31 mars 2012

François Bayrou en visite à Bastia et Morasaglia (Corse) le 31 mars 2012

Éditorial de lucienne magalie pons



Nous attendons de nos correspondants d'autres communiqués pour relater l'ensemble de la visite en Corse de Monsieur François Bayrou, en attendant nous attirons votre attention sur ses premières déclarations.     

  

ooOoo
 
Avant de prendre connaissance de l’interview que François Bayrou a accordée à Var Matin (publiée en date du 31 mars 2012, nous vous invitons à prendre connaissance des propositions qu’il a formulées sur  le financement des campagnes présidentielles

Ce Samedi 31 Mars,  de Bastia  en Corse,  François Bayrou s’est prononcé  notamment pour un changement de la loi sur le financement des campagnes présidentielles.

Ses propositions :

1) "Je souhaite qu'on ait un financement public intégral pour tous les candidats qui dépasseront 5% au premier tour avec une interdiction des dons des particuliers" 


2) "Je propose également un plafonnement sévère à 10 millions contre le double aujourd'hui des dépenses de campagne, ce qui permettra de remettre de l'égalité entre les candidats", a-t-il ajouté.

3) Suppression des "micros-partis"

Le candidat du Modem, interrogé sur le maintien en détention de Patrice de Maistre, ex-conseiller financier de Liliane Bettencourt,  a estimé que la décision de la cour d'appel de Bordeaux ouvrait "un champ d'inquiétude et de suspicion très grand sur le financement de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy".


"J'imagine que la cour s'est prononcée sur des éléments précis. En tout cas, il faut sortir de ces suspicions qui jettent une ombre sur la manière dont la démocratie française fonctionne", a-t-il ajouté  en rappelant avoir déjà proposé l'organisation d'un référendum sur la moralisation de la vie publique avec la suppression "des micro-partis qui ne sont pas autre chose qu'une manière de tourner la loi".

 "C'est la raison pour laquelle je propose que l'on sorte de tout cela par des décisions nouvelles et tranchées."

….
 François Bayrou a répondu  aux questions de Var Matin :
Source :

Source : François Bayrou - Candidat à l'élection présidentielle 2012


 "Le développement sera un développement décidé par et pour les Corses ou ne sera pas"

François Bayrou a répondu  aux questions de Var Matin :

Source : François Bayrou - Candidat à l'élection présidentielle 2012

30 mars 2012François Bayrou effectue une visite en Corse, samedi 31 mars. Il a répondu à cette occasion aux questions de Var Matin spécifiques à l’Île de Beauté et défendu sa vision d’une assemblée régionale "idéale".

Var Matin - Vous venez en Corse avec un message particulier en tête?

François Bayrou - Celui de défendre la plus grande responsabilité possible sur le terrain et la diversité nécessaire au plan national. Je ne suis pas un jacobin. Il est nécessaire que les régions se prennent en main.


VM - Concrètement, pour la Corse, ça donne quoi
?

FB - Mon idée est simple. Le développement sera un développement décidé par et pour les Corses ou ne sera pas. Je ne crois pas au développement venu d'ailleurs. C'est sur place que les énergies doivent se mobiliser, que les volontés doivent se forger, sans attendre de l'extérieur quelque chose qui ne viendra pas. S'agissant de la Corse, un sujet me vient pourtant à l'esprit, celui des grands équipements. Une fois franchi le cap du redressement, le jour où le pays aura retrouvé des moyens, la Corse devra être dotée d'un nouveau programme d'équipements. Je pense plus particulièrement au réseau routier qui freine son développement.

VM - La Corse n'est pas concernée par la réforme des collectivités. Elle doit faire ses propres propositions après la présidentielle…

FB - Et bien, j'y serai très attentif. À mes yeux, l'assemblée régionale idéale est celle qui respecte pour moitié les territoires et pour moitié les courants d'opinion. Pour répondre au besoin de proximité, notamment sociale, je considère que le département est un échelon utile dès lors qu'il est fédéré à l'intérieur de la région. En Corse, le nombre de conseillers généraux et de conseillers territoriaux est équivalent. Les mêmes personnes, élues suivant les deux systèmes, peuvent siéger dans les deux entités, départements et assemblée. Ainsi, les cantons et les courants d'opinion seront représentés.

VM - Ça ressemble au "conseiller territorial" imaginé par la réforme Sarkozy…

FB - Non, il y a une différence significative : avec la réforme actuelle, l'élection ne se fait qu'au scrutin majoritaire et il y a donc un déséquilibre.

VM - Vous qui aimez les langues régionales, êtes-vous favorable à l'officialisation de la langue corse
?

FB - Ceux qui pensent que la diversité est une atteinte à l'unité nationale ont tout faux. Oui, j'aime les langues régionales et j'ai annoncé que je signerai la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires qui propose un menu déroulant dans lequel on puise une série d'engagements à respecter.

VM - Parmi eux, le bilinguisme des textes officiels…

FB - Si les élus décident de traduire leurs actes et délibérations en langue corse, pourquoi pas
? En revanche, je n'ai pas du tout envie que le français soit un jour considéré comme une langue étrangère. Mais je sais qu'en Corse, cette aspiration identitaire se conçoit non pas dans un esprit de repli, mais dans un esprit d'ouverture…

VM - L'assemblée de Corse a aussi mis à l'étude le projet d'un statut de résident pour endiguer le fléau de la spéculation foncière. Votre sentiment
?

FB - Je suis plus prudent sur le sujet. La question de la spéculation, la Corse a tout à fait raison de se la poser. Je suis fils de paysan, très attaché à la terre, et je sais que le prix des terrains peut s'enflammer sous l'effet de pressions extérieures. Tout ça doit être réglé par une politique de réserve foncière. L'établissement public foncier dont l'île sera bientôt pourvue peut être une réponse efficace. Il faut que les terrains, et les logements qui s'y construisent, soient accessibles aux fils de Corse comme aux fils du Pays Basque ou du Béarn dans leur région respective. Si son agriculture disparaissait, la Corse perdrait une partie de son âme.

VM - Elle demande aussi le transfert de la fiscalité sur les droits de succession. Vous y seriez favorable
?

FB - Sur cette question précise, je ne dispose pas de tous les éléments juridiques. Ce que je défends, par contre, c'est l'autonomie fiscale la plus large. Une région de plein exercice devrait avoir le droit de faire elle-même sa propre fiscalité et d'en rendre compte devant les citoyens.

VM - Vous êtes prêt aussi à aller plus loin dans l'adaptation législative de la Corse
?

FB - Je ne suis pas choqué par l'adaptation législative des territoires. Je vais vous raconter une anecdote. J'ai récemment visité en Guyane, à 8 000 km d'ici, une petite entreprise artisanale qui fume les filets de poisson. Elle se situe à l'orée de la plus grande forêt d'Europe et pourtant, les normes européennes l'obligent à importer du hêtre de France. On marche sur la tête.

VM - Et une adaptation qui, pour la Corse, se ferait sous le seul contrôle du Conseil constitutionnel
?

FB - Je ne suis pas hostile à cette idée, mais il est bon aussi que dans certains cas particuliers, le Parlement ait un droit d'appel. Imaginons l'inimaginable, un jour, on décide de libéraliser les permis de construire sur le littoral corse. Ce ne serait pas anticonstitutionnel et pourtant, ce serait une véritable catastrophe…

VM - En un mot, seriez-vous enclin à réviser la Constitution pour y sacraliser l'autonomie de la Corse
?

FB - Il faut être attentif aux symboles. Je suis favorable à l'autonomie de la Corse dans le consensus et pas dans le but de créer des tensions. Je crois que cette évolution constitutionnelle se fera un jour de façon très naturelle.

VM - Quitte à envisager un nouveau référendum
?

FB - Par principe, je suis pour que la population décide en toute connaissance de cause. Pour cela, il faut donner à la consultation locale un cadre qui soit largement compréhensif par tous, et qui ne soit pas un facteur de déstabilisation du pays.

VM - Vous êtes surpris qu'aux territoriales, un électeur sur trois ait voté nationaliste
?

FB - Ça ne me surprend pas. Le besoin de la Corse d'être prise en compte pour elle-même, le besoin d'être reconnue dans sa légitimité pour s'occuper de ses affaires, le besoin d'identité revendiquée, le besoin de renouvellement de la classe politique, tout ça est allé dans le même sens et explique un vote important en faveur des nationalistes qui ont fait le choix du terrain public pour faire progresser leurs idées.

VM - Que ferez-vous pour faire reculer le grand banditisme qui fait couler autant de sang sur l'île
?

FB - Il n'y a pas de solutions clés en main. Par expérience, on sait déjà qu'en Corse l'augmentation de policiers et de gendarmes n'a pas eu les effets escomptés. La population insulaire ne doit pas vivre ce fléau comme une fatalité. J'ai foi en sa capacité de mobilisation à s'y opposer avec toute la force de ses valeurs. Je pense également que le renseignement doit jouer un rôle plus important.

VM - Il y a bien d'autres problèmes à résoudre, vie plus chère, salaires plus bas, chômage record…

FB - Tant que la question économique dans toutes ses dimensions, le produire français, l'agriculture, le tourisme, les PME, le numérique, etc., n'est pas posée de façon prioritaire, rien de tout ce que vous citez ne se réglera. Or elle est absente de la campagne alors que c'est une question de vie ou de mort. Pour la Corse, je ne citerai qu'un exemple. Quand on sait la part du tourisme dans son économie, comment expliquer qu'elle ne soit toujours pas dotée d'une école supérieure des métiers de l'hôtellerie et de la restauration
? Impensable.

VM - Le faible poids du Modem en Corse, ça vous contrarie
?

FB - D'abord, les choses se mettent progressivement en place. Ensuite, je ne suis pas le candidat du Modem, mais de la famille du centre au sens large, et cette famille ne trouvera son équilibre que si ses différentes composantes s'unissent et avancent main dans la main. Et cela ne peut se faire que sur la base de l'autonomie, un mot qui a du sens chez vous, c'est-à-dire le refus de la dépendance vis-à-vis des autres forces politiques qui l'entourent.

VM - Il y aura au moins une personnalité corse dans votre futur gouvernement
?

FB - Je ne manque pas de Corses de grande valeur à mes côtés, Jean-Claude Casanova, Pierre Albertini, Didier Bariani…

VM - Paul Giacobbi, peut-être
?

FB - J'ai eu quelques discussions approfondies avec lui sur l'économie mondiale. C'est un homme politique compétent pour qui j'ai de l'estime.

VM - Vous avez prévu de visiter la maison natale de Pasquale Paoli à Morosaglia. Pourquoi ce choix
?

FB - Disons que c'est un choix symbolique…

Islamistes radicaux : Coup de filet, explications et réactions s'entrecroisent

Éditorial de lucienne magalie pons

Vendredi matin  30 mars, 19 personnes  ont été interpellées par la police,  dans les milieux islamistes radicaux en France à l’aube ,  et on  a annoncé  que dix-sept islamistes ont été placés en garde à vue après  ces « coups de filets »,   qui ont eu lieu à Toulouse, Nantes, Marseille, Lyon, Nice, et en Ile-de-France et on a appris un peu plus tard que la police avait  saisi des armes  au cours des perquisitions et placé en garde à vue 17 personnes.

Cette  opération a été menée par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), la sous-direction anti-terroriste (Sdat), la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), le Raid et les brigades parisiennes de la BRI (brigade anti-gang), et la brigade criminelle.

 Le tout "en plein accord avec la justice", selon Nicolas Sarkozy et Claude Guéant le Ministre de l’Intérieur qui se sont exprimé en début de matinée Vendredi,   quelques minutes après l’intervention.

Selon certains médias qui citent « une source proche de l’enquête » ces interpellations, surtout celles de Toulouse,  qui interviennent au lendemain de l’enterrement de Mohamed Merah en banlieue toulousaine  seraient  dans le prolongement et directement "liées à l'affaire Merah".

Rappelons qu’après le siège de 32 heures par les forces du Raid qui s’était conclu par la mort de Merah le 22 mars,  Nicolas Sarkozy avait demandé à la police de procéder à l'"évaluation" de la dangerosité des personnes connues pour entretenir des sympathies avec l'islam radical.,  et que François Molins,  procureur de Paris  avait de son côté indiqué que les investigations allaient "porter désormais sur la recherche de tout complice".

 "Ce n'est pas lié simplement à Toulouse", a  expliqué  Nicolas Sarkozy  sur Europe 1 quelques minutes après l’intervention,   en affirmant   que les interpellations sont "en lien avec une forme d'islamisme radical".

Il y aura "d'autres opérations" a prévenu  Nicolas Sarkozy qui  entend  "expulser du territoire national un certain nombre de gens qui n'ont, au fond, rien à y faire.

Sans doute pour prévenir toutes réactions polémiques de l’opposition,  le  Ministre de l’Intérieur Claude Guéant est intervenu  par avance en réfutant  qu’il s’agisse d’une opération de communication : «  Je rappelle que c’est une décision judiciaire » a-t-il précisé, mais  certains médias en relatant les propos  du ministre de l’intérieur, soulignent  la présence de caméras et photographes sur les lieux des interpellations , ainsi que la  similitude presque immédiate des arrestations avec le passage du président-candidat Nicolas Sarkozy  sur Europe 1

Un peu plus tard lors d’un déplacement dans le Doubs, alors que la presse l’interrogeait, Nicolas Sarkozy a interprété le coup de filet opéré dans les milieux islamistes radicaux  comme une action  « à  long terme », « pas liée »  aux   drames de Toulouse et Montauban, tout en ajoutant « qu’il y a  un contexte »

A la question de savoir si l'opération aurait eu lieu sans les événements de Toulouse, Nicolas Sarkozy a répondu "Oui. Elle n'est pas liée mais vous avez raison il y a un contexte".

"Le message est clair, nous ne laisserons rien passer, il y aura d'autres événements, notre devoir c'est d'assurer la protection des Français", a répondu Nicolas Sarkozy, en rappelant qu’  "il faut refuser absolument tout amalgame avec ce qui s'est passé, cette tragédie épouvantable de Toulouse et Montauban".

"Il faut faire bien attention", a-t-il enchaîné, "à ce que les Français ne cèdent ni à la colère, ni à la vengeance, ni à l'amalgame"…...  "Nos compatriotes musulmans ne sont pour rien avec ce qui s'est passé mais qu'il soit bien compris par tous qu'il n'y aura aucune naïveté et aucune faiblesse, cette action fait partie d'une action de long terme", a-t-il prévenu.

Réactions :

Il va de soi que les candidats à la présidentielle 2012  et l'opposition  ont réagi  très vite  « au coup de filet », les uns par des communiqué, d’autres en répondant aux journalistes qui les ont interrogé  sur cette opération,  en majorité  tous  approuvent  cette opération, certains toutefois  font remarquer qu’elle aurait pu avoir lieu plus tôt en soulignant « pourquoi n’arrive-t-elle que maintenant ?,  ……., d’autres vont carrément plus loin en dénonçant qu’il s’agit d’un coup de filet électoraliste.


Réactions : Vous trouverez en revue de presse (*) les articles relatant les réactions  tant que  les coups de filets que les arrestations, pour nous nous limiterons à citer deux réactions résumées, celle de Nicolas Dupont Aignan de « Debout la République » (a), et celle de Steeve Briois du Front National (b)

 

(a) -Nicolas Dupont-Aignan sur France Info a approuvé le «  coup de filet »   ,  opéré dans les milieux islamistes radicaux. "Enfin, bravo ! On découvre  qu'il y a des gens dangereux dans notre pays. Cela prouve que quand on donne des moyens aux policiers et aux gendarmes, ils trouvent." S’est-il exclamé, en ajoutant « …Je ne comprends pas pourquoi « on » ne l’a pas fait plus tôt »

(b) - Pour le Front National: «  c’est un  coup de filet  électoraliste » : Steeve Briois, secrétaire du Front National a déclaré : "Ce 'coup de filet'  ……. ne trompe bien entendu personne. Attendre l'horreur de la tuerie de Toulouse pour commencer à bouger démontre bien tout le cynisme et l'opportunisme de Nicolas Sarkozy, qui se réveille à trois semaines du scrutin pour son illusoire réélection".. "Ce coup de filet s'apparente en réalité à un coup de filet électoraliste", dénonce-t-il.

Revue de presse :

2.     Le Figaro - Flash Actu : Coup de filet: ''opportunisme de Sarkozy''

www.lefigaro.fr/.../97001-20120330FILWWW00461-coup-de-filet-...
AFP Publié le 30/03/2012 à 13:44 Réactions (65). Tweet ... islamistes radicaux en France "s'apparentait à un coup de filet électoraliste" du président-candidat. ... "Le 'coup de filet' réalisé cette nuit par la DCRI et le Raid ne trompe bien entendu personne. ... "Les réseaux islamistes radicaux ne se sont pas montés en un jour.

3.     DCRI et islamistes : le coup de filet était-il un coup de pub ? - Le ...

tempsreel.nouvelobs.com › Société
Créé le 30-03-2012 à 18h07 - Mis à jour à 19h00 48 réactions ... Après l'affaire Merah, 17 islamistes radicaux en garde à vue; » Islamistes radicaux : l'ombre ... le président-candidat Nicolas Sarkozy a décrit le coup de filet opéré le matin même dans les "milieux ..... Vidéo · Sarkozy opposé à la diffusion des images de Merah ...
Vous avez consulté cette page le 30/03/12.

4.     [DESINFOS.COM] - La revue des infos sur Israel - Shalom

www.desinfos.com/
Islamistes radicaux interpellés et Imams intégristes interdits de séjour en France. CRIF ... Extrait:Le BNVCA exprime les réactions de correspondants choqués par les ... Coup de filet islamiste en France : plusieurs interpellations dans la mouvance de .... dans les centres urbains et l'ouverture du dialogue avec l'opposition.

5.     TV5MONDE : actualites : Le dossier

www.tv5.org/cms/chaine-francophone/.../p-1910-Le-dossier.htm?rub...
Coup de filet dans les milieux islamistes radicaux ... Toulouse en dépit de l'opposition de la mairie de cette ville théâtre de plusieurs de ses crimes, ... Le ministre de la Justice, Michel Mercier, a souhaité mercredi, en réaction à l'affaire Merah, ...

6.     De Nantes à Marseille en passant par Lyon, 19 islamistes radicaux ...

www.lorientlejour.com › Moyen Orient et Monde
il y a 6 heures – Mohammad Achamlane a été arrêté hier lors d'un vaste coup de filet contre les milieux islamistes radicaux français. ... s'apparentait à un coup de filet électoraliste » du président-candidat. « C'est ... Les réactions visent à établir des échanges enrichissants entre nos lecteurs et l'équipe de L'Orient-Le Jour.

7.     Mohammed Achamlane arrêté, coup de filet dans les milieux ...

www.francesoir.fr › ActualitéFaits divers
il y a 13 minutes – ... Rost sur Merah : "Attention, ça va péter à nouveau" · Abbé Pierre : La fondation en appelle aux candidats ... Anti terrorisme |Toulouse | Nantes | coup de filet | ... Alors que 19 islamistes radicaux ont été interpellés vendredi matin, l'opposition dénonce une . ... Réactions à cet article24 commentaires ...

8.     Vaste coup de filet dans les milieux islamistes - Le Point

www.lepoint.fr › Société
il y a 17 heures – Consultez tous les commentaires sur l'article : "Vaste coup de filet dans les ... que la justice s'intéresse aux islamistes radicaux qui sont un danger réel ! .... Australie: le chef de l'opposition critique les fesses de la Premier.

9.     Politique - Actualité politique française et internationale - TF1 News

lci.tf1.fr/politique/
Nicolas Sarkozy qui revient sur le coup de filet dans les milieux islamistes radicaux dans le Doubs, Marine Le Pen en meeting à Nice et un grand oral pour Mélenchon, c'est ... Les plus beaux noms d'oiseaux que s'envoient les candidats ...

10. Coup de filet contre les islamistes : «Les policiers ont tout mis en l'air ...

www.liberation.fr/.../01012399509-coup-de-filet-contre-les-islamiste...
«Après l'arrestation de Mohamed Merah on s'attendait à des réactions violentes mais à ce ... Le coup de filet dans les milieux islamistes débouche sur 17 gardes à vue ... Des islamistes radicaux dans la nasse judiciaire ... L'actuL'opposition marche sur des œufs; L'actuLa logistique suisse façon de Maistre; + Sur le sujet ...

Vidéos liées à la question :
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Série d'interpellations dans les milieux... par LeNouvelObservateur
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Au cours d'un entretien sur France Info, Nicolas Dupont Aignan s'est exprimé sur différentes questions d'actualités, interrogé sur le coup de filet lancé contre les islamiste radicaux, le président de "Debout la République s'est félicité de cette décision, toutefois " Enfin, bravo ..." "On découvre qu'il y a des gens dangereux dans notre pays , celà prouve que quand on donne aux policiers et aux gendarmes, il trouvent"

Toutefois,  Dupont Aignan a aussi fait ressortir " Je ne comprends pas pourquoi "on" ne l'a pas fait plus tôt



Nicolas Dupont-Aignan "Les deux grands candidats... par FranceInfo
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Sarkozy : les interpellations "vont continuer" par Europe1fr


Sarkozy : les interpellations "vont continuer" par Europe1fr

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30 mars 2012

Nicolas Sarkozy à Elancourt - 28 mars 2012 -

Éditorial de lucienne magalie pons


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Nicolas Sarkozy et les pois chiches à Fabègues dans l'Hérault

Éditorial de lucienne magalie pons


Est-ce la fatigue ? après avoir visité une exploitation agricole à Fabrègues dans l'Hérault, Nicolas Sarkozy en s’asseyant à table où il devait déjeuner avec des personnalités locales et des agriculteurs a posé carrément les coudes sur la table !

Où bien alors s’imagine-t-il que c'est d'usage à la campagne ?

Par ailleurs les médias rapporte que le Président connait la culture des pois chiche, d'après lui il faut beaucoup d'eau au départ et à près ça pousse on apprends aussi qu'il   aime les pois chiches et qu'il aurait réclamé à l'Agricultrice  pour Carla des pois chiches et de la confiture de cerise

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Présidentielle 2012 : Aujourd'hui ils ont dit

Éditorial de lucienne magalie pons


Extraits :
Source : Le Parisien.fr
Aujourd’hui 30 mars 2012  ils ont dit:

17 heures. Bayrou : «Légiférer peu pour légiférer bien». Devant l'assemblée générale de la Conférence des bâtonniers, qui représente les avocats des barreaux de province, le candidat du MoDem estime que «la prolifération des lois est nuisible» car «elle porte atteinte au droit fondamental du citoyen de connaître la loi». «C'est vrai pour le droit social, le droit du travail, le droit du logement, le droit pénal... Il n'est pas d'honnête homme qui puisse aujourd'hui prétendre qu'il connaît, même à grands traits, la loi française, c'est impossible», souligne-t-il. Et de promettre, s'il est élu président, d'être un défenseur du «légiférer peu pour légiférer bien». Cinq autres candidats (représentés par leurs spécialistes justice) ont exposé devant les bâtonniers leurs projets pour la justice.

16h50. Dupont-Aignan veut un «un grand débat contradictoire» avant le premier tour. Le candidat de Debout la République a lancé l'invitation à ses rivaux. «Dès lundi, vous saurez celles et ceux qui répondent présents», a-t-il affirmé, en se félicitant que la plupart des candidats, hormis Nicolas Sarkozy et François Hollande, aient selon lui déjà donné leur accord. «François Hollande, Nicolas Sarkozy, ne soyez pas des pleutres, ne soyez pas des lâches ! Vous voulez être président de la République, et vous vous défilez ?», ironise t-il. «En écho à la bravitude de Ségolène Royal, il règne une étrange  « lâchitude » des fameux grands»

16h05. Buffet appelle ses « camarades » à ne pas se tromper d'adversaire. « Camarades Arthaud, Cohn-Bendit Joly et Poutou : consacrons nos efforts à combattre Sarkozy et Le Pen ! », appelle Marie-George Buffet dans un communiqué. « A entendre leurs propos à l'encontre du candidat du Front de gauche, on pourrait croire que ce n'est plus Nicolas Sarkozy qui dirige la France après l'avoir dépecée, défigurée, fragilisée.

Monsieur Michel Rocard a été victime d'un malaise, nous lui souhaitons un bon rétablissement

Éditorial de lucienne magalie pons


Le Point -




L'ancien Premier ministre a été victime d'un malaise ce vendredi en Suède. Il est conscient et peut communiquer. Michel Rocard, ex-Premier ministre et ambassadeur de France pour les régions polaires depuis mars 2009, se trouve "dans une unité de soins ...





Eau Joly - Dernières actualités -

Éditorial de lucienne magalie pons

Une candidate qui n'a pas froid aux yeux ni la langue dans sa poche !


·         Eva Joly  soupçonne Nicolas Sarkozy de se représenter pour se protéger de la just …

L'Express.fr - il y a 4 heures
La candidate écologiste Eva Joly soupçonne ce vendredi Nicolas Sarkozy de vouloir se représenter pour échapper à d'éventuelles poursuites dans l'affaire Bettencourt et l'affaire Karachi. Elle lui demande de s'expliquer avant le premier tour.

Joly estime que Sarkozy veut se faire réélire pour l'immunité

Reuters - il y a 5 heures
PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy veut se faire réélire pour continuer à profiter de l'immunité pénale que lui offre le mandat de président et se protéger ainsi d'éventuelles poursuites dans l'affaire Bettencourt, a estimé vendredi la candidate écologiste … Suite »Joly estime que Sarkozy veut se faire réélire pour l'immunité

Joly: pas la même idée de la liberté que Mélenchon pro Chavez, pro-Castro

AFP - il y a 7 heures
Eva Joly, candidate EELV à l'Elysée, a souligné vendredi ne pas avoir "la même idée de la liberté démocratique" que son rival Front de gauche Jean-Luc Mélenchon, qui soutient la Chine contre le Tibet, Chavez et le régime castriste.

·         Qu'ont dit les candidats devant les agriculteurs?

L'Express.fr - il y a 23 heures
Sept candidats ont pu défendre, jeudi à Montpellier, leurs propositions concernant l'agriculture devant le monde paysan. Eva Joly a été bien accueillie….

Europe-Ecologie-Les Verts: Contenir le danger Mélenchon, en attendant le «troisième» …

20minutes.fr - jeu. 29 mars 2012
POLITIQUE - La campagne d'Eva Joly ne décollant pas, il reste les législatives et le précieux accord avec le PS..

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...