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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Un magazine qui se veut de qualité, mais qui depuis plusieurs mois vire au commérage attendri, dont il est inutile de citer le nom ici, nous fait savoir dans son numéro publié le 5 novembre, que Monsieur Charles Berling n'oublie pas Carla Bruni.
Comment imaginer que Monsieur Charles Berling puisse oublier Madame Carla Bruni puisqu’ils travaillent encore artistiquement très souvent ensemble, en tout bien tout honneur ?
A quel souci d’information se livre ce magazine en revenant sur l’ancienne liaison de ce comédien avec Madame Carla Bruni ? D’après cet article, Monsieur Charles Berling évoque son ancienne relation avec Madame Carla Bruni en avouant que comme toutes ses histoires d’amour, «celle-là fut particulièrement passionnée et tendre »
Cette confidence, alors que Madame Carla Bruni est mariée avec notre Présidentet que Monsieur Charles Berling est lui-même mariée avec Virginie, l’ex épouse de Monsieur Julien Clerc, est tout bonnement insolente, pourquoi revient-il là-dessus ? Pour se faire mousser peut-être? ou pour faire savoir qu’il a précédé notre Chef d'Etat dans le cœur et la vie de Carla ? Pense-t-il que ce soit un exploit ?C’est surtout un manque de respect dont il n’a pas conscience, d'étaler ainsi le passé d'une dame actuellement mariée et un manque de discrétion impardonnable : il était inutile qu'il en rajoute pour raviver des souvenirs qui leur sont personnels, et cela s'apparente à une sorte d'exhibitionnisme intime du plus mauvais goût.
Mais Monsieur Charles Berling va plus loin, il prétend que toutes les femmes qu’il a connues occupent une place particulière dans son cœur, qu’il a follement aimé des femmes formidables et qu’il gardait un contact avec la plupart d’entre elles. Pour Monsieur Charles Berling « l’amour ne meurt pas forcément avec la fin de la passion, il prend d’autres figures »
Je me demande quelle sera la réaction du mari en apprenant que son épouse occupe une place particulière dans le cœur, extensible à souhait, de Monsieur Berling en compagnie de toutes les autres qu’il a connues comme dans la bible, et bien entendu quelle sera la réaction de Virginie ex épouse de Julien Clerc et épouse actuelle de Berling. On a beau avoir un cœur remplies de femmes connues, il arrive un moment ou il faut savoir se taire pour ne pas blesser le mari de l’ex, et sa propre épouse.
Bah ! Me direz vous de nos jours l’amour n’est pas exclusif il va, vient, passe, casse, se met en mémoire, pour ne pas dire en conserve, et se ressert sous une autre forme au moment opportun, comme les restes d'un ancien repas «réchauffé » à la sauce du jour.
Soit ! et je suppose que ce plat réchauffé à la sauce du jour est présenté au menu du jour comme « le plat du chef » et qu'il a comme un arrière petit gout de "revenez-y" qui doit rester en travers de la gorge.
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Pour information : Charles Berling a achevé en juin le tournage d’ Un Long Chemin, téléfilm en deux parties qui retrace le parcours de Robert Badinter.Quelques scènes de ce téléfilm, par autorisation exceptionnelle et tout à fait spéciale, ont été tournées à l'Elysée.
Vidéo : Ecoutez l'intégralité de l'interview de Carla Bruni-Sarkozy sur Public Sénat
Information :
A l'occasion de la cinquième édition de "Talents des cités" au Sénat, Carla Bruni-Sarkozy a accordé, dans la somptueuse bibliothèque du Sénat, dix minutes d'interview exclusive à la chaîne Public Sénat, le samedi 8 novembre.
Madame Bruni Sarkozy, très attentive , avait assisté dans la matinée, dans l’Hémicycle du Sénat, aux côtés de Monsieur Gérard Larcher, Président du Sénat et de Madame Fadela Amara , Secrétaire d'Etat chargée de la politique de la Ville, à la remise des prix du concours soutenant la création d’entreprises et d’associations , dans les quartiers prioritaires de la politique de la Ville.
Évoquant son "engagement de présence" par sa venue à cette remise de prix de « Talents des cités » Madame Carla Bruni-Sarkozy a qualifié cette initiative de "très intéressante".
Interrogée sur ses projets personnels, L’épouse du Chef de l’Etat, a précisé qu’elle ne ferait pas de tournée tant que son époux n’aura pas terminé son mandat, Carla Bruni-Sarkozy par contre a évoqué son futur engagement humanitaire, il lui reste pour l’accomplir à terminer la création d’une fondation et à choisir un créneau d’intervention qu’elle n’a pas voulu dévoiler, en expliquant qu’il faut , et qu’elle préfère, d’abord avoir commencé avant de pouvoir en parler.
Interrogée au sujet de l’élection de Monsieur Barack Obama, démocrate, à la présidence des Etats-Unis, la Première dame de France s’est déclarée "heureuse plus qu’impressionnée … Pour elle « c’est un symbole magnifique et c’est un progrès".
La diplomatie internationale reprendtoute sa place et ça vraiment « c’est du sérieux » !
Barack Obama et Dmitri Medvedev conviennent de se rencontrer a annoncé le Kremlin. Les deux hommes ont eu un entretien téléphonique dans la journée de Samedi . Le porte-parole du Kremlin ne s’est pas étendu sur le contenu de la conversation entre MM. Medvedev et Obama, se contenant d'indiquer que le premier avait félicité le second pour sa victoire électorale.
La date de la rencontre entre MM. Obama et Medvedev n'est pas encore fixée .
Les relations entre les Etats-Unis et la Russie étaientau plus bas depuis la présidence de George W. Bush, et s’étaient aggravées depuis le conflit en Géorgie en août.
Dès lelendemain dela victoire de BarackObama à la présidence des Etats-Unis,le Président RusseDmitri Medvedevavait annoncé, en réponse au projet de bouclier antimissile américain en Pologne et en République tchèque, que Moscou déploierait de nouveaux missiles dans l'enclave russe de Kaliningrad, qui borde la Pologne et la Lituanie.
Selon Dennis McDonough, Conseiller de M. Obama pour la politique étrangère, le président élu des Etats-Unis n'a pris aucun engagement sur la poursuite éventuelle du bouclier antimissile américain en Europe de l'Est.
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Ce projet de rencontre ne manquera de faire pâlir de jalousie l’un ou l’autre des dirigeants européens parmi ceux qui se pressaient et se pressent encore à la porte du nouveau président des Etats-Unis, dans l’espoir d’être reçu le premier pour jouer « sa » vedette au plan international. Nos dirigeants européens risquent de se faire doubler, il est vrai que le rétablissement des relations diplomatiques entre la Russie et les USA est de loin beaucoup plus importante que l’aura médiatique de l’une ou de l’autre de nos vedettes médiatiques européennes.
Nous sommes las de lire dans la presse européenne, surtout française, des articles consacrés aux divergences de vues qui surgissent périodiquement entre notre Président et les autres Présidents des pays membres de l'UE, des rodomontades de l'un ou de l'autre pour se faire ressentir comme le leader,ou le number one, ou l'as des as, qu'ils se présentent en paire , en brelan, en carré, en suite, en flush royale, ou tous ensemble, nous sommes las d'assister aux querelles et réconciliations apparentes de la chancelière et de Nicolas, aux frictions et compromis avec la Tchéquie ou la Pologne, à leur manie collective de se réunir en sommet, en mini sommet, en conférence, en visite particulière pour toujours bavasser et se déclarer d'accord sans conclure en laissant les questions épineuses en suspens, je doute fort qu'au plan international Monsieur OBAMA se prête à ce jeu.
La diplomatie internationale reprendtoute sa place, les dirigeants européens devront remiser leurs tenues de clowns au placard pour se mettre au boulot et ça vraiment « c’est du sérieux » !
Rappelons qu’un « groupe de travail »de 12 députés et 12 sénateurs de la majorité et de l'opposition a été mis en place pour « tirer les leçons »de la crise financière internationale. Ce groupe de travail est coprésidé par Didier Migaud socialiste et le centriste Jean Arthuis, son homologue du Sénat
Nicolas Sarkozy les avait reçus la veille du Conseil européende vendredi à Bruxelles qui devait définir la position commune de l'Union européenne, dans la perspective du sommet du G20 qui doit se réunir le 15 novembre à Washington pour tenter de jeter les premières bases d'une réforme du système financier mondial.
Les parlementaires du Groupe de travail, à la suite de leur réception par le Chef de l’Etat, ont déclaré que Nicolas Sarkozy avait estimé que plusieurs sommets internationaux seraient nécessaires pour remettre à plat le système financier mondial.
Ndlr : on s’en doutait !
"Tout le monde est conscient, et le président de la République le premier, que tout ne se résoudra pas lors de cette première réunion du G20", a dit aux journalistes le président de la commission des finances de l'Assemblée, Didier Migaud.
"Il a évoqué deux, trois réunions nécessaires", a ajouté ce député socialiste. "Mais c'est pas mal de fixer un calendrier, de bien identifier les sujets, de les mettre sur la table à l'occasion de la première réunion et puis de faire en sorte qu'aux réunions suivantes ça puisse avancer."
Au cours de leur réception, Nicolas Sarkozy, président en exercice du Conseil européen, avait précisé qu'il souhaitait que le prochain sommet international sur la crise se tienne 100 jours après celui de Washington (ainsi que l’a proposé la Francele lendemain à Bruxelles)
Ce deuxième sommet interviendra après la prise de fonction du nouveau président américain, le démocrate Barack Obama, élu mardi.
Selon certains membres du Groupe de travail, Nicolas Sarkozy souhaite que les sommets qui suivront celui de Washington soient élargis à d'autres pays comme l'Espagne - qui figure aujourd'hui parmi les dix premières économies mondiales et a d'importantes banques - ou les Pays-Bas, qui à Amsterdam possèdent une des grandes places financières du monde.
Le sénateur UMP Philippe Marini, rapporteur général du budget au Sénat, a précisé que Nicolas Sarkozy a également évoqué la participation éventuelle du Qatar et d'un pays africain pour représenter le continent africain aux côtés de l'Afrique du Sud.
L'un des objectifs de ces sommets serait de mettre en place une régulation plus efficace du système financier international pour éviter les dérives qui ont conduit à la crise actuelle.
Selon Monsieur Marini, Monsieur Nicolas Sarkozy a déclaré que "Si tout ne doit pas être réglementé, tout doit être surveillé".
Les Britanniques évaluent à 800 milliards de dollars les actifs "toxiques" susceptibles d'affecter l'ensemble du système financier européen, "Suisse comprise", avait précédemment déclaré l'Elysée, et Monsieur Nicolas Sarkozy a également informé le groupe de travail parlementaire de cette "estimation non officielle", obtenue auprès du Premier ministre britannique Gordon Brown, ont précisé plusieurs participants à la réunion, mais les participantscroient avoir entendu le chef de l'Etat parler d'euros et non de dollars.
Monsieur Nicolas Sarkozy a réaffirmé son opposition à la nationalisation des banques en France et souhaité la tenue prochaine d'un Conseil européen sur la relance de l'économie au sein de l'UE. Il a par ailleurs estimé que les Etats-Unis ne pouvaient pas "continuer à faire payer la crise" au reste du monde par dollar interposé.
Selon le président du Sénat, Gérard Larcher, Nicolas Sarkozy a promis de revoir fin novembre, après le sommet de Washington, ce groupe de travail coprésidé par Didier Migaud et le centriste Jean Arthuis, son homologue du Sénat.
Ndlr : pour le moment ce groupe de travail s’est fait l’écho des déclarations de Monsieur Nicolas Sarkozy, nous souhaitons qu’il ne se cantonne pas dans ce rôle de relais d’informations présidentielles et élyséennes et qu’il se mette réellement au travail en formulant des propositions constructives.
En matière de Crise financière et de refondation du système bancaire et financier internationale l’UE se la joue et nous la joue en technicolor !
Les dirigeants Européens se sont réunis « informellement » en réunion extraordinaire, hier vendredi et sont convenus de coordonner leurs politiques économiques avant le sommet des G20 de Washington du 15 novembre sur la réforme du système financier mondial.
Disciplinés apparemment, ils sont "tous d'accord sur la nécessité absolue d'une coordination des politiques économiques" pour faire face à la crise, comme l’a déclaré le président français Nicolas Sarkozy, dont le pays préside actuellement l'Union européenne, à l'issue d'un sommet extraordinaire des 27 à Bruxelles.
Le Président Français nous a appris que les membres de l’Europe sont dans "une position commune assez détaillée"., et qu’elle ira donc à Washington "avec la volonté de défendre une ligne, celle de la transparence et de la refondation".
La présidence de l'UE a confirmé vendredi que l'Espagne pourrait participer au sommet du G20.
Ndlr : je m’interroge, peut-être suis-je mal informée, mais pourquoi l’Espagne ne pourrait pas participer ?
Selon la Maison Blanche, M. Obama ne devrait pas participer aux discussions du 15 novembre mais des commentateurs avisés pensent qu’il sera tenu au courant.
Mais nos dirigeants européens , tous autant déterminés et toujours prêts à servir en bon courtisans sont prêts à se dévouer pour Monsieur OBAMA, comme il le furent pour Busch, et dès à présent ils ont proposé la tenue d'un nouveau sommet mondial "100 jours" après celui de Washington, alors que le président américain élu Monsieur Barack Obama sera entré en fonction.Mais ils auront du mal à l'influencer comme ils l'espèrent secrètement en misant sur sa prétendue "inexpérience". Là encore nos dirigeants européens se surestiment, il n'y a qu'a voir la Crise Financière et la recession dans laquelle nous sommes plongés dont ils sont avec L'amérique de Monsieurs Busch responsables et coupables. Là encore ils se la joue et nous la joue en technicolor, mais le film est usé et ne nous impressionne plus;
Ce futur nouveau sommet aurait à l'ordre du jour un rapport sur la mise en œuvre des premières mesures arrêtées le 15 novembre.
Quelques ombres au tableau, le Premier ministre tchèque Mirek Topolanek amis les pieds dans le plat en assurant que Nicolas Sarkozy se rendrait au G20 avec un "mandat vague" en raison des divergences des 27, soulignant ainsi l’unité « relative » de l’UE .
"Le mandat donné à Monsieur Sarkozy est très large, après que nous avons réalisé qu'il y avait des opinions diverses sur la façon dont ces choses devaient être réglées", a-t-ilinsisté en agitant ses talonnettes pour faire déborder le plat.
Quelques coups de griffes (verbales) ont a par ailleurs opposé Nicolas Sarkozy au ministre allemand des Finances Monsieur Peter Steinbrück, en effet le président français s’était permis de qualifier de "moins aimable" que la chancelière Angela Merkel le tout sur fond de frictions entre la France et l'Allemagne au sujet du degré de coordination des politiques économiques européennes.
Ndlr : c’est une très mauvaise idée de vouloir se raccorder avec la chancelière en accablant son Ministre des Finances, psychologiquement c’est nul !
Monsieur Sarkozy a ensuite essayé de minimiser cet incident, en prétendant que "sur le fond, il n'y a pas de désaccord», il n’en demeure pas mois que ces critiques et querelles tant avec la Tchéquie qu’avec l’Allemagne ont laissé quelques traces qui ne seront pas facile à gommer mêmeen usant de la salive.
La préparation du sommet du G20 se poursuivra ce week-end à Sao Paulo, au Brésil, avec une réunion des grands argentiers des puissances industrielles et des économies émergentes.
Rappelons que les principaux pays émergents (-Brésil, Chine, Inde et Russie-), veulent « une réorganisation du système financier mondial » et qu’ils ont estimé que le G7 (économies les plus avancées), ne pouvait plus faire face seul à une crise globale comme celle quiaffecte aujourd'hui toutes les économies, ainsi que l’a souligné récemment le ministre brésilien de l'Economie Guido Mantega.
Ndlr : Etant donné l’ampleur de la tâche et les intérêts financiers et économiques divergents des différents pays du monde et leur différentes orientations idéologiques et politiques, il faudra sans doute plusieurs réunions étalées sur plusieurs mois, sinon plusieurs années pour arriver à ce qui ne pourra être qu’un faible compromis, si encore un compromis voit le jour !
Entre temps ces dames et messieurs qui nous gouvernent auront fait de beaux voyages, de belles conférences et réunions aigres-douces et pour calmer leurs aigreurs se consoleront en diners de gala avec pour chacun l’espoir d’obtenir la plus grosse part du gâteau.
Leurs espoirs seront déçus ! Ils devront partager le gâteau avec les classe moyennes.
En effet c'est le voeux de Monsieur Obama qui dès le 20 janvier 2009 mettra sa politique en route. Rappelons qu’au cours de sa première conférence de presse à Chicago, le président élu des Etats-Unis, le démocrate Barack Obama, a appelé samedi à des actions urgentes pour faire face à la crise économique, car il n'y a "pas un moment à perdre" selon lui( et selon nous : ndlr)
Barack Obama prendra ses fonctions à la Maison Blanche le 20 janvier et évoquant les mesures prises par l'administration de George W. Bush pour sauver le secteur financier, il a estimé d’ores et déjàque les Etats-Unis auront besoin d'autres actions pendant cette transition- avant sa prise de fonctions - et les mois suivants".
Et il a bien précisé : "D'abord, nous avons besoin d'un plan de sauvetage pour la classe moyenne qui investisse dans des efforts immédiats pour créer des emplois et soulager les familles qui voient leurs salaires se réduire et les économies de toute une vie disparaître".
Ensuite,songouvernement devra faire face à la propagation de la crise financière aux autres secteurs de l'économie et s'assurer que le plan de sauvetage des banques adopté en octobre par le Congrès est efficace pour stabiliser les marchés financiers tout en préservant les intérêts du contribuable et en soulageant les propriétaires endettés.
Monsieur Obama comme il l’apromis clairement,entend mettre œuvre un ensemble de politiques qui vont renforcer la classe moyenne etl’économie à long terme, et dès ce premier discours il a annoncé que « Certains des choix à faire seront difficiles…. « L’Amérique est un pays fort et capable de résistance", a-t-il poursuivi "Je sais que nous réussirons si nous écartons l'esprit partisan et travaillons ensemble comme une seule nation", a-t-il enfin prévenu.
Ndlr : nous voyons bien que ce changement d’orientation politique et économique de l’Amérique que Monsieur Obama veut en priorité restituer à la classe moyenne la considération politique qui lui revient sur l’échiquier économique américain et qu’il ne fera pas le jeu des réseaux financiers del’ultra libéralisme.
Les financiers ultra libéraux d’Amérique, de l’Europe, et d’ailleurs. qui entendait obtenir si non exiger de leurs Etats respectifs, avec la bénédiction de l’Amérique deBusch et de ses lobbies de soutien, l’institutionnalisation d’un interventionnisme actif pour les garantir de tous déboires spéculatifs, dans leur exhibition de jongleur de haute voltige boursière,devront calmer leur ardeur et leur appétit vorace : pour Monsieur Obama ce qui primera ce sera en priorité le sauvetage de la classe moyenne. Et tout le monde sait qu’en matière économique et financière c’est l’Amérique qui donne le ton ! Au moins pour quatre ans et pour huit dans le meilleur des cas.