19 février 2012

Marine Le Pen : Dimanche 19 Février 2012 - Grand Meeting de Marine le Pen à 15 h. à Lille

Information



Dimanche 19 février, grand meeting de Marine Le Pen à 15h00
Grand Palais
1, bd des Cités-Unies
59000 Lille
Programme  Du Dimanche 19 Février 2012
9 h 30 : OUVERTURE DES PORTES
10 h 00 - 11 h 00 : ATELIERS :
1• « Justice : Au nom du peuple français » :
W. de Saint-Just - G. Collard - V. Le Douguet salle de commission faidherbe
2• « Environnement - Recherche - Energie : Pour une véritable écologie » :
S. Laroze - J.-L. Bouchereau - A. Pertuzio salle de commission rubens
3• « Ecoles - Université : Restaurer l’école de la République »
V. Laupies - G. Lebreton - D. Mascré salle de commission artois
4• « Laïcité - Services Publics : Pour un Etat stratège et laïc »
B. Dutheil de La Rochère - G. Nofri - P. Erre salle de commission charles de gaulle
5• « Etat - Institutions - Europe : Pour une Europe des Patries »
A. Jamet - B. Gollnisch - E. Ferrand - P.-M. Coûteaux - Amiral Waquet amphi pasteur
11 h 00 : PAUSE
11 h 15 - 12 h 15 : La direction de Campagne vauban
• Intervention de Steeve Briois
• Intervention de Florian Philippot
• Intervention de Louis Aliot
15 h 00 : GRANDDISCOURSDEMARINELEPEN
18 h 00 : CLÔTURE DE LA CONVENTION

Nicolas Sarkozy a inauguré son Quartier Général de campagne : Revue de Presse

Pour information :
REVUE DE PRESSE 

Source  "LeParisien.fr" - 18 Février 2012


Pour sa première visite au siège de sa campagne, Nicolas Sarkozy est arrivé à pied et s'est offert un bain de foule parmi des dizaines de militants et sympatisants qui l'attendaient devant le 18 rue de la Convention, dans le XVe arrondissement de Paris.

Interrogé sur le choix de ce quartier réputé bourgeois, le candidat-
a déclaré à son arrivée : «C'est un quartier de classes moyennes», c'est-à-dire «les gens à qui je veux parler d'abord». Il a souligné l'aspect «pratique» de la localisation de son QG, situé «exactement entre mon domicile et l'Elysée». «Comme ça je passerai le matin avant d'aller au bureau», a-t-il poursuivi

NKM porte-parole de sa campagne

Préférant un pull à col roulé sombre à son habituel costume de chef d'Etat, il s'est montré détendu lors de son allocution devant les journalistes. Confirmant
le choix de Nathalie Kosciusko-Morizet pour être sa porte-parole, il a souligné que celle-ci avait «toute sa confiance». «C'est quelqu'un qui est ferme dans ses convictions et pas agressive. C'est exactement la campagne qu'on veut mener», a-t-il déclaré. «Cela témoigne aussi de ma volonté qu'il y ait plus de femmes en politique», a-t-il ajouté, avant de préciser que la ministre de l'Ecologie quittera ses fonctions «dans quelques jours» et que son ministère «sera rattaché directement au Premier ministre».

«Une campagne heureuse», «calme», «sans polémique d'un autre siècle», «proche des Français» et «libre». Voilà ce que souhaite le candidat pour les semaines à venir. Pour y parvenir, il a estimé qu'il n'y avait pas besoin d'un organigramme. «Moi, je ne veux pas d'un Etat-major pléthorique, où chacun se bat pour les titres», s'est-il justifié. «Pas besoin de grands bureaux» non plus : «Je veux aller à la rencontre des Français», a-t-il expliqué.


«Aller à la rencontre des Français»


Interrogé sur
le rôle d'Emmanuelle Mignon, qui disposera d'un bureau dans ce QG de 600 m2, Nicolas Sarkozy a salué «une jeune femme extrêmement brillante», qui sera chargée de travailler sur tout l'aspect programmatique de sa campagne. En revanche, a-t-il plaisanté, «Angela Merkel n'a pas de bureau». «Nous n'avons pas prévu de meeting avec Barack Obama, David Cameron, Mariano Rajoy ou Angela Merkel», a-t-il ironisé, martelant qu'il voulait «aller à la rencontre des Français».

Outre son directeur de campagne Guillaume Lambert, ainsi que son trésorier Philippe Briand, Nicolas Sarkozy a aussi salué la présence de l'ancien Premier ministre Edouard Balladur, candidat malheureux à la présidentielle de 1995.


«Une campagne du XXIe siècle»

Le candidat-président a par ailleurs éludé une question portant sur la publication prochaine d'un livre, tout en promettant «des surprises» : «Je n'ai pas envie de dire tout ce que l'on va faire, tout de suite. (...) La campagne, c'est une histoire qu'on raconte aux Français», a-t-il déclaré. «Nous avons envie de faire une campagne de XXIe siècle et nous serons aussi heureux de débattre avec ceux qui mènent une campagne du XXe siècle», a-t-il conclu dans un tacle à ses adversaires.


Un mot d'ordre aussitôt repris par NKM à la sortie du siège de campagne. «Je crois que la France attend pour cette campagne des idées du XXIe siècle, là où un certain nombre de candidats sont enfermés soit dans l'invective, soit dans (...) des propositions déjà ressassées des vingtaines, des trentaines de fois», a déclaré la nouvelle porte-parole.

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Source : Internet

Plan du QG  :



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L'équipe de choc dont les membres seront de toutes les réunions stratégiques autour de lui durant la campagne.

 La tête pensante : Emmanuelle Mignon, major de l’ENA, qui avait quitté l’Elysée  « J’ai vraiment besoin de toi », lui a dit le président pour la faire revenir.

Le Directeur de campagne Guillaume Lambert, actuel chef de cabinet à l’Elysée,


La porte parole de  Nicolas Sarkozy : Nathalie Kosciusko-Morizet, actuelle   ministre de l'Ecologie

Un pilier de l’Equipe logistique Jérôme Lavrilleux, Directeur de cabinet de  JF Copé à l’UMP

Le conseiller gourou : Patrick Buisson, ancien patron du journal « Minute »


La Plume  Henri Guaino,  Franck Louvrier, directeur de la communication,


Sont  cités : Guillaume Peltier, spécialiste des sondages à l’UMP. Olivier Biancarelli, chargé des élus,  Camille Pascal, chargé des discours, qui seront associés  à la campagne.

18 février 2012

François Hollande assurément ne ment pas du matin au soir

Éditorial de lucienne magalie pons


Jeudi 16 Février,  François Hollande était l’invité de Laurence Ferrari sur le plateau du Journal de 20 heures de TF1.

Ci-dessous   nous avons noté  certains points sommairement,    sans reprendre l’étendue des questions et des réponses,  mais  le vidéo n° 1 figurant ci-dessous après ce condensé,   reprend l’émission intégralement    :

En entrée en matière, après les salutations d’usage, la première question de Madame Laurence Ferrari portait sur la candidature de Nicolas Sarkozy  « … Hier soir, Nicolas Sarkozy  a donc annoncé sa  candidature sur notre plateau, est-ce que vous redoutez (sic) la confrontation avec le candidat Sarkozy, est-ce que vous l’avez trouvé convaincant hier soir ?

François Hollande parait amusé … on le serait à moins, et répond avec un brin d’ironie «  "Cette candidature n'était pas un événement. Ce n'était pas une surprise. En même temps, les choses sont plus claires. Il pourra se déplacer maintenant aux comptes sur ses frais de campagne."


 Les  questions se succèdent, Madame Laurence Ferrari  parait assez  vive  par moments,  à d’autres moments attentive  et l’entretien se déroule avec des hauts et des bas sans trop déraper …en dépit des tensions qui percent de temps en temps au fil des questions et des réponses.

Rappelons que dans la journée le Président sortant, candidat déclaré, avait accusé  François Hollande par un détour de phrase de mentir sans le nommer  notamment  au sujet de la finance, offensif en France, apaisant avec les médias anglo-saxons.

François  Hollande est  interrogé  sur ses propos au Guardian. , il  explique :  "Dans cet entretien, je répondais à une question où on m'interrogeait sur la révolution si la gauche arrivait au pouvoir. Je tenais juste à dire que nous serons gestionnaires."

L’interview se poursuit ,  François Hollande répond aux questions  en développant ses idées pour redresser la France, sont évoqués les questions d’investissement, les nouvelles idées de référendum de Nicolas Sarkozy ,  ça parait se détendre  sur le plateau, mais François Hollande  répond sur la question  des sans papiers,  et ça  grince un peu  sur le plateau, quand il revient sur les attaques de Nicolas Sarkozy sur la régularisation des sans papiers ….. "Je n'utiliserai pas les Français comme des boucs-émissaires",  lance   le candidat PS  en précisant   qu’il  est pour une régularisation au cas par cas et non pour une régularisation massive et  sa volonté d'accorder le droit de vote aux étrangers « résidants »  aux élections locales mais qu’ils ne seront pas Maires ni conseillers …

Sur  la question des 60 000  fonctionnaires qu’il créera   François Hollande indique ses priorités   "Trois administrations seront prioritaires: l'éducation, la police et donc la gendarmerie et la justice. Ces trois administrations auront tous leurs fonctionnaires remplacés", explique  François Hollande  ….. "Pour le reste, il y aura des efforts à faire."

Autre point  tendu, le nucléaire, (Sarkozy avait critiqué François  Hollande la semaine dernière sur sa volonté de fermer la centrale nucléaire de Fessenheim et de venir le dire aux ouvriers ...),  François Hollande répond  notamment   "Si Fessenheim ferme, elle sera démantelée et cela représentera encore des années de travail",  qui  souligne que Fessenheim est sur une faille sismique.

A  propos de la crise François Hollande lance un trait  piquant : Il est l'homme de la crise, moi je serai l'homme de la sortie de la crise" ….

 François Hollande  conclut  "Je veux rassembler. Je rejette la brutalité, une certaine forme de méchanceté qu'il y a en France depuis 5 ans",  en critiquant   la campagne sur les valeurs menée par Nicolas Sarkozy. "Où est la valeur travail quand 1 million de personne se retrouvent au chômage dans notre pays?" interroge-t-il ?

. "Je respecte les gens qui ne voteront pas pour moi" a t-il aussi assuré


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Vidéo n° 1


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Les attaques  de Monsieur Nicolas Sarkozy ::

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Sarkozy attaque Hollande sur son interview au... par lemondefr__________________
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Lundi 20 janvier Monsieur François Fillon renchérissait :
 
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Vendredi 17 Février : Sommet Franco Britannique à L'Elysée

Information 
 
Sommet franco-britannique

Hier vendredi 17 février 2012 au Palais de l'Elysée,  le  président de la République a présidé avec Monsieur  David CAMERON, Premier ministre du Royaume-Uni, le Sommet franco-britannique.
François FILLON, Premier ministre, et  Nick CLEGG, Vice-Premier ministre du Royaume-Uni, ainsi que Alain JUPPE, ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et européennes, Gérard LONGUET, ministre de la Défense et des Anciens Combattants,  Eric BESSON, ministre chargé de l'Industrie, de l’Énergie et de l’Économie numérique, et leurs homologues britanniques, étaient présents.

 Le sommet était  consacré à l'approfondissement de la coopération franco-britannique en matière de défense, avec la concrétisation de plusieurs chantiers engagés dans le cadre des traités de Lancaster House de novembre 2010 ; et au renforcement du partenariat franco britannique  dans le domaine de l'énergie nucléaire civile.

Sans doute pour ne pas prêter à confusion sur la nature de ce Sommet, David Cameron n'est  pas intervenu pour soutenir la campagne présidentielle du Président Français sortant, mais il tenu à lui souhaiter "Bon courage".
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17 février 2012

Nicolas Sarkozy : premier meeting à Annecy devant quelques 4000 symphatisants

Editorial de lucienne magalie pons





Nous avions terminé notre éditorial hier alors que le candidat Sarkozy visitait le Centre ville d’Annecy à la rencontre de ses habitants et commerçants  et s’apprêtait à aller déjeuner avec des édiles régionaux.

Après ce déjeuner vers 16 heures la Fromagerie Chabert , Pme locale, près d’Annecy s’apprêtait à le recevoir , des journalistes l’attendaient depuis plus d’une heure  et avaient pris la précaution de protéger leurs cheveux  d’une charlotte et leurs épaules d’une blouse en plastique pour  se protéger des odeurs de lait chaud, quelques   dizaines de militants  se trouvaient en attente pour applaudir le candidat à son arrivée , mais aussi quelques syndicalistes  CGT qui n’étalent pas là pour plaisanter.


Vers16 heures 20  la voiture du candidat arrive devant la Fromagerie Chabert,  Nicolas Sarkozy,  accompagné de Bernard Accoyer  se dirige très rapidement  vers les militants, tous deux  ignorent ostensiblement les refrains sur l’emploi et le partage des richesses que chantent les cégétistes, pour se diriger très rapidement vers les militants qui les attendaient et ensuite s’engouffrer sans trop tarder dans la Fromagerie.

Les médias rapportent au sujet des militants quelques anecdotes, notamment  l’un d’entre eux s’étonne  ravi …… "Tu as vu ? Il m'a reconnu, il m'a demandé comment ça allait !",  d’autresau contraire « râlent »   en  voyant le candidat entrer  rapidement dans la fromagerie "Il est venu voir le peuple ou les journalistes ?" "J'ai même pas pu lui serrer la main ! .., "proteste l’un d’entre eux.


Certains sympathisants sont  un peu déçus, en effet certains s’imaginaient que Nicolas Sarkozy aurait pris la précaution de porter une charlotte pour visiter la Fromagerie,  …….«  mais c’est parce qu’il a les cheveux courts ! »,    a expliqué une dame encore émoustillée d’avoir pu serrer la main du chef de l’Etat, d’après les médias   qui en rajoutent en écrivant que c’était certainement pour éviter « la photo qui tue … »

La visite dans la Fromagerie Chabert s’éternise,  à 17 h 20 elle n’est pas encore  terminée, mais  vers 17 h 30 le service de presse de Nicolas Sarkozy   fait repartir les journalistes au pas de course en direction  centre-ville d'Annecy pour le meeting qui se prépare.

Avant de repartir peu après, Nicolas Sarkozy fait un passage par la Boutique de la Fromagerie….

 L’heure du premier meeting de campagne présidentielle approche pour le candidat Nicolas Sarkozy,  attendu  déjà dans la Salle Arcadium  par  les militants et sympathisants dont ceux de la région  Rhone-Alpes qui sont venus se joindre aux Annecois


A la Salle Arcadium depuis 17 h 30 l’ambiance populaire est au rendez vous, musique d’ambiance, l’assistance agite des drapeaux, pour  ce premier meeting, les militants redécouvrent  ensemble les affiches et l'hymne de la campagne de Nicolas Sarkozy, pour  l'affiche à l'effigie du chef de l'État ornée de son slogan de campagne "Une France forte !", elle  avait déjà été dévoilée dans la matinée,  certains commentateurs ont fait remarquer précédemment que ce slogan est  directement inspiré du slogan du candidat Valéry Giscard d'Estaing en 1981, "Il faut une France forte".

A 18 heures les journalistes arrivent à l’Arcadium, dans une  salle de presse déjà pleine où   ils ont peine à trouver des places assises ;

Dans les coulisses  certains observateurs    évaluent l’assistance à 2000 personnes, mais  sur Twitter  les militants,  qui couvent l’évènement,  se félicitent à 18 heures  15  de plus de 4000 personnes présentes à l’Arcadium pour Nicolas Sarkozy.

En attendant l’arrivée de Nicolas Sarkozy la salle est  déjà chaude,  l'ambiance  est soutenus par   coup de "Marseillaise", entrecoupé de  "Sarko, président !" "Nicolas ! Nicolas !"

Alors que  quelques dizaines de personnes attendent encore à l'entrée de l'Arcadium., mais elles ne pourront entrer faute de place ….l e député Tardy, qui a participé à l'organisation  se félicite au milieu de la foule de la réussite de la journée. "C'était top ! On a même dû faire retirer les chaises pour faire entrer du monde..."

On  annonce comme imminente l’arrivée  du président...  Bernard Accoyer  monte  au pupitre pour encore «  surchauffer » l’assistance avant l'arrivée du candidat Sarkozy …

Vous retrouverez ci-dessous en vidéo, en fin d’éditorial,  l’intégralité du meeting et des interventions de Bernard Accoyer et Nicolas Sarkozy.

Mais nous ne résistons pas à reproduire ci-dessous  l’intervention  de Bernard Accoyer, tant elle s’apparente à une ode plébiscitaire à l’égard du candidat qu’il pare avec une grande exagération  de toutes les qualités  les plus valorisantes … courage, générosité, solidarité :

Intervention de Bernard Accoyer :

Il n’est pas loin, et je m’adresse à lui, Monsieur le Président de la République, Cher Nicolas  la Haute Savoie est fière, fière de vous accueillir, fière que vous soyez avec zr cette fierté avec … cette fierté nous la partageons avec ceux de Rhône-Alpes qui sont venus ici avec nous.

Elus et citoyens, si nombreux ici pour vous soutenir comme vous l’avez été tout au cours de la journée, nous sommes fiers et nous vous remercions d’avoir choisi notre Département pour cette première rencontre avec les françaises et les français, alors que vous entrez en campagne.

Cette Haute Savoir vous la connaissez bien, elle partage avec vous les valeurs de que portez, la France … la France est née de ces valeurs, elles ont forgées notre pays, le travail, la responsabilité, la famille, la solidarité…Sur ces valeurs nous voulons construire avec vous notre avenir pour une France Forte ….


Applaudissements et acclamations dans la salle  …. ( « La France Forte » est le slogan de campagne de du candidat Sarkozy)


….., Monsieur le Président, à  ces valeurs, j’en ajouterais une qui vous caractérise et que personne ne peut contester , une valeur qui en ces temps de crise est précieuse pour notre pays, cette valeur c’est le courage , et c’est avec ce courage qu’en 5 ans  , malgré une crise mondiale majeure , vous avez réformée la France come jamais depuis le début de la Vème République.  Oui, vous avez modernisé la France pour protéger les Français, face aux défis de notre temps , la mondialisation, les délocalisations, le chômage , et la sauvegarde, et la sauvegarde de notre modèle social comme de l’environnement,.

Ici dans cette terre d’agriculture, de PME industrielles  et de tourisme, ce sont des milliers d’emplois qui ont été créés et sauvés , et que grâce aux mesures courageuses que sont la TVA à 5,5 pour cent … le crédit impôt recherche et la suppression de la Taxe professionnelles, pour ne citer que quelques mesures… enfin, enfin ….il y a une qualité qui vous habite et dont je veux … parler ici, cette qualité c’est votre générosité, j’ai pu en être le témoin en voyant votre émotion devant les injustices de la vie, , le drame du chômage, la détresse des victimes , et de leur familles , et toujours vous ne cessez  la meilleure solution pour apaiser les souffrances, pour faire respecter le droit et tout faire, pour que le drame qui vous émeut ne se reproduises pas.


…. Nous voulons saluer ces combats qui sont les vôtres pour défendre notre agriculture,  et nos emplois, nos usines et nos filières, nous voulons saluer votre action aux côtés des plus faibles, pour défendre les victimes, libérer les otages, respecter les droits de l’homme, partout dans le monde… Aujourd’hui nous somme à la croisée des chemins, nous voulons, les choix sont simples, poursuive la dynamique engagée en 2007 ou revenir en arrière ?...

Aujourd’hui, mes Chers compatriotes,  ……. parce que le Président de la République a su faire face aux pires difficultés, c’est à cette question cruciale,  - parce qu’il a protégé des  effets de la crise, parce qu’il a engagé la France sur la voie courageuse de la mondialité, parce que chacun connaît la force des convictions de Nicolas Sarkozy…nous répondons oui pour la France oui pour Nicolas Sarkozy …


 Le  Président apparaît  dans la salle sous les applaudissements et les acclamations,  Bernard Accoyer a tout juste le temps de descendre de l’estrade, Nicolas Sarkozy  gravit l’estrade salue l’assistance en ouvrant les bras, prend place au pupitre …il est 18 h 35 environ quand il commence son premier discours de campagne.

Résumé condensé  de sa prestation :


 Mes Chers Amis,

 "J'ai décidé d'être à nouveau candidat à la présidence de la République...", commence Nicolas Sarkozy, ovationné ….. "J'ai commis des erreurs, mais je me suis toujours efforcé d'être juste." Le public applaudit.

 Le candidat poursuit en évoquant le plateau des Glières, haut lieu de la Résistance. C'est là qu'il avait achevé sa campagne le 4 mai 2007. "J'aime vos vallées, j'aime vos montagnes, et quand je viens sur le plateau des Glières, j'ai toujours l'impression de communier avec cette âme de Savoie", affirme-t-il.

18 h 40. Nicolas Sarkozy  défend son bilan de Président  avec fierté  et énumère à son actif ses réformes  (voir la vidéo) :


18 h 44. "On ne fait pas son devoir quand on n'a pas le courage d'assumer les responsabilités que les Français nous ont confiées", explique le candidat, qui vante son grand emprunt. En commençant à lancer une première flèche contre l’opposition :  ……"Ils n'ont pas voté le grand emprunt, aujourd'hui, ils disent qu'on n'en a pas fait assez. J'ai renoncé à comprendre"... ironise le chef de l'État. "Il fallait faire des dépenses d'investissement, et pour cela faire des économies de fonctionnement. La France a fait face, mais elle n'a pas sacrifié l'avenir",  à poursuivi  Nicolas Sarkozy.

18 h 50. Le candidat Sarkozy  vante  sa politique extérieure : la Côte d'Ivoire, la Libye, "la France est respectée dans le monde !" s'exclame-t-il.

18 h 51. Nicolas Sarkozy reprend son carquois et ses flèches cette fois contre l’action des socialistes qui l’ont précédés :  "Ceux qui ont voté la retraite à 60 ans ne sont plus là, mais, vous, les Français, continuez à en payer les conséquences. Ceux qui ont mis en route les 35 heures ne sont plus là, mais vous, Français, continuez d'en payer les conséquences."

Il fait très fort en employant le mot même  "dilapidation".

18 h 54. Nicolas Sarkozy poursuit  sa critique des socialistes, mais  tout le monde comprend   que celui  qu’il vise est François Hollande :  : "Quand on se met à la merci des marchés financiers, parce qu'on laisse filer les déficits, on affaiblit la France."   "Quand on dit à la presse anglaise qu'on est libéral et quand on vient expliquer aux Français que l'ennemi, c'est la finance, on ment, on ment matin et soir, et ce mensonge n'est pas à l'honneur de celui qui le professe", a-t-il lancé dans une allusion aux propos tenus par François Hollande au Guardian.


18 h 55.  Nicolas Sarkozy passe  alors à l’amour de la France, à   la  place du pays dans le monde,  aux  valeurs... et  ressert   sur le fond ses  thèmes de campagne de 2007 …..quelques   peu actualisés.

 Certains prétendent que c’est Henri Guaino son conseiller spécial  qui a écrit comme en 2007 son discours de ce jour,  et on peut penser que sa plume s’est contentée  de copier/coller quelque passages  en les actualisant au  goût du jour… (voir la vidéo)


 Nicolas Sarkozy  déclare que "la France est un grand pays, les Français sont un grand peuple qui recèle des trésors d'ingéniosité et de courage" …….Puis il poursuit  sur la "nation qui est un socle"….. ,   en dénonçant le communautarisme … "Le pire serait de la laisser éclater en communautés, en tribus, en bandes rivales,….. "Aimer la France comme on aime ses enfants, comme on aime sa famille, ce n'est pas refuser l'Europe, ce n'est pas refuser le monde. Quand on croit à la France, on ne l'imagine pas repliée sur elle-même", conclut-il. Ça, c'est pour le FN... Nicolas Sarkozy poursuit son offensive contre le parti de Marine Le Pen : "Des Français dans les classes moyennes, qui ont le sentiment de ne plus maîtriser leur destin, à la merci d'un bureaucrate ou d'un concurrent qui n'obéit à aucune règle." Il tend la main à ceux qui ont peur : "Je veux rendre la parole à la France qui dit non."


19 h 5. Il est temps  de défendre ses récentes idées ……Il  défend le recours au référendum, avec des  références gaulliennes …. Il rejette les  critiques contre cette idée,  en affirmant que "les socialistes sont opposés au suffrage universel".

Pour défendre   l'organisation de référendums  il s’en prend aux  "corps intermédiaires", qui font écran : les syndicats, les commentateurs... "Les corps intermédiaires ont un rôle à jouer dans la démocratie à condition qu'ils ne confisquent pas le pouvoir dit-il, et il  affirme  que "les Français doivent donner leur opinion sur ce système d'indemnisation du chômage et sur la façon dont on doit considérer le travail et l'assistanat."

Au sujet du nucléaire, il a évoqué la situation de la centrale de Fessenheim, que le PS, en vertu d’un accord par Europe Ecologie-Les verts, fermerait en cas de victoire électorale. "Et le peuple, là-dedans? Et les ouvriers de Fessenheim, sur le tapis de la négociation pour quelques postes, pour quelques places, pour quelques prébendes?", s'est exclamé Nicolas Sarkozy,  en ironisant   sur "cette négociation tellement rafraîchissante" entre les deux partis de gauche.


 Sur le plan social de son programme Nicolas  Sarkozy  insiste encore   "Nous croyons à la solidarité, pas à l'assistanat. Je veux un droit nouveau pour les chômeurs : le droit à une formation et à un emploi à l'issue de cette formation, avec l'obligation d'accepter(*). C'est une véritable révolution dans le système d'indemnisation du chômage, et surtout une grande réforme de la formation professionnelle."

(-  (*) -  Notez bien  « avec l’obligation d’accepter » …il n’échappera à aucune personne  censée que c’est une expression de dictateur  qui  pourtant enchante ses sympathisants,( de même que sa déclaration contre les corps intermédiaires)  alors que  tous les candidats à la présidentielle se sont élevés unanimement  contre le référendum sur le droit des chômeurs


L’heure avance  il lui  reste à aborder l’immigration illégale,  Nicolas Sarkozy dénonce ceux qui refusent de débattre de l'immigration illégale,  selon lui, c'est "capital, pour éviter que les entrées sur le territoire n'explosent, sinon, c'est tout notre pacte social qui volera en éclats"  il confirme  sa volonté  de confier la lutte contre l'immigration illégale à un seul juge, au lieu de deux aujourd'hui.

 19 h 15 la fin approche, il restait à Nicolas Sarkozy  à se défendre  de toute "droitisation" en  se justifiant par le critère de   l’intêret général  et de son devoir de Président de tous les français : :  "Je n'ai jamais eu d'autre critère que celui de l'intérêt général. .... Mon devoir est d'être le président de tous les Français."

Puis pour terminer il repart à l’offensive contre François Hollande, sans le nommer,  accusé de faire la différence "entre les bons Français de gauche et les mauvais de droite", ce qui enflamme l’assemblée de contentement …


19 h 16. C’est la fin du discours, tous  les militants  et sympathisants debout  surchauffés crient « Nicolas ! Nicolas ! … »  et pour finir  chantent à tue-tête La Marseillaise ……

 L'Arcadium commence à se vider lentement ……

 Les militants contents et satisfaits  confient leur satisfaction  aux journalistes...

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Que faut-il retenir de ce premier discours ? :    des critiques acerbes contre l’opposition « on ment »  a-t-il dit en   visant  frontalement  François Hollande sans le nommer,  des moqueries contre l’accord  l Europe Écologie-Les Verts,  des justifications de son bilan et de ses réformes et de ses nouvelles  idées  référendaires par références gaulliennes, des mots solidarité contre assistanat pour parler de son programme social,   des attaques contre les corps intermédiaires, une volonté de contraindre les chômeurs via un référendum, des projets contre l’immigration illégale, une justification assez vague « l’intérêt général » pour démentir une  droitisation dont certains l’accuse …

….. Nous n’avons rien appris de nouveau tant dans ses critiques, que dans la défense de son bilan et de ses réformes, tant  dans ses justifications que dans ses projets, … puisque pour l’essentiel ils sont  dit et redits et répétés dans tous ses discours et pour les nouvelles idées connues  depuis quelques jours …


Enfin il faut aussi noter, et ça c’est nouveau,  que selon lui c’est  bien l’attitude la gauche qui a fini de le convaincre de briguer un second mandat. "Lorsque j'ai compris que tous les efforts que les Français avaient accepté de faire depuis cinq ans risquaient de ne servir à rien si, au lendemain des élections, les postures idéologiques à nouveau triomphaient. Lorsque j'ai compris que dans cette campagne on ne dirait pas la vérité aux Français, j'ai jugé que je n'avais pas le droit de rester les bras croisés, que je ne pouvais pas rester indifférent à ce qui se préparait", a-t-il solennellement  martelé.

Le Mercredi 15 Février au soir sur TF1 , annonçait  officiellement sa candidature et il expliquait ainsi sa décision  en évoquant les crises sans précédent : «  Je l’ai prise parce que la situation aujourd’hui de la France, de l’Europe et du monde, qui connaît depuis trois ans une crise absolument sans précédent, je devrais dire une succession de crises sans précédent, fait que ne pas solliciter à nouveau la confiance des Français, ce serait comme un abandon de poste. Est-ce qu’on peut imaginer le capitaine d’un navire dont le bateau serait en pleine tempête dire « eh bien non, je suis fatigué, je renonce, j’arrête » ?

Maintenant il parait que c’est en plus l’attitude  la gauche qui a fini de le convaincre de solliciter un second mandat 

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A quand la prochaine ?.... La revoyure est fixée à Marseille pour le Dimanche 20 Février, Madame Carla Bruni d’après les rumeurs sera là pour soutenir son mari, c'est logique  puisque qu’elle a déclaré récemment  "  il a tout bien fait " ........." je trouve que  ses idées sont  fabuleuses ".

En effet d’ après un article de "20minutes fr" Madame Carla Bruni-Sarkozy a affirmé " Bien sûr, je m’investis. Pas de façon professionnelle mais humaine. J’accompagnerai mon mari quand il aura besoin de moi....."

Plus loin l’épouse du Président s’est exprimée sur l’engagement de son époux : « Je peux vous dire que je me lève tous les matins et me couche tous les soirs avec lui et qu’il y a peu de gens qui ont aussi peu de doutes. Non pas qu’il ne doute pas de lui mais il n’a pas de doutes quant à son engagement.

Enfin pour répondre à une question pour le moins insolite pour ne pas dire indiscrète : Il n’est pas fatigué par les nuits agitées? ….. Madame Carla Bruni-Sarkozy a expliqué : « … Elles le sont parce que j’ai une fille de quatre mois. Lui ne la nourrit pas. Généralement, ce sont les femmes qui s’y collent » .

Après quelques autres questions moins indiscrètes quand on lui demande :

« Regrettez-vous une action entreprise par votre mari au cours des cinq dernières années? … la réponse est nette et franche : Je ne m’y connais pas tellement mais franchement, je trouve qu’il a tout bien fait.

Et ensuite quand on lui demande « Soutenez-vous ces propositions d’organiser des référendums? , Madame Carla Bruni Sarkozy n’est pas embarrassée pour avouer : « Là encore, je ne m’y connais pas. Généralement, je trouve que ses idées sont fabuleuses » 

Vidéo :

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Nicolas Sarkozy à Annecy : le discours en... par LCP
Nicolas Sarkozy à Annecy : le discours en... par LCP


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Nicolas Dupont Aignan a résisté courageusement à des manifestants qui l'ont agressé le 13 Février devant l'ambassade de Grèce

Éditorial de lucienne magalie pons

L'actualité politique de la campagne Présidentielle qui envahit tous les médias , laisse à l'arrière plan des incidents qui se déroulent en plein Paris et qui cependant touchent directement à nos libertés d'expression.

Monsieur Dupont Aignan qui s'était rendu devant l'ambassade de Grèce à Paris le 13 Février pour apporter son soutien à la Grèce et à son peuple a été agressé violemment par des groupes qui se prétendent antifascistes et qui ont utilisé des moyens agressifs dans l'intention de le faire partir.

Dupont Aignan violemment pris a parti a résisté sur le terrain et ne s'est pas laissé intimider , ce qui lui a valu d'être interrogé après l'agression par les très nombreux journalistes qui couvraient la manifestation des prétendus antifascistes.

Au cours de cet interview impromptu Nicolas Dupont Aignan a pu développer son avis sur la situation grecque et l'euro.

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16 février 2012

François Hollande hier à Rouen devant 9000 partisans - Revue de Presse -

Éditorial de lucienne magalie pons

 Revue de presse :

extrait vidéo



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Réquisitoire de François Hollande contre le "candidat-président ...

fr.news.yahoo.com/françois-hollande-ironise-à-rouen-sur-le-candidat...
il y a 22 heures – Lisez 'Réquisitoire de François Hollande contre le "candidat-président"' sur Yahoo!. ROUEN, Seine-Maritime (Reuters) - François Hollande a ...
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Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...