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30 octobre 2018

Bruno Golnisch : lu sur son site le 29 Octobre 2018 " Et ça continue encore et encore"

Éditorial de lucienne magalie pons

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 Lu sur le site de Bruno Gollnish le 29 octobre 2018  :

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Et ça continue encore et encore

29 OCTOBRE 2018
Urne de vote
Urne de vote

A en croire le baromètre Ifop paru dans le JDD  le 21 octobre, la cote de popularité du Premier ministre Édouard Philippe connaîtrait une embellie avec un bond de sept points du taux de satisfaction de son action (41 %) enregistré par rapport au mois précédent,  contre 29% seulement pour Emmanuel Macron. Pour autant, le dernier entretien  accordé dans ce même journal  par le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin n’est pas à même de rassurer nos compatriotes sur les menées du gouvernement. Une politique qui étrangle lentement mais surement notre  pouvoir d’achat déjà fortement mis à mal, constate Bruno Gollnisch,  depuis le passage à l’euro et  par la  nécessité d’obéir aux oukases euromondialistes. Droit dans ses bottes, le néosarkozyste Darmanin entend « assumer » le fiscalisme confiscatoire de ce gouvernement qui frappe prioritairement les classes moyennes. Le JDD le résume avec un sens certain de l’euphémisme :  « Prix des carburants, augmentation de la contribution sociale généralisée (CSG), sous-indexation à venir des pensions de retraite… Le pouvoir d’achat est mis à l’épreuve en ce second automne du quinquennat d’Emmanuel Macron. Et les Français le ressentent, à en croire le sondage Ifop que publie le JDD. Selon cette étude,  72% des Français ( et même  un sympathisant En marche sur deux ) estiment que leur pouvoir d’achat a plutôt diminué depuis la dernière élection présidentielle, en mai 2017 (…). 84% des Français pensent que la politique d’Emmanuel Macron et d’Edouard Philippe ne leur permettra pas d’améliorer leur pouvoir d’achat. » Agressions fiscales  qui viennent s’ajouter aux atteintes  à l’identité des Français avec la poursuite de l’immigration à haut débit et à leur sécurité avec la flambée des violences.  Le bilan de la délinquance pour le premier semestre 2018 dressé  par les services de police et de gendarmerie, fait ainsi état de près de 1000 d’agressions  gratuites  (hors-vol) par jour, autre signe tangible  de l'ensauvagement, de la tiers-mondialisation de notre pays   

Une source de colère et d’inquiétude ô combien légitimes pour nos compatriotes,  bien présentes  également outre-Rhin. Les séquences électorales se suivent et se ressemblent pour les partis de la coalition  au pouvoir. Après la claque administrée par les électeurs en Bavière, c’est au tour du land de Hesse, lors des élections régionales de ce dimanche, de sanctionner Mme Merkel. La CDU,  parti de la chancelière, perd prés d’une dizaine de points avec environs 27% des suffrages. Le reflux est de même ampleur pour les socialistes-sociaux-démocrates du SPD  qui recueillent 20% des voix, contre 30,7% lors du précédent scrutin de 2013. Comme en Bavière il y a quinze jours, les électeurs qui voulaient sanctionner  la CDU et le SPD, sans apporter leurs suffrages « aux extrêmes », se sont reportés sur le parti des Grünen (Verts)  qui double son pourcentage avec 17,5% des voix.  La plus grosse progression électorale bénéficie là encore au parti anti-immigration et eurosceptique Alternativ für Deutschland ( Alternative pour l’Allemagne, AfD) qui triple son score avec environ 12% des suffrages. L’AfD fait son entrée dans le seul  parlement régional allemand dans lequel il n’était pas encore représenté.

Autre défaite annoncée par les sondages, celle du candidat du Parti des Travailleurs (PT), le socialiste Fernando Haddad,  lors du second tour de l’élection présidentielle au Brésil. Classé à l’extrême-droite de l’échiquier politique, c’est donc l’ex capitaine d’artillerie Jair Bolsonaro, 63 ans, candidat du Parti Social Libéral (PSL)   qui  l’emporte confortablement avec 55,15 % des suffrages. Il entrera en fonction en janvier prochain mais a d’ores et déjà  reçu hier  les félicitations du président des Etats-Unis ou encore du ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini.

Comme ce fut le cas lors de la présidentielle américaine, les médias progressistes brésiliens et occidentaux  étaient vent debout contre  Bolsonaro, souvent comparé au populiste Donald Trump.  Les pires accusations, alimentées il est vrai par des déclarations pas toujours très politiquement correct de l’intéressé, ont été véhiculées pour freiner l’ascension du candidat de droite dure  dans les urnes…  mais avec un résultat bien éloigné du but recherché. Ainsi, à titre d’exemple,  la campagne menée par les épigones de  Metoo sur les réseaux sociaux  contre le misogyne, le machiste, l’homophobe, le phallocrate  Bolsonaro  , la tenue de la  manifestation « les  femmes avec Haddad »,  ont  eu pour résultat de faire bondir  le vote féminin  en faveur du candidat du PSL.

Bien sûr,  cette victoire de Jair Bolsonaro s’explique  en premier lieu  par  l’échec cuisant de la gauche au pouvoir, échec qui impacte douloureusement la vie quotidienne de la très grande majorité des Brésiliens.  Les électeurs ont clamé leur ras-le-bol devant les effets de la  crise économique aiguë, qui rend encore plus insupportable une corruption généralisée qui éclabousse aussi la réputation de nombreuses personnalités de gauche. Ils ont aussi voulu réagir au  délitement de l’Etat et à une  insécurité  qui prend des proportions gigantesques. Violence endémique qui est pour beaucoup dans le  fait qu’un homme fort, qui promet des réponses fermes et viriles,  ait été plébiscité dans les urnes. En août dernier, une dépêche Reuters  rapportait les chiffres publiés par le Forum brésilien de la sécurité publique  selon lequel « le nombre d’homicides a progressé de 3,7% en 2017 pour s’établir à 63.880, un niveau sans précédent dans ce pays (…). Une grande partie de ces crimes ont été commis dans les Etats du Nord-Est, les plus pauvres du pays (…). Des bandes armées de plus en plus violentes tirent parti de la diminution des financements accordés aux forces de l’ordre (…). »

Dans les faits ce sont pourtant  les Etats du sud du pays, majoritairement peuplés de descendants d’européens, mais pas forcément de riches comme  cela a été parfois affirmé  dans les analyses sommaires entendus  sous nos latitudes,  qui ont le plus voté Bolsonaro ;  les Etats  du nord du Brésil, beaucoup plus métissés, en proie à un chaos sécuritaire qu’il sera à l’évidence  très difficile de résorber,  ont eux accordé leurs suffrages en nombre plus important au  candidat du Parti des Travailleurs.

M. Bolsonaro a aussi bénéficié du  soutien de  l’Eglise  évangélique à laquelle  il appartient. Courant religieux en plein essor au Brésil dans toutes les couches de la population et plus largement sur le continent sud-américain (mais aussi en Afrique et en Asie)  au détriment de l’Eglise catholique. Evangélistes  accusés non sans fondements, d’être une structure de pénétration de l’influence des Etats-Unis à l’étranger;  voire un faux nez, une couverture pour les agissements de la CIA. Jair Bolsonaro est aussi  conseillé et épaulé par l’économiste  ultralibéral Paulo Roberto Nunes Guedes, 69 ans,  qui fréquente de longue date  les allées du pouvoir .  Ce dernier est un pur produit de la fameuse école de Chicago. Chicago boys qui prirent notamment en main l’économie  chilienne lors de l’arrivée au pouvoir  d’Augusto Pinochet en 1973,  là aussi avec l’appui tacite de Washington,  pour mettre fin à l’épisode Allende.  Bref,  si M.  Bolsonaro est incontestablement un patriote brésilien, son patriotisme n’ a pas grand chose à voir avec celui des socialistes bolivariens…



29 octobre 2018

Laurent Obertone explique le système journalistique Français ( octobre 2018 )

Éditorial de lucienne magalie pons

Découverte et partage d'opinions :

- Laurent Obertone, dont vous prendrez connaissance du parcours si vous ne le  connaissez pas,  en consultant un document Wikipédia, dont lien  actif ci-dessous :


 - est un journaliste, écrivain, essayiste et chercheur  qui  s'attache à observer , étudier et  dévoiler  la réalité des faits  de sociétés  et faits divers et  dont le travail de recherche  est centré  notamment sur  la criminologie, les médias , l'immigration et  le  multiculturalisme , autant de domaines  livrés selon lui à la « manipulation », à la « désinformation » et au « conditionnement » des classes médiatique, militante, artistique et politique .



Il s'exprimait  récemment  en octobre 2018 dans un entretien dans lequel  il expliquait notamment  le système journalistique français.



Nous complétons cette approche par une série de vidéos récentes sur différents sujets qu'il appréhende sous l'angle du conditionnement imposé "aux petites gens"  par les classes politiques et médiatiques. 


Une autre vidéo du 23 octobre 2018 vous montre à quel point les journalistes du réseau manipulateur  "pensée-parole unique" sont ligués contre Laurent Obertone pour mettre en doute son travail ... :







Bernard Monot _ Debout la France : La Commission Européenne contre la volonté du peuple italien ( flash info-vidéo du 29 octobre 2018 )

Éditorial de  lucienne magalie pons

 Après avoir exposé et analysé les agissements de la Commission européenne contre le peuple italien, Bernard Monot   conclut : 

 "La Commission européenne a fait le choix d'agir contre la volonté du peuple italien en rejetant son budget 2019. Je soutiens pleinement la coalition Lega, Movimento 5 Stelle qui dérange tant les technocrates de Bruxelles et Francfort !"

Voir son Flash Echo  du 29 octobre 2018 



Source de la vidéo :

Ajoutée le 29 oct. 2018Catégorie : Actualités et politique

- " LCI MIDI " - Damien Lempereur , Délégué national et porte parole de Debout la France face à Jean Baptiste Djebarri , député Lrem débattent du pouvoir d'achat - 29 octobre 2018 -

Éditorial de lucienne magalie pons

PARTAGE D'INFORMATIONS : Dans l'émission "LCI Midi " ci-dessous en vidéo,  Daniel Lempereur se trouvait face à face avec le député Lrem  Jean Baptiste Djebbari pour débattre des dépenses qui pèsent sur le pouvoir d'achat et questions liées.




Source de la vidéo : 

Ajoutée le 29 oct. 2018

Damien Lempereur, porte-parole de Debout La France était l'invité de LCI. Emission du lundi 29 octobre

-Catégorie Actualités et Politique

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Nicolas Dupont-Aignan dans BFM Politique_vidéo publiée le 28 oct. 2018

Éditorial de lucienne magalie pons

PARTAGE D'INFORMATIONS :



Source de la vidéo :

Ajoutée le 28 oct. 2018

Johan Bardella invité de l'émission "Le 19h20 politique " _ vidéo publiée en replay le 26.10.2018 -

Éditorial de lucienne magalie

Partage d'information :

Avertissemernt : cet éditorial est en cours de finalisation en effet l'extrait figurant sous la vidéo ( de source du site de  franceinfo ) n'est pas complet,  certains échanges entre l'invité et franceinfo ne sont pas mentionnés. Nous travaillons à rétablir le texte dans son intégralité afin que l'information soit complète et corresponde exactement aux questions  de franceinfo et aux réponses de Johan Bardella, telles que nous les entendons dans la vidéo de l'émission publiée  en replay le 26.10.2018 :


  ______________//

Extrait de l'entretien de source du site France info ( comme nous l'avons indiqué plus

 haut nous travaillons afin de reproduire en texte l'entretien dans son intégralité.
 Quand nous aurons terminé ce travail, nous le téléchargerons ici et supprimerons
l'extrait de   franceinfo ci-dessous  qui n'est pas complet ) 

* copié/collé : 



"Je n'appelle pas à bloquer le pays, je dis qu’il y a une colère légitime aujourd’hui et qu’il y a un mouvement [le 17 novembre] dans le pays que nous soutenons", a affirmé Jordan Bardella, le porte-parole du Rassemblement national (RN), vendredi 26 octobre sur franceinfo. Il réagit aux appels à bloquer le pays pour protester contre la hausse des prix des carburants, qui se multiplient sur les réseaux sociaux. "La France de monsieur Macron, c’est une France du racket", a estimé par ailleurs Jordan Bardella.

franceinfo : Le RN appelle à manifester le 17 novembre prochain. Vous tentez de récupérer la colère de certains Français ?

Jordan Bardella : Non, on tente de se faire les porte-voix d’une
 colère légitime, qui monte dans le pays, à savoir que monsieur
Macron est en train d’organiser un racket généralisé. Il ira 
chercher jusqu’au dernier centime dans le portefeuille des
 Français, alors tout y passe : l’essence, le contrôle technique, 
le gaz, l’électricité, le forfait hospitalier, la CSG… 
On a même appris que maintenant, nous aurons des péages
 urbains à l’entrée de certaines villes. On n’a pas de frontières 
nationales, par contre on a des péages urbains, donc je crois 
que tout est bon pour aller dépecer le peuple français jusqu’au 
dernier centime. Nous, nous nous opposons évidemment à
 cela et nous soutenons les manifestations qui auront lieu le
 17 novembre. Nos élus, nos responsables départementaux
 dans les fédérations se joindront à la population.

Vous dites que tout est bon pour faire payer les Français : est-ce
 qu’un parti responsable peut demander à ce que l’on bloque 
la France ?

Je n'appelle pas à bloquer, je dis qu’il y a une colère légitime
 aujourd’hui et qu’il y a un mouvement dans le pays que nous 
soutenons. Nous n’appelons pas à bloquer la France mais 
 les gens en ont marre de payer, payer, payer et d’être taxés 
systématiquement partout. On nous a dit qu’il n’y aurait plus 
de taxe d’habitation et on s’aperçoit que certains la paient plus
 cher que l’an dernier, parce que les communes ont anticipé 
la hausse. Donc la France de monsieur Macron, c’est une 
France du racket où il s’agit toujours d’aller taxer les mêmes. 
On a fait un certain nombre de cadeaux aux plus riches avec
l’ISF, on continue d’avoir les robinets grand ouverts pour
 l’immigration massive, mais les classes populaires continuent
 d’être tapées au portefeuille.

Une cinquantaine de départements subissent actuellement une
sécheresse grave. Ne faut-il pas prendre des mesures vis-à-vis
 de cette économie carbonée, qui fait appel largement au
 pétrole ?

Je crois qu’on appelle ça l’économie punitive. 60% du prix de
 l’essence sont aujourd’hui des taxes, donc on est dans une
augmentation qui consiste à faire rentrer trois milliards d’euros
 supplémentaires dans les caisses de l’État. Si vous voulez faire
 des économies, je vais vous donner une liste d’économies à
faire, mais il ne s’agit certainement pas d’aller encore une fois
 taper au portefeuille.

Maintenant, sur l’écologie, je crois qu’il faut aujourd’hui
 changer de modèle économique et développer les circuits
 courts. Parce qu’on ne peut pas expliquer qu’on a une volonté
écologique quand notre modèle économique consiste à aller
 négocier des traités de libre-échange avec la terre entière.
On ne peut pas défendre une économie totalement ouverte
et mondialisée et en même temps vouloir développer l’écologie
et les circuits courts.
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