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31 janvier 2014

Bientôt la Chandeleur - Recette de crèpes



Éditorial de lucienne magalie pons





 

Pour 6 personnes :

  • 250g de farine
  • 4 œufs
  • 1/2 litre de lait
  • 1 pincée de sel
  • 2 sachets de sucre vanillé
  • 1 cuillère à soupe de sucre en poudre
  • 1 cuillère à soupe de Cognac (facultatif)

*Tamisez la farine dans un saladier. Ajoutez le sel, le sucre en poudre et le sucre vanillé puis les œufs et mélangez bien.

 *Versez ensuite le lait petit à petit en mélangeant constamment pour éviter les grumeaux. Terminez en ajoutant le Cognac.( ou le rhum)


*Pour la cuisson : A l’aide d’un papier essuie tout, huilez légèrement votre poêle à crêpes. 

*Faites la chauffer puis versez une petite louche de pâte  en    remuant la poêle délicatement pour faire glisser la pâte sur tout le fond  

*laissez cuire environ 2 minutes vous la  faire  sauter pour la retourner en tenant la poêle par la queue  ( hé hop !) avec un pièce  d'or dans la main gauche  pour la première crêpe ( voir* ) ,et laissez cuire 1 ou 2 minutes en vérifiant la cuisson.

Une fois  cuite  faire glisser  directement la crêpe  de la poêle sur  une assiette plate,  saupoudrez-la de sucre vanillé ,  la rouler tout de suite  et la réserver sur un plat de présentation

Vous pouvez  aussi au lieu de  rouler la crêpe  la plier en triangle 

garniture :  vous pouvez si vous le souhaitez au lieu de la saupoudrer de sucre,  la  tartiner  légèrement  de confiture à vôtre gout  ou  encore de miel , de crème au chocolat,  de sauce caramel , de  crème de marrons, de sirop  d'érable , de  chantilly …etc

 Ma préférence : saupoudrée de sucre,  de sirop d'érable !
 .

Cliquez ici si vous voulez d’autres recettes de crêpes (crêpes Suzette, au sucre et au citron, etc.).

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 * il est de tradition de faire  sauter les crêpes avec une pièce d'or dans la main pour s'assurer  de la richesse l'année à venir, de la protection de la Famille et de la maison

* on dit aussi que pour porter   bonheur et éloigner la pauvreté,  ou encore pour que les  prochaines récoltes soient abondantes, la première crêpe confectionnée doit être gardée sur une armoire

* À l'occasion de la Chandeleur,  on se procure des chandelles bénies qui seront allumées dans la maison dès le matin du Jour de la Chandeleur

chandelle
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Retrouvez toutes les délicieuses recettes de crêpes Bonne Maman pour fêter la Chandeleur ! UNE CREPE + QUE PARFAITE. Découvrez la recette des crêpes


*documentation  


Chandeleur - Wikipédia

fr.wikipedia.org/wiki/Chandeleur
La Chandeleur (Fête des chandelles) est une fête populaire d'origine païenne liée à la lumière, elle correspond aussi à une fête religieuse chrétienne ...
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Proverbes et dictons de la Chandeleur  :
  • Qui mange des crêpes quand la Chandeleur est arrivée, est sûr d'avoir argent pendant l'année.
  •  
  • Si point ne veux de blé charbonneux, mange des crêpes à la Chandeleur.
  •  
  • Rosée à la Chandeleur, hiver à sa dernière heure.
  • A la Chandeleur, l'hiver s'en va ou prend vigueur
  •  
  • Si la Chandeleur pleure, l'hiver ne demeure.
  •  
  • A la fête de la Chandeleur, Les jours croissent de plus d'une
  •  
  • heure, Et le froid pique avec douleur 

  • Si le jour de la Chandeleur est clair et radieux, L'hiver aura un autre combat, Si le jour de la Chandeleur apporte nuages et pluie, l'hiver ne se reproduira pas.
 


Tous à Paris ou à Lyon dimanche 2 février ! Pour défendre la famille et l'enfant !

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS D'INFORMATION  :



Tous à Paris ou à Lyon dimanche 2 février !
Pour défendre la famille et l'enfant !



Après les manifestations nationales 2013 (13 janvier, 24 mars et 26 mai), La Manif Pour Tous invite tous les citoyens à revenir à Paris ou à Lyon, dimanche 2 février pour défendre les familles qui sont aujourd’hui attaquées dans de multiples domaines :

Projet de loi Famille, fabrication d’enfant sans père (PMA pour couple de femmes), mères porteuses, diffusion de l’idéologie du genre à l’école, réduction du congé parental, etc.

Alliance VITA, membre du collectif de La Manif Pour tous, soutient cette initiative et invite ses sympathisants à répondre présent à cet appel.

Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA et porte parole de La Manif Pour Tous, insiste dans son message sur la défense des plus fragiles, des enfants, des sans-voix : « Ils sont notre avenir. C’est pour eux que nous devons tenir et durer. C’est en leur nom que nous descendrons à nouveau dans la rue le 2 février, pour deux manifestations capitales à Paris et à Lyon ! »

Cette nouvelle journée de mobilisation ne sera pas seulement nationale, puisque d’autres citoyens européens manifesteront dans leur capitale en même temps : Bruxelles, Budapest, Luxembourg, Madrid, Riga, Rome, Varsovie (et même Buenos Aires, Taïwan…).
Aucune voix ne doit manquer pour défendre les familles !

Des cars et des trains spéciaux sont organisés depuis tous les départements
Si vous n'avez pas déjà réservé votre place, rendez-vous sur www.lamanifpourtous.fr

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CIVITAS : PETITION A SIGNER ET INFORMATION

Éditorial de lucienne magalie pons
Information :

Nous recevons cet appel de Civitas, si vous souhaitez signer cette pétition  cliquer sur le lien ci-dessous "accesible ici" afin d'avoir accès directement à la pétition sur le site d'origine.

CIVITAS a lancé hier, 27 janvier, une pétition accessible ici, au sujet du totalitarisme qui se met en place en matière d’éducation et d’instruction

IMPORTANT : COMPLÉMENT D'INFORMATION PROVENANT DE CIVITAS
1.    Non, nos enfants n’appartiennent pas à l’Etat
2.    Non, nous refusons l’interdiction de l’éducation à domicile
3.    Non, nous refusons la fermeture, demain, des écoles hors contrat
4.    Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par la théorie du genre

1.    Non, nos enfants n’appartiennent pas à l’Etat
Le 5 avril 2013, Laurence Rossignol, sénateur (PS), déclarait à la télévision (émission Ce soir ou jamais) : « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, ils appartiennent à l’Etat. »

Dans un entretien au Figaro (2 septembre 2012), Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, déclarait : « Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel ». Dans une lettre (4 janvier 2013) adressée aux recteurs, le même ministre précisait sa volonté de « changer les mentalités (…) notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles ».
En 2010 déjà, Vincent Peillon écrivait (Vincent Peillon, Une religion pour la République, Seuil, 2010) : « La laïcité française, son ancrage premier dans l’école, est l’effet, d’un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale, spirituelle. Il faut pour cela une religion universelle : ce sera la laïcité. Il lui faut aussi son temple ou son église : ce sera l’école. Enfin, il lui faut son nouveau clergé : ce seront les hussards noirs de la République » (ndlr : surnom donné aux enseignants).

De son côté, Christiane Taubira déclarait à l’Assemblée nationale (3 février 2013) : « Dans nos valeurs, l’Education vise à arracher les enfants aux déterminismes sociaux et religieux (…) ».

Toutes ces déclarations démontrent la volonté de leurs auteurs de nous voler nos enfants pour les endoctriner.

Nous refusons de nous laisser déposséder ainsi de nos enfants par des idéologues totalitaires.

2.    Non, nous refusons l’interdiction de l’école à domicile
Le 18 décembre 2013, huit sénateurs UMP ont déposé  une proposition de loi visant à interdire l’éducation à domicile, « sauf situation exceptionnelle liée à l’état de santé ou l’incapacité permanente ou temporaire de l’enfant ».

Le motif évoqué est notamment d’éviter que l’enfant soit soumis à un conditionnement « religieux ».
Nous refusons que les parents soient privés de leur liberté d’éduquer leurs enfants à domicile.

3.    Non, nous refusons la fermeture, demain, des écoles « hors contrat »
Accepter aujourd’hui l’interdiction de l’éducation à domicile, c’est se préparer à voir demain déposer une nouvelle proposition de loi visant cette fois à interdire les écoles « hors contrat ».

La Suède est une inquiétante illustration de ce processus. En juin 2010, au nom d’une « lutte nécessaire » contre l’éducation religieuse privée, la scolarisation à domicile et l’école libre ont été interdites à la suite du vote par le parlement suédois d’un plan draconien intitulé « The new Education Act – for knowledge, choice and security ».
Par ailleurs, en 2009, dans une affaire opposant des parents allemands à l’Etat allemand, la Cour européenne des droits de l’homme a donné raison à l’Etat allemand dans le but « d’éviter la formation de « sociétés parallèles » motivées par la religion ».

Nous refusons que les parents soient privés de leur liberté d’inscrire leurs enfants dans des écoles « hors contrat » et de les élever dans la fidélité à leur foi.

4.    Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par la théorie du genre
Depuis la rentrée scolaire de septembre 2013, dans le cadre des « ABCD de l’égalité », 500 écoles de dix académies servent déjà de lieux « d’expérimentation » d’une idéologie du genre qui s’adresse à plusieurs milliers d’élèves de la grande section  de maternelle au CM2, ainsi qu’à leurs professeurs. Selon les mots du ministre Najat Vallaud-Belkacem, l’objectif est de déconstruire les « stéréotypes de genre » et de forcer la nouvelle génération à s’interroger sur son « orientation sexuelle » ainsi que sur son « identité sexuelle ».
De son côté, le SNUipp-FSU, principal syndicat enseignant, a publié un dossier intitulé « Eduquer contre l’homophobie dès l’école primaire » préfacé par Michel Teychenné, chargé de mission de Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale. Ce dossier préconise aux enseignants en CE1 de consacrer chaque semaine un temps à un programme intitulé « Se construire comme fille ou garçon » tandis qu’en CM1 CM2 les enseignants organiseront une réflexion autour de : « tu te décides entre fille et garçon ».
Dans ce cadre, les lectures pédagogiques proposées s’intitulent notamment « J’ai deux papas qui s’aiment », « Papa porte une robe » ou encore « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille ».
Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par des idéologues voulant imposer la théorie du genre.

Nous signons cette pétition
Nous ne sommes pas dupes, nous ne croyons pas qu’une pétition est un moyen suffisant pour permettre de faire échouer de mauvaises lois.
En signant cette pétition, nous donnons du crédit aux initiateurs de cette pétition afin de leur permettre d’agir en interlocuteurs représentatifs des parents et futurs parents inquiets face à des projets idéologiques totalitaires.
En signant cette pétition, nous nous garantissons également d’être informés de toutes les actions organisées par les initiateurs de cette pétition en vue de protéger nos enfants.
Les noms des signataires ne seront pas transmis à l’Etat mais un huissier pourra constater l’authenticité de la quantité de signataires.
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Ou par chèque à l'adresse suivante :
Institut Civitas
17 rue des Chasseurs
95100 Argenteuil - France


Ci-dessous, l’essentiel de cette proposition de loi

Par MM. Hugues PORTELLI (UMP), Christian CAMBON (UMP), Jacques GAUTIER (UMP), Mmes Esther SITTLER (UMP), Hélène MASSON-MARET (UMP), M. Michel HOUEL (UMP), Mme Colette MÉLOT (UMP) et M. Louis PINTON (UMP),
Sénateurs

(Envoyée à la commission de la culture, de l’éducation et de la communication, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.)
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,

L’un des buts de la scolarisation de l’enfant est sa socialisation. Celle-ci nécessite une éducation qui ait une dimension collective, qui lui permette de découvrir la diversité des conditions et des cultures des enfants de son âge et de rendre son développement plus harmonieux.

Dans cet esprit, l’éducation à domicile par la famille ne peut être qu’une situation exceptionnelle, liée à l’état de santé ou à l’incapacité permanente ou temporaire de l’enfant.

Elle ne peut être le prétexte d’une désocialisation volontaire, destinée à soumettre l’enfant, particulièrement vulnérable, à un conditionnement psychique, idéologique ou religieux.

La présente proposition de loi, qui respecte l’esprit de la convention internationale relative aux droits de l’enfant, ratifiée par la France en 1990 (et notamment les articles 3, 13, 14 et 29 alinéas 1er a) et d) vise donc à redimensionner cette possibilité en la limitant aux cas d’incapacité et à la soumettre à un contrôle de professionnels agréés par l’Éducation Nationale sans faire pour autant disparaître l’enquête sociale de la commune.
PROPOSITION DE LOI

Article premier
L’article L. 131-1-1 du code de l’éducation est ainsi modifié :

1° Le second alinéa est complété par les mots : « publics et privés » ;
2° Il est complété par deux alinéas ainsi rédigés :
« À titre exceptionnel, l’instruction obligatoire peut être donnée dans les familles par les parents, ou l’un d’entre eux, ou toute personne de leur choix, lorsque l’enfant est dans l’impossibilité, pour des raisons liées à son incapacité physique ou mentale, de pouvoir suivre régulièrement une formation dans un établissement d’enseignement. Cette incapacité est constatée et attestée, dans chaque département, par un médecin agréé par le directeur académique des services de l’éducation nationale (DASEN). Celui-ci notifie à la famille l’autorisation d’éduquer l’enfant à leur domicile. Cette autorisation est accordée pour un an et doit être renouvelée, suivant la même procédure, chaque année jusqu’au terme de la scolarité de l’enfant. À cette occasion le directeur académique des services de l’éducation nationale fait vérifier que l’instruction dispensée est conforme au droit de l’enfant à l’instruction tel que défini au présent article.
« Le directeur académique des services de l’éducation nationale informe le maire de la commune de résidence de la famille de sa décision. »


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1. CIVITAS soutient Farida Belghoul et dénonce les mensonges de Vincent Peillon concernant la théorie du genre
Vincent Peillon est un fameux menteur !
Ce mardi 28 janvier, les médias s’empressent de relayer les déclarations de Vincent Peillon selon lesquelles la théorie du genre ne serait pas enseignée à l’école. Il s’agirait simplement d’une « éducation à l’égalité fille-garçon » prétend le ministre de l’Education nationale.
Pourquoi cette agitation ? Parce que, grâce notamment à Farida Belghoul, de nombreux parents ont été alarmés à propos de l’idéologie contre-nature et perverse qui s’enseigne dès l’école maternelle sous couvert d’égalité et de « lutte contre l’homophobie ».
Ce n’est pas la première fois que Vincent Peillon cherche à tromper les parents à ce sujet.
Le 29 mai 2013, sous le feu des critiques au cours d’un Talk Orange – Le Figaro, Vincent Peillon finit par lâcher : « Nous sommes pour l’égalité fille – garçon, pas pour la théorie du genre ». Ensuite, le 3 septembre 2013, sur France Inter, le même Peillon déclare tout simplement « la théorie du genre n’existe pas ». Même son de cloche de la part de Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement et ministre de l’Egalité : « La théorie du genre n’existe pas ! » ose-t-elle marteler devant les caméras. Moment de déni filmé et assumé le 9 juin 2013 sur le site de Najat Vallaud-Belkacem.
Or, ce sont précisément ces deux ministres qui sont en charge de mettre en place la théorie du genre dès l’école maternelle.
Depuis la rentrée scolaire de septembre 2013, dans le cadre des « ABCD de l’égalité », 500 écoles de dix académies servent déjà de lieux « d’expérimentation » d’une idéologie du genre qui s’adresse à plusieurs milliers d’élèves de la grande section  de maternelle au CM2, ainsi qu’à leurs professeurs. Selon les mots du ministre Najat Vallaud-Belkacem, l’objectif est de déconstruire les « stéréotypes de genre » et de forcer la nouvelle génération à s’interroger sur son « orientation sexuelle » ainsi que sur son « identité sexuelle ».
De son côté, le SNUipp-FSU, principal syndicat enseignant, a publié un dossier intitulé « Eduquer contre l’homophobie dès l’école primaire » préfacé par Michel Teychenné, chargé de mission de Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale. Ce dossier préconise aux enseignants en CE1 de consacrer chaque semaine un temps à un programme intitulé « Se construire comme fille ou garçon » tandis qu’en CM1 CM2 les enseignants organiseront une réflexion autour de : « tu te décides entre fille et garçon ».
Dans ce cadre, les lectures pédagogiques proposées s’intitulent notamment « J’ai deux papas qui s’aiment », « Papa porte une robe » ou encore « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille ».
CIVITAS soutient Mme Farida Belghoul dans sa démarche courageuse de résistance.
CIVITAS a lancé hier, 27 janvier, une pétition accessible ici, au sujet du totalitarisme qui se met en place en matière d’éducation et d’instruction.
CIVITAS organise également des conférences à travers toute la France pour dénoncer la théorie du genre (cf point 2)
Parents, grands-parents, futurs parents, refusons que nos enfants soient pervertis par des idéologues voulant imposer la théorie du genre.
Alain Escada,
président de Civitas et auteur du livre Théorie du genre - L'idéologie qui voulait détruire la Création et libérer toutes les perversions humaines (publié aux éditions Civitas)
2. Alain Escada poursuit sa tournée de conférences contre la théorie du genre
1er février à Besançon, 14 rue Lyautey , 20 heures 
8 février à Chartres, 11 bis rue des Jubelines, 20heures
28 février à Mulhouse, 195 rue de Bâle, 19 heures 30
1er mars à Colmar, 22 rue Ampère, 15 heures
15 mars à Noisy le Grand, 10 rue Jules Ferry, 20 heures
20 mars à Lyon, 56 Bd d'Inkermann, 6ème, 20 heures
28 mars à Villechauve (près de Vendôme) à "La Lune et les Feux", 11 rue Pasteur, 20 heures
Une offre promotionnelle est proposée. Son précédent ouvrage "Mariage homosexuel, homoparentalité, etc - Décryptage d'une révolution sexuelle" vendu à 12 euros et son nouvel ouvrage "Théorie du genre - L'idéologie qui voulait détruire la Création et libérer toutes les perversions humaines" vendu à 6 euros, sont proposés à la vente ensemble pour 15 euros, frais d'envoi compris.

30 janvier 2014

La polémique sur la Théorie du Genre révèle l'obscurantisme des cerveaux de gauche qui ne reconnaissent même plus leur propre sexe

Éditorial de lucienne magalie pons


Les polémiques se suivent et ne ressemblent pas depuis     quelques semaines, pourtant elles ont un point commun le "sexe", d'abord  d'abord le "sexe voyageur " dans la très piteuse  affaire tuyau de poêle  et vases communiquant  "H-G-T and co" sur fond de tromperie et de pétarade de scooter,  et maintenant  le sexe à double  identité, l'une biologique mise en doute ,et l'autre virtuelle ou fictive  proposée par les partisans de la "théorie du genre" et la avec la polémique de "la théorie du genre"qui vient de rebondir  dans les pages  politiques et médiatiques , pour prendre la relève

 Celà fait pas mal de temps que certains ministres et parlementaire de gauche s'interrogent sur le sexe de leur compatriotes et sur leur propre sexe, ces gens-là  voient dans  une  femmes  un  homme potentiel, et dans un    hommes  une femme potentielle et au nom de l'égalité ils veulent leur offrir le choix de se dire femme ou homme à volonté selon leur propre choix, en déniant leur sexe biologique qui d'après eux ne serait qu'une convention sociale dépassée par l'évolution de la société, ce qui est le plus gros mensonge de toute  éternité.

  En ce qui concerne leur propre sexe s'ils ont des doutes  sur leur propre sexe  il leur serait facile  en glissant  leur main entre leur cuisses  de  vérifier s'ils  ont un pénis et des testicules ou une vulve.

 Mais non ce serait trop simple, ils préfèrent  inventer des ruptures  d'égalité  entre les hommes et les femmes  pour faire leur propagande et imposer des lois qui vont à l'encontre du bon sens et de l'intelligence de la majorité de leurs concitoyens.

Pourtant rien de les empêche de vivre selon leur bon plaisir en homosexuels ou en hétérosexuels   mais non ce serait trop simple, il leur faut  convertir  les français en les provoquant  constamment  faute de pouvoir les endoctriner  d'abord avec" le mariage pour tous" qui n’intéresse  en fait que la petite minorité des lobbyes "lesbiens-gays-bisexuels-transexuels"-LGBT -, qui leur sont  proches et ont leur entrées dans toutes les institutions, en France mais encore au Parlement Européen,  alors que la très grande majorité des couples hommes-femmes ne les intéressent pas et que de plus ils accusent d'appartenir à l'extreme-droite ou encore à des  religions chrétiennes,  surtout catholiques traditionalistes   selon eux   liés aux mouvement d'extrême droite et d'ultra-droite.

Une accusation tout à fait mensongère.
 Certains politiques  caviardés  dans leurs   cervelles   de la "théorie du genre",   mais aussi  pour bon nombre d'entre eux, pratiquant  actif   ne s'en cachent pas ,  et  alors que personne ne les interroge  la-dessus,  ils n'ont de cesse que de  provoquer la société  en parlant  à la radio,   à la télévision et même à l'Assemblée de leur vie intime pour assurer la propagande.

Et ce qui est en cause actuellement,  au cœur de la polémique actuelle, leur dernière provocation, c'est à dire  l'enseignement de la théorie du genre dans les  écoles,  enseignement  qu'ils démentent, alors qu'il  existe bien   réellement et est dénoncé par des membres de l'enseignement aussi bien que par les parents, et mieux encore par des hommes politiques respectables. 

Je souscris pleinement à ce qu'en disent bon nombre de personnes intelligentes  comme par exemple Monsieur Patrik Ollier qui sait de quoi il parle lui  quand il parle d’anthropologie humaine.

L'entretien sur LCI porte sur tous les questions d'actualités, et aussi sur  celle  que nus évoquons dans notre préent éditorial.
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Questions d'info :  Bernard Accoyer, député UMP... par LCP


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suite de mon éditorial : 


Les politiques de gauche s'obstinent à  voulir nous faire prendre des vessies pour des lanternes et à voir dans les hommes et les femmes des sexes interchangeables à volonté selon leur  préférence séxuelle.

Comme si pour justifier une tendance sexuelle on serait obligé de se dire un homme quand on est une femme, ou de se dire une femme   quand on est un homme,  ce qui serait une drôle de conception de la liberté sexuelle.

Etant bien précisé que chacun a le droit de vivre sa préférence sexuelle  comme il entend,  sans avoir à s'en justifier vis-à-vis de la société en changeant de sexe virtuellement ou par traitement hormonal ou chirurgical, ou en changeant d'état civil,  cette théorie du genre  qu'il veulent enseigner  d'abord et en la légalisannt progressivement ensuite,  n'a aucune valeur morale ni aucun sens logique?  sinon qu'elle démontre une fragilité psychologique  des  théoriciens qui la soutiennent,  et que le mieux qu'une société responsable aurait à faire c'est de les envoyer se faire soigner chez des spécialistes, psychologues , psychiatres ou  sexologue selon de degré de psychose dont ils sont atteints,  étant bien précisé que chacun a le droit de vivre sa sexualité comme il entend sans avoir à s'en justifier.

Par contre très justement,   la droite et les gens qui ont les yeux bien  en face des trous  et la tête bien solide,  résistent  et voient bien très justement ,  dans une femme une femme, même si elle  est en pantalon et se fait appelle"Jules" au lieu Julie.,   et dans un homme un homme, même s'il se travestit en portant des robes à  volants  et se fait appeler "Francine" au lieu de "François" .

J'ai déjà édité plusieurs éditoriaux pour expliquer que la théorie du genre est un bourrage de crane et ce que sous-tend sa propagande,
 mais comme  ça  carbure de tous les cotés  et surtout à l'assemblée nationale ,  et que ça va  déclencher un "tsunami" politique et médiatique, je complète ci dessous  par  une revue de presse du jour

( pour mes éditoriaux puisque vous êtes sur le site vous les retrouverez facilement) :

REVUE de PRESSE :

    1. RFI ‎- il y a 12 heures
      Et l'UMP Patrick Ollier n'en démord pas : la théorie du genre est bien enseignée aujourd'hui en France. « Ces programmes, qu'on le veuille ou ...

  1. Théorie du genre : la polémique s'enflamme, Peillon veut convoquer ...

    www.lesechos.fr/.../0203277294846-polemique-sur-la-theorie-du-genre-...
    Il y a 4 jours - Une polémique sur la « théorie du genre » a provoqué un phénomène d'absentéisme dans une centaine d'écoles primaires - AFP.

  2. Polémique à l'école : pourquoi la "théorie du genre" n'existe pas ...

    www.metronews.fr/.../polemique...theorie-du-genre.../mnaC!ttkZZGdG7...
    Il y a 7 heures - D'où vient cette idée de "théorie du genre" qui suscite l'inquiétude de certains ... "La théorie du genre" est donc une expression polémique.

  3. VIDEO. Que révèle la polémique sur la "théorie du genre"? - L'édito ...

    videos.lexpress.fr/.../video-que-revele-la-polemique-sur-la-theor...
    Il y a 1 heure - Une folle rumeur s'est répandue ces derniers jours concernant la "théorie du genre". Il y a plusieurs leçons à tirer de cette affaire: la montée ...

  4. PureZapping : Pujadas en retard, polémique sur la théorie du genre ...

    www.ozap.com › Zapping
    Il y a 4 heures - PureZapping : Pujadas en retard, polémique sur la théorie du genre et une vraie princesse sur W9. Le zapping télé du jeudi 30 janvier 2014.

  5. Revue de presse : Partie des réseaux sociaux, la polémique sur "la ...

    regions.france3.fr/.../revue-de-presse-partie-des-reseaux-sociaux-la-pole...
    Il y a 7 heures - A la une de vous journaux : la polémique autour de l'enseignement supposé de la « théorie du genre » à l'école et le boycott des parents, ...

  6. Polémique sur la théorie du genre à l'école, Vincent Peillon dément ...

    www.femmeactuelle.fr › ActuNews actu
    Il y a 22 heures - Cours d'éducation sexuelle dès le primaire, remise en cause de la différence des sexes, voire démonstration de masturbation devant les ...

  7. La «théorie du genre» enseignée au lycée fait polémique - 20 Minutes

    www.20minutes.fr › Société
    31 août 2011 - ÉDUCATION - Selon ses opposants, parmi lesquels 80 députés UMP, cette «théorie philosophique et sociologique qui n'est pas scientifique» ...

  8. Théorie du genre : nos réponses aux rumeurs - Europe1.fr - Société

    www.europe1.fr › InfosSociété
    Il y a 7 heures - En deux jours, la polémique autour de l'hypothétique arrivée de l'enseignement de la “théorie du genre” à l'école a généré des rumeurs en ...

  9. École - Théorie du genre : la folle rumeur qui inquiète les parents ...

    www.lepoint.fr › Société
    Il y a 2 jours - École - Théorie du genre : la folle rumeur qui inquiète les parents ... les sexes dès le plus jeune âge, a contribué à alimenter la polémique.

Conseil des Ministres du 29 janvier 2014

Éditorial de lucienne magalie pons




Décryptage du Point de Presse :

La Porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, est revenue sur les différents points à l’ordre du jour en Conseil des ministres en s'y attardant de telle sorte que le temps imparti dans le point de presse pour les questions des journalistes  a été compressé et seuls quelques   journalistes ont pu poser leur question.

Les réponses de la porte-parole n'ont rien apporté de nouveau, tout est dans le futur,  elle est habile à répondre pour répéter avec des mots nouveaux  ce que nous savons déjà notamment sur le Pacte de Responsabilité, , le gaz de schiste,  le transfert énergétique et pour cause rien n'avance, le gouvernement est bloqué dans l' attente  de  résultats et n'a plus rien a dire qu'à espérer dans le Pacte de Responsabilité, ce   nouveau ballon communicatif à la mode qui passe dans tous les discours comme un dirigeable publicitaire qui se dirige  en  aveugle dans un ciel  transparent à tel point qu'on n'y voit rien que du bleu.

Par contre l'impertinente porte-parole du Gouvernement s'est attaqué à Jean-François Copé alors qu'un journaliste lui posait une question sur Michel Sapin,  en taxant Jean-François Copé  dans ses propos "d'irresponsabilité " en l'appelant à la mesure et à la raison ! Elle avait déjà taxé les propos de Jean-François Copé dans son point de presse de  la semaine dernière entre autres gracieusetés "d'insignifiants donc pas significatifs" et de plus elle n'arrête pas de l'attaquer par ailleurs dans  des émissions télé, à tel point que l'ont finira par comprendre qu'il est devenu l cible sur laquelle elle s'acharne à tirer, ce qui au fond prouve au contraire de ce qu'elle avance que les propos de Jean-François Copé loin d'être insignifiants atteignent le gouvernement   très signicativement, là où ça les blsse le plus.
 ..
 

Pour le reste quand une question l'embarrasse elle s'en tire en disant ...... " oui j'ai lu ces rumeurs folles, et  elle  dément en quelques explications et  termine sa phrase par  le mot "point" , d'une manière expéditive.

Cependant pour une question  "sur la formation des journaliste", qu'elle avait pressentie, elle  tenait  en réserve une réponse très développée qu'elle avait du  faire potasser sérieusement à l'avance, et à sa façon, et quand un journaliste  lui  a posé la question elle n'a pas semblée être prise au dépouvu et en a profité pour implcitement  glisser une sorte de propagande   de la "théorie du genre"..

Question du journaliste : "Dans le projet de loi pour l'égalité hommes-femmes, il y a un article qui fait obligation aux Écoles de  journalismes , d' enseigner .. je vais dire le texte exact .."de prodiguer un enseignement sur l'égalité entre les femmes et les hommes", ma question est tout simple, est-ce que c'est à l’État de dire aux Ecoles de journalisme ce qu'elles doivent apprendre aux étudiants ? .;;

Réponse de  Najat Vallaud-Belkacem, :  " J'ai vu à quel point cette disposition  a fait couler de l'encre,  alors que les choses sont claires sur la façon  dont elle est arrivée dans le texte . 
"Vous savez ce que c'est un processus parlementaire, y compris lorsque le texte vient du gouvernement, lorsque c'est un projet de loi il est discuté, amendé enrichi en commission des lois, au Parlement et en séances, et ensuite on obtient le texte final, que vous connaissez, donc cette disposition  relative à la formation des journalistes, elle a été introduite non pas par le Gouvernement, mais en commission des lois, entre les parlementaires qui se sont entendus pour l'adopter, et elle n'a pas fait ensuite  en séance publique d'un nouveau débat, elle n'a pas été discutée, donc elle a été introduite
"Dans ces conditions l'intention derrière vous  comprenez .. hein ..  c'est  de dire qu'au fond les journaliste ont un impact majeur par leur profession sur la reconduction systématique, ou exagérée, des stéréotypes,  et que si on veut lutter contre les stéréotypes qui enferment les sexes dans un rôle bien défini et bien inégalitaire, eh ben il faut aussi former simplement les journalistes à percevoir ces stéréotypes que inconsciemment il s'apprêtent à reconduire, de la même façon que l'on forme  par exemple les enseignants aujourd'hui à percevoir ces stéréotypes  qu'inconsciemment ils reproduisent dans leur classe en ne traitant pas pareillement les filles et les garçons, doc c'est tout à fait dans la même logique, donc l'intention est louable.

 "Maintenant j'ai des interrogations d'ordre juridique,  sur le .. franchement... le vecteur législatif, je ne suis pas sure qu'il appartienne à la loi en effet de dire ce que doivent comporter les formations des journalistes, donc ne vous inquiétez pas, il y a une seconde lecture autour de ce texte, et nous allons expertiser la disposition et y revenir au Sénat, voilà c'est un texte juridique parfait qui ressortira de la 2me lecture , d'ici le mois d'Avril, puisque cette deuxième lecture  devrait être au mois d'avril."

En s'exprimant de la sorte,  la porte parole a elle  même enfermé subconsciemment avec perfidie,   les journalistes  dans un stéréotype sorti tout droit de son imaginaire, comment peut-elle dire  : ....." eh ben.. il faut aussi former simplement les journalistes à percevoir ces stéréotypes que inconsciemment ils s'apprêtent à reconduire "..

Non seulement elle les taxe d'inconscience mais encore elle a la prétention d'affirmer implicitement  qu'ils ne sont pas capables  de percevoir "les stéréotypes que inconsciemment ils s'apprêtent à reconduire" !

  Évidemment les journalistes qui ne pas idiots ont du comprendre , mais pas une seule ou un seul  n'a bronché, ce n'était pas le lieu, mais certainement certains ne  vont ne pas manquer de réagir dans leurs  prochains articles  !


Le seul moment où Najat Vallaud Belkacem est retombée  dans la réalité  c'est quand elle a dit    : ..." je ne suis pas sure qu'il appartienne à la loi en effet de dire ce que doivent comporter les formations des journalistes, donc ne vous inquiétez pas, il y a une seconde lecture autour de ce texte, et nous allons expertiser la disposition et y revenir au Sénat ........."

Et au fond c'est tout ce qu'elle aurait du répondre à la question du journaliste, tout le reste n'était que propagande.


oo0oo

NOUS PUBLIERONS PROCHAINEMENT LA VIDEO DU POINT DE PRESSE?  POUR LE MOMENT ELLE SEMBLE PROTÉGÉE de toute connexion extérieure

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Publié le 29 Janvier 2014
Le ministre de l’économie et des finances a présenté une ordonnance allégeant les obligations comptables des micro-entreprises et des petites entreprises. Ce texte simplifiera la vie de plus d’un million d’entreprises, dont 97% des sociétés commerciales, et représentera pour elles environ 110 millions d’euros d’économies par an.
Rubrique : Nation, institutions et réforme de l'État