Les centristes, la gauche et une grande partie de la droite européenne se sont opposés à nos demandes qui ont été rejetées. Ils porteront une lourde responsabilité si, par malheur, ce pacte venait à s'appliquer. Bruxelles a conscience que les prochaines élections européennes de 2024 peuvent totalement changer la donne. Elle agit donc en conséquence.
Depuis des années, les Européens font face à une immigration extra-européenne de masse, imposée et subie. Le résultat est sans appel : insécurité galopante, dévalorisation du travail et des salaires, montée du communautarisme et de l’islamisme, effacement progressif de notre identité. Pourtant, l'Union européenne poursuit et amplifie cette politique qu'elle souhaite mettre en œuvre le plus rapidement possible.
Ainsi, le pacte prévoit qu'un coordinateur européen pour la relocalisation, sans aucune légitimité démocratique, déterminera au mépris de la souveraineté des États, la répartition des migrants sur l’ensemble des pays européens. Pire encore : en cas de « crise », cette répartition sera rendue obligatoire par la Commission ! Cette politique migratoire, dont une majorité de nos peuples ne veulent absolument pas, est sur le point de nous être imposée.
Le terme de « transition démographique », employé à plusieurs reprises par le Président Macron, prend alors tout son sens. La déconstruction de tout ce qui a fait notre civilisation est en marche et même en marche forcée pour aboutir à une application avant l'échéance électorale de 2024. Nous venons de procéder à un tir de barrage, avec nos amis d'ECR et du Fidesz, pour montrer toute notre détermination afin de bloquer ce processus infernal. Nous allons nous y employer à nouveau résolument, vous pouvez y compter !
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