03 octobre 2013

Netanyahu provoque l'Iran ( notes, commentaires et revue de presse )

Éditorial de lucienne magalie pons



Lors d'une réunion à la Maison blanche jeudi dernier, qui est  presque  passée inaperçue à cause de la menace de fermeture de nombreux services gouvernementaux à Washington , le premier ministre  Benjamin Netanyahu , Premier Ministre Israélien a insisté auprès du président américain Barack Obama pour maintenir et même accentuer les menaces militaires et les sanctions économiques contre l'Iran.

Cette insistance  illustre bien la rancœur  qu’a éprouvé le Premier Ministre Israélien ces derniers temps  de voir que le Président Iranien replaçait  l’Iran dans le dialogue diplomatique international et que ses déclarations étaient prise en considération d’abord à l’Assemblée Générale de l’Onu  et ensuite quand il a été connu que le Président Obama  avait conversé par téléphone avec le président iranien Ibraham Rohani pendant 15 minutes, lors du départ de ce président des Etats-Unis et alors qu’il se trouvait en voiture, sur le chemin de l’aéroport.

Les médias soulignaient que c’était  le premier de ce genre entre les chefs d'État de ces deux pays depuis la révolution iranienne de 1979,  et que les présidents  avaient au cours de cet échange téléphonique exprimé tous deux   le désir d'avancer rapidement dans la négociation d'un accord entre les deux pays au sujet du programme nucléaire iranien.


Rappelons aussi que la semaine dernière, les Iraniens ont accepté de reprendre les négociations sur le nucléaire avec les pays membres du groupe 5+1 (les cinq grandes puissances et l’Allemagne) à la mi-octobre à Genève.



C’en était trop pour Israël, qui passait au second plan sur cette question qu’ils ont toujours entendu régler avec les Etats-Unis en exclusivité !



 La visite de Netanyahu a eu lieu tout juste trois jours après qu'Obama ait conversé par téléphone avec le nouveau président iranien Hassan Rohani, et on voit bien qu’Israel ne veut pas lâcher céder sa  première place   exclusive de conspirateur-inspirateur  diplomatique  des Etats-Unis   en ce qui concerne notamment le Moyen-Orient, et souvent même en ce qui concerne la politique du Monde.


Par ailleurs, les chefs de la diplomatie américain et iranien, John Kerry et Mohammad Javad Zarif, se sont rencontrés jeudi à New York et vendredi, un coup de téléphone historique a eu lieu entre Barack Obama et Hassan Rohani. 


En résumé, Obama  a  souhaité que la déclaration de M. Rohani soit suivie d’effet,  de «donner une chance à la diplomatie» et n’exclut pas que Téhéran puisse conserver une capacité nucléaire civile.



 Le Président Obama qui ces temps derniers s’efforce  de trouver une attitude diplomatique compatible avec celle qui prédomine actuellement en ce qui concerne le dossier Syrien d’une part, et la question nucléaire de l’Iran d’autre part, est  en position d’équilibriste  entre  le dévouement indéfectible qu’il a toujours manifesté pour Israël  , plus ou moins publiquement, comme ses prédécesseurs Bush père et fils ,  pour défendre la cause Israélienne sur tous les plans et dans tous les domaines , et le moindre mot qu’il peut prononcer dans un sens ou dans l’autre peut dégrader son image sur la scène internationale, d’autant qu’il vient  d’encaisser des plâtres dans l’affaire Syrienne, où nous l’avons vu  dans un premier temps décidé  à frapper militairement la Syrie, et ensuite  dans un deuxième temps revenir  progressivement sur ses intentions belliciste , pour s’aligner sur la position diplomatique dominante conduite par la Russie.



Mais cela ne l’empêche pas de prononcer  encore des déclarations équivoques et assez hypocrites  et ambigues  par lesquelles il laisse  entendre que le Régime Syrien  aurait utilisé des armes chimiques  ou  encore déclarer  que l’idée des frappes militaires n’est pas abandonnée  par les Etats-Unis, dans le cas ou la Syrie ne remplirait pas ses obligations dans le cadre du contrôle  et de la destruction des armes chimiques en Syrie, pour entretenir  une tension qui n’a plus lieu d’être il en est de même lorqu'il parle  de dossier concernant le nucléaire Iranien.


Sur la Syrie :



Pour en revenir à la réunion de Jeudi  dernier, entre le Président Obama et le Premier Ministre  Netanyahu, une fois de plus Obama  l’a rassuré sur la Syrie  et a confirmé devant les médias  à la suite de leur entretien  d’une heure, comme si la décision lui appartenait encore : «Nous n'écartons aucune option, y compris l'option militaire».


C’est  ce qui s’appelle parler dangereusement  pour ne rien dire  et ne pouvoir rien faire,  car tout le monde entier sait  d’une part que Bachar El Hassad a accepté officiellement  toutes les conditions et ne cesse de  les confirmer officiellement, et d’autre part que toute intervention armée contre la Syrie  serait soumise à la décision du Conseil de Sécurité de l’Onu, et que le projet de résolution présenté devrait fournir des preuves irréfutables de ces manquements.



 Sur l'Iran :


 Pour ce qui concerne  la question nucléaire de l‘Iran, nous ne savons pas trop ce qu’ils se sont dit,  lors de leur entretien  de Jeudi dernier , mais certains médias avancent  que les Etats-Unis n’excluent pas la possibilité d’engager une action militaire contre l’Iran à cause de son programme nucléaire,  d’après ce qu’à  a  indiqué le président américain Barack Obama lors de sa rencontre avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

Mardi à l'Onu :


 Regonflé à bloc, Benjamin Netanyahu,  ce dernier mardi,   a provoqué l’Iran à la tribune de l’Onu ou il a affirmé solennellement  que son pays était prêt à agir seul pour empêcher Téhéran de se doter de l’arme nucléaire.


Mardi Benjamin Netanyahu  était le dernier orateur à monter à  la  tribune  de l’Onu qui a accueilli depuis une semaine des dizaines de chefs d’Etat et de gouvernement dont le président américain Barack Obama et le nouveau président iranien Hassan Rohani.



  Extraits des déclarations du Benjamin Natayahu (  vous retrouverez son discous en intégralité en français  en revus de presse )
............


«Israël ne laissera pas l’Iran obtenir des armes nucléaires. Si Israël est obligé d’agir seul, il agira seul», a-t-il martelé devant l’assemblée générale de l’ONU. …. ,  … L’Iran n’a pas encore franchi la ligne rouge », a-t-il expliqué, mais il «veut être en position de pouvoir accélérer et construire des bombes atomiques» quand il le voudra  et  «avant que la communauté internationale ne puisse le détecter et l’empêcher».





Il a estimé qu’un Iran nucléaire serait aussi dangereux que «cinquante Corées du Nord». «Face à une telle menace, Israël n’aura d’autre choix que de se défendre», a-t-il souligné. «Je n’accepterai jamais qu’un régime qui a juré à plusieurs reprises de nous rayer de la carte aie des armes nucléaires (..) , je ne ferai jamais de compromis sur la sécurité de mon peuple et de mon pays».



«J’aimerais croire M. Rohani mais je ne le peux pas», a-t-il encore déclaré en référence aux déclarations conciliantes du président iranien, qui avait assuré   la semaine passée que l’Iran ne cherchait pas à se doter de la bombe, ce dont Israël et les Etats-Unis (moins ouvertement)  le soupçonnent.



Pour le Premier ministre israélien, M. Rohani est «un loyal serviteur du régime», pas plus fiable que son prédécesseur Mahmoud Ahmadinejad,  Il faut «se concentrer sur les actions de l’Iran», a-t-il estimé, et en attendant il faut «maintenir la pression» et les sanctions contre Téhéran, de façon à s’assurer que le programme nucléaire iranien soit «démantelé complètement et de façon vérifiable».



On ne doit «lever les sanctions que quand l’Iran aura totalement démantelé son programme de fabrication d’armes nucléaires», a affirmé M. Netanyahu, qui a rejeté l’idée d’un «accord partiel» relâchant l’étau en échange de «concessions superficielles» de la part de Téhéran.



Il a énuméré une série de mesures que les Iraniens devraient prendre, à commencer par «cesser tout enrichissement de leur uranium» et transférer en dehors d’Iran les stocks d’uranium enrichi. D’après lui l’uranium peut faire marcher une centrale nucléaire civile mais, à un plus haut dégré d’enrichissement, il peut aussi servir à fabriquer une bombe.


Un diplomate iranien a immédiatement réagi en séance au discours de M. Netanyahu en le qualifiant d'«extrêmement provocateur» et de «belliqueux». Selon Khodadad Seifi, conseiller à la mission iranienne auprès de l’ONU, «toutes les activités nucléaires iraniennes ont, et ont toujours eu, un objectif exclusivement pacifique».

 





Après sa rencontre avec Obama, le premier ministre israélien a une nouvelle fois accusé   l'Iran : ....,  «l'Iran est déterminé à détruire Israël» et il a insisté sur l'idée que «les sanctions devraient être renforcées» si l'Iran continue à développer son programme nucléaire pendant les négociations avec les États-Unis et les autres grandes puissances. Il a insisté sur l'idée qu'une «menace militaire crédible et des sanctions fortes» étaient la seule politique possible envers l'Iran


La réaction du régime israélien dirigé par Netanyahu est quasi-hystérique dans son hostilité à tout mouvement de rapprochement entre Téhéran et Washington.

Avant de s'embarquer pour les États-Unis, Netanyahu  avait déclaré aux médias israéliens: «Je vais représenter les citoyens israéliens, notre intérêt national, nos droits en tant que peuple, notre détermination à nous défendre et notre espoir pour la paix»., et  que sa mission à Washington et à l'Assemblée générale des Nations unies serait de «dire la vérité car des faits doivent être présentés face aux discours mielleux et à la pluie de sourires».

Après  son entretien  avec Obama, le premier ministre israélien a affirmé que «l'Iran est déterminé à détruire Israël» et il a insisté sur l'idée que «les sanctions devraient être renforcées» si l'Iran continue à développer son programme nucléaire pendant les négociations avec les États-Unis et les autres grandes puissances. Il a insisté sur l'idée qu'une «menace militaire crédible et des sanctions fortes» étaient la seule politique possible envers l'Iran.

Après ses négociations à la Maison blanche, Netanyahu a fait un arrêt sur la colline du Capitole pour une rencontre avec les législateurs américains lors d'une cérémonie pour l'ambassadeur sortant d'Israël aux États-Unis, Michael Oren, qui est né aux États-Unis. Et les médias rapportent qu’Israël compte sur l'influence disproportionnée du lobby israélien sur les républicains comme sur les démocrates pour créer des obstacles à toute tentative d'accord entre Washington et Téhéran.

Un article publié ce week-end dans le quotidien israélien Ha'aretz indique quelles sont les craintes de Tel Aviv. Intitulé «La réconciliation avec les États-Unis pourrait renforcer le pouvoir de l'Iran dans la région et son prestige mondial», cet article note que si, au cours de la période passée, le programme nucléaire était un symbole national et un fondement inébranlable de la force de l'Iran, il semble maintenant que le dialogue visant à démanteler ce programme puisse être utilisé par l'Iran pour obtenir plus d'influence et de pouvoir dans la région.

Les médias écrivent aussi que L'élite politique israélienne est déterminée à empêcher l'émergence de toute puissance régionale capable de défier non seulement son monopole sur les armes nucléaires, mais aussi son rôle hégémonique au Moyen-Orient, en alliance avec l'impérialisme américain. Pour cela, et afin de justifier les 3,1 milliards de dollars d'aide principalement militaire apportés par Washington chaque année, elle a besoin d'un état de conflit permanent et que Washington  en n cherchant à atténuer les inquiétudes de Tel Aviv au sujet du tournant vers des négociations avec l'Iran, Washington va probablement soutenir davantage la répression du peuple palestinien par Israël.

Comme on le voit, la réaction du régime israélien dirigé par Netanyahu  hostile  à tout mouvement de rapprochement entre Téhéran et Washington et une fois de plus  selon sa méthode il tente de faire échouer les négociations  au mouens de fausses représentations, d’ambiguités et d’accusations.

, une méthode  qu’il emploie  très souvent et  dont  il s’était vanté lui-même en 2001, en effet  ne sachant pas que les caméras tournaient, Netanyahu s'était vanté d'avoir fait échouer les accords d'Oslo  (pour les lignes d’armistices de 1967 dans le cadre du conflit israléo-palestinien) , au moyen de fausses représentations et d'ambiguïtés.
À cette époque, il avait déclaré : « J’interpréterai les accords de telle manière qu’il sera possible de mettre fin à cet emballement pour les lignes d’armistice de 67. Comment nous l’avons fait? Personne n’avait défini précisément ce qu’étaient les zones militaires. Les zones militaires, j’ai dit, sont des zones de sécurité; ainsi, pour ma part, la vallée du Jourdain est une zone militaire. »

 Et depuis des années il continu ,   quitte à déclencher un conflit régional et  un conflit international.



Les négociations officielles entre le groupe dit P5+1 (États-Unis, Grande-Bretagne, France, Chine, Russie et Allemagne) et l'Iran doivent reprendre à Genève le 15 octobre. Washington espère soutirer des concessions importantes à Téhéran, et le gouvernement iranien est pressé d'obtenir un assouplissement des sanctions économiques qui ont fait chuter le niveau de vie des travailleurs iraniens, menaçant de provoquer des troubles sociaux.



 REVUE DE PRESSE : 


RFI ‎- il y a 2 jours
Ce mardi 1er octobre, c'est la fin de l'Assemblée générale des Nations unies et Benyamin Netanyahu sera le dernier responsable politique à ...



www.lexpress.fr/.../a-l-onu-netanyahu-menace-d-agir-seul-contre-l-iran_...
Il y a 1 jour - Le premier ministre israélien, embarrassé par le retour de la diplomatie entre Washington et Téhéran a réclamé à la tribune des Nations Unies ...

jssnews.com/.../discours-integral-et-en-francais-de-benjamin-netanyahu-a...
Il y a 2 jours - Discours intégral et en français du Premier Ministre israélien Benjamin Netanyahu, lors de l'Assemblée Générale des Nations Unies. New York ...

·  L'Express ‎- il y a 1 jour
Le premier ministre israélien, embarrassé par le retour de la diplomatie entre Washington et Téhéran a réclamé à la tribune des Nations Unies ...
Le Figaro‎ - il y a 17 heures
fr.news.yahoo.com/lonu-netanyahu-menace-dagir-seul-contre-liran-072...
Il y a 1 jour - Sur Yahoo Actualités France. Le premier ministre israélien, embarrassé par le retour de la diplomatie entre Washington et Téhéran a réclamé à ...
actu.orange.fr/.../a-l-onu-netanyahu-menace-d-agir-seul-contre-l-iran-l-e...
Il y a 1 jour - Le premier ministre israélien, embarrassé par le retour de la diplomatie entre Washington et Téhéran a réclamé à la tribune des Nations Unies ...
tempsreel.nouvelobs.com › Monde
Il y a 2 jours - Il a une nouvelle fois mis en garde contre le nucléaire iranien et menac&ea... ... Nucléaire iranien : Netanyahou menace... quitte à "agir seul".
www.lefigaro.fr/.../01003-20131002ARTFIG00557-nucleaire-israel-pret...
Il y a 5 heures - Nucléaire: Israël prêt à faire cavalier seul contre l'Iran ... «Si Israël doit agir seul, alors Israël agira seul», a lancé le premier ministre, martelant que ... «Le drame de Nétanyahou, c'est qu'il menace l'Iran avec un revolver vide», ...
https://www.youtube.com/watch?v=XM0g51znehw&feature...gdata
Il y a 19 heures - Israël menace d'agir seul contre l'Iran / 1er Octobre 2013 à l'ONU ... L'offensive diplomatique iranienne inquiète Benyamin Netanyahu.
www.cercledesvolontaires.fr/.../israel-menace-dagir-seul-contre-liran-a-lo...
Il y a 12 heures - Israël menace d'agir seul contre l'Iran à l'ONU ... Dans un discours prononcé à l'ONU, Benjamin Netanyahou, le premier ministre israélien, ...
titrespresse.com/.../A+l'ONU,+Netanyahu+menace+d'agir+seul+contre+l'I...
Il y a 1 jour - Le premier ministre israélien, embarrassé par le retour de la diplomatie entre Washington et Téhéran a réclamé à la tribune des Nations Unies ...
alalumieredunouveaumonde.blogspot.com/.../israel-menace-dagir-seul-c...
Il y a 16 heures - Israël menace d'agir seul contre l'Iran à l'ONU ... L'an dernier à la même tribune, Benyamin Netanyahu avait tracé une ligne rouge sur un ...
lesnouveautes.fr/.../a-lonu-netanyahu-menace-dagir-seul-contre-liran
5 éléments - Le premier ministre israélien, embarrassé par le retour de la ...
Regain de tension entre Washington et Caracas
le Point - Monde
ONU: le discours va-t-en-guerre de Netanyahu contre l'Iran
l'Humanité - Mon

  1. · 
RFI ‎- il y a 2 jours
Ce mardi 1er octobre, c'est la fin de l'Assemblée générale des Nations unies et Benyamin Netanyahu sera le dernier responsable politique à ...
  1. Nucléaire iranien: Obama vigilant, Netanyahu veut un démantèlement
BFMTV.COM‎ - il y a 2 jours
  1. Netanyahu va exhorter Obama à ne pas reculer face à l'Iran
Les Échos‎ - il y a 3 jours
www.liberation.fr/.../nucleaire-iranien-obama-promet-a-netanyahu-d-etre...
Il y a 3 jours - Barack Obama a promis lundi de faire preuve de vigilance dans les discussions à venir avec l'Iran, tandis que son hôte Benjamin Netanyahu...
www.lesechos.fr/.../reuters-00553172-netanyahu-invite-obama-a-mainte...
Benjamin Netanyahu a exhorté lundi Barack Obama à maintenir les sanctions frappant l'Iran, voire à les durcir au cas...

allainjules.com/.../nucleaire-iranien-etats-unis-israel-echec-cuisant-de-net...
Il y a 3 jours - WASHINGTON, Maison Blanche - Il ne pouvait pas si mal tomber, le pauvre Benjamin Netanyahu. Alors que l'administration Obama fait face à ...
www.bfmtv.com › InternationalMoyen-OrientIran
Il y a 3 jours - Le président des Etats-Unis Barack Obama a affirmé lundi qu'il ferait preuve de vigilance dans les discussions à venir avec l'Iran, tandis que ...
www.wsws.org/fr/articles/2013/oct2013/iran-o03.shtml
Il y a 5 heures - Lors d'une réunion à la Maison blanche, le premier ministre israélien a insisté auprès du président Obama pour maintenir les menaces ...


Pour plus d’information sur les accords d’Oslo consulter  ci-dessous les récents article de  Médiapartt », France Info.fr, politis.fr, le mondefr :
Mediapart ‎- il y a 1 heure
Le treize septembre 2013 marque les 20 ans du processus d'Oslo. Il nous a semblé que cela devrait être l'occasion d'une véritable réflexion ...

www.franceinfo.fr/.../les-accords-d-oslo-20-ans-apres-un-gout-amer-113...
13 sept. 2013 - C'était le 13 septembre 1993. Il y a 20 ans, l'histoire semblait s'écrire sur les pelouses de la Maison-Blanche. Yasser Arafat, le leader ...
www.politis.fr › Les blogs de PolitisDenis Sieffert
19 sept. 2013 - Pouvoir écrire chaque semaine sur les événements du monde est un privilège. Ce peut être aussi une épreuve quand il faut se relire à la ...
www.lemonde.fr/.../vingt-ans-apres-les-accords-d-oslo-que-reste-t-il-du-...
13 sept. 2013 - Benjamin Barthe, journaliste au Monde, a répondu à vos questions sur le conflit israélo-palestinien à l'occasion des vingt ans de la conclusion ...


 

Nicolas Dupont-Aignan dans l'émission C à Dire" sur les fraudes à la TVA et les paradis fiscaux ( 2 octobre 2013 )

Éditorial de lucienne magalie pons

 Hier  2 octobre 2013, Nicolas Dupont-Aignan  était  l'invité d'Axel De Tarlé dans C à Dire, sur France 5.
 Axel de Tardé  le questionne sur  son enquête sur les paradis fiscaux , les fraudes à la TVA etc... autant de questions dont l'ampleur des détournements se chiffrent par milliards,  un scandale  encore méconnu par l'opinion publique..

  " Ce sont des milliards qui s'en vont" ....!


Ce sont des milliards qui s'en vont ! par dlrtv

Pour  parfaire notre information ,  nous publions ci-dessous un article du 18 septembre 2013 de source du site "Debout la République",  signé par  Alain Bocquet Député du Nord et Nicolas Dupont-Aignan Député de l'Essonne

Le scandale de la fraude à la TVA

Dans son édition du jour, le journal Le Monde révèle en exclusivité les résultats d'une étude commandée par la Commission européenne. Cette étude dévoile que chaque année 32 milliards de recettes de TVA manqueraient au budget de l’État français.
Cette somme est colossale mais elle ne nous surprend nullement. Pendant près de 10 mois nous avons mené une enquête sur les paradis fiscaux et sur la multiplicité des fraudes. Nous rendrons à Elisabeth Guigou, présidente de la Commission des Affaires étrangères, notre rapport le 25 septembre prochain. Dans celui-ci, une large partie est consacrée au scandale de la fraude à la TVA, qui est encore méconnue de l'opinion publique et sous-estimée par Bercy.
Sur les 32 milliards d'euros de manque à gagner, au moins 10 milliards proviennent chaque année de l'arnaque à la TVA. Ici il ne s'agit pas de fraudeurs, mais de voleurs auxquels l’État rembourse une TVA qui n'existe pas. C'est le casse du siècle.
Déjà entre avril 2008 et juin 2009, 5 milliards d’euros ont été versés par les États aux escrocs dont 1,6 milliard officiellement par la France.Tout ça grâce à l’escroquerie à la TVA sur les quotas de carbone.
Aujourd'hui le scandale continue. Grâce au système du "carrousel", qui est un mécanisme de dissimulation de TVA communautaire grâce à des sociétés écrans, les voleurs rackettent les caisses de l’État sans rien risquer. En effet au moment où les services du Fisc vérifient l'existence de l'entreprise, c'est 15 mois après le versement des chèques par l’État. Autrement dit, les voleurs sont partis depuis longtemps avec l'argent qu'ils déposent souvent dans des paradis fiscaux.
Au moment où on demande des efforts inouïs aux Français pour réduire les déficits, ce scandale ne peut plus continuer. Il existe des solutions très concrètes que nous détaillerons dans notre rapport et qui ont déjà été mises en œuvre avec succès dans d'autres pays comme la Belgique ou le Royaume-Uni.
Alain Bocquet
Député du Nord
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
- See more at: http://www.debout-la-republique.fr/communique/le-scandale-de-la-fraude-la-tva#sthash.YUVzgUfb.dpuf


"Le scandale de la fraude à la TVA
"Publié par LFO le Mercredi 18 Septembre 2013

"Dans son édition du jour, le journal Le Monde révèle en exclusivité les résultats d'une étude commandée par la Commission européenne. Cette étude dévoile que chaque année 32 milliards de recettes de TVA manqueraient au budget de l’État français.

Cette somme est colossale mais elle ne nous surprend nullement. Pendant près de 10 mois nous avons mené une enquête sur les paradis fiscaux et sur la multiplicité des fraudes. Nous rendrons à Elisabeth Guigou, présidente de la Commission des Affaires étrangères, notre rapport le 25 septembre prochain. Dans celui-ci, une large partie est consacrée au scandale de la fraude à la TVA, qui est encore méconnue de l'opinion publique et sous-estimée par Bercy.

Sur les 32 milliards d'euros de manque à gagner, au moins 10 milliards proviennent chaque année de l'arnaque à la TVA. Ici il ne s'agit pas de fraudeurs, mais de voleurs auxquels l’État rembourse une TVA qui n'existe pas. C'est le casse du siècle.

Déjà entre avril 2008 et juin 2009, 5 milliards d’euros ont été versés par les États aux escrocs dont 1,6 milliard officiellement par la France.Tout ça grâce à l’escroquerie à la TVA sur les quotas de carbone.

Aujourd'hui le scandale continue. Grâce au système du "carrousel", qui est un mécanisme de dissimulation de TVA communautaire grâce à des sociétés écrans, les voleurs rackettent les caisses de l’État sans rien risquer. En effet au moment où les services du Fisc vérifient l'existence de l'entreprise, c'est 15 mois après le versement des chèques par l’État. Autrement dit, les voleurs sont partis depuis longtemps avec l'argent qu'ils déposent souvent dans des paradis fiscaux.

Au moment où on demande des efforts inouïs aux Français pour réduire les déficits, ce scandale ne peut plus continuer. Il existe des solutions très concrètes que nous détaillerons dans notre rapport et qui ont déjà été mises en œuvre avec succès dans d'autres pays comme la Belgique ou le Royaume-Uni.

Alain Bocquet
Député du Nord

Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
 




Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne




Le scandale de la fraude à la TVA

Dans son édition du jour, le journal Le Monde révèle en exclusivité les résultats d'une étude commandée par la Commission européenne. Cette étude dévoile que chaque année 32 milliards de recettes de TVA manqueraient au budget de l’État français.
Cette somme est colossale mais elle ne nous surprend nullement. Pendant près de 10 mois nous avons mené une enquête sur les paradis fiscaux et sur la multiplicité des fraudes. Nous rendrons à Elisabeth Guigou, présidente de la Commission des Affaires étrangères, notre rapport le 25 septembre prochain. Dans celui-ci, une large partie est consacrée au scandale de la fraude à la TVA, qui est encore méconnue de l'opinion publique et sous-estimée par Bercy.
Sur les 32 milliards d'euros de manque à gagner, au moins 10 milliards proviennent chaque année de l'arnaque à la TVA. Ici il ne s'agit pas de fraudeurs, mais de voleurs auxquels l’État rembourse une TVA qui n'existe pas. C'est le casse du siècle.
Déjà entre avril 2008 et juin 2009, 5 milliards d’euros ont été versés par les États aux escrocs dont 1,6 milliard officiellement par la France.Tout ça grâce à l’escroquerie à la TVA sur les quotas de carbone.
Aujourd'hui le scandale continue. Grâce au système du "carrousel", qui est un mécanisme de dissimulation de TVA communautaire grâce à des sociétés écrans, les voleurs rackettent les caisses de l’État sans rien risquer. En effet au moment où les services du Fisc vérifient l'existence de l'entreprise, c'est 15 mois après le versement des chèques par l’État. Autrement dit, les voleurs sont partis depuis longtemps avec l'argent qu'ils déposent souvent dans des paradis fiscaux.
Au moment où on demande des efforts inouïs aux Français pour réduire les déficits, ce scandale ne peut plus continuer. Il existe des solutions très concrètes que nous détaillerons dans notre rapport et qui ont déjà été mises en œuvre avec succès dans d'autres pays comme la Belgique ou le Royaume-Uni.
Alain Bocquet
Député du Nord
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
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INFORMATIONS IMPORTANTES POUR MES LECTRICES ET LECTEURS

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