Dimanche sur Canal +, Najat Vallaud-Belkacem a refusé de
débattre avec Idriss Sihamedi, président fondateur de BarakaCity , d'obédience salafiste, ce qui lui a été reproché par les médias après l'émission, et aussi Mardi par un député à l'Assemblée Nationale au cours de la séance de questions au Gouvernement.
Plus bas nous relatons les critiques des médias, et l'échange intervenu entre le Député Yves Nicolin pour le Groupe Les Réublicains et la ministre de l'éducation Nationale, lors des questions au Gouvernement au cours de la première Séance de l'Assemblée Nationale le Mardi 26 Janvier 2016, échange qui a commencé par ce reproche de Monsieur Nicolin : " Madame la ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, vous n’avez pas été à la hauteur ....."
La suite de l'échange a été assez vif ..
ooOoo
Avant de passer aux critiques des médias et à l'interpellation du Député Yves Nicolin, nous devons rappeler que la ministre de l’Education
Nationale Najat Vallaud-Blkacem était l’invité le dimanche 24 janvier de Canal +, dans l’émission « Le Supplément » de Ali Baddou, où différentes questions d'actualités étaient
au programme, il a été question notamment d' une interrogation « l’Ecole peut-elle être
un rempart contre la radicalisation » ? .. ou encore « la lutte contre le
terrorisme »
Najat-Vallaud accueilli sur le plateau a d'abord été présentée dans un reportage qui la montrait pendant 10
jours dans ses différents déplacements
en visites dans quelques Etablissements scolaires.
A la suite de ce reportage Najat Valaud-Belkacem et Ali Baddou on eut un entretien au cours duquel la ministre s'est exprimée et a donné des indications et son avis , sur les écoles et d’autres
sujets présentés dans le reportage,- dont des
considérations sur les mesures de sécurité et les attentes des enseignants et
des parents, après les attentats notamment du 15 novembre - , et sur d’autres sujets d’actualités évoqués sur le plateau, jusque là l’émission
se déroulait dans un échange de questions et de réponses relativement intéressant.
Mais après qu’un
nouveau sujet ait été évoqué, abordé et présenté dans un reportage par Valentine Oberti , au sujet du sort de Moussa Ibn Yacoub, un
membre de l’ONG Association BarakaCity ,
qui se trouve emprisonné au Bangladesh depuis un mois, pour «activités
suspectes», reportage au cours duquel on voyait aussi
le Président fondateur de l’ ONG "Association BarakaCity", Idriss Sihamédy, et des membres de l'association, se livrant à leurs activités dans les
locaux de cette ONG , et qu’à la suite de ce
reportage fut introduit sur le plateau Idriss Sihamedi, le président fondateur de l’Association
BarakaCity, et Fatiha Khatémi la responsable
du collectif de soutien de Moussa Ibn Yacoub, la situation s’est nettement tendue, en
raison des propos tenus par Idriss Sihamédi qui ont jeté un froid, notamment entre autres son affirmation
de refuser de serrer la main au femmes et de condamner le terrorisme
islamiste.
Ali Baddou, les présentateur de l'émission s’est dit
gêné des réponses de Iddris Sihamédi et a demandé à Najat Vallaud-Belkacem si elle avait
une réaction, encore plus gênée Najat Vallaud Belkacem a répondu sobrement, ce qui par la suite dans les médias a été jugé insuffisant.
Voici l'émission dans la vidéo ci-dessous :
Passons maintenant aux médias :
A la suite de cette émission des médias ont regretté l'attitude de Najat-Valaud Belkacem, en l’accusant d'avoir réagi « trop mollement » aux propos de Idriss Sihamédi, certais jugent insufisante sa réponse en reprenant une partie de celle-ci : «on ne peut élever au rang d'interlocuteurs des gens qui se situent en dehors du champ républicain».
Certains médias ont aussi donné des informations sur l'ONG BarakaCity , c'est ainsi qu'on apprend que depuis sa création en 2010 l'association BarakaCity entretient
l'ambiguïté sur ses liens avec l'islam radical, que officiellement, l'ONG islamique se donne pour
mission de venir en aide aux populations musulmanes à travers le monde, mais
que la structure établie à Courcouronnes dans l'Essonne
et ses adhérents sont dans le viseur des autorités françaises.
On peut lire aussi que "selon la préfecture de l’Essonne " citée par les médias, qu' " En raison de ses liens avec la mouvance
islamiste radicale, les activités de cette association font l'objet d'une
attention particulière des pouvoirs publics", et qu’ " une source policière a confirmé
que son président Idriss Sihamédi est fiché »S » , et qu’il est connu pour ses positions pour le moins orthodoxes .....qu’il n’en est pas à son premier coup d’éclat , en rappelant « … L'homme s'est une nouvelle fois illustré dimanche, sur le plateau du «Supplément» de Canal + .
On relève aussi …. " au parquet d'Ivry, on rappelle que la
structure a été perquisitionnée deux fois. Une première fois en février 2015, à
la suite du survol d'un drone au-dessus d'un convoi humanitaire qu'ils
s'apprêtaient à faire partir en Syrie. La seconde perquisition, administrative,
sera décidée par le préfet dans le cadre de l'état d'urgence décrété après les
attentats de Paris. Mais jusqu'ici, ces procédures n'ont entraîné aucune
poursuite judiciaire »
Les médias soulignent " Idriss Sihamedi était invité pour parler du sort de Moussa Ibn Yacoub, un
membre de BarakaCity emprisonné au Bangladesh depuis un mois pour «activités
suspectes». Mais l'ambiance se tend sur le plateau, lorsqu'il déclare «ne pas
serrer la main aux femmes», puis peine à condamner clairement les exactions de
Daech en Irak et en Syrie, où son association intervient "
Nous apprenons aussi qu’en septembre 2015, il a
tweeté : «Je pense que la musique peut être dangereuse, la polygamie une
alternative contre l'adultère et le voile un signe de pudeur. Suis-je fou?» mais que le message avait disparu mardi , supprimé par son auteur,
après une brève suspension de son compte par Twitter.
Il est indiqué par ailleurs « Idriss
Sihamedi dénonce alors une cabale. Il estime qu'il n'a pas, en tant que
musulman, à condamner les actes de l'Etat islamique. Mais la polémique braque à
nouveau les projecteurs sur lui et son association
Et depuis les médias attirent
l’attention sur Idriss Ibrahim, sur son association qui a
levé ( nous les citons ) : « a
près de 16 millions d’euros en 4
ans d’activité selon son fondateur ..» , est : « très populaire dans les quartiers » …. « très présente sur les réseaux sociaux et compte plus de 650.000 fans sur Facebook »
… et qu’elle : « mobilise les
musulmans sur des causes communautaristes »
On indique aussi que «
……..la ‘structure’ intervient notamment en Birmanie auprès des Rohingyas,
peuple musulman persécuté par les extrémistes bouddhistes, mais aussi auprès
des musulmans en Irak et en Syrie. Quitte à cultiver un rapport ambigu avec les
djihadistes qui combattent sur place…… »
Au parquet d'Ivry, on rappelle que la structure a été
perquisitionnée deux fois. Une première fois en février 2015, à la suite du
survol d'un drone au-dessus d'un convoi humanitaire qu'ils s'apprêtaient à
faire partir en Syrie. La seconde perquisition, administrative, sera décidée
par le préfet dans le cadre de l'état d'urgence décrété après les attentats de
Paris. Mais jusqu'ici, ces procédures n'ont entraîné aucune poursuite judiciaire
Enfin maintenant voici ci-dessous l'échange intervenu entre le député Yves Nicolin pour le Groupe Les Républicains et la ministre de l'éducation Nationale, lors des questions au Gouvernement au cours de la première Séance de l'Assemblée Nationale le Mardi 26 Janvier 2016 :
-
Extrait du compte rendu intégral de la première seance du mardi 26
janvier 2016
…………………..
Attitude de la ministre de l’éducation nationale sur un plateau de
télévision
M. le président. La parole est à
M. Yves Nicolin, pour le groupe Les Républicains.
M. Yves Nicolin. Madame la ministre de
l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, vous
n’avez pas été à la hauteur. (Exclamations sur plusieurs bancs du
groupe socialiste, républicain et citoyen.)
Dimanche, sur Canal + l’émission « Le Supplément » voulait montrer, à travers une organisation non gouvernementale musulmane, un autre visage de l’islam. À quoi avons-nous assisté ?
Nous avons vu un homme qui refuse de saluer une ministre de la République, parce que c’est une femme. « Je ne serre pas la main aux femmes », affirme sur le plateau Idriss Sihamedi.
Nous avons vu un responsable associatif, soi-disant humanitaire, qui refuse de condamner une organisation terroriste, en l’occurrence, l’État islamique.
Dimanche, sur Canal + l’émission « Le Supplément » voulait montrer, à travers une organisation non gouvernementale musulmane, un autre visage de l’islam. À quoi avons-nous assisté ?
Nous avons vu un homme qui refuse de saluer une ministre de la République, parce que c’est une femme. « Je ne serre pas la main aux femmes », affirme sur le plateau Idriss Sihamedi.
Nous avons vu un responsable associatif, soi-disant humanitaire, qui refuse de condamner une organisation terroriste, en l’occurrence, l’État islamique.
M. Patrice
Verchère. Eh oui !
M. Yves Nicolin. Nous avons vu une ministre
de la République passive, qui réagit a minima devant des
propos purement scandaleux.
M. Patrice
Verchère. Eh oui !
M. Yves Nicolin. Madame, le député que
je suis fait en ce moment l’objet d’une plainte de la part de SOS Racisme,
parce qu’en tant que maire, en septembre dernier, j’ai appelé l’attention de
l’opinion sur le risque d’infiltration de terroristes islamistes parmi les
réfugiés, alors qu’il a été démontré, depuis le 13 novembre, que c’est une
réalité.(Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe Les
Républicains.)
Madame, en ce moment, un procureur de la République me poursuit, pour soi-disant provocation à la discrimination raciale ou religieuse. Certains incitent à la haine sur un plateau de télévision en votre présence sans que vous réagissiez, pendant que moi, préférant protéger mes compatriotes et demandant à l’État des garanties sur les migrants qui déferlent sur notre pays et qu’on me propose d’accueillir dans ma ville, je dois accepter d’être montré du doigt, poursuivi par la justice de mon pays. (Applaudissements sur les bancs du groupe Les Républicains.)
Madame, vous avez été ministre des droits des femmes ; vous avez porté en 2013 la loi sur l’égalité entre les hommes et les femmes ; vous êtes aujourd’hui ministre de l’éducation nationale, et vous n’avez pas eu le courage de vous lever, de donner tout simplement l’exemple. Madame, par votre silence, vous avez laissé faire. Par votre complaisance, vous n’avez pas été à la hauteur. (Applaudissements sur les bancs du groupe Les Républicains – Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, républicain et citoyen.)
Madame, en ce moment, un procureur de la République me poursuit, pour soi-disant provocation à la discrimination raciale ou religieuse. Certains incitent à la haine sur un plateau de télévision en votre présence sans que vous réagissiez, pendant que moi, préférant protéger mes compatriotes et demandant à l’État des garanties sur les migrants qui déferlent sur notre pays et qu’on me propose d’accueillir dans ma ville, je dois accepter d’être montré du doigt, poursuivi par la justice de mon pays. (Applaudissements sur les bancs du groupe Les Républicains.)
Madame, vous avez été ministre des droits des femmes ; vous avez porté en 2013 la loi sur l’égalité entre les hommes et les femmes ; vous êtes aujourd’hui ministre de l’éducation nationale, et vous n’avez pas eu le courage de vous lever, de donner tout simplement l’exemple. Madame, par votre silence, vous avez laissé faire. Par votre complaisance, vous n’avez pas été à la hauteur. (Applaudissements sur les bancs du groupe Les Républicains – Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, républicain et citoyen.)
M. Régis Juanico. C’est minable !
M. le président. La parole est à
Mme la ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et
de la recherche.
Mme Najat
Vallaud-Belkacem, ministre de l’éducation nationale, de
l’enseignement supérieur et de la recherche. Monsieur le député, le combat
contre le terrorisme et la radicalisation nécessite l’unité nationale et se
passe des polémiques artificielles. (Vives exclamations sur les bancs
du groupe Les Républicains.)
De quoi parlons-nous ? D’une émission de télévision qui, ce week-end, a reçu un président d’association venu défendre l’un des siens, retenu en captivité au Bangladesh. Cet homme a tenu sur le plateau des propos qui ont abasourdi tout le monde. J’ai évidemment condamné ces propos et j’ai refusé de servir la soupe à ce monsieur en lui offrant une tribune supplémentaire.
De quoi parlons-nous ? D’une émission de télévision qui, ce week-end, a reçu un président d’association venu défendre l’un des siens, retenu en captivité au Bangladesh. Cet homme a tenu sur le plateau des propos qui ont abasourdi tout le monde. J’ai évidemment condamné ces propos et j’ai refusé de servir la soupe à ce monsieur en lui offrant une tribune supplémentaire.
M. Jacques
Lamblin. C’est cela, oui !
Mme Najat
Vallaud-Belkacem, ministre. Monsieur le député, la règle à
laquelle je me tiens est simple : on ne débat pas avec les ennemis de la
République, on les combat. (« Justement ! » sur les
bancs du groupe Les Républicains.) Mon combat est total : il exclut
tout dialogue artificiel et toute mise en scène. Mon action se situe au sein de
mon ministère, où tout est entrepris pour démonétiser ces discours et pour
défendre la laïcité.
Mme Claude Greff. La preuve !
Mme Najat
Vallaud-Belkacem, ministre. C’est le sens de toutes les mesures
qui ont été mises en œuvre pour former les enseignants, pour développer
l’éducation civique et morale, pour faire en sorte que l’on rétablisse des
règles claires sur la laïcité.
Faut-il vous rappeler, monsieur le député, que tout ce travail n’a pas été mis en œuvre par la précédente majorité ?(Protestations sur les bancs du groupe Les Républicains.)
M. le président. Un peu de calme, mes
chers collègues.
Mme Najat
Vallaud-Belkacem, ministre. C’est pourquoi je n’accepterai
aucune leçon de civisme, aucune leçon d’anti-islamisme, de la part de ceux qui
n’ont pas fait ce travail.
Mme Claude Greff. Et que faites-vous du
droit des femmes ?
Mme Najat
Vallaud-Belkacem, ministre. Je le répète très calmement
devant vous : je condamne évidemment les propos qui ont été tenus par ce
président d’association sur ce plateau de télévision, et je regrette qu’on lui
ait offert une tribune. L’école est totalement engagée pour transmettre les
valeurs que nous défendons. Nous n’avons qu’un ennemi, de part et d’autre de
cette assemblée, et je vous invite à ne pas abîmer ce travail par des
polémiques dérisoires.
(Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste,
républicain et citoyen, du groupe écologiste et du groupe radical, républicain,
démocrate et progressiste.)
......................................................./
Ndlr : Nous avons résumé dans notre édito - autant que faire se peut - les polémiques médiatiques et politiques en cours, toutefois pour compléter nous avons sélectionné ci-dessous les liens de différents articles et documents qui contiennent plus d' informations. A notre avis ce dossier "BarakaCity" reste à suivre ...
REVUE DE PRESSE ET DOCUMENTS
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Historique - Septembre 2010 - Mai 2011 - Juin 2012
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