01 janvier 2011

Lundi, avant de présenter ensuite Jeudi ses voeux 2011, Dominique de Villepin sur RTL faisait un tour d'horizon politique

Éditorial de lucienne magalie pons

Dominique de Villepin a présenté ses vœux Jeudi,  mais avant cela il  était l'invité de RTL lundi matin. L'ancien Premier Ministre et Président de "République Solidaire" répondait aux questions de Philippe Corbé.

La masse d'actualités que nous avons eu à distiller  ces derniers jours , associée à une panne de Livebox,  et les périodes de fêtes,  nous ont empêché d'en rendre compte sur le blog. 
  
Mais mieux vaut tard que jamais, et voici aujourd'hui notre impression : Monsieur de Villepin s’est exprimé sur toutes les questions qui lui ont été posées par Philippe Corbé, comme à son habitude franchement et avec une précision politique sans équivoque.

Ci-dessous le rapport intégral de cette interviewe tel qu’il figure sur le site RTL.fr :

« «  Bonjour Dominique de Villepin, La situation est toujours très tendue en Côte d'Ivoire. Dans le Figaro ce matin, Laurent Gbagbo dénonce un complot mené par la France et les États-Unis. Est ce que la France ne lui a pas fourni ces dernières semaines des arguments, pour dénoncer comme il le fait, cet interventionnisme ?

La France comme les autres pays Occidentaux, comme la plupart des pays africains a fait preuve de fermeté.

Sauf que la France est l'ancienne puissance coloniale, qu'il y a 15.000 français sur place et Nicolas Sarkozy a été très insistant.

Oui, mais la France est dans son rôle quand elle fait preuve de fermeté, quand elle défend la légitimité démocratique. La vraie question aujourd'hui, c'est : comment fait on pour aboutir ?... Est ce que nous devons privilégier des moyens de forces, ou est ce qu'il faut persévérer, insister avec détermination, pour utiliser tous les moyens pacifiques permettant de faire comprendre à Laurent Gbagbo et aux siens qu'il ne peut pas rester au pouvoir, et qu'Alassane Ouattara est le président élu de la Côte d'Ivoire.

Est ce que Nicolas Sarkozy a eu tort d'être aussi ferme avec Laurent Gbagbo. Parce qu'aujourd'hui, il n'est plus en position d'être un médiateur.

Aujourd'hui, une fois de plus, la vraie question c'est : faut il aller au delà, et recourir à la force militaire ? Je me réjouis de voir les envoyés de la CDEAO, la Communauté des États de l'Afrique de l'Ouest, se rendre à Abidjan pour rencontrer Laurent Gbagbo et lui dire avec insistance qu'il doit partir. Je crois que c'est par des moyens de pression, pressions économiques, pressions financières, pressions politiques, pressions diplomatiques qu'il faut agir. Le risque nous le connaissons. C'est celui de la guerre civile. Vous l'avez rappelé, j'ai traité des questions de la Côte d'Ivoire entre 2002 et 2004.

Vous avez été ministre des Affaires Étrangères....

Quand j'étais ministre des Affaires Étrangères, j'ai vu la fragilité de la situation, et à quel point il fallait de l'engagement, de la patience, de la détermination pour éviter que les choses ne s'enflamment. Je crois qu'il faut veiller à ce que la démocratie ne s'accompagne pas d'un bain de sang en Afrique.

Avec 15.000 Français au milieu.

Avec 15.000 Français, mais avec des populations africaines qui ne doivent pas non plus, être prises en otage. Donc, c'est tout cela qui doit être intégré par nous dans la stratégie mise en oeuvre, avec les pays africains, avec l'ensemble des pays de l'ONU. Il faut à mon sens, continuer à privilégier une stratégie de pression.

C'est très compliqué de savoir ce qui se passe exactement sur place. On parle de ratonades, d'exactions, d'enlèvements nocturnes. Est ce que les 900 militaires français peuvent rester passifs ?

Vous savez, qu'est ce que ce serait que de s'engager directement dans une action de force en Côte d'Ivoire. Vous imaginez une action qui nous engagerait. Je crois que ce serait une erreur. Si il y a une intervention, ce doit être celle des états africains, et une fois de plus, je le redis en Côte d'Ivoire, cela me parait à hauts risques. Donc, ce n'est pas du tout la solution que je recommanderai. Je crois qu'il faut faire preuve de patience. Pressions financières, pressions économiques, pressions politiques. Cela me parait la seule option, c'est par là que nous devons essayer d'agir.

Dominique de Villepin, des gouvernements de gauche et de droite se sont succéder depuis 98, depuis la première alerte sur le Médiator. Est ce vous diriez comme le professeur et député UMP Bernard Debré que "ignorer", pour un politique c'est une faute.

C'est une phrase qui peut avoir de très très lourdes conséquences. Je crois que les politiques ont des responsabilités, elles doivent être précisées à chaque fois qu'il y a une situation comme celle ci avec d'aussi graves conséquences pour autant de victimes. Néanmoins, c'est l'ensemble des responsabilités qui doit être précisé. L'Agence française sanitaire, ses travaux, est ce qu'elle a été suffisamment précautionneuse ? Les différents ministres concernés, bien sûr. Mais aussi le laboratoire, les médecins qui ont prescrit dans des conditions qui n'étaient pas acceptables

Pensez qu'il y ait des liens entre l'agence du médicament et le laboratoire, des liens un peu troubles ?

Je pense qu'il faut se garder de commentaires vagues et suspicieux dans ce domaine. Il faut se déterminer à partir de faits, les enquêtes doivent être menées. Il y a des enquêtes judiciaires qui sont en cours, il faut attendre de connaître la réalité des faits. Mais c'est l'ensemble de la chaîne de responsabilités qui doit être démontrée.

Vous aviez déjà entendu parler du Médiator avant ?

Non.

Parce que vous avez été Premier ministre, et Xavier Bertrand, était déjà votre ministre de la Santé en 2006 lorsque le remboursement du Médiator à 65% a été prolongé. Ça n'était pas remonté jusqu'à vous ?

C'est un problème qui n'a jamais été évoqué à ma connaissance à Matignon à l'époque.

Jean François Copé a longtemps été l'un de vos proches lorsqu'il vous étiez Premier ministre, il est aujourd'hui patron de l'UMP. Est ce que ça change vos rapports avec ce parti dont vous êtes toujours officiellement membre.

J'ai rencontré Jean François Copé, il y a quelques jours. C'est un ami, nous avons des relations de longue date. Ça ne change rien.

Vous n'avez pas accepté ce qu'il a pu vous proposer ? Qu'est ce qu'il vous a proposé.

Il ne m'a rien proposé, je vous rassure.

Parce que Jean François Coppé veut relancer à l'UMP, le débat sur les 35 heures, le débat sur l'identité nationale. Est ce que c'est vraiment la priorité.

Je crois qu'il faut se concentrer sur l'essentiel.

C'est quoi l'essentiel : les 35 heures et l'identité nationale ?

Je crois que l'essentiel aujourd'hui, c'est l'inquiétude économique et sociale de nos compatriotes. Nous venons de voir tomber les chiffres de novembre du chômage. Voilà une préoccupation centrale des Français. Comment faire en sorte pour redonner à notre pays, une compétitivité. Nous avons perdu pendant les deux années de crise, 500.000 emplois en France. Comment faire en sorte de restaurer cette compétitivité française.

Alors si les Français ne se préoccupent pas de cela...

Justement je vais le redire une fois de plus. Soit nous adoptons un calendrier électoral, les uns et les autres, tous ceux qui jouent un rôle dans la vie politique française et nous perdons de vue les préoccupations des Français. Soit nous revenons à cette réalité d'aujourd'hui - j'ai été il y a quelques jours visitant une association qui s'occupe des sans abris à Paris, "Les enfants du Canal", et nous avons là, toute une série de réponses qui sont données par le terrain. Veillons à ce que les hommes politiques ne soient pas coupés de cette réalité du terrain. Aider en chaque circonstance, trouver des solutions. Il y a un potentiel de créations d'emplois chez les PME françaises extrêmement important. Il faut regrouper ces PME pour qu'elles puissent poser plus lourd, notamment à l'exportation. Faire en sorte qu'elles travaillent avec les grandes entreprises, davantage en synergie. Autant de pistes qui doivent être explorées . La politique ne doit pas se couper de la réalité et elle ne doit pas se couper de l'action.

Dominique de Villepin, est-ce que Rama Yade, sera une bonne ambassadrice de France auprès de l'Unesco. Est ce qu'elle le mérite ?

Ça c'est un vaste débat. Moi, je suis de la vieille école de ce point de vue là. Je fais partie de ceux qui pensent que la diplomatie doit être exercée par des professionnels.

Pas recaser d'anciens ministres....

De temps en temps, on fait appel à telles et telles compétences. Je veux croire que Rama Yade y mettra beaucoup d'énergie. En tous cas, ce qui est certain, c'est que dans l'exigence diplomatique, il y a un devoir de réserve qui s'applique strictement. On ne peut pas être à la fois femme politique et ambassadeur.

Et pourtant Dominique de Villepin, quand vous étiez Premier ministre vous aviez recasé de la même manière Xavier Darcos qui avait été viré du gouvernement, comme ambassadeur de France auprès de l'Unesco.

Oui, je dois dire...

Vous le regrettez ?

Non pas du tout. Mais d'une manière générale je ne suis pas favorable à ce type de stratégie. Il se trouve que dans le cas présent, ce n'était pas d'ailleurs l'Unesco, c'était l'OCDE. C'était Catherine Colona, qui est diplomate elle, l'ancienne ministre des affaires européennes a été à l'Unesco et Darcos à l'OCDE.

L'autre jour, à ce micro de RTL, je demandais à François Hollande ce qu'on pouvait lui souhaiter pour 2011. Il a répondu "une bonne année 2012". Dominique de Villepin qu'est ce qu'on peut vous souhaiter pour 2011..?

Une bonne année 2011. A chaque année suffit sa peine.

Parce que justement en 2011, il y aura le procès en appel de l'affaire Clearstream.

Je ne pensais pas à ça particulièrement.

Vous déclarerez votre candidature avant ou après le procès ?

Non, je crois que le vrai calendrier, c'est celui des Français. Les Français ne sont pas aujourd'hui préoccupés par la campagne électorale française. Et l'on voit bien que l'ensemble des sondages qui sont menés, ne sont que très lointains par rapport à ces préoccupations...

Justement les sondages, ça fait un an que vous sillonnez la France, six mois que vous avez lancé votre parti. Pour l'instant, il n'y a pas d'effet médiatique, sondagier énorme Dominique de Villepin.

Il n'y a pas de préoccupations des Français par rapport à l'élection présidentielle, la préoccupation des Français c'est la crise, les difficultés d'aujourd'hui, et le moyen d'en sortir, et je crois qu'ils ont raison.

Et ça vous a fait plaisir que Jacques Chirac tanse publiquement Marie-Anne Monchamp qui était votre porte parole, qui a rejoint le gouvernement en disant : "tu as trahi Dominique, ce n'est pas bien".

C'est Jacques Chirac qui parle. Ce n'est pas moi.

Mais vous avez déjeuné avec lui, il y a 10 jours, il vous soutient discrètement ?

Mais voyez vous, nous n'avons même pas évoqué ce sujet.

Il ne vous a pas dit s'il allait voter pour vous ?

On n'a pas parlé de politique intérieure française. » »
Source: RTL.fr

Les Voeux 2011 des chefs de partis de droite

Éditorial de lucienne magalie pons


Jeudi  en précédant les vœux du Président de la République, Dominique de Villepin et François Bayrou nous présentait chacun  leurs  vœux pour 2011 et ensuite Vendredi l’ancien Ministre de la Défense Hervé Morin   nous présentait les siens


Sur un fond de bibliothèque  ou sont rangés des éditions qui paraissent anciennes , Monsieur de Villepin dans une chemise et cravate sans costume, ce qui n’enlève rien à son élégance,  nous a parlé d’un avenir meilleur, en développant sa politique alternative pour une refondation républicaine, sociale et économique  dont il pourrait être l’artisan, tout en nous assurant que nous pouvions compter sur lui « Dans cette nouvelle année vous pourrez comptez sur moi, comme je sais pouvoir compter sur vous pour que, dès le printemps 2011, nous soyons en ordre de marche pour préparer l'alternative de 2012", promet-il.

Un style, une voix, une diction, un ton sérieux presque solennel et quelques sourires discrets qui font de  Monsieur de Villepin  un    orateur agréable à entendre.

Ce qui plait  dans son allocution c’est qu’il se propose et aussi  propose et qu’il ne se place pas au-dessus pour imposer (comme  au contraire le fait qui vous savez)


Son appel à  un ordre de marche  me rappelle un peu  la fameuse phrase historique  «Si vous perdez vos cornettes, ralliez-vous à mon panache blanc : vous le trouverez sur le chemin de la gloire et de l'honneur !". 

Avec les coupes sombres qu’ont opéré allègrement dans l’enseignement de l’histoire de France  les ministres de l'éducation des Gouvernements Fillon1, Fillon2, Fillon3, je doute que les ados et les jeunes adultes ,qui tomberaient par hasard sur mon blog ,  sachent d’emblée qui a prononcée cet appel glorieux. Ça leur donnera la curiosité,  du moins je l’espère,  d’aller faire un tour dans une bibliothèque ou de se brancher sur Internet pour faire une recherche sur  Henri de Navarre notre roi Henri IV.


François Bayrou en pull noir sur chemise blanche, se montre  convivial juste ce qu’il faut, avec mesure, il  nous a présenté  calmement ses vœux de sa maison familiales de Bordières, et c’est  la France profonde aux racines rurales dont les descendants comme Monsieur Bayrou ont évolué au fil des générations vers l’enseignement, le haut fonctionnariat et la politique qui  s’installe sur les écrans, avec aussi en fond d’image la bibliothèque un peu moins classique que celle de DDV,



François Bayrou  démarre a voix basse, pas question de nous électriser, puis il enchaîne en augmentant le « son »  d’une mesure déterminée  crescendo pour  développer ses arguments qui  font place à l’optimisme  pour l’avenir «  "Tous les problèmes, les difficultés qui nous paraissent insupportables aujourd'hui, demain seront derrière nous et nous pourrons regarder l'avenir avec confiance, à condition que nous sachions dans quel sens diriger nos efforts" a-t-il soutenu.

Tout est là , "dans quel sens diriger nos efforts" , le Modem effectivement se contorsionne ,d'après ce que nous avons pu constater, depuis sa fondation dans tous les sens pour obtenir des alliances sans y parvenir. Monsieur Bayrou aurait du éviter de prononcer ces mots ils auraient pu dire par exemple " à condition que nous dirigions nos efforts dans le bon sens"

 Pour situer ce « demain », Monsieur François Bayrou dit qu’il reste concentré sur 2011 ? La Présidentielle  attendra 2012 » affirme-t-il

 En homme reconnaissant et courtois Monsieur François Bayrou a remercié tous ceux qui lui ont envoyé des messages de soutien alors qu’il était hospitalisé à la suite  d’un malaise.

Morin : d'après lui pour présenter ses vœux il n'aurait pas la gueule de bois !

Hervé Morin lui s’expose en homme de cuisine. L’ancien Ministre de la défense de Fillon2 nous présente ses vœux  en jean, et chemise blanche à col ouvert, pas de veste, pas de cravate ,  tout en maniant sa langue de bois, il termine sa vaisselle puis  nous  joue une séquence de pseudo chef de  cuisine  préparant un plat , sous l’œil de trois caméras,  depuis sa cuisine assez moderne,  équipée de casseroles assorties à la couleur des murs  avec quels clins d’œil de décor  kitch, bougie sur le micro ondes  , père Noël animé sur un plan de travail,  et  de là en se léchant par moment les doigts, pour faire plus vrai que moi tu meure cet ancien ministre centriste en panne de portefeuille, nous explique qu’il présente ses vœux de sa cuisine  "Parce que, comme vous le savez ; j’aime les bonnes choses, je suis un épicurien, j’aime préparer les repas et j’aime le bon vin. Bref je suis français".

Un raccourci saisissant pour nous affirmer qu’il est français ce que nous savions déjà …!

 Aurait-il été plongé dans un  doute identitaire intime  à l’occasion du fameux débat avorté sur l’Identité Nationale française de son ancien collègue Besson,  au point de ne pouvoir s’en sortir par référence aux bonnes choses, aux repas, au bon vin ? C’est inutile et un peu court comme références.


Puis ensuite décontracté pendant plus de  4 Minutes  Hervé Morin s’adresse principalement  aux adhérents du Nouveau centre, ses "amis", sur un ton  proche de la confidence  en penchant un peu la tête de temps en temps dans une sorte d’humilité ,  pour enfin conclure qu’il a quitté le gouvernement  mais qu’il  n’a "pas la gueule de bois pour autant",  et qu’il plutôt heureux même de passer son "premier 31 décembre en famille" depuis trois ans. "Je vous embrasse tous", raconte  Hervé Morin qui leur explique qu’il va "partir à la rencontre des Français" en 2011. Un "Tour de France" qu’il effectuera avec "humilité"  d’après lui mais dans un but bien précis : "participer au rassemblement des centristes".

L’objectif de 2012  d’Hervé Morin  parait  ainsi  fixé sur fond de casseroles.

 Enfin  Hervé Morin  propose aux adhérents du Nouveau centre un « rendez-vous au 22 Janvier , "pour dire un certain nombre de choses".

L’allocution des vœux à la sauce Hervé Morin  tiré d'un livre de recettes  de communication  d'un genre story telling qui commence à faire long  feu, est d’un parfait ridicule, ont voit bien que tout était joué et calculé  dans cette mise en scène destinée à le présenter sous un jour nouveau : C’est raté Chef … ! Il faudra trouver une autre recette.

Bon,  depuis le Président Nicolas Sarkozy a présenté pendant une dizaine de minutes ses vœux pour 2011, hier soir sur les écrans, mais cela fera de notre part un article nouveau séparé de celui-ci.


Les faux voeux de Nicolas Sarkozy ont été supprimés de nombreux sites et blogs

Éditorial de lucienne magalie pons

Cette vidéo censurée existe encore sur de très rares sites.

avec un peu de chance si entre temps elle ne disparait pas de la toile vous pourrez la regarder en cliquant sur le lien ci-dessous :

Voeux 2011 de Nicolas Sarkozy
envoyé par CN-PCF. - L'actualité du moment en vidéo.

Présence de Jacques Vergès et Roland Dumas aux côtés de Laurent Babgo

Éditorial de lucienne magalie pons

Jeudi matin très tôt, l'avocat français Jacques Vergès et  Roland Dumas lui aussi avocat, ancien  ministre des Affaires Etrangères et ex Président du Conseil constitutionnel sont arrivés en  Côte d’Ivoire.

Ils ont été invités par Laurent Babgo, dont on oublie souvent de rappeler qu’il est membre de l’International socialiste.

 Roland Dumas et Jacques Vergès, ont dénoncé, jeudi 30 décembre, l'ingérence française et internationale en Côte d'Ivoire.

Les médias rapportent que ces deux personnalités  de poids sont arrivés jeudi à Abidjan pour soutenir et conseiller le président sortant Laurent Gbagbo.

 "Qu'est-ce qui autorise le gouvernement français à intervenir dans une querelle électorale en Côte d'Ivoire ? Le temps de la colonisation et des juges de paix à compétence étendue est terminé", a déclaré sur la chaîne i-Télé Jacques Vergès, 85 ans, connu pour ses engagements tiers-mondistes, notamment sur le continent africain.

"J'ai quelques indications pour pouvoir dire que tout le monde n'est pas d'accord dans la communauté internationale. Elle se résume à quelques personnalités qui se mêlent de tout et dont on va examiner le cas", a estimé pour sa part Roland Dumas, 88 ans, ancien ministre des affaires étrangères de François Mitterrand.

La présence de Roland Dumas s’inscrit dans la ligne  constante  de  soutien à  Laurent Babgo  que le  Parti socialiste lui  a  toujours réservé , rappelons au passage que les plus importants des socialistes français l’avaient activement  aidé à s'installer au pouvoir.



Actuellement en pleine crise Ivoirienne, les gros bonnets du Parti socialiste paraissent se tenir   à distance du fond  politique du conflit Ivoirien, dans leurs déclarations ils soulignent  la nécessité d’un dialogue, discours assez classique pour le moment empreint de prudence,  en fait on comprend qu’ils sont dans l’attente des développements pour, si nécessaire, prendre ouvertement position.  Un socialiste Jacques Lang,  plus ou moins dissident selon les cas des positions politiques du  Ps,  a fait connaître récemment  son opinion,  qui reste tout à fait marginale  au PS,  en invitant  Laurent Babgo à reconnaître sa défaite et  à quitter ses fonctions. Son conseil n’a  pas trouvé d’écho.

Rien n’y fait, en dépit des injonctions, pressions  et sanctions accentuées contre  Babgo de la part de la Communauté Internationale et de l’Onu qui accentuent  leur position pro-Ouattara, et  entretiennent  sciemment par maintes déclarations   un vent de panique en pronostiquant comme l’Onu  par exemple «  un bain de sang » ,  l’ accentuation d’un risque de  guerre civile en évoquant des crimes contre l’humanité, , en dépit de l’échec de la Mission de la Cédéao  qui a demandé  à Babgo de partir en le prévenant qu’en cas de refus de sa part « une force légitime militaire » l’y contraindrait, mission Cédéao  qui se rabat maintenant sur l’ouverture d’une médiation,   Laurent Gbagbo, Président sortant, un mois après l’annonce des résultats, se tient toujours sur sa position, n’a toujours pas l’intention de céder le pouvoir  à  Alassane Ouattara , et dénonce un complot de  la France et des Etats-Unis contre lui.

Alassane Ouattara derrière les micros considère que  Laurent Babgo est un dictateur et soutient que les dictateurs ne partent pas et que seule la force les fait partir.

Charles Blé Goudé, Ministre et  partisan de Laurent Babgo  avec les jeunes patriotes dont il est le chef veut investir, le 1er Janvier 2011 ,  à mains nues l’Hôtel du Golf pour déloger Alassane Ouattara et ses partisans qui y sont retranchés sous la protection des forces de l’Onuci .

La France appelle une nouvelle fois ses ressortissants, surtout ceux qui ont des enfants,  à rentrer provisoirement en France

C’est dans ce contexte que Jacques Vergès et Roland Dumas sont présents à Abidjan.


Le site Rue 89 a interrogé  Jacques Vergès par téléphone alors qu’il se trouvait  à Abidjan .

Voici ci-dessous la copie de l’article de Rue 89 qui nous éclaire sur le sens de la démarche de l’avocat et sur ses intentions ;

Copie !

« Interviewé par téléphone par Rue89 alors qu'il se trouve à Abidjan, l'avocat français ne se « place pas dans une perspective d'apaisement.

« Rue89 : Ce séjour est-il le début d'une longue série ? Préparez-vous une éventuelle défense « de Laurent Gbagbo devant une juridiction internationale ?

« Jacques Vergès : Je suis arrivé jeudi matin, je repars sans doute samedi soir. Je passerai le « réveillon sur la lagune.

« Nous reviendrons en effet : nous sommes venus à la demande du président Gbagbo, et parce « que nous voulions nous informer de la situation pour ensuite agir en France.

« Agir en France » en vue d'un apaisement impliquerait un rôle d'intermédiaire avec les « autorités françaises, peu acquises à ce jour à la cause de Laurent Gbagbo. Vous placez-vous « dans cette perspective ?

« Les autorités françaises ont des oreilles si elles veulent écouter. Agir en France signifie « surtout tenir des conférences de presse et rendre compte de ce nous constatons sur place.

« On affirme à Paris que le président sortant a été battu aux élections, or c'est complètement « faux. J'ai rendez-vous ce vendredi après-midi avec le Conseil constitutionnel ivoirien pour « voir des documents qui permettent de prouver le contraire.

« Le Conseil constitutionnel ivoirien est clairement favorable à Laurent Gbagbo depuis l'issue « du scrutin…

« Il existe des pièces, que je compte bien ramener en France, qui permettent de prouver que « Laurent Gbagbo a remporté les élections.

« Il s'agit d'un coup d'Etat électoral organisé par le représentant de la France et le représentant « des Etats-Unis en Côte d'Ivoire, qui ont pris par la main le responsable de la Commission « électorale indépendante (CEI) [qui donne Ouattara vainqueur depuis le 3 décembre, ndlr] et « l'ont conduit tout droit à l'hôtel du Golf [le quartier général d'Alassane Ouattara].

« Dans quel but, selon vous ?

« Mais, bien sûr, en vue d'une agression qui se préparait de longue date.

« Etes-vous en mesure d'étayer l'hypothèse d'une telle agression ?

« Absolument. Une agression militaire est préparée par la France et les Etats-Unis afin de « placer un gouvernement fantoche en Côte d'Ivoire comme dans tant d'autres pays où des « gouvernements de tirailleurs servent les intérêts français et américains sans mot dire.

« 15 000 Français vivent en Côte d'Ivoire dans de bonnes conditions. Le gouvernement a « donné l'eau à Bouygues, le pétrole à Total, le port à Bolloré, mais les représentants ivoiriens « voudraient bien être traités d'égal à égal.

« On dit qu'Obama et Sarkozy on téléphoné à tel ou tel… mais comment prendrait-on en « France que le président du Nigéria appelle au sujet des Roms ? Tous les chefs d'Etat « africains n'acceptent pas d'être traités au rang de domestiques.

« La question reste toutefois la légitimité du gouvernement. Avant de vous rendre à Abidjan, « vous estimiez qu'on aurait pu attendre pour organiser ces élections. Avez-vous radicalisé « votre position ?

« Ce que j'ai dit, c'est que les élections ne résolvent pas un conflit, mais confirment un « consensus. On a voulu passer en force, c'était là la grande erreur.

« C'est pourtant Laurent Gbagbo lui-même qui a accepté ces élections, pensant les gagner…

« Il a accepté et il les a gagnées ! C'est un coup d'Etat électoral et les forces de l'ONU se « comportent comme en pays ennemi. Les militaires des Nations unies tirent à balles réelles « sur des civils désarmés. Nous l'avons constaté en visitant les hôpitaux jeudi après-midi.

« Mais à Paris, la presse a été intoxiquée. Or les élections ne se sont pas déroulées comme on « le prétend.

« Parmi les conseillers blancs de Laurent Gbagbo, dont vous faites partie, on peut citer Jean-« François Probst, ou Marcel Ceccaldi, l'avocat de Jean-Marie Le Pen, Roland Dumas, ancien « président du Conseil constitutionnel qui est, bien sûr, une figure de la Mitterrandie… Que « répondez-vous à ceux qui trouvent qu'il s'agit d'un bien drôle attelage ?

« Je ne sais rien de tout cela. Les commérages ne m'intéressent pas. On me dit qu'une guerre « se prépare, c'est pour cela que je suis ici. Ce qui m'intéresse, c'est de trouver quels sont ces « avions mystères qui débarquent à Bouaké [dans le nord de la Côte d'Ivoire, fief de l'ex-« rébellion].

« C'est ce que je rentrerai raconter à Paris et on verra bien »
Fin de l’article repris sur le site Rue 89 
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Reprise de l'Editorial de Lucienne Magalie Pons : 
Pour sa part, Roland Dumas  ancien Ministre  des Affaires Etrangères de François Mitterrand a estimé  que tout le monde n’est pas d’accord dans la Communauté Internationale", il a notamment déclaré :

"J'ai quelques indications pour pouvoir dire que tout le monde n'est pas d'accord dans la communauté internationale. Elle se résume à quelques personnalités qui se mêlent de tout et dont on va examiner le cas".

Venant de Jacques Vergès et de Roland Dumas ces déclarations qui dénoncent en la démentant   l'unanimité affichée par les Nations unies, l'Union africaine, l'Union européenne, la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao),  font l’effet d’autant de pavés dans la mare politique  néo-colonialiste  et consorts industriel et financiers.

L’intervention  et la prise de position de Jacques Vergés et de Roland Dumas ne vont  pas manquer de  peser leur  poids dans le déroulement de la crise Ivoirienne et de la colorer d’un nouvel aspect tout à fait  contraire à la volonté de la Communauté Internationale, de l’Onu  et de la Cédéao de mettre la main sur l’opinion publique en la manipulant médiatiquement  en faveur  de leur poulain Alassane Ouattara...

31 décembre 2010

Une dame de 83 ans violemment agressée à la sortie du métro, mercredi

Éditorial de lucienne magalie pons

Après la chute mortelle lundi, à Paris, d'une jeune femme de 27 ans, violemment percutée dans le métro par un homme soupçonné d'un vol et qui fuyait,   une seconde agression  est intervenue deux jours après à la sortie du métro,  cette fois la malheureuse  victime est une  dame  de 83 ans.

Grièvement blessée et  souffrant de commotions cérébrales, elle   se trouve placée en coma artificiel à l’Hôpital Beaujon à Clichy où elle a été transportée.
 
 Le  pronostic vital de la victime  ne serait pas engagé, mais on comprend à quel point cette agression a été violente.

Selon RTL, l’agresseur, âgé de 14 ans, adolescent roumain  a été arrêté mercredi et placé en garde à vue,

Les médias rapportent que  la garde à vue du jeune homme a été interrompue dans la soirée de mercredi : il a dû être hospitalisé pour une crise d'épilepsie.

 Ses parents  soupçonnés d’utiliser leur fils à des fins de mendicité agressive ont été interpellés et placés en garde à vue  jeudi.

 D'après le visionnage des images vidéo, que  le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a  vues dès mercredi, la victime sortait de la station quand  son agresseur  l'a attrapée par le bras pour 'arracher son sac et elle a résisté, la tenant toujours,  il l'a fait tournoyer sur elle-même très fortement  avant de la lâcher et  alors elle s’est écrasée sur un mur.

Les images vidéo, montrent que  l'adolescent avait  passé une grande partie de la journée à entrer et à sortir de la station de métro, un comportement qui laisse penser qu'il était à la recherche d'une victime..



Meurtre de Bernard Mazières

Éditorial de lucienne magalie pons

Son fils soupçonné.


Ce  fil de 17 ans,  dont les médias rapportent  qu’il aurait demandé à un ami plus âgé de se rendre au domicile de son père pour faire pression et  lui soutirer de l'argent était toujours entendu vendredi par la Brigade criminelle qui veut déterminer son rôle dans le décès de son père, dont le corps sans vie avait été découvert à son domicile le 24 décembre, dans la chambre de son fils.

Ce fils  qui vivait avec  son père Bernard Mazières  "ne s'entendait pas du tout avec son père", avec lequel il était en conflit  notamment,  selon les médias,  sur le fait que ce  fils, " se droguait «et  estimait insuffisant les 500 euros que son père  lui donnait  chaque mois

Sa garde à vue, qui avait  débuté mercredi après-midi, devait  se terminer  vendredi en fin d'après-midi, avant que le parquet de Paris ouvre une information judiciaire, confiée à un juge d'instruction.D’après les médias, au cours de son audition, le fils  aurait reconnu qu'il «  avait acheté un marteau », précisant  que « l'objet » n'a pas été utilisé pour tuer  son père Bernard Mazières, lequel d’après l’autopsie  est  mort des suites d'un fracas crânien par un objet contondant et qu'il avait été poignardé à la gorge

Son  « ami », connu des services de police pour des actes de violences ,a été  localisé grâce à son téléphone portable,  a été  interpellé jeudi soir dans le Val-de-Marne dans son domicile où il vivait avec son amie mineure,  et placé en garde à vue. Interrogé par l'AFP, le parquet de Paris s'est refusé à "confirmer ni infirmer" ces supposés aveux.

 "La garde à vue se poursuit, la vérité de ce matin peut être différente de celle de cet après-midi", a-t-on  indiqué de source judiciaire.


Agé de 60 ans, Bernard  Mazières, en retraite,  avait quitté il y a un an ses fonctions au Parisien, a été retrouvé mort le 24 décembre par sa femme de ménage à son domicile, dans le VIe arrondissement, dans la chambre de son fils, avec qui il vivait. La mort pourrait remonter à jeudi dans la soirée. Aucune trace d'effraction n'a été relevée par les enquêteurs. Ce meurtre, les conditions dramatiques qui  l’entourent, l’implication présumée du fils ont suscité l’émotion générale, comment peut-on accepter qu’un fils même drogué en arrive là ?

On dit qu’il ne supportait plus son père, et le pauvre père a du avant sa mort alors qu’il vivait avec son fils  souffrir en silence, quand on est parent on a peine à se confier, à demander du secours. Bernard Mazières en est mort.

Ce drame inqualifiable  a coûté la vie à un honnête homme.

 Les deux jeunes pourraient  risquer des poursuites pour meurtre avec préméditation, écrivent les médias, mais dans l’ensemble ils s’interdisent de porter un jugement moral.

D’autres parents et proches d’enfant indignes, plus anonymes que Bernard Mazières subissent le même sort depuis des décennies, les journaux en parlent  dans la rubrique des faits divers, ces meurtres sont plus qu’atroces  on ne trouve pas de mots assez forts pour les qualifier.

Quand ces meurtriers « présumés » passent en justice, leurs avocats jouent sur la corde sensible des circonstances atténuantes, manque d’affection,   enfance perturbée, mauvaises fréquentations, drogués en état de manque,  de faiblesse psychologique …..,  parents séparés …   tout y passe pour attendrir les chaumières ;  trop facile comme arguments de défense,  dans de tels cas,  ils écopent d’une condamnation atténuée qui n’est pas à la mesure de leurs crimes, il faudrait plus de fermeté et prononcer des peines à la mesure de leur crime et de leur indignité, pour les punir justement et pour l’exemplarité de la peine.




 Actualisation :
Le fils de Bernard Mazières déféré
Europe1
L'enquête sur la mort du journaliste Bernard Mazières, mortellement blessé la semaine dernière à son domicile parisien, progresse désormais très vite. ...
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Europe1
Meurtre de Bernard Mazières: un troisième jeune homme en garde à vue
Ouest-France
Un jeune homme, soupçonné d'avoir utilisé la carte de crédit du journaliste Bernard Mazières, tué la semaine dernière à Paris, a été placé vendredi en garde ...
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Ouest-France
Mazières-Meurtre: Deux jeunes suspects, dont le fils
Paris Match
Deux jeunes gens qui ont admis leur implication dans l'assassinat du journaliste français Bernard Mazières, dont son fils de 17 ans, devaient être présentés ...
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Paris Match
Meutre de Bernard Mazières : un ami de son fils interpellé
RTL.fr
Un ami du fils du journaliste Bernard Mazières, mortellement blessé la semaine dernière à son domicile parisien, a été interpellé jeudi soir à Saint-Maur. ...
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Meurtre du journaliste Bernard Mazières: les aveux du fils
L'Express
Le fils du journaliste Bernard Mazières, mortellement blessé la semaine dernière à son domicile, a avoué avoir acheté un marteau avant le meurtre auquel la ...
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Paris - Info TF1 News - Ex-journaliste du Parisien tué : l'ami du ...
Fiftiz.fr
Info TF1 News - L'ami du fils de Bernard Mazières, ex-journaliste politique au Parisien tué la semaine dernière à Paris, a été arrêté jeudi soir. ...
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Le journaliste Bernard Mazières aurait été tué pour de l'argent ...
par Indexnet
PARIS (Reuters) - Le journaliste Bernard Mazières, retrouvé mort le 24 décembre à son domicile parisien, aurait été assassiné pour de l'argent et son - Actus, recette, infos.
Moteur de recherche Indexnet - http://www.index-net.org/
Deux suspects pour la mort de Bernard Mazières, dont son fils ...
par admin
PARIS (Reuters) - Deux jeunes gens qui ont admis leur implication dans l' assassinat du journaliste français Bernard Mazières, dont son fils de 17 ans, devaient être présentés vendredi à un juge d'instruction, a déclaré un porte- parole ...
Karameloo Actualités France - http://news-fr.karameloo.com/
Meurtre de Bernard Mazières : l'ami du fils a été arrêté | Le ...
par Le Grand Journal
Désigné par le fils du journaliste retrouvé mort comme celui qu'il avait mandaté pour voler son père, un homme de 25 ans a été interpellé et placé en garde à vue . (Metro)
Le Grand Journal du Mexique - http://www.legrandjournal.com.mx/
Au coin de ma rue: Mort de Bernard Mazières : une troisième garde ...
par francis
Trois jeunes hommes soupçonnés d'être impliqués dans le meurtre du journaliste Bernard Mazières, dont son fils âgé de 17 ans, étaient déférés vendredi après- midi au parquet de paris qui va ouvrir une information judiciaire, confiée à un ...
Au coin de ma rue - http://aucoindemarue.blogspot.com/

Qui avant la grande lessive lave les casseroles ?

Éditorial de lucienne magalie pons

Si vous voulez le savoir lisez l'article de l'auteur Duboubou1er :

  1. 2011 : avant la grande lessive on brade…les casseroles ...

    31 déc. 2010 ... Pas un jour ne se passe sans qu'un fait nouveau ne vienne éclairer d'un jour nouveau la lanterne du pauvre Cro-Magnon de base qui se fait ...
    www.lepost.fr/.../2355706_2011-avant-la-grande-lessive-on-brade-les-casseroles.html

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Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...