Éditorial de lucienne magalie pons
Le Mercredi 25 Janvier Marine Le Pen était sur France Inter
Encore une fois cette candidate à l’Élection Présidentielle a du faire face à l'animosité aux questions insidieuses du présentateur de l'émission, Patrick Cohen, qui a avancé plusieurs fausses informations tant sur les collaborateurs de la Présidente du Front National que sur ses opinions politiques au sujet de la Syrie.
Marine le Pen comme à son habitude ne s'est pas laissée mener en bateau et a remis les pendules à l'heure.
Nous dénonçons ici comme nous l'avons déjà fait les débordement, les dérapages , les mensonges et tentatives de désinformations que les intervieweuses et intervieweurs s'octroient sur les chaines en général pour tenter de déstabiliser avec une mauvaise foi assumée les candidats à la Présidentielle qui se présentent contre le "candidat non déclaré" soutenu par l'UMP, ce faisant ils manque de respect à leurs invités, aux téléspectateurs et tout aussi grave ils déshonorent leur profession.
Patrick Cohen est coutumier du fait (il n'est pas le seul) et c'est périodiquement qu'il provoque ses invités avec une attitude et une insistance malsaine, il fait partie de cette communauté de personnages microphages et haineux qui, en dehors des studios ne sont que les petites pointures de leur milieu parisien nombriliste et réducteur.
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Marine Le Pen par franceinter
28 janvier 2012
Côte d'Ivoire : 27 janvier 2012 - dernier jour de la Visite d'Etat du Président Alassane Ouattara en France -
Éditorial de lucienne magalie pons
(Suite de notre Editorial du 26 Janvier)
Au troisième et dernier jour de sa visite d’Etat en France, le Président de la Côte d’Ivoire, Alassane OUATTARA, accompagné d'une délégation de ministres et d'une vingtaine de dirigeants du secteur économique, a rencontré très tôt dans la matinée du Vendredi 27 Janvier le Mouvement des Entreprises de France (MEDEF).
Avec les chefs d’entreprises Françaises, le Président Ivoirien a parlé économie, finance et investissement en Côte d’Ivoire.
Alassane Ouattara a notamment indiqué que le gouvernement ivoirien est décidé à mettre en œuvre toutes les reformes qui permettront au pays de reprendre son développement.
A cet égard, il a annoncé la liquidation ou la privatisation de nombreuses banques publiques.
Par ailleurs, le Président Ivoirien s’est montré optimiste quant au retour rapide de la Côte d’Ivoire dans le concert des nations développées en invitant les entreprises françaises à accélérer leur retour et à prendre leur part dans la renaissance ivoirienne.
Au siège du Patronat français, devant plusieurs centaines de dirigeants français et ivoiriens le Président Alassane Ouattara a lancé un appel aux entreprises françaises pour qu'elles s'associent à la "renaissance ivoirienne" et "accélèrent leur retour" en Côte d'Ivoire
Déplorant le départ des PME françaises qui « a porté un sérieux coup à l'économie ivoirienne », il a plaidé pour leur retour.
"Sans sécurité, sans stabilité, sans paix, la croissance ne peut être forte et durable. Je peux vous affirmer que la paix est revenue en Côte d'Ivoire", a déclaré notamment Monsieur Alassane …………"Je vous invite à vous associer à la renaissance ivoirienne et à reprendre vos investissements et je vous exhorte, Mesdames et Messieurs les chefs d'entreprises françaises, à accélérer votre retour en Côte d'Ivoire"
"La Côte d'Ivoire est une terre d'opportunités, elle a besoin de vos talents, de votre savoir-faire. Je vous donne l'assurance que le processus démocratique en Côte d'Ivoire est irréversible", a assuré le président ivoirien
Le Président Alassane Ouattara a parlé de la Côte d’Ivoire comme d’un pays « qui s'est remis au travail » et où « la paix est revenue », il a assuré vouloir faire de la Côte d'Ivoire un pays émergent à l'horizon 2020. « Nous ne sommes pas la Chine, mais on s'en approche », a-t-il dit, en soulignant les 8 à 9 % de croissance auquel il s'attend pour 2012
Alamane Ouattara espère qu’un feu vert du FMI et de la Banque mondiale pour emprunter de nouveau auprès des bailleurs, interviendra au « deuxième trimestre de cette année ».Il permettrait notamment à la France de déclencher son programme de désendettement-développement, à savoir 1 milliard d'euros d'annulation sèche de la dette et 2 milliards d'euros de conversion de la dette en projets de développement.
Le Secrétaire d’Etat français au Commerce extérieur, Pierre Lellouche, a déclaré : « Nous serons à vos côtés », « la France prendra toute sa part », en citant notamment le projet de tramway d'Abidjan, Pierre Lellouche a indiqué avoir « demandé à Alstom et à Systra de travailler à une offre compétitive ».Pierre Lellouche a aussi précisé vouloir « avancer en filières » -une stratégie que la France est en train de tester en Libye. L'Agence française de développement (AFD) doit se mobiliser sur l'agriculture, a-t-il ajouté.
Un secteur que la Côte d'Ivoire entend développer notamment en devenant auto-suffisante pour la production de riz.
Le Vice Président du Medef International, Michel Roussin, a promis : « Nous allons repartir, nous sommes disponibles pour repartir avec vous », en appelant les entreprises françaises à « ne plus être frileuses (ni) inquiètes » et à accepter « le risque qui est maintenant maîtrisé ».
Un enthousiasme qui d’après les entreprises françaises présentes sur place, demeure réservé, Le groupe IPS West Africa évoque un passif de 4 milliards de francs CFA (6 millions d'euros) pour Azito Energie, et 10 milliards de créances de TVA sur l'export (15 millions d'euros). Le vice-président de Biopost Cofuna spécialisé dans la fabrication d'engrais, Bruno-Emmanuel Moreau, déplore des « réglementations anciennes » qu'il faut faire évoluer.
Le Président Alassane Ouattara a « donné des assurances » pour faire évoluer les réglementations …« nous ferons pour le mieux ».
Sur les arriérés de paiement, il s'est montré plus prudent. « J'ai demandé au ministre des Finances de réaliser un audit pour éviter d'avoir à payer des fausses factures ou des surfacturations, car les entreprises ont tendance à surfacturer. Lorsque j'ai audité dans le passé, je me suis aperçu que les arriérés réels n'étaient parfois que le quart des arriérés réclamés. »
Rappelons que, hors pétrole, la France est le premier partenaire économique de la Côte d'Ivoire, première puissance économique d'Afrique de l'Ouest francophone.
Après le MEDEF, le Président de la République s’est rendu à l’Hôtel Lassay, à l’Assemblée Nationale Française, où il s’est entretenu pendant une heure environ avec Monsieur Bernard Accoyer, Président de l’Assemblée Nationale Française.
Alassane Ouattara s’est rendu ensuite à l’Hôtel de Ville de Paris, où il a été reçu avec Madame Ouattara et la délégation Ivoirienne par le Maire de Paris , Bertrand Delanoë.
A cette occasion, le Maire de Paris a exprimé tout l’honneur de sa ville de recevoir le Président de la République, en soulignant que cette visite était porteuse d’un message d’amitié entre la Côte d’Ivoire et la France.
Face à cette marque d’honneur et d’amitié, le Chef de l’Etat Ivoirien a confié que sa présence à Paris témoigne de la qualité des relations historiques et d’amitié entre Abidjan et Paris et entre la Côte d’Ivoire et la France.
Le Président Ivoirien a ajouté que la Côte d’Ivoire veut, à travers cette visite, asseoir les bases d’une bonne coopération entre les collectivités ivoiriennes et françaises.
En fin, troisième étape de cette dernière journée de la visite d’Etat du Président Alassane Ouattara , l’Hôtel de Matignon où il était invité par le Premier ministre François Fillon a pour un entretien et un déjeuner avec son épouse Madame Dominique Ouattara et la délégation Ivoirienne qui les accompagnait
Le Premier ministre français, qui s’était rendu à Abidjan les 14 et 15 juillet derniers, a assuré le président Ouattara de son estime et son admiration pour son parcours. .
Le Premier ministre a aussi confirmé au Président ivoirien le plein appui de la France face aux nombreux défis que la Côte d’Ivoire doit relever, notamment ceux de la reconstruction, de la réconciliation et de la réforme du secteur de la sécurité.
François Fillon et Alassane Ouattara ont aussi abordé la question de la préparation du Contrat de Désendettement et Développement, d’un montant de 2 milliards d’euros annoncé l’an dernier par la France, et qui permettra notamment de lutter contre la pauvreté, de renforcer l’État de droit et de contribuer à la formation des jeunes Ivoiriens.
La question du redémarrage économique de la Côte d’Ivoire a également été évoquée alors que le président Ouattara veut faire rapidement de son pays un pays émergent.
François Fillon a confirmé la totale disponibilité des entreprises françaises à investir davantage en Côte d’Ivoire, notamment dans les domaines de l’énergie, des transports ou de la construction.
En fin d’après-midi, le Président de la République Ivoirienne s’est rendu à l’Ambassade de Côte d’Ivoire en France, pour une cérémonie de remise de décorations à des personnalités ivoiriennes et amies de la Côte d’Ivoire.
Après cette cérémonie, le Chef de l’Etat, s’est rendu à l’aéroport d’Orly, d’où il a décollé à 23 heures pour Addis-Abeba, à bord de ‘’Ivoire 01’’, l’avion présidentiel.
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Diner à l’Élysée le 26 Janvier 2012
Madame Carla Bruni-Sarkozy
Le Président Alassane Ouattara
Madame Dominique Ouattara, épouse du Président Ivoirien
Le Président Nicolas Sarkozy
27 janvier 2012 : Réception du Président Ivoirien à l'Hôtel de Ville de Paris -
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REVUE DE PRESSE - Source Site Internet "abidjan.net" :
Hôtel de ville de Paris : L’allocution de SEM Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d`Ivoire - Présidence - 28/1/2012
Diner d’Etat offert par SEM Nicolas Sarkozy : L’Allocution de SEM Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d’Ivoire - Présidence - 28/1/2012
Le Chef de l’Etat, S.E.M. Alassane Ouattara a rencontré le Président Nicolas Sarkozy • Signature d’un nouvel accord de défense entre les deux pays • Dîner d’Etat, en présence des deux Premières Dames, à l’Elysée - Présidence - 27/1/2012
Palais de l’Elysée: Carla Bruni Sarkozy a échangé avec Dominique Ouattara - Présidence - 27/1/2012
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(Suite de notre Editorial du 26 Janvier)
Au troisième et dernier jour de sa visite d’Etat en France, le Président de la Côte d’Ivoire, Alassane OUATTARA, accompagné d'une délégation de ministres et d'une vingtaine de dirigeants du secteur économique, a rencontré très tôt dans la matinée du Vendredi 27 Janvier le Mouvement des Entreprises de France (MEDEF).
Avec les chefs d’entreprises Françaises, le Président Ivoirien a parlé économie, finance et investissement en Côte d’Ivoire.
Alassane Ouattara a notamment indiqué que le gouvernement ivoirien est décidé à mettre en œuvre toutes les reformes qui permettront au pays de reprendre son développement.
A cet égard, il a annoncé la liquidation ou la privatisation de nombreuses banques publiques.
Par ailleurs, le Président Ivoirien s’est montré optimiste quant au retour rapide de la Côte d’Ivoire dans le concert des nations développées en invitant les entreprises françaises à accélérer leur retour et à prendre leur part dans la renaissance ivoirienne.
Au siège du Patronat français, devant plusieurs centaines de dirigeants français et ivoiriens le Président Alassane Ouattara a lancé un appel aux entreprises françaises pour qu'elles s'associent à la "renaissance ivoirienne" et "accélèrent leur retour" en Côte d'Ivoire
Déplorant le départ des PME françaises qui « a porté un sérieux coup à l'économie ivoirienne », il a plaidé pour leur retour.
"Sans sécurité, sans stabilité, sans paix, la croissance ne peut être forte et durable. Je peux vous affirmer que la paix est revenue en Côte d'Ivoire", a déclaré notamment Monsieur Alassane …………"Je vous invite à vous associer à la renaissance ivoirienne et à reprendre vos investissements et je vous exhorte, Mesdames et Messieurs les chefs d'entreprises françaises, à accélérer votre retour en Côte d'Ivoire"
"La Côte d'Ivoire est une terre d'opportunités, elle a besoin de vos talents, de votre savoir-faire. Je vous donne l'assurance que le processus démocratique en Côte d'Ivoire est irréversible", a assuré le président ivoirien
Le Président Alassane Ouattara a parlé de la Côte d’Ivoire comme d’un pays « qui s'est remis au travail » et où « la paix est revenue », il a assuré vouloir faire de la Côte d'Ivoire un pays émergent à l'horizon 2020. « Nous ne sommes pas la Chine, mais on s'en approche », a-t-il dit, en soulignant les 8 à 9 % de croissance auquel il s'attend pour 2012
Alamane Ouattara espère qu’un feu vert du FMI et de la Banque mondiale pour emprunter de nouveau auprès des bailleurs, interviendra au « deuxième trimestre de cette année ».Il permettrait notamment à la France de déclencher son programme de désendettement-développement, à savoir 1 milliard d'euros d'annulation sèche de la dette et 2 milliards d'euros de conversion de la dette en projets de développement.
Le Secrétaire d’Etat français au Commerce extérieur, Pierre Lellouche, a déclaré : « Nous serons à vos côtés », « la France prendra toute sa part », en citant notamment le projet de tramway d'Abidjan, Pierre Lellouche a indiqué avoir « demandé à Alstom et à Systra de travailler à une offre compétitive ».Pierre Lellouche a aussi précisé vouloir « avancer en filières » -une stratégie que la France est en train de tester en Libye. L'Agence française de développement (AFD) doit se mobiliser sur l'agriculture, a-t-il ajouté.
Un secteur que la Côte d'Ivoire entend développer notamment en devenant auto-suffisante pour la production de riz.
Le Vice Président du Medef International, Michel Roussin, a promis : « Nous allons repartir, nous sommes disponibles pour repartir avec vous », en appelant les entreprises françaises à « ne plus être frileuses (ni) inquiètes » et à accepter « le risque qui est maintenant maîtrisé ».
Un enthousiasme qui d’après les entreprises françaises présentes sur place, demeure réservé, Le groupe IPS West Africa évoque un passif de 4 milliards de francs CFA (6 millions d'euros) pour Azito Energie, et 10 milliards de créances de TVA sur l'export (15 millions d'euros). Le vice-président de Biopost Cofuna spécialisé dans la fabrication d'engrais, Bruno-Emmanuel Moreau, déplore des « réglementations anciennes » qu'il faut faire évoluer.
Le Président Alassane Ouattara a « donné des assurances » pour faire évoluer les réglementations …« nous ferons pour le mieux ».
Sur les arriérés de paiement, il s'est montré plus prudent. « J'ai demandé au ministre des Finances de réaliser un audit pour éviter d'avoir à payer des fausses factures ou des surfacturations, car les entreprises ont tendance à surfacturer. Lorsque j'ai audité dans le passé, je me suis aperçu que les arriérés réels n'étaient parfois que le quart des arriérés réclamés. »
Rappelons que, hors pétrole, la France est le premier partenaire économique de la Côte d'Ivoire, première puissance économique d'Afrique de l'Ouest francophone.
Après le MEDEF, le Président de la République s’est rendu à l’Hôtel Lassay, à l’Assemblée Nationale Française, où il s’est entretenu pendant une heure environ avec Monsieur Bernard Accoyer, Président de l’Assemblée Nationale Française.
Alassane Ouattara s’est rendu ensuite à l’Hôtel de Ville de Paris, où il a été reçu avec Madame Ouattara et la délégation Ivoirienne par le Maire de Paris , Bertrand Delanoë.
A cette occasion, le Maire de Paris a exprimé tout l’honneur de sa ville de recevoir le Président de la République, en soulignant que cette visite était porteuse d’un message d’amitié entre la Côte d’Ivoire et la France.
Face à cette marque d’honneur et d’amitié, le Chef de l’Etat Ivoirien a confié que sa présence à Paris témoigne de la qualité des relations historiques et d’amitié entre Abidjan et Paris et entre la Côte d’Ivoire et la France.
Le Président Ivoirien a ajouté que la Côte d’Ivoire veut, à travers cette visite, asseoir les bases d’une bonne coopération entre les collectivités ivoiriennes et françaises.
En fin, troisième étape de cette dernière journée de la visite d’Etat du Président Alassane Ouattara , l’Hôtel de Matignon où il était invité par le Premier ministre François Fillon a pour un entretien et un déjeuner avec son épouse Madame Dominique Ouattara et la délégation Ivoirienne qui les accompagnait
Le Premier ministre français, qui s’était rendu à Abidjan les 14 et 15 juillet derniers, a assuré le président Ouattara de son estime et son admiration pour son parcours. .
Le Premier ministre a aussi confirmé au Président ivoirien le plein appui de la France face aux nombreux défis que la Côte d’Ivoire doit relever, notamment ceux de la reconstruction, de la réconciliation et de la réforme du secteur de la sécurité.
François Fillon et Alassane Ouattara ont aussi abordé la question de la préparation du Contrat de Désendettement et Développement, d’un montant de 2 milliards d’euros annoncé l’an dernier par la France, et qui permettra notamment de lutter contre la pauvreté, de renforcer l’État de droit et de contribuer à la formation des jeunes Ivoiriens.
La question du redémarrage économique de la Côte d’Ivoire a également été évoquée alors que le président Ouattara veut faire rapidement de son pays un pays émergent.
François Fillon a confirmé la totale disponibilité des entreprises françaises à investir davantage en Côte d’Ivoire, notamment dans les domaines de l’énergie, des transports ou de la construction.
En fin d’après-midi, le Président de la République Ivoirienne s’est rendu à l’Ambassade de Côte d’Ivoire en France, pour une cérémonie de remise de décorations à des personnalités ivoiriennes et amies de la Côte d’Ivoire.
Après cette cérémonie, le Chef de l’Etat, s’est rendu à l’aéroport d’Orly, d’où il a décollé à 23 heures pour Addis-Abeba, à bord de ‘’Ivoire 01’’, l’avion présidentiel.
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Diner à l’Élysée le 26 Janvier 2012
Madame Carla Bruni-Sarkozy
Le Président Alassane Ouattara
Madame Dominique Ouattara, épouse du Président Ivoirien
Le Président Nicolas Sarkozy
27 janvier 2012 : Réception du Président Ivoirien à l'Hôtel de Ville de Paris -
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REVUE DE PRESSE - Source Site Internet "abidjan.net" :
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Afghanistan - retrait des troupes anticipé,achevé dès la fin de l'année 2013
Éditorial de lucienne magalie pons
vendredi 27 janvier 2012
Le président de la République a reçu, au Palais de l'Elysée, M. Hamid KARZAI, Président de l'Afghanistan pour un entretien consacré à la situation en Afghanistan et à l'engagement français dans ce pays. A l'issue de leur entretien, les deux chefs d'Etat ont signé un traité d'amitié et de coopération et ont fait une déclaration conjointe.
Le Président Nicolas Sarkozy a annoncé que le rapatriement des troupes françaises combattantes déployées en Afghanistan sera achevé dès la fin de 2013, soit une année plus tôt que le terme de fin 2014 jusque-là retenu par l'Otan
Le chef de l'Etat a également indiqué que la France allait transférer à l'armée afghane la responsabilité de la sécurité dans la province de la Kapisa, au nord-est de la capitale, Kaboul, «à partir de mars 2012».
«La poursuite de la transition et ce transfert graduel des responsabilités de combat permettront de planifier le retour de la totalité de nos forces combattantes dès la fin de l'année 2013 »
Le nouveau calendrier du retrait des quelques 3 600 soldats français présents sur le sol afghan prévoit que 1 000 soldats rentreront en France pendant l'année 2012, contre 600 dans le projet précédent, selon ce qui a été indiqué par le chef de l'Etat lors d'un point de presse avec le président Afghan Hamid Karzaï.
Le Président Français a aussi précisé que la France allait «demander à l'Otan une réflexion sur une totale prise en charge des missions de combat de l'Otan par l'armée afghane au cours de l'année 2013».
Le chef de l'Etat a indiqué que l'armée française continuerait, au-delà de 2013, des missions de formation de l'armée afghane avec un effectif «résiduel» par rapport à celui déployé actuellement. «Il sera à tout le moins de l'ordre de quelques petites centaines» d'hommes, a-t-il précisé .
Nicolas Sarkozy a aussi indiqué que les missions de formation de l'armée afghane menées par l'armée française, qui avaient été suspendues après la mort de 4 militaires français tués il y a une semaine, reprendraient «dès demain» samedi.
La visite officielle en France du président afghan, Hamid Karzaï ne devait durer qu’un après-midi. Le temps de rencontrer le Président Nicolas Sarkozy, le Premier Ministre François Fillon, le Président de l’Assemblée Nationale Bernard Accoyer.
Le Président Karzaï ravivera la flamme du soldat inconnu avant de terminer sa visite officielle en France..
Résumé : Rappel des jours précédents jusqu’au 27 Janvier
Vendredi 20 Janvier :
- Quatre soldats français avaient été tués par un militaire afghan le Vendredi 20 Janvier. Dans les heures qui ont suivies le Président Sarkozy avait envisagé d'anticiper le retrait de l'armée française :
………."Je ne peux pas accepter que des soldats afghans tirent sur des soldats français", avait déclaré. Nicolas Sarkozy vendredi 20 Janvier, en indiquant qu’il évoquerait évoquer la question du retrait anticipé lors de la visite du président afghan Hamid Karzaï en France le Vendredi 27 Janvier, et que ce n’était qu’a l’issue de cette visite que la France ferait connaître sa décision sur une éventuelle accélération du calendrier de retrait.
- Monsieur Juppé avait informé Mme Clinton des décisions prises par le président de la République le 20 janvier: suspension des opérations de formation et d'appui à l'armée nationale afghane, envoi du ministre de la Défense et du chef d'état-major des Armées en Afghanistan», écrivait le Quai d'Orsay dans un communiqué. «Au vu de leur rapport, le président de la République tirera toutes les conséquences de l'attentat perpétré contre nos forces par un membre de l'armée nationale afghane».
-
Le même jour, un communiqué du département d'Etat américain, suggérait que Paris ne procéderait pas à un retrait anticipé de ses 3600 militaires, et alors que les Etats-Unis se montraient circonspects suite à la déclaration de Nicolas Sarkozy, le Quai d’Orsay dans un premier temps avait rappelé qu’il reviendrait au chef de l'Etat de «tirer les conséquences», mais le même jour, sans attendre le déroulement du voyage de notre Ministre de la Défense et les conclusions qu’il devait en tirer pour les soumettre à la décision du Président Français, Hillary Clinton s'opposait formellement à un tel retrait non concerté, d’après elle.
Samedi 21 Janvier :
-Sur le terrain, Gérard Longuet le Ministre de la Défense était chargé d'évaluer la dangerosité de la mission de formation des soldats afghans par les militaires français. Arrivé samedi en Afghanistan, le ministre de la Défense devait ‘entretenir le dimanche avec le président afghan Hamid Karzaï et les ministres afghans de la Défense et de l'Intérieur, et également discuter avec le général John Allen, commandant de l'Isaf, et le général Olivier de Bavinchove, chef d'état-major de l'Isaf. A son retour, Gérard Longuet devait rendu compte au président Sarkozy des mesures que les autorités afghanes s'engageraient t à prendre pour assurer la sécurité du contingent français.
- Les médias le samedi 21 rapportaient d’après un communiqué du Département d’Etat américain : « La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton et son homologue français Alain Juppé sont tombés d'accord samedi soir 21 janvier pour "travailler ensemble" afin d'assurer la poursuite de la mission internationale en Afghanistan. ……Les deux ministres "sont tombés d'accord pour que les Etats-Unis et la France travaillent avec les partenaires de l'Isaf (la mission de l'Otan) et le gouvernement afghan afin d'assurer la solidité et l'efficacité continues de la mission", selon le communiqué.
Mardi 24 Janvier :
Alain Juppé déclarait devant l’Assemblée Nationale en parlant de notre présence en Afghanistan « …….Voilà ce que nous faisons là-bas, avec des objectifs très clairs : défendre nos intérêts – c’est la lutte contre le terrorisme – et défendre nos valeurs, c’est-à-dire aider le peuple afghan à affirmer sa liberté et à conquérir la démocratie …….,
Nous avons déjà beaucoup fait en ce sens, et ce sera l’objet du traité d’amitié et de coopération que le Président de la République signera vendredi avec le président Karzaï, avait aussi annoncé Alain Juppé, et toujours devant l’Assemblée Nationale il excluait tout retrait anticipé ou immédiat de nos effectifs en 2012, ….., en expliquant : ………… Quand j’entends parler de retrait immédiat ou à la fin de 2012, je ne suis pas sûr que cela ait été mûrement réfléchi et étudié. Il y a d’abord des conditions militaires à respecter, pour la sécurité même de nos soldats. C’est la ligne que la France s’est fixée ; c’est notre honneur et notre responsabilité !
"Notre mission n'est pas terminée", confirmait aussi le Premier ministre, François Fillon, devant les députés à l’Assemblée Nationale.
Rappelons que la France compte actuellement 3.800 militaires en Afghanistan, et leur retrait est pour l'instant prévu pour s'étaler jusqu'en 2014. Depuis 2001, 82 soldats ont été tués dans le pays, dont 26 pour la seule année 2011
Mais le gouvernement français déclarait mardi que Paris attendrait la visite du président Hamid Karzaï vendredi à Paris pour signer un traité de coopération, avant de décider s'il accélèrerait le retrait des troupes françaises d'Afghanistan.
Mercredi 25 janvier :
- Le chef de l'Etat réaffirmait la présence de l'armée française en Afghanistan. "Nous ne nous laisserons pas impressionner par cette barbarie et cet obscurantisme d'un autre âge qui, bien au contraire, nous renforcent dans notre détermination à œuvrer pour la paix en Afghanistan", avait-il déclaré.
Monsieur Sarkozy devait s'entretenir à ce sujet avec le président afghan Hamid Karzaï, vendredi 27 janvier, à l'Elysée, rappelaient les médias.
Jeudi 26 Janvier :
- Le secrétaire général de l'Otan avait appelé la France jeudi 24 à poursuivre ses opérations de formation et d'aide au combat en Afghanistan jusqu'à la date de retrait prévue, malgré le meurtre de quatre de ses soldats par un soldat afghan.
"Pour ce qui est de la contribution française à nos opérations en Afghanistan, laissez-moi insister sur le fait que nous étions tous d'accord au sommet de Lisbonne sur un processus de transfert des responsabilités de sécurité aux forces afghanes selon un calendrier bien défini", a déclaré Anders Fogh Rasmussen lors d'une conférence de presse organisée dans les locaux de l'Otan.
"Nous avons exposé les grandes lignes d'un plan d'action et il est important pour le succès de nos opérations de maintenir notre engagement envers ce plan", a t-il déclaré, faisant référence à la décision prise au dernier sommet de l'Otan, qui s'est tenu en 2010 dans la capitale portugaise.
Vendredi 27 Janvier :
- Finalement le Président Français après concertation avec toutes les parties concernées (Otan , Etats-Unis ) et à l’issue de son entretien avec le Président Afghan Hamid Karzaï a annoncé que le rapatriement des troupes françaises combattantes déployées en Afghanistan sera achevé dès la fin de 2013, soit une année plus tôt que le terme de fin 2014 jusque-là retenu par l'0tan.
Rappelons que la France compte actuellement 3.800 militaires en Afghanistan Depuis 2001, 82 soldats ont été tués dans le pays, dont 26 pour la seule année 2011;
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vendredi 27 janvier 2012
Le président de la République a reçu, au Palais de l'Elysée, M. Hamid KARZAI, Président de l'Afghanistan pour un entretien consacré à la situation en Afghanistan et à l'engagement français dans ce pays. A l'issue de leur entretien, les deux chefs d'Etat ont signé un traité d'amitié et de coopération et ont fait une déclaration conjointe.
Le Président Nicolas Sarkozy a annoncé que le rapatriement des troupes françaises combattantes déployées en Afghanistan sera achevé dès la fin de 2013, soit une année plus tôt que le terme de fin 2014 jusque-là retenu par l'Otan
Le chef de l'Etat a également indiqué que la France allait transférer à l'armée afghane la responsabilité de la sécurité dans la province de la Kapisa, au nord-est de la capitale, Kaboul, «à partir de mars 2012».
«La poursuite de la transition et ce transfert graduel des responsabilités de combat permettront de planifier le retour de la totalité de nos forces combattantes dès la fin de l'année 2013 »
Le nouveau calendrier du retrait des quelques 3 600 soldats français présents sur le sol afghan prévoit que 1 000 soldats rentreront en France pendant l'année 2012, contre 600 dans le projet précédent, selon ce qui a été indiqué par le chef de l'Etat lors d'un point de presse avec le président Afghan Hamid Karzaï.
Le Président Français a aussi précisé que la France allait «demander à l'Otan une réflexion sur une totale prise en charge des missions de combat de l'Otan par l'armée afghane au cours de l'année 2013».
Le chef de l'Etat a indiqué que l'armée française continuerait, au-delà de 2013, des missions de formation de l'armée afghane avec un effectif «résiduel» par rapport à celui déployé actuellement. «Il sera à tout le moins de l'ordre de quelques petites centaines» d'hommes, a-t-il précisé .
Nicolas Sarkozy a aussi indiqué que les missions de formation de l'armée afghane menées par l'armée française, qui avaient été suspendues après la mort de 4 militaires français tués il y a une semaine, reprendraient «dès demain» samedi.
La visite officielle en France du président afghan, Hamid Karzaï ne devait durer qu’un après-midi. Le temps de rencontrer le Président Nicolas Sarkozy, le Premier Ministre François Fillon, le Président de l’Assemblée Nationale Bernard Accoyer.
Le Président Karzaï ravivera la flamme du soldat inconnu avant de terminer sa visite officielle en France..
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Résumé : Rappel des jours précédents jusqu’au 27 Janvier
Vendredi 20 Janvier :
- Quatre soldats français avaient été tués par un militaire afghan le Vendredi 20 Janvier. Dans les heures qui ont suivies le Président Sarkozy avait envisagé d'anticiper le retrait de l'armée française :
………."Je ne peux pas accepter que des soldats afghans tirent sur des soldats français", avait déclaré. Nicolas Sarkozy vendredi 20 Janvier, en indiquant qu’il évoquerait évoquer la question du retrait anticipé lors de la visite du président afghan Hamid Karzaï en France le Vendredi 27 Janvier, et que ce n’était qu’a l’issue de cette visite que la France ferait connaître sa décision sur une éventuelle accélération du calendrier de retrait.
- Monsieur Juppé avait informé Mme Clinton des décisions prises par le président de la République le 20 janvier: suspension des opérations de formation et d'appui à l'armée nationale afghane, envoi du ministre de la Défense et du chef d'état-major des Armées en Afghanistan», écrivait le Quai d'Orsay dans un communiqué. «Au vu de leur rapport, le président de la République tirera toutes les conséquences de l'attentat perpétré contre nos forces par un membre de l'armée nationale afghane».
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Le même jour, un communiqué du département d'Etat américain, suggérait que Paris ne procéderait pas à un retrait anticipé de ses 3600 militaires, et alors que les Etats-Unis se montraient circonspects suite à la déclaration de Nicolas Sarkozy, le Quai d’Orsay dans un premier temps avait rappelé qu’il reviendrait au chef de l'Etat de «tirer les conséquences», mais le même jour, sans attendre le déroulement du voyage de notre Ministre de la Défense et les conclusions qu’il devait en tirer pour les soumettre à la décision du Président Français, Hillary Clinton s'opposait formellement à un tel retrait non concerté, d’après elle.
Samedi 21 Janvier :
-Sur le terrain, Gérard Longuet le Ministre de la Défense était chargé d'évaluer la dangerosité de la mission de formation des soldats afghans par les militaires français. Arrivé samedi en Afghanistan, le ministre de la Défense devait ‘entretenir le dimanche avec le président afghan Hamid Karzaï et les ministres afghans de la Défense et de l'Intérieur, et également discuter avec le général John Allen, commandant de l'Isaf, et le général Olivier de Bavinchove, chef d'état-major de l'Isaf. A son retour, Gérard Longuet devait rendu compte au président Sarkozy des mesures que les autorités afghanes s'engageraient t à prendre pour assurer la sécurité du contingent français.
- Les médias le samedi 21 rapportaient d’après un communiqué du Département d’Etat américain : « La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton et son homologue français Alain Juppé sont tombés d'accord samedi soir 21 janvier pour "travailler ensemble" afin d'assurer la poursuite de la mission internationale en Afghanistan. ……Les deux ministres "sont tombés d'accord pour que les Etats-Unis et la France travaillent avec les partenaires de l'Isaf (la mission de l'Otan) et le gouvernement afghan afin d'assurer la solidité et l'efficacité continues de la mission", selon le communiqué.
Mardi 24 Janvier :
Alain Juppé déclarait devant l’Assemblée Nationale en parlant de notre présence en Afghanistan « …….Voilà ce que nous faisons là-bas, avec des objectifs très clairs : défendre nos intérêts – c’est la lutte contre le terrorisme – et défendre nos valeurs, c’est-à-dire aider le peuple afghan à affirmer sa liberté et à conquérir la démocratie …….,
Nous avons déjà beaucoup fait en ce sens, et ce sera l’objet du traité d’amitié et de coopération que le Président de la République signera vendredi avec le président Karzaï, avait aussi annoncé Alain Juppé, et toujours devant l’Assemblée Nationale il excluait tout retrait anticipé ou immédiat de nos effectifs en 2012, ….., en expliquant : ………… Quand j’entends parler de retrait immédiat ou à la fin de 2012, je ne suis pas sûr que cela ait été mûrement réfléchi et étudié. Il y a d’abord des conditions militaires à respecter, pour la sécurité même de nos soldats. C’est la ligne que la France s’est fixée ; c’est notre honneur et notre responsabilité !
"Notre mission n'est pas terminée", confirmait aussi le Premier ministre, François Fillon, devant les députés à l’Assemblée Nationale.
Rappelons que la France compte actuellement 3.800 militaires en Afghanistan, et leur retrait est pour l'instant prévu pour s'étaler jusqu'en 2014. Depuis 2001, 82 soldats ont été tués dans le pays, dont 26 pour la seule année 2011
Mais le gouvernement français déclarait mardi que Paris attendrait la visite du président Hamid Karzaï vendredi à Paris pour signer un traité de coopération, avant de décider s'il accélèrerait le retrait des troupes françaises d'Afghanistan.
Mercredi 25 janvier :
- Le chef de l'Etat réaffirmait la présence de l'armée française en Afghanistan. "Nous ne nous laisserons pas impressionner par cette barbarie et cet obscurantisme d'un autre âge qui, bien au contraire, nous renforcent dans notre détermination à œuvrer pour la paix en Afghanistan", avait-il déclaré.
Monsieur Sarkozy devait s'entretenir à ce sujet avec le président afghan Hamid Karzaï, vendredi 27 janvier, à l'Elysée, rappelaient les médias.
Jeudi 26 Janvier :
- Le secrétaire général de l'Otan avait appelé la France jeudi 24 à poursuivre ses opérations de formation et d'aide au combat en Afghanistan jusqu'à la date de retrait prévue, malgré le meurtre de quatre de ses soldats par un soldat afghan.
"Pour ce qui est de la contribution française à nos opérations en Afghanistan, laissez-moi insister sur le fait que nous étions tous d'accord au sommet de Lisbonne sur un processus de transfert des responsabilités de sécurité aux forces afghanes selon un calendrier bien défini", a déclaré Anders Fogh Rasmussen lors d'une conférence de presse organisée dans les locaux de l'Otan.
"Nous avons exposé les grandes lignes d'un plan d'action et il est important pour le succès de nos opérations de maintenir notre engagement envers ce plan", a t-il déclaré, faisant référence à la décision prise au dernier sommet de l'Otan, qui s'est tenu en 2010 dans la capitale portugaise.
Vendredi 27 Janvier :
- Finalement le Président Français après concertation avec toutes les parties concernées (Otan , Etats-Unis ) et à l’issue de son entretien avec le Président Afghan Hamid Karzaï a annoncé que le rapatriement des troupes françaises combattantes déployées en Afghanistan sera achevé dès la fin de 2013, soit une année plus tôt que le terme de fin 2014 jusque-là retenu par l'0tan.
Rappelons que la France compte actuellement 3.800 militaires en Afghanistan Depuis 2001, 82 soldats ont été tués dans le pays, dont 26 pour la seule année 2011;
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27 janvier 2012
François Hollande chez l'infâme Pujadas Jeudi soir 26 Janvier : égal à lui-même
Éditorial de lucienne magalie
Voir la vidéo :
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Le débat Hollande-Juppé en intégralité par LeLab_E1
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Des paroles et des actes - du jeudi 26 janvier 2012 à 20h35
La première partie de l'émission était destinée à scalper François Hollande, candidat PS à la présidentielle 2012 pour le livrer tondu et évidé au bourreau Alain Juppé qui n'aurait eu qu'à tirer sur la corde pour faire tomber le couperet, c'était du moins l'intention de David Pujadas et de ses comparses qui participaient la grande opération de scalpage avec pour objectif de mettre à nu la personnalité, la stature, l'allure de leur invité, et de décrypter à l'acide chlorhydrique ses mots, ses gestes, son projet .... sous les yeux de deux observateurs. La mise en scène était grotesque .
Avant de se livrer à cette opération dont ils se délectaient tous intérieurement avec ce sadisme professionnel qui animent ces gens en place qui se croient supérieurs aux autres , le perfide David Pujadas a commencé par présenter François Hollande en utilisant des formules faussement flatteuses sous l'écoute attentive de François Hollande très concentré qui se tenait à l'aise, mais sur ses gardes, mais voulant en rajouter David Pujadas demandait son acquiescement, jusqu'à lancer : On est d'accord ? .... pour s'entendre répondre : "Continuez ...."
Une bonne entrée en matière de la part de François Hollande que cette réponse qui éludait tout les effets du Présentateur d'un seul coup.
Le reste de cette première partie s'est déroulé comme une tentative de scalpage au laser: test de personnalité, de stature, de décryptage des mots, des gestes, des relations familiales et affectives de l'invité, qui a montré un François Hollande égal à lui-même, solide et rompu à ce genre d'agression médiatique qu'il a su réduire à plat sans déraper .. ensuite une partie technique avec un expert (j'ai oublié son nom) qui armé de graphique et de formule technique est venus le titiller sans réussir à le confondre ...finalement la température baissaient du côté des assaillants, qui se rendaient bien compte qu'il perdaient la partie face à un homme qu'ils n'avaient pas réussi à entailler ... Sans doute espérait-ils qu'Alain Juppé leur sauverait "la mise"...
Je n'ai pu me procurer un téléchargement de la vidéo de cette première partie, mais dès que ce sera possible je la réintroduirai dans cet article .
Bref en première manche je donnerai l'avantage à François Hollande.
Seconde partie :
Alain Juppé lui s'était certainement fixé pour objectif de mettre Ko d'emblée François Hollande, dès les premières minutes hautain, arrogant, regardant de haut, il l'attaquait agressivement en se lançant dans des calculs d’apothicaire pour finalement lui lancer : " Votre compte n'est pas bon "... au sujet du déficit ..., François Hollande de son côté s'est expliqué sans perdre le nord... et sa tactique pendant tout cet entretien s'est notamment résumée à laisser pédaler Alain Juppé en ne l'interrompant que pour le faire se planter., à part quelques réparties assez vives quand il le fallait.
Finalement pour cette seconde manche je donne aussi l'avantage à François Hollande
Avant de se livrer à cette opération dont ils se délectaient tous intérieurement avec ce sadisme professionnel qui animent ces gens en place qui se croient supérieurs aux autres , le perfide David Pujadas a commencé par présenter François Hollande en utilisant des formules faussement flatteuses sous l'écoute attentive de François Hollande très concentré qui se tenait à l'aise, mais sur ses gardes, mais voulant en rajouter David Pujadas demandait son acquiescement, jusqu'à lancer : On est d'accord ? .... pour s'entendre répondre : "Continuez ...."
Une bonne entrée en matière de la part de François Hollande que cette réponse qui éludait tout les effets du Présentateur d'un seul coup.
Le reste de cette première partie s'est déroulé comme une tentative de scalpage au laser: test de personnalité, de stature, de décryptage des mots, des gestes, des relations familiales et affectives de l'invité, qui a montré un François Hollande égal à lui-même, solide et rompu à ce genre d'agression médiatique qu'il a su réduire à plat sans déraper .. ensuite une partie technique avec un expert (j'ai oublié son nom) qui armé de graphique et de formule technique est venus le titiller sans réussir à le confondre ...finalement la température baissaient du côté des assaillants, qui se rendaient bien compte qu'il perdaient la partie face à un homme qu'ils n'avaient pas réussi à entailler ... Sans doute espérait-ils qu'Alain Juppé leur sauverait "la mise"...
Je n'ai pu me procurer un téléchargement de la vidéo de cette première partie, mais dès que ce sera possible je la réintroduirai dans cet article .
Bref en première manche je donnerai l'avantage à François Hollande.
Seconde partie :
Alain Juppé lui s'était certainement fixé pour objectif de mettre Ko d'emblée François Hollande, dès les premières minutes hautain, arrogant, regardant de haut, il l'attaquait agressivement en se lançant dans des calculs d’apothicaire pour finalement lui lancer : " Votre compte n'est pas bon "... au sujet du déficit ..., François Hollande de son côté s'est expliqué sans perdre le nord... et sa tactique pendant tout cet entretien s'est notamment résumée à laisser pédaler Alain Juppé en ne l'interrompant que pour le faire se planter., à part quelques réparties assez vives quand il le fallait.
Finalement pour cette seconde manche je donne aussi l'avantage à François Hollande
Voir la vidéo :
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Le débat Hollande-Juppé en intégralité par LeLab_E1
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Ouattara en cour - Le Président Ivoirien en visite d'Etat à Paris -
Éditorial de lucienne magalie pons
"Menuet de réception" ...
En dehors des pompes républicaines protocolaires, la visite d’Etat du Président Ouattara s’est complétée par des accords avec la France, en matière de défense et de sécurité, mais aussi de la relance du soutien financier et économique de la France à la Côte d’Ivoire :
Accord de défense et de sécurité
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"Menuet de réception" ...
La journée du Mercredi 25 Janvier a été particulièrement chargée pour le Président Sarkozy , le matin il présidait le Conseil des Ministres, à midi il présentait ses vœux aux « Autorités religieuses " au Palais de l’Elysée , ensuite il rejoignait Varces, en Isère, pour présider la cérémonie nationale au 93e régiment d'artillerie de montagne de Varces , ville de garnison de trois des quatre militaires français tués le 20 janvier en Afghanistan.
C’est ce qui est explique que c’est le Ministre de l’Intérieur Claude Guéant et le ministre de la Défense Gérard Longuet qui accueillaient le Président de République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, en visite d’Etat en France.
Le Jeudi 26 janvier le Président Français se déplaçait en province à Dijon (Côte d’or en matinée pour un déplacement consacré à la participation des citoyens assesseurs à la justice et prononcer une allocution à la Cour d’Appel de Dijon devant notamment des magistrats professionnels et des citoyens assesseurs, et la communauté judiciaire du ressort de la cour de Dijon.
Mais dès son retour à Paris le Président recevait à 17 h. le Président Ivoirien Alassane Ouattara à l’Elysée pour un entretien de travail.
Enfin la journée des deux présidents, amis très proches de longue date, se prolongeait le soir à l’Elysée par un somptueux dîner d’Etat, en l’honneur du Président de la République de Côte d’Ivoire Alassane Ouattara.
D’après l’avis de nombreux observateurs, aucun chef d'Etat ivoirien n'avait eu autant d'honneurs depuis ceux qui avaient été rendus à Houphouët Boigny, premier président de la Côte d'Ivoire père de l’indépendance Ivoirienne, et acteur de la « Françafrique » du Général de Gaulle.
"On a l'impression que la France a accueilli Houphouët Boigny , au temps de la guerre froide!" a fait remarquer Antoine Glaser, ancien rédacteur en chef de "La lettre du continent", spécialiste de l’Afrique. "Il y a quelque chose de très rétro qui ne correspond pas à la mondialisation de l'Afrique. C'est un accueil anachronique, d'un autre temps".
De son arrivée à l'aéroport d'Orly mercredi 25 janvier à son diner d'Etat à l'Elysée le lendemain, le parcours du président ivoirien, Alassane Ouattara, lors de ces trois jours de visite, a été jalonné d'honneurs tous particuliers.
La presse ivoirienne rapporte les honneurs rendus à leur président : "Cinq sections de l'armée française ont été mobilisées. Trois de l'armée de l'air, une de la marine nationale et une des forces paramilitaires."
A son arrivée à l'aéroport, Le Président Ouattara a été accueilli par le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant et le ministre de la Défense, Gérard Longuet, au "son de musique de la garde républicaine", le chef d'Etat étranger a passé en revue les troupes.
Ensuite, Le Président Ouattara a rejoint la place des Invalides à bord "d'un hélicoptère présidentiel escorté par deux hélicos de combat".
De là, Alassane Ouattara est monté à bord d'une Citroën hors série blindée escortée par une centaine de motards de la police et de la gendarmerie pour rejoindre l'hôtel cinq étoiles « Le Meurice » où il s’est installé avec son escorte pour la durée de sa visite d’Etat..
Jeudi, le chef d'Etat ivoirien s'est rendu sur la tombe du soldat inconnu avant de remonter les Champs-Elysées décorés aux couleurs des deux pays, sous escorte de la cavalerie.
C’est ce qui est explique que c’est le Ministre de l’Intérieur Claude Guéant et le ministre de la Défense Gérard Longuet qui accueillaient le Président de République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, en visite d’Etat en France.
Le Jeudi 26 janvier le Président Français se déplaçait en province à Dijon (Côte d’or en matinée pour un déplacement consacré à la participation des citoyens assesseurs à la justice et prononcer une allocution à la Cour d’Appel de Dijon devant notamment des magistrats professionnels et des citoyens assesseurs, et la communauté judiciaire du ressort de la cour de Dijon.
Mais dès son retour à Paris le Président recevait à 17 h. le Président Ivoirien Alassane Ouattara à l’Elysée pour un entretien de travail.
Enfin la journée des deux présidents, amis très proches de longue date, se prolongeait le soir à l’Elysée par un somptueux dîner d’Etat, en l’honneur du Président de la République de Côte d’Ivoire Alassane Ouattara.
D’après l’avis de nombreux observateurs, aucun chef d'Etat ivoirien n'avait eu autant d'honneurs depuis ceux qui avaient été rendus à Houphouët Boigny, premier président de la Côte d'Ivoire père de l’indépendance Ivoirienne, et acteur de la « Françafrique » du Général de Gaulle.
"On a l'impression que la France a accueilli Houphouët Boigny , au temps de la guerre froide!" a fait remarquer Antoine Glaser, ancien rédacteur en chef de "La lettre du continent", spécialiste de l’Afrique. "Il y a quelque chose de très rétro qui ne correspond pas à la mondialisation de l'Afrique. C'est un accueil anachronique, d'un autre temps".
De son arrivée à l'aéroport d'Orly mercredi 25 janvier à son diner d'Etat à l'Elysée le lendemain, le parcours du président ivoirien, Alassane Ouattara, lors de ces trois jours de visite, a été jalonné d'honneurs tous particuliers.
La presse ivoirienne rapporte les honneurs rendus à leur président : "Cinq sections de l'armée française ont été mobilisées. Trois de l'armée de l'air, une de la marine nationale et une des forces paramilitaires."
A son arrivée à l'aéroport, Le Président Ouattara a été accueilli par le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant et le ministre de la Défense, Gérard Longuet, au "son de musique de la garde républicaine", le chef d'Etat étranger a passé en revue les troupes.
Ensuite, Le Président Ouattara a rejoint la place des Invalides à bord "d'un hélicoptère présidentiel escorté par deux hélicos de combat".
De là, Alassane Ouattara est monté à bord d'une Citroën hors série blindée escortée par une centaine de motards de la police et de la gendarmerie pour rejoindre l'hôtel cinq étoiles « Le Meurice » où il s’est installé avec son escorte pour la durée de sa visite d’Etat..
Jeudi, le chef d'Etat ivoirien s'est rendu sur la tombe du soldat inconnu avant de remonter les Champs-Elysées décorés aux couleurs des deux pays, sous escorte de la cavalerie.
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En dehors des pompes républicaines protocolaires, la visite d’Etat du Président Ouattara s’est complétée par des accords avec la France, en matière de défense et de sécurité, mais aussi de la relance du soutien financier et économique de la France à la Côte d’Ivoire :
Accord de défense et de sécurité
Nicolas Sarkozy et Alassane Ouattara ont signé jeudi 26 janvier, au deuxième jour de la visite d'Etat du président ivoirien en France, un nouvel accord de défense et de sécurité « rénové » entre leurs deux pays qui, selon le président français, évite "tout mélange des genres". (Voir la vidéo 2)
Ce nouvel accord va notamment définir le futur statut des troupes françaises déployées en Côte d'Ivoire.
(La force Licorne, qui avait atteint 2.000 soldats au plus fort de la crise, n'en compte plus aujourd'hui que 450 "La France doit rester dans notre pays plus longtemps et de manière plus substantielle", avait plaidé Monsieur Ouattara dans Le Monde.)
A terme, seuls 250 à 300 militaires resteront stationnés à Port-Bouët, face à Abidjan, et "uniquement pour assurer la formation des nouvelles forces de sécurité" ivoiriennes.
Aide de la France : Soutien financier et économique
Hier à l'Elysée, le président ivoirien, Alassane Ouattara, a sollicité une aide de la France pour gérer la situation financière, il a aussi fait appel au Président Nicolas Sarkozy pour obtenir un accord de désendettement de son pays avec le Fonds monétaire international.
«La Côte d'Ivoire a besoin qu'on annule sa dette et qu'on puisse l'aider à partir de l'avant, il n'y a pas de temps à perdre », a précisé Nicolas Sarkozy »
Le Président Ouattara a également l’intention de solliciter les entreprises françaises à revenir dans son pays, où sont déjà implantés plusieurs groupes français notamment Bouygues et Bolloré depuis longtemps. La France est toujours le premier partenaire du pays. Près de 12.000 Français vivent en Côte d’Ivoire.
(La force Licorne, qui avait atteint 2.000 soldats au plus fort de la crise, n'en compte plus aujourd'hui que 450 "La France doit rester dans notre pays plus longtemps et de manière plus substantielle", avait plaidé Monsieur Ouattara dans Le Monde.)
A terme, seuls 250 à 300 militaires resteront stationnés à Port-Bouët, face à Abidjan, et "uniquement pour assurer la formation des nouvelles forces de sécurité" ivoiriennes.
Aide de la France : Soutien financier et économique
Hier à l'Elysée, le président ivoirien, Alassane Ouattara, a sollicité une aide de la France pour gérer la situation financière, il a aussi fait appel au Président Nicolas Sarkozy pour obtenir un accord de désendettement de son pays avec le Fonds monétaire international.
«La Côte d'Ivoire a besoin qu'on annule sa dette et qu'on puisse l'aider à partir de l'avant, il n'y a pas de temps à perdre », a précisé Nicolas Sarkozy »
Le Président Ouattara a également l’intention de solliciter les entreprises françaises à revenir dans son pays, où sont déjà implantés plusieurs groupes français notamment Bouygues et Bolloré depuis longtemps. La France est toujours le premier partenaire du pays. Près de 12.000 Français vivent en Côte d’Ivoire.
«Maintenant, nous sommes de retour sur le chemin de la paix et la relance économique est engagée», a fait valoir le président Ouattara en sortant de l'Elysée, tout en rappelant que la croissance de l'économie ivoirienne devrait rebondir de 8 à 9% cette année.
Le président Ouattara sera reçu Vendredi au Medef pour inciter les entreprises françaises à participer à la reconstruction du pays.
Le président Ouattara sera reçu Vendredi au Medef pour inciter les entreprises françaises à participer à la reconstruction du pays.
- Visite : Alassane Ouattara, le 'meilleur ami' de la France
Walf Fadjri - il y a 6 heuresLe président ivoirien, Alassane Ouattara, est arrivé à Paris le 25 janvier ... Une visite d'Etat en grande pompe comme l'explique le journal ivoirien Le ...Autres articles (378)
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www.radiovaticana.org/fr1/Articolo.asp?c=557609il y a 1 jour – Visite d'État du président ivoirien, Alassane Ouattara, à Paris.Le président ivoirien Alassane Ouattara entame une visite d'etat de ...
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www.rfi.fr/.../20120125-visite-alassane-ouattara-paris-signature-nouv...il y a 1 jour – Le président ivoirien Alassane Ouattara est arrivé à Paris ce mercredi 25 janvier 2012 dans l'après-midi pour une visite d'Etat de trois jours.Visite d'Etat du Président Ouattara en France: Les ivoiriens de la ...
www.youtube.com/watch?v=potHx512r8MNouveautéil y a 1 jour - 3 mn - Ajouté par abidjannetTV
A l'occasion de la visite d'Etat de son excellence le président Alassane Dramane Ouattara en France , les ...
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26 janvier 2012
François Hollande présente et explique ses propositions 2012
Éditorial de lucienne magalie pons
François Hollande : Projet à la France par LCP
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Jérôme Cahuzac, député socialiste du... par rtl-fr
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Je ne suis pas socialiste, je ne suis inscrite dans aucun parti, c'est pourquoi comme tout électeur ou électrice qui ne manque jamais de se présenter aux urnes, j'écoute en toute liberté de conscience et sans à priori ce que disent les candidats, de préférence quand ils exposent clairement leur programme et expliquent leurs propositions, et je dois dire en toute honneteté que c'est François Hollande qui parait le plus cohérent et avancé dans sa ligne politique. Il y a deux points de son programme qui ne me conviennent pas, ils touchent l'un au mariage homosexuel qui entrainera inévitablement l'adoption d'enfants, pour moi je considère que c'est un bouleversement éducatif et affectif qui offre aux enfants un modèle parental "unisexe" qui ne s'inscrit pas dans le cadre naturel qui distingue bien le "papa" et "la maman", une copie ne vaut jamais l'original, pour le vote des étrangers je préfèrerais qu'ils demandent leur naturalisations pour une intégration laïque sans aucune réticence ce qui éviterait un vote à intention communautaire pour obtenir tels ou tels aménagements ou particularités culturelles qui ne sont pas spontanément du domaine de la laïcité française.
Ces deux points posés , pour le reste des propositions de François Hollande , elles méritent d'être considérées comme des solutions plus crédibles que les rodomontades des uns et des autres de la droite , qui ont même surgit aujourd'hui sur les bancs du Sénat entrecoupées de critiques violentes à l'encontre de François Hollande de la part des sénateurs et ministres de droite, à tel point que très justement David Assouline sénateur PS est intervenu pour protester contre la pratique de la droite, aussi bien dans les questions posées par les sénateurs de droite que par les ministres présents dans leurs réponses, qui consistent à développer principalement dans leurs interventions des arguments de campagne électorales au lieu de s'en tenir strictement aux fonctions officielles législatives et exécutives qu'ils représentent en séance.
Bref depuis ce matin, avant et après l'intervention de François Hollande, les cadres de la droite UMP et consorts, de même que les candidats à la Présidentielle tous partis confondus, sont sur la défensive et mitraillent sur toutes les chaines, sur toutes les tribunes, sur tous leurs sites, à tort et à travers, avec des formules à l'alambic le candidat socialiste François Hollande, le seul candidat dont ils ont à craindre. Je n'ai pas eu le temps de lire la presse, mais j'imagine que ça doit encore être pire ...!
Aussi il convient de se limiter à l'essentiel en écoutant François Hollande présenter et expliquer ses propositions en vue de se faire une opinion personnelle libérée des croassements des uns et des autres.
Quand on doit voter on a le devoir de bien s'informer :
François Hollande : Projet à la France par LCP
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Jérôme Cahuzac, député socialiste du... par rtl-fr
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François Fillon désigne "la démagogie" comme l'adversaire principal de la droite
Éditorial de lucienne magalie pons
Officiellement, le Premier ministre était en déplacement à Lyon hier Mercredi sur le thème de la formation professionnelle et de l'emploi, mais il n’a pas manqué l'occasion d’attaquer le candidat PS, en progression constante dans les sondages, alors que Nicolas Sarkozy n'est pas encore candidat déclaré.
François Hollande dimanche au Bourget avait dénoncé comme son principal adversaire « le Monde de la Finance », les français ont parfaitement compris ce qu’il visait, mais on ne s’attendait pas à ce que François Fillon, Premier Ministre, lors de sa cérémonie des vœux aux militants UMP du Rhône Mercredi à Lyon, sous forme de meeting de campagne, désigne lui aussi comme le principal adversaire de la droite « la démagogie » …
Le parallélisme est assez inadapté entre « le Monde de la finance » bien identifiable aux yeux de tous et « la démagogie » qui n’est qu’une attitude politique dont les politiques s’accusent entre eux quand ils sont à défaut d’arguments sérieux contradictoires.
C’est ainsi que François Fillon a déclaré « "Notre véritable adversaire, c'est la démagogie. Il est beaucoup trop facile de désigner pour coupables de tous nos problèmes le monde de la finance, les banques, les agences de notation ou je ne sais quel trader malhonnête", a-t-il dit.
"Certes, ils ont une part de responsabilité ... mais cette façon de désigner des boucs émissaires, d'accuser les autres pour s'exonérer des responsabilités qui sont les nôtres n'est pas digne d'une grande Nation", a-t-il ajouté.
Propos très ambigus, bien sûr il s’agissait pour la droite de désigner comme son adversaire la « démagogie » dont ils veulent affecter le discours du Bourget de François Hollande.
En faute d’arguments, François Fillon, Premier Ministre, a répondu au grand discours du candidat PS François Hollande en critiquant « la démagogie de la gauche » et en l’accusant de mentir pour tenter de conquérir le pouvoir ..
En fait, pour faire court, le Premier Ministre voit « la démagogie de gauche » comme l’adversaire du candidat de la droite ( Nicolas Sarkozy non encore déclaré) et de plus le Premier Ministre voit en cet adversaire désigné "une gauche sectaire" qui ne souhaite qu'accéder au pouvoir. "Pour cela, tous les mensonges sont bons", a-t-il dit.
François Fillon, s'en est pris aussi à la proposition PS de rétablir l'âge légal de 60 ans pour le départ à la retraite, concernant les personnes ayant commencé à travailler à 18 ans.
"Dire la vérité pour servir l'intérêt général, ou esquiver la vérité pour ne pas déplaire, chacun choisit son camp", a-t-il déclaré.
"(La proposition) est aussi révélatrice de l'idée que l'on se fait du maintien de la solidarité sociale: réformer pour conserver l'essentiel de nos droits sociaux ou remettre à plus tard ce qui doit être fait maintenant au risque de tout perdre? Là encore, chacun choisit son camp", a-t-il poursuivi.
Enfin on ne s’en étonnera pas, le Premier ministre a jugé que la France devait poursuivre la politique de Nicolas Sarkozy. "Je ne laisserai pas compromettre l'avenir avec des illusions", a-t-il déclaré.
On aimerait bien savoir comment ? Car, au fond, qui ment vraiment dans cette campagne ? …un PS qui dévoile clairement ses propositions , ou un Chef de Gouvernement , des Ministres et des politiques UMP qui se contentent de critiquer l’opposition sans pouvoir nous convaincre du bien fondé social et économiques d’un court catalogue de mesures de dernière minute fragile comme du cristal , alors que depuis cinq ans ils nous mènent de projets de réformes en projets de réformes qui au final n’atteignent pas leur but où passent à la trappe au fil des évènements ?
S’il y a des illusionnistes dans la course aux échalotes présidentielle, c’est bien des ministres et politiques de droite qu’il s’agit, non seulement ils se bercent d’illusions pour échapper à leurs échecs mais ils veulent encore nous en raconter …. Trop tard … nous ne les croyons plus, leurs discours sonnent creux même dans les décors somptueux dont ils s’entourent.
Ils sont discrédités dans les sondages, nous sommes à moins de trois mois des élections présidentielles, et ce ne sont pas les pointures médiatiques dévouées à leur cause dans les journaux et l’audio-visuel qui nous ferons changer d’avis, ce n’est pas un Eric Brunet proche de la déclamation hystérique sur RMC, et les autres faux derches qui tiennent le crachoir du Pouvoir UMP sur BFMTV, RMC, Europe 1, RTL, France Info etc…..qui nous influenceront pour voter
L’UMP cherche désespérément une méthode pour tenter de reprendre du poil de la bête … c’est trop tard, ces prétentieux trop surs d’eux ont accablés les français pendant cinq ans et soudain prennent conscience que la partie n’est pas gagnée sans vouloir encore reconnaitre qu’elle est perdue pour eux.
Ils utilisent abusivement toutes les tribunes que l’Etat met à leur disposition en premier lieu pour y exercer leurs fonctions, en les détournant au profit de leur campagne :
François Fillon face aux députés de la majorité à l’Assemblée Nationale : « Soyons sûrs que le combat que nous menons est un combat juste. Il faut que ça se voit sur nos visages et dans les discours que nous tenons.
« On n’est pas obligés de se laisser impressionner. … Soyez pugnaces! » a martelé Jean-François Copé devant 250 parlementaires hier à l’UMP.
Mais les 5.000.000 de tracts qu’ils ont fait distribuer pour faire un bilan élogieux du quinquennat de Nicolas Sarkozy a fait un flop.
Tous les soi-disant poids-lourds du Pouvoir et de l’UMP sont mobilisés pour exorciser la scoumoune qui les recouvre dans l’opinion publique et qui se reflète dans les sondages
Jeudi soir, Alain Juppé affrontera le candidat socialiste lors d’un débat sur France 2. « Ce sera une excellente occasion de faire la différence », pronostique déjà Copé
Le Premier Ministre Fillon se retrouvera une semaine plus tard face à Martine Aubry.
Et puis entre-temps des tactiques qui ressemblent à des farces de maître Patelin pour tenter d’attiser le suspens sont mises en place, comme par exemple cette déclaration en off de Nicolas ’Sarkozy lâchée en « petit comité » il y a peu, aussitôt publiée et amplifiée aux termes de laquelle le candidat « non déclaré » envisagerait la possibilité d’une défaite. Et, dans ce cas de figure, aurait affirmé qu’il jetterait l’éponge… une fois pour toutes : « Oui, c’est une certitude. J’ai 56 ans. La politique, j’en fais depuis trente-cinq ans, j’aurai été président de la République …… Si les électeurs en décident ainsi, « je mènerai une autre vie ….. J’ai un métier, je suis avocat, je suis passionné par tout un tas de choses. Vous voulez que je fasse quoi? Que j’anime la section de l’UMP? » ……… « Franchement non, je ne continuerai plus la politique, je changerai de vie complètement. Vous n’entendrez plus parler de moi! » Et d’insister : « Je me sens comme si j’avais 22 ans. On peut voyager, je peux prendre des responsabilités dans d’autres domaines, commencer mes semaines le mardi matin et les finir le jeudi soir, je vois ça très bien. L’aiguille ……. il faut la retirer progressivement. »
En voudrait-il aux Français …… ? « Non, c’est la règle! C’est exactement comme si vous pensiez que je dois en vouloir au Bon Dieu si je tombe malade ou si je meurs un jour. C’est la vie, réveillons-nous! Je serai, quoi qu’il arrive, le privilégié qui aura pu, pendant un temps, avoir la confiance des gens, que ce soit pour cinq ou dix ans. » ………. « C’est moi qui dois aux gens d’être là, ce n’est pas eux qui me doivent quelque chose. Ce n’est pas une formule, je le crois profondément. Je suis reconnaissant aux Français de m’avoir laissé gouverner de manière apaisée. Je n’ai retiré aucun texte. Nous n’avons connu aucune situation de blocage, eu aucune violence. A part la taxe carbone, je ne vois pas une réforme à laquelle j’ai dû renoncer »
. Mais sous ces confidences OFF savamment préparées par ses spécialistes de com. et distillées sous l’apparence de la spontanéité par le chef de l’Etat , abondamment reprises par les médias pour créer un effet de surprise, Nicolas Sarkozy n’a pas renoncé à se porter candidat à sa succession, il veut persuader qu’il est seul, le meilleur , le vrai,( comme le « petit Gervais ») et s’obstine à juger François Hollande sévèrement. « Un homme habile, mais sans consistance, sans idées, sans convictions », répète- t-il souvent,.
Le Président affirme aussi en off pour illustrer son image : « Je reçois un accueil fantastique partout, je suis même étonné. Vous n’imaginez pas la passion qu’il y a dans ce pays, la lucidité des Français. C’est le peuple le plus politique du monde, ils savent qui ment, qui joue, qui compose, cela se jouera sur l’authenticité. »
Le Président parle d’un « accueil fantastique partout » : …. Mais ce qu’il ne dit pas c’est que ses auditoires partout sont composés principalement de ses partisans UMP et partis de droite associés, qu’ils sont là pour faire la « claque » autrement pour assurer l’accueil et le succès du grand spectacle , comme « le poulailler » à l’Opéra.
Pour les français lucides, il n’y a pas donc pas de quoi s’étonner ou tenir compte de cet « accueil fantastique partout »
Ensuite quand il dit que les Français savent qui ment, qui joue…., il ne se trompe pas ….mais justement ça se retourne contre lui sous forme de sanctions dans les sondages .
Soyez tranquille, Monsieur le Président, les sondages vous indiquent clairement qu’ils vous ont compris, les Français vous préparent une retraite dorée, l’avez-vous bien méritée ?
Il reste désormais moins de quatre-vingt-dix jours au président « Il se battra comme un lion », prévient son entourage, mais c’est trop tard, il se battra comme un lion avec ses partisans, mais il mourra politiquement le soir du 6 Mai 2007
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