* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
J'avais écrit cet article Jeudi dernier, jour anniversaire de Monsieur François Fillon, jour qui coïncidait aussi avec sa visite au Salon International 2010. de agriculture, comme l'on dit jamais 2 sans 3, c'est aussi ce jour-là que l'hebdomadaire le Point le présentait en couverture relooké en Président et lui consacrait une étude de dix page pour le présenter comme le meilleur des meilleurs candidats de droite au cas où Monsieur Nicolas Sarkozy ne se représenterait pas en 22O12;
On prétend parfois que la vie est un jeu et cette fois on nous la joue belle !
Faisons mine d'entrer dans leur jeu pour en décrypter leur stratégie ...
Un média vientde nous sortir, en s’appuyant sur un récent sondage Ipsos un Jokerprésidentiable par défaut ou "défausse", figuranten portrait photo à la Une du Point.
En effet on peut voir ce jeudià la une duPoint François Fillon en portrait photo, le visage détendu et souriant avec un regard moins sombre que d’habitude, avec la légende « François Fillon Président »
Spécialement relooké « président »avec unenouvelle coiffure et denouveaux vêtements plus élégants, le Premier Ministre avec cetteimagepaisibleinspire confiance.
.Tout le monde se doute bien que l’on fait dire à un sondage ce que l’on veut obtenir comme résultat, ensélectionnantles questions adroitement.
Selon un sondage Ipsos pour Le Point paru ce jeudi, le Premier ministre, aux yeux des Français, ferait un meilleur président que les socialistes Martine Aubry et Ségolène Royal. À la question "Selon vous, qui ferait le meilleur président de la République ?" François Fillon le l'emporte sur la première secrétaire du PS par 47 % contre 31 % (22 % ne se prononcent pas). L’avantage encore est plus important face à l'ancienne candidate PS à la présidentielle : 57 % contre 23 % préférant Ségolène Royal (20 % ne se prononcent pas)
.D’après ce sondage, François Fillon n'estdépassé que par le directeur général du Fonds monétaire international, le socialiste Dominique Strauss-Kahn. 46 % des personnes voient en DSK un meilleur président que François Fillon (34 %) (20 % ne se prononcent pas).
L’enquête indique aussi que 45 % des Français de droite préféreraient François Fillon à tout autre candidat issu des rangs de l'UMP, dans le cas où Nicolas Sarkozy ne se présenterait pas.
Face au Premier ministre ce sondage crédite Alain Juppé de (12 %), Dominique de Villepin de (11 %), Jean-François Copé (de 10 %) ou Xavier Bertrand de (6 %).
Naturellement ce sondagevient tout à propos pour essayer de tromper l’opinion publique qui n’y croit plus si je me fie aux rumeurs et confidences qui circulent librement sans l’encadrement d’un sondage.
Pour ma part je ressens cette nouvelle forme de communication comme un jeu de rôle médiatique dans lequel provisoirement pour tromper l’opinion Monsieur Fillon se prête obligeamment cette foisau rôle de Joker.
Lemot « joker » vient du nom anglais d'un personnage du Moyen Âge, équivalent au bouffon du Roi.
Par extension un joker, est une personne, une carte spéciale, un objet, un effet, qui est utilisé et mis en avant provisoirement dans une situation ou dans un jeupour redonner l’avantage à un individu lors d’une situation complexe.
Dans un jeu de carte, le joker(oufrime, farceur, ou blagueur)est représenté sous forme , d'un lutin ,d'un clown, oud’un bouffon, ce qui correspond bien au mot anglais « joker » (« farceur » ou « blagueur » ).
Le Joker a différente fonctionselon le jeu, mais généralement il permet de remplacer n'importe quelle autre carte.
Le principe est que le joker simple peut être placé n'importe quand, y compris lors d'un jeuconvenu, etil permet au joueur l'ayant placé de récupérer la main et de repartir sur un nouveau tour de carte.
Il y aurait un autre jeu à expérimenter pour désigner cette fois sans Joker, donc plus dangereux pour celui qui veut garder l’avantage , il existe en effetun jeu de société , que l’on pourrait jouer en jeu de rôles, ce jeuappelé le « Président » ou encore TDC (trouduc), ou Grand Clodo se jouentà quatre joueurs ou plus, avec un jeu de 54 cartes, d’autres fois plus simplement avec 32 cartes.
Le but de chaque joueur est de se dessaisir le plus rapidement possible de la totalité de ses cartes. Les joueurs ayant été les plus rapides à se débarrasser de leurs cartes obtiennentun avantage pour la partie suivante etles plus lents sontpénalisés par un handicap.
L'intérêt de ce jeu est de jouerplusieurs parties à la suite afin de voir les joueurs évoluer, ou descendre dans le classement.
Pour les couleurs on peut choisir qu’elles n’ont pas d’importance, ou au contraire l’ordre des couleurs est trèfle, carreau, cœur ou pique ou inversement.
Au début de la première partie, il n'y a pas de hiérarchie entre les joueurs, tous commencent égaux. Un nombre égal de cartes est distribué à chaque joueur, les éventuelles cartes en trop étant mises de côté.
Pour ne pas allonger le texte je n’entrerai pas dans le détail du déroulement de la première partie mais ce qu’il faut noter c’est qu’à la fin de lapremière partie à quatre joueurs,selon ses résultats, chaque joueur reçoit un titre :
Le Premier est le Président
Le deuxième devient Vice Président (ou encore Premier Ministre)
L’avant dernier est le lèche bottes (ou l’ouvrier)
Le dernier est le Trouduc (ou Clodoc ou clochard)
Pour la seconde partie d’une série, des ajustementssont faits une fois les cartes distribuées :
Encore une fois pour simplifier n’envisagerons que les ajustements les plus simples :
Le Trouducdonne au Président ses deux meilleures cartes,en retour, celui-ci lui donne ses deux plus mauvaises cartes
Le Lèche Bottes donne au Vice-président sa meilleure carte, en retour, celui-ci lui donne sa plus mauvaise carte; La partie se déroule ensuite de façon identique à la première partie et en fin de deuxième partie, nouvelle répartition des titres selon la même méthode qu’en première partie.
A la fin de la série composéede plusieurs parties, c’est celui qui a été le Président le plus grand nombre de fois qui gagne.
Vous avouerez, si vous avez l’esprit critique, que dans ce jeu du Trouduc certaine analogie se révèle criante avec une réalité qui nous saute aux yeux tous les jours.
A moins d'un retournement spectaculaire en huit jours qui ressortirait d'un miracle politique indépendant de la volonté des sondés, les carottes sont cuites pour l'UMP et associés, c'est le triste état des lieux qui résulte d'une campagne régionale qui au début se voulait grandiose et impressionnante par le lancement de débats nationaux sur l'Identité Nationale et la burqua.
Débats indécents sur le fond et dans la forme qui ont virés au cauchemar, notamment pour le Ministre de l'immigration.
Et ensuite par des dérapages sur le terrain et dans les médias, par des querelles calamiteuses d'intentions et de dénonciations calomnieuses entre les uns et les autres, d’où le spectacle affligeant d’ un lamentable cafouillage cacophoniques qui n'a pas permis aux électeurs de saisir les projets régionaux politiques stricto sensu des candidats de toutes obédiences qui se sont perdus dans une campagne dédiéeà valoriserleur image personnelle et à dénigrer celle de leurs adversaires.
Etats des lieux :
En terme d’intentions de vote pour les régionales, selon un sondage exclusif CSAréalisé pour le Parisien, à huit jours du scrutin, sur une période de un mois, les listes de droite perdentencore 2 points et le bloc de gauche passede 51 à 52 % ;
- les liste de droitetotalisent28 % dont 27% pour le bloc ‘’ UMP-Nouveau Centre –MPF.CPNT’’perd deux points à 28%.,
soit6 points de moins qu’en janvier et deux de moins qu’en février.
Le FN gagne un point à 9%, le MoDem reste à 5 %
- les listes PS, Front de Gauche, Europe-Ecologie et autres listes de gauche totalisent globalement 52% des intentions de vote.
soit 7 points de plus qu'en janvier.
Le PS passe de 30 à 31%, le Front de Gauche gagne 1 point à 6%, les Verts enen perde 1 à 14%, l'extrême gauche est stable (2% pour NPA, 2% pour LO).
ooOoo
Indice de confiance des personnalités dirigeantes de l’Etat :
Le Président de la République Nicolas Sarkozy perd4 points de confiance à 36 %
En 1 mois,le chef de l'Etatsouffre d’une baisse sensible de ceux qui lui «font confiance pour affronter efficacement les principaux problèmes qui se posent au pays».
C'est son taux le plus bas depuis son élection, à égalité avec juillet 2008.
Le premier ministre François Fillionperd 1 point de confiance à 42 %
Le Premier ministre voit sa cote de confiance passer de 43% à 42%, celle de défiance restant inchangée à 51%. 7% ne se prononcent pas (+1).
(Ce sondage CSA pour le Parisien a été réalisé par téléphone les 2 et 3 mars 2010 auprès d'un échantillon national de 820 personnes de 18 ans et plus (méthode des quotas).
Hier, Jacques Chirac notre ancien Président de la République a rendu une visite de trois heures aux Agriculteurs, les comblant de sa présence au Salon International de l’Agriculture 2010.
Toujours très à l’aise au contact des exploitants agricoles, Jacques Chirac, accompagné du ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire et du député UMP Christian Jacob, et entouré d’une cinquantaine de journaliste, était l’homme du jour le plus attendu par l’assistance qui scandait « Chirac….Chirac…. »
Sa présence renouvelée tous les ans est devenu un rituel d’amitié et d’estime qui a tissé des liens indéfectibles avec ce monde paysan qu’il affectionne tant.
Accompagné du ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire et du député UMP Christian Jacob, Jacques Chirac était l’homme le plus attendu par l’assistance qui l'a apllaudi et ovationné , à maintes reprises des visiteurs l ‘ont complimenté avec une sincérité touchante , il est super… il est bon, il nous manque, il nous manque a déclaré l’un d’entre eux,, pour un autre « c’est le prestige de la France, c’est la France » et pour une dame il représente vraiment les vrais hommes , les hommes « grands », "il présente bien les vrais hommes, c’est pour cela que j’aime l’entendre ....l’entendre et le voir »" a-t-elle déclarée avec émotion les yeux brillants de larmes de fierté et d’émotion.
Se plaisant aussi à donner des bises et de dire comme un grand père des mots agréables de compliments aux enfants et jeunes filles qui s’approchaient de lui, Jacques Chirac a fait un triomphe.
C’est indéniable , Jacques Chirac jouit toujours d’une immense popularité, c’est d’autant plus agréable que délivré de tout souci politique, il n’ était là que « pour le plaisir » d’aller de stand en stand , de parler avec les agriculteurs et de les féliciter chaleureusement de la qualité de leurs produits et de leurs élevage, levant à l’occasion son verre , dégustant des produits du terroir, croquant une pomme bio, avec cette aisance conviviale qui chez lui est la marque du gourmet averti qui sait apprécier les bonnes choses et mettre en valeur leurs producteurs.
Sur son parcours il a croisé le maire de Paris, Bertrand Delanoë, et Anne Hidalgo, tête de liste PS pour les régionales à Paris, la encore les échanges ont été empreints de cordialité, et avec finesse Jacques Chirac tout sourires s’est plut à dire "Je n'ai aucune plainte à adresser au maire de Paris", tout en allant a leur côtés à la rencontre de plusieurs exploitants, non sans souligner en plaisantant ensuite comme il sait le faire "j'étais sous le charme du maire". Bertrand Delanoë n’est pas restez en reste d’amabilité et de compliments, en parfait en parfait gentleman il a pris congé en déclarant « Vous embrasserez Bernadette. Bon courage à vous !
Quelques secondes plus tard Bertrand Delanoë a fait part de son sentiment pour Jacques Chirac : « Je le respecte, c’est quelqu’un qui est proche du peuple » avant de le comparer à Nicolas Sarkozy : « Je comprends qu’on puisse préférer un style simple et naturel à un style arrogant et dominateur… »
Le chef de l’Etat, justement, est attendu ce matin samedi de pied ferme par le monde agricole, après avoir boudé l’inauguration du Salon ce qui persiste à faire très mauvais effet, et des agriculteurs fait remarquer, en s’adressant aux journalistes, que c’est une signe de mépris pour eux.
Le Président Sarkozy devrait participer à une table ronde avec des professionnels et devrait faire des annonces futuristes en faveur du secteur, sinistré par la crise. Espérons qu’il apportera aux agriculteurs ce qu’ils attendent de lui, non pas un discours politique fleuve reprenant l’historique de l’agriculture en France et des annonces de mesures flottant dans un futur, mais un discours précis et il est mesure de décider concrètement dans l’immédiat.
La visite rituelle de l 'ancien chef de l'Etat a tenu toutes ses promesses. Il n'est resté « que » deux heures quarante au Salon de l'agriculture, mais il ya fait un triomphe. Au bas de l'escalator qui relie les deux halls principaux du Salon de ...
cliquez sur le lien pour vous retrouver dans une grande soirée de prestige : Medvedev et sa charmante épouse reçus à l'Elysée par Carla et Nicolas Sarkozy :
Avant les annonces du président au monde agricole, promises pour samedi, le chef du gouvernement toujours prêt à servir les bonnes causes présidentielles, a mis à profit une visite de trois heures au Salon Internationalde l’Agriculture 2010,à la Porte de Versailles pour écouter les doléances des exploitants, qui parlent d'une profession "sinistrée", etpour préparer l’éminente visite Présidentielle de Samedi , jour de clôture du Salon.
Le Premier Ministre François Fillon accompagné de Bruno Lemaireministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, a accordé hier Jeudi une visite de 3 heures au Salon International de l’Agriculture 2010 ,et en amuse gueule du menu d’annonces tenu secret que le Chef de l’Etat présentera Samedi aux agriculteurs en final du Salon Samedi , le Premier Ministre soucieux de ne pas empiéter sur la « surprise » du Chef,s’estréduit à assurer, en réponse aux doléances des exploitants qui considèrent leur profession comme sinistrée, que l'Etat serait aux côtés des agriculteurs pour les aider à passer ce "cap extrêmement difficile", en soulignant que le plan de soutien à la filière sera complété et la France plaidera pour plus de régulation sur les marchés agricoles, européens et mondiaux.
"On se bat tous les jours pour permettre à l'agriculture de retrouver toute sa place parce que l'agriculture, c'est stratégique pour la France" a enchaîné lePremier ministre, avant de se rapprocher du stand des élèves-bouchers, dans un très-mini-mini bain de foule de quelques sympathisants de la moyenne, ou il a pu déguster des rillettes de son « terroir « sarthois du Mans.
Toutefois hors caméra, toujours semble-t-il dans un souci de discrétionpour ne pas se placerau-dessus du prochain éminent visiteur de Samedi, François Fillon s'est entretenu en catimini, hors caméra, avec le président de la FNSEA, Jean-Michel Lemétayer,autour d’un assortiment de charcuteries et d'un verre de Bandol rosé.
Le Président de la FNSEA s’est montré assez réconforté après cet aparté gustatif et aopiné : "Il y a un accord pour compléter le plan de soutien",mais d’après ce dirigeant du syndicat le plus important du secteur agricole en France, il reste cependant de nombreuses zones d'ombre, notamment certaines décisions qui viennent charger la barque des paysans, comme la taxe carbone.
Lesobservateurs font remarquer que le Premier ministre a été interrogé à plusieurs reprises sur ce "nouvel impôt spécial agriculteurs", selon les termes mêmes d'un producteur céréalier.
"On est en train d'essayer de trouver la bonne solution juridique, parce qu'il ne faut pas qu'on se fasse ‘ 'ré- allumer' ‘par le Conseil constitutionnel", a expliqué le Premier Ministre aux dirigeants de la filière des biocarburants, qui en demandent exonération pour leur secteur d’activités.
Dans un autre domaine plus immédiat, ‘’ allumer le feu’’ n’était surtout pas dans l’intention de François Fillon qui aurait pu redresser le col s’ilavait tenu compte des galons de Présidentiable que Le Point, en couverture de son édition de Jeudi et en dix pages intérieures,lui avait attribués, sur la foi d’un sondage Ipsos.
Ce n’était évidemment pas le lieu ni l’heure et bien au contraireFrançois Fillon, interrogésur l’Edition du point qui lui est consacré, a détourné la question assez évasif en répondant : "Ça doit être pour fêter mon anniversaire, j'imagine", ce que les médias ont pu considérer comme une pointe d’humour, mais que je considère pour ma part comme une impertinence destinée à voiler le rôle de Jokerqu’il assume dans les médias chaque fois qu’il y va de l’intérêt de Nicolas Sarkozy.
Par pure coïncidence, ‘’ j’imagine ‘’ cet article du point est publié justement le jour anniversaire des 56 ans de François Fillon, mais on peut tout imaginer , et y compris que la photo portraitde François Fillon qui figure en couverture du Point avec la légende « Enquête sur le Président Fillon, - La tentation de l’Elysée, - Pourquoi la droite croit en lui ", et les 10 pages qui lui sont consacrées à l’intérieur, sont un pu exercice médiatique tout à fait innocent , publié à son insu.
Pourtant en regardant la photo portrait, ça saute aux yeux qu’il a bien posé pour la circonstance relooké « Président », et qu’il s’agit bien d’un coup médiatique destiné à souligner, entres autres appréciations flatteuses, élogieuses si vous préférez,que pour 45 % des sympathisants UMP interrogés par les sondeurs , le Premier Ministre serait le candidat présidentiel « de rechange idéal » loin devant Alain Juppé et Dominique de Villepin, siNicolas Sarkozy ne se représentait pas.
Vous avez suivi la manœuvre ?....« devant Alain Juppé et Dominique de Villepin ».
Je n’en dirais pas plus « vous m’avez compris » … ! Pour moi il s’agit d’une manœuvre désespéré devant la montée dans l’opinion d’un Dominique de Villepin présidentiable !
L’habile discrétion de Monsieur François Fillon sur ce sujet brûlant a été rompu par Bruno Le Maire qui s’estimprovisé son« porte parole »pour la circonstance qui a déclaré en sortant de son rôlede Ministre de l’agriculture :
"Les journalistes sont libres d'écrire ce qu'ils veulent".
Je me souviens d’une année où la visite du Premier Ministre François Fillon, savamment orchestrée pour faire oublier un dérapage verbalcélèbre, lancé par le Président Sarkozy à l’adresse d’un visiteur qui avait refusé de lui serrer la patoune , avait donné lieu à une couverture médiatique très importante d’autant plus corsée aussi par le cadeau qui lui avait étéoffert d’une poule dénommée » Carla » sur le stand d’un éleveur célèbre, ce qui n’avait pas manqué de surenchérir tantà sa popularité qu’à celle d’une personnalité de premier plan très étroitement liée au Président de la République.
Bon attendons Samedi pour mettre un point finalau Salon Internationalde l’Agriculture 2010.
Hier Mercredi 3 mars au Salon International de l’Agriculture 2010, bon nombre de personnalités politiques se sont croisés, allant de stand en stand suivis de leurs partisans, mais c’est indéniablement Monsieur Dominique de Villepin qui a remporté la vedette,escortédes élus Villepiniste dont Madame Montchamp , Messieurs Grand, Le Guen, Mariton, Goulard, Raison, Madame Brigitte Girardin ancienne Ministre de la coopération, et suivi d’un nombre impressionnantd’adhérentsdu Club Villepin et membres des réseaux Villepin, auxquels se joignaient spontanément au cours de leur avancéeun grand nombre de visiteurs avec leurs enfants.
C’est ainsi que Monsieur de Villepin et sa suite ontvisité le salon de 10 heures du matin à 19 heures allant de stand en stand, sous une forêt de caméras, entourés de journalistes de tous les grands médias presses et télévision qui ne cessaient de le questionner et de le filmer.
Ce qui était remarquable tout au long de cette visite qui a durée 9 heures, , c’est qu’au fur et à mesure de son avancée, écoutant avec attentionles agriculteurs et les responsables des stands et des syndicats de l’agriculture et répondant à leur question avec une précision remarquable de savoir et de précision, Monsieur de Villepin toujours souriant et détendu enchantait l’auditoire par ses réponses.
Et de partout fusaient des salutations et des propos sincères : « Nous avons besoin de vous Monsieur de Villepin », « Courage Monsieur de Villepin, nous sommes avec vous », « Merci d’être parmi nous », « Lui au moins il est sur le terrain …et il tient parole », « Un homme franc, loyal, on peut lui faire confiance » "Qu'il est beau, c'est le plus beau", "Vous serez le plus beau des présidents", estime une dame », et enfin venant d'un Monsieur enthousiaste " Ah ! ça c'est formidable, le Président n'est pas là, mais vous vous êtes là !"
Ce qui est encore plus remarquable c’est que les visiteurs se pressaient spontanément autour de lui pour le saluer, lui demandant de poser avec lui « pour une photo de famille », les pères et mères de famille lui présentaient leurs enfants, plus d’une centaine d’enfants venaient vers lui pour se faire photographier à ses côtés, les plus petits dans ses bras, d’autres personnes et même des enfants le photographiaient, des dames à son passage s’approchaient , le félicitaient pour son action et même certaines d’entre elles pour sa prestance, les messieurs se présentaient pour une poignée de mains chaleureuse accompagné d’un sourire et d’un regard franc, tous les visages s’éclairaient à son passage,bref une belle et joyeuse ambiance des grands jours de retrouvailles , faite de confiance, de sympathie, et de courtoisie qui marquait une fois de plus la popularité croissante dont bénéficie Monsieur de Villepin.
Entendue dans la foule en passant d’une dame d’un certain âge : « C’est le président que nous aurions du avoir, tout irait mieux avec lui … » , d’un Monsieur à ses enfants « C’est Monsieur de Villepin notre ancien Premier Ministre, le prochain Président », de deux jolies dames « Il est beau, regardes comme il est beau », d’un Monsieur à sa Dame « Lui au moins, il parle juste » et enfin entendue d’une adhérente très âgée que je ne nommerai pas, très connue des adhérents du Club pour son esprit de malice, alors que l’on traversait les stands des éleveurs bovins, et en voyant les élus caresser les belles bovines « Eh ! bien ces dames vaches ont beaucoup plus de succès que les belles dames aujourd’hui ».
Mais ce n’était évidemment qu’une boutade à l’adresse du Monsieur qui l’escortait, comme chacun le sait Monsieur de Villepin et les messieurs de son entourage sont d’une grande courtoisie avec les dames et beaucoup d’entre elles sont tombées sous le charme de leur parfait maintien.
Les responsables des stands ont été eux très touchés, en offrant quelques petites délicatesses, de constater queMonsieur de Villepin asu apprécier les saveurs et identifierles origines de leurs produits, en dégustant avec une fine gourmandise de connaisseur,lessaucissonset charcuteries, les fromages, les bières, les cidres, les vinset tous ces autres délicesde nos terroirs que nos agriculteurs produisent avec un savoir ancestral et l’amour du métier.
Il faut dire qu’il a fait partie comme Ministre et Premier Ministre de l’équipe de notre ancien Président de la République Jacques Chirac et que pour la gastronomie et la dégustation il a été à bonne école pour que l’on puisse reconnaître en lui un fin gourmet.
Questionné et appelé à comparer Dominique de Villepin à Jacques Chirac, un responsable de stand bien de chez nousa damné le pion au journaliste qui l’interrogeait en répondantd’une phrase pleine de finesse qui serait à inscrire dans les annales du salon tant elle dit bien ce qu’elle veut dire, sans nommer personne à la fin : "Jacques Chirac, c'était le terroir au cœur du terroir, et Dominique de Villepin, c'est le raffinement au cœur du terroir. Quelqu'un de souriant, agréable, qui pose des questions et qui a mangé"
Il a aussi bu et levé son verre, nous avons aussi appris qu’il préfère le vin rouge, alors en conclusion, puisqu’ « il a bien mangé et bien bu,il est des nôtres bien entendu »
Il a aussi parfaitement parlé en connaissance de causes, connaissant tous les dossiers à fond. C'est ce qu'attendaient les agriculteurs, une écoute et des réponses personnalisées, il n'ont vraiment pas besoin d'un discours fleuve de politique futuriste, ce qu'il attendaient ils l'ont trouvé avec Monsieur de Villepin et au moins en ce sens pour eux cette journée du Mercredi a été réconfortante.
Dans le présent article je me suis limitée à décrire l'ambiance générale. Pourun autre aspect de cette visite , le plus important, portant sur les déclarations et les dialogues, je vous demande s’il en est besoin de vous reporter au site de Fred où vous trouverez des articles, des vidéos, des photosreprésentant du mieux possiblecet évènement où une fois de plus, Monsieur Dominique de Villepin a accompli un parcours sans faute.
Photo à gauche : "La Belle Maraîchère : il y a quelques temps Audrey Pulvar jouait encore à la « belle maraichère » dans la propriété de son ancien compagnon chef cuisinier trois étoiles
Photo à droite : Depuis quelque mois, elle estla compagne d’Arnaud Montebourg : et se déclare elle-même dans des interviews, presse et radio télé ," la compagne" et la " petite amie " d’Arnaud de Montebourg
Audrey Pulvar antillaise et journaliste a le sens des relations publiques pour gravir les échelons d'un notoriété qui laisse planer le doute sur l'autonomie de sa réussite professionnelle, qui mériterait à se démarquer des révélations de sa vie privée.
Journaliste et quoi d’autre encore ?
Autrefois elles se livraient à des interviews en espérant d’après elle être embauchée par TF1 pour présenter le 20 heures, et par la même occasion, annonçant même qu’elle envisagerait à défaut de devenir productrice, elleparlait aussi de son compagnon qu’elle présentait comme un Chef cuisinier 3 étoiles de prestige en matière gastronomique et vantant ses qualités et en se faisant photographier en jolie maraichère ou maîtresse des lieux dans leur propriété de campagne.
Elle faisait tout à l’époque aussi pour faire oublier des paroles malheureuses et partisanes et des propos supposés anti blanc qu’elle aurait tenu autrefois quand elle n’était qu’une journaliste en demi-parcours ascensionnel.
Elle a depuis évolué et ne fait plus dans le communautarisme, mais au contraire depuis plusieurs années elle s’ouvre largement, trop largement, dans ce qu’il est convenu d’appeler le monde parisien et politique et en 1900 on aurait pu la classer dans la liste des demi-mondaines, tenues en marge de la société établie, mais participant à la vie parisienne comme maîtresses entretenues par des Messieurs en vue, banquiers, politiques, écrivains, etc..Pudiquement aujourd’hui ces dames se parent du titre de « compagne » ou de« petite amie ». , même si elles ont presque l’âge d’être grand-mère, un bon lifting fait l’affaire.
Aujourd’hui ces dames ne sont plus danseuses ou actrices ou grande couturière etc… elles donnent maintenant dans les médias, journalistes et animatrice de radio, ça fait plus intellectuel, mais malheureusement bien souvent elles ne sont la hauteur de la fonction que par la protection de leur ami qui les classe comme intouchable, au moins tant que dure la « romance ».
Depuis quelques temps Audrey Pulvar a largué son compagnon restaurateur et s’est empressé de révéler aux médias (JDD et autres journaux quotidiens et hebdomadaires) qu’elle était la compagne, la « petite amie » d’Arnaud Montebourg, député socialiste.
Pourtant rien dans le passé ne laissait supposer qu’Arnaud de Montebourg, marié et père de famille, succomberait aux charmes de cette dame entreprenante !
Il est à regretter que des journalistes et animatrices radio ou télé se livrent à des acrobaties sentimentales avec des personnalités en place pour consolider leur carrière, nous en avons eu l’exemple avec la bcbg Claire Chazal qui est passé de Poivre d’Arvor à Xavier Couture, ensuite avec Laurence Ferrari qui a quitté son mari Thomas Hugues pour flirter avec NS, et bien d’autres cas encore.
Ces dames légères au cœur d’artichaut passed’un homme à l’autre en fonction de ce qu’elle peuvent en tirer denotoriété , un bien mauvais exemple de la femme au travail, tant que des femmes utiliseront la méthode canapé , en fait comparable « au plus vieux métier du monde » pour réussir dans leur métier, elles discréditeront la capacité des femmes à réussir par leur propre valeur,elle ne pourront prétendre à l’égalité des sexes, ce n’est pas un exemple à suivre.
Il est à regretter que Madame Audrey Pulvar se manifeste dans la presse pour annoncer ouvertement sa vie privée, cette personne devrait pourtant se satisfaire de son métier pour lequel elle a été formée par un cursus universitaire assez remarquable, à quoi bon révéler sa vie privée ? Pour faire comme les « copines » ?..... L’effet de contagion peut-être. Un virus increvable hélas qui les atteint les unes après les autres, que l’on pourrait appeler le « glamour professionnel » et pour lequel il n’existe pas de vaccin sauf le respect de soi-même,dont elles font résolument le sacrifice pour réussir, ce qui dénoteune certaine faiblesse de comportement qui en définitive, contrairement au but recherché les déclasse.
L'enfance d'Audrey Pulvar se déroule à Fort-de-France, où elle bénéficie d'un environnement riche en culture et imprégné de politique .Son père, Marc Pulvar,ancien professeur de mathématiques, a été secrétaire national duMouvement indépendantiste Martiniquais qu'il avaitégalement fondé et Secrétaire de la centrale syndicale des travailleurs martiniquais (CSTM). La mère d’Audrey Pulvarest assistante sociale.
À partir de l'âge 14 ans, Audrey Pulvar vit entre son île et la France métropolitaine, la plus grande partie de sa scolarité sepasseen métropole, elle passe son bac aux Antilles avant de passer à Rouen unDEUG de sciences économiques puispoursuit ses études à l'École supérieure de journalisme de Paris dont elle sort major de promotion en 1994.
Elle entre ensuite dans les bureaux d'ATV comme stagiaire dans le cadre de sa formation etsera finalement engagée comme journaliste-reporter d'images et devient, dès 1995, présentatrice du journal du soir. En 1999 elle sera rédactrice en chef adjointe de la chaîne tout en continuant d'assurer ses fonctions de présentatrice. Elle y reste jusqu'en avril 2002, où Jean-Claude Dassier l'engage à la chaîne satellitaire d'information en continu LCI comme pigiste, puis à partir de décembre, elle travaille en parallèle à TV5. En novembre 2003, elle devient présentatrice du journal télévisé régional de France 3 Marseille,après quelques remplacements sur l'antenne nationale, elle présente le Soir 3 aux côtés de Louis Laforge à partir de septembre 2004. Enseptembre 2005,sur France 3, elle présente le journal du soir, le 19/20et en outre des émissions spéciales comme la troisième édition des Victoires du jazz, avec Pierre Lescure ou encore Français, à cœur et à cris en mai 2006.Fin 2008,en2006, elle présente aussi parallèlement le magazine mensuel « Parlez-moi d'ailleurs » sur La Chaîne parlementaire.
En juillet 2009, quittant France 3 en Juillet 2009, Audrey Pulvar rejoint la chaîne d'information en continu i-Télépour présenter la tranche 18 h - 20 h en semaine ainsi qu'une interview politique dominicale
Côté vie privée, la journaliste sort d’une relation de plus de trois ans avec le cuisinier trois étoiles Alain Passard, propriétaire du restaurant «L'Arpège», situé à Paris. Elle a une fille de 12 ans d’une précédente union. Début 2010, la presse révèle sa relation avec le député socialiste Arnaud Montebourg.
En février, à quelques semaines des élections régionales françaises, le groupe Canal+ décide de ne pas l'écarter de l'antenne d'i>Télé, du moins tant que son compagnon n'exerce pas de mandat gouvernemental
Arnaud Montebourg, secrétaire national du Parti socialiste à la Rénovation,âgé de 47 ansa été marié à la comtesse Hortense de Labriffe, fille du comte Antoine de Labriffe et d'Anne de Lacretelle. Ils ont deux enfants, Paul (né en 2000) et Adèle (née en 2002).
Fils de Michel Montebourg, fonctionnaire des Impôts, et de Leïla Ould Cadi, universitaire, professeur d'espagnolet essayiste,issue d'une famille de la noblesse walis de l'Algériecoloniale
Arnaud Montebourg a épousé le 31 mai 1997, la veille du second tour des élections législatives qui le virent devenir député, en l'abbaye cistercienne de Valmagne, Hortense de Labriffe, née en 1968, fille du comte Antoine de Labriffe et d'Anne de Lacretelle et petite-fille par son père du comte Pierre de Labriffe – propriétaire du Château de Gambais, dans les Yvelines – et par sa mère de l'académicien Jacques de Lacretelle (1888-1985). Elle a été collaboratrice d'Édouard Balladur et de Philippe Douste-Blazy. Elle est aujourd'hui déléguée générale de l'API (Association des producteurs indépendants du cinéma français) et secrétaire générale de Unicine (Union des Cinémas - France).
Ils ont deux enfants, Paul né en 2000 et Adèle née en 2002.
Début 2010, la presse people révèle la relation d’Arnaud Montebourgavec la journaliste Audrey Pulvar, présentatrice sur la chaîne d'information en continu i-Télé, et depuis lors Madame Audrey Pulvar a accordé plusieurs interviews pour confirmer qu’elle est la compagne « la petite amie » d’Arnaud de Montebourg