10 novembre 2010

Le Général de Gaulle est un modèle, nul ne peut se prévaloir d'être son héritier politique

Éditorial de lucienne magalie pons

Ironie du sort : Monsieur Sarkozy vient de promulguer la loi de réforme des retraites avec une grande précipitation, loi qui va à l’encontre de la protection sociale et de l’intérêt général des salariés et des employés.

Qu'à cela ne tienne dans ses discours il prétend défendre l'intérêt général !

Hier à Colombey- les Deux- Églises lors du 40me anniversaire de la mort du Général de Gaulle, après s’être recueilli devant la tombe du Général , puis s’est rendu en visite à la Boisserie propriété ou s’est éteint le 9 novembre 1970 le fondateur de la Ve république, accompagné d’Yves de Gaulle, petit fils du Général, pour ensuite prononcer sous la prestigieuse Croix de Lorraine, un discours censé inscrire son action politique dans les pas de son glorieux prédécesseur , lequel après avoir sauvé la France du désastre de la seconde guerre mondiale, s’est employé à redresser la France dans le souci de l’intérêt général, notamment en se faisant en accord avec le Conseil National de la Résistance le promoteur de la protection sociale.

Monsieur Nicolas Sarkozy a repris à plusieurs reprises dans son discours des extraits de déclarations du Général de Gaulle, citations à l’appui, tout en se ménageant de larges espaces oratoires pour justifier en puisant dans l’héritage gaulliste sa propre politique très controversée, qui l’a conduit selon les derniers sondages à ne réunir que 26 % d’opinions favorables sur sa tête à 18 mois de la fin de son mandat

Il faut bien mesurer à quel point dans son discours la fiction politique qu’il entretient masque la réalité des régressions sociales imposées par le Chef de l’État et le Gouvernement aux Français en sacrifiant l’intérêt général au profits des intérêts particuliers , notamment pour ne citer que deux exemples, la réforme des retraites où encore le rabotage des niches fiscales frappant de pleins fouets les salariés et les employés et les classes moyennes qui sont s des illustrations de sa politique qui démentent formellement dans la réalité ce qu’il avancé dans son discours au sujet du devoir et de la responsabilité devant la nation du Président de la République , voici ce qu’il a prétendu :

Selon le Président Nicolas Sarkozy : «Le devoir du président de la République, sa responsabilité devant la nation, c’est de décider dans le seul intérêt général» qui doit être placé «au dessus des intérêts particuliers». Certes, chacun est légitime à les exprimer. Mais dans certaines limites. Charles de Gaulle «avait compris que les féodalités n’étaient plus dans les donjons et qu’elles renaissaient sans cesse sous d’autres formes et que ce combat n’était jamais terminé».

Il est certain que la conception de l’intérêt général et des intérêts particuliers de Nicolas Sarkozy ne rejoint pas la nôtre, encore moins celle du Général de Gaulle.

Le Président de la République qui nous promettait de se faire un champion de la rupture en évoquant des réformes lors de sa campagne présidentielle, a au moins réussi une rupture que l’on n’attendait pas : la rupture sociale au détriment de l’Intérêt génénal aux profits des intérêts particuliers. Il ne peut se prévaloir de l’héritage des valeurs gaullistes, il n’est pas l’héritier du Général de Gaulle et de sa ligne politique, il n’est pas de taille à en suivre le modèle ni la méthode, tant dans le domaine national que dans ses avancées internationales.

"Sarkozy est très loin du Général de Gaulle"

9 nov. 2010 ... Entretien au JDD.fr, propos recueillis par Arthur Nazaret, mardi 9 novembre 2010

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www.chevenement.fr/Sarkozy-est-tres-loin-du-General-de-Gaulle_a1016.html

09 novembre 2010

Célébration des 40 ans du décès du Général de Gaulle

Éditorial de lucienne magalie pons

Ce 9 novembre 2010, Nicolas Sarkozy, Président de la République, s’est rendu à Colombey les deux églises pour célébrer les 40 ans du décès du Général de Gaulle.

L’escorte présidentielle est partie mardi matin en hélicoptères de l’aéroport militaire de Villacoublay. Par mesure de sécurité le Président et le premier ministre voyageaient séparément, Nicolas Sarkozy voyageaient avec Xavier Bertrand, secrétaire général de l’UMP, et François Fillon voyageait avec Jean-François Copé, patron des députés UMP a l’Assemblée.

A 11h15 heures, le président déposait une gerbe sur la tombe du général, entouré de François Fillon et de Michelle Alliot-Marie.

A 11h30, il ressortait d’une visite à la Boisserie en compagnie du petit fils du Général de Gaulle, Yves de Gaulle , et a ensuite prononcé un discours au pied de la Croix de Lorraine devant un millier d’invités "triés sur le volet ", selon la formule consacrée.

Le discours repose sur quatre principes de fond :

- Sur le rôle du chef de l’Etat : le président de la cinquième République «n’est pas seulement un arbitre, il a le devoir d’agir»

- Sur l’intérêt général : il doit le faire dans «le seul intérêt général» ; c’est indispensable, car «lorsque rien ne change, il n’y a pas d’autre issue que le déclin».

- Sur l’avenir : Enfin, s’il convient d’être «constamment tourné vers l’avenir»,

- Sur le passé : il faut agir en étant conscient de ses racines, car «on ne construit rien sur le reniement de soi.

M. Sarkozy a repris dans son discours une citation du général de Gaulle : «Si la France m’a appelé à lui servir de guide, ce n’est certes pas pour présider à son sommeil».

Nicolas Sarkozy a rappelé que le Général de Gaulle « savait qu’en repoussant trop longtemps la décision, les souffrances seraient plus grandes encore », a dit M. Sarkozy.

Selon le Président Nicolas Sarkozy : «Le devoir du président de la République, sa responsabilité devant la nation, c’est de décider dans le seul intérêt général» qui doit être placé «au dessus des intérêts particuliers». Certes, chacun est légitime à les exprimer. Mais dans certaines limites. Charles de Gaulle «avait compris que les féodalités n’étaient plus dans les donjons et qu’elles renaissaient sans cesse sous d’autres formes et que ce combat n’était jamais terminé».

Enfin une citation du Général de Gaulle choisie par Monsieur Sarkozy (et par Monsieur Guaino) est venue étayer son discours, comme une profession de foi qui rejoint « son actualité » : «Que désormais le chef de l’État soit réellement la tête du pouvoir,…, qu’il désigne réellement le gouvernement et en préside les réunions, qu’il nomme réellement aux emplois civils, militaires et judiciaires,…, bref qu’émane réellement de lui toute décision importante aussi bien que toute autorité. »

Nous comprenons implicitement que Monsieur Sarkozy fait entendre qu’il réunira sous sa seule autorité l’ensemble des pouvoirs civil, militaires et judiciaires ….et qu’il désignera de lui même «son » gouvernement , le futur premier Ministre qui en principe devrait proposer au Chef de l’État les ministres verra ainsi son rôle bien allégé.

M. Sarkozy a aussi rappelé comment fut traité de Gaulle : «On l’accusa de coup d’État permanent lui qui avait sauvé deux fois la République »…. Une petite pique, selon les médias, à l’adresse de feu François Mitterrand, le PS appréciera ….

Monsieur Sarkozy a particulièrement insisté sur le devoir et la responsabilité devant la nation du Président de la République :

«Le devoir du président de la République, sa responsabilité devant la nation, c’est de décider dans le seul intérêt général» qui doit être placé «au dessus des intérêts particuliers». Certes, chacun est légitime à les exprimer. Mais dans certaines limites. Charles de Gaulle «avait compris que les féodalités n’étaient plus dans les donjons et qu’elles renaissaient sans cesse sous d’autres formes et que ce combat n’était jamais terminé».

Nous reviendrons sur ce discours lorsque nous aurons le loisir de le lire dans son intégralité, mais d’ores et déjà nous pouvons remarquer qu’à l’occasion de la célébration des 40 ans du Général de Gaulle, Nicolas Sarkozy s’est ménagé des espaces oratoires pour célébrer son rôle de Président de la République la politique très personnalisée qu’il entend conduire.

Pendant ce temps, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République, faisait bande à part et organisait sa propre cérémonie.

Pour en revenir à l’intérêt général les salariés et les employés « apprécieront », en effet dans le même temps nous apprenons que le Conseil constitutionnel a levé, le dernier obstacle à la promulgation de la réforme des retraites en la jugeant conforme à la Constitution.

Sur le report de l'âge légal de 60 à 62 ans, les sages considèrent que le législateur a voulu préserver le système de retraite par répartition et qu'il a notamment tenu compte de l'allongement de l'espérance de vie ». Même avis sur le report de 65 à 67 ans de l'âge d'annulation de la décote, jugé conforme au principe d'égalité entre les hommes et les femmes.

Maigre consolation le Conseil constitutionnel a rejeté les articles relatifs à la réforme de la médecine du travail qui avaient été ajoutés en cours de débat. Il a jugé que ces articles n'avaient pas un lien direct avec le texte lui-même.

En revanche, les articles relatifs à la pénibilité n'ont pas été censurés.

Enfin en résumé, le Conseil Constitutionnel a rejeté les recours déposés par le PS qui estimait que plusieurs dispositions de cette loi portaient atteinte au principe d'égalité pour certains salariés.

Le Conseil constitutionnel a souligné par ailleurs qu'il a écarté les griefs relatifs à la forme, jugeant que la décision du président de l'Assemblée nationale d'interrompre les explications de vote n'a pas porté atteinte aux exigences de clarté et de sincérité du débat parlementaire.

Cette décision ouvre le « feu vert » à la promulgation du texte par le président de la République, peut-être dès mercredi. Ainsi le Président exercera « ses » responsabilités en promulguant « sa » réforme des retraites, et dans la foulée aura les mains libres pour désigner « son » gouvernement.

Pour clôturer le tout, « nos féodalités sont toujours dans le donjon, renaissent sans cesse sous d’autres formes et le combat n’est pas terminé », en effet les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires et UNSA se sont mis d'accord sur une nouvelle journée de mobilisation programmée pour mardi 23 novembre, pour protester contre la réforme des retraites. Plusieurs manifestations dans toute la France sont prévues, même « si la loi est promulguée ».

Le conflit sur les retraites laissera des traces, Monsieur Nicolas en assumera la responsabilité et le Général de Gaulle, que son âme repose en paix, ne sera pas là pour le tirer d’affaire.

"Sarkozy est très loin du Général de Gaulle"

9 nov. 2010 ... Entretien au JDD.fr, propos recueillis par Arthur Nazaret, mardi 9 novembre 2010
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www.chevenement.fr/Sarkozy-est-tres-loin-du-General-de-Gaulle_a1016.html

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Mohamed sosie de Sarkozy

source / le. post : EXTRAIT :

Samedi soir, défilé de sosies de stars lors du Concours annuel du meilleur sosie sur TF1.

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Mais l'autre grande grande star de la soirée a été, comme chaque année, le sosie de notre président de la République. Après Jacques l'année dernière , le sosie 2010 est Mohamed, qui a même imité les intonations du président. Âgé de 52 ans, il travaille pour l'agence Starway-agency qui le présente ainsi: "Virez-moi immediatement ce ministre et passez-moi Obama ! Ainsi parlait Zarathoustra ? Non ! Il s'agit de Mohamed, l'incontournable sosie de Nicolas Sarkozy !!"


Les fadasseries des baise-babouches n'affectent pas l'ardeur politique de DDV


Éditorial de lucienne magalie pons

Hier soir Lundi au « Grand Journal » de Canal+, Monsieur de Villepin a une fois de plus renouvelé ses avertissements : « Je le redis, Nicolas Sarkozy n'est pas mon problème. C'est un des problèmes de la France », a-t-il insisté ……. « Je ne crois pas que ses idées puissent l'emporter en 2012. »

Sur le plateau du Grand Journal de Canal+, l’ancien premier ministre a dénoncé une nouvelle fois la «politique d’injustice, de confusion» du chef de l’État. «Mon devoir de gaulliste est de dire que notre pays a perdu tout repère ….. Nous nous habituons à la médiocrité. Je ne m’y habitue pas, les Français non plus».

Monsieur de Villepin ne fait pas de l’antisarkozysme, contrairement à ce que prétendent des opportunistes, et il s’en est expliqué clairement pour justifier ses propos au sujet du chef de l’État: «Je n’attaque pas le président de la République, j’attaque la politique qui est la sienne». ….

«Je vais tous les jours à la rencontre des Français» ……«Nous ne sommes plus dans l’antisarkozysme, nous sommes bien au-delà», a-t-il précisé.

Enfin le Président de République Solidaire a exprimé un souhait : «Je souhaite que Nicolas Sarkozy ne soit pas candidat» à sa succession en 2012, tout en promettant d’œuvrer à la construction d’une «alternative» en ce sens.

Si vous souhaitez suivre l’intervention sur Canal+ de Monsieur de Villepin vous trouverez les vidéos de l’émission Grand Journal de Michel Denisot d’ hier soir 8/11/10, sur le site Internet de Canal+.

Les deux vidéos à consulter sont la vidéo « grand journal du 8/11/10 partie 2 », et la vidéo » grand journal du 8/11/10 partie 3 » .

En vidéo partie 2 Monsieur de Villepin s’exprime en présence notamment d’un Apathie qui n’a pas cessé de jouer son numéro d’hypocrite cauteleux, en vidéo partie 3 l’émission, toujours en présence de Monsieur de Villepin sur le plateau se tourne vers les actualités de la semaine.

ooOoo

Rappel des circonstances du Dimanche et de Lundi précédant l’émission du Lundi soir sur Canal+

Dimanche, Dominique de Villepin avait qualifié Nicolas Sarkozy de « problème de la France » tout en estimant que la « parenthèse politique que nous vivons depuis 2007 » devait maintenant être refermée.

Les dirigeants de l'UMP, nombreux à intervenir dans les émissions de fin de week-end, avaient aussitôt reçu de la direction du parti la consigne de «minorer» les déclarations de l'ex-premier ministre, «pour ne surtout pas en faire un martyr».

«Il n'attend que ça !», avait expliqué Nicolas Sarkozy à l'état-major de l'UMP, qu'il recevait comme chaque Lundi matin à l’Elysée. Pour le Chef de l’État Dominique de Villepin haussait le ton faute de réussir à décoller dans les sondages.

Ndlr : (Le chef de l’État selon les derniers sondages est en chute libre accélérée a seulement 26 % d’opinions favorables, qu’à cela ne tienne il a les yeux rivés sur le taux de Monsieur de Villepin qui lui se maintient au contraire sans chuter).

Tout aussitôt dans la journée de Lundi les fadasseries des baise- babouches de la Cour du château et de l’UMP se sont accentuées contre la personne de Monsieur de Villepin, en évitant de répondre sur le fond des analyses rigoureuses de Monsieur de Villepin qui Dimanche sur Europe 1 mettait en cause la politique du Gouvernement.

Bien entendu les réactions « des perroquets apeurés-baise-babouches » de la Cour du Château et de l’UMP (ce sont les mêmes personnages ), n’ont pas eu de prise sur l’ardeur politique de l’ancien premier ministre qui a bien renouvelé son message de la veille en l’accentuant de précisions hier soir Lundi au « Grand Journal » de Canal+,.

un baise babouche fait le bouffon du Château à tour de rôle

Éditorial de lucienne magalie pons

A la dernière réunion des députés UMP à l'Elysée, le baise babouche de service, qui faisait office de bouffon du Château ce jour là , était le Premier Ministre encore en exercice François Fillon qui en parlant de Dominique de Villepin a observé : "Moi, j'ai un setter irlandais. C'est grand, c'est beau mais c'est complètement fou."

Manifestement le physique et la prestance de Monsieur de Villepin rend jaloux les mochetés de l’UMP, et ils ne savent plus comment se défendre des nobles coups d’épée que Monsieur de Villepin envoie dans la fourmilière du Château avec une adresse remarquable en analysant rigoureusement leurs insuffisances politiques sans s’attarder à leur vulgarité physique.

D’après les rumeurs la remarque ridicule de François Fillon « toujours à servir » a fait rire le Maître du château et les baise babouches présents ont fait chorus.

Faut-il considérer que Monsieur François Fillon cherche à ridiculiser Monsieur de Villepin pour se consolider en cour en amusant le Maître du Château en vue du prochain remaniement ? Quoiqu’il en soit pour quelques raisons que ce soit ce n’est pas d’un homme d’honneur que de se livrer en réunion UMP à ce genre de plaisanterie malsaine.

Monsieur Fillon pourtant est souvent ménagé dans les interventions de Monsieur de Villepin lorsque les journalistes le questionnent sur le Premier Ministre.

Enfin au jeu des comparaisons si l’on devait comparer François Fillon à un animal, pour moi (et je n’engage que moi par cette comparaison) on peut le comparer non pas pour son physique, ingrat du reste, mais pour son comportement politique, à une autruche, aux ailes rudimentaires, incapable de voler de sa propre initiative, capable de digérer les pires humiliations venant du Maître des baise babouches, et plongeant la tête dans le sable pour ne pas voir les dangers.

autruche

oiseau de de la sous-classe des ratites
expressions
avoir un estomac d'autruche tout digérer
politique de l'autruche comportement insouciant, qui ne mesure pas le danger

08 novembre 2010

Travail honteux de sape et de désinformation contre Monsieur de Villepin

LE SITE FIGARO.FR A L'IMMENSE CULOT DE TITRER SA VIDEO "LES VILLEPINISTES LACHENT VILLEPIN", que voyons nous dans la vidéos ? ... un Georges Tron qui lèvent les index à la façon Sarkozy et un Bruno Lemaire qui récite son message .....

2 personnes en tout et pour tout ....

Or ces deux personnages qui ont préféré l' un un poste de Secrétaire d'État et l'autre un poste de Ministre en s'éloignant de République Solidaire, n'ont font autre chose que de se positionner en espérant figurer dans le prochain remaniement ministériel autrement dit en baisant la babouche de Sarkozy.

Ces deux personnes sont loin de représenter l'ensemble de la dizaine de milliers de membres de République solidaires qui restent plus que jamais fidèles et regroupés autour de leur Président Dominique de Villepin, sans compter ses partisans dans l'opinion publique.

Il faut donc regarder la vidéo du Site Figaro.fr qui s'inscrit dans le travail de sape et de désinformation du Figaro et mesurer la cupidité de Monsieur TRON et de Monsieur Bruno Le Maire. Vous remarquerez aussi que Georges Tron dans son intervention pratique les mêmes gestes que Nicolas Sarkozy en pointant ses deux index.

Vide de Gouvernance au sommet de l'Etat

Éditorial de lucienne magalie pons


Vide de gouvernance au sommet de l'Etat : à vouloir accaparer depuis 2007 toutes les fonctions des ministres et en s'exposant médiatiquement à leur place pour entretenir son profil omniprésent de candidat à plein temps, Nicolas Sarkozy n'exerce pas ses responsabilités et ses fonctions de chef d'État.

Monsieur de Villepin explique bien mieux et plus sobrement que moi que le rôle du président n'est exercé par "personne".

J'ai vu la vidéo de l'interview sur Europe 1 et je déplore que le reporter questionne Monsieur de Villepin avec un ton d'inquisiteur comme s'il était devant un tribunal pour justifier de ses opinions ; notamment des questions insistantes formulées d'un ton sec, coléreux, soupçonneux ... " Vous avez dit ...... qu'est-ce que ca veut dire ? ...

Monsieur de Villepin a beaucoup de mérite et de courage pour répondre calmement sans se démonter à de tel petits personnages médiatiques qui confondent leur rôle d'information avec celui d'un censeur, mais Europe 1 on le sait professe le Sarkozysme à longueur d'antenne et de temps et très souvent ils invitent des personnalités pour leur tendre des pièges.

cliquez sur le lien ci-dessous pour visualiser la vidéo

Le rôle de président "exercé par personne"
envoyé par Europe1fr. - L'info internationale vidéo.

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...