08 janvier 2010

L'Adoubement de François le Français

article de lucienne magalie pons


Revenant sur le serment d’Allégeance Monsieur Besson a pu dire récemment. "Est-ce qu'une partie de la France, sceptique à cet égard, est capable d'entendre, de comprendre l'acte d'amour ... l'acte de foi que ça représente? Je ne sais pas. Donc il faut le peser".


Il compte présenter ce projet au Président de la République avec une première synthèse des premières contributions reçues sur le site de l’Identité National Française.


Le ministre a ajouté que son directeur de cabinet lui avait offert à Noël une clef USB contenant les 50.000 premières contributions des internautes - "que j'ai lues une par une", a-t-il dit, "pour être bien certain de m'imprégner de ce débat".


Comment peut-on lire, assimiler, réfléchir et retenir la substantifique moelle de 50 000 contributions ? Il faut croire que Monsieur Eric Besson est un surdoué de la lecture rapide. Passons sur cet exploit, le Chef de l’État qui en ce moment se livre à de nombreuses déclarations dans des domaines variés avec une rapidité que l’on peut comparer à des rafales de mitraillettes, chargées à blanc heureusement, et dont certaines feront long feu vu l’ampleur de sa tâche, la synthèse des débats lui sera prochainement présentée et nous avons appris qu’ il s'exprimera sur le sujet au cours de la première quinzaine de février. Avec le mauvais grain de sel qui me caractérise, quand un malin esprit taquine mes neurones, je me suis amusée à imaginer un "serment d'allégeance,à la république, et je vous demande de n'y voir avec indulgence qu'un méchant divertissement de plume.

 
Ce Serment pourrait être prononcé par un  serf laïque (tout à fait imaginaire), d’un genre

nouveau, toujours prêt à se soumettre, toujours prêt à travailler plus pour gagner moins,
mais j’ai beau regarder autour de moi, je ne vois aucun serf de ce type dans notre belle
diversité nationale , je ne vois que des français et des résidents étrangers qui font des
affaires ensembles, qui savent ce qu’ils sont, d’où ils viennent, ce qu’ils veulent,
ce qu’ils attendent de l’état, qui n’ont aucun problème d’identification personnelle,
et qui dans leur grande unanimité, considèrent que ce débat sur l’Identité Nationale
Française n’est pas leur priorité, à l’exception de quelques personnages politiques qui
en font un sujet de discorde et d’affrontement entre eux, tel que Monsieur Besson et
Marine le Pen qui nous produiront un débat sur leurs obsessions identitaires communes
le 14 janvier.

Serment d’allégeance à la République

République tu es  mon temple
En toi je place tout mon amour
Fidèle, à genoux je contemple
La splendeur de ton séjour
O République,  Ma providence
Pour toi  je veux vivre et servir
Etre suprême! Ma providence
Pour toi je veux vivre et mourir
Me voici devant toi République
A ton appel sans discuter
Moi ton sujet laïque
La tête courbée sous ton épée
Je te fais serment d’allégeance
Et je  te jure fidélité  
Je place en Toi mon espérance
D’être confirmé Français
AOC made in République
Adoubé, conditionné, timbré
De  ta marque de fabrique
Je veux être estampillé
 
ooOoo
 
Enfin pour me faire pardonner d’avoir détourné les mots « allégeance » et

« adoubé » dans un serment d’allégeance républicain, j’ai relu pour faire ma
pénitence un extrait de « l’Adoubement ou armement du Chevalier », cérémonie de
époque Féodale, pour restituer à ces mots tout leur sens historique.
 

(Extrait de Comment Geoffroi Plantagenet, Due d'Anjou, fut armé chevalier en l'an 1127.)


L'adoubement ou armement du chevalier


C'est une cérémonie au cours de laquelle un jeune noble, âgé de 20 ans, reçoit ses armes et entre dans la classe des chevaliers.


L'initiation commence dès l'enfance; à 7 ans, le jeune noble est confié à un seigneur étranger chez qui il devient page, puis compagnon de chasse, de voyage et de guerre; au cours de ces "années d'apprentissage", il se prépare surtout au métier militaire.


À la veille de la cérémonie, le jeune homme purifie son corps par un bain et fait une veillée de prières dans la chapelle du château ; son épée a été déposée sur l'autel pour être consacrée. Le lendemain, il assiste à la messe, puis, en présence d'une nombreuse assistance, il reçoit l'épée avec le baudrier, les éperons d'or, le heaume et l'écu, ou bouclier. Par serment, il s'engage à ne servir que des causes justes et nobles. Enfin, son parrain, qui est un chevalier renommé, lui donne la "paumée" ou "colée", formidable coup administré du plat de la main sur la nuque et qui fait souvent chanceler le nouveau chevalier. Sitôt adoubé, celui-ci monte un destrier et, sans toucher les étriers, fait admirer son adresse et sa force en s'élançant au galop contre une "quintaine" ou mannequin qu'il faut renverser.


Voici comment se déroulait la cérémonie de l'adoubement (armement du chevalier).


La première cérémonie était un bain où l'on mettait l'aspirant, c'était un symbole de purification morale. Au sortir du bain, on l'habillait d'une tunique blanche, insigne de pureté ; d'une robe rouge, marque de ce qu'il était tenu de répandre son sang pour sa foi et son devoir ; d'un justaucorps noir, souvenir de la mort qui l'attendait, comme tous les hommes. Purifié et vêtu, il observait un jeûne rigoureux de vingt-quatre heures. Sur le soir, il entrait dans l'église et passait la nuit en prières. Le lendemain matin, il se confessait, communiait, assistait à la messe et entendait ordinairement un sermon sur les devoirs de la chevalerie, puis il s'avançait vers l'autel, l'épée de chevalier suspendue à son cou ; le prêtre la détachait et la lui rendait après l'avoir bénie. Le jeune guerrier allait ensuite s'agenouiller devant le seigneur qui devait lui conférer son titre ; il lui récitait quelque demande comme celle-ci : « Si vous pri qu'en guerdon de mon service me doigniès armes et me faîtes chevalier », et il prononçait le serment de rester toujours fidèle à la religion et à l'honneur. Le seigneur lui donnait l'accolade, c'est-à-dire, trois coup du plat de son épée sur l'épaule ou sur la nuque, quelquefois un léger coup de la main sur la tête et lui disait une sorte de sermon. Puis « On amène le cheval, on apporte les armes, on le revêt d'une cuirasse incomparable, formée de doubles mailles que ni lance ni javelot ne pourraient transpercer ; on le chausse de souliers de fer fabriqués de même à doubles mailles; des éperons d'or sont attachés à ses pieds ; à son col est suspendu son bouclier, sur lequel sont représentés deux lionceaux d'or ; sur sa tête on pose un casque où reluisent les pierres précieuses, ou lui remet une lance de frêne à l'extrémité de laquelle est un fer de Poitiers ; enfin, une épée provenant du trésor du roi. »


(Extrait de Comment Geoffroi Plantagenet, Due d'Anjou, fut armé chevalier en l'an 1127.)



07 janvier 2010

Eric Besson à La Courneuve l'a soufferte Courte et Bonne"

Editorial de lucienne magalie pons

Visite surprise Eric Besson à La Courneuve l’a soufferte « Courte et Bonne »

Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, « s’est invité à une invitation », mardi dans une cité emblématique, les 4.000 à La Courneuve pour son premier débat en banlieue sur l'identité nationale.

Si vous voulez bien vous diriger sur les pages Orange Actualités vous verrez une vidéo très courte, mais « Courte et Bonne », comme le disait autrefois à la Cour de France, la Fille du Régent, la Duchesse de Bourgogne, satisfaite dans ses désirs.

Mais pour satisfaire son désir d’un tout autre ordre, Eric Besson qui rêve pour les Français d’un serment d’allégeance et et pour les immigrés d’une Carte de séjour à point, comme le permis de conduire, n’était pas reçu à la Cour du notre Roi Soleil Louis XIV, il n’était reçu qu’à la Courneuve, qui ne l’est que de nom, puisque Monsieur Sarkozy lui-même s’était promis de la nettoyer au Karcher, mais nous ne savons pas encore à ce jour, s’il voulait nettoyer les bâtiments où ses habitants.

La promesse n’est pas encore à ce jour exécutée, on se demande si Monsieur Sarkozy sait se servir d’un Karcher, s’il ne peut grever le budget de l’Elysée pour acheter un Karcher décoré Bling bling assorti à sa montre ou à ses lunettes, ou encore s’il a renoncé à cette entreprise, débordé par ses affaires de Réchauffement Climatique qui risque compromettre son Projet de Nouvel Ordre Mondial du 21me siècle, dont on l’attend toujours de pouvoir poser la première pierre.

Mais revenons à notre héros de l’Identité National Française, au cours de la réunion, une surprise l’attendait, un de ses hôtes, important personnage de la réunion si j’en juge par son allure sérieuse et responsable, a parlé des attentes des jeunes de la Cité en citant « Le jours où nos jeunes se sont sentis le plus heureux, c’est quand Monsieur de Villepin a fait son discours à l’ONU » , pour une citation elle était vraiment « Courte et bonne » et chacun sait que quand elle vous saisit par surprise au moment où on s’y attend le moins, ça fait du mal par où ça passe !

Le Lendemain sur la 5 Monsieur Eric Besson s’est bien gardé d’y faire allusion, il a dit en gros que sa visite à la Courneuve s’était bien déroulée, qu’il avait lu toutes les interventions des internautes , environ 50 000 pages sur le site de l’INF ( un record à inscrire au livre des records, mais je ne crois pas à ce qu’il ), il a raconté aussi qu’on lui à proposé d’instituer un serment d’allégeance à la République, qu’il pensait à instituer une carte de séjour avec des points de bonification, que le débat sur l’Identité Nationale Française était un vrai succès (!), pour moi je n'en ai pas senti la moindre fumée d'un "tabac " mais plutôt un parfum de scandale, mais il était là aussi, et surtout pour présenter son oeuvre littéraire et son intervieweur de la 5 et lui-même ont présenté son livre "La Nation" qui vient de sortir , dont il attend qu’on le lise pour comprendre sa pensée.

Bon en passant je note que mes ancêtres n’ont pas attendu la République pour être Français et je ne vois pas pourquoi nous devrions faire à cette grande Dame Laïque un serment d’allégeance, si quelqu’un peut me l’expliquer ce ne sera sûrement Eric Besson qui n’entend rien à l’Histoire des Français d’origine et des Français naturalisés !

Je persiste à croire qu’il vaut mieux voir la vidéo de la Courneuve que de lire son livre sur la Nation, et je vous propose de cliquez pour voir la vidéo :! Crise de rire garanti !

Allez voir la Vidéo, elle vaut son pesant d’or !

les vidéos de l'actu Orange

Durée: 01mn47
Identité nationale: visite surprise de Besson à La Courneuve
Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, a choisi mardi une cité emblématique, les 4.000 à La Courneuve pour son premier débat en banlieue sur l'identité nationale.

05 janvier 2010

Revendications, grèves, mouvements sociaux dans nos régions

article de lucienne magalie pons

.

Je n’ai pas la prétention de faire le tour de France des points chauds où se déroulent in situ des mouvement sociaux pour la défense des conditions de travail et de l’emploi, mais il bon de sortir périodiquement de la relation des frasques politiciennes du Paris Jacobin et des réflexions politico existentialistes de l’intelligentzia parisienne gauche caviar, pour jeter un regard attentif sur les conflits sociaux, qui passent pour ainsi dire presque inaperçus dans les médias branchés haut de gamme, qui ne leur accordent que quelques lignes tout à fait relatives en laissant pisser régionalement les moutons.

Je me limiterai donc à trois cas assez significatifs pour tâter le climat social des revendications dans trois régions différentes :

- à Marseille Fos, la CGT fait pression contre la mise en œuvre de la réforme des ports et dénonce le transfert au privé des opération de manutention assortie selon elle de de plans sociaux déguisés qui pourraient porter atteinte à l’emploi des agents publics,


-à Cernay dans le Haut Rhin, chez Hymer-France, les salariés qui attendent depuis plus de quarante jour des négociations face à une direction qui leur oppose un silence total, s’impatientent et passent à l’action, les meubles commencent à brûler sur le site,


- à Neuville-en Ferrain et Wasquehal dans le Nord, chez Diramode-Pimkie (Groupe Mulliez), sous la pression de l’Intersyndicale et du Député Alain Bocquet qui soutient les salariés, la Direction cède et accepte, enfin, d’avancer les négociations de 10 jours


Développement :


A MARSEILLE FOS


Grand Port Maritime


Un mouvement de grève nationale initié par la CGT, contre la mise en œuvre de la réforme des ports, a bloqué seize navires le 4 Janvier dans la rade du grand port maritime de Marseille-Fos


Les terminaux passagers, pétrole et gaz n'étaient pas touchés, mais le trafic marchandises était totalement bloqué

Après cet arrêt de travail de 24 heures, la CGT a annoncé une autre grève pour lundi prochain. Majoritaire dans les ports, le syndicat veut faire pression contre la mise en œuvre de la réforme des ports, par laquelle le Gouvernement entend transférer au privé toutes les opérations de manutention. La CGT dénonce « des plans sociaux déguisés » à l'occasion de ces transferts, et redoutent qu’au prétexte d'une réorganisation du travail, les sociétés privées pourraient ne pas reprendre tous les agents publics affectés à la manutention d'un terminal.

Après la signature de l’accord-cadre national sur l'application de la loi de réforme, les négociations sociales se poursuivent localement, quai par quai.


Sur le terminal marchandises de Fos-Graveleau, sur le terminal marchandises un appel à projets a été relancé, après que deux opérateurs déjà présents sur place n'ont pas réussi à s'entendre dans une négociation de gré à gré.

A Cernay dans le haut Rhin

Hymer-France

La direction oppose un silence total aux demandes de discussion et le personnel occupe l'usine depuis la mise en redressement judiciaire de leur entreprise, le 25 novembre.


Et finalement ça commence à chauffer et ça brule !


A deux semaines de la fin du redressement judiciaires de leur entreprise, les personnels de l'usine de caravanes et camping-cars « Hymer France » à Cernay, dans le Haut-Rhin, qui attendaient d’être reçus et entendus par leur direction allemande depuis 40 jours, ont brûlé pour protester contre le silence total qui leur est opposé, le lundi 4 janvier les éléments intérieurs de six véhicules préalablement démontés, en signe de protestation contre le silence total qui leur est opposé.


La plupart des 190 salariés ont assisté à l'incendie des sièges, meubles et autres composants de qui a provoqué un important panache de fumée autour du site.


Les salariés avaient manifesté en décembre en vue d’obtenir que la direction accepte de les rencontrer autour d’une table de discussion, mais la direction ne les a pas entendus.


A la suite, Les salariés de Hymer ont durci leurs actions après "quarante jours de silence total" des actionnaires ont durci leur action, et selon le porte-parole de la CFDT, ces actionnaires pourraient organiser la liquidation pour le 20 janvier, à l'échéance de la période de redressement.


« Si rien ne bouge »,( entendez si la Direction persiste dans son refus de discussion avec ses salariés) les salariés menaceraient, toujours d’après le porte parole de la CFDT, d'incendier une caravane entière mercredi après-midi. "Nous ne faisons pas cela de gaieté de cœur, mais il ne nous reste guère de moyens pour nous faire entendre. On a l'impression que tout est fait pour pourrir la situation. Nous n'avons aucune nouvelle de la maison-mère et aucun nouveau rendez-vous de fixé avec l'administrateur judiciaire", a-t-il expliqué.


A Neuville-en-Ferrain et Wasquehal


Diramode-Pimkie (Groupe Mulliez)


Sous pression des mouvements intersyndicaux, et de leur soutien politique le député Alain Bocquet, la direction de Diramode-Pimkie (Groupe Mulliez), a cédé et accepte de reprendre le dialogue avec les salariés grévistes et les syndicats, 10 jours avant la date prévue.


Pour autant les discussions resteront serrées et c’est un vrai bras de fer qui s’annonce !


Depuis dix-sept jours, les salariés majorité des ­femmes, bloquent les deux entrepôts de Neuville-en-Ferrain et de Wasquehal pour protester contre la suppression de 190 emplois et ont décidé en assemblée générale, de poursuivre le mouvement si aucun accord n'était trouvé lors des deux jours de négociation aujourd'hui et demain.

« Les gens sont toujours aussi déterminés », prévient Anne Fascella de l'intersyndicale FO-CFDT, les revendications ont été revues à la hausse, les salariés réclament au minimum 20 000 euros de prime extra-­légale, nous avons placé la barre à 35 000 euros.


Il n'y a aucune justification économique à ce plan de licenciement, « ils veulent nous virer, qu’ils payent ! », prévient encore Anne Fascella.


Au plan des revendications s’ajoutent aussi 2 400 euros par année d'ancienneté et le paiement des jours de grève.


La Direction a fait savoir son désaccord : « Pas question de négocier la prime extra-légale aujourd'hui et le reste ­demain ».


La Direction par ailleurs a pris des dispositions pour approvisionner 89 magasins français et belges, d’après l'intersyndicale, la Direction de Diramode-Pimkie en aurait ainsi profité pour mettre en place son organisation future, à savoir délocaliser ses sites de dépôt. « La direction a prévu de fermer le site de Neuville-en-Ferrain pour en ouvrir trois autres en Allemagne, Espagne et Italie », a dénoncé Anne Fascella.


Autre point de friction entre les salariés et la direction : l'absence de vrais postes de reclassement.

La direction revendique en avoir proposé 400 depuis le lancement du plan social, en mai.


Mais l’intersyndicale rétorque « Des offres d'emploi qu'on peut trouver sur Internet », raille Anne Fascella

Une autre déléguée syndicale, rappelle qu’ un postulant pour une place d'animateur d'équipe chez Kiabi a vu son profil rejeté, alors qu’il occupe chez Pimkie un poste d’animateur d'équipe.


« On se moque de nous », conclue une salariée, prête à passer avec ses collègues encore quelques nuits dans le froid.


Dans le conflit qui les oppose à la direction, les salariés Pimkie (groupe Mulliez), ont un allié de poids le député-maire de Saint-Amand, Alain Bocquet, surnommé le Baron Rouge ou encore le Robin des Bois du Nord. Bien entendu en matière de défense sociale, la couleur n’entre pas en ligne de compte.


Si tous les députés de France, quel que soit leur obédience, montaient au créneau dans leur circonscription lorsque des salariés se débattent pour garder leur emplois ou à défaut obtenir des négociations, pour négocier des indemnités de départ, il y aurait certainement moins de de « pourrissement » des conflits, pourrissement qui parfois peut aller jusqu’à l’affrontement.


Europe1
Pimkie: Alain Bocquet ecrit a Gerard Mulliez‎ - Il y a 5 jours

Le député-maire de Saint-Amand-les-Eaux, Alain Bocquet, a adressé une lettre à Gérard Mulliez, fondateur du groupe Auchan, à propos de Pimkie. ...

La Voix du Nord -

Alain Bocquet - Député de la 20ème circonscription du Nord.

Alain BOCQUET interpelle Monsieur Nicolas SARKOZY, Président de la République, sur la situation de l'entreprise Pimkie et le devenir de 190 salariés ...
www.alainbocquet.fr/ - En cache - Pages similaires


04 janvier 2010

lucienne magalie pons

pour information :

Voici reproduit ci- dessous à l'intention des lecteurs de ce blog, l'article que je viens de publier sur différents sites, notamment sur le site VillepinCom.net

Jusqu'où ira Eric Besson dans la provocation ?

Par lucienne magalie pons
Monsieur Eric Besson serait séduit par un serment d'allégeance à la Française, je n'ai pas eu le temps de lire les articles, mais j'estime qu'il faut en prendre connaissance.

C'est ce que vais faire d'ici demain.

Voici quelques articles relevés dans la presse et sur le web :

Eric Besson séduit par l'idée d'un serment d'allégeance à la française

nouvelobs.com - ‎Il y a 1 heure ‎
AP | 04.01.2010 | 18:21 Le ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale Eric Besson juge "intéressante" l'idée de créer un "serment" que prêteraient les Français atteignant leur majorité et les étrangers accédant à la nationalité française. ...
Nous commenterons les uns et les autres après avoir cerné le sujet.

Avec tout ce qui se passe en ce moment dans le Gouvernement, j'ai l'impression que nos libertés fondamentales sont en danger et attaqués de front, , il y a urgence à réfléchir sur ces questions et à se tenir prêts à nous défendre avec tous les moyens de de droit.

article de lucienne magalie pons

La restauration des colonnes de Buren : 4 millions d'Euros




















article de lucienne magalie pons

Les Colonnes de Buren ont été rénovées pour 4 Millions d’euros


Les 260 colonnes blanc et noir, installées dans la Cour du Palais Royal à Paris depuis 1986, connues sous le nom de colonnes de Buren, viennent de faire l’objet d’une restauration, coût de l’opération : 4 millions d’euros débloqués par Le Ministère de la Culture.


En 1986, Le ministre de la culture de l’époque, Jack Lang, prenant pour prétexte que la cour pavé de marbre du Palais Royal était utilisée par les Conseillers du Conseil d’Etat, pour garer leur voitures, avait décidé de faire dépaver cette magnifique Cour et avait confié à Daniel Buren d’y édifier son œuvre « d’Art moderne » , « les Deux Plateaux » , c'est-à-dire 260 demi colonnes de hauteur irrégulières peintes de rayures noires et blanches et disposées sur la Cour du Palais Royal, de telles sortes qu’elles empêchent les voitures des Conseillers du Conseil d’Etat de se garer.


Soulignons au passage que ces voitures étaient à l’époque très peu nombreuses, cinq, six au plus et ne se trouvaient pas garées en évidence, mais assez discrètement vers les arcades, a proximité des sorties du Palais.

Les 260 colonnes blanc et noir, installées dans la Cour du Palais Royal à Paris depuis 1986, connues sous le nom de colonnes de Buren, viennent de faire l’objet d’une restauration 4 millions d’euros débloqués par Le Ministère de la Culture.


Cette œuvre moderne "les Deux Plateaux", anachronique en ce lieu, a été rénovée et sera inaugurée vendredi par le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand.


En effet, En 2007, l'artiste Daniel Buren avait piqué une crise de colère pour se plaindre de l'état des lieux, les colonnes depuis 1986 s’étaient un peu dégradées par l’usure normale du temps et des intempéries, comme on aurait bien du le prévoir et s’en douter à l’époque.


L’œuvre de Buren à l’époque avait été vivement critiquée par les défenseurs des monuments historiques respectueux de l’architecture et de l’art classique, et certains pensaient et pensent toujours qu’il s’agissait d’une dégradation portant atteinte à un monument historique et à la mémoire des lieux.


Ils n’ont pas été entendus à l’époque, mais ils espèrent encore qu’un jour un Ministre de la culture fera restaurer les lieux pour leur rendre leur authenticité et leur aspects historiques d’origines.


C’est bien le contraire qui vient de se produire.


Dépenser 4 millions d’euros pour restaurer des demi-colonnes peintes en rayures noires et blanches qui continueront à dénaturer les lieux, il fallait l’oser ! Monsieur Frédéric Mitterrand l’a osé, et il allongera encore les frais d’une inauguration de cette restauration, cérémonie qui ne s’imposait pas, encore une insulte de l’authenticité historique de nos monuments qui ne passera pas inaperçue.


Pour en savoir plus :


Source Wikipédia : Extrait :


« L'installation fut commandée en 1985 par le ministère de la Culture, alors dirigé par Jack Lang, pour occuper la place d'un parking.


L'œuvre, qui occupe les 3 000 m² de la cour, est constituée d'un maillage de 260 colonnes de marbre blanc zébré de noir, de tailles différentes. Elle est conçue comme un ouvrage en deux plans, l'un au niveau de la cour, l'autre en sous-sol avec à l'origine un plan d'eau reflétant visuellement et de façon sonore le niveau supérieur.


Le projet, achevé en 1986, provoque de nombreuses polémiques à tout niveau, en particulier médiatiques, avec la publication de près de 225 articles dans 45 journaux ou revues, le journal Le Figaro étant en première ligne [1]. Il a fait l’objet à plusieurs questions lors des séances au Parlement, de nombreux recours en justice, de la création d'association de défense et de quelques pétitions (dont celle, négative, des membres du Conseil d'État en janvier 1986 et celle, positive, émanant du milieu artistique, en avril 1986)[1]. Le 29 janvier 1986, Jacques Chirac, alors maire de Paris, prend un arrêté imposant l'arrêt des travaux. Cet arrêté fait l'objet de nombreuses procédures aux résultats contradictoires. François Léotard remplace alors Jack Lang au Ministère de la Culture et étudie l'hypothèse d'une destruction des travaux en cours. Le 2 mai, Daniel Buren assigne le ministre au tribunal sur le sujet du droit moral de l'artiste sur son œuvre et François Léotard cède sur cet argument, ordonnant l'achèvement des travaux. Les recours juridiques prennent fin seulement en décembre 1992.


L'alimentation du plan d'eau a cessé de fonctionner depuis 2000, entrainant entre autres un salissement de la partie souterraine » …..



Notede lucienne magalie pons : Monsieur François Mitterrand était en 1986 Président de la République, nous lui devons aussi la pyramide en verre du palais du Louvre qui est aussi une œuvre d’art contemporain qui n’a pas sa place en ces lieux.

Ces œuvres d’art contemporain auraient très bien pu se construire dans d’autres espaces, il faut voir là le souci d’orgueil d’hommes de pouvoir désirant se faire une notoriété indécrochable et imméritée en se servant des fleurons de nos monuments historiques.

Je redoute que l’un d’entre eux ne s’accroche par une œuvre « d’art » contemporain, au pied de l’Arc de triomphe édifié au centre de la place Charles de Gaulle, pour se faire véhiculer dans l’Histoire, accouplé au Général de Gaulle. La place Charles-de-Gaulle, anciennement place de l’Étoile, est devenue officiellement la place Charles-de-Gaulle le 13 Novembre 1970, après la mort de Charles de Gaulle en 1969.


Vaccins H1N1 : la grande braderie !

article de lucienne magalie pons

Vaccins H1N1 : la grande braderie !

Par lucienne magalie pons

Une déroute sanitaire qui va se doubler d'une déroute financière, illustrera de façon négative la politique du Ministère de la Santé.


Le 1er novembre, le Ministère français de la Santé reçoit une note de l’Agence européenne de la santé (Emea) qui l’informe qu’une seule injection de vaccin est nécessaire pour être protégé contre le virus, et non plus deux, comme les experts le prétendaient jusqu’alors.


« Ce jour-là, on a compris qu’avec les 94 millions de doses achetées en juillet, nous détenions trop de vaccins », a reconnu le ministère de la Santé.


Depuis lors, la France tente de revendre aux pays étrangers une partie de « ses » vaccins contre la grippe « A ».


Les vaccins avaient été achetés en juillet dernier, à une époque où la menace de contamination était présentée comme inéluctablement proche et très grave, par Roselyne Bachelot.


Depuis « qu’ils ont compris qu’avec les 94 millions achetés en Juillet »nous détenions trop de vaccins, la France tente de revendre aux pays étrangers une partie de « ses » vaccins contre la grippe « A » avec toute la discrétion qui s’impose, après que le Ministère de la santé et ses services aient claironné depuis des mois qu’il fallait en administrer deux doses !


Une réunion s’est tenue discrètement dans le bureau du directeur de cabinet de Roselyne Bachelot, et la décision est prise formellement de vendre des vaccins aux pays étrangers qui en feraient la demande.


Cette opération de revente qui se fera sans bénéfice à prix coutant est menée conjointement depuis la mi-novembre entre le Ministère de la Santé et le Ministère des Affaires Etrangères, en direction des ambassades étrangères. Les diplomates sont priés de faire remonter l’information vers Paris si les pays manquent de vaccins.


« Nous avons travaillé ensemble sur ce dossier avec les équipes du ministère de la Santé », a confirmé le ministère des Affaires étrangères.


La question de la négociation et de la revente des vaccins reste strictement confidentielle, elle a été évoquée en cellule de crise interministérielle : « Madame Bachelot a indiqué que des négociations étaient en cours avec différents pays, mais sans donner les noms, pour des raisons de confidentialité », a indiqué brièvement le porte-parole de la cellule de crise interministérielle, au ministère de l’Intérieur.


Seuls l’Elysée et Matignon sont tenus au courant des contacts et seuls ils ont le pouvoir de validation final. Des négociations ont été engagées avec le Qatar, l’Egypte, le Mexique, la Bulgarie, la Roumanie et l’Ukraine.


La France vendrait les vaccins au prix où elle les a acheté les quatre types de vaccin (soit : 6,25 € la dose pour le Sanofi-Pasteur, 7 € le GSK, 9,34 € le Novartis et 10 € le Baxter).


Dans cette opération de revente « à but non lucratif » qui s’apparente à une opération de « réparation des pots cassés » la France, espérons-le a sans doute du veiller à s’exonérer de toutes responsabilités, imaginons la cascade de contentieux international qui pourraient survenir si des vaccinés avec nos "vaccins re-vendus" dans les pays acheteurs venaient à tomber sur le carreaux ! Comment identifier à coup sur la provenance des vaccins, comment passer outre la clause d'exonération de toutes responsabilité qui avait été génreusement consenties aus laboratoires lors de l'achat à l'origine par la France?


La France dans cette opération de revente doit aussi compter avec la concurrence internationale des autres pays qui aussi avait fait « trop large » en succombant volontairement aux grand cris de sirène d’alarme des experts des lobbyistes pharmaceutiques et des politiques dirigeants, et qui maintenant comme la France veulent revendre leurs vaccins.


(L’Allemagne à soumis, comme la France, des offres aux autorités Ukrainienne qui eux sont demandeurs de vaccins


La Suisse et les Pays-Bas, qui avaient aussi achetés beaucoup trop de lots, ont ouvertement proposé à la revente une partie de leurs stocks.


Dans la négociation de re- vente, menée par la France, d’une partie de ses vaccins contre la grippe A, deux contrats ont été signés, deux sont encore en négociation et trois n’aboutiront pas.


On peut constater que si le Ministère de la Santé s’est planté à l’origine de sa campagne de vaccination en matière d’estimation sanitaire, il est attentif au résultat financier de la re- vente, puisque le Ministère de la Santé a déclaré « Avec le Qatar, un contrat vient d’être signé pour l’acquisition de 300 000 de vaccin, à 7 euros la dose, soit 2,1 millions d’euros pour la France ».


Seuls 5 millions de vaccins ont été utilisés par les Français. Le député (PS) Jean-Marie Le Guen parle de « fiasco », le gouvernement a assuré que ce "scénario "avait été envisagé. Dès la mi-novembre, la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, avait annoncé que la France pourrait revendre ses stocks si nécessaire. Les autorités affirment aussi qu'il n'est pas question de perdre de l'argent : les doses seront revendues au prix d'achat.


C’est à se demander s’il ne s’agissait pas dès l’origine d’une opération de santé assortie d’une « opération de marchand de tapis « tenue en réserve « au cas où ….. »


Etat des lieux :

« au cas où ….. »

Etat des lieux :


Le Qatar a été le premier pays, dès début novembre, à demander des vaccins. Les lots ont d déjà été livrés.


L’Egypte vient de donner son accord à la France pour l’achat de « 2 millions de doses, pour un montant de 14 millions d’euros », indique-t-on du Ministère de la santé.


en attente :


L’Ukraine n’a pas encore pris de décision , Kiev réserve sa réponse entre La France et l’Allemagne son cœur balance.


Des négociations sont en cours avec le Mexique, elles n’aboutiront peut-être pas, en effet un certain repli de l’épidémie ne l’inciterait pas à acheter d’autres vaccins.

La Roumanie et la Bulgarie, qui s’étaient portées candidates à l’achat de vaccins, ont fait savoir qu’elles renoncent finalement à acheter des lots supplémentaires.


Au train où vont les affaires de revente de nos lots de vaccins excédentaires, nous risquons bien d’en garder la plus grande partie sur l’estomac.


Une déroute sanitaire et financière vraiment déplorable à porter à inscrire en perspective négative à la politque désordonnée du Ministère de la Santé

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Note : Dans un élan de générosité qui s’apparente à un bradage caritatif d’urgence, le président de la République a fait une BA internationale, il a choisi, dès septembre, de donner 9,4 millions de doses à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les pays les plus démunis L’OMS en a fait dons aux pays les plus démunis.


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Revue de presse et de toile :

La France déstocke ses vaccins

20minutes.fr - ‎Il y a 28 minutes ‎
marque le pas, la France a commencé à revendre ses stocks à l'étranger. Le Qatar a ainsi racheté 300 000 doses et des négociations sont en cours avec l'Egypte pour deux millions d'unités, a indiqué hier le ministère de la Santé. ...
Les Échos - Le Point - Le Progrès - Sud Ouest


complément d'informations

- dernières minutes :


Un vrai gâchis et une vraie polémique !

La décision de revente d’une grande partie des lots de vaccins H1N1, n’est pas passée inaperçue en dépit des fêtes et vacances de fin d’année, période propice pour camoufler les boulettes du gouvernement et les mesures prises pour en limiter dégâts


Une nouvelle polémique, la première de l’année, vient de s’élever pour illustrer la décision de la France de revendre à l’étranger une partie de son stock de vaccins contre le virus de la grippe A (H1N1) commandés en excédent.


Suivant les perspectives de pandémie de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) , tablant sur une double injection pour chaque sujet, les autorités françaises avaient commandé l’été dernier 94 millions de doses de vaccins.


(Montant officiel de l’opération pour le seul coût d'achat des vaccins par la France : 869 millions d’euros.)

«Dès lors qu’une seule dose suffit, on peut se permettre de revendre une partie du stock», a expliqué hier une porte-parole du ministère.


La revente des vaccins devrait alléger la note.


Les réactions face à l’annonce de la décision de revente du tiers au moins du stock acheté par la France, a provoqué des réactions et des critiques :


A gauche, le député Jean-Marie Le Guen, spécialiste au PS des questions de santé, a réclamé «une mission parlementaire pour tirer les leçons d’un «fiasco». La France, a-t-il expliqué, a «le plus faible taux de personnes vaccinées des pays développés».


Du côté du corps médical et des médecins, les critiques sont également tranchantes :


Le professeur Marc Gentilini, spécialiste des maladies infectieuses, estime que le gâchis était prévisible: «On se trouve devant un phénomène d’emballement», en dénonçant les impasses de la stratégie gouvernementale de «vaccination de masse».


«Jouer le pire, se fait au détriment d’autres problèmes de santé publique, nationaux ou internationaux.» L’option choisie se révèle d’autant plus hasardeuse, que ces vaccins risquent «à la longue de ne plus répondre au type de virus en circulation » a avertit ce professeur.


Le professeur Bernard Debré se montre sévère: après avoir qualifié au début de la campagne la grippe A de «grippette», il déclare que la France dispose de «50 à 70 millions de doses en trop» et du tiers des réserves mondiales de l’antibiotique Tamiflu. La facture, selon le Professeur Bernard Debré, pourrait s’élever à plus de 2 milliards d’euros, soit plus que les déficits additionnés de tous les hôpitaux du pays.

Actualisation à 20 h 54

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31 décembre 2009

Absentéisme des Conseillers Généraux aux Réunions des Conseils généraux

article de lucienne magalie pons

Certains présidents de Conseils généraux ont protestés sur différentes radios récemment contre l'absentéisme de certains conseillers régionaux aux séances et réunions du Conseil général respectif de leur région.Certains noms ont été cités parmi lesquels nous avons pu remarquer des "vedettes politiques" du moment, dont les cumulards de mandat qui ont par ailleurs des fonctions ministérielles et d'autres portes parole du Gouvernement et militant actif des partis politiques.

Ces protestations ont été reprises par les médias.

Il ne suffit pas de relater cet absentéisme et de le critiquer, j'ai remarqué qu'à part écrire et gloser sur cette question aucun média, aucun politique, aucun observateur politologue, n'a proposé de remédier à ce comportement par des mesures légales.

Il ne suffit pas de relater cet absentéisme et de le critiquer, et d’en faire un moyen de lutte d’opinion ou pour l’opposition d’en faire un moyen de lutte politique, j'ai remarqué qu'à part écrire et gloser sur cette question pour jeter de l’huile sur le feu, aucun média, aucun politique n'a proposé de remédier à ce comportement par des mesures légales qu’il serait urgent de prendre avant les élections régionales .


Le pouvoir a sans doute dans l’immédiat d’autres chats à fouetter pour corriger l’imperfection discriminatoire et inégalitaire de la Taxe Carbone qui vient d’être sanctionnée par le Conseil Constitutionnel, ou pour préparer les décrets d’application de la Loi Hadopi, véritables casse-têtes chinois qui tourmentent leurs neurones fragiles.

Pourtant il serait bien simple de prendre des mesures légales pour obliger ces élus adeptes de "l'école buissonnière régionale" à remplir leur devoir de présence.


Par exemple en fin d'année de calculer leur taux d'absentéismes par rapport aux nombres de réunions tenues dans l’année par leur Conseil Général et de les obliger par des mesures légales à rembourser au prorata de leurs absence la partie des émoluments qui leur ont versés pour l'année.


Une simple règle de trois que des écoliers du primaire ne seraient pas en peine de calculer !


Peut-être que ce sujet que je propose retiendra-t-il votre attention ?


Qu’en pensez-vous ?



Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

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