919  le traité de Versailles, traité de paix entre l'Allemagne et les Alliés,  dans la galerie des Glaces du château de Versailles  ce traité de paix sera promulgué le 10 janvier 1920. Il annonça la création d'une Société des Nations et détermina les sanctions prises à l'encontre de l'Allemagne et de ses alliés.


.En 1920 apparaît la volonté  de rendre hommage aux soldats morts pour la France mais non identifiés

Suite à une loi votée à l'unanimité par le Parlement, la dépouille mortelle d'un soldat inconnu  parmi plusieurs autres, choisi dans la citadelle de Verdun, est placée, le 11 novembre 1920, dans une chapelle ardente à l'Arc de Triomphe.

Le 28 janvier 1921 le soldat  est inhumé sous l'Arc de Triomphe dans la tombe du Soldat inconnu.

Trois ans plus tard, le 11 novembre 1923,  est allumée, par André Maginot, ministre de la Guerre, la flamme qui ne s'éteint jamais, donnant au tombeau du Soldat inconnu une forte portée symbolique et politique.

Le 11 novembre est un jour férié en France  depuis la loi du 24 octobre 1922 c'est  aussi une journée de commémoration annuelle observée en Europe et dans les pays du Commonwealth.

Aux États-Unis, sa commémoration a été étendue à tous les vétérans de guerre.



 



Algérie 1er Novembre 1954 - la Toussaint Rouge : Devoir de mémoire

Éditorial de lucienne magalie pons


Guy Monnerot et son épouse


 Algérie 1er Novembre 1954   « La Toussaint Rouge » : Devoir de Mémoire


Le 1er   Novembre 1954  a été marqué en Algérie par l’assassinat de 10 personnes de différentes confessions religieuses par  quelques  rebelles indépendantistes, c’est la Toussaint Rouge   qui a été le coup d’envoi  de ce que l’on nomme la Guerre d’Algérie qui en fait était la révolution  terroriste d’une partie de la population de ce territoire français.

 Les  victimes, assassinées par les  rebelles indépendantistes  la veille  de la Toussaint de 1954 ,  sont  Georges-Samuel Azoulay, chauffeur de taxi de confession juive,  Laurent François, libéré depuis 6 mois du service militaire,  l'agent forestier François Braun, l'agent de police Haroun Ahmed Ben Amar et quatre appelés : le soldat Pierre Audat et le brigadier-chef Eugène Cochet, tués en pleine nuit dans le poste de Batna, dans le massif des Aurès, André Marquet et le lieutenant Darneaud.

Puis le lendemain , le jour de la Toussaint  un autocar est  arrêté  par des indépendantistes  armés   en embuscade  dans les gorges de Tighanimine, les voyageurs sont extraits du véhicule, parmi eux un jeune instituteur Guy Monnerot et son épouse Jeanine, et  le Caïd Ben Hadj Sadok qui est un élite musulman  francophile,  sont particulièrement visés par les rafales de mitraillette, Guy Monnerot  et le Caïd Ben Hadj Sadok succombe sur le champ, Jeanine Monnerot survivra à ses blessures.   

L'instituteur Guy Monnerot   était venu depuis peu  de la métropole avec son épouse pour instruire les enfants du bled, comme cela se faisait de tout temps en Algérie où le corps enseignant comptait en majorité des instituteurs et des institutrices « français de France » autrement dit né en France.

Dans les attentats de la  « Toussaint Rouge » on compte  parmi les première  victimes tués par les indépendantistes,   un civil  français de confession juive, des civils, des militaires français, un instituteur, et un caïd  francophile, plus tard viendront s’ajouter  à ces premières victimes , des victimes civiles    émanant de toutes les professions,  classes  sociales et communautés  religieuses  visées et exécutées  pour leur fidélité à la France,  lors d’ attentats à la bombe ou d’embuscades dans les campagnes, et des victimes militaires tués dans les combats face à l’armée de libération algérienne  mais encore sauvagement  abattus , égorges et émasculés dans des embuscades  avec une sauvagerie indignes de ceux qui se prétendaient des combattants réguliers.



Ces  premiers attentats  de la Toussaint Rouge douloureusement ressentis en Algérie,  n’ont presque pas eu de retentissement  à l’époque  en France dans l’opinion française  et dans la presse métropolitaine, ils n’en marquent pas moins  le début de  huit années sanglantes qui ont marqué  la Guerre d’Algérie, dont des milliers de  civils ont été les innocentes  victimes, en plus des victimes des  forces armées  régulières françaises, et des victimes  de l’armée de libération algérienne.


Toutefois,  François Mitterrand  Ministre de l’Intérieur à l’époque  promettait  le 12 novembre 1954 de tout mettre en œuvre pour arrêter les « hors la loi » en affirmant  «Des Flandres au Congo, il y a la loi, une seule nation, un seul Parlement. C'est la Constitution et c'est notre volonté».

Les mouvements Gaullistes en France et en Algérie  ont profité  de  la Guerre d’Algérie pour  favoriser le retour au Pouvoir du Général de Gaulle en lequel il plaçaient leur confiance pour garder l’Algérie au sein de la Patrie Française dont elle faisait partie.


Le Directeur de l’Echo d’Alger ,  Alain de  Sérigny,   publiait   le 10 Mai 1958 un éditorial où il  appelait  de Gaulle à « parler vite  »  pour sauver l'Algérie française que les partis traditionnels  et le Gouvernement en place s’apprêtaient,  selon lui,  à lâcher  : «Je vous en conjure, parlez, parlez vite, mon général...»

La suite de l’Histoire nous la connaissons, le Général de Gaulle  excellent acteur politique et très expert dans l’art de manipuler les foules par l’intermédiaire des micros et des caméras,  a parlé du haut du balcon de l’immeuble du Gouvernement Général de l’Algérie , « Je vous ai compris » at-il dit  notamment en levant les bras victorieusement,   aux peuples venus de toutes les régions d’Algérie toutes origines confondues  qui s’étaient massées par milliers sur le parvis de l’immeuble , autour du monuments aux morts et au-delà sur le Plateau des Glière autour  de la statue de Jeanne d’Arc et dans les rues adjacentes, et qui tous l’applaudissaient à tout rompre aux cris de l’Algérie Française en agitant le drapeau bleu, blanc, rouge de la France.

Je n’ai pas l’intention de refaire ici l’histoire de la révolution Algérienne qui s’est terminée  par l’Indépendance de l’Algérie après huit ans de combats, sauf à rappeler que nos militaires français et les harkis n’ont jamais été battus sur le terrain, mais que l’armée révolutionnaire algérienne et les politiques algériens indépendantiste ne doivent leur indépendance et leurs accessions aux commande de ce pays  qu’au Général de Gaulle qui en soufflant le vent de l’histoire pour prendre le pouvoir en France en promettant l’Algérie Française, une fois installé aux commandes a viré  peu à peu sa cuti pour négocier dans les coulisses internationales avec les rebelles pour leur offrir au final l’Algérie  sur un plateau dégoulinant des taches de ses trahisons.

Je terminerai cette courte évocation pour célébrer la mémoire du jeune Instituteur Guy Monnerot   et du Caïd Ben Hadj Sadok, tous deux  représentants pacifiques  des valeurs Françaises, et à travers eux toutes les victimes  de la Toussaint Rouges de 1954, sans oublier les milliers de victimes civiles et militaires français et harkis  qui ont  été sacrifiés sur l’autel de l’Indépendance Algérienne.





 

GRECE : Le Ministre Allemand des Finances a le culot de renvoyer la Grèce à ses responsabilités

Éditorial de lucienne magalie pons



Les dirigeants des pays de l’UE nous bassinent trop souvent en affichant des principes de solidarité qui  dans les faits n’existent pas.


Les dirigeants allemands particulièrement   déversent  avec arrogance  tour à tour le chaud et le froid sur la Crise grecque, mais au fond c’est le froid et la rigidité  allemande qui transpercent dans leurs propos.


Bien sûr Vendredi, deux jours après l'adoption par le Parlement à Athènes d'un nouveau plan d'austérité exigé par la  Troïka des créanciers, pour le versement d'une autre tranche d'aide internationale à la Grèce., Berlin  a salué  le courage politique du gouvernement grec, par la voix du porte parole du gouvernement allemand, Steffen Seibert, qui a déclaré "Le gouvernement grec a fait un pas en avant impressionnant" …… "Il a approuvé un ensemble très complet de mesures, dont de nombreuses réformes structurelles importantes. Cela va aider la Grèce qui est engagée sur le chemin vers un retour à la compétitivité et à la confiance." "Le chemin à parcourir est encore long ... ,  mais le gouvernement grec fait preuve de détermination et de courage", a-t-il  notamment ajouté.


En fait,  le courage politique  et la détermination du Gouvernement grec salué par l’Allemagne n’  a consisté principalement qu’ à se plier aux exigences des créanciers de la Troïka et à faire voter  par son Parlement  de nouvelles mesures d’austérité  et des réformes structurelles impopulaires , dans un climat de grève générale, de manifestations et d’émeutes violentes, mais aux yeux de l’Allemagne c’est un pas en avant impressionnant qui va aider la Grèce  vers un retour à la compétitivité et à la confiance.
Pas un mot   de compassion pour la population grecque qui supporte déjà  le poids  des plans de rigueur et de rigueur  successifs et qui va encore plus  saigner sang et eaux sous le joug  et sur un «  chemin  à parcourir encore long »  pour souffrir  ces nouvelles mesures d’austérité et de réforme structurelles.


Dimanche l’Allemagne a encore remis   ça pour accentuer sa pression sur une Grèce quasiment en faillite,  cette fois  c’est avec une  arrogance  cruelle que  le Ministre des  finances  allemand  William Shaüble  renvoit  la Grèce à ses responsabilités  en s’en lavant les mains :

Interrogé sur le calendrier d'un éventuel feu vert européen pour le  versement à la Grèce d'une tranche cruciale de prêts de 31,2 milliards d'euros promise à la Grèce mais  gelée depuis juin, M. Schäuble a répondu: "cette question, vous devriez la poser à mes collègues grecs et pas au ministre allemand des Finances"…,"Personne au sein de la zone euro n'est opposé à l'idée d'accepter le paiement de la prochaine tranche d'aide - mais uniquement quand les conditions seront remplies. Et ça, c'est au gouvernement à Athènes de s'en charger" ….


  "Nous ne sommes pas responsables de l'urgence  Toutes les parties connaissaient les échéances depuis longtemps", a-t-il encore  souligné (au sujet des 3,1 milliards d'euros que la Grèce doit rembourser le 16 novembre) …., "Nous tous, au sein de la zone euro et du FMI voulons aider la Grèce, mais nous ne nous laisserons pas mettre sous pression", a-t-il encore  affirmé.


Et pour enfoncer le clou,  dans une interviewe publiée dimanche par le quotidien Welt am Sonntag ce même William  Schaüble a jugé  peu probable que la "troïka" des bailleurs de fonds internationaux de la Grèce (FMI, UE et Bce) remette un rapport complet à temps d'ici la réunion des ministres des Finances de la zone (Eurogroupe)  euro prévue  lundi à Bruxelles.



S’autorisant à parler au nom de l’Eurogroupe, du FMI et de « toutes les parties concernées », comme s’il en était le porte parole,  Wolgang Schäuble  a répété :


"Au sein de l'Eurogroupe et du FMI, nous voulons aider la Grèce, mais nous ne nous laisserons pas mettre sous pression", …..,  "Nous ne sommes pas responsables de cette pression du temps, toutes les parties concernées ont conscience depuis longtemps de cette échéance"."Nul dans la zone euro n'a de problème avec l'idée d'autoriser le paiement de la future tranche, mais seulement lorsque les conditions auront été remplies, et cela dépend du gouvernement d'Athènes."


Quand à nous, notre opinion est que « toutes les parties concernées »  ne sont pas peut-être pas  responsables, ce qui reste à démontrer,  mais qu’elles  sont coupables d’un défaut de solidarité envers la Grèce.


Pendant des années les dirigeants européens  nombrilistes ont laissé la Grèce s’enfoncer dans ses dettes colossales en en tirant profit, et ce n’est qu’au moment ou la crise de l’euro a ébranlée l’UE  qu’ils ont commencés à s’employer à  envisager  des solutions  pour la Grèce par le biais d’une Troïka impitoyable dans ses exigences.


Aujourd’hui, alors que   les caisses de  la Grèce seront bientôt vides ainsi que l’a annoncé Vendredi  le  secrétaire  grec d'Etat aux Finances, Christos Staikouras, en expliquant que la situation des réserves de liquidités de l'Etat est limite et que cela crée les conditions d'une asphyxie de l'économie", nous aurions préféré que  le Ministre des Finances allemand fasse  preuve de moins de  cynisme  technique dans ses déclarations, qu’il fasse preuve de solidarité, qu’il accorde ne serait-ce qu’un peu de confiance à la Grèce, qu’il  déclare  que le rapport de la troïka  même s’il est incomplet (à qui la faute ? ) sera tout de même examinée avec attention en faveur de la Grèce   

….
Mais non rien  de tout cela  dans ses déclarations  au contraire ce qu’il a dit  laisse  penser  que l’  Eurogroup sera  prêt dès Lundi à faire tomber sur le cou de la Grèce le couperet d’un échafaud déjà prêt à fonctionner pour faire rouler sa tête aux pieds de la Troïka.


Dans ce contexte, Athènes  qui espérait,   après avoir satisfait aux exigences de la Troïka en sacrifiant une nouvelle fois  son peuple, le déblocage d’une nouvelle tranche d’aide  financière internationale pour faire face à ses échéances, Athènes renvoyée  à ses responsabilité par l’arrogant Ministre des Finances allemand , Athènes abandonnée  de tous ses soi-disant partenaires européens,  Athènes sans attendre la sentence de l’Eurogroup  se voit dans l'obligation urgente  de refinancer  par ses propres moyens cinq milliards d'euros de bons du Trésor arrivant à échéance le 16 novembre et qu'elle ne pourra rembourser à temps.
À court de liquidités pour rembourser les bons à la date d'échéance,  l'agence de gestion de la dette publique grecque, a annoncé une adjudication d'un milliard d'euros de bons du Trésor à trois mois et de 2,125 milliards d'euros de bons à quatre semaines le 13 novembre dans le cadre du refinancement.


Un nouveau coup dur pour la Grèce qui pourrait encore en subir un autre encore plus dur  Lundi si l’Eurogroup lui  impose encore  d’autres délais, d’autres sacrifices,   et ne permet pas le déblocage  de la tranche d’aide  internationale qui lui a été promise et maintes fois reportée au bon plaisir des créanciers de  la Troïka.



Revue de Presse :

Les Échos ‎- il y a 1 heure
La question de savoir si et quand Athènes recevra la prochaine tranche d'aide dépend entièrement du gouvernement grec, a estimé le ministre allemand des ...

Articles liés :

Verser immédiatement le crédit à la Grèce

Le Parlement grec a adopté mercredi soir un programme d'austérité qui devrait permettre d'épargner 13,5 milliards d'euros. Cet accord était jugé nécessaire pour le versement de la prochaine tranche de crédit au pays en crise. Les créanciers continuent toutefois de retarder l'échéance, écrit le journal en ligne de centre-gauche To Vima, qui appelle la Grèce à ne tolérer en aucun cas cette attitude : "Samaras doit réagir et exiger le versement immédiat de cette tranche de crédit. Les politiciens grecs et la société grecque ont fait d'énormes sacrifices pour être maintenant humiliés ainsi. Si les créanciers veulent blesser les sentiments du peuple grec, il n'y a pas d'autre voie qu'un départ négocié de la zone euro. Cela signifierait dans le même temps l'effondrement de cette dernière. Les Européens ne peuvent plus jouer davantage avec le peuple grec." (08.11.2012)
» article intégral (lien externe, grec)

TVXS - Grèce | jeudi, 8. novembre 2012

La Grèce, une république bananière

Le Parlement grec a adopté mercredi à une très courte majorité un nouveau programme d'austérité qui prévoit des coupes de plusieurs milliards ainsi que des hausses d'impôts. Dans la soirée, des dizaines de milliers de personnes s'étaient rassemblées pour protester contre les nouvelles mesures. Pour le portail en ligne TVXS, ce nouveau mémorandum est le dernier acte du drame grec : » suite
Berlingske - Danemark | jeudi, 8. novembre 2012

Pour Svend E. Hougaard Jensen, Keynes sauverait la Grèce

La direction politique européenne devrait enfin se mettre à écouter les leçons de l'économiste John Maynard Keynes pour essayer de sauver l'euro, estime le professeur d'économie Svend E. Hougaard Jensen dans le quotidien libéral Berlingske : » suite
 




 

10 novembre 2012

19 Mars : Les Sénateurs du Groupe UMP viennent de saisir le Conseil Constitutionnel sur la loi votée par le Parlement

Éditorial de lucienne magalie pons




Le Sénat a adopté jeudi la proposition de loi socialiste, très controversée, qui consacre le 19 mars 1962 - jour du cessez-le-feu en Algérie - comme journée nationale du souvenir «des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie». Le texte a été approuvé par 181 voix contre 155. La gauche a voté pour, le centre et la droite contre. La proposition de loi est définitivement adoptée par le Parlement.

Nous nous efforçons  habituellement dans nos différents éditoriaux  d’informer  nos lecteurs en toute neutralité d’opinion, sauf en certaines circonstances comme aujourd’hui,  où nous estimons devoir approuver ouvertement la prise de position  des Sénateurs du Groupe UMP qui viennent de saisir le Conseil Constitutionnel sur la loi relative à la reconnaissance du 19 mars comme journée de souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc.

Ci-dessous nous reproduisons en citant nos sources :

 1° )  le communiqué figurant sur le Site UMP – Groupe des Sénateurs UMP du Sénat

- et au dessous

 ) Un Extrait de la Séance du Sénat  du 8 novembre 2012 (compte rendu intégral des débats - version provisoire de l’intervention de  Mademoiselle Sophie Joissains , Députée UMP.

 Il va de soi que nous approuvons aussi ouvertement l’intervention de Mlle.  Sophie Joissains et que nous désapprouvons ses contradicteurs

 _________________________________________________________________________________________________

 1°)  Source  - site  UMP – Goupe des Sénateurs UMP du Sénat

9 novembre 2012

Reconnaissance du 19 mars : Les sénateurs UMP ont saisi le Conseil Constitutionnel

Les sénateurs du groupe UMP ont, comme ils l’ont annoncé, saisi le Conseil Constitutionnel sur la loi relative à la reconnaissance du 19 mars comme journée nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc.


Ils considèrent que les articles 3, 24 et 45 de la Constitution ainsi que l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, ont été violés à l’occasion de la discussion parlementaire de cette loi.


Comme ils en ont pris l’habitude, les socialistes ont voulu passer en force. Voulant s’exonérer d’une lecture à l’Assemblée nationale, ils ont exhumé un texte vieux de dix ans, empêchant les députés élus en 2012 de s’exprimer. Il est vrai que le seul objectif était de permettre au Président de la République d’arriver, début décembre, en Algérie avec ce texte sous le bras
.

La gauche nous a fait adopter le texte posthume d’une assemblée fantôme, puisque l’Assemblée nationale a été renouvelée trois fois depuis 2002. Cette méthode crée un brouillage démocratique qui affaiblit la cohérence des institutions. Nous considérons que la procédure choisie par la majorité et le Gouvernement entrave l’exercice par le peuple de la souveraineté nationale et qu’elle viole les principes de la navette parlementaire. Il reviendra au Conseil Constitutionnel de se prononcer sur la validité de cette méthode.

_________________________________________________________________________________________________

2°) source : Site du Sénat

Extrait de la Séance du 8 novembre 2012 (compte rendu intégral des débats -  version provisoire)

…………….
M. le président. La parole est à Mlle Sophie Joissains, sur l'article.
M. Jean-Louis Carrère. Ha ! Ha !
Mlle Sophie Joissains. La date du 19 mars est celle du cessez-le-feu décidé en 1962 lors des entretiens entre le gouvernement français et des représentants du Front de libération nationale algérien, à Évian.
M. David Assouline. Elle l'a déjà dit ce matin !
M. Jean-Louis Carrère. Essayez d'improviser !
Mlle Sophie Joissains. Ces entretiens, s'ils ont décidé le cessez-le-feu de la part de l'armée française, n'ont jamais eu de valeur ni d'application bilatérale.
Les conclusions des entretiens qui se sont déroulés à Évian portent le nom de « déclarations », sans valeur juridique sur le plan international. De plus, elles ont immédiatement été rejetées par les instances dirigeantes de la rébellion, qui ont désavoué les représentants qu'elles avaient délégués à Évian.
La date du 19 mars correspond donc non pas à un accord international, mais à un cessez-le-feu de l'armée française sur le sol algérien, c'est-à-dire à un cessez-le-feu unilatéral.
Traditionnellement, une telle décision s'apparente à un armistice, conduisant à une interruption des combats entre les deux parties et à la mise en œuvre de procédures, destinées notamment à préserver les populations civiles. En l'occurrence, la décision ne fut mise en œuvre que par le commandement français, qui l'imposa à ses troupes, avec la rigueur d'une organisation militaire conventionnelle. L'armée française reçut l'ordre de s'enfermer dans ses cantonnements et de n'intervenir qu'en cas de légitime défense.
Les instances dirigeantes de la rébellion réfugiées à Tripoli n'ayant pas validé le cessez-le-feu, les combattants de la force de libération nationale ont continué, peut-être même commencé le massacre des civils et de ceux que la France avait désarmés.
À partir du 19 mars et jusqu'à l'exode total des Européens d'Algérie, il y a eu plus de victimes d'origine européenne ou algérienne que durant toute la guerre.
Assassinats et enlèvements ont alors connu une virulence accrue : 3 000 pieds-noirs ont été enlevés et jamais retrouvés. Pour la période antérieure, entre 1954 et 1962, on recense 2 788 pieds-noirs tués et 875 disparus, ce qui, en proportion, fut bien moindre.
C'est dire le déchaînement de violence qui a suivi cette date du 19 mars 1962. Nombreux sont les harkis – entre 60 000 et 65 000, selon les chiffres officiels, mais certains vont jusqu'à parler de 150 000 –, désarmés par l'armée française, comme le cessez-le-feu l'exigeait, qui ont péri de façon atroce.
La direction de la mémoire du patrimoine et des archives du ministère de la défense et des anciens combattants a recensé 386 militaires français qui ont trouvé la mort après le 19 mars 1962.
Quelle belle date à commémorer… Qui peut raisonnablement penser qu'elle correspond à une paix retrouvée pour toutes les familles de ces victimes ?
Le cynisme et l'horreur…
M. Jean-Louis Carrère. Peut-être pourriez-vous trouver des termes encore plus forts ?
Mlle Sophie Joissains. … que représenterait l'adoption autoritaire de cette date comme journée de commémoration et d'hommage sont terrifiants pour nombre des familles de ceux qui ont vécu ces conflits.
La société française, plus encore à l'heure de la crise et des replis identitaires, a besoin d'unité, de cohésion et de fraternité.
Ne réactualisons pas des conflits qui n'ont plus lieu d'être. Encourageons les liens à se reformer. Apaisons ce que nous pouvons apaiser. C'est notre devoir et cela passe avant toute autre considération.
M. Jean-Louis Carrère. Oh la la !
Mlle Sophie Joissains. Aucun Président de la République n'a voulu commémorer cette date, pas même François Mitterrand.
M. Jean-Louis Carrère. Ce nom ne vous écorche pas la bouche ?
Mlle Sophie Joissains. Absolument pas, et surtout pas sur ce sujet !
M. Jean-Louis Carrère. C'est récent !
Mlle Sophie Joissains. Sur la problématique du conflit en Algérie, le peuple français manifeste des opinions divergentes et parfois violentes. Les situations sont extrêmement diverses. Les enfants de harkis continuent de porter cette identité avec douleur et un profond sentiment d'injustice envers la France, et ce cinquante ans après les événements.
Les pieds-noirs se sentent toujours déracinés et éprouvent encore durement le ressenti des populations déplacées. Nombre de jeunes Français nés de parents immigrés algériens se sentent décalés, sont à la recherche d'une identité forte et perpétuent la mémoire du conflit algérien comme une victoire personnelle. Cela existe aussi.
Mes chers collègues, nous avons voté à l'unanimité la loi du 7 mars 2012, déposée à l'origine par notre collègue Raymond Couderc. Ce texte sanctionne pénalement l'injure envers les supplétifs de l'armée française, tant il est vrai que les harkis continuent d'être fréquemment insultés, et avec quelle brutalité, pour s'être battus aux côtés de l'armée française.
Doit-on, après être allé dans le sens de l'apaisement, réveiller des conflits et des sentiments qui n'ont plus lieu d'être, qui sont dangereux et malsains pour la cohésion nationale ?
M. Jean-Louis Carrère. Ha ! Ha !
Mlle Sophie Joissains. Les uns sentiront peut-être monter en eux des bouffées triomphales et trouveront dans le vote de cette proposition de loi une justification supplémentaire à leur mépris de leurs frères harkis. Ces derniers raviveront inévitablement en eux un sentiment de révolte, d'injustice, d'abandon et de rejet de la part de leurs deux patries d'origine.
Quant aux rapatriés d'origine européenne, ils auront de nouveau le sentiment d'être incompris, bafoués, meurtris dans leur chair.
Nous devons rassembler nos concitoyens et ne pouvons jouer avec le feu. J'appelle de tous mes vœux un pacte d'amitié avec l'Algérie. Mais le choix de la date du 19 mars sèmera le trouble et la révolte dans le cœur de nos concitoyens.
Le 19 mars 1962, il n'y eut point d'armistice. Ce fut au contraire le point de départ d'une guerre civile meurtrière. Pourquoi le commémorer ?
M. Jean-Louis Carrère. Son temps de parole est fini, monsieur le président !
Mlle Sophie Joissains. Ceux qui nous avaient aidés ont péri par dizaines de milliers parce que l'État français les avait désarmés en donnant l'ordre de les laisser sur le territoire algérien.
M. Jean-Louis Carrère. C'est fini, monsieur le président !
Mlle Sophie Joissains. Je vois que ce que je dis vous fait sourire, monsieur Carrère !
M. Jean-Louis Carrère. Rappelez-vous que vous avez interrompu M. Fabius cinquante fois quand il lisait la déclaration de politique générale !
Mlle Sophie Joissains. Savez-vous pourquoi ? Parce que M. Fabius fut un acteur d'un drame sanitaire et que je n'ai pas accepté de le voir à cette place ! (Vives protestations sur les travées du groupe socialiste et du groupe CRC.)
M. Alain Néri, rapporteur. C'est honteux !
M. Guy Fischer. Voilà le vrai visage de la droite !
Mlle Sophie Joissains. Les pieds-noirs, qui, pour beaucoup, ne connaissaient que la terre d'Algérie où ils étaient nés ont été traqués et tués à partir de cette date. Ce n'étaient pas tous de riches propriétaires terriens. Pensez donc à la mère d'Albert Camus !
Mme Annie David, présidente de la commission des affaires sociales. Monsieur le président, l'oratrice dépasse son temps de parole, comme elle l'a déjà fait précédemment !
M. Alain Néri, rapporteur. C'est inacceptable, surtout qu'elle est hors sujet !
Mme Annie David, présidente de la commission des affaires sociales. Et irrespectueuse !
Mlle Sophie Joissains. Que l'Algérie célèbre son indépendance ce jour-là, je peux le comprendre.
M. le président. Merci de conclure, ma chère collègue.
Mlle Sophie Joissains. Mais cette date ne correspond pas à un armistice ni à la fin de la guerre. Encore une fois, les accords d'Évian n'ont pris fin qu'après l'exode et les tueries.
Que l'Algérie commémore la mémoire de ses victimes et célèbre sa victoire à cette date paraît logique. Mais la France n'est pas l'Algérie. À cette date, des Français, musulmans comme non-musulmans, se sont fait massacrer et il n'y a pas de quoi nous réjouir ni honorer les déclarations du 19 mars : car c'est aussi de cela qu'il s'agit ! (Mme Joëlle Garriaud-Maylam et M. Christian Cointat applaudissent.)
M. Jean-Jacques Mirassou. Rappel au règlement !
M. le président. La parole est à M. Jean-Jacques Mirassou, pour un rappel au règlement.
M. Jean-Jacques Mirassou. Monsieur le président, si Mme Joissains ne retire pas immédiatement ses propos, nous serons obligés de quitter la séance. Ce qu'elle vient de faire, en portant un tel jugement de valeur à l'égard d'un ancien Premier ministre, est inadmissible !
M. David Assouline. C'est honteux, en effet !
M. Jean-Jacques Mirassou. J'imagine, madame, que vos propos ont dépassé largement votre pensée. Si vous ne les retirez pas, pour ce qui nous concerne, le débat s'arrête là.
M. David Assouline. Que dit le groupe UMP ?
Mlle Sophie Joissains. Je vous ai dit ce que, moi, j'en pensais.
M. David Assouline. Il y a eu une décision de justice !
M. Jean-Jacques Mirassou. Vos propos engagent votre groupe. J'attends une réaction du président du groupe UMP ou de celui qui le remplace.
M. David Assouline. L'honneur d'un homme est en jeu !
M. le président. Monsieur Assouline, seul M. Mirassou a la parole.
M. Jean-Jacques Mirassou. Je demande donc à celui ou à celle qui représente officiellement le groupe UMP de dire ce qu'il pense des propos de Mme Joissains. Ceux-ci engagent-ils le groupe auquel elle appartient ?
M. le président. Mlle Joissains, souhaitez-vous répondre ?
Mlle Sophie Joissains. Oui, merci, monsieur le président.
Vous m'avez interrompu, monsieur Carrère, en me posant une question qui n'avait absolument rien à voir.
M. Jean-Louis Carrère. Non, je ne vous ai pas posé de question, c'était une affirmation !
Mlle Sophie Joissains. Si, vous avez justifié vos interruptions en me posant une question implicite. Je vous ai répondu, mais il est évident que ces propos ne concernent que moi. J'ai exprimé une conviction, non sur le groupe PS en général, mais sur un homme en particulier.
Je me dois de le dire, le groupe UMP n'y est pour rien. Je ne suis pas du tout certaine qu'un autre de ses membres partage mes convictions car je n'en ai parlé avec personne. Je n'étais donc pas le porte-parole de mon groupe au moment où je vous ai dit le fond de ma pensée.
M. Alain Néri, rapporteur. Il faut parfois savoir se taire !
M. le président. L'incident est clos.
........................
______________________________________________________________________________________________

 

La Grèce en quasi faillite est suspendue à la sentence qui doit être prononcée Lundi 12 Novembre à Bruxelles

Éditorial de lucienne magalie pons



En attendant  la sentence de l’Eurogroupe qui doit se prononcer Lundi  12 Novembre 2012 à Bruxelles sur la situation financière de ce pays ,  la  Grèce  ( au bord de la faillite)   doit rembourser la semaine prochaine  4,1 milliards d'euros d'emprunts à court terme,  et elle a du  recourir presque in extremis à un emprunt exceptionnel de 3 milliards d'euros, mardi, auprès de sa banque centrale grecque.


Elle a obtenu l'aval de la Banque centrale européenne, qui  s’est assurée au préalable   qu'elle ne  fera  pas tourner  la planche à billets.


Le même procédé avait été utilisé au moins d'août quand la Grèce avait  dû faire face à une échéance de dette, sans avoir obtenu l'aide promise par l'UE et le FMI,  dont le déblocage se fait  encore attendre,  soumis à  la sentence  sur la situation financière de la Grèce qui devrait être rendue le Lundi 12 Novembre à Bruxelles par l’Eurogroupe


ooOoo


Rappelons que la Grèce  n'aura pas l'argent nécessaire pour payer les  salaires et retraites, recapitaliser ses banques et s'acquitter de 8 milliards d'euros d'impayés auprès des fournisseurs, si le versement   de l'aide internationale  promise de 31,5 milliards d'euros  se  fait  encore attendre.


Ses créanciers de l’aide internationale exigeaient  l'adoption de mesures d'austérité à hauteur d’un nouvel effort budgétaire de 18 milliards d'euros,  mais le Ministre grec  des Finances Grec Yannis Stournaras avait promis,   dans un climat de grève générale et d’émeute,  «La Grèce fait ce qu'elle a à faire, et l'Europe le fera aussi, la tranche sera versée» 


Mercredi soir le Parlement Grec a voté l’adoption de ces mesures,  reste pour remplir toutes les conditions  fixées par la troïka des financiers (UE,BCE,FMI)  à voter le buget 2013, ce qui devrait intervenir incessamment ce weekend avant minuit 



Athènes,   dans une ambiance de manifestation contre l’austérité et la rigueur,  reste dans l’attente  d’une déclaration politique» des ministres des Finances de la zone Eurogroupe qui  devrait t se prononcer lundi 12 Novembre sur la situation financière de la Grèce.


REVUE DE PRESSE : 

LIRE AUSSI:

·  Grèce: l'adoption du nouveau plan d'austérité fragilise le - Rfi

www.rfi.fr/.../20121108-grece-nouveau-plan-austerite-samaras-manif...
il y a 2 jours – Le nouveau programme d'austérité a finalement été adopté par le parlement grec dans la nuit du mercredi au ... Nul doute que le gouvernement sort fragilisé de ce vote. ... Grèce : manifestations de masse contre la rigueur ...

·  La Grèce doit lever 3 milliards d'euros en urgence - Le Figaro

www.lefigaro.fr/.../20002-20121109ARTFIG00597-la-grece-doit-lev...
il y a 13 heures – Pour éviter la faillite la semaine prochaine, lorsqu'elle devra rembourser 4,1 milliards d'euros d'emprunts à court terme, la Grèce n'a d'autre ...

·  La Grèce doit lever 3 milliards d'euros en urgence - Le Figaro ...

www.cbanque.com › ... › RSS externesLe Figaro (économie)
il y a 10 heures – La Grèce doit lever 3 milliards d'euros en urgence - Actualités Le Figaro (économie) - Actualités économiques et financières.

  1. . Berlin salue les réformes "impressionnantes" de la Grèce
Le Nouvel Observateur ‎- il y a 15 heures
"Le gouvernement grec a fait un pas en avant impressionnant", a estimé le ... L'adoption de ces nouvelles mesures d'austérité étaient une ...
  1. Grèce: le gouvernement affaibli, les syndicats combatifs face aux violations du droit social
Le Parisien‎ - il y a 1 jour
  1. Grèce-Le nouveau plan d'austérité devant le parlement
Les Échos‎ - il y a 4 jours

TV5MONDE : Grèce : la rigueur sans fin

il y a 2 jours – L'alliance gouvernementale a du affronter des divisions : six parlementaires socialistes ... Quand à la Grèce et ses plans d'austérité successifs, ...

Articles liés :

·  Les Grecs manifestent en masse contre de nouvelles mesures de - Rfi

www.rfi.fr/.../20121106-grecs-manifestent-masse-contre-nouveau-tra...
il y a 3 jours – Et le gouvernement n'a pas mis en place un programme de création d'emplois. ... Grèce : l'accord sur la cure d'austérité fragilise un peu plus le ...
· 

Grèce : le gouvernement présente son nouveau budget d'austérité ...


nemesistv.info/.../grece-le-gouvernement-presente-son...2 nov. 2012
Toujours plus de rigueur, toujours plus de colère. Les Grecs sont ... Grèce : le gouvernement présente son ...
· 

·  Le Parlement grec se prépare à un vote crucial sur fond de - France 24

www.france24.com/.../20121107-grece-parlement-prepare-vote-cruc...
il y a 2 jours – La coalition gouvernementale grecque se trouve face à une nouvelle impasse. ... En cause : les nouvelles mesures de rigueur réclamées par les bailleurs de ... Farouchement opposés à un durcissement de l'austérité, des ...

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...