25 janvier 2011

mini, hyper, supra Président, une ascension volatile virtuelle !

Source : site Gaullistes de Bretagne et Pays de la Loire:

Sarkozy: d'hyper président à supra président, selon la presse
 
PARIS — De la conférence de presse de Nicolas Sarkozy lundi, les éditorialistes retiennent que l'hyperprésident des débuts devient "supraprésident" et que la présidence du G20 lui donne l'occasion de se "représidentialiser" en vue de 2012.
 
Dans Les Echos, Henri Gibier estime qu'"avec un tel programme au coeur de "son" G20, l'hyperprésident va devenir (...) une sorte de +supraprésident+, au-dessus des partis et presque au-dessus de son pays".
 
Rémi Godeau de L'Est Républicain croit aussi que "le crypto-candidat à 2012 veut capitaliser sur ses réussites passées à l international - Géorgie, crise financière - pour mieux se représidentialiser."
 
Le Courrier Picard sous la plume de Didier Louis, assure également que "pour son grand oral devant les journalistes, Nicolas Sarkozy avait choisi un classique de la Ve pour chef d'Etat aspirant à se représidentialiser."
 
"Sarkozy semble avoir compris qu'il fallait qu'il se +présidentialise+. Mais ce revirement n'arrive-t-il pas trop tard?" se demande Jean-Marcel Bouguereau dans La République des Pyrénées.
 
Hervé Favre dans La Voix du Nord assure qu'"à l'heure où sa popularité est au plus bas, le président recherche un nouveau souffle dans l'ascension des sommets de l'année, G8 en juin, G20 en novembre."
 
Ils sont plusieurs à évoquer l'abandon du style bling-bling ou agité comme Laurent Marchand d'Ouest-France qui souligne que "c'est un nouveau style que Nicolas Sarkozy a étrenné. Pas de volontarisme. Pas d'envolée lyrique sur la refondation du monde, de sa finance, de son ordre. Pas de détails people. Pas d'accrochage avec les plumes les plus acides de la presse française. Pas de phrase choc ni de réflexe d'autodéfense".
 
Les éditorialistes ne sont pourtant pas certains du résultat, tel Michel Lépinay de Paris-Normandie qui se demande si "le galon de président temporaire du G20 suffira-t-il à rendre son pari gagnant ? Sur certains points peut-être. Sur d?autres, il a probablement mis la barre bien haut."
 
"Nicolas Sarkozy avance pour sa présidence des G20 et G8 avec de grandes ambitions", juge également François Ernenwein de La Croix.
 
"À l?international, comme au national, le chef de l?État offre l?image d?un président qui parle beaucoup. Communique efficacement. Évoque avec pertinence les dossiers. Mais obtient peu de résultats.(...)", note avec circonspection François Martin dans Le Midi Libre.
 
Quant à Paul-Henri du Limbert, éditorialiste du Figaro, il choisit l'ironie: "Comment, lorsqu'on est de gauche, s'opposer à un homme qui fait de la régulation mondiale son combat ? Comment, lorsqu'on est de gauche, s'opposer à un homme qui entend combattre la spéculation sur les marchés agricoles, car elle crée +les émeutes de la faim+?". Et même la perfidie: "Comment, enfin, lorsqu'on est de gauche, s'opposer à quelqu'un qui, sur tous ces sujets, a la même vision que Dominique Strauss-Kahn".
 
Par Gaullistes de Bretagne et Pays de la Loire - Publié dans : Politique

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24 janvier 2011

Mur d'actualités - vidéos récentes -

Éditorial de lucienne magalie pons

Conférence de presse de Monsieur le Président de la République du 24 Janvier 2011

Éditorial de lucienne magalie pons

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G 20-G8 « Nouveau Monde    Nouvelles idées » ... nouveau Président !

Brèves réflexions sur la Conférence du Président de la République

Si l’on en juge par l’attitude et l’expression du Président de la République lors de sa conférence de presse du 24 Janvier 20011, on peut se rendre compte que l’on peut donner l’illusion d’un nouveau monde et de nouvelles idées  en  rejouant fondamentalement   le même air sur fond de système monétaire, de mondialisation, de gouvernance mondiale, de financement  du développement, mais  entrecoupé de courtes séquence  pour en atténuer la rigueur technique,  comme par exemple une réflexion qu’il souhaite engager sur « un socle de protection sociale universelle »

 
Les questions qui seront prioritairement mis à l’ordre du jour des G20 et G8 ne sont pas nouvelles, mais le Président de la République  qui entend  faire de la présidence du G20 un temps fort de la fin de son quinquennat, s'est livré lundi à un exercice incantatoire pour exposer ses  grandes priorités , mise en chantier d'un nouvel ordre monétaire, lutte contre la volatilité des prix des matières premières, amélioration de la gouvernance mondiale et financement du développement., avec pour accompagnement  sa conviction affirmée de la mondialisation, d’un nouveau monde, de nouvelles idées, et de la régulation qui s’impose dans ces différentes perspectives .

"La planète est devenue un village, c'est une réalité. La France ne peut être abritée derrière des frontières imaginaires", a-t-il dit, en estimant que l'agenda français était "de nature à reconnecter l'opinion publique et le G20", en confirmant qu’il se rendrait en Chine fin mars pour participer à  un séminaire de réflexion sur la réforme du système monétaire international.

Nicolas Sarkozy a  aussi annoncé  l'organisation d'un sommet social à la veille du sommet du G20, en parallèle à un G20 des chefs d'entreprise.


Le chef de l’état à  développé quelques nouvelles  pistes de travail pour faire avancer ces objectifs en citant  notamment :

(liste non exhaustive)

- la lutte contre la volatilité des céréales et des monnaies  et les bénéfices qui pourraient en résulter pour la France, en classant ces objectifs comme des sujets « profondément quotidiens «  pour des catégories comme les éleveurs ou les chefs d’entreprises »


 -   le  financement du développement, il y voit le seul moyen d'endiguer des flux migratoires en provenance de l'Afrique vers l'Europe, que "personne n'arrêtera" si le continent n'a pas accès à l'énergie et aux grandes infrastructures.

- une taxe financière : le Chef de l’état s’est à nouveau dit favorable à une taxe sur les transactions financières pour financer le développement des pays les moins favorisés et aussi pour lutter contre la spéculation, tout en assurant que la France  entendait montrer l'exemple, tout en étant prête à discuter d'autres solutions.


- l’organisation mondiale du travail : "La France ne se résigne pas à ce que les huit conventions de l'organisation internationale du travail sur les droits fondamentaux du travail ne soient pas ratifiées par tous les membres du G20"


- la réforme du système monétaire international : Nicolas Sarkozy  a jugé inévitable l'émergence de nouvelles monnaies internationales tout en estimant que le "rôle éminent" du dollar ne devait pas être remis en cause.


(Le chef de l’Etat   , selon lui,  encouragé par ses contacts récents avec les dirigeants des principaux pays du G20 - Chine, Inde et Etats-Unis - même s'il ne juge pas réaliste d'espérer à une réforme du SMI à la fin de l'année.

Le Mexique, qui succèdera à la France à la présidence du G20, a accepté de co-diriger avec l'Allemagne un groupe de travail sur la réforme du système monétaire international, ce qui permettra d'assurer une continuité)

- sur le FMI : Monsieur Sarkozy a  souhaité une nouvelle  réforme des statuts du FMI et a exposé :  …. « Nous avons réformé le FMI, la Banque mondiale, nous avons créé le Conseil de Stabilité Financière …. » … « J'ai dit notre volonté que le FMI prenne toute sa place dans la surveillance des déséquilibres mondiaux, mais il reste énormément à faire. … La création d'une organisation mondiale de l'environnement, la cohérence de toutes les organisations agricoles, l'action des institutions financières par rapport aux normes fondamentales de l'OIT, la création d'un secrétariat permanent du G20 pour suivre la mise en œuvre de nos décisions entre deux présidences.


- sur les  matières premières : La Russie s'impliquera  dans le dossier matières premières, sur lequel Nicolas Sarkozy a proposé la création d'une base de données internationale sur les produits agricoles afin de "prévenir les crises alimentaires".

"Nous risquons des émeutes de la faim dans les pays les plus pauvres et un impact très défavorable sur la croissance mondiale", a  prévenu  le chef de l'État.

- sur internet :  le Président s’est aussi exprimé sur Internet qu’il veut civiliser ….

ooOoo

Bien entendu notre article n’est qu’un très court aperçu de l’intervention du Président de la République et de sa conférence de presse, mais pour bien saisir l’impact et la finalité de ce message deux petites phrases méritent d’être relevées :

"Je suis certain qu'on ne règlera pas tous les problèmes en une présidence mais la France souhaite un débat car le débat ne peut plus attendre"

 "Si le G20 veut rester légitime, il doit demeurer efficace".  

 Plusieurs réunions sont déjà prévues, entre ministères des Finances, des Affaires étrangères, de l'Agriculture et du Travail.

ooOoo

Notre conclusion : le débat ne peut plus attendre, le Président de la République est certain qu’on ne  réglera pas tous les problèmes en une présidence, des réunions sont prévues,  beaucoup de débat en perspectives, et enfin une recommandation pour asseoir la légitimité du G20 …. « Il doit demeurer efficace » !


Petite question subsidiaire : le G20 vous a-t- il paru efficace ? Nous l’avons vu prendre des décisions qu’il n’a pas le pouvoir d’appliquer, finalement c’est  faire tourner un moulin pour produire des paroles qui s’envolent dans le vent  d’une histoire volatile à souhait.

De nombreuses critiques ou appréciations  figurent dans les grands quotidien du jour, nous les verrons progressivement et les commenterons dans un autre article.

oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooCi-dessous en vidéo  l’intégralité de la Conférence de presse, intervention complète de Nicolas Sarkozy suivie la séance de questions.

Nous n’avons pas pu transférer directement sur notre page la vidéo, mais vous la trouverez très facilement et directement en cliquant  sur le lien actif ci-dessous :

G20-G8 : Conférence de presse de M. Nicolas Sarkozy
envoyé par elysee. - L'info internationale vidéo.

L'embryon est un être humain

Revue de presse  et pétition relayées par  lucienne magalie pons

Quand vous avez signé la pétition pour la protection de l’embryon, vous étiez 5.000, et vous êtes maintenant près de 8.000 !
> C’est un succès qui vous revient, grâce à la diffusion de cette pétition auprès de vos contacts.

Cette pétition a été envoyée à chaque parlementaire le11 janvier à l’aube.
Ils ont été informés que ce résultat n’était que provisoire puisque la signature restait ouverte sur la page « pétition » du site www.les2ailes.com jusqu’à la veille des débats parlementaires.

Quant à la presse généraliste régionale ou nationale, elle n’a pas encore relayé cette information malgré le communiqué de presse qu’elle a reçu.
Seul le quotidien « Ouest-France », l’a repris dans toutes ses éditions du 13 janvier. Le fait mérite d’être signalé.
L’objet de ce mail n’est pas de venir vous encombrer une nouvelle fois, mais de nous mobiliser.
En effet, à nous tous de prouver que le meilleur média, c’est VOUS
Il est indispensable de leur démontrer que les français ont quelque chose à dire sur le sujet.

Merci si vous pouvez insister encore auprès de vos amis et relations qui n’auraient pas encore signé.

Merci de leur transférer ce message et d’argumenter auprès d’eux.
Dépasser le cap des 15.000 signatures est parfaitement accessible.

Pour signer, il suffit de cliquer sur un des mots « pétition » de la page d’accueil du site « http://web.stan.free.fr/index.php?option=com_petitions&view=petition&id=63&Itemid=115 »

Toutes vos familles peuvent signer sous la même adresse, mais il faut remplir un formulaire par personne

Vous pouvez envoyer la pétition en pièce jointe par mail .

 le texte intégral du communiqué de presse  a  été envoyé dans les rédactions. Il contient :
>
- Communiqué de Presse (p.2)
- Message adressé aux parlementaires (p. 3)
- Texte de la pétition (p. 4)

Son résumé est le suivant :  
Une pétition pour un moratoire sur la recherche embryonnaire a été envoyée le 11 janvier 2010 à chaque parlementaire.
Son texte a déjà rassemblé près de 8.000 pétitionnaires
Sa signature restera ouverte jusqu’à la veille des débats parlementaires.
Elle s’appuie sur huit arguments mis en avant qui ne sont ni d'ordre religieux ni politiciens.

Revue de presse - Pétition relative à la recherche embryonnaire

Contact : stan@les2ailes.com Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

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Communiqué de presse de "les2ailes.com" du 10 janvier 2011

Une pétition a été adressée à chaque parlementaire le 11 janvier 2011.  Le texte a déjà rassemblé plus de 5.000 pétitionnaires et  sa signature restera possible jusqu’à la veille des débats parlementaires.
Hébergée par le site Internet www.les2ailes.com, c'est la seule pétition proposée actuellement aux Français sur la question de la recherche embryonnaire dans le cadre de la prochaine loi de bioéthique.
Son initiateur, Stanislas de Larminat,  explique « sans a priori religieux, les motifs des pétitionnaires pour lesquels ceux-ci demandent un moratoire sur la recherche embryonnaire, après les 5 ans de dérogations dont elle a bénéficié ».
Les arguments mis en avant font valoir « la nature de l'embryon. De façon définitive, il s'agit d'un être humain : un « être » parce que ce n'est pas une chose, et « humain » parce que son développement ne conduit pas à la naissance d'un animal ».
La pétition met également en exergue la différence philosophique existant « entre ‘l'être' et ‘l'avoir'. Or la dignité de tout 'être humain', inscrite dans les droits de l'homme, ne se mesure pas à la quantité d''avoirs' (facultés, handicaps, autonomie, projet parental, etc...), mais se fonde sur le seul fait d'être un ‘être' humain. Ce n'est pas parce que l'embryon est 'dépendant' de ses proches qu'il en est moins humain ».
La pétition appelle les députés à ne pas se fonder sur le souci légitime de « l'utilité de nos pratiques » au point d'en arriver à « un principe d'utilité ». Elle rappelle que « l'utilité ne peut être un principe ayant même rang que celui de dignité. L'utilité des pratiques n'occupe qu'un rang secondaire tant que tous les autres principes ne sont pas respectés, à commencer par celui de « dignité », cité dans plus de 40 articles du Code de santé publique ».
Au total, ce sont huit arguments qui sont mis en avant et qui appellent les parlementaires français « à déposer ou à voter un amendement valant moratoire sur la recherche embryonnaire ». (10 janvier 2011)
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Message adressé à chaque parlementaire le 11 janvier 2011

Madame,  Monsieur le Député
J’ai pris l’initiative de proposer sur internet une pétition  sur la recherche embryonnaire.
J’ai été surpris de fédérer, autour de ce texte, 5.000 signatures sans aucun soutien de la grande presse nationale.
Vous avez élu une « commission  spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la bioéthique ». Celle-ci doit encore se réunir avant de rendre public son rapport dans quelques jours.
C’est pourquoi je me permets de vous informer de l’existence de cette pétition. Elle restera ouverte jusqu’au vote finalisant le débat parlementaire.
Sans entrer dans une analyse détaillée de la géographie des signataires, j’attire votre attention sur le fait que toutes vos circonscriptions sont concernées.
Les pétitionnaires de Paris et de la région parisienne ne représentent, en effet, que 25% des signataires.
Concernant la province :
-   20% des signataires de Province  sont domiciliés dans cinq des grandes métropoles françaises (Bouches du Rhône, Haute-Garonne, Loire-Atlantique, Nord, Rhône).
-   Au-delà de ces grandes régions, 20 % des signataires provinciaux qui se sont mobilisés sont originaires d’une dizaine de départements moins peuplés (Hautes-Alpes, Calvados, Corrèze, Gard, Hérault, Isère, Loire, Morbihan, Oise, Vienne).
-   C’est dire que les 60 autres % des signataires provinciaux sont originaires de partout en France.
Je vous tiendrai informé(e), une seconde fois,  de l’évolution du nombre de pétitionnaires avant le début du débat parlementaire.
Les signataires, de leur côté, seront informés à l’issue des débats des noms des députés de leur département ayant voté pour un tel moratoire.
Je suis sûr que vous  saurez accepter la forme de ce texte qui, pour les uns sera un peu « accrocheur » -c'est la loi du genre- et pour d'autres légèrement humoristique. L’important n’est ni la qualité de son initiateur, ni la forme utilisée, mais le fond du texte ci-dessous.
Je vous prie de croire en l’expression de mes sentiments distingués.
Stanislas de Larminat, stan@les2ailes.com Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
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Interview sur Radio Notre Dame le 03 janvier 2011

Ce sera l’un des grands rendez-vous de cette année 2011 au Parlement… Le projet de loi de bioéthique sera examiné début février par les députés… Les associations et l’Eglise se sont mobilisées sur ces questions qui touchent à la vie et à sa transmission… Les citoyens eux aussi veulent se faire entendre… Comme notre invité ce matin…
Avec Stanislas de Larminat, à l’origine d’une pétition pour un moratoire sur la recherche embryonnaire.
Ecoutez l'interview sur le site de Radio Notre Dame, ou directement sur notre site (colonne de droite).
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Famille chrétienne n° 1721 du 8 janvier 2011

« Une pétition en faveur de l’embryon - Ingénieur agronome à la retraite, Stanislas de Larminat, qui a suivi le troisième cycle en bioéthique de l’Institut Politique Léon-Harmel, à Paris, a lancé, le 10 décembre dernier, une pétition qui sera envoyée à l’ensemble des députés et sénateurs. Il les y exhorte « à déposer ou à voter un amendement valant moratoire sur la recherche embryonnaire » [provoquant un arrêt temporaire de cette recherche, NDLR].  Avant le 1er janvier, cette pétition avait déjà obtenu 3.000 signatures. Voir sur le site www.les2ailes.com »
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Interview par l'agence "Zenit" du 11 janvier 2011

France : La pétition pour protéger l’embryon continue sa progressionROME, Mardi 11 janvier 2011 (ZENIT.org) - La pétition lancée sur le site www.les2ailes.com continue sa progression. Elle a franchi le cap des 5.000 signatures et a été adressée par mail à chaque parlementaire le 11 janvier 2010. La pétition restera ouverte aux signatures jusqu'à la veille des débats sur le projet de loi de bioéthique. Le texte met en avant huit arguments n'ayant pas de caractère religieux. La recherche embryonnaire n'était, jusqu'ici, qu'une affaire de spécialiste. Cette pétition a été lancée par un ingénieur à la retraite, Stanislas de Larminat, qui montre ainsi que les Français ont quelque chose à dire sur le sujet. Il répond ci-dessous aux questions de Zenit.
Zenit - Votre pétition a déjà obtenu 5.000 signatures en seulement trois semaines. Quelle leçon en tirez-vous ?S. de Larminat - Le texte signé sur le site « les2ailes.com » prouve que les Français refusent que l'embryon, même sans projet parental, soit réduit à devenir un simple matériel de recherche : « l'embryon est un être humain », dit la pétition, « un être, parce que son développement prouve que ce n'est pas une chose, et humain, parce qu'on ne l'a jamais vu donner naissance à un animal ». Point besoin d'être scientifique pour affirmer cela de façon définitive. Sur les questions de mères porteuses ou de dons d'organes, chacun a son idée. Ce qui surprend avec cette pétition, c'est que, contre toute attente, les Français veulent s'exprimer sur un sujet qui ne leur parait pas aussi compliqué qu'on veut bien le leur dire.Ne croyez-vous pas, malgré tout, que l'opinion a le souci de voir progresser la recherche médicale pour sauver des vies humaines, ou au moins, limiter les souffrances de tant de malades ?Bien sûr que oui ! Les pétitionnaires comprennent «la nécessité, pour la France, de se doter de moyens efficaces pour la recherche médicale ». Mais ils ne sont pas dupes : un certain discours fait croire que le projet de loi est identique à la loi de 2005 sur ce sujet. C'est faux puisqu'on se perd dans des raisonnements sur l'outil qui sera utilisé pour la fin de l'embryon : l'utilité thérapeutique ou l'utilité médicale ? C'est une mascarade sémantique qui cache le vrai débat, celui de l'utilité même que les Français refusent de voir ériger en principe. Bien sûr qu'il faut avoir le souci de nos pratiques médicales, mais, entre le principe et la pratique, il y a la frontière qu'exprime bien le proverbe qui est encore populaire : « la fin ne justifie pas les moyens ». Petit à petit, l'opinion a conscience qu'une interdiction de la recherche médicale sur l'embryon relancerait d'autres pistes autrement plus efficaces. Vous mettez en cause le concept même de projet parental dont beaucoup d'embryons sont privés...C'est typiquement une dialectique qui conduit à toutes les dérives, non seulement concernant l'embryon, mais aussi l'euthanasie. Curieusement, le parlement a décidé de remettre cette question à son ordre du jour le 20 janvier. Or, beaucoup de gens connaissent l'échelle de Maslow. Un embryon a des besoins physiologiques pour devenir bébé. Il a des besoins de sécurité dès la naissance. Il a besoin d'amour pour passer le cap de l'enfance, d'estime pour se construire adolescent. Il lui faut s'accomplir pour devenir un adulte. Quant à la personne âgée, elle dégringole le long de cette échelle quand elle est gravement malade. La demande d'euthanasie n'est qu'un appel au secours pendant cette chute. Mourir dans la dignité, c'est permettre à un malade de retrouver un peu d'amour, de sécurité et de fierté. C'est difficile à apporter, mais les parlementaires doivent réapprendre que la dignité d'un individu ne se mesure pas à la quantité de ses « avoirs » sociaux ou physiologiques, mais au seul fait d'être un « être » humain. L'embryon humain perdrait-il son droit à la dignité faute de projet parental ? La personne âgée le perdrait-elle sans un projet filial porté par ses enfants ? Si on n'accorde pas à l'embryon un droit à la dignité, on sera incapable d'apporter une réponse sensée sur l'euthanasie. Pourquoi, demain, ne pas retirer sa dignité à une personne isolée parce qu'elle n'aurait pas de projet fraternel porté par ses frères en humanité ? Doit-on retirer sa dignité à l'embryon parce qu'il n'a pas de futur, et à la personne âgée qui n'a plus que son passé ? Serions-nous dans une civilisation du présent sans recul ni vision ?Votre pétition appelle donc les députés à la responsabilité ?Dans quelques semaines, ce seront probablement 10.000 pétitionnaires qui auront signé sur « www.les2ailes.com » en étant sensibles à ce jeu de mot « Ne soyons pas coupables d'être irresponsables ».
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"Portrait - Un défenseur de l'embryon" - La Croix du 13 janvier 2011

Un défenseur de l'embryonStanislas de Larminat, auteur d'une pétition pour un moratoire sur la recherche embryonnaire.
Ancien ingénieur à la retraite, ce passionné de bioéthique vient d'écrire à tous les députés pour qu'ils amendent le projet de loi facilitant, par dérogation, la recherche sur l'embryon. Il revendique 6.000 signatures à sa pétition lancée en décembre sur le site "www.les2ailes.com".
Il n'est pas familier des arcanes politiques. Mais l'enjeu lui a paru suffisamment important pour interpeller les députés qui s'apprêtent à débattre, en février, de la révision des lois de bioéthiques. Cette semaine, Stanislas de Larminat, ingénieur agronome à la retraite, a adressé à tous les parlementaires une lettre pour qu'ils amendent l'article 23 du projet de loi sur la recherche embryonnaire. Un article qui facilite l'utilisation des cellules souches embryonnaires à des fins de recherche, une pratique interdite sur le principe mais qui bénéficie de dérogations.
Pour ce chrétien de 65 ans, passionné de bioéthique, l'embryon doit au contraire être protégé. Mi-décembre, il a lancé sur son site www.les2ailes.com une pétition réclamant un moratoire sur ce type de recherches. Celle-ci a déjà rassemblé 6.000 signatures, indique-t-il. "Il est vrai que la foi m'anime, mais je ne représente aucune institution religieuse et mes arguments sont des arguments de raison", insiste-t-il, soucieux d'être audible au delà des cercles catholiques. Dans sa lettre aux parlementaires, il souligne que l'embryon est un "être humain" (sans entrer dans le débat de savoir si c'est une personne), "un "être" parce que ce n'est pas une chose, et "humain" parce que son développement ne conduit pas à la naissance d'un animal". A cet égard, il ne saurait être l'objet de recherches, sauf à céder au "principe d'utilité", argumente Stanislas de Larminat, d'autant que des progrès thérapeutiques peuvent être réalisés à partir de cellules souches adultes, notamment "reprogrammées".
En dépit du poids des chercheurs dont beaucoup souhaitent obtenir une autorisation pure et simple de la recherche sur l'embryon -à laquelle plusieurs députés sont d'ailleurs favorables-, l'ancien ingénieur, père de quatre enfants, est confiant. "On peut renverser les choses avec une pétition, cela s'est vu au niveau européen avec le principe de la clause de conscience aujourd'hui reconnu". Pas si sim^le, estime Jean-Marie Le Méné, qui salue toutefois une initiative "allant dans le bons sens". Selon le président de la Fondation Jérôme-Lejeune, pour qu'une telle démarche soit décicisve, il faut surtout que les élus soient au fait des enjeux en matière de bioéthique. Il attend beaucoup des auditions qui auront lieu ces prochains jours à l'Assemblée devant la commission spéciale sur la bioéthique.
- Marine Lamoureux -
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Ouest-France du 13 janvier 2011

Une pétition sur la recherche embryonnaireA l'initiative de Stanislas de Larminat, une pétition a été adressée à chaque parlementaire le 11 janvier. Hébergée sur le site www.les2ailes.com, elle fait déjà l'objet de 5.000 signatures. A la veille du débat sur la loi de bioéthique, le texte, qui se dit sans a priori religieux, rappelle que "l'embryon est un être humain". Il appelle donc à un moratoire sur la recherche embryonnaire après les cinq ans de dérogation dont elle a bénéficié. 
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23 janvier 2011

Rien de tel pour retrouver la forme

Vendredi 21 Janvier : Tête à Tête chaleureux entre Mr. Chirac et Mr. Sarkozy

Éditorial de lucienne magalie pons









Éditorial de Lucienne Magalie Pons


Monsieur le Président de la République prépare sérieusement le G20 .

Ces derniers temps et mois, le chef de l'État s'était entretenu notamment avec le président chinois Hu Jintao, la chancelière allemande Angela Merkel à Fribourg, et avec son homologue américain Barack Obama. Par ailleurs il avait reçu les présidents du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn, de la Banque centrale européenne (BCE) Jean-Claude Trichet, et de la Banque mondiale Robert Zoellick, et invité à l’Elysée le 6 Janvier à l’Elysée des économistes internationaux.
Selon sa décision, il lui reste à rencontrer successivement, ses prédécesseurs présidentiels aux fonctions présidentielles, Valery Giscard d’Estaing et Jacques Chirac et les anciens premiers ministres dans le cadre des consultations politiques sur les questions internationales en vue gu prochain G20.
Monsieur Sarkozy devait, d’après les médias, ouvrir ce cycle de concertations en invitant en premier de liste Monsieur Valery Giscard d’Estaing, mais ce dernier souffrant s’est provisoirement décommandé, par suite c’est Monsieur Jacques Chirac qui s’est rendu au premier rendez-vous, vendredi 21 Janvier, ouvrant pour ainsi dire le bal.
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La rencontre de « l’actuel » et de « l’ancien » s’est tenu au restaurant le Bristol , haut lieu de la gastronomie Française, situé à proximité de l’Elysée, dans lequel le Président Nicolas Sarkozy a ses habitudes.

Ce rendez-vous a été organisé «dans le cadre des consultations politiques sur les questions internationales» de Nicolas Sarkozy, président en exercice des G8 et G20, avait précisé peu auparavant une source UMP.
Nicolas Sarkozy s’est rendu vers 13 heures à pied au restaurant, tout proche du Palais de l’Elysée, et après un tête à tête chaleureux, le déjeuner s’est terminé à 14 heures, nous ne sommes pas informés de la teneur de leurs échanges.

Sans doute Monsieur Nicolas Sarkozy, au terme de toutes ces consultations fera une synthèse pour en extraire et retenir toutes les idées et propositions judicieuses que ses invités auront pu emmètrent et qui viendront enrichir les siennes sur les questions internationales. 

Il ne s’agit pour Monsieur Nicolas Sarkozy, on l’a bien compris, de se faire cautionner par ses prédécesseurs présidentiels et les anciens premiers Ministres, mais tout de même selon les résultats qu’il aura obtenu au G20, positifs et ou négatifs, il est certain que vis-à-vis de l’opinion publique, il en partagera avec les « anciens » la victoire ou la défaite.

Bien sûr les médias auraient eu , d’ici à l’ouverture du G20 , beaucoup de grain à moudre au fil de ces rencontres successives, s’ils étaient informés des idées et des propositions formulées par les anciens Présidents et Ministres avant la tenue du G20, peut-être certains le sont-ils par le jeu des coulisses, mais pour le moment rien de significatif ne transpire.

Comme généralement les réunions politiques ( et somptuaires , osons le dire) du G20 consistent, pour les dirigeants rassemblés, à promouvoir en tournant en rond leurs propres politiques, tout en se promettant chaleureusement d’étudier les divergences qui les opposent dans « un avenir proche », avant de poser épanouis pour la photo de famille finale, ceci n’aura pour résultat médiatique que d’exciter des journalistes zélés dans l’art de la polémique à remplir des pages, sans compter les magazines peoples qui se saisiront de l’évènement pour répandre des potins sur les conjointes et conjoints accompagnant, les sorties, les toilettes, leur hébergement dans tel ou tel hôtel , etc…

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...