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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
A force de
soi-disant combattre l’extrême droite, Frédéric Haziza aurait-il été contaminé
par les bonnes vieilles méthodes fascisantes : la haine préméditée, la
théorie du complot, la stratégie du bouc émissaire, l’amalgame et la
calomnie ?
Qui ne
partage pas les opinions politiques de Frédéric Haziza est poursuivi de sa
vindicte malsaine.
Etre patriote,
ce serait soi-disant haïr l’étranger. Etre gaulliste, ce serait forcément être
un clandestin de l’antisionisme. Défendre la liberté d’opinion dans notre pays,
ce ne peut être que basculer dans le camp des amis de M. Dieudonné, puis de
l’antisémitisme.
Les
amalgames, les raccourcis, les insinuations de Frédéric Haziza sont
insupportables pour moi qui, comme gaulliste, déteste les idéologies de haine,
la xénophobie ou l’antisémitisme.
Petit-fils
de l’un des premiers aviateurs de la guerre de 1914, fils d’un évadé de la
seconde guerre mondiale, j’ai été le compagnon de route du regretté Philippe
Séguin, défenseur inlassable d’un patriotisme républicain qui justement, ne
sombre pas dans la haine de l’autre.
Je lui ai
clairement dit sa vérité lors de la journée du livre politique, le samedi 8
février dans les salons de l’Assemblée nationale. N’ayant pas et pour cause
grand-chose à se mettre sous la dent contre moi, M. Haziza a cru malin
d’exhiber en trophée le fait que Mme Marion Sigaut, écrivain, défenseur de la
cause des Palestiniens, a été membre du bureau de Debout la République en
charge de la francophonie.
Plus tard,
elle a participé à des conférences communes avec Egalité et Réconciliation.
Quand je l’ai su, en mai 2013, la double appartenance étant interdite à Debout
la République, je lui ai fait part de cette incompatibilité.
Elle a
choisi de garder sa liberté de parole et je l’ai donc remplacée, au terme de
nos procédures internes – en l’espèce notre congrès du 5 octobre -, par un
autre délégué.
M. Haziza,
et c’est ce qui me révolte, connaît parfaitement cette vérité mais a
complètement transformé l’histoire pour étayer sa thèse politique ridicule
d’une peste brune qui réapparaîtrait dans notre classe politique.
Ainsi sur
BFM, il affirme : « J’ai noté au cours de mon enquête dans ce livre
qu’il y a des complaisants (…). Par exemple, au niveau politique, quelqu’un qui
s’appelle Nicolas Dupont-Aignan, que vous connaissez, dont l’une des proches,
Marion Sigaut est proche d’Alain Soral, elle a été Secrétaire nationale de
Debout la République. (…) Elle a été sur le site en tant que dirigeante de
Debout la République. »
L’amalgame
inquisitorial est là : Mme Sigaut serait proche d’Alain Soral, M.
Dupont-Aignan serait proche de Mme Sigaut, M. Dupont-Aignan serait donc
complaisant, voire pire !
Pas de
chance pour M. Haziza. Mme Sigaut n’a jamais prononcé la moindre phrase raciste
ou antisémite. Si c’était le cas, il y a longtemps je pense que cela aurait été
publié. Même si je la connais bien sûr, elle n’est pas une de mes proches et il
faut lui demander si elle est proche d’Alain Soral, ce que je ne sais pas.
Le procès en
sorcellerie pourrait paraître grotesque si M. Haziza ne passait sa vie dans les
médias et les salons parisiens à distribuer les bons et les mauvais points, à
jouer les censeurs…
Rappelons
enfin que M. Haziza n’a bien sûr jamais cherché à en savoir plus, comme l’exige
la déontologie journalistique : ni auprès de moi, ni de l’équipe de Debout
la République.
Voilà, je
m’arrête ici, car il n’en mérite pas plus.
Parti démocrate, Matteo Renzi, a été chargé de former un nouveau
gouvernement. IL assure qu'il y mettra "tout le courage, l'engagement,
le l'énergie et l'enthousiasme" dont il est capable e a défini l'emploi
comme "urgence la plus importante
Mattéo Renzi , chef du
Parti démocrate , a été officiellement chargé ce
Lundi 17 février par le Président
Giorgio Napolitano , soit 4 jours après l’annonce de la démission de son
prédécesseur Enrico Letta.
Il est en voie de
devenir « El séductor », si l’on en juge par le portrait que lui tracent certains médias européens, dont
les français toujours friands de new style.
Les médias Français le découvrent et depuis
Vendredi ils essaient de d'embellir le
personnage , d’abord on signale comme un atout sa jeunesse, 39 ans, en
soulignant qu’il est le plus jeune chef d’État en Europe,
On sait qu'il a toujours voulu un renouveau
politique, un rajeunissement des cadres autrement dit envoyer les vieux politiques "valser ailleurs" afin qu’ils laissent la place à la jeunesse.
On le présente aussi comme
habile en communication , bon tribun, sachant attirer l’attention en
agrémentant ses discours d’une ou deux plaisanteries ou encore en citant des
auteurs.
Ce qui n’est pas fait pour déplaire dans ce monde iconophile et verbophile vouée à l’image et à la communication,
on le dit séduisant et bon parleur , en ajoutant qu’il fait parfois la une des magazines et qu’il
se confie volontiers dans des interviewes, et à ce sujet on rappelle qu’il a
accordé un entretien à Vanity Fair en décembre 2013, pour évoquer son « avenir » :
"A 38 anni, si è prontia tutto.Ma in Italia, unuomo della mia et àsi pensache è ancoragiovane. L'età nonè un problema." ..........."Tutti i politicidovrebberolasciare il loro postoun giorno." ,
Traduction dans notre langue moins chantante :« "A 38 ans, tu es prêt pour
tout. Mais en Italie, on pense qu'un homme de mon âge est encore jeune. L'âge
n'est pas un problème." ……….."Tous
les hommes politiques doivent quitter leur poste un jour".
Vous remarquerez qu’il
considère que l'âge n'est pas un problème (pour les jeunes), qu’à 38 ans on est « prêt
pour tout », mais en fait on voit bien que cet homme en 20 se tenait « prêt
à tout », une jeune « loup » quoi qui se tenait prêt à liquider "les vieux" à la faveur des circonstances politiques;. Les médias le dépeignent aussi comme un jeune stratège ambitieux et chanceux, en rapportant notamment que pour son premier passage en direct à la télé en 1994 ( il y a vingt ans) il s'était rendu célèbre en gagnant 48 millions de livres ( environ 25 .000 euros) dans le jeu de "La Ruota della fortuna) , en faisant remarquer "que pour le visage et le discours il n'a pas beaucoup changé" ! Je ne valide pas à l'époque il portait des cheveux plus longs, ondulés, son visage était plus mince, la mâchoire moins carrée, et il portait des lunettes assez classique, bref un minet plutôt bcbg, alors que maintenant il se montre en chemise, col ouvert, et veut se donner parfois des airs à la "obama". mixé "tony blair"..
Ne nous privons d 'un retour sur son look de 1994 et sur son coup de chance, vous verrez ça ne casse pas la botte italienne
Bon pour en revenir à l'actualité du jour on sait qu'en politique c'est un homme pressé, qui veut insuffler un renouveau, certains disent démolir et reconstruire, on l'appelle du reste aussi "le démolisseur", ou encore" le "Ferrailleur", son programme à minima est de réduire les impôts, de réduire le déficit public et de faire des économies de dépenses publiques, d'aucuns disent qu'il n'a qu'une expérience de Maire de Florence et que gouverner un pays comme l'Italie est autres choses et qu'il se trouve maintenant dans une situation à haut risque.
Je n'en dirais pas plus sauf que même s'il se tenait prêt à tout il a été aidé en grande partie par les flots de la crise pour franchir le Rubicon et le sort en jeté "alea jacta est", à lui maintenant de montrer si sa compétence répond à ses ambitions et s'il saura pédaler dans la gouvernance aussi à l'aise qu' en 2012 et s'il aura un nouveau coup de chance pour faire tourner la rotta della fortuna italienne aussi bien qu'en 1994 !
C'est
le plus jeune chef de gouvernement en Europe. Le patron du Parti
démocrate (centre-gauche) Matteo Renzi, 39 ans, a été officiellement
chargé de former le nouveau gouvernement italien, lundi 17 février. Il a
été reçu à la présidence de la République par le chef de l'Etat Giorgio
Napolitano, quatre jours après l'anonnce de la démission de son
prédecesseur, Enrico Letta.
Rome
- Matteo Renzi, chef du centre gauche, a été chargé lundi de former un
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plus de temps qu'il ne le souhaite. "Matteo le ...
Selon la presse italienne, Matteo Renzi
pourrait être officiellement nommé ce week-end à la Présidence du Conseil par
le chef de l'Etat, Giorgio Napolitano.
Il y a 2 heures - Matteo Renzi, 39 ans,
chef du centre gauche italien, a été chargé lundi de ... M.
Renzi, qualifié d'«homme pressé», rencontre déjà quelques ...
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