Notre directrice de rédaction et éditorialiste Lucienne Magalie Pons est très occupée ces temps-ci à l'extérieur, nous sommes en relation téléphonique avec elle aussi souvent que nécessaire, elle nous a communiqué ce matin qu'elle avait vu aujourd'hui seulement l'interview du Président de la République diffusé hier soir sur écran , depuis l'Elysée, avec David Pujas de France 2 et Gilles Bouleau de TF1.
Elle nous a fait part de ses impressions, pour notre éditorialiste rien de bien nouveau, les trois priorités assignées par le Président au nouveau gouvernement ( 1. protéger les français, 2. l'emploi, 3. la Cop21 ( l'éologie, la transition, l'environnement), et les thèmes exposés sont déjà connus presque usés, les formules et les mots sont les mêmes, des promesses de réformes et des décisions à prendre .., mais tout se place dans le futur, nous réformerons, nous prendrons des décisions, nous ferons, nous déciderons, que ce soit pour l'emploi, le chômage, le réchauffement climatique , la COP21, l'agriculture etc ...., tout se place dans le futur ... ... avec des mais, des si, et des conditions ..., et aussi des négociations à engager, "c'est difficile parce qu'il faut négocier" , " tout pourrait avancer ... mais nous sommes en démocratie, .......il faut négocier" , a affirmé François Hollande.
Elle nous a fait part de ses impressions, pour notre éditorialiste rien de bien nouveau, les trois priorités assignées par le Président au nouveau gouvernement ( 1. protéger les français, 2. l'emploi, 3. la Cop21 ( l'éologie, la transition, l'environnement), et les thèmes exposés sont déjà connus presque usés, les formules et les mots sont les mêmes, des promesses de réformes et des décisions à prendre .., mais tout se place dans le futur, nous réformerons, nous prendrons des décisions, nous ferons, nous déciderons, que ce soit pour l'emploi, le chômage, le réchauffement climatique , la COP21, l'agriculture etc ...., tout se place dans le futur ... ... avec des mais, des si, et des conditions ..., et aussi des négociations à engager, "c'est difficile parce qu'il faut négocier" , " tout pourrait avancer ... mais nous sommes en démocratie, .......il faut négocier" , a affirmé François Hollande.
Le Président a dit vouloir avancer, aller vite ... mais ce Président est enserré dans les 14 mois à venir jusqu'à l'élection présidentielle, alors si on doit d'abord négocier, voter des lois ensuite, et ensuite prendre des décisions et des mesures et les mettre en oeuvre , et encore et à condition que tous les partenaires sociaux entrent dans la combine , ce qui serait un miracle, notre éditorialiste qui ne croit pas aux mirages roses dit que ce n'est pas en 14 mois le Président obtiendra ce qu'il n'a pu obtenir en 4 ans de mandat .
Donc il parle pour ne rien dire, c'est encore un exercice de communication que l'on ressent comme un ultime exercice de sauvegarde du pédalo socialiste, et les nouveaux canots de sauvetage qui viennent d'être introduits dans le nouveau gouvernement remanié, pour venir renforcer les anciens ne sont pas de taille à tout faire redémarrer, voilà ce que pense notre éditorialiste, par contre elle nous a dit avoir bien ri en entendant le Président de la République demander l'arrêt des bombardements russes en Syrie, et affirmer nous le citons "nous devons faire en sorte Bachar Al-Assad quitte le pouvoir ...", comme si il n'y avait qu'à demander devant les micros de F2 et TF1 ..., ce sont bien là des paroles en l'air !
Les médias russes tout en restant corrects ont du bien rigoler en écrivant leurs articles relatant la demande insensée du Président de la République, c'étaient dans les derniers moments de son interview qu'il a abordée la Syrie c'était encore du rabâchage qui frôlaient la folie des grandeurs !
Quoi de mieux pour terminer ce que nous avions à dire sur l’interviewe du Président de la République que de publier in-extenso l'article de Sputnik France ?
copié/collé
Le président français François Hollande a demandé jeudi l'arrêt des bombardements russes en Syrie, ceux-ci soutenant selon lui Bachar al-Assad qui "massacre une partie de son peuple". Le chef de l’Etat a réitéré le souhait de voir Assad quitter le pouvoir.
Ces déclarations, très éloignées de l'idée d'un front commun antiterroriste intégrant la Russie formulée après les attentats de Paris, interviennent alors que les principaux acteurs du dossier syrien mènent de difficiles pourparlers à Munich, en Allemagne, pour obtenir un cessez-le-feu sur le terrain.
"Nous devons faire en sorte que Bachar al-Assad quitte le pouvoir et en ce moment, aidé par les Russes, il agit et massacre une partie de son peuple même s'il agit aussi contre un certain nombre de terroristes (…) Je demande que les actions russes puissent s'arrêter", a déclaré François Hollande à la télévision française sur TF1 et France 2
Interview du président François Hollande aux... par elysee
La Russie mène depuis le 30 septembre une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrienBachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI. Le 7 octobre, quatre navires de la Flottille russe de la mer Caspienne ont aussi tiré des missiles contre des sites de l'EI.
Les terroristes essuient des pertes considérables et changent de tactique en se réfugiant dans les habitations. Ils ont perdu la plupart de leurs armes et matériels sur la ligne de contact avec les troupes syriennes. Plusieurs groupes faisant partie de l'EI sont déjà prêts à quitter la zone des hostilités.
Différentes personnalités, dont l'ancien président du Comité militaire de l'Otan, Harald Kujat, ont reconnu que l'implication militaire russe en Syrie avait favorisé le processus de règlement pacifique dans le pays, et rendu possible des négociations.
Les consultations sur le règlement du conflit syrien devraient reprendre à Genève le 25 février. Cependant, la délégation de l'opposition syrienne modérée pose comme condition sine qua non la suspension des frappes russes et exige de mettre fin à l'offensive de l'armée syrienne sur la ville d'Alep en Syrie.
Plus tôt cette semaine, l'agence Reuters a annoncé que la Russie proposait d'introduire un cessez-le-feu sur le territoire syrien. Les modalités de cette proposition sont actuellement discutées dans le cadre d'une rencontre du groupe international de contact sur la Syrie à Munich, et à laquelle participe le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
M. Lavrov a annoncé mardi que la Russie avait élaboré un nouveau plan de cessez-le-feu en Syrie et l'avait soumis aux Etats-Unis, qui l'ont rejeté.
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