12 mai 2011

Clearstream : Mercredi 11 mai 2011 - 5me audience du procès en appel -

Éditorial de lucienne magalie pons

Source : 2Villepin.free.fr :
Pour lire le compte rendu cliquer sur le lien "Clearstream"  ci-dessous :

Notre procès Clearstream: cinquième journée

mercredi 11 mai 2011 :: Clearstream :



Revue de presse :

- Autres sources :



Clearstream : pour Rondot, Villepin n'a pas «monté de complot»
Le Figaro
Surtout ceux de Dominique de Villepin, trop expérimentés pour sous-estimer la dangerosité d'un témoin. Me Luc Brossolet a saisi la chemise «Audition Rondot» posée devant lui, Me Olivier Metzner veille au grain, yeux mi-clos, tandis que l'ancien premier ...
Afficher tous les articles sur ce sujet »

Clearstream : contrition générale
Libération
Avec Philippe Rondot en guest star, l'audition d'hier a vu les protagonistes de l'affaire, Villepin mis à part, reconnaître leurs erreurs. Par Renaud Lecadre Photo Vincent Nguyen. Riva-press Certains pensaient assister à un nouveau «bal des menteurs». ...
Afficher tous les articles sur ce sujet »
Clearstream, autoportrait du général Rondot
Blog Le Monde (Blog)
Ces fameux “verbatim”du général Rondot sont au coeur du dossier d'instruction et encombrent la défense de Dominique de Villepin. Les notes du général Rondot sont en effet ennuyeuses pour l'ancien premier ministre, sinon sur sa responsabilité pénale ...
Afficher tous les articles sur ce sujet »
Clearstream : le général Rondot dépose en faveur de Villepin
Le Point
Le général Rondot a témoigné mercredi devant la cour d'appel de Paris pour expliquer ses relations avec Dominique de Villepin. Un témoin-clé, le général Philippe Rondot, a déposé mercredi en faveur de l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin au ...
Afficher tous les articles sur ce sujet »

11 mai 2011

RSA : le cas Wauquiez

Éditorial de lucienne magalie pons

Il y a des jours ou les actualités me navrent à un tel point que je n'ai plus envie du tout d'en écrire ... les errements et les suspicions  de Monsieur Wauquiez sur le RSA contre  ceux qu'il considèrent comme des    "assistés" avec un mépris évident , alors qu'ils sont en réalités les victimes sociales d'un système d'exploitation des salariés  qui les utilisent comme des kleenex, ou encore des victimes de la vie,   ne méritent même pas d'être commentés,  tant il est certain que toute personne douée du moindre sens social  et solidaire comprend d'elle même que ce ministre veut réduire les  personnes en difficultés  à des misères encores plus grandes en leur imposant des contraintes.

Ce petit  "marquis"  est un dictateur ni plus ni moins, imbu du faux prestige de sa situation, valet d'une politique néo- capitaliste libérale qui fait de la casse sociale sans souci de sentiments humains ,  il suffirait pourtant que la vie lui assène un revers de fortune, de situation ou de santé, ce qui peut arriver à chacun d'entre nous, pour qu'il change d'opinion séance tenante. Nous ne lui souhaitons pas un tel sort qu'il mériterait pourtant  pour lui clouer le clapet,  mais il n'est pas interdit de souhaiter que de tels personnages orgueilleux  ne restent pas au pouvoir..

Et en plus ça se réclame du Gaullisme ! ... A bas  les imposteurs !

Désaccords au gouvernement et au groupe UMP

Le Figaro - ‎Il y a 38 minutes ‎
Laurent Wauquiez, ministre des Affaires européennes, a reçu le soutien de vingt-deux députés UMP. Crédits photo : François BOUCHON/Le Figaro Les propositions de réforme RSA émises par le ministre des Affaires européennes irritent une partie de la ...
Vidéo : Des bénéficiaires du RSA choqués par Wauquiez BFMTV
Nord Eclair.fr - Les Échos - Le Monde - L'Express

10 mai 2011

Mozart parle à notre cœur

Éditorial de lucienne magalie pons


Clearstream : ( Lundi 9 mai 2011 : quatrième audience) - (Jeudi 5 mai 2011 : troisième audience)

Éditorial de lucienne magalie pons



Source : site 2villepin.free.fr

Comme cela avait été le cas en première instance, le blog 2Villepin.free.fr nous fait tout au long des audiences du procès en appel de l’affaire Clearstream.

Nous avons déjà repris récemment  en lien sur notre blog la  première et deuxième  audience, voici ci-dessous la troisième et quatrième audience :

Notre procès Clearstream: quatrième journée

Reprise ce lundi matin des audiences du procès en appel de l'affaire Clearstream.
Lire la suite

Notre procès Clearstream: troisième journée

Troisième jour du procès devant la cour d'appel de Paris.
Lire la suite

09 mai 2011

Le Cavalier Camarguais Lorenzo et ses chevaux : énergie-action-émotion show !

Éditorial de lucienne magalie pons

Un spectacle unique au monde :


Dans le Sud de la France, un cavalier communie avec ses chevaux et nous offre un spectacle équestre de voltige unique au monde...

Retrouvez le DVD de Lorenzo et encore plus de spectacles équestres sur www.obatala.fr

Pour voir la vidéo cliquez sur le lien ci-dessous, Lorenzo, ses chevaux blancs, la Camargue, vous enchanteront  :

Lorenzo : the Flying French Man... par alatebo

A noter : 
Grand Spectacle Equestre "Liberté"
Le 13/07/2011
11h00 Cabestria dans les rues du village suivie de la parade équestre De 11h00 à 13h00 et de 13h30 à 15h00 animation musicale, danse sévillane et flamenco, 18h00 - 19h30 Présentations équestres Doma Vaquera, Haute Ecole, Voltige. 20h00 - 21h30 animation musicale danse sévillane et flamenco 22h00 aux arènes grand spectacle équestre "Liberté" avec Lorenzo, Hasta Luego, Camarkas, Alma Vaquera......22h-23h30 animation musicale, danse sévillane et flamenco

Wladimir Bizet Sefani s'est expliqué sur les motifs de sa protestation






Éditorial de lucienne magalie pons


Wladimir Bizet Sefani, le Conseiller municipal de Lanester qui  a perturbé la cérémonie du 8 mai, dimanche à Port-Louis, se considère comme  victime de "censure".

Lorsque  le Chef de l’État a commencé son discours, il a crié et répété à plusieurs reprises, "Votre politique est une insulte, c'est la mort de la liberté, de l'égalité et de la fraternité !", bien entendu   il a été rapidement maitrisé par le service d’ordre.

 "Des personnes du service de sécurité m’ont sauté dessus et ont tout fait pour que le message ne passe pas", a  raconté  Wladimir Bizet Sefani  au micro d’Europe1  "Ils m’ont bloqué la mâchoire, la bouche. Il ne fallait plus que je parle", a raconté Wladimir Bizet Sefani au micro d’Europe 1, en estimant qu’il a été victime de censure :  "Monsieur Sarkozy a voulu censurer un citoyen qui s’élève contre une politique de haine, de violence".

Après avoir été entendu  à la gendarmerie de Port-Louis  il a été relâché dimanche après-midi sans qu'aucune poursuite n'ait été retenue à son encontre.

Dans l’article,  mentionné en lien ci-dessous,  figure une vidéo dans laquelle Wladimir Bizet Sefani  explique  les raisons de sa  protestation, selon lui il est « décalé » pour le Président de Nicolas Sarkozy de se présenter comme l’héritier de la résistance.

Cliquer sur le lien pour accéder à l’article et à la  vidéo :

VIDEO. L'hommage de Sarkozy à la Résistance perturbé par un élu

Le Parisien - ‎Il y a 5 heures ‎
SUR LE MÊME SUJET

08 mai 2011

Le Protecteur des Français ?

Éditorial de lucienne magalie pons

Source : Site "Gaullistes de Bretagne et Pays de la Loire
par Emmanuel Jarry et Yann Le Guernigou
 
PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy entame vendredi la dernière année de son mandat avec un lourd déficit de popularité et un bilan contesté qui alimentent dans sa majorité la crainte d'une défaite aux scrutins présidentiel et législatif de 2012.
 
Elu le 6 mai 2007 avec 53% des suffrages, il est désormais crédité de la cote de popularité la plus basse d'un président de la République française à un an d'une telle échéance. Des sondages prédisent même son élimination dès le premier tour.
 
Pourtant Nicolas Sarkozy, dont nul ne doute qu'il sera candidat, affiche une sérénité inoxydable, tandis qu'une poignée de conseillers réfléchissent dans l'ombre à sa future campagne.
 
"Si je doute beaucoup, je redoute assez peu", dit-il dans une interview à L'Express. "Je ne m'interroge pas sur mon image (...) La meilleure communication, ce sont les résultats."
 
A l'orée d'une campagne qui ne dit pas encore son nom, le président, ses services, ses ministres et son parti défendent donc son bilan à coups de fascicules sur papier glacé et de déclarations façonnées par des "éléments de langage" calibrés.
 
Ce qui n'exclut pas, en privé, des appréciations dissonantes. "J'ai cru dans le discours de 2007. Il reste à le mettre en oeuvre", résumait ainsi récemment un ministre.
 
Dans un tract diffusé à 3,5 millions d'exemplaires, l'UMP insiste d'ailleurs davantage sur l'action protectrice du chef de l'Etat, en énumérant les "catastrophes" qu'il a évitées, selon le parti, à la France, que sur son action réformatrice.
 
"La France avance", clame pourtant un livret distribué par l'Elysée, comme pour conjurer le sentiment, dans l'opinion, que les Français ne vivent pas mieux en 2011 qu'en 2007.
 
"BURN-OUT"
 
Après avoir diagnostiqué en 2009 une société "fracturée", "usée psychologiquement" et obsédée par la peur du déclassement, le médiateur de la République, Jean-Paul Delevoye, dépeint dans son dernier rapport des Français en pleine dépression nerveuse.
 
"Le 'burn-out' de la société française trahit un besoin urgent de bâtir de nouvelles espérances à la hauteur des efforts fournis", écrit-il. Or, "les débats sont minés par les discours de posture et les causes à défendre noyées parmi les calculs électoraux", déplore cet homme issu de la majorité.
 
Certes, la crise financière et économique de 2008-2009 est passée par là, comme le rappelle l'Institut national de la statistique, qui fait état de 400.000 emplois perdus en deux ans et d'un fort ralentissement de la progression des salaires.
 
Mais "Nicolas Sarkozy a été élu sur des promesses fortes, axées sur le pouvoir d'achat et l'emploi", souligne Gaël Sliman, de l'institut BVA. "Les Français ont pu patienter pendant la première année de crise mais ça n'a qu'un temps. Globalement, les gens estiment qu'il n'a pas tenu ses promesses.
 
Pour cet analyste, les tentatives du chef de l'Etat de redresser sa popularité en axant son discours sur l'immigration, l'identité nationale et la sécurité ont été "catastrophiques".
 
"Cela a encore plus creusé son impopularité, fait monter (la présidente du Front national) Marine Le Pen dans les sondages et effrité son socle électoral", explique-t-il.
 
Nicolas Sarkozy multiplie donc les déplacements dans la France rurale et ouvrière pour regagner un électorat populaire qui s'est détourné de lui, même s'il semble résigné à la réforme phare mais contestée des retraites.
 
Il a aussi relancé la thématique du pouvoir d'achat en proposant que les entreprises dont les dividendes sont en hausse versent une prime à leurs salariés - dernier avatar du "partage de la valeur" dont il s'était fait l'avocat.
 
CRAINTES
 
Il a cependant revu son ambition à la baisse en précisant que le montant serait "fixé librement" par les entreprises après discussion avec les syndicats, au risque de voir s'allonger la litanie des reculs, des demi-mesures qui fâchent tout le monde sans satisfaire personne et des annonces sans lendemain.
 
Le chef de l'Etat s'est ainsi déjà résigné à détricoter l'emblématique "bouclier fiscal", tout comme il a renoncé à la taxe carbone ou à la suppression du juge d'instruction.
 
Oubliée, également, la "rupture" promise en 2007. Les deux derniers remaniements ont enterré "l'ouverture à gauche", marque du début du quinquennat, et vu un retour en force des fidèles de l'ex-président Jacques Chirac au gouvernement, au détriment de centristes tentés désormais de jouer leur propre carte en 2012.
Pour les analystes politiques interrogés par Reuters, rien n'est cependant joué pour cette échéance.
 
"Sarkozy est une bête de campagne qui peut trouver en lui les ressources, politiques ou extrapolitiques, pour remonter la pente", estime ainsi Paul Bacot, de Sciences politiques Lyon.
 
Le chef de l'Etat peut notamment miser sur l'embellie de l'emploi si elle se poursuit et sur ce qui lui a le plus réussi, la gestion de situations de crise internationale comme celles de Géorgie en 2008 et de Libye en 2011, ou la tourmente financière née de la faillite de Lehman Brothers fin 2008.
 
"En 2007, Nicolas Sarkozy avait gagné sur l'espoir. S'il l'emporte en 2012, ça sera davantage sur les craintes", estime Gaël Sliman. "Il peut se passer des tas de choses en un an. Il a une image rassurante en temps de crise."
 
Un avis partagé par le directeur de Viavoice, François Miquet-Marty, pour qui le président doit continuer à jouer sa carte de protecteur des Français face à la mondialisation.
 
L'Elysée et les dirigeants de l'UMP veulent aussi croire que la donne changera dans l'opinion quand le Parti socialiste aura désigné son candidat pour la présidentielle.
 
"Nous n'avons pas d'adversaire identifié avec lequel les Français puissent faire la comparaison", explique le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé.
 
"Pour nous, c'est une période qui pourrait être comparée à un faux plat", dit-il en usant d'une métaphore cycliste.
 
Edité par Patrick Vignal

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...